Classement

Quelle boulette de Danso quand j'y repense. Pas gêné, tout seul pour contrôler et il dévisse comme une m**** pour remettre en jeu le nantais. On peut parler de la boulette de Palois, mais Danso en fait une belle aussi. Ça s'équilibre. Je lis que l'on s'en tire bien et que l'on ne méritait pas la victoire. Ben moi j'ai une autre lecture. Je m'abstiendrai de parler de la première mi-temps car je n'ai pas pu la voir (étant au boulot jusqu'à 20h) mais apparemment elle ne fût pas fameuse. La seconde mi-temps, je ne nous ai pas trouvé tellement en danger hormis cette bévue et sur la tentative de lobe de Simon (j'ai eu des sueurs froides) il a d'ailleurs fallut voir ce second but pour enfin voir un début de révolte des lensois. Alors oui ce n'était pas parfait, oui le manque de talent est flagrant, mais au moins, j'ai vu quelque chose qui nous avait manqué depuis un moment : de la force de caractère Si on marque le deuxième but, c'est par ce que y a de la présence dans la surface. Je pense que y a au moins 5 lensois dedans et si on est bien heureux que le ballon soit détourné sur un lensois, c'est bien par ce que justement il y en avait beaucoup à suivre l'action. Sur le 3eme but, pareil. Si Palois fait son erreur, c'est aussi à cause de la pression exercée sur le but. Et de même, si Thomasson n'avait pas tenté d'intercepter ce ballon, il y avait des chances que le gardien puisse la sortir. Oui c'est moche, oui on peut s'attendre à mieux. Mais les buts que l'on prend ne sont ils pas du même acabit ? Prenons ce qu'on nous donne. Une victoire à Bollaert dont la physionomie nous a pour une fois souri

Ayant été d'enseignant dans une autre vie, je peux te dire que c'est exactement ça ! Il ne faut pas confondre autorité et autoritarisme. Et le respect, ça se gagne. C'est par ses actes, en étant le plus juste possible, que l'on est accepté. Il m'est arrivé une fois ou deux d'aller m'excuser auprès d'un élève, parce que je m'étais trompé sur lui. Eh bien, à chaque fois ça a été très positif. Comprendre que les gens peuvent faire des erreurs et ensuite les reconnaître, cela rend plus facile à accepter le sentiment d'injustice. Même à 10 ans, un enfant comprend. D'ailleurs à cet âge, c'est même très éducatif, parce que ça lui permet de reconnaître le droit à l'erreur aux autres, mais aussi à lui-même et donc à se remotiver en cas d'échec. Si les arbitres faisaient cela, je pense que ça se passerait beaucoup mieux, parce que ça les rendrait plus humains et plus proches des joueurs. Et du coup, ceux-ci les respecteraient plus, accepteraient plus facilement les décisions, râleraient moins et aussi essaieraient moins de truquer. L'exemple contraire, c'était une de mes collègues (qui faisait ma décharge de classe quand j'étais en direction), qui dès la première heure, se mettait à hurler sur les gamins. Elle n'arrivait pas à les gérer. Les mêmes que j'avais sans devoir crier. Et si je criais une fois, c'était dosé et efficace, parce que rare. (on peut faire un parallèle avec les cartons rouges... celui qui dégaine vite est obligé de continuer, alors que celui qui explique calmement et prévient peut les gérer tranquillement).

Je suis désolé mais quand je vois RLL, je pense à ça

Un petit coucou pendant mon congé paternité. Je suis fatigué mais tout va bien. Aller lens !

Je m'en laisserai jamais de ce genre de vidéo. En plus, on a droit au retour du "Wouhou" de Danso

Sinon, entre Haise et Still, il y a quand même une grosse différence de niveau d'effectif. Haise a eu Kalimunedo, puis Openda, puis Wahi (même si ce dernier aurait pu faire plus), avec un Sotoca qui était quand même encore assez efficace (buts plus passes décisives), des joueurs qui marquaint aussi de temps en temps et deux saisons énormes de Fofana. Là, Still n'a rien devant, sans compter les blessures. 2020-2021 : Kakuta : 11 Sotoca : 8 Kalimuendo : 7 Ganago : 7 2021-2022 : KALIMUENDO : 12 FOFANA : 8 FRANKOWSKI : 6 SOTOCA : 6 2022-2023 : OPENDA : 21 SOTOCA : 7 FOFANA : 7 2023-2024 : WAHI : 9 SAÏD : 7 SOTOCA : 7 Et cette saison, à 1/3 du championnat, on en est à : Franko : 3 NZola : 2 Puis Thomasson, RLL, Ojediran, Diouf, Chavez et Saïd, un but chacun... Impossible de penser que Franko mettra 3 fois ce qu'il a mis en premiers tiers, NZola arrivera peut-être à une dizaine... Saïd, qui devait être le buteur de la saison, ben... Et Sotoca, rien, ni but, ni passe décisive pour le moment. Donc sauf recrue ou jeune qui éclate an L1 sans que l'on s'y attende, c'est là que se trouve la difficulté pour WS.

