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Affichage du contenu avec la meilleure réputation depuis le 10/18/24 dans toutes les zones

  1. FreeBird49

    Mercato hivernal 2024-2025

    Alors si j'en crois mes quelques notions de bosniaque : - "Une rumeur sur vous et des contacts avec le RC Lens, un club français, est sortie récemment sur X. Est ce vrai ? - Effectivement. Mon agent et moi-même avons fait un rdv en visio avec les dirigeants du club français. Il y avait le Directeur Général et le Directeur Sportif. - Et cela s'est bien passé ? - C'est difficile. Ils m'ont demandé si je pouvais jouer gardien de but. J'ai répondu que j'étais ailier offensif. Du coup le vieux Monsieur à moitié chauve s'est énervé contre le jeune espagnol. Puis 3 hommes roux sont apparus sur l'écran en me demandant si je savais cadrer une frappe. J'ai répondu que oui, étant donné que je suis un joueur offensif. Ils se sont mis à pleurer en me suppliant de signer à Lens. - Mais votre club est-il d'accord pour vous laisser partir ? - Ca c'est mon agent qui gère. Mon club a demandé 4 millions d'euros. Mais le vieux Monsieur à moitié chauve a répondu : c'est trop, surtout qu'on doit encore 6 millions à l'autre escroc de Mendes. J'ai pas tout compris.
    31 points
  2. Le message d’adieu de Pouilly « Il est temps pour moi de dire au revoir qui a toujours été bien plus qu’un club… à mon club de coeur, mon club de toujours. Après 15 années passées au RC Lens, les mots sont difficiles à poser. Je suis arrivé ici à 7 ans, le cœur rempli de rêves et les yeux brillants devant ce maillot Sang et Or. Aujourd’hui, à 22 ans, je pars avec des souvenirs gravés à vie, des émotions inoubliables, et surtout une immense fierté d’avoir grandi ici. Tout ce que je suis aujourd’hui, je le dois à ce club. J’y ai appris le travail, le respect, le dépassement de soi. J’y ai signé mon premier contrat professionnel, j’y ai fait mes premiers pas en Ligue 1, j’y ai connu des moments de bonheur que seul le football peut offrir. Je n’oublierais jamais mon premier match au stade Bollaert, ni les frissons en entendant le public chanter. C’était bien plus qu’un rêve d’enfant. C’était la récompense de toutes ces années de passion, de sacrifices et d’amour pour ce maillot. Je tiens à remercier profondément tous ceux qui ont contribué à mon parcours : les éducateurs, les entraîneurs, les coéquipiers, les membres du staff, les dirigeants, les supporters… Merci pour votre confiance, votre exigence, votre bienveillance. Vous m’avez aidé à grandir, non seulement comme joueur, mais surtout comme homme. À tous les jeunes du centre de formation : travaillez fort, restez humbles, et n’oubliez jamais pourquoi vous avez commencé. Vous êtes dans un club unique, une vraie famille. Respectez-la, aimez-la, honorez-la. Le RC Lens, ce n’est pas seulement l’endroit où j’ai grandi. C’est mon club de toujours, mon club de cœur. Celui qui m’a fait rêver petit, qui m’a donné mes premières chances, et où, je l’espère de tout cœur, je pourrai revenir un jour. Merci pour tout. À bientôt ❤️💛 »
    24 points
  3. Hello a tous Quelques infos glandes aujourd'hui Match amical le 2 août avec as Roma et le 9 avec rb liepzig, les 2 a bollaert Refonte de la formation pour sortir plus de jeunes pour l’equipe A Sont déjà prévus comme titulaires l’année prochaine RLL et Antonio Fac ne s’est pas encore décidé, c’est du 50 50 et de ses propres dires îl se sent bien a Lens. Et Will compte sur lui Pareil pour Neil qui réfléchit encore Objectif clair, faire de Lens un club ambitieux et qui aura les moyens de faire le jeu dans les 8 premiers D’ailleurs Dréossi nous a précisé que malgré cette saison de transition que nous avons vécu et qui devait avoir lieu, si on bat Monaco, on finira avec 1 point de plus que l’année dernière, pas si dégueulasse Will et son staff ont pleine confiance et sont logiquement reconduit Voilà quelques news choppées ce soir a la Gaillette 😉
    24 points
  4. Je pense que ça en dit long. Ça sera le numéro 3 dans la hiérarchie. Excellente nouvelle vu sa prépa.
    23 points
  5. karldu91

    Lens - Brest / J3 / 29-08-25

    Putain, les mecs, je viens de faire une découverte, qui va changer la face du football: - quand tu mets un piston gauche, piston gauche - Un DC axe avec le profil axe, qui dépasse le mètre 75… dans l’axe - un piston droit qui est réellement un piston, à droite - que tu fais jouer un MO très prometteur et plus doué techniquement que tous les joueurs offensifs que tu as, a son poste, en MO plutôt que piston gauche Et bien c’est fou, vous allez pas me croire, mais ça marche mieux en fait. Qui aurait cru que mettre les joueurs à leurs postes, et les meilleurs même sur le terrain, ça allait améliorer ton jeu !!? Dingue comme découverte 😅
    20 points
  6. Je suis relativement satisfait de ce mercato. Dans le négatif, je dirai que le dégraissage est un peu temporaire, et qu'on a pas pu réellement se délester de tous les indésirables de manière définitive. J'ai néanmoins conscience de la difficulté de la tâche. Aussi, j'ai quand même l'impression que des transferts ont eu lieu "a défaut de mieux" et sur le tard. On voit que ce sont des recrues "sans risque", peut être par manque de datas. Je pense que Leca a préféré ça pour assurer le coup et je peux le comprendre. Je me dis qu'il n'y aura pas dans ce secteur une énorme surprise. Au mieux des gars qui feront le taf. En espérant qu'on ne créé pas une nouvelle liste d'indésirables.. Défensivement, les dégâts ont été un peu limité mais on est clairement en dessous de ce qu'on a pu faire les saisons précédentes. Heureusement, l'opportunité Abdelhamid s'est présentée pour embellir un peu le tableau (d'ailleurs, pas sûr que ce poste faisait partie des priorités a min grand regret, donc je suis content qu'on ait eu cette discussion avec la Roma pour profiter de cette opportunité). Je pense que Leca a manqué un peu de temps et de solutions de rechanges dans son catalogue , du fait de son intronisation récente. C'est son premier vrai mercato et je pense que c'était chaud. Le fait d'avoir bouclé le mercato offensif à la toute fin qui comble pas totalement les lacunes techniques connues précédemment, l'épisode Guilavogui un peu précipité, montrent un peu que ça a balbutié un peu, et que c'était un marché compliqué, avec un énorme taf a accomplir. Justement, dans le positif : le boulot était titanesque. Ce qu'on voulait surtout, c'était un vrai renouvellement cette saison, surtout devant. Il a eu lieu. A court terme, on va avoir seulement 3 joueurs du début de saison dernière dans le 11. Voir zero en fin de saison. On pourra ensuite juger l'impact réel de ce renouvellement, mais offensivement, on a quand même réussi à tout modifier, en totalité. J'ai du mal à imaginer comment les recrues pourrait faire pire que Zaroury Fulgini et Sotoca, donc si je suis pas comme un dingue sur les profils qui ont été ramenés, je me dis que ça doit faire passer un pallier malgré tout. C'est impossible que ce soit pire. Autre gros point positif qui pour moi embelli le mercato : la place accordée aux jeunes dans le groupe (et bientôt dans le 11?) Et elle est salutaire, car sans cela, le mercato lensois aurait ete presque impossible et le tableau aurait été peut être un peu plus mitigé. Donc bravo d'avoir maintenu cette volonté de ne pas leur barrer la route (je ne pense pas qu'un Dreossi l'aurait fait par exemple) A mon avis, c'est le meilleur choix de cet été. Et ça aurait ete moins courageux de ne pas maintenir ce cap. Ce mercato était en tout cas d'une longueur infinie. Place au foot maintenant, et vu que l'effectif a été en très grande partie renouvelé, c'est forcément plutôt excitant pour la suite.
    18 points
  7. Ruka-2

