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LDC j4 / PSV - Lens / 08-11-23


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Adrien Thomasson profite de l'alternance. L'ancien Strasbourgeois sera titulaire avec Lens mercredi sur la pelouse du PSV Eindhoven, en Ligue des champions, au détriment d'Angelo Fulgini.

Joël Domenighetti, à Avion07 novembre 2023 à 20h49

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Comme ils en ont pris l'habitude, pour des raisons de confort et surtout de confidentialité, les joueurs du RC Lens se sont entraînés une heure pile mardi sur le terrain d'honneur de la Gaillette, de midi à treize heures. La délégation artésienne a ainsi évité de justesse de nouvelles pluies abondantes réapparues après le retour du groupe au vestiaire.

Guéris de blessures à une cuisse, les attaquants Wesley Saïd et David Pereira Da Costa étaient présents lors du premier quart d'heure ouvert aux observations des médias. Seul le premier a été retenu dans le groupe de 23 joueurs qui a pris la direction d'Eindhoven. À noter la présence du jeune milieu Tom Pouilly au sein de la délégation sang et or.

Le RC Lens devrait se présenter face au PSV dans une configuration identique à celle du match aller (1-1), à l'exception d'Adrien Thomasson, préféré à Angelo Fulgini en soutien axe gauche d'Elye Wahi. La paire de milieux récupérateurs devant la défense à trois à plat sera la même avec Salis Abdul Samed (à gauche) et Nampalys Mendy (à droite). Tout comme les deux pistons, habituels titulaires au poste, Przemyslaw Frankowski sur le flanc droit et Deiver Machado sur le gauche.

lire aussiThomasson et Fulgini, un poste en alternance à Lens 

Vers un bloc médian

Après avoir revisionné le match aller, il est probable d'en déduire que l'équipe nordiste évoluera avec un bloc médian. « Je ne suis pas certain qu'on ait l'initiative tout le temps », avait d'ailleurs anticipé Franck Haise la veille du match aller. Mercredi soir, son ambition sera d'aspirer son adversaire batave afin de profiter des espaces naturellement assumés dans le dos de l'équipe de Peter Bosz.

Dans ce cas, les deux pistons seront les joueurs du milieu positionnés les plus haut. Mais surtout les premières flèches d'un bloc de cinq où figurent les attaquants Wahi, Sotoca et Thomasson. Tous ces joueurs devront limiter leurs touches de balle pour se projeter, miser sur la verticalité le plus rapidement possible, voire user de transversales si le bloc hollandais s'est rapidement reconstitué. Et ce afin de toucher le piston lensois opposé qui portera le danger là où la densité du PSV est la plus faible. À l'aller, Frankowski était celui-là, tandis que Machado ne lâchait pas Bakayoko du regard.

Le rôle des attaquants de soutien ne sera pas non plus négligeable. À Bollaert-Delelis, Sotoca ou Fulgini étaient venus en position axiale accompagner Wahi. Ils cherchaient à exploiter les deuxièmes ballons quand Brice Samba était contraint d'allonger ses relances pour éviter l'oppressant pressing du PSV. Les deux étaient ensuite des rampes de lancement capables de profiter de la vitesse de leur avant-centre.

Mais plus que tout, le RC Lens devra faire bloc, défendre en avançant, contre une équipe qui va vite et mise sur ses accélérateurs du jeu, comme l'ailier droit Johan Bakayoko, principal concurrent au même poste de Dodi Lukebakio en équipe nationale belge, et de l'international mexicain Hirving Lozano, qui peut évoluer des deux côtés.

lire aussiPSV-Lens : Facundo Medina, la classe internationale 

publié le 7 novembre 2023 à 20h49

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(B. Papon/L'Équipe)

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À Djékanou, en Côte d'Ivoire, sur les traces de Salis Abdul Samed (Lens)

Nous sommes retournés sur les traces du milieu lensois Salis Abdul Samed en Côte d'Ivoire, à l'académie Jean-Marc Guillou, où il a fini sa formation de 2016 à 2019.