C'est beaucoup plus compliqué pour Paris quand ce n'est pas Marquinhos qui arbitre 😊

Si on nous avait dit ça il y a 10 ans… Le mal est profond et ça n’est pas prêt de s’arranger, la nouvelle génération n’est pas prête à payer pour se genre de contenu (ou du moins pas autant) Perso, c’est la 1ere année où je suis pas abonné depuis la remontée et franchement ça ne me manque pas et j’aurais pu voir n’importe quel match illégalement. j’aime toujours autant mon club, mais le football de moins en moins. La FIFA, l’UEFA, la LFP, le VAR tout ça me débecte et c’est entrain de tuer le foot populaire. J’aimerais tellement retrouver le foot des années 90, celui où on pouvait avoir que 3 joueurs étrangers par club, où l’Ajax remportait la LDC et plein d’autres choses… Ok je vais dans le topic des vieux cons qui portent des chemises à fleurs

De retour du Parc, avec un sentiment partagé comme beaucoup sur le forum. Diouf a clairement survolé les débats côté Lensois (à égalité avec Brissou). Chavez c'était pathétique, Machado pas vraiment vu... Nzola est en effet impressionnant dos au but, mais il va bien falloir qu'il se retourne à un moment ou à un autre pour tirer non? J'ai le sentiment qu'on a trouvé notre tireur de CPA avec Zaroury, en tout cas les corners à 2 ont enfin disparu. J'étais placé pas loin du parcage, qui a mis une bonne ambiance tout le match (pas obligatoire les "Paris on t'enc**e" avant le début du match par contre). Sinon l'ambiance au Parc, c'est une vraie blague. A part Boulogne, c'est vraiment mortel. Autre point positif : le très bon kebab sur le chemin du retour avec mes garçons.

On pourrait être 10ème après cette journée. Je pense que ça correspond mieux à ce qu’on a vu depuis le début de saison. Aucune surprise.

Et le bashing sur certains joueurs est fatigant à la longue: les anti Sotoca, anti Fulgini, anti Thomasson, anti Frankowski... Maintenant on commence à attaquer N'Zola. Être supporter, c'est être critique mais l'exemple Thomasson est le plus criant: les 6 premiers mois c'était un super joueur, l'année dernière un joueur de ligue 2, et maintenant à nouveau un bon joueur de Ligue 1... On reproche le niveau de Frankowski, mais c'est le meilleur buteur depuis le début de la saison (3 buts), pas mal pour un piston qui ne fait que des passes en retrait... Bref, je comprends parfois les réactions à chaud lors d'un match en direct, mais je ne vois pas l'intérêt de ressasser à longueur de journées les mêmes poncifs: pour ma part l'opinion d'un ou deux forumeurs ne va pas me faire changer d'avis sur un joueur.

