Classement

Le PSG ça veut rien dire, non? Franchement, j'ai vu un match dominé par Lens, des actions à la pelle, notamment Thomasson à un mètre du but et Sotoca à 2 mètres du but. Au final, on gagne au Havre, ce qui est rare et on gagne de manière logique. Et tout ce que je lis, c'est une bande de dépressifs. Ça me soûle profondément ce forum depuis quelques semaines.

Bon, allez, un petit débrief à froid... Tout d'abord, ce qui me reste en tête : une chanson. Celle des supporters qui a accompagné la fin du match et même après. Elle commence par "Arbi" et finit par "erde". Je commence par l'arbitrage, donc. Tout ou presque a été dit, et on est globalement d'accord. Juste une chose à ajouter : pour moi, si dès le début les défenseurs centraux de Toulouse (Cresswell en tête) avaient été sanctionnés pour leurs ceinturages systématiques sur NZola (et ça, je l'ai bien vu, malgré... enfin bref, ce qu’a ignominieusement sous-entendu @FreeBird49, c'était juste sous mes yeux), on n’aurait pas eu le même match. Là, ça a été impunité totale ou presque. Pire encore : c’est NZola qui a été sanctionné avec plusieurs coups francs contre lui ! Pour ce qui est des cartons rouges, du penalty et des autres sanctions contestables, je ne saurais dire : les caméras montrent sûrement plus de détails que ce qu’on voit depuis les tribunes. Je me fie donc à vos analyses, et surtout à celle de Rémi Serpaud, citée plus haut. En général, il essaie d’être objectif. Il a même été critiqué parfois par des supporters lensois quand ses analyses n’allaient pas dans notre sens. On ne peut donc pas vraiment l’accuser d’être partisan. Et oui, le match a clairement été faussé par l’arbitrage. Toulouse. Rien à redire : une équipe solide, compacte. Pas géniale, mais pas facile à jouer. Leur attaque, l’une des plus faibles (avec nous), l’a encore prouvé. Ils ont fait leur match et attendu leur chance, qui leur a été offerte par l’arbitre. Mais ce n’est évidemment pas leur faute. Mention spéciale pour Restes, vraiment très, très bon : une excellente lecture du jeu, des sorties rapides dans les pieds, de bons réflexes. À surveiller, car il sera sûrement en concurrence avec Chevalier dans le futur. Peut-être même meilleur que le Lillois, qui semble prendre un peu la grosse tête... Bon coaching de Novell également : il a modifié son équipe à la pause en glissant Aboukhal de l’aile droite à l’axe, ce qui l’a libéré du marquage de Machado et lui a permis d’imposer des un-contre-un face à nos deux centraux. Le penalty en découle directement. Toutefois, Toulouse a commis beaucoup de petites fautes (accrochages, ceinturages…) qui, évidemment, n’ont pas été sanctionnées. Le Racing. Bon… un condensé de tout ce qui ne va pas cette saison. En pire. Globalement, une prestation correcte, de l’envie, mais une inefficacité chronique. On se rend compte que la blessure de RLL a un impact important, alors qu’il commençait à devenir le détonateur qu’il nous manquait en attaque. Les joueurs lensois : Koffi : Rien à redire. Bon match. Il a répondu présent sur les deux occasions toulousaines. Relances (à part une) plus propres que contre Paris. Machado : Décevant, encore une fois. Défensivement, il a bien maîtrisé Aboukhal en première mi-temps, mais offensivement, il n’a quasiment rien apporté. En seconde mi-temps, il a été inexistant, alors qu'il n'avait plus d'ailier directement en charge. Ses appels sont incompréhensibles : il préfère s’engouffrer dans l’axe au lieu de rester sur les ailes, comme il le faisait avant. Une vraie régression, probablement liée à des difficultés physiques. Sarr : Je ne comprends pas les critiques à son encontre sur ce match. Je l’ai trouvé solide, bien placé, avec quelques belles interventions. Il a même sauvé les fesses de Danso et Frankowski à plusieurs reprises quand ils s’aventuraient trop haut (et trop longtemps). Oui, il provoque le penalty, mais celui-ci semble sévère. Une ou deux belles montées balle au pied, et des ouvertures intéressantes. Aucune perte de balle notable. Danso : Solide en défense face à un adversaire physique (le type de joueur qui lui posait problème avant, comme De Jong ou Adams). Mais il en fait parfois un peu trop et reste trop haut, même à 0-0. Cela peut se comprendre si on est mené, mais avant… Frankowski : Match moyen. Il alterne le bon (projections intéressantes) et le moins bon. Pas aidé par Sotoca, qui n’a rien apporté sur son côté (on y reviendra). Le seul à faire un ou deux centre acceptables. Et aussi le seul à cadrer un tir... Thomasson : Le meilleur lensois sur le terrain. Inlassable récupérateur de ballons, très propre dans ses transmissions. La "machine à laver", comme on disait avant : il transforme les ballons sales en ballons propres. Diouf : Toujours les mêmes promesses… qui restent des promesses. On a l’impression qu’il va faire du champagne, mais ça fait "pschittt" à chaque fois. Sa lecture du jeu est catastrophique : il dribble quand il faut passer, il passe quand il faut tirer, et il tire quand il faut dribbler… Fulgini : Mitigé. Personnellement, je trouve qu’il a fait un bon match : techniquement au point (c’est sans doute le joueur le plus technique avec PDC), beaucoup de volonté, un pressing constant. Mais il doit vraiment muscler son jeu : il se fait bouffer dans les duels. Sotoca : J’ai adoré ce joueur par le passé. Mais là, c’est fini. Physiquement, il est cuit, et comme son jeu repose uniquement là-dessus… il n’apporte plus rien. De plus, le moral est atteint. Il n'a plus confiance, c'est visible. Il a deux ou trois fois l'occasion de tirer qu'il ne prend pas. Même de la têt, il préfère remiser. Alors que c'était un de ses points forts, je ne me rappelle pas une de ses têtes ne serait-ce que vers le but... Pas compris pourquoi Still l’a mis capitaine. J’aurais préféré Thomasson dans ce rôle. Zaroury : Une version encore moins efficace de Diouf. Très peu d’impact. Mais à sa décharge, il n’a pas été aidé par le mauvais match de Machado. NZola : Je trouve que beaucoup sont durs avec lui. Il a eu une grosse dépense d'énergie, fait des appels, étant ceinturé à chaque fois qu'il prenait l'avantage dans la course. Impossible à jouer pour lui dans ces conditions. Sans compter avec tous les centres aériens compte tenu des trois tours qui lui faisant face (il en avait presque toujours deux sur le dos), surtout quand 80 % sont au-delà de l'ailier opposé et 10 % ne décollent pas (Sotoca)... Bref, comma a dit quelqu'un ( @karldu91, je crois), il a bien fait ce qu'il sait faire, c'est déjà bien. ça me rappelle les critiques contre Sotoca quand il était bon, il faisait bien ce qu'il savait faire, mais mal ce qu'il ne savait pas faire (être un buteur). Le coach, Will Still : Sur ce match, pas grand chose à dire, il a fait avec ce qu'il avait, comme disait FH à chaque match après Nice l'an dernier (sauf que FH avait davantage de personnel...). Composition plutôt logique, du coup. Sa gestion du match, ben nippon, ni mauvais (comme diraient ses anciens joueurs Ito et Nakamura). Les changements, il se les a vus imposer par les évènements. Pour lui, je commence à penser que le problème est ailleurs, à avoir des doutes sur l'intensité de l'entraînement, tell qu'il en parle à chaque fois. J'ai l'impression qu'à part Thomasson, Franko, voire Khusanov, beaucoup sont déjà émoussés, usés par ces séances à haute intensité. Hier, on n'a pas du tout vu ce que l'on voyait en début de saison, à savoir un pressing intense, acculant l'adversaire dans sa moitié de terrain, voire dans sa surface). D'autre part, comme depuis quelques journées, j'ai plus eu l'impression de voir un match de handball. On tourne autour de la zone surface en essayant de provoquer une ouverture, mais même au hand, si on ne provoque pas un déséquilibre en face, des tirs de lojn cadrés, des passes à l'aile, ça ne marche pas non plus. Bref, ça, c'est ce qui m'inquiète un peu, d'autant plus que les adversaires semblent aussi avoir commencé à déchiffrer notre jeu et à s'adapter, comme c'était le cas l'an dernier avec Haise, qui n'a pas su changer de système. Mais pour finir sur une note positive, je pense que WS est plus capable de faire cela. Le public : Le bon : La Marek retrouve des couleurs et a chanté tout le match. Le moins bon : Les sifflets contre Sidibé. Injustes. Il n’a pas simulé, n’a pas provoqué les supporters, et il n’est pour rien dans le tacle de PDC ni dans la décision arbitrale. Je sais qu’il était Lillois, mais quand même… Je déteste les sifflets, de toutes façons, sauf en cas de grosse agression envers nos joueurs.