De notre envoyé spécial, Hervé Penot, à Djékanoumis à jour le 8 novembre 2023 à 00h05

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Les consignes tombent via le téléphone portable. On laisse l'église évangélique des Assemblées de Dieu sur la gauche, on passe les deux dos-d'âne sur une route parfois défoncée, mangée sur les côtés par des herbes folles. Pas simple, sans des indications précises, de trouver l'académie Jean-Marc Guillou à Djékanou, à plus de deux cents kilomètres d'Abidjan, en Côte d'Ivoire. C'est là que Salis Abdul Samed a terminé sa formation avant de rejoindre Clermont en 2019, puis Lens à l'été 2022.

Le chauffeur, un peu perdu, suit les conseils, il longe la gendarmerie, tourne devant la mosquée, pas loin d'une blanchisserie, puis quitte le goudron pour une piste caillouteuse. Une poule évitée de justesse et s'ouvrent les grilles de l'académie, son terrain en herbe et ses petites maisons fraîchement repeintes en jaune, ceinturés par un mur de protection.

Tout apparaît sommaire, peu clinquant mais fonctionnel, propre. Des dortoirs avec des lits superposés pour huit ou dix gamins dans des pièces étroites accueillent les différentes promotions. Sur le tableau d'une salle de classe exiguë, des mots rappellent des consignes utiles. Mais l'école reste secondaire dans cet univers dédié à la réussite sportive.

Il a intégré ce complexe en 2016, après la fermeture du site au Ghana

Des académiciens jonglent, rigolent en cette journée ensoleillée d'octobre, comme le faisait Abdul Samed quand il a intégré ce complexe en 2016, après la fermeture du site au Ghana, dans l'espoir d'un destin en or. Le milieu de 23 ans s'est formé loin des centres européens flambant neufs qui rivalisent de technologies dernier cri. Il a pourtant fallu au Ghanéen s'y reprendre à quatre fois à Accra, dans sa ville, en 2013, avant de réussir le concours d'entrée, cette sélection impitoyable où un bambin de moins de 35 kg (cette sélection se décide sur les poids) doit être remarqué parmi des centaines d'autres.

Salis Abdul Samed (entouré en rouge) à son entrée à l'académie Jean-Marc Guillou au Ghana. (DR)

Salis, son nom devenu par la faute d'une erreur administrative son prénom sur son passeport, n'a pas lâché. Diane, la « maman » togolaise de tous ces enfants, a suivi un cursus identique au Lensois : le Ghana puis la Côte d'Ivoire, en sa qualité de gestionnaire humaine des groupes.

« Salis, si on ne l'entendait pas, c'est qu'il n'était pas là, dit-elle. Il n'arrêtait jamais, il était très turbulent, il taquinait sans cesse, sauf quand il était malade. Et dans ces moments, il était sauvagement malade, complètement abattu. Une fois, je l'ai même porté sur le dos pour le faire sortir de sa chambre. Au Ghana, ses collègues le mettaient dans la voiture quand il avait des crises de paludisme. Comment peut-il faire ce métier en étant comme ça de nature ? »Elle s'interroge. Mais qui allait briser sa volonté inoxydable de quitter son univers miséreux ?

« Il ne connaissait pas sa maman, alors sa grand-mère venait le voir les week-ends »

Diane, qui s'occupait des enfants à l'académie Jean-Marc Guillou

 

Diane se souvient parfaitement d'une histoire comme un symbole, quand Salis a été renvoyé une quinzaine de jours pour une bagarre, privé de ses quatre repas quotidiens, des commodités les plus simples. « Pendant sa punition, il venait me voir : "Maman, je rentre quand ?" Il n'avait même pas à manger... Il n'avait pas une belle vie, souligne-t-elle pudiquement. Il ne connaissait pas sa maman, alors sa grand-mère venait le voir les week-ends. Ils étaient dans un quartier vraiment précaire où il n'y avait rien. Le papa était mort, je crois aussi. Ensuite, sa grand-mère est morte et il a pu finalement connaître sa maman réelle. » Mais bien plus tard, juste avant de s'envoler vers l'Europe.