    Mercato hivernal 2024-2025

    mdr Arnaud Pouille
    18 points
  8. Ça donne quoi une dispute entre freebird49 et eagle ... Un conflit de canard
    17 points
  9. West'ier

    Lyon - Lens / J32 / 04-05-25

    "Oh l'encul..."
    17 points
  10. tibocm1

    Mercato hivernal 2024-2025

    Certains voient en Butez un supporter lillois, moi j’y vois un joueur qui a envie de venir à Lens, tandis que Samba, malheureusement, n’a plus cette envie. Fin du débat.
    17 points
  11. 3 hommes arrivent à la maternité un lensois, blond, un peu polonais un lillois, blond, bien flamand et un zaïrois, pas blond ils sont tous les trois excités car ils viennent d'apprendre qu'ils sont papa pour la première fois et ils doivent rencontrer leur fils. en arrivant dans les couloirs de la maternité, ils sont accueillis par une infirmière complètement affolée "messieurs, je suis désolée, on a eu beaucoup de naissances cette nuit et oh lala , comment dire je suis désolée, mais voilà on a mélangé tous les bébés. On a réussi a remettre tous les bracelets, sauf ceux de vos 3 garçons." bon, dans la vraie vie, on fait un test adn et voilà mais comme là, on est dans une blague on décide de faire un tirage au sort pour savoir qui va choisir son fils en premier, et qui en second, etc ... et le hasard veut que ce soit le lensois qui décide en premier. le lensois rentre donc dans le dortoir et ressort avec un enfant noir. Le Zaïrois l'interpelle et lui dit :"Euh, sauf votre respect, euh, je crois que vous avez commis une erreur et que vous avez choisi mon fils" et le lensois lui répond. Oui je sais, mais dans les deux autres, j'avais une chance sur deux d'embarquer un caniche alors j'ai préféré jouer la sécurité.
    16 points
  12. Vous venez de boucler votre premier mercato en tant que directeur sportif, comment avez-vous pris la mesure de vos nouvelles fonctions ? « Je suis directeur sportif du Racing Club de Lens, et sportif c’est pas que le professionnel, c’est le sportif du Racing-club de Lens. La première des choses, qui était primordiale, c’était la sortie à gérer de Will Still et de ses adjoints qui étaient ses frères. Et une fois qu’on a fait ça, il fallait constituer le staff avec le coach. Il a fallu trouver des préparateurs physiques, des kinés, trouver un analyste vidéo. Avant le premier recrutement, il s’est passé un mois. Pendant un mois, c’est là qu’on a mis en place les fondations du projet, avec la formation, la recherche d’un nouveau directeur du centre (David Ducourtioux), avec de nouveaux éducateurs. L’objectif à terme, c’est d’avoir minimum, 3 ou 4 jeunes et au maximum entre 7 et 8 dans le groupe professionnel. Après, une fois que les staffs étaient constitués, et que tout nous semblait cohérent, et dans la stabilité du projet qu’on voulait mettre en place, on a commencé à s’atteler à l’équipe première, avec Pierre (Sage), Ben (Parrot), et Victor (Linglart), en suivant notre vision et notre stratégie. » « La satisfaction, tu la fais venir » Est-ce que vous êtes satisfait du mercato ? « Ce dont je suis le plus fier, c’est qu’on a donné le maximum avec l’équipe. On n’aurait pas pu donner plus. Ce serait prétentieux de dire que je suis satisfait. Tu ne sais jamais en fait. Je serai satisfait quand l’équipe gagnera, et quand le projet prendra forme. Parce qu’en fait on ne sait pas, on pense que ce qu’on dessine, les contours, la stratégie, on pense qu’elle est bonne, sinon on ne le fait pas. Mais la satisfaction, tu la fais venir. » On a l’impression que la relation avec Benjamin Parrot a été assez incroyable sur ce mercato… « On peut tout se dire et tout entendre. Il y a eu des discussions avant cette prise de fonctions qui sont bien plus profondes que du football. Et ça n’a fait que renforcer de travailler ensemble, main dans la main, et d’être sur le même bateau. » Comment définiriez-vous votre poste ? « Je suis au milieu de l’équation entre l’administratif et l’équipe première, et la formation où on doit tout mettre en œuvre pour que sportivement, toutes les strates sportives soient contentes, qu’elles soient professionnelles. Et ça, c’est un peu mon rôle, que notre identité club, ce qu’on dégage, c’est-à-dire un club très humain, très proche les uns des autres, que ce soit l’administratif ou le sportif, continue à vivre et continue à se bagarrer ensemble comme on l’a toujours fait. » Est-ce que quelqu’un comme Florent Ghisolfi, a pu vous inspirer ou vous conseiller ? « Bien sûr. De toute façon, avec Florent on a échangé en tant que joueur et directeur sportif, quand j’étais joueur, en tant qu’ami quand il est parti, et en tant que, de nouveau, DS aujourd’hui. Comme collègue. Bien entendu, quand j’ai eu des moments où il y avait des situations, je n’ai pas eu honte de me tourner vers ceux qui avaient de l’expérience, comme François Modesto (directeur technique Juventus Turin), Florent Ghisolfi (directeur du foot, Sunderland), Greg Lorenzi (directeur sportif Stade Brestois). Je sais qu’aujourd’hui je dois me construire, il y a des situations qui arrivent, il y a des relations avec énormément de personnes dans ce milieu où tu prends des renseignements sur des agents, des joueurs, sur l’entourage des joueurs, sur toutes ces choses-là, et les conseils ont été précieux. » Vous aviez une mission, une feuille de route, comment avez-vous procédé ? « On a essayé d’être méthodique et cohérent. Pour baisser la masse salariale, il fallait baisser le nombre de joueurs. Et il y avait aussi une volonté du coach de travailler avec un certain nombre de joueurs et ne pas avoir un groupe élargi. La feuille de route est respectée au niveau de la masse salariale, les ventes, oui et pour le groupe que souhaitait le coach, on n’y est pas totalement, mais on s’y est quand même fortement rapproché. On souhaitait 22 plus trois gardiens, on est à 24 +3. Ça ne veut pas dire qu’il y a deux joueurs à sortir en plus. Ça veut dire qu’il y a eu aussi des jeunes que le coach ne connaissait pas. Ces mecs-là, quand ils ont joué, le coach a été surpris de leur qualité et aujourd’hui, ces gamins-là existent dans le groupe. Ça faisait partie aussi des objectifs du président, que notre formation soit au cœur du projet. Aujourd’hui, c’est peut-être la première année où on a dans le groupe autant de jeunes. » Vous avez presque travaillé poste par poste dans le recrutement, quelle était la logique ? « Pour nous, c’était très important de construire l’effectif rapidement et de le construire vraiment très bien et être équilibré. Ce qui était prioritaire, c’était les gardiens, on n’en avait plus. Et après, il a fallu travailler les centraux parce que c’était là où on pêchait énormément. Alors que devant, on avait énormément de joueurs. Ça ne servait à rien de mettre de l’énergie dans un attaquant. Et après, tout doucement, on savait que nos objectifs de vente allaient passer par nos objectifs. Et nos personnes fortes dans la vente, c’était Facundo (Medina) qui s’est assez fait rapidement au mois de juillet (Marseille, prêt payant 2 M€ et option d’achat de 18 M€). On savait que Neil (El Aynaoui, Roma, 23,5 millions d’euros) ou Andy (Diouf, Inter Milan, 25 millions d’euros), on allait être attaqués. Donc on était prêts. On avait essayé d’anticiper. On a acheté le petit Mamadou Sangaré (Vienne, 5 millions d’euros) avant de vendre Andy parce qu’on savait que ça allait se faire. Et puis tout doucement, on a fait les centraux, les milieux. Et ensuite, on s’est positionnés offensivement, on devait s’améliorer par rapport aux saisons passées. » « Guilavogui, pour le remplacer, c’est 8-10 millions d’euros» Comment comprendre le fait d’avoir activé la clause de rachat de Morgan Guilavogui et finalement d’être tout proche de le vendre à Southampton ? « Morgan est un garçon extraordinaire, qui est respectueux, qui a nos valeurs, qui est un travailleur, qui a une éducation extraordinaire. Le laisser partir (à Sankt Pauli) pour le montant qui était fixé (4 millions d’euros), c’était hors de question. S’il ne revenait pas, on allait chercher un offensif et pour 4 millions d’euros, on n’aurait pas eu des opportunités pour le remplacer rapidement. Un mec qui a joué l’année dernière en Allemagne, qui a fait 6 buts et 5 ou 6 passes décisives, on ne l’aurait jamais eu pour moins de 5 millions d’euros. En Bundesliga, ça vaut de suite 8 ou 10 millions. On avait une option de contre-levée qui ne nous coûtait pas grand-chose, et on l’a gardé. Et puis après, il arrive des offres qui sont irrefusables parce qu’il y a un truc économique, comme pour Frankowski l’an passé, ce sont des choses qui sont hors-marché. L’offre de Morgan, qui n’en était pas réellement une, ça ne s’est pas fait. » Le recrutement est une chose mais il y avait aussi l’allégement de la masse salariale. Trouver des portes de sorties, ce n’est pas simple non plus… « Ce n’est jamais facile. Avec les problématiques du football français aujourd’hui, ces salaires-là ne se pratiquent peut-être que dans deux ou trois clubs. Donc, ça a été problématique. Il a fallu être très clair avec ceux qui s’interrogeaient. J’ai vu l’année dernière, quand les situations ne sont pas claires, quand on garde du monde, le coach n’était pas content parce qu’il ne pouvait pas travailler réellement ce qu’il voulait travailler parce qu’il avait 30 joueurs à l’entraînement. Quand tu fais un jeu 10 contre 10 et qu’il y a 30 joueurs, il y en a toujours 8 qui restent sur le carreau. Ils ne sont pas contents. C’est problématique pour tout le monde. J’ai été franc et j’ai dit à tout le monde comment je voyais la situation. Sur le coup, ça ne leur a pas plu. Mais après coup, les joueurs partis, s’ils sont dans leur club, c’est qu’ils sont heureux d’être partis. Il a fallu activer beaucoup de contacts pour pouvoir les faire sortir, des agents et des directeurs sportifs pour travailler les dossiers et essayer que tout le monde y trouve son compte. » Le dossier du numéro 9 a vraiment été très compliqué ? « Odsonne (Edouard) était dans notre liste, mais en début de mercato, le prix demandé ne nous semblait pas cohérent. Et puis, quand le dossier Sinayoko s’est éteint, il a fallu être stratégique pour attaquer au bon moment et ne pas surpayer le dossier Edouard. Et puis après, on a eu la chance aussi que ça se soit fait assez rapidement parce qu’on était aussi pressés par le temps. » VDS
    16 points
  13. Comme un bonheur n'arrive jamais seul...
    16 points
  14. hunter001