Sauf que vous ne retenez que ça. Mais il est encore très bon en pivot, il a encore conservé des ballons et remisé sur nos milieux. Oui il est maladroit, et ça c'est problématique. Mais tant qu'on lui balancera des grands ballons devant et qu'il n'aura pas un ou deux milieux / ailiers capables d'éliminer un défenseur, il ne restera qu'un point d'appui. Et puis sur les centres il est seul au milieu de 4 Toulousains. C'est Nzola, pas Ibrahimovic. De là à lui mettre une plus mauvaise note que l'autre incapable de Fulgini et du nonchalant Zaroury, faut pas déconner. Et Sarr nous sauve 2 fois quand Danso et Frankowski désertent, c'est pas pour autant qu'il faut lui plomber sa note à cause d'une "faute" amplifiée par l'attaquant du TFC. En gros un mec qui n'en branle pas une du match (Fulgini) et un qui sort à la mi-temps car trop mediocre, valent autant qu'un mec qui fait un bon match mais commet une faute...

J'espère qu'on a récupéré au moins 40M€ !

Sinon, je rentre du stade à l'instant. Pff ! Que de monde sur la route ! Mon débrief. Le match : Tout d'abord, un match plaisant dans l'ensemble, avec peu d'engagement en première mi-temps des deux côtés. Pratiquement pas de fautes, du jeu assez fluide. J'ai l'impression que les consignes de notre côté étaient de ne pas prendre de risques en début de match, ce qui a permis au PSG de faire tourner le ballon sans trouver d'espaces. Belle organisation défensive de notre côté, avec une implication de tous les joueurs. En fin de mi-temps, on a commencé à pousser un peu plus et on a eu cette fameuse occasion avec le centre de Nzola, sur lequel Fulgini n'anticipe pas assez et attend le ballon au lieu de se jeter en avant au seul endroit où la passe pouvait arriver. La seconde mi-temps a été beaucoup plus intéressante, avec plus d'engagement, un vrai match de coupe. Paris a montré sa technique, mais s'est révélé peu serein lorsque nous avons poussé devant leur surface. Gros combats un peu partout. Les joueurs : Bon match : Frankowski : Clairement revenu à son meilleur niveau, il a totalement muselé l'homme en forme du PSG (Doué), puis Barcola, qui pourtant était frais (bon, aidé par Khusanov, pour être honnête). Il a même souvent été offensif, de façon intéressante et efficace. Quel regret que sa volée de la dernière minute ne soit pas entrée. Toute la défense centrale : Comme d'habitude, solide. Cela confirme que Medina est clairement plus à l'aise dans une défense à trois. Thomasson : Au milieu, il n'en finit pas de récupérer des ballons et d'en faire quelque chose. Ce qu’il propose n’est peut-être pas génial, mais il joue juste, et c’est plus qu’honnête. Match satisfaisant : Koffi : Solide dans les buts avec quelques superbes arrêts. Ses dégagements longs étaient intéressants, mais il manquait un joueur capable de lutter dans les airs pour en profiter pleinement. Quelques dégagements ont été moyens, voire dangereux, comme ce qu’on avait vu sur les vidéos de ses matchs en Belgique. C’est clairement un axe de progression. Cependant, en cas d’absence ou de départ de Samba, il ferait un gardien plus que correct. Machado : Pas toujours heureux dans ses actions, mais il avait Hakimi en face, un adversaire redoutable. Hakimi, qui, soit dit en passant, faisait faute à chaque fois qu’il était dépassé, poussant plusieurs fois notre joueur dans le dos sans jamais être sanctionné (pourquoi se serait-il gêné ?). Neil El Aynaoui : Bon dans la récupération, il a bien orienté le jeu, toujours très propre dans ses passes, sauf une en seconde mi-temps, où il n’a pas été aidé par la relance hasardeuse de Koffi, à 30 m du but, entouré de Parisiens. Nzola : Fidèle à lui-même, combatif malgré deux clients sur le dos. Il a bien empoisonné la défense parisienne et beaucoup couru. Sa passe en or à Fulgini aurait dû se transformer en but, mais ce dernier n’a pas anticipé et est arrivé trop tard. Mais il a eu beaucoup de mal à se mettre en position de tir. Match décevant : Diouf : Je n’arrive pas à comprendre ce qui se passe avec lui. Il avait eu une belle période il y a quelques semaines, et je m’étais dit : « ça y est, il a compris ». Mais là, il semble à nouveau perdu sur le terrain. Il a d’énormes qualités, qu’on voit par moments, mais combien de fois est-il bien servi, se retourne, et perd la balle ou fait un dribble inutile ? Son pressing est souvent lancé trop tard, quand l’adversaire a déjà contrôlé le ballon et préparé sa passe. Sur l’occasion offerte par PDC, il aurait dû frapper tout de suite, mais il a fait deux contacts de trop. Ensuite, 5 minutes plus tard, il réalise une belle frappe à ras de terre. Pourquoi ne pas l’avoir fait avant ? Il joue trop souvent à l’envers et fait des mauvais choix. Fulgini : Il semblait bien revenir ces derniers matchs. Mais là, pressing à contretemps, peu d’impact, et un énorme manque d’anticipation sur le centre de Nzola qu’il aurait simplement dû pousser au fond. À son crédit, une belle accélération terminée par un crochet et une frappe enroulée, certes non cadrée, mais après une telle course, on ne peut pas lui en vouloir. En revanche, sa seconde frappe enroulée aurait pu être évitée, car il avait deux bonnes options de passe dans l’axe. Les entrants : PDC : Belle entrée. Disponible, des crochets efficaces, et une superbe ouverture pour Diouf, qui aurait pu mieux finir. Sotoca et Chavez : Pas assez de temps pour juger. Sotoca a marqué son penalty. Les trucs qui m'ont énervé... Deux poids, deux mesures, comme souvent ! Will Still râle (à juste titre) pour l'attentat du Russe sur notre Polonais (une habitude historique...), mais quelques minutes plus tard, Henrique s’en prend à l’arbitre et aux Lensois. Sanction ? Aucune. Plusieurs poussées dans le dos sur nos joueurs (notamment Machado). Aucune faute sifflée. Par contre, Khusanov éjecte Barcola avec une épaule contre épaule (réglementaire il me semble...). Résultat ? Coup franc + carton jaune. Je peux accepter un coup franc pour excès d’engagement, mais compte tenu de l’arbitrage précédent, ça m’a gavé !