«On n’avait jamais parlé d’entraîner ensemble», comment les trois frères Still se sont retrouvés à diriger le RC Lens Trois frères entraîneurs de la même équipe, c’est plutôt unique. Surtout quand ça n’a pas du tout été imaginé ni même programmé. « On n’avait jamais parlé d’entraîner ensemble, on n’avait jamais projeté ça », confirme Edward Still (33 ans), l’aîné, adjoint de Will (32 ans), comme le benjamin Nicolas (27 ans). Trois grands passionnés de foot, compétiteurs au quotidien, nés en Belgique à Braine-l’Alleud de parents anglais. Trois frères nourris au foot, jamais devenus pros, mais qui se sont tout de suite projetés de l’autre côté. Ils sont enfin réunis à Lens où leur entente, leur enthousiasme et leurs caractères différents dessinent une belle complémentarité et une passion communicative. La jeunesse : du foot, du foot, du foot (et un peu de cricket) Des frères (et sœurs) baignés dans le football Il aura juste fallu un ballon et un tour au stade avec papa pour que le sang des jeunes frères Still ne batte plus que pour le football. Enfin presque. Les garçons ont touché à tout dans leur jeunesse, un peu plus au cricket, l’un des sports nationaux en Angleterre, puis la première licence de foot dans le club local a réglé l’affaire. Ils accompagnent leur père aux matchs le week-end aussi. Le rituel de préparation, l’adrénaline qui monte au fur et à mesure que le stade approche et 90 minutes de bouillonnement qui seront ensuite commentées et reproduites sur le petit terrain de la maison : deux buts et des lignes tracées à la chaux. Edward a 9 ans, Will 7, et très vite, Nicolas va se coller aux frangins. « Il a toujours été avec nous. Quand “Nico” avait 4 ou 5 ans, il ne voyait pas encore au-dessus des barrières au stade. Alors on y allait avec le pack de lait, celui pour mettre les bouteilles en verre. Il fallait prendre le pack de lait pour que “Nico” puisse se mettre debout », se rappelle “Ed”. Les deux grandes sœurs, Els et Felicity, nées en 1986 et 1988, sont aussi dans le foot : l’une joue, l’autre arbitre. Et au milieu, des parents qui ne comptent plus les kilomètres d’un stade à l’autre. « Il y a eu un moment où tout le monde était occupé, il y avait une dizaine de matchs le week-end pour nos parents à suivre. » À la télé, ils ne manquent aucun épisode du « match of the day » sur la seule chaîne anglaise captable. « C’est tout ce qu’on pouvait regarder, on essayait de comprendre, et de regarder le plus de foot possible », se rappelle Will. Le tour des stades de Belgique Lorsque les parents divorcent, le papa ne peut plus emmener les fistons au stade. Mais Edward vient d’avoir 18 ans et le permis. « Donc on a continué à aller aux matchs à trois. C’est moi qui roulais, raconte l’aîné. On allait un peu partout en Belgique. » Ils ne cherchent pas la plus belle affiche, plus généralement le stade le moins cher. Avec une seule idée : « La passion, le plaisir de jouer, le plaisir d’aller au stade, le plaisir de voir du foot. C’était un énorme kiff pour nous. » Pendant longtemps, Saint-Trond a été le moins cher. En plus, Will y a joué plus jeune. Après la relégation en D2, le club de cœur doit s’effacer derrière la logique du résultat. Le Standard de Liège trouve un écho régulier, puis Charleroi, Genk, Anderlecht… « On faisait vraiment le tour des stades. » Au retour à la maison, on ne débriefe pas vraiment l’aspect technico-tactique. On se taquine, on se chambre, et on s’affronte à la console sur “FIFA”. Il faut surprendre un frangin qui vous connaît par cœur. On élabore des stratégies, les boutons des manettes dégustent, les pouces aussi. Jusqu’à la sanction parentale. Le carton rouge ultime. « On a dû nous interdire de jouer l’un contre l’autre. On nous a dit : “Soit vous arrêtez, soit vous jouez ensemble.” On ne jouait plus l’un contre l’autre. C’était trop violent », raconte Edward. On était au-delà du derby, et ça se terminait « pas bien ». « Moi, je ne me suis jamais battu. Mais Will aurait bien voulu, je pense. On était compétiteurs tous les deux. » Les envies, les premiers pas, les expériences diverses De la passion au métier Seul à intégrer un centre de formation (Saint-Trond puis RAEC Mons), Will ne deviendra jamais joueur professionnel. Edward et Nicolas n’ont pas le niveau non plus, mais la passion du foot est telle que ça n’en est même pas un regret (ou à peine pour Will). La question est plutôt de savoir comment ils parviendront malgré tout à faire de leur passion un métier. « Autant Will que moi, on voulait avoir un job et être actifs à temps plein dans le foot, rembobine Edward. On passait la plupart de notre temps à regarder, à suivre le foot anglais. Et à se poser la question : “Tiens, qu’est-ce qu’ils font en Angleterre, qu’ils ne font pas en Belgique ?” Et on a simplement repéré qu’il y avait un trou dans l’analyse vidéo en Belgique. » « Il y en avait très très peu, là on parle de 2011-2012. Il y en avait encore très peu sur les 16 ou 18 professionnels en Belgique. Peut-être trois ou quatre. Et donc on s’était dit, si on arrive à développer les compétences qu’ils utilisent en Angleterre, et d’utiliser les softwares qu’ils utilisent, et de le proposer à un club en Belgique, peut-être que ça pourrait nous sourire. Et c’est ce qu’on a fait. On a appris comment regarder un match et comment utiliser les outils informatiques. Et puis Will a fait le tour de tous ces clubs en Belgique pour voir qui serait prêt à le faire. » Edward a déjà commencé le coaching vers 15-16 ans, Will l’imite à 18 ans. « Ça me plaisait d’apprendre aux petits ce qu’on savait et tout ce qu’on avait regardé. Et puis, quand on n’était pas au foot, on regardait du foot et quand on ne regardait pas du foot, on parlait de foot, glisse Will. Et “Nico” pareil. Il a été gardien donc il est différent (rires). Mais il a très vite suivi ce chemin de coacher, mais je ne saurais pas dire pourquoi. » Débuts à la vidéo puis sur les bancs Will décroche le premier un contrat pro d’analyste vidéo à Saint-Trond (2014-2015). Ses deux frères lui succèdent. Mais c’est Edward qui bascule le premier comme entraîneur adjoint (Club Bruges, 2017-2019). « Ça se fait en rencontrant des gens et des coachs au bon moment, au bon endroit, qui sont prêts à nous donner plus de responsabilités sur le terrain », détaille Edward. Deux ans plus tard, entraîneur principal à Charleroi, puis dans son expérience suivante à Eupen, il fait venir Nicolas, d’abord assistant vidéo, puis adjoint, une collaboration qui avait eu des prémices à Bruges quand Edward était adjoint. Pierre-Yves Hendrickx, secrétaire général de Charleroi, se souvient de cette association. « Edward et “Nico” ont la même passion, la même vision. Ils adorent parler foot, travaillent 24h/24. Ils ont surtout un don, ils voient des choses que les autres ne voient pas ou plus vite que les autres, tactiquement, ils savent décortiquer les adversaires et s’adapter pour contrer. Les membres du staff qui ont travaillé avec eux étaient impressionnés. Le petit défaut, c’est que très vite, ils se sont fait confiance l’un l’autre en négligeant de partager ou de travailler avec d’autres. Naturellement, ils se comprenaient, voyaient le sens où ils voulaient travailler, leur collaboration étouffait un peu les autres et comme ils ont un rythme de travail très élevé, ils avançaient et travaillaient comme ça. Mais ils étaient très jeunes, surtout Nicolas, et Edward, c’était sa première fois comme T1 (entraîneur