    Mercato hivernal 2024-2025

    Ai confiance en ton club, rennes est au fond du trou et ils font n'imps. ils reprennent nos tauliers comme dit car c'est eux qui ont fait grandir notre club, mais rien ne dit que ca va a nouveau fonctionner, nous avons eu une année de folie, avec un groupe construit sur 3-4 ans, une montée en puissance d'un système ou il fallait de l'abnégation, du courage, des qualités humaines. Les joueurs en plus n'étaient pas pourri par l'argent, il venait de presque nul part et ils avaient une revanche a prendre, prouver aux autres qu'ils valaient le coup. aujourd'hui je ne suis pas sur que les joueurs de l'époque soient les même, tu prends Sotoca, il ne sera plus jamais au niveau d'il y a 2 ans, idem pour gradit, fofana. donc eux prennent des anciennes valeur alors que nous on se renouvelle, pour moi c'est nous qui faisons ca bien. Perso, je trouve qu'on a un bol monstre, quand tu vois toutes les galères que l'on rencontre avec les non vente, les blessures, les joueurs qui sont a leur prime partout sauf sur un terrain de foot. nous sommes 7eme ! tellement le reste c'est faible, donc on va se maintenir aisément, peut-être même avoir une chance de décrocher l'europe, tout ca avec un effectif en reconstruction complète. là ou plein d'équipe auraient risqué leur place en L1. bref, ayons confiance, perso j'y crois !!!
    16 points
  15. karldu91

    Mercato hivernal 2024-2025

    Comm a chier pour le coup. Mesquine même envers Koffi. Que fait Sarr sur le terrain du coup? Les stats de ses titularisations sont les mêmes… même pire avec le Pana
    16 points
  16. Thomas