En même temps avec ce que t'as picolé avant le match, t'es pas en état. Pour voir Koffi comme un blanc fallait pas être à 0 gramme

Alors on en fera pas des stars du football, mais parfois un repositionnement peut aider un joueur (cf Thomasson). Donc repositionner un Zaroury ça pourrait fonctionner, qui sait. Idem pour Fulgini. Le repositionner aux Émirats Arabes Unis ou en Albanie pourrait être une solution !

Même si cela fait presque une semaine que le match est terminé je voulais revenir sur l'expérience d'avoir assisté à ce match en tant que supporter lensoid au milieu d'une tribune havraise. D'abord pour signaler que nous étions habillé avec mon fils en purs supporters avec maillot sur le dos écharpe bonnet casquette sang et or. Dans la tribune il y avait beaucoup de supporters lensois plus discret que nous vestimentairement. Nous n'avons rencontré aucune animosité de la part des supporters adverses malgré leur défaite. au contraire beaucoup d'échanges sympathiques, prise de photo avec des membres du kop Barbarians Havré, puis échange d'écharpe avec une famille et leur enfant. On sent de la part des supporters havrais suite à nombre de discussions une certaine admiration envers le supporterisme à la lensoise. Et pour finir un constat évident, le Kop Lensois vu d'une autre tribune c'est vraiment très impressionnant...

Monaco n'a pas gagné à Nantes. Lyon n'a pas gagné à Brest. Lille n'a pas gagné à Auxerre. Et peut-être même qu'on a maintenant un buteur dont on connaissait pas l'existence en début de semaine. Beau week-end.

Jveux bien que l'on dise que ce match fut poussif, mais vous vous attendez à gagner 3-0 à l'extérieur contre la moitié des clubs de Ligue 1 ? On domine ce match malgré tout. On a simplement toujours les mêmes soucis d'efficacité et d'alternance de jeu. "J'ecarte le jeu sur les ailes et je centre...on verra bien". Ça c'est pénible. Pour le coup Fulgini et Diouf n'ont pas été mauvais, mais c'est pas suffisant. J'attends toujours de voir Zaroury au milieu plutôt que sur un côté... On prend trois points à l'extérieur sans Khusanov et Samba. Ca me va.

Tu exagère un peu, comparons ce qui est comparable... Je suis allé en Corée et j'en ai parlé avec des amis coréens du Sud. Crois moi, tu es très très loin d'imaginer ce qu'ils vivent là-bas. J'ai un ami qui n'a pas vu un oncle depuis la séparation des deux Corées. En Corée du Nord, tu aurais déjà la police à ta porte, avec un tel message. ça me fait quand même toujours mal de voir des gens dire qu'ils ne peuvent pas s'exprimer en France, alors qu'ils l'écrivent. Ils en démontre à chaque fois le contraire ! Ici, on demande juste du respect pour les personnes. Ce n'est pas compliqué.

Le tifo nantais du soir

Comme on dit chez nous, ça c'est fait !

PDC n'est pas malin non plus...pourquoi va t-il mettre ses crampons sur la cheville du mec alors qu'il aurait pu simplement le faire sur la joue de l'adversaire. Il n'aurait pas pris de carton.

Coucou de la Trannin !

Je n’ai absolument aucun détail de l’organisation interne au club, du qui fait quoi, aujourd’hui comme il y a 4 ans. Le seul truc que je constate, c’est qu’on a vu Pouille et FH AVEC et SANS Ghisolfi… et c’était pas la même limonade. En seulement 2 mercato, 5 ans de travail ont été mis à la poubelle.

Content pour Thomasson de voir que son repositionnement plus en retrait sur le terrain lui a permis de retrouver de l'éclat au point de se retrouver remplaçant dans l'équipe type des match aller de l'Equipe. Etant donné certaines de ses qualités (et de certains de ses défauts) ça me paraissait une bonne solution et ça s'est vérifié.

Je suis en train de m'infliger Lens Foot, mais très intéressante l'intervention de Sébastien Denis (de Foot Mercato) qui a remis à sa place Norman Noisette sur les salaires et l'absurdité des sommes données de 2022 à 2024 (et son catastrophisme sur le niveau de la masse salariale si on la baisse), et qui lui a démonté son "Non mais ça a pas été la cure d'austérité cet été quand on voit les salaires de NZola, Zaroury etc" en disant clairement que ça a baissé et que c'est pas si élevé que ce qui est dit publiquement.

