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[L1: Saison 2022/2023 du RC Lens] Terminer le plus haut possible


manico
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Autant les années précédentes avoir une baisse de régime je pouvais le comprendre car on avait 13-14 joueurs d'un niveau similaire. Ce n'est plus le cas aujourd'hui où on a une profondeur de banc, mais on fonctionne comme auparavant.

Des joueurs comme Frankowski, SAS, Gradit, Sotoca voir Fofana qui montrent des signes de fatigue doivent pouvoir aller sur le banc.

Je crois à une reprise d'une réelle marche en avant, j'espère qu'elle n'arrivera pas trop tard et que l'on ne soit pas hyper déçu en fin de saison.

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Haise est parfois trop frileux et c'est sans doute son plus gros défaut. Quand tu regardes les temps de jeu, il y a une cassure nette entre les 12 premiers et le reste. Le 13ème (Saïd) a joué presque deux fois moins de temps que le 12ème (Haïdara), et aujourd'hui on semble le payer.

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Le problème, c’est aussi que parfois quand tu gagnes tout, tu arrêtes aussi d’innover et d’essayer des choses. Les résultats lui ont quasiment toujours donner raison. Mais après sur certains concepts, c’est vrai qu’on peut se poser des questions. 
 

Tudor, tu fais deux mauvais matchs avec lui, tu es sur le banc direct. Chez nous, j’ai l’impression que Fofana pourrait faire 67 matchs éclatés, il serait toujours indiscutable. Pareillement, les changements tardifs, j’aime pas. Et le concept du 9, qui court partout pour pas mettre un but, j’en parle même pas. 
 

Je dis pas que j’ai raison. Il connaît mieux le job que nous mais j’imagine qu’on a tous un avis sur ces choses là. On peut adorer l’entraîneur, tout en restant sceptique sur certains concepts. 

 

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Si on prend l'année 2023, on est 10ème avec 13 points en 9 matchs. (Pour comparaison, Nice et Monaco en ont pris 20, Marseille 19 en attendant le match de ce soir). 

Ce n'est pas non plus dramatique comme bilan, mais il est clair qu'on a calé en route. Curieusement, ceux qui ont calé aussi avec nous, c'est Paris, relançant peut-être le championnat. Eux aussi n'ont pris que 13 points en 2023 (un match de moins).

Ce qui est plus inquiétant que le nombre de points, c'est que mis à part l'énorme victoire face au PSG, il n'y a quasiment que des contre-performances sur ces 8 matchs. Nos deux autres victoires : Auxerre, tirée par les cheveux alors que l'AJA était au plus mal (1-0 sur un penalty généreux) et Nantes, exténuée par la coupe d'Europe. À côté il y a  énormément de nuls concédés chez des clubs du bas de tableau : Strasbourg, Troyes, Brest, Montpellier. Parmi ces quatre déplacements, on devait au moins en gagner deux. 

Maintenant, notre chance c'est qu'on reste totalement dans la course aux meilleures places grâce à notre première partie de saison historique, et aussi dans la course à la coupe de France. On a toujours notre chance. C'est mieux que le coup de mou arrive maintenant que dans un mois ou deux. La semaine prochaine sera très importante, si on se qualifie à Nantes et qu'on bat Lille, je pense que ça va tout relancer. Sinon ce sera très compliqué pour finir.

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Le 3-4-2-1 que FH a mis en place cette saison semble avoir solidifié le volet défensif (j'écris semble, car il faut évaluer la part, dans cette solidification défensive, de l'arrivée d'un gardien plus fort que son prédécesseur), mais cela s'est fait au détriment de l'efficacité offensive face aux équipes supposées plus faibles. Il faut aussi, reconnaître que, maintenant, on n'a plus l'impression de rouleau compresseur que l'équipe dégageait avant la Coupe du Monde. C'est à FH de trouver la solution, peut-être une modification du volet offensif en passant en 3-4-1-2 au moins face aux équipes plus faibles ?

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Comme le je le disais hier, malgré nos résultats mitigés, cette semaine sera la plus importante de la saison jusqu’à présent. Possibilité d’aller en 1/2 de la CDF et de remettre Lille à 9pts. En plus, sachant qu’on joue samedi à 17h, il y a moyen de mettre la pression sur les autres en reprenant la deuxième place. 

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il y a 7 minutes, Othian a dit :

On aurait un Ben Yedder en pointe on serait probablement tout en haut avec le PSG vu le nombre de points perdus face à des équipes moyennes qui bétonnent. Mais c'est pas le cas :D3:

10 points de retard face au milliard de budget du PSG. 

Clairement avec un Ben Yeder (j’adore ce joueur) on aurait genre 12 points en plus. On jouerait le titre.