Le Ghanéen avait compris que sa chance résidait entre les mains des éducateurs de « JMG ». Il avait à peine 16 ans quand il a rejoint la Côte d'Ivoire, un exil comme la promesse de matins qui chantent. Il n'avait aucune famille sur laquelle se reposer, juste des potes de promo sur fond de rêves de grandeur.

lire aussiSuccesseur de Cheick Doucouré, Abdul Samed Salis fait le bonheur du RC Lens par sa bonne humeur et ses performances 

Abdul Samed se glisse dans cet univers francophone « mais possède déjà un bon niveau car, au Ghana, tout était fait en français », intervient Aimé, le professeur. Et le jeune joueur aime déjà se moquer de son compatriote Alidu Seidu, l'actuel Clermontois, son double, autre transfuge de l'académie Jean-Marc Guillou en 2019.

À Djékanou, il découvre un endroit basique, sans eau, sans électricité, un terrain rudimentaire où il perfectionne ses gammes, d'abord pieds nus comme le prévoit la charte de Guillou. « Il y avait des herbes très coupantes, des petits cailloux. Il avait, comme les autres, des plaies partout sur les pieds. Mentalement, il était costaud », souligne Adrien Gaignon, le patron des lieux. Ce dernier balaie du regard cet endroit où des mômes discutent, s'amusent sous le regard de trois molosses intimidants en charge de la sécurité du site. Les éclats de rire fusent dans l'attente du deuxième entraînement quotidien.

L'avenir de Salis s'est dessiné, comme eux, sous ce soleil tapant, dans la multiplication des séances, dans des matches amicaux de fin de semaine pour maîtriser un style sans la pression immédiate du résultat. « La victoire n'est pas un objectif mais une conséquence, a dit Raynald Denoueix, et c'est vraiment top, s'enthousiasme Gaignon. Ça nous correspond. Nous, on enchaîne les rencontres amicales et Salis s'est développé dedans. Ça oblige à oser faire quelque chose, ne pas être obsédé par le résultat. Et Salis entraînait les gens par son positivisme, il mettait de la vie dans le groupe. »

Il se rendait parfois à l'église, lui le musulman

Pour l'un de ses passages de degré, suivant un principe naturel de progression institué par Guillou, Salis réclame le maillot de l'Allemagne, une équipe comme une inspiration. « C'était un énorme bosseur, insiste Gaignon. Et un gagneur, un compétiteur. Il entraînait les autres, les poussait au pressing et n'était pas maladroit techniquement. Il avait un vrai bon comportement. »

Salis Abdul Samed, à gauche, reçoit le maillot de l'Allemagne des mains d'Adrien Gaignon, le directeur de l'académie Jean-Marc Guillou à Djékanou. (DR)

Salis s'échappe parfois du cadre sportif les soirs de permission, se rend même à l'église voisine, lui le musulman. « Car il aimait s'amuser, jouer du tam-tam et danser », rappelle Aimé. Et trouver accessoirement de nouvelles connaissances pour parfaire son niveau de langue...

Des jeunes du centre en parlent aujourd'hui comme d'un modèle. De celui qui a réussi. Diane se souvient parfaitement du jour de son départ : « Salis est venu frapper à ma porte et m'a dit : "Maman, il faut que tu me bénisses." Ça m'a surprise car je suis chrétienne, pas musulmane... » Mais elle a exécuté son souhait. Pour lui donner une force supplémentaire.

Elle ne croyait pas le revoir de sitôt. Juste avant de signer à Lens, en juin 2022, le milieu de terrain est pourtant repassé dans sa famille de coeur. Gaignon : « Il m'a appelé et m'a dit : "Coach, je rentre à la maison une journée !" Au Ghana ? "Non, à l'académie, j'arrive !" »

Il est finalement resté trois jours, a dormi sur un lit superposé avec les enfants, si loin des hôtels dédiés à la Ligue 1, puis s'est entraîné avec eux. Comme au bon vieux temps, quand le Ghanéen touchait 60 euros mensuels à 18 ans, une fortune pour lui. Il a ensuite glissé à Diane de l'argent pour les gamins, pour le personnel, dans un geste de reconnaissance éternelle. Salis n'a jamais oublié où tout a commencé.

lire aussiPSV-Lens : Facundo Medina, la classe internationale 

publié le 8 novembre 2023 à 00h05mis à jour le 8 novembre 2023 à 00h05

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il y a 20 minutes, West'ier a dit :

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Nampalys Mendy (Lens) avant le match contre le PSV Eindhoven : « Je revis »

Longtemps mis de côté à Leicester, le Sénégalais Nampalys Mendy, champion d'Afrique en titre, ne comptait pas revenir en France. Mais Franck Haise l'a convaincu de se relancer à Lens, pour le meilleur.