« déflagration », « énorme secousse défensive », « ébranlées», « abîmées »... un peu fatigué de cette presse à sensation. Nous avons toujours le trio Gradit - Danso - Medina à disposition si nécessaire, et seul le poste de gardien mérite réflexion. Pour Khusanov, il n'était là que depuis peu et on ne peut pas dire qu'on perd tous nos repères avec son départ. Un peu de mesure serait la bienvenue. Le problème de Lens, c'est devant, pas derrière.

4 rencontres sur 6 se terminent aux tirs aux buts. La suppression de la prolongation est une connerie. L'argument, c'était l'accumulation des matchs: entre temps, la coupe de la ligue a été supprimée, la ligue 1 est passée de 20 à 18 clubs, bref...

J’adore quand les joueurs font exactement ce qu’ils font sur les compiles YouTube. Le but de Koyalipou, j’ai l’impression de l’avoir vu 10 fois sur sa compil. L’exact même avec le tête placee au même endroit.

Lens gagne au Havre pour la première fois depuis 2003.

Bonne mi temps de Danso. On a enfin pu voir ce qu'il était capable de faire à 1 contre 11, et c'est encourageant pour la suite.

Surtout quand ça se joue au Havre

Une course-poursuite insolite. Kalidou Sidibé sait mettre ses talents aux services de son équipe, mais aussi de ses concitoyens. Alors qu’une femme s’est fait voler son téléphone sous ses yeux, le footbaleur de 25 ans n’a pas hésité à se lancer à la poursuite du voleur en plein centre-ville d’Annecy, ce jeudi 9 janvier. Le milieu défensif de Guingamp a non seulement réussi à rattraper le voleur, mais il l’a également livré à la police L’intervention du joueur s’est produite à l’arrivée de l’équipe bretonne à Annecy, à la veille de son match contre les Haut-Savoyards en Ligue 2. Sidibé, mesurant deux mètres, a été alerté par la victime du vol, qui a immédiatement demandé de l’aide. Il n’a pas hésité à courir après l’individu, utilisant son endurance et sa rapidité pour le rattraper et récupérer le téléphone volé.

Difficile de faire une sortie honorable, dans ces conditions. Les mots sonnent creux quand même. On a dû mal à croire qu'il pense ce qu'il dit. A la limite, il vaut mieux faire le plus court possible. Même si je comprends qu'il puisse avoir envie de partir, ces messages "politiquement corrects" obligatoires après tout départ m'agacent à force. Ne rien dire ou alors, parler cartes sur table, donner les raisons du départ : juste pour le fric, surtout ne pas parler du fameux projet sportif !! ou alors désaccord avec la direction ou le staff, mais donner des raisons claire. Là, que dalle, je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai. Mais je pars quand même. Le même type de message que Franck Haise. Comme pour lui, je le redis, merci pour tout et bon vent ! La suite de leurs carrières ne m'intéresse plus.

Il n'y avait pas de mouches avant que tu arrives. A croire qu'elles te suivent....

Tout sourire.

Y'a pas rouge, y'a pas péno, y'a rouge pour Creswell... Encore une fois on produit pas grand chose, mais avec des décisions arbitrales inversées on part avec 3 points et pas 0. Pourquoi on regarde encore ce sport d'abruti c'est une vraie question...

Beaucoup critiquent Sarr mais il fait le travail...

Ma main à couper que tout ce petit monde va se planter à Rennes. Et le père Pinault n'a jamais été un grand patient... Faire du neuf avec du vieux c'est rarement fiable et souvent voué à l'échec. Pouille s'est fait botter le cul et est sorti par la petite porte. Haise n'a rien fait de flamboyant à Nice et à l'air de s'en foutre royalement. Seko n'a pas brillé au soleil Ghisolfi est mis au placard à Rome. A Nice il a pas cassé trois pattes à un canard. Lens avec un effectif bancal, un nouveau staff et une nouvelle direction, c'est pas pire !

Manque plus que Sylvain Kastendeuch est on les appelera le KKK...oh putain non

Moi ce qu'il propose me convient et ce que je constate c'est qu'il a réussi jusqu' à maintenant à adapter son groupe avec des joueurs pas hyper performants, des blessures, des suspensions et autre naissance. Je ne me fais pas de soucis sur le fait que le style Still est en adéquation avec l'esprit RCL.

Le père de Khusanov était dans les tribunes. Que le but soit attribué à son fils ou non, ça n'a pas vraiment d'importance au final. C'est lui qui tire et a son nom scandé par le stade.