Apres, si Paris fait un miracle face au Bayern pour se focaliser sur la champions avec leur multitude de blessés et leur coach mentalement limité - le titre est encore jouable. 
 

Marseille a montré ses limites ce soir. Ils vont couler et leur calendrier est plus compliqué que le notre. 

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il y a 50 minutes, Yusuf Akbar a dit :

 

Marseille a montré ses limites ce soir. Ils vont couler et leur calendrier est plus compliqué que le notre. 

Comment ça leur calendrier est plus dur que le notre !?

Sur les 6 matchs de 2ème partie de saison, ils ont joué Nice, Monaco et le PSG quand nous on a joué que Nice et il nous reste donc les 2 derniers à jouer et le reste, on a joué que des équipes de bas de tableau...

Modifié par karldu91
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il y a 42 minutes, karldu91 a dit :

Comment ça leur calendrier est plus dur que le notre !?

Sur les 6 matchs de 2ème partie de saison, ils ont joué Nice, Monaco et le PSG quand nous on a joué que Nice et il nous reste donc les 2 derniers à jouer et le reste, on a joué que des équipes de bas de tableau...

On a deux déplacements difficiles au Parc voir Rennes quand Marseille a quasiment que des déplacements difficiles à négocier (Lyon, Rennes, Mille et aussi Reims qui est toujours difficile) puis on va au Moustoir comme Marseille. 
 

Sachant que dans notre sanctuaire de Bollaert on risque de faire carton plein. Je préfère milles fois notre calendrier. 
 

puis on a pu voir ce soir la différence de nous avec Marseille. Mis a part la fin de match où Paris était les doigts de pieds en éventail avec plus de réussite le 1-5 n’aurait pas été scandaleux. Marseille a vraiment du mal face à l’adversité. (Raison de plus pour voir le RCL en ligue des champions pour remonter le coefficient européen)

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il y a 54 minutes, Yusuf Akbar a dit :

On a deux déplacements difficiles au Parc voir Rennes quand Marseille a quasiment que des déplacements difficiles à négocier (Lyon, Rennes, Mille et aussi Reims qui est toujours difficile) puis on va au Moustoir comme Marseille. 
 

Sachant que dans notre sanctuaire de Bollaert on risque de faire carton plein. Je préfère milles fois notre calendrier. 
 

puis on a pu voir ce soir la différence de nous avec Marseille. Mis a part la fin de match où Paris était les doigts de pieds en éventail avec plus de réussite le 1-5 n’aurait pas été scandaleux. Marseille a vraiment du mal face à l’adversité. (Raison de plus pour voir le RCL en ligue des champions pour remonter le coefficient européen)

On reçoit Lille, Marseille, Monaco, Reims --> j'attendrais perso avant de parler de potentiel carton plein...

On va à Paris, Rennes, Lorient et Toulouse --> Et puis à l'extérieur on galère contre tout le monde, donc bon

Non, leur calendrier n'est pas plus dur, au contraire, ils ont déjà joué 3 des gros alors que nous 1.

Et puis, l'élément que tu oublies, c'est que Marseille est la meilleure équipe de L1 à l'extérieur, ils sont même meilleurs à l'extérieur qu'à domicile.

Et puis, comparer notre match face au Psg et le match de ce soir, ça n'a aucun sens. Sinon, contre Troyes, Brest, Strasbourg et Montpellier on a vu aussi la différence par rapport à Marseille quand eux les jouait !? Lille a pris 7-1 contre le PSG, donc c'est la plus mauvaise équipe de L1 ?

Ca n'a pas de sens de comparer comme ça. Chaque match sa vérité, ce qui compte c'est la régularité des perfs, et la dessus ils sont au dessus.

 

Modifié par karldu91
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RC Lens : « À Bollaert, les gens sont chez eux », analyse le sociologue Williams Nuytens

 

Williams Nuytens est sociologue, professeur des universités à l’université d’Artois, où il dirige le laboratoire SHERPAS (sociologie, histoire, éducation, représentations, pratiques et activités sportives) à Liévin.

 

Quelle est la particularité du kop du RC Lens ? Quelle est la part de sa situation, rare, en tribune latérale du stade ?

« Dès que les joueurs entrent sur le terrain, ils sont face au peuple. Le kop, c’est le cœur de l’identification, le foyer de l’attachement, et il fait tout de suite face aux principaux acteurs. On ne se cache pas, on ne se met pas dans un virage, derrière un but. C’est le principal foyer de polychromie et de polyphonie, là où il y a le plus de bruit, de musique, le plus de formes d’attachement. Bollaert a déjà été modernisé deux fois mais sa configuration n’a pas été modifiée. Les gens y sont chez eux, avec cet ancrage territorial à l’intérieur. »

 

Qu’est-ce que ça change au fond ?