principal), ils voulaient prouver, et parfois, on force un peu les choses. » À force d’analyser, de décortiquer, les frères ont voulu aller plus loin. Sans vraiment se poser la question des nouvelles responsabilités, de la pression supérieure qui tombe sur l’entraîneur. Ce qui les guide, c’est « le plaisir de savoir que c’est toi qui peux dessiner beaucoup plus à quoi va ressembler ton équipe et comment transférer tes idées et les choses dans lesquelles tu crois sur une équipe », décrypte Edward. Beaucoup de discussions fraternelles… Will vient de travailler avec Nicolas à Reims, Edward a déjà connu trois expériences avec le petit frère et tous se retrouvent à l’été 2024 à un carrefour. Des propositions, des choix à faire avec des idées bien précises sur leurs envies et le fonctionnement qu’ils souhaitent. Will : « On s’était toujours dit avec “Ed” que la prochaine étape qu’on ferait, on avait besoin de quelqu’un qui était capable de prendre la charge émotionnelle et tactique qui va avec le fait d’être entraîneur, sur les épaules, parce que le faire tout seul, c’est chaud et ça en demande beaucoup. Donc t’as besoin d’un adjoint qui est capable d’assumer cette responsabilité-là, mais aussi qui a l’expérience d’avoir été entraîneur principal. » Contacté par Lens, Will sollicite Edward qui allait se tourner vers l’Angleterre (adjoint en Championship, la deuxième division anglaise). Convaincre l’aîné n’est pas si compliqué. Passer d’entraîneur principal à adjoint de son petit frère n’est pas un problème, mais il faut que tout soit bien cadré. Edward, c’est le cartésien… « Will m’a expliqué clairement ce qu’il cherchait, ce qui lui avait manqué à Reims. Pouvoir m’engager dans un projet où tes relations directes sont avec tes frères, c’est ouf. Will m’a exprimé ce dont il avait besoin, pourquoi il pensait que c’était moi plus qu’un autre. J’ai réussi à m’y projeter assez facilement. Ça a été beaucoup, beaucoup de discussions parce qu’on est très différents. » … pour une entente idéale et efficace Il le bombarde de questions, ses exigences, ses attentes. Edward lui expose aussi ses besoins pour pouvoir être performant. « Et dès le moment où on a réussi à les mettre sur la table, on s’est engagé. Évidemment, ça évolue tous les jours. L’idée, c’est qu’on puisse arriver ici tous les jours et être épanoui dans le travail qu’on fait et les relations qu’on a avec tout le monde. » Leur entente saute aux yeux. « Ils sont vraiment connectés », avoue Adrien Thomasson. Benoît Delaval, le directeur de la performance ne voit pas « trois frères. C’est un entraîneur qui vient avec ses deux adjoints. Pour avoir des résultats rapidement, il faut être entouré de personnes de confiance qui connaissent la façon dont on travaille au quotidien. Donc, ça va être rapide. Et on va vite être opérationnel et on va vite avancer. Moi, je n’ai vu que les côtés positifs. Ils se captent vite, ils se complètent bien. Les tâches sont claires et définies entre eux. C’est hyper fluide. » Rôles et complémentarité du trio Chez les trois frères, chacun a son domaine de compétence. Un partage des tâches bien identifié par tous, comme le raconte le milieu de terrain Adrien Thomasson : « Ils ont vraiment une bonne alchimie entre eux. Ils échangent beaucoup. “Nico” anime beaucoup les circuits de passe, même les jeux pendant les entraînements. C’est aussi celui qui va prendre la parole sur des séances de vidéo. Edward est un peu plus dans la stratégie, sur les coups de pied arrêtés. Il a une analyse vraiment approfondie. Et puis, le coach est au milieu de tout ça. Souvent, c’est Will qui arbitre, donc là, il ne fait pas de cadeaux. Ça lui arrive d’avoir des mots pour réajuster certaines choses qui peuvent lui déplaire. Mais avant tout, il fait attention à l’intensité qu’on peut mettre dans nos courses, dans notre pressing, dans notre travail sur ballon. » Benoît Delaval précise : « Edward monte les séances avec le coach, je suis avec lui sur la gestion des effectifs, sur l’enchaînement des séquences ou des blocs d’entraînement dans les séances d’entraînement. “Nico” est plus sur l’analyse du jeu et sur la vidéo, en contact avec les analystes. » Dans leur façon de travailler, il y a toujours cet objectif de ne pas être excluant. « C’est vraiment top de pouvoir partager ce lien fraternel au travail tout en devant être hyper ouvert avec tout le reste du club parce que notre travail et le club ne se résument pas à trois frères », précise Edward. Une communication plurielle Mais entre eux, il y a deux types de communication. Il y a celle non verbale, liée au fait qu’ils se connaissent parfaitement : « Ils savent comment je vais réagir à un certain scénario, ils savent déjà anticiper. On sait déjà tous anticiper les réactions de chacun. Il y a cette compréhension naturelle. On se regarde, c’est même pas une expression, c’est juste comme ça », tente d’expliquer Will. Et puis il y a la volonté de toujours savoir, toujours préciser, aller plus loin dans le détail, presque de « challenger » l’autre. « En tant qu’adjoint, ton rôle, c’est de créer des entraînements et c’est de faire un travail sur le terrain qui va nous permettre d’arriver à ce que l’entraîneur principal désire. Et donc le challenge, c’est parfois de pousser Will à aller dans le plus de détails possible, qu’il décide vraiment : “C’est ça que je veux, c’est à ça que je veux qu’on ressemble.” C’est lui qui trace la voie, et s’il y a friction, c’est de ma faute, parce que tant que lui est clair dans le chemin sur lequel on est, vers où on va, il n’y a pas lieu d’avoir de la friction, et je lui pose tellement de questions que je dois m’assurer que les choses soient claires entre nous, parce que si les choses ne sont pas claires entre nous, ça va directement se ressentir sur les joueurs. On a besoin de se parler, tous les jours : “Comment tu te sens ? T’as bien dormi ? T’as pas bien dormi ? Quelle humeur ? Qu’est-ce qu’il se passe ?” Dès qu’on arrête de parler, on prend la relation pour acquise. Tu peux rater certaines choses et ne pas comprendre une réaction, détaille Edward, chargé de délester son frère d’un maximum de choses. Je le vis hyper bien, de façon hyper épanouie. Et je me suis engagé pour ça, je me suis engagé pour être adjoint et pas pour être… en me disant, putain, je vais être frustré de ne pas être entraîneur principal. » Une détermination, une passion et une joie à transmettre Will peut alors donner libre cours à son ressenti. « Il pense collectif, il met le collectif en avant. Avec “Nico”, ils mettent de la voix. Ils vont au milieu des joueurs, montrent, démontrent, corrigent. Will a un côté très proche des joueurs. Pendant les étirements, il a toujours un mot, une tape, un geste pour chaque joueur. Il aime bien cette notion de proximité et de confiance avec les joueurs », a observé Julien Collomb, journaliste à L’Union de Reims. Les trois frères ont une détermination, une passion et une certaine joie de vivre qu’ils veulent transmettre. « J’espère que les joueurs peuvent sentir le plaisir que nous, on prend à être là, à bosser ensemble, avec tous les autres, avec les membres du staff de performance. Et une fois que les joueurs prennent ce plaisir-là, j’espère et je pense que ça va se refléter sur le terrain », pose Edward, qui n’avait pas l’intention de beaucoup couper pendant la trêve. « Couper de quoi ? C’est pas du travail, honnêtement. Au centre de notre vie, c’est le foot. Ça c’est sûr et je kiffe. »