Nathan Gourdol et Hervé Penotmis à jour le 8 novembre 2023 à 00h05

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Une adaptation express. Nampalys Mendy, arrivé en Artois le 4 septembre dans un rôle de joker, s'est fondu illico dans le paysage artésien. Son association au milieu avec Salis Abdul Samed s'est imposée dès le premier match de Ligue des champions, le 20 septembre sur la pelouse du Séville FC (1-1), et cela ne devrait pas changer mercredi soir à Eindhoven où « Papy », l'un des rares Lensois à avoir déjà connu cette compétition, sera attendu pour casser les lignes de passes adverses, harceler et renforcer la charpente sang et or. À 31 ans, il raconte ce rebond inattendu au bout d'un été incertain et d'une sombre période à Leicester.

« Vous êtes sur le point de débuter un quatrième match de Ligue des champions de rang. Inimaginable après seulement sept titularisations en Premier League l'an dernier et un été sans contrat...
J'ai connu des moments vraiment pas faciles... Cet été, j'étais seul à Toulon, avec un préparateur physique. J'ai eu quelques sollicitations, mais pas forcément ce que je voulais. J'ai eu envie de baisser les bras parfois. Mais je me suis accroché. Je n'ai jamais eu peur de devoir arrêter ma carrière mais je craignais de devoir m'engager dans un club par défaut.

Comment s'est déroulée votre signature à Lens ?
Le premier contact a eu lieu en milieu de mercato. Mais après, plus de retour. Lens est finalement revenu fin août. J'ai parlé avec Grégory Thil (le directeur technique), mais j'étais encore perplexe. La Ligue 1, je connaissais déjà et c'était non, c'était catégorique dans ma tête. Je voulais plutôt continuer à l'étranger. Mais j'ai parlé avec le coach, et tout s'est accéléré, tout s'est éclairé.

« Ce qui m'a fait basculer, c'est surtout l'homme, son honnêteté, sa franchise »

Nampalys Mendy, à propos de Franck Haise

 

C'est-à-dire ?
On a échangé en visio et j'ai pu voir sa sincérité. Ce qui m'a fait basculer, c'est surtout l'homme, son honnêteté, sa franchise. Sans même parler de football, même si j'avais suivi le parcours de Lens. Il ne m'a rien promis, mais j'ai vu sur son visage que tout ce qu'il disait, ce n'était pas des paroles en l'air. J'avais besoin d'un club humain, ça a été le déclic. Et j'en ai la confirmation aujourd'hui. Ici, tout le monde est comme ça.

lire aussiComment Nampalys Mendy a éclipsé Andy Diouf au sein du 11 de Lens en Ligue des champions 

Racontez-nous vos années de montagnes russes à Leicester, après votre transfert de Nice chez le champion d'Angleterre en 2016, où vous deviez remplacer N'Golo Kanté...
Claudio Ranieri me voulait et la préparation s'est très bien passée, mais je rate le premier match de Championnat car ma femme accouche en France. Je reviens pour le suivant contre Arsenal, et je me blesse gravement à une cheville. J'ai raté plusieurs mois et j'ai dû me faire réopérer, une saison quasi blanche.

« Quand on voit un gars comme Sadio Mané tous les jours à la salle, c'est inspirant »

 

Après ma rééducation, j'ai été prêté à Nice (2017-2018), où j'ai pu retrouver un peu mon niveau, et Claude Puel a signé à Leicester entre-temps. À mon retour, j'ai enfin pu gagner ma place, tout se passait alors très bien, jusqu'à ce que Puel se fasse virer (en février 2019). Un autre coach est arrivé (Brendan Rodgers), et il m'a progressivement mis de côté. Je n'ai jamais eu de retour. Il me répétait juste : "je n'ai rien à te reprocher". Et le pire, c'est que quand je souhaitais partir, le club refusait. À la fin, j'attendais juste que mon contrat se termine. Honnêtement, je revis depuis ce moment.