« Ça ne change pas. Il ne faut pas avoir une vision fantasmée du public de Bollaert au sens indéfectible. Mais même en Ligue 2, il y avait quand même un fond d’attachement et d’identification supérieur à la plupart des autres stades en France, qui le rapproche de Marseille. Ça veut dire un très fort ancrage, une forte proximité entre le public et le club. Ça tient à une identité de club qui se confond avec l’identité de l’histoire économique et sociale locale, fondée sur les valeurs de courage, de dépassement de soi, d’effort, de travail, du "mouiller le maillot", du donner. C’est fondamental. »

Comment cet ancrage a t-il été conservé au fil du temps ?

« On est parvenus à travers les décennies, grâce à l’activité conjointe des dirigeants, des joueurs, des commentaires, à installer un récit à propos de ce stade fondé sur une part de vérité, le fond qui est là, et cette imbrication entre des valeurs de club et de joueurs idéalisées et les valeurs idéalisées d’un bassin, industriel, de population, d’immigration. Le temps passe mais ce passé encore aujourd’hui difficile à digérer, cette désindustrialisation dont on subit les conséquences, c’est quelque chose qu’on met en avant, à quoi les gens qui sont dans le stade et les aficionados adhèrent aussi. C’est une forme de survivance. Ce qui est fort dans ce stade, même si c’est de façon éphémère, c’est que c’est créateur d’énormément de lien social au-delà du plaisir d’un spectacle sportif. Si ce n’était que ça, quand il n’y a pas de résultats, il n’y aurait personne. Quand les deux, la trajectoire sportive positive et on mange du lien social, sont là, les gens sont heureux. Bollaert, ce n’est pas le cas typique de ce qui se passe dans les stades mais un cas exemplaire d’un attachement populaire. »

 

Qu’a changé l’émergence des groupes ultras dans le kop ?

« Il y a un écho entre le kop et un groupe, les Tigers, qui se confond de plus en plus avec lui. Ça ressemble un peu à ce qui s’est passé au Vélodrome. Au PSG, par différents plans sécuritaires, on a régulé le supportérisme autonome, on l’a rendu progressivement plus docile. Dès lors qu’on souhaite le contrôle, c’est comme une pilule de curare, ça finit par disparaître. Là, pas du tout.

En une vingtaine d’années, on est passé d’une forme d’engagement ultra, qui n’est pas la norme, stigmatisée, étiquetée problématique et criminogène, à une forme d’engagement qui peut modifier la norme comportementale dans le stade, avec une diffusion des chants, la généralisation des tifos, ce n’était pas gagné. Et même la diffusion d’une posture du supporter qui est plus critique, avertie, informée de ce qu’est malheureusement devenu le foot : un spectacle pour le peuple qui, si on n’y prête pas attention, peut lui être de plus en plus confisqué car le prix des places deviendrait trop élevé, les matchs seraient programmés à des heures où le peuple ne peut pas venir, etc. »

Le RC Lens ne vit toutefois pas hors du marché du football…

« À Lens, même si on est dans une économie de marché médiatique, on a l’impression que le spectacle du foot reste la propriété du peuple. Aussi parce qu’on a compris que c’était dans l’intérêt de l’ambiance et de l’image du club. Tout ça crée une forme de stabilité. À Bollaert, vous savez qu’un truc ne va jamais varier, c’est le spectacle dans les tribunes. »

(VDN-VDS)

 

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il y a une heure, manico a dit :

RC Lens : « À Bollaert, les gens sont chez eux », analyse le sociologue Williams Nuytens

 

Williams Nuytens est sociologue, professeur des universités à l’université d’Artois, où il dirige le laboratoire SHERPAS (sociologie, histoire, éducation, représentations, pratiques et activités sportives) à Liévin.

 

Quelle est la particularité du kop du RC Lens ? Quelle est la part de sa situation, rare, en tribune latérale du stade ?

« Dès que les joueurs entrent sur le terrain, ils sont face au peuple. Le kop, c’est le cœur de l’identification, le foyer de l’attachement, et il fait tout de suite face aux principaux acteurs. On ne se cache pas, on ne se met pas dans un virage, derrière un but. C’est le principal foyer de polychromie et de polyphonie, là où il y a le plus de bruit, de musique, le plus de formes d’attachement. Bollaert a déjà été modernisé deux fois mais sa configuration n’a pas été modifiée. Les gens y sont chez eux, avec cet ancrage territorial à l’intérieur. »

 

Qu’est-ce que ça change au fond ?