Vous le voyez venir wahi.

Et là, le trou est de 100 millions par an et un total de 500 millions de dettes, ça commence à être délirant... Sinon, l'argument de dire que Lyon est un grand club français et qu'il est nécessaire pour l'image de la Ligue 1 et la vendre à l'étranger... en réalité je suis moyennement d'accord. On a vite oublié Bordeaux d'une part et je pense qu'aucun club est irremplaçable. En plus cette saison, la France écrit une belle histoire avec Brest. Personne connaissait ce club en Europe et aujourd'hui tous le connaissent et s'y intéressent. Donc si demain l'OL disparaît de la Ligue 1 mais qu'on envoie un bon club en Europe comme Reims ou le Paris FC, tout le monde oubliera Lyon. La Ligue 1 évolue et je préfère 1000 fois un Brest (club intelligent, bien géré) en Ligue des Champions qu'un club qui fait n'importe quoi comme Lyon. Merci à Lyon pour avoir supporté le foot français dans les années 2000. Mais si leur temps est passé, ça m'en touche une sans bouger l'autre.

Rien a foutre de Lyon personnellement. S'ils doivent descendre et bien qu'ils descendent. Ils ne sont pas plus à plaindre que les autres clubs qui descendent, bien au contraire.

Quel escroc... Ça roule en CHR et maintenant ça veut se faire de l'argent sur le dos des pauvres gens C'est honteux Monsieur !!!