Perdre 4-0 ? Et l'aspect psychologique de la défense ? Moi je retiens que l'on a fait jeu égal avec Paris que l'on a clairement les meilleurs occasions et que l'on perd ce match non pas aux tirs au but mais à cause d'une erreur de Danso. Cependant, je ne lui jette pas la pierre pour autant, Il fait tellement peu d'erreur

Comme je n'ai pas vu de topic N'Zola dans effectif, voici un article de SoFoot Le roman de Nzola Par Timothé Crépin De la D4 portugaise à Lens, en passant par la Fiorentina, l’itinéraire de M’Bala Nzola est... spécial ! Pas conservé par Troyes pour des problèmes de comportement, l’Angolais s’est forgé et a fini par tout renverser au bout d’un chemin unique. Voici comment. « Il fait partie des garçons qui font grandir les entraîneurs. On a toujours plein de convictions sur untel ou untel qui peut aller vers le haut niveau. Lui, je pense qu’il était parmi ceux jugés inaptes. Et il y arrive. Ce sont de beaux exemples. » Comme beaucoup, Philippe Pinson est véritablement surpris de voir où en est aujourd’hui M’Bala Nzola, à 28 ans. L’actuel attaquant de Lens a, il faut bien le dire, pris son temps pour véritablement éclore. Au cœur d’un parcours cabossé comme le football peut parfois nous en donner. Loin, très loin d’être linéaire, tranquille et sans embûche. Pourtant, contrairement à d’autres carrières empruntées, Nzola connaît un centre de formation pro. Angolais d’origine (il a fait ses débuts internationaux en 2021), le futur attaquant massif et sa famille grandissent à Troyes et le quartier des Chartreux. M’Bala intègre rapidement l’ESTAC, non sans faire débat. « Dans ma tête, c’était un crack, promet Samuel Grandsir, aujourd’hui au Havre, ancien coéquipier dans l’Aube. Mais peut-être pas pour d’autres… » Entre promesses d’avenir et véritable questionnement sur son habileté à progresser. Philippe Pinson l’a entraîné chez les U17. « Beaucoup de qualités mais, quand même, des gros manques, remarque l’éducateur. D’un point de vue tactique, on cherche à savoir ce que souhaite être M’Bala. Un attaquant de profondeur ? Un deuxième attaquant ? Un pivot ? On a du mal, car il a parfois des difficultés à se situer dans le jeu. » Le vol de trop Il faut dire que le football n’est pas le point central de sa jeunesse. À 16 ans, il est déjà très responsabilisé dans sa famille. Si son père est présent, l’adolescent doit s’occuper de ses sœurs et être là dans le foyer familial. « Il a des choses à gérer que des garçons de son âge n’ont pas à s’occuper », reconnaît Philippe Pinson. Avec, au milieu de cet axe, une scolarité pas des plus sérieuses. Si bien qu’au sortir de la préformation et d’années collège délicates, le club doit lui trouver un cursus en alternance pour continuer son aventure à l’ESTAC, « en chaudronnerie, je crois, précise Pinson. Quelque chose de très manuel. Mais il s’est pris en main sur ses emplois du temps. » Samuel Grandsir, coéquipier à l’ESTAC Frustrant, car les qualités footballistiques sont là, avec toujours le même lot d’interrogations. « On sent qu’il y a un gros potentiel, quelque chose de supérieur dans plein de domaines, promet Claude Robin, alors directeur du centre de formation troyen. Il est fort attachant, insouciant, toujours en train de rigoler. Mais, sur le terrain, il n’est pas abouti. On voit les qualités, mais, des fois, ce n’est pas qu’il est fainéant, mais il faut toujours le contraindre à. » « On cherche comment il va s’affirmer, continue Pinson. Il ne marque pas beaucoup, mais a une grosse présence en attaque. Il a une difficulté à être structuré comme il faut. Mais on sent qu’on n’est pas loin de quelque chose. » En 2014, coup de massue : Troyes ne le conserve pas. D’abord à cause de carences dans la vision de ce que signifie être un footballeur professionnel. « Dans sa tête, il n’est pas encore assez prêt, argumente Samuel Grandsir. Pourtant, pour moi, il a tout : technique, physique, vitesse, finition… Mais il lui manque cette mentalité de se dépasser. Même lui sait qu’il est au-dessus. Mais peut-être qu’il se repose un peu sur ses acquis. S’il avait été plus tueur dans sa tête, il aurait vraiment été un crack. » Avec, pour ne rien arranger, des écarts de comportement qui vont sonner sa fin à Troyes. « On a été obligé de se séparer de lui. J’ai été tolérant plusieurs fois, raconte Claude Robin. Mais, là, c’est la fois de trop. On en a convenu tous les deux. » En cause, selon l’actuel entraîneur de Besançon, un vol commis envers un coéquipier du centre. « Quand on est directeur, on ne peut pas tout laisser passer. Là, c’est intolérable. Mais ce n’est pas un méchant, ni un tordu. Au contraire, c’est un crève-cœur de prendre cette