    Mercato hivernal 2024-2025

    Apparemment, le RC Lens serait sur un ailier gauche nigérian de 19 ans très prometteur : Abahnon Yapassinié. Il évolue dans le club hongrois du Panhan Voyelledok et devrait signer très vite.
    16 points
  17. EXCL #RCLENS 🔴🟡 ❗Il pourrait y avoir encore des recrues et des départs d'ici la fin du mercato 🔐 Il reste un délai de 4️⃣ jours pour conclure tout cela 🔥 Caliente - 🛎️ Ding Dong w @tibocm1
    15 points
  18. Sérieux, ça devient fatiguant ici. Laissez Sage travailler et attendez de voir Synayoko, son positionnement et son jeu pour en discuter avant de psychoter inutilement. On a tout l'effectif pour finir dans les 9 premiers et si les recrues donnent plus que satisfaction, par exemple Risser, on pourrait même envisager mieux.
    15 points
  19. Le topic de la saison dernière étant fermé, je me permets de mettre ici cet article fort intéressant (quand c'est bien il faut le dire) de la Voix du Nord : Will Still, les dessous d’une saison très éprouvante en Artois Le samedi 16 aout, à 17 heures face à Lyon, le RC Lens lancera vers sa saison de L1. Avec Pierre Sage sur le banc. L’occasion de se retourner une dernière fois sur l’exercice 2024-2025 de son prédécesseur, Will Still. Retour sur une saison pénible pour le technicien belge. Le 10 juin 2024, Will Still signe au RC Lens, un club encore sonné par le départ de Franck Haise à Nice. L’entraîneur belge a dit oui au Racing, même si son envie d’entraîner dans un autre championnat français le titille depuis toujours. Il le sait : prendre la suite de Haise ne sera pas simple. Son entourage le dira longtemps tiraillé par les récurrentes comparaisons entre la manière dont a évolué l’équipe lensoise de 2020 à 2024 et la « touche Still » qu’il essaie d’imposer. Il faudra la victoire à Reims (0-2), sur la pelouse de son ancien club, fin novembre, pour qu’il s’affranchisse enfin du poids du passé : son 4-4-2 victorieux aligné en Champagne tranche avec le système « haisien ». Les dirigeants lensois ont été mis au courant, dès le début de l’automne, de l’état de santé d’Emma Saunders, la compagne de Will Still, atteinte d’un cancer de la thyroïde. Une situation personnelle qui l’oblige à se rendre très régulièrement en Angleterre. Le board lensois est au soutien de son entraîneur et gère la situation avec beaucoup de discrétion. Le coach essaie de ne rien laisser transparaître de ce contexte émotionnellement lourd. Il séduit humainement de nombreux salariés de La Gaillette - Gervais Martel. On le dit « très agréable » et « sympa ». Ses premiers mois à Lens sont marqués par une élimination en Ligue Europa Conférence face au Panathinaïkos mais Still n’enregistre sa première défaite en championnat qu’à la 9e journée, dans le derby lâché dans le temps additionnel face au LOSC (0-2). En dépit de ce départ très correct sur le plan comptable, des divergences vont peu à peu émerger entre les néo-arrivants et des membres de l’ancien staff de Franck Haise. Will Still est notamment très à l’écoute de son grand frère Edward, laissant parfois l’impression à d’autres membres du staff de ne fonctionner qu’en cercle très fermé. Des désaccords entre Edward Still et Benoit Delaval, responsable de la performance, existent notamment et « une tension latente, sans aucun clash » s’installe au sein du staff selon un témoin. En privé, certains joueurs présents dans l’effectif depuis quelques saisons s’étonnent également du changement de méthode de préparation. Très proche de Jean-Louis Leca, alors coordinateur sportif, Will Still trouve également une écoute très attentive auprès de Pierre Dréossi, le directeur général. En revanche, les relations entre le coach et Diego Lopez, le directeur sportif, sont bien plus frisquettes. Et Nzola piqua la place de parking de Will Still… La saison va être marquée par les frasques régulières de M’bala Nzola, notamment tancé par son entraîneur après une victoire à Saint-Étienne (0-2) pour n’avoir pas choisi les crampons les plus adéquats (0-2). Un matin d’hiver, Will Still arrive à La Gaillette – Gervais Martel après un Nzola pourtant qualifié de « recordman du monde des retards » en interne. L’attaquant prêté par la Fiorentina se gare délibérément sur la place de parking de Still. Une simple blague ou une provocation ? Les avis divergent. Still ne donne pas forcément l’impression à tous les témoins d’apprécier la farce. Il le signifie à son auteur devant le reste du groupe et insiste pour que ça n’arrive plus. Nzola pointe alors… le propre retard de son entraîneur. Certains témoins se disent interloqués par cet échange, le vivant comme un manque d’autorité de la part du technicien belge. Ce dernier assure en revanche que cette passe d’armes n’en était pas vraiment une. « Cet épisode n’était qu’une tempête dans un verre d’eau, assure-t-il. “Nzo” s’est garé sur ma place, c’est vrai, mais j’en ai rigolé avec lui. Je n’avais pas de problème avec lui. Nzola n’était pas un casse-couilles. Il était juste dans son monde. Il a eu des sanctions disciplinaires et financières mais ce n’était pas une mauvaise personne. Cette histoire avec ma place de parking est vraiment insignifiante. » Si tout n’est donc pas parfait, si des incompréhensions surgissent parfois, et alors que des cadres comme Florian Sotoca et Jonathan Gradit ont vu leur statut sportif vaciller, le groupe avance. À la mi-décembre, le bilan est positif en L1 : avec 6 victoires, 6 nuls, 3 défaites, le Lens de Still légitime sa présence dans le top 7, en route pour l’objectif envisagé, celui de se qualifier pour l’Europe. Mais la fin d’année 2024 et – surtout – le début d’année 2025 va creuser la tombe des ambitions européennes artésiennes. Le mercato hivernal est vécu comme une saignée par l’environnement sang et or : Brice Samba, Kevin Danso et Abdukodir Khusanov quittent l’Artois. Déjà confronté à des problématiques semblables à Reims, où il avait notamment perdu Azor Matusiwa en janvier 2024, Will Still revoit le film se jouer et accuse le coup. La goutte d’eau est versée début février lorsque Przemyslaw Frankowski est transféré à Galatasaray. Deux jours avant le départ du Polonais en Turquie, l’entraîneur lensois avait pourtant assuré en conférence de presse, après une défaite très inquiétante à Nice (2-0), qu’il ne partirait pas. C’est un vrai moment de bascule pour le technicien belge, qui n’est pas non plus forcément convaincu par toutes les recrues débarquant en janvier (Bah, Agbonifo, Celik, Ryan, Koyalipou). Sa confiance envers Diego Lopez – déjà mesurée – paraît encore s’étioler. D’autant que la rumeur court que l’Espagnol aurait sondé d’autres entraîneurs en vue de la saison 2025-2026. Entre début février et début mars, le Racing enchaîne quatre défaites consécutives. Après une après-midi très compliquée à Nantes (3-1), il s’épanche, ciblant les choix du mercato : « C’est compliqué, mais vous pouvez mettre (le coach) que vous voulez, ce sera compliqué. Je ne dirais pas que tout a changé, mais une grosse partie des choses ont changé. Tout le monde est assez mature et assez grand pour constater ce qu’il s’est passé. » Le Racing a notamment été plombé par l’expulsion incompréhensible de M’bala Nzola lançant le ballon en direction de l’arbitre. Après le match, dans les coursives de La Beaujoire, la tension est partout. Facundo Medina, énervé par la prestation de son équipe, refuse poliment de s’arrêter pour répondre à la presse. Sa réaction dit tout de l’exaspération gagnant peu à peu le groupe : « Si je parle, je fracasse tout le monde ». L’Argentin aurait pu partir à l’OM dès janvier mais veut aller au bout de sa saison. Comme certains de ses équipiers et leur coach, il est touché par les départs hivernaux. Souffrant d’une encéphalite, Emma Saunders est hospitalisée fin février, et placée dans le coma. La semaine de la réception du Havre (3-4), Will Still doit s’absenter en février, dans le plus grand secret. La solidarité du staff et du groupe lensois autour du coach est prégnante. Le mardi 4 mars, une réunion entre le club et les responsables des associations de supporters est organisée à La Gaillette - Gervais Martel. Elle était prévue de longue date mais la défaite face aux Normands a fait monter la tension : une partie du public lensois a réclamé les démissions de Pierre Dréossi et Diego Lopez. Au cours de la réunion, Will Still, très critique sur les rumeurs qui peuvent se répandre sur les réseaux sociaux, anticipe l’éventuelle question de son absence la semaine précédente pour les entraînements. Un trémolo dans la voix, il glisse en substance : « Si je n’étais pas là, ce n’est pas parce que je cherchais un club ailleurs ou quoi que ce soit. C’est parce que ma femme était dans le coma.» Le 8 mars, Emma Saunders publie sur les réseaux sociaux un message dévoilant ses problèmes de santé. Une publication qui permet à l’environnement du club de mieux comprendre ce que vit son entraîneur depuis de longues semaines. La victoire arrachée au Vélodrome, le soir même du message d’Emma Saunders, est chargée d’émotions (0-1). Une annonce deux jours avant le