Oui et puis faire du jeune avec du vieux, non merci. Il a pas non plus fait des merveilles à Nice et là à Rome ça n'est pas mieux. Faut arrêter de vivre en 2022/23. Openda, Seko c'était génial, mais ça n'est pas quelque chose que Lens peut rééditer tous les ans. J'ai toujours vu Lens comme un club qui peut finir entre la 4ème et la 10eme place. C'est pour ça que des saisons telles que 98, 2002 ou 2023, on trouve ça exceptionnel. Fallait se douter qu'à la moindre perte de vitesse, Dreossi serait le bouc émissaire. Aujourd'hui quand on voit le recrutement fait cet été, dans des conditions très particulières (restrictions budgetaires, droits tv, masse salariale), je ne trouve pas qu'il y ait matière à dénigrer. Dreossi et Lopez doivent composer avec des joueurs âgés, d'un niveau moyen et surpayés. Les Spierings, Thomasson, Fulgini, Franko, Aguilar, Mendy... des joueurs à plus de 100 000 euros par mois, ça ne se vend pas comme des ptits pains. Aujourd'hui on a : Satriano blessé toute la saison Ojediran qui devrait être titulaire Zaroury qui montre des choses, mais pas suffisamment encore. Blessé et arrivé sur le tard. Nzola qui est bien trop seul, mais montre qu'il est un bon pivot et sait conserver le ballon. Sarr est venu comme remplaçant. Je vois des moqueries le concernant, mais jusqu'à présent, il n'a pas été mauvais. Dans un monde parfait, on se sépare des boulets surpayés et on trouve un attaquant et un ou deux pistons performants...sauf que des Openda ou Khusanov, ca ne se trouve pas à tous les coins de rue.

Très content pour lui. En revanche..: ses sélections n’ont aucune logique avec son niveau 😂 Les seules années où il n’y est pas allée c’est entre 2022 et 2024 quand il était absolument monstrueux à tous les matchs. La, c’est plus poussif (même si je m’inquiète pas vu le talent du bonhomme)…. et bim, il est appelé 😅

Avant t'avais moins de matchs, du coup, y avait un intérêt à suivre mais maintenant... L'overdose de match sans enjeu et inutile. Je trouve le foot de moins en moins regardable

N'étant pas originaire de feu Nord-Pas-de-Calais, c'est grâce aux supporters lensois que je suis devenu fan du club (ce n'est évidemment pas le palmarès qui m'a fait apprécier Lens 😁). J'ai été abonné en Marek pendant 7 ans dans les années 90, et même en ayant depuis plus de 20 ans peu d'occasions d'aller voir les matchs du Racing (pour cause d'expatriation), sans la ferveur populaire lensoise, j'aurai certainement lâché depuis longtemps. J'étais du déplacement à Séville, à Londres pour Arsenal, à Athènes, et je peux te dire que je n'ai noté aucun incident, les contacts que j'ai eu avec les supporters lensois rencontrés dans les différentes villes ont été excellents. Bref, je peux t'assurer que Lens, c'est plutôt convivial, pas de soucis majeurs entre supporters lensois et pas de provocations vis à vis des supporters locaux. Et crois-moi, pour avoir vu des Psg-Om, des Pologne-Angleterre, des matchs du Legia, on n'a pas trop à se plaindre. Après, avec 38 000 personnes, c'est dur d'avoir ne serait ce que 95% de gens biens. Enfin, en Delacourt, j'ai déjà vu des mecs évacués, car... alcoolisés. Je ne cautionne pas le jeté de balles de tennis, mais tous les stades allemands de Bundesliga l'ont fait, et je ne me souviens pas d'avoir entendu parler d'arrestations.... On n'arrête pas les débiles lillois et belges présents à Bollaert il y'a 3 ans, mais on arrête quelqu'un pour un jet de balle de tennis sur la pelouse??? Bienvenue en France...

Encore une belle performance de Dunkerque ! Victoire chez un bon club de L2, Grenoble. Et seconde place au classement ! Bon, Lorient et le PFC ont un match en moins. Mais en tout cas, c'est un très beau début de saison !

Salut les lensois, j'étais venu vous rendre visite avant notre dernière confrontation et j'avais apprécié votre accueil et nos échanges. J'aime bien parfois parcourir votre forum , surtout quand vous parlez de nous :)) Bon ben nous on vit un rêve éveillé... On n'a jamais douté de l'engagement et du dévouement des joueurs vu la saison dernière mais le bilan comptable est au dela de nos espérances... Je lis beaucoup que Brest n'a joué "que" le Sturm Salzbourg et Prague mais par exemple Dortmund a galéré contre le Sturm hier et Salzbourg a tapé le Feyenord ... Je pense que nos perfs ne sont pas à galvauder et prouve la consistance de tout le groupe. Hate par ailleurs de voir ce que Paris fera contre Salzbourg... Bon prague c'était quand même tres faible hier ... 16 tirs à 2 pour nous !!! On doit largement plié le match avant ça.. J'ai déjà peur de perdre dimanche à Montpellier qui a tellement besoin de points... Et puis Barcelone dans 15 jours , meilleure équipe européenne avec Liverpool actuellement, va être un énorme défi. Au plaisir de vous lire, Bonne continuation au peuple lensois, A bientôt,