décision. » Porto, Osimhen et gros bébé Pourtant, c’est à se demander si ce renvoi troyen n’a, au contraire, pas été la première étape sur la route de l’ascension. Comme un premier rappel qu’il faut vite redresser la barre au risque de tout perdre définitivement. « Partir de la France lui fait du bien et lui provoque une petite étincelle dans la tête. Il fallait sortir de son confort », croit Samuel Grandsir. Nzola décide de quitter son cocon et ses potes. Direction l’Académica de Coimbra, au Portugal. Il a 18 ans. Pas avec les pros, il parvient pourtant à s’y faire une place. En équipe première, il fait la connaissance de Tripy Makonda (ex-PSG, Brest…). « Je trouve un gamin très sûr de lui, très déterminé, se souvient l’ex-Titi parisien. Il s’impose lors des séances d’entraînement, mais il a des choses à travailler. Sa nonchalance peut lui être fatale, mais ça ne l’empêche pas d’être performant. » Preuve en Coupe de la Ligue portugaise, où Nzola a sa chance en janvier 2015. Il marque cinq minutes après son entrée pour son premier match pro face au FC Porto de Jackson Martínez (défaite 1-4). Le début de l’ascension ? Pas du tout. Makonda : « Le centre de formation n’a plus de moyens pour garder les jeunes. C’est limite si M’Bala joue gratuitement. Vous allez au centre, si vous avez besoin de manger, vous ne pouvez pas… Il est parti. » Destination : Sertã, en plein centre du Portugal, et le club de Sertanense, alors… en D4. Peu importe l’endroit, Nzola doit jouer, enfin. Il claque 7 buts pour 25 matchs. Mais comme à Coimbra, c’est comme si l’Angolais peaufinait réellement sa formation. Les conditions y ressemblent, en tout cas. « On loge dans des dortoirs, dépeint Bissourou Touré, coéquipier de l’époque, qui se souvient de ce “gros bébé” d’1,85m. Je revois ce long couloir avec des chambres, et le terrain juste au-dessus. » Pourtant, là encore, Nzola doit beaucoup patienter pour avoir de réelles minutes en championnat. « Il ne joue pas trop, au début, poursuit Touré. Les Portugais n’avaient jamais vu un gabarit comme le sien ! Ils étaient un peu choqués. Mais niveau football, il n’y a rien à dire. » M’Bala est rattrapé par ses « démons », comme ce langage corporel qui peut interpeller. « Ce qui lui manque ? L’attitude, abonde Bissourou Touré. Car, à l’étranger, ils regardent beaucoup l’attitude. Surtout quand tu viens de France… Mais sur le terrain, il a un autre caractère. Un genre d’Osimhen. Hargneux. Il a la dalle. » Des buts, oui, mais un épanouissement personnel loin d’être à son maximum. M’Bala pense même à arrêter le ballon. Mais Bissourou Touré le jure : « Quand tu sors de Sertanense, mentalement, plus rien ne peut t’atteindre. » Un mentor nommé Vincenzo Italiano Son chemin aussi sinueux qu’improbable l’emmène alors en Italie. Au Virtus Francavilla (Serie C), où il n’a pas encore vraiment les codes du monde pro. Un premier déclic vient de la rencontre de son coach, Antonio Calabro. La relation est franche, le technicien italien prend son attaquant sous son aile. « Tu connais les coachs chauves, ils sont un peu méchants, racontait récemment Nzola à La Voix du Nord. Il était méchant avec moi, mais j’ai compris qu’il m’aimait bien. Il ne voulait pas montrer que j’étais son chouchou. » Et ça se concrétise sur le terrain. Francavilla débarque de Serie D et dispute tout de suite les play-off d’accession en Serie B. « C’était personne, confie John-Christophe Ayina, son coéquipier dans les Pouilles. Il devait se faire un nom. Et, dans sa tête, il est en mission. Il se bat contre lui-même, il veut être la meilleure version de lui-même. » Onze buts, et même des comparaisons avec George Weah et Karim Benzema. Lui rêve de Ligue des champions. La Fiorentina et Parme s’intéressent au profil. Sauf que Nzola gâche tout face à Livourne, en barrage aller d’accession. Carton rouge, huit matchs de suspension ! Il est question d’un mauvais geste envers un adversaire et l’arbitre. La Viola laisse tomber le dossier. Le haut niveau attendra, encore. Surtout que Nzola ne confirme pas du tout en Serie B, à Carpi, qui le récupère (14 matchs, 0 but). Anthony Taugourdeau, coéquipier à Trapani Non, le premier véritable étage de la fusée Nzola se trouve à Trapani, en Sicile. Retour en Serie C. Nouveau coach au crâne dégarni, nouveau coup de cœur. Cette fois avec Vincenzo Italiano, qui entraîne actuellement Bologne. « Le coach comprend comment il faut prendre M’Bala, appuie Anthony Taugourdeau, coéquipier sicilien. Quand il faut le faire jouer ou pas, le laisser tranquille ou pas. » Sauf que question mentalité, le compte n’y est toujours pas, au départ. « Pour l’entraînement, il faut arriver à 14h30, lui