dernier match Inéluctablement, pourtant, le rêve européen s’envole. L’écart se creuse avec les sept premiers du championnat. Lens fonce vers une huitième place pas infamante mais très frustrante. Will Still se pose des questions quant à son avenir. Le matin du jeudi 15 mai, Will Still convoque une réunion dans son bureau, conviant notamment Diego Lopez, Pierre Dréossi et Jean-Louis Leca. « J’arrête car on a perdu trop de joueurs », glisse-t-il en substance. Il évoque également sa situation familiale. L’entraîneur prend le Racing de court. Une solution se présente rapidement : Edward Still se porte candidat et affiche son envie de reprendre l’équipe. Il expose même son projet aux dirigeants. La journée du vendredi voit notamment Pierre Dréossi tenter de faire revenir le technicien belge sur sa décision, sans réussir à l’infléchir. Joseph Oughourlian débarque à Lens pour le week-end et a évidemment été mis au fait de la situation. Le boss du Racing, fort de son expérience dans le monde des affaires mais aussi dans celui du foot, tient lui une position claire : il faut avoir auprès de soi des collaborateurs totalement investis, et ne jamais trop insister pour en garder un qui émet l’envie de quitter l’aventure. Des cadres s’opposent à la reprise de l’équipe par Edward Still Le samedi 17 mai, Lens reçoit Monaco. Le Racing offre un feu d’artifice offensif (4-0) permettant à Facundo Medina de partir de l’Artois sur une victoire. Si aucun plan de communication n’a été véritablement dessiné pour annoncer le départ de Will Still, une règle est édictée : les joueurs doivent être les premiers au courant. Dans le vestiaire, après le match, le coach leur annonce sa décision et les salue ensuite un par un. Si Edward Still imagine alors pouvoir prendre la suite de son frère cadet, sa candidature va vite tomber à l’eau. Trois joueurs, parmi les cadres de l’équipe, n’attendent pas la fin de soirée pour approcher les dirigeants et leur signifier leur ferme opposition à l’idée de voir promu celui qui a souvent mené les séances d’entraînements au cours de la saison. Peu après minuit, Will Still répond à une question de La Voix des Sports et lâche la nouvelle : « Je ne serai pas entraîneur de Lens l’an prochain. Il y a de multiples raisons, mais la raison principale c’est le fait que j’ai besoin de rentrer chez moi ; tout le monde est bien conscient de ce qui s’est passé dans ma vie à moi, c’est pour ça. » Will Still, qui vient de faire mieux en terme de points que Franck Haise sur la saison précédente (52 points contre 51), évite d’égratigner les choix sportifs du milieu de saison qui ont aussi mûri sa réflexion. Diego Lopez, qui en privé appréhendait que le coach ne l’éclabousse par ses déclarations, est épargné. Lens a tenté de rattraper Delaval par la manche Les dissensions dans le staff ont déjà provoqué des bouleversements. Le responsable de la performance est dispensé d’activité depuis la fin du mois d’avril. Il est présent à Bollaert-Delelis pour cette dernière rencontre face à Monaco. Le départ de Will Still change la donne et les dirigeants lensois sondent la possibilité de rattraper Benoit Delaval par la manche. Mais ce dernier a déjà paraphé son contrat avec l’OGC Nice. Edward et Nicolas Still, qui sont en CDD, apprennent qu’ils ne seront pas ceux qui prendront la relève. Les dirigeants lensois ont conscience qu’il sera extrêmement compliqué de faire admettre leur présence dans le staff à un coach venu de l’extérieur. L’idée du Racing est de parvenir à un accord financier parvenant à limiter la casse. Ils feront mieux : c’est Southampton, qui vient d’engager Will Still en tant que coach, qui va régler une note correspondant à la somme permettant de libérer Edward et Nicolas (1,4 million d’euros). Le 22 mai, moins d’une semaine après le départ de l’entraîneur belge, Joseph Oughourlian bouscule l’organigramme du club : Jean-Louis Leca remplace Diego Lopez au poste de directeur sportif tandis que Benjamin Parrot, qui vient de boucler le rachat du stade Bollaert-Delelis par le Racing, devient directeur général. Une nouvelle ère s’ouvre pour le club sang et or. Le 2 juin, Pierre Sage est nommé en tant qu’entraîneur principal. Le 18 juillet, pour La Voix du Nord, Will Still livre son ressenti en marge d’un Southampton – Valenciennes en match de préparation : « Il y a eu beaucoup de choses dites de la part de beaucoup de personnes et qui ne sont pas toujours très justes. J’ai quitté Lens pour des raisons personnelles et aussi professionnelles. J’ai fait le travail qu’on attendait de moi dans des conditions particulières et parfois compliquées sur un plan personnel. J’ai retrouvé un club dans la semaine qui a suivi même si on préfère croire que j’avais trouvé ce poste bien avant de partir de Lens. » Avant de conclure : « Je n’étais pas malheureux à Lens mais c’était difficile pour des raisons que j’ai déjà exprimées. Terminer huitième avec Lens après tout ce qui s’est passé pendant la saison, c’est assez admirable. Je suis très content de mon passage en France et des gens que j’ai rencontrés. »
    15 points
  20. enti social, tu perds (encore) ton sang froid...
    15 points
  21. Regarde, ils viennent d'apprendre qu'ils seront titulaires en J1
    15 points
  22. Cette semaine, face à l’Arménie (2-2), le néo-Lensois Andrija Bulatovic (18 ans) a fêté sa première sélection avec l’équipe nationale du Monténégro en inscrivant son premier but en sélection. Anto Drobnjak, autre Monténégrin à avoir porté le maillot sang et or livre son avis sur celui qu’il présente comme une pépite. Lundi, Andrija Bulatovic a inscrit un but de renard, profitant d’une percée d’un équipier pour glisser au fond des filets un ballon qui traînait. Cette première réalisation en équipe nationale aurait très bien pu être signée Anto Drobnjak, légende du RC Lens champion de France 1998. Le buteur monténégrin, qui a tellement fait mal aux défenses du championnat de France dans les années 1990, notamment avec Bastia, se montrait très opportuniste dans ce type de situation. « Ne vous inquiétez pas, Andrija peut mettre aussi des beaux buts » se marre-t-il avec humilité, comme si lui n’avait marqué que des buts de raccroc, ce qui est très loin d’être le cas. À 56 ans, il ne se montre pas surpris par les bonnes prestations d’Andrija Bulatovic, 18 ans et joueur acheté par le RC Lens cet hiver. Et pour cause : c’est lui qui a conseillé au milieu de terrain de signer à Lens, alors que l’Étoile rouge de Belgrade était sur les rangs. C’est aussi lui qui avait alerté le Racing sur le potentiel du très jeune joueur. « Andrija, même quand il avait 14 ans, évoluait avec des joueurs plus âgés que lui, explique celui qui a quand même planté 70 buts en 152 matchs de D1 entre 1994 et 1998. Il a une excellente attitude dans tout ce qu’il fait. C’est un joueur à gros potentiel, avec une vraie capacité à récupérer les ballons, à être très bon dans la première passe et qui sait se projeter pour venir mettre des buts. Je me suis donc permis de contacter le RC Lens. » Si l’ancien attaquant lensois connaît aussi bien Andrija Bulatovic, c’est aussi parce qu’il entretient un lien familial avec le nouveau joueur du Racing. « Ma mère et sa grand-mère sont sœurs, sourit Anto Drobnjak, qui a ses diplômes d’entraîneurs et cherche un projet intéressant après avoir notamment été coach adjoint de l’équipe nationale du Monténégro. J’ai vu Andrija se développer depuis tout petit. C’est aussi parce que je le connais bien que je lui ai conseillé de signer à Lens, un club familial, avec des supporters magnifiques et surtout très gentils. » Tactiquement, selon Anto Drobjnak, la polyvalence d’Andrija Bulatovic lui ouvre de nombreuses possibilités sur le plan tactique : « Il peut jouer milieu devant la défense, milieu axial ou milieu offensif. » Après avoir signé à Lens cet hiver, le néo-International monténégrin a été prêté à son club d’origine : le Buducnost Podgorica, champion 2025. « Le petit a préféré rester au Monténégro encore pendant quatre ou cinq mois, reprend l’ancien buteur. Il en a profité pour apprendre un peu le français, a passé son permis de conduire aussi. Il est désormais prêt. » Et si Andrija Bulatovic cherchait à avoir un autre avis d’expert, il se pencherait assurément vers Oleg, son propre père, qui a lui aussi évolué au plus haut niveau dans son pays et est également entraîneur. VDN
    15 points
  23. Petit aparté de modo J'ai viré l'Adam Buska qui fout des cartons rouges et des pouces rouges à tout va. Il est plus qu'évident qu'il s'agisse de ce parasite d' Hafiz (Pour les plus jeune du forum… c'est un ancien forumeurs qui était une nuisance pour tous. 😅 Bah en faite c'est la définition de parasite) On y reconnaît sa patte et ses avis tranchés et souvent ridicules
    15 points
  24. Après la session d'écrit fin octobre et d'oral ce mercredi à Chauny, je suis admis à l'examen professionnel de Rédacteur Principal Territorial de 2ème Classe ! Content que les efforts et révisions des dernières semaines aient porté leurs fruits ! 😉
    15 points
  25. 15 points
  26. bruno62210