Tu prêches un convaincu la. Jai toujours été un de ses fervents soutiens, même dans les moments plus difficiles (comme le match contre Marseille). Je l’ai toujours trouvé sous coté chez nous le Massadio, même comme piston (il n’y brillait pas, mais il n’était, pour moi, pas moins bon qu’un Aguilar, un Chavez ou le Frankow qu’on voit depuis 2 ans…). Ca n’empêche pas qu’il était temps pour lui de voir autre chose et qu’il était barré chez nous. (Même si perso, j’ai toujours du mal à comprendre l’arrivée de Sarr quand t’as Massadio, mais bon). Et sur l’humain, là dessus on était tous unanimes. Un vrai bon gars. Très content pour lui.

Gros match de Wahi.

La fameuse théorie de l'arbitrage qui s'équilibre en fin de saison, ça doit être une vue de l'esprit. Y'a faute tous les jours sur Gradit en fin de 1ère mi-temps mais l'arbitre monte les yeux au ciel du genre "mon dieu mais c'est rien du tout", le pétage de plomb de Campos et bien sûr la grosse faute de Marquinhos. Faut pas se fâcher avec le psg, à tous les niveaux, sportifs, décisionnels.

Je dois être un vieux con, mais faire des gestes de tirs (pistolets, mitraillette…), peu importe, je trouve ça d’un grotesque sans nom. T’as marqué un but, bravo, mais à partir de quel moment c’est devenu « trendy » ce type de gestuelle à la con et qui n’a que des vibes négatives !? Je comprendrais jamais perso. (J’ajouterais même qu’au delà même de l’aspect négatif de mimer des choses comme une mitraillette, je trouve un peu ridicule la mode d’avoir « sa » célébration. Je préférerais toujours un mec qui exulte, comme il le sent sur le moment. Les émotions pures quoi, plutôt que des choses préparées).

Ce type n'est pas un cadeau, il a le QI d'une moule, et encore. Déjà en Belgique il faisait parler de lui en ayant un comportement déplorable. Non merci.

Pour résumer: - Beber49 ne supporte pas Frankowski, - RCL14920 ne supporte pas Sotoca, - Pouic Pouic ne supporte pas Frankowski, Sotoca, N'Zola, Fulgini, Diouf Thomasson. - Enfin, une partie des forumeurs aime bien se moquer de Fulgini. On peut donc revenir sur le sujet du match à Paris 🙂.

Si les mecs de la DTA montrent comment faire un tacle les bras collés au corps, je retire tout ce que j'ai dit ! (et je me marre, ça doit être rigolo à voir) De toute façon, tant que la DTA protégera sa corporation contre vents et marées plutôt que de reconnaître ses tords et celles de ses arbitres (je ne vois pas pourquoi Thomasson mentirait quand il explique que le topo arbitral du début de saison reprécisait cette règle du contact avec une partie du corps avant la main rendait celle-ci non sanctionnable), on n'avancera pas. Pour eux, tout va bien dans le meilleur des mondes. Pour le reste des acteurs, les prestations arbitrales catastrophiques s'enchaînent.

A en lire certains, la moitié de l'équipe est composée de joueurs de niveau ligue 2: pourtant on est 5eme, 7eme l'année dernière, 2eme l'année d'avant... La ligue 1 devrait être renommée ligue 2 😂.

Still disait qu'on ne comptait pas recruter devant malgré la blessure de Satriano mais ça me semble inconcevable aujourd'hui. Cette saison me frustre de plus en plus. Entre les blessures, le manque d'efficacité offensive et l'élimination en C4, c'est sans doute le début de saison le plus pénible à suivre depuis la remontée. Même si la saison dernière avait mal démarré, au moins on avait déjà vécu de belles émotions à ce stade de la saison avec la victoire contre Arsenal. Cette saison, nous n'avons pas encore vraiment vibré à part une mi-temps contre le Pana et une autre contre Brest. On se dit que ça ira mieux quand le groupe sera au complet mais chaque semaine on a un blessé qui en remplace un autre et des suspensions évitables. Au final, c'est peut-être ça qui me manque le plus malgré le classement convenable : les émotions.

Si ! Il sont tous majeurs ! Le seul absent mineur, ça devrait être Kylian Antonio (16 ans)

Perso, je n'ai jamais compris la comparaison Thomasson - Fulgini faite par beaucoup ici. Fulgini n'a jamais été bon à Lens. Alors que Thomasson était très bon sur ses premiers mois. Mauvais la saison dernière. De nouveau bon sur ce début de saison. On ne peut pas les mettre dans le même panier.