arrive à 14h29, tous les jours, rembobine Taugourdeau. Avec parfois un peu de retard. Il baisse les bras dès que quelque chose ne va pas. Un caractère un peu particulier. » Nzola marque 8 buts sur la saison (33 matchs, 16 titularisations). Mais son ancien partenaire hallucine sur le discours que lui tient l’Angolais : « Quand il s’entraîne vraiment très, très mal, il me lance des trucs du genre : “Je vais marquer 20 buts en Serie A, tu vas voir !” Je me dis : “Mais il est fou ! Qu’est-ce qu’il me raconte ?” Dans sa tête, il sait qu’il peut le faire. Mais on est en Serie C, et il ne met pas 30 buts non plus… Il a dû changer quelque chose… » Trapani, Italiano et Nzola montent en Serie B. Sauf que le coach italien rallie La Spezia pendant l’été. M’Bala, orphelin de son mentor, le rejoint au mercato d’hiver. Et ça matche, encore. Sept pions pour l’attaquant. Direction la grande Serie A. Il cartonne avec 9 buts inscrits lors de ses 13 premières apparitions ! 11 pions au total pour sa saison de bizutage dans la grande ligue italienne. Forcément, ça fait parler. Naples, Newcastle et West Ham, entre autres, sont sur sa piste. Le nounours est décontracté Mais comme tout ne peut pas être parfait, Nzola ne part pas et, surtout, Vincenzo Italiano, qui lui aussi est très en vogue, fait ses valises vers Florence et la Viola. À sa place débarque un certain Thiago Motta. Un doublé à l’Atalanta (2-5) et c’est tout pour Nzola sous l’ère Motta. Derrière, en 2022-2023, il retrouve son mojo (13 buts) et est transféré pour quasi 13 millions d’euros à la Fiorentina de… Vincenzo Italiano. Barré notamment par Andrea Belotti en attaque, Nzola plante trois buts en Serie A, mais participe au sacré parcours florentin en Ligue Conférence la saison passée. Avec notamment ce but inscrit à la 91e minute en demi-finales allers face au Club Bruges, importantissime pour la qualification en finale (3-2 ; 1-1). Les troupes d’Italiano échouent sur la dernière marche, en prolongation, face à l’Olympiakos (0-1 AP). John Christophe Ayina, coéquipier au Virtus Francavilla Jusqu’au RC Lens, donc, où il est prêté avec une option d’achat estimée à moins de 10 millions d’euros. Avec 4 buts inscrits lors de la phase aller en ayant joué son premier match à la toute fin du mois de septembre. Toujours ce caractère bien à lui, lui qui fuit toute exposition médiatique. Mais quelqu’un qui profite aujourd’hui d’une notoriété et d’une réussite qui ont été loin d’être évidentes. « Il est trop marrant, sourit Samuel Grandsir. C’est un mec décontracté, qui ne se met aucune pression. Il est humble, simple et a un grand cœur. » John-Christophe Ayina abonde : « Quand tu le vois, il est costaud, imposant. Mais quand tu le connais, c’est un petit nounours. Parfois, il peut être incompris. Il est vrai avec les gens et demande à ce qu’on soit vrai en retour. Il a besoin de beaucoup de confiance, qu’on la lui donne. D’où il est parti, le voir là aujourd’hui, c’est un exemple. Car je pense que lui-même n’a pas conscience du potentiel qu’il a. » Quand ses formateurs comparent le Nzola de Troyes et le Nzola de Lens, le constat est sans appel. « Il a eu une prise en main assez exceptionnelle pour arriver là et être performant », applaudit Philippe Pinson. Quand Claude Robin est également bluffé : « Toute l’énergie qu’il donne contraste vraiment avec, parfois, la nonchalance qu’il mettait à ses débuts. Je suis content, car ça veut dire qu’il a compris. » « La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera », Emile Zola.

Still « je sais pas si y a faute sur le premier but ou pas, je pense que si c’était dans le sens inverse on le sifflerait. » ça reflète bien mon avis sur la question.. j’ai regardé le résumé bein et franchement j’aimerais bien voir la ligne tirée sur le hors jeu de NZola parce que ça doit se jouer à rien, il y a un parisien qui couvre.

Bon en rentrant d'Arras, il y a une petite heure, on a été doublé entre les deux voies par un délinquant de la banlieue parisienne. J'ai essayé de le bloquer, mais il a forcé le passage. Désolé, si j'avais pu le retenir et l'empêcher d'arriver à Bollaert, cela aurait été top. Forfait ! En tout cas grosse présence de sécurité un motard, deux voitures de police devant, deux gros combis et une grosse berline derrière, tous noirs. Sinon, plus loin, dans la côte de Vimy, il y avait une voiture complètement en feu. Je ne sais pas si ça avait à voir avec le match ou non.

La blague est approuvée

“Des très bons centreurs” sérieux les commentateurs de DAZN…

C’est Diliwidi non?

Je dois le seul mais je trouve que Pouille a complètement déraillé. 40 millions sur Seko et Samba et des salaires de dingue….