Comment avez-vous résisté mentalement lorsque vous n'étiez même plus inscrit en Premier League en première partie de saison 2021-2022 ?
C'était dur, surtout quand on aime le foot comme moi. Franchement, je ne sais pas comment j'ai fait. Je suis resté focalisé sur mes entraînements, avec la même mentalité, je ne sais pas tricher. C'est même moi qui ai demandé à rejoindre la réserve. J'avais en tête la sélection, la perspective de la CAN 2022, ça m'a fait rester sur le bon chemin.

Et vous avez profité de cette compétition pour revenir dans la lumière...
Ça a pourtant mal commencé car j'ai raté les deux premiers matches pour cause de Covid. Mais au final, on la gagne et je finis dans l'équipe type du tournoi. C'est une vraie fierté, surtout après les six mois que je venais de vivre. Retrouver ce groupe, avec cette mentalité, ça m'a redonné de la confiance. Quand on voit un gars comme Sadio Mané tous les jours à la salle, c'est inspirant. Les épreuves à Leicester m'ont fait grandir en tant qu'homme.

Avez-vous été surpris d'être titulaire contre Séville seize jours après votre signature ?
Ça a été rapide, mais ici les entraînements sont si intenses que ça permet de se préparer plus vite. Personne ne triche. Il n'y a que de la générosité. C'est la clé. Tout le monde court, les jeunes, les vieux, tu es obligé de te mettre dans le bain. Si tu fais semblant, ça fait tache. Le groupe est sûr de sa force, c'est incroyable. Je retrouve un peu la confiance que j'avais à Nice, avec beaucoup d'entraide.

En Andalousie ou contre Arsenal, avez-vous repensé à vos années difficiles ?
Je me suis dit que j'étais un privilégié, que j'avais une chance folle de vivre ces moments-là. C'était magnifique. On avait l'impression que rien ne pouvait nous arriver. J'ai profité. Quelques mois auparavant, l'idée de retrouver ce type d'émotions un jour n'était même plus dans un coin de ma tête. Je voulais juste retrouver du plaisir sur un terrain. C'est au-delà de mon imagination. »

lire aussiPSV-Lens : Facundo Medina, la classe internationale 

publié le 8 novembre 2023 à 00h05mis à jour le 8 novembre 2023 à 00h05

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il y a 51 minutes, Ruka-2 a dit :

En tout cas gros balle perdue pour Thil encore avec N. Mendy qui sous entend que Thil ne l'a pas convaincu....

Quand il dit qu'il a été contacté avant de ne plus avoir de nouvelles, ça me rappelle ce qu'avait dit Momo sur Twitter au sujet de Seidu. Heureusement que Pouille et Haise sont là.

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Il y a 1 heure, DamieN62 a dit :

Quand il dit qu'il a été contacté avant de ne plus avoir de nouvelles, ça me rappelle ce qu'avait dit Momo sur Twitter au sujet de Seidu. Heureusement que Pouille et Haise sont là.

Et pourtant quand j'avais posté ça sur le forum , Momo s'était pris un torrent de critique car certains pensaient que c'était par ce qu'il était pote avec Ghisolfi ^^'

preuve que finalement il a eu raison...

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il y a 1 minute, manico a dit :

J'ai l'impression que Thil c'est un peu le vilain petit canard. Merci à lui pour El Aynaoui, Khusanov... et tout le travail accompli jusque-là.

 A mon avis, il est très bon dans le domaine du recrutement. Maintenant, Directeur Sportif, c’est pas du tout le même métier. 
 

 

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Oui il a l'air d'avoir 2 gros défaut pour le poste de DS

- la négociation 

- la relation agent/joueurs qu'il n'a pas développé 

Maintenant ça s'apprend. Peut-être qu'en  voulant le retenir on a voulu allez trop vite avec lui. Et il s'est retrouvé dans le bain direct sans aide autour. Car il n'avait même pas d'adjoint (du fait que l'on avait donné des gros pouvoirs à Haise.)

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Mendy dit bien que pour lui, c'était un non catégorique pour revenir en France et que derrière Haise l'a convaincu de part ses qualités humaines. Sans doute qu'entre-temps, la réflexion a fait son chemin. Les raisons qui l'amenaient dans un premier temps à refuser la France  l'appartiennent et n'ont rien à voir avec Thill. Tout lui imputer, c'est quand même aller vite en besogne, mais bon faut trouver des coupables partout maintenant.

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