D'accord et pas d'accord ! -> L'équipe amorphe et ennui, oui, mais ce n'était pas le cas en début de saison. Je pense que contrairement aux déclarations, le doute s'installe peu à peu à cause du manque d'efficacité. L'équipe a produit du jeu intéressant (au moins sur des premières mi-temps) lors des premiers matchs. La cohésion existait. D'autre part, comme l'an passé, j'ai l'impression que l'élimination en Coupe d'Europe a fait du mal dans les têtes. -> Fin d'un cycle, oui, mais ça, c'est l'histoire de l'humanité ! Plus sérieusement, c'est l'histoire des groupes humains. On est clairement en phase de transition. Economique, humaine et sportive. Personne ne peut dire si le prochain cycle sera bon, moyen, mauvais ou excellent. En tout cas, comme l'a dit quelqu'un il y a quelques jours, la place de Lens, historiquement, est entre la 7è et la 10è place. Avec beaucoup de passages en Ligue 2 (le Lillois nous le font quand même régulièrement remarquer !!!). Des années comme 1976-1977 (2è derrière Nantes, première saison que j'ai suivie en intégralité), 1982-1983 (4è), de 1994 à 2007, avec trois cinquièmes places, une quatrième, une seconde et un titre) ou plus récemment 2022-2023. Et paradoxalement, les années fastes pour le club étaient celles de ma naissance, de 1954 à 1957, avec une troisième place et deux secondes (mais personne ici ne les a connues !!!). Et sur les 50 dernières saisons, on en a passé 12 en Ligue 2, soit un peu plus de 20%. Le cycle actuel, avec une vision élargie, est pour le moment, plutôt bon, donc. Moment de bascule, oui, mais on ne sait pas vraiment dans quel sens. Et je préfère que l'on réduise la voilure financière avec un petit recul des résultats, que de se retrouver dans des situations comme Bordeaux et Lyon. Et je ne parle pas de clubs historiques comme Sochaux, Sedan, Nîmes, Rouen voire VA qui végètent très bas, maintenant. -> Ghisolfi, oui, mais c'est lui qui a voulu partir, attiré par le miroir aux alouettes. D'ailleurs, il est très loin d'avoir réussi à Nice et semble en difficulté à la Roma. Il faut se rappeler qu'il n'était pas seul (Pouille, Haise, Till, c'était une équipe avec des décisions collectives, plus un JO ambitieux). Pas facile de trouver quelqu'un qui ait son flair. D'autre part, étonnamment, il est plus facile de recruter malin en avançant caché, en venant de Ligue 2, en étant un club qui peut réussir mais qui n'est pas encore considéré comme un cador. Je veux dire que si les autres clubs savent qu'on a plus de moyens, ils sont plus gourmands. Sans oublier l'objectif du boss qui est de récupérer ses billes et de baisser la voilure. Dréossi est là d'abord pour cela. Par contre, je ne crois pas du tout à l'objectif Europe de JO ; sa déclaration était pour endormir les supporters. Pour en revenir à Pierre-Fanfan, comme beaucoup d'anciens de tous les clubs, il essaie d'exister encore avec des déclarations qu'il veut péremptoires, sans argumenter. Aucun intérêt pour moi à part cracher dans la soupe. A la limite, s'il avait entraîné plusieurs années des clubs de haut niveau, on pourrait lui accorder un peu de crédit.

Ok

En fait si Thomasson ne suit pas sur le 3ème but, je pense que Lafond la sort. Incroyable, gros coup de chance mais il arrive à anticiper la tête de Pallois.

Ojediran, je suis désolé mais ça devient une évidence … Il apporte plus d’énergie en 15 min que Thomasson en 1 an… (et je suis gentil en ne citant que Thomasson).

Tous les blaireaux qui sont partis à 1-2, je dis masterclass.

Trop de mollet dans l'histoire...

Pourquoi on se tape tous les shériffs chaque weekend ? J'en vois tellement des arbitres plutôt bons sur les autres matchs que je ne vois jamais chez nous.

Leur travail de sape commence néanmoins à fonctionner à mon niveau, mais pas dans le sens imaginé (enfin j'espère). Perso, j'en ai marre de regarder les matchs dans des conditions pas optimales, avec parfois des bugs, et ça a tendance à me lasser. Je n'ai pas pu regarder le derby samedi, et grâce à DAZN, je n'ai pas pu le regarder en replay (ce que j'aurais sans doute fait l'an dernier avec Prime) : merci à eux, ils m'ont évité un visionnage déprimant. Bref, peu à peu, je sens que je me désintéresse. Je regarde le match si les conditions sont réunies, sinon je regarde le score sur mon tel. C'est d'une tristesse infinie mais c'est comme ça.

Medina milieu pour pouvoir mettre Gradit titulaire et ne pas avoir à faire de choix mais du coup, tu te retrouves avec un joueur offensif de moins alors que tu es déjà parmi les pires attaques. Franchement, pas fan.

Pour réorganiser, faut encore les joueurs pour le faire. Offensivement, le mercato a été catastrophique. Rien de plus à ajouter.