    Mercato hivernal 2024-2025

    Quel capharnaüm!!! L'embellie des saisons passées n'était que l'arbre qui cache une sombre forêt. Je poste peu, mais je vous lis tous les jours. Depuis 1991 et mon premier match à Lens (un Lens-Lille perdu 4 à 1 en coupe de la ligue -la vieille, où l'on affrontait à l'époque les équipes régionales-), je ne me souviens pas avoir ressenti ce sentiment de négativité. On a eu nos années ligue 2 depuis, les années Land of fire, les IBAN qui étaient faux, l'argent bloqué sur les comptes d'une obscure société gazière. Je ne vais pas refaire l'histoire, mais plutôt vous partager mon sentiment actuel. J'éprouve comme certains beaucoup d'inquiétude vis à vis de la gestion actuelle du club (je n'emploie pas volontairement "notre club" car il ne m'appartient pas et je me garderai de donner des conseils à des gens dont c'est le métier de le gérer), cependant la fin de l'ère Haise/Pouille/Ghisolfi laisse des traces. La nomination de Dréossi l'été dernier n'a pas été de nature à me rassurer. Sa dernière prise de parole de ce week end non plus. Les départs font parti de la vie d'un club, on s'y attend, mais on passe d'un Openda à Whai puis à Nzola en l'espace de 13 mois...dur. On passe d'un Doucouré à Samed puis à Thomasson repositionné plus bas (à la limite lui il fait son job) On passe de Fofana à Diouf On passe de Sotoca Prime à Sotoca Ehpad On passe de Samba à Koffi qui après deux matchs de qualité risque d'être relégué à un rôle de doublure alors qu'il a selon moi montrer qu'il pouvait faire l'affaire pour les 5 mois prochains. On a des Gaillette d'or tous les ans qui peinent à se faire une place dans le groupe pro. J'aime ce club, je le supporterai toujours, mais je m'interroge sur les hommes qui aujourd'hui prennent les décisions. Je rejoins ceux qui pensent que c'était une belle connerie la comm' de Dreossi de ce dimanche " Samba partira ou partira pas, Kodir oui il part, on joue l'Europe". Le tout en bégayant tous les deux mots. Il ne transpirait pas la confiance. Je suis conscient des difficultés économiques du club, du besoin de liquidités. Mais quand tu as un vivier de supporters aussi nombreux que celui du RC Lens (guichets fermés depuis un an et demi, et sans doute 15 à20000 personnes qui attendent d'avoir une place derrière) tu te dois de prendre une posture en phase avec la réalité: le Lens d'aujourd'hui est au niveau d'un Auxerre, d'un Toulouse ou d'un Reims. Qualitativement (et financièrement) nous sommes derrière des équipes comme le PSG, Monaco, Nice, Lille, Lyon, Marseille, je pourrais ajouter Rennes qui ne restera pas 13e selon mois. Quand tu annonces devoir faire des économies salariales et que tu vas chercher un mec qui touche un salaire aussi élevé qu'un Pau Lopez, désolé mais le supporter que je suis se dit "Mec tu te fous de ma gueule là" Dire ouvertement que nous jouons l'Europe et que ton effectif est capable de le faire, tu te fous une nouvelle fois de ma gueule Pierre. Qui y croit aujourd'hui? Qui peut y croire après la prestation de dimanche (l'arbitrage ne fait pas tout, si tu mènes deux à zéro à la mi temps notre ami Hakim ne fournit pas cette prestation indigeste, et les lensois ne sortent pas de leur match). Ce que je veux dire c'est qu'il est temps de remettre je pense l'église au centre du village, si nos cadres veulent se barrer c'est qu'en interne qqch est cassé, si le père Dreossi a tenu ce discours aux joueurs "Faire aussi bien avec moins" (car il s'agit de cela), je ne suis pas étonné que certains veulent se barrer. Je serai derrière l'équipe chaque we avec la même passion mais ne promets pas une Porsche à ta femme si tu ne peux lui payer qu'une Clio 2. Les mots choisis ne sont pas opportuns. Aucun de nous n'est assez dupe pour croire qu'on fera un top 5, avec du bol et un peu de réussite en l'état actuel des choses on fera un top 12, avec des recrues de qualité (et pas un gardien remplaçant qui a pas joué depuis 7 mois) tu peux viser entre 12 et 7. Cette équipe ne me fait plus vibrer, la direction nous joue du pipo, les résultats ne sont pas extra, je plains Will Still, je doute qu'il était au courant de cette situation en juin quand il signe. Encore une fois il ne s'agit que de mon avis, que je vous partage, que certains soient d'accord ou pas je l'entends. Quel capharnaüm!!! (définition: Fam. Lieu de désordre et de débauche) Excellente après midi à tous (si vous êtes arrivés jusque ici bravo ;-))
    15 points
  27. Ils ont pris sa température? Un peu cavalier pour un premier contact, moi j’apprécierais moyennement.
    14 points
  28. Vous avez la même orthographe que la technique de Guivalogui.
    14 points
  29. Un peu de mal à comprendre toutes les critiques envers Agbonifo qu'on a finalement que très très peu vu l'année passée (à peine 300' en 6 mois !) et qui lorsqu'il a joué, a été trimbalé à tous les postes du terrain (piston gauche, Ailier gauche, ailier droit, avant centre). J'ai même vu "poulet sans tête" sur un tweet Du peu qu'on a vu c'était un joueur assez mobile, rapide, percutant balle au pied qui pouvait apporter dans un effectif Sotoquesque. Peut être pas en titulaire mais en sortie de banc. Je vois bien qu'il n'a pas l'air dans les plans de Sage mais au prix où il a été acheté et à son âge, c'est très bizarre de ne pas insister un peu plus surtout dans un club à qui il a fallu 2 ans et demi pour comprendre que Fulgini était nul, qui a également pas mal insisté avec Zaroury qui est surcôté et qui continue à donner du temps de jeu à un Sotoca qui ne sert plus à rien.
    14 points
  30. Pas suffisamment dimensionné ? ça veut rien dire. Ma femme me dit pareil, et pourtant elle reste depuis 30 ans
    14 points
  31. Premier départ du mercato estival !
    14 points
  32. Voilà c’est cadeau 😉 Très intéressant en tout cas et pas de langues de bois On le même discours que pour les partenaires
    14 points
  33. On nous avait surtout promis l'enfer avec le départ de Haise, et au final après 19 rencontres, on est dans la lignée de 3 des 4 années depuis notre retour en ligue 1, même si c'est parfois poussif (comme la saison passée). On était censé être en année de transition et on va au minimum se maintenir peinard (manque 8 points en 15 matchs), et dans le meilleur des cas on pourrait être en course pour l'Europe jusqu'en mai. Vu le niveau de critiques et de "chouinage" d'une minorité, je pense que ce sont des néo supporters qui ne se sont pas tapés les rencontres de notre club en ligue 2 pendant de trop nombreuses années. Pour ma part, je me rappelle d'où on vient, et depuis notre retour en ligue 1 et être quasi toujours dans le top 7 depuis 4 ans et demie, c'est un plaisir, même si évidemment j'aimerai enfin gagner une CDF par exemple.
    14 points
  34. FreeBird49