« Ça ne change pas. Il ne faut pas avoir une vision fantasmée du public de Bollaert au sens indéfectible. Mais même en Ligue 2, il y avait quand même un fond d’attachement et d’identification supérieur à la plupart des autres stades en France, qui le rapproche de Marseille. Ça veut dire un très fort ancrage, une forte proximité entre le public et le club. Ça tient à une identité de club qui se confond avec l’identité de l’histoire économique et sociale locale, fondée sur les valeurs de courage, de dépassement de soi, d’effort, de travail, du "mouiller le maillot", du donner. C’est fondamental. »

Comment cet ancrage a t-il été conservé au fil du temps ?

« On est parvenus à travers les décennies, grâce à l’activité conjointe des dirigeants, des joueurs, des commentaires, à installer un récit à propos de ce stade fondé sur une part de vérité, le fond qui est là, et cette imbrication entre des valeurs de club et de joueurs idéalisées et les valeurs idéalisées d’un bassin, industriel, de population, d’immigration. Le temps passe mais ce passé encore aujourd’hui difficile à digérer, cette désindustrialisation dont on subit les conséquences, c’est quelque chose qu’on met en avant, à quoi les gens qui sont dans le stade et les aficionados adhèrent aussi. C’est une forme de survivance. Ce qui est fort dans ce stade, même si c’est de façon éphémère, c’est que c’est créateur d’énormément de lien social au-delà du plaisir d’un spectacle sportif. Si ce n’était que ça, quand il n’y a pas de résultats, il n’y aurait personne. Quand les deux, la trajectoire sportive positive et on mange du lien social, sont là, les gens sont heureux. Bollaert, ce n’est pas le cas typique de ce qui se passe dans les stades mais un cas exemplaire d’un attachement populaire. »

 

Qu’a changé l’émergence des groupes ultras dans le kop ?

« Il y a un écho entre le kop et un groupe, les Tigers, qui se confond de plus en plus avec lui. Ça ressemble un peu à ce qui s’est passé au Vélodrome. Au PSG, par différents plans sécuritaires, on a régulé le supportérisme autonome, on l’a rendu progressivement plus docile. Dès lors qu’on souhaite le contrôle, c’est comme une pilule de curare, ça finit par disparaître. Là, pas du tout.

En une vingtaine d’années, on est passé d’une forme d’engagement ultra, qui n’est pas la norme, stigmatisée, étiquetée problématique et criminogène, à une forme d’engagement qui peut modifier la norme comportementale dans le stade, avec une diffusion des chants, la généralisation des tifos, ce n’était pas gagné. Et même la diffusion d’une posture du supporter qui est plus critique, avertie, informée de ce qu’est malheureusement devenu le foot : un spectacle pour le peuple qui, si on n’y prête pas attention, peut lui être de plus en plus confisqué car le prix des places deviendrait trop élevé, les matchs seraient programmés à des heures où le peuple ne peut pas venir, etc. »

Le RC Lens ne vit toutefois pas hors du marché du football…

« À Lens, même si on est dans une économie de marché médiatique, on a l’impression que le spectacle du foot reste la propriété du peuple. Aussi parce qu’on a compris que c’était dans l’intérêt de l’ambiance et de l’image du club. Tout ça crée une forme de stabilité. À Bollaert, vous savez qu’un truc ne va jamais varier, c’est le spectacle dans les tribunes. »

(VDN-VDS)

 

Ce n’est pas pour rien que la France nous jalouse !

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Il y a 12 heures, karldu91 a dit :

Non non, c’est bien 6pts en 6 matchs.

Auxerre c’était le match aller.

Tu as raison. J'y ai repensé cette nuit et j'allais corriger !!! Mais je le doutais que la réponse serait arrivée avant !!  :D3:

Modifié par Clorith
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Semaine terriblement exitante. Avoir une demi finale à Bollaert, ça serait génial avec un derby qui se profile. Par contre parler de liberté ou de répression quand il s'agit de juste présenter sa carte d'identité. Après tout ce qui s'est passé l'année dernière, c'est quand même un peu fort. Les lillois peuvent même s'estimer heureux de venir à Bollaert. 

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Bon, ben, on finira 6e alors :^^: Mais on sera content, ce sera notre meilleur classement depuis 2007 ! Et que c'est déjà énorme vis-à-vis de nos 15 dernières années, souvenons-nous du passé récent que diable. Alors qu'il y avait la place pour tellement mieux avec cette équipe :damned:

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Heureusement qu'on n'est pas relégables, qu'est ce qu'ils prendraient sinon.

Pour l'heure, on est 4ème avec 50 points et seulement 3 défaites. Place au derby désormais. J'espère que Medina n'est pas trop touché et qu'il a juste été sorti par sécurité. On aurait besoin de lui, notamment pour son apport dans la construction.

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