    Mercato hivernal 2024-2025

    En Albanie ??? Bah voyons ! Pourquoi pas la Biélorussie tant qu'on y est ! On est pas prêt de vendre des joueurs 50 millions d'euros avec ce type de recrutement !
    14 points
  35. Tobollik

    Mercato hivernal 2024-2025

    Le Fulgini bashing sur ce forum commence à bien me gonfler même si c'est dans la nature humaine de se défouler sur des bouc-emissaires. C'est un joueur moyen de ligue 1, ok, et on attend plus d'un meneur de jeu mais que je sache, il ne triche pas sur le terrain et il n'y est pour rien si l'ancienne direction lui a offert ce contrat et ce salaire et si WS le fait jouer. Tant mieux pour lui. De toutes façons, depuis 6 mois on n'a pas vu mieux de PDC et Zaroury. Aussi, si on pouvait un minimum respecter le joueur qui n'est pas une chèvre ni aucun autre animal d'ailleurs mais juste un joueur de foot professionnel et un homme. Merci.
    14 points
  36. Sloy

    Mercato hivernal 2024-2025

    Où l'on apprend que Samba mesure 1,836 m. Après qui osera encore dire que les journalistes de la VDN n'ont pas d'infos précises?
    14 points
  37. West'ier

    Mercato hivernal 2024-2025

    Fun fact : sur l'exercice 2024-2025, Butez a scoré + (et en 2 matchs!) que Sotoca, PDC et Zaroury réunis.
    14 points
  38. karldu91

    Mercato hivernal 2024-2025

    Je lis depuis quelques jours qu’il n’y a plus d’ambition pour la seconde partie de saison. Pardon? Et franchement, je suis pourtant quelqu’un de critique, impatient etc. mais franchement, les mecs, on est 7ème, à quelques points des équipes devant. Alors oui, et je suis le premier à le dire, notre effectif est faible sur certains postes, oui Samba nous a fait gagné un paquet de point. Alors oui, la, à date ça fait peur pour la 2ème partie de saison. MAIS tu as aussi le droit de faire évoluer d’autres postes, notamment offensivement. Et, si Samba nous a fait gagner des points, devant ça nous en a fait perdre, donc on pourrait aussi rester au même niveau… avec un équilibre différent. Et puis, ce n’est pas car le gardien sera moins fort que Samba… que tu prendras but à chaque tir non plus hein. Samba doit être top 2 en L1, mais il y a d’autres équipes qui prennent peu de buts.. Avec ou sans Samba, je vois pas une ambition changée. On a peut être pas le niveau pour le top 5, mais on peut se battre pour la 6-7eme place jusqu’au bout hein.
    14 points
  39. Pas fan de ces raisonnements uniquement "résultats oriented". Au bout d'un moment, si on veut se risquer à jouer le jeu de l'analyse, il faut se mettre dans les baskets de celui qui décide et pas dans la posture de l'inspecteur des travaux finis. Demain si JLL et son équipe nous amènent le nouveau Zidane, avec tout ce que ça implique en termes de scouting, négociations, marketing... Ca sera trop simple de dire que c'était une mauvaise idée si le mec se blesse pour 6 mois. On peut quand même trouver des satisfactions avant de voir les performances: les recrues correspondent elles aux besoins ciblés, les profils correspondent ils au projet de jeu , quelle est la réputation des joueurs... Je n'ai pas l'impression qu'on avait besoin d'attendre la mi-saison pour envisager que le dernier mercato de l'ère Pouille, et le mercato Dreossi-Lopez n'étaient pas bons. De même le premier mercato de JLL, surtout si on le prend comme le début d'un vrai nouveau cycle, envoie de nombreux signaux positifs.
    13 points
  40. Content pour Fulgini qu'il ait pu trouver un nouveau club. Il n'était pas au niveau chez nous, mais ça a l'air d'être un chic type. Pas au niveau, certes, mais ce n'est pas de sa faute si les coachs (surtout Still) se sont entêtés à le faire jouer. Je lui souhaite une fin de carrière sympa.
    13 points
  41. De l'opération séduction à la concrétisation : récit et conséquences de l'arrivée de Florian Thauvin à Lens Le RC Lens a trouvé un accord total avec l'Udinese ce mardi pour s'offrir Florian Thauvin. L'attaquant de 32 ans passera sa visite médicale ce mercredi. Les derbies du Nord s'annoncent pimentés. Douze ans après avoir refusé d'endosser le maillot du LOSC avec qui il avait pourtant signé (recruté par le LOSC en janvier 2013 puis prêté pour la fin de saison à Bastia, il avait fait le forcing pour quitter Lille l'été suivant, estimant que le projet avait changé, afin de rejoindre l'OM. Il n'a effectué qu'un seul entraînement avec les Dogues), Florian Thauvin va porter celui du RC Lens, séduit par le projet sang et or, où il sera à la fois la figure de proue et le leader d'un vestiaire en reconstruction. Tandis que le club artésien travaillait discrètement depuis des semaines à la signature de l'attaquant français de 32 ans, comme révélé par L'Équipe dimanche, les dirigeants ont bouclé leur mission avec succès ce mardi, en trouvant un accord total avec l'Udinese, alors qu'ils avaient déjà l'aval du joueur depuis plusieurs jours. Lens va débourser environ 6 M€ pour racheter la dernière année de contrat qu'il lui restait en Italie, et le champion du monde 2018 a voyagé ce mardi pour rejoindre le nord de la France. Il passera sa visite médicale ce mercredi, avant de parapher un contrat de trois ans, soit jusqu'en 2028. La détermination de Leca Quatre ans après avoir quitté l'OM, où il a passé la plus grosse partie de sa carrière (227 de ses 259 matches de L1 sous le maillot olympien), Thauvin va retrouver le Championnat de France, après une expérience difficile au Mexique chez les Tigres, puis une renaissance à l'Udinese, qui l'avait relancé en janvier 2023. Le retour du champion du monde en Ligue 1 cet été suit ceux d'Olivier Giroud (Lille) et de Paul Pogba (Monaco) et tient énormément à l'obstination de Jean-Louis Leca, promu directeur sportif du RC Lens au mois de juin. L'ancien gardien n'a pas eu l'occasion de jouer avec Thauvin à Bastia, puisque l'attaquant est parti juste avant que le Corse ne revienne au club, mais les deux hommes se connaissent bien et s'apprécient. Dans un entretien avec le Youtubeur Zack Nani au mois d'octobre, Thauvin avait d'ailleurs livré une anecdote parlante sur leur connexion, expliquant que Leca l'avait appelé dès juin 2024 pour le convaincre de signer à Lens, car il avait regardé des matches de lui toute la nuit et qu'il le trouvait « énorme ». Cet échange avait beaucoup touché l'international tricolore (10 sélections, 1 but), agacé d'entendre dire qu'il était « cramé ». Le même conseiller que celui de Baidoo, Samba et Fofana Le lien n'a jamais été rompu et se matérialise désormais au coeur d'un été où le RC Lens s'est montré audacieux sur le marché, avec notamment la signature du défenseur central international autrichien Samson Baidoo (21 ans, 8 M€ bonus compris). Gros espoir à son poste, ce dernier partage d'ailleurs le même conseiller que Thauvin, Meïssa Ndiaye, qui est aussi celui de Brice Samba et de Seko Fofana, les anciens capitaines sang et or. C'est en pensant à l'apport sur et en dehors du terrain de Fofana, lui aussi recruté à l'Udinese à l'été 2020, que les dirigeants lensois ont foncé sur l'attaquant de 32 ans, espérant en faire le patron du vestiaire et l'emblème du nouveau Lens, orphelin après le départ de nombreux cadres ces derniers mois. « Si on peut faire des bons coups, je ne vais pas m'en priver, que ce soit très clair », avançait Leca fin juin, au milieu d'une tirade sur la nécessité de revenir à un mercato malin qui avait fait le succès du club après la remontée en L1, avec l'ex-stratège Florent Ghisolfi aux manettes. « Parfois, il arrive aussi une super opportunité, comme quand Lens a fait Seko Fofana », ajoutait-il. Thauvin, auteur de 9 buts et 6 passes décisives en 26 matches la saison dernière, est espéré comme le leader de l'attaque lensoise, secteur décevant au dernier exercice. Plus épanoui dans l'axe désormais, l'ancien ailier sera chargé de mettre du lien dans le 3-4-3 de Pierre Sage, où il évoluera dans le rôle d'attaquant de soutien. Au sein de l'effectif, il retrouvera notamment Ruben Aguilar, connu au centre de formation de Grenoble. Des retrouvailles comme un bond dans le passé pour lui, mais un joli coup de projecteur pour la Ligue 1, avec le retour d'un glorieux ancien.
    13 points
  42. Malang Sarr au poste de Medina je m’y ferai jamais… C’est remplacer Angelina Jolie par Mathilde Panot.
    13 points
  43. Si vraiment il venait à partir, ce en quoi je ne crois pas (🦄😂)… l’Atletico Madrid serait quand même la destination idelale. Coach Argentin qui en terme de personnalité devrait adorer notre Facundo, club qui joue la LDC chaque année, super exposition pour l’equipe nationale avec plusieurs internationaux argentins dans l’effectif, système qui lui convient parfaitement …. Et championnat adapté à ses qualités. Difficile de faire mieux… quand en plus il parle même la langue.
    13 points
  44. coconuts

    Mercato hivernal 2024-2025

    En résumé Où vas tu jouer? Fabrizio Romano a lancé l'information qu'il allait peut-être venir à Lens mais il ne sait pas pour l'instant. On verra. La Ligue 1 est top, le cinquième championnat avec de grands clubs. Il se concentre pleinement sur son club pour l'instant. Il répète un peu à toutes les questions qu'il est entièrement focus sur le quotidien. On lui pose la question comment ça sera dans une nouvelle équipe, nouveau pays, nouvelle langue. Ensuite il y a toute une partie sur sa famille et son père qui le juge/conseille sur son jeu. Puis ça parle de ses qualités footballistiques et de son parcours en école de football où il était frêle. Ensuite de son quotidien, je crois qu'il est à l'école le matin et qu'il a 4 heures d'entraînement par jour mais qu'il s'entraîne tous les jours. Ils ont évoqué la Conférence League, que son modèle de footballeur est Messi. Après j'ai pas trop compris mais je pense qu'ils parlaient de sa saison en club et peut-être en équipe de jeunes nationale. Bon c'est pas très intéressant (c'est d'ailleurs assez simple à comprendre tellement c'est cliché) mais budućnost c'est le futur et c'est aussi le nom de certains clubs de basket ou de foot. Donc le titre de la vidéo c'est "de Budućnost à Lens". Et juste pour info ils parlent tous les deux uniquement de Lens - enfin il cite aucun autre club - pendant l'interview même si c'est pas fait, dit-il... Conclusion : il arrive même s'il dit que c'est pas fait encore.
    13 points
  45. Ruka-2

    Mercato hivernal 2024-2025

    « Quand avez-vous vu Abdukodir Khusanov pour la première fois ? Je couvrais la Coupe du monde U20 qui a eu lieu en mai 2023 en Argentine. Je suivais les rencontres sur la chaîne L'Équipe, surtout celles du pays hôte. Mais lors du match contre l'Ouzbékistan, c'est surtout un joueur qui m'a bluffé : Abdukodir Khusanov. Une découverte totale. Que vous rappelez-vous de ce match ? Il était opposé à Alejo Veliz, qui était encore à Rosario Central et allait signer à Tottenham quelques mois plus tard. C'était un attaquant déjà prêt physiquement, fort dans les airs, alors c'était un duel intéressant. Le bloc médian de son équipe était bas et j'ai décidé de le suivre sur le reste de la compétition face à des adversités totalement différentes (Nouvelle-Zélande, Guatemala, Israël) qui laissaient sa sélection en bloc haut. Cela donne des certitudes sur son utilisation du ballon, son jeu long en diagonale et la gestion de la profondeur sur les transitions adverses, notamment contre les Israéliens. Le fait qu'il joue dans l'axe d'une défense à trois, un système que Lens utilisait, a aussi une certaine pertinence dans notre suivi. lire aussi Les dessous du transfert fou de Khusanov à Manchester City «Dès sa première semaine d'entraînement, dès ses premières minutes contre le Torino ou Wolfsburg en amical, on savait qu'il était très fort. » Que se passe-t-il ensuite ? Je fais un bilan de la compétition et il est tout en haut de la liste des joueurs qui m'ont impressionné. À l'époque, on cherchait un jeune central pour épauler Kevin Danso et le remplacer à moyen terme. Nous n'avions personne de ce profil en interne, avec de telles qualités dans la profondeur, l'aisance aérienne, l'intelligence, le leadership sur la ligne arrière. Alors, on a creusé le dossier. Son profil a été retravaillé par les autres scouts (Valentin Michalski, Jonathan Martins Pereira, Yann Soloy) dans d'autres contextes : ses matches avec l'Energetik Minsk, sa Coupe d'Asie U20 et les sélections A obtenues entretemps. Ils ont validé tout comme le coordinateur technique Samir Chamma et le directeur technique Grégory Thil. Cette réussite couronne le travail d'une cellule qui a bossé trois ans ensemble, avec une très grande agilité. Cela a permis de boucler un dossier compliqué par le pays de départ, un embargo, la barrière de la langue mais aussi les quelques clubs européens intéressés... Êtes-vous fier de le voir partir à Manchester City pour un montant record de 50 millions d'euros, bonus inclus ? C'est surtout top pour lui d'atteindre un tel niveau, aussi vite. Dès sa première semaine d'entraînement, dès ses premières minutes contre le Torino ou Wolfsburg en amical, on savait qu'il était très fort. Mais là, ça va vraiment vite ! Là-bas, il aura sûrement la gestion de la profondeur à gérer, un poste aujourd'hui dévolu à un Kyle Walker sur le départ. Kodir a une marge de progression importante dans certains domaines, comme la défense de la surface (marquage), la gestion des centres. À City, ce sera le contexte idéal pour bosser tout cela, notamment à côté de Ruben Dias. Mais c'est un super gamin, humble et travailleur. Il y arrivera. »
    13 points
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