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[L1: Saison 2022/2023 du RC Lens] Terminer le plus haut possible


manico
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Trouver le parfait binôme en défense centrale, c'est déjà compliqué, alors en trouver 3 qui s'accordent parfaitement... Et pourtant, on l'a fait. Le jour où il faudra les remplacer, faudra pas se tromper sur les profils. De toute façon, il y aura forcément une nouvelle période d'adaptation vu comment ces 3-là s'entendent.

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il y a 55 minutes, DamieN62 a dit :

Trouver le parfait binôme en défense centrale, c'est déjà compliqué, alors en trouver 3 qui s'accordent parfaitement... Et pourtant, on l'a fait. Le jour où il faudra les remplacer, faudra pas se tromper sur les profils. De toute façon, il y aura forcément une nouvelle période d'adaptation vu comment ces 3-là s'entendent.

3 qui sont 4 comme les mousquetaires ! Si on en croit ce que dit Samba. N'oublions pas Haidara qui réalise une belle saison.

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il y a 1 minute, tibocm1 a dit :

Je pense que du coup, on peut légitimement jouer l’Europe de nouveau, l’an prochain. Pas forcément la ligue des champions mais au moins la conférence ligue. 

Dans 2 ans ^^

7 e quipe sur 18 quasi 50% des équipes :D3:

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Il y a 7 heures, Clorith62 a dit :

Avec les résultats que notre Racing va avoir en Europe, la France va gagner des points et gagner encore des places qualificatives. 😅

Essayons déjà de stabiliser la 5eme place, ce qui est loin d’être fait car on a les pays bas et le Portugal collés aux basques

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https://www.ligue1.fr/Articles/Actu/2023/05/11/frankowski-si-discret-mais-si-important-pour-lens

Frankowski, si discret mais si important pour Lens

Reconverti piston par Franck Haise, l’international polonais Przemyslaw Frankowski est un élément moteur du RC Lens depuis son arrivée en août 2021.

Bien que d'un naturel discret, Przemyslaw Frankowski a rapidement su s'imposer dans le jeu lensois à son arrivée à l'été 2021, et enchaîne les prestations de haut niveau avant la réception du Stade de Reims, vendredi (21h00), lors de la 35e journée de Ligue 1 Uber Eats.

S'il fait moins de bruit que n'en faisait Jonathan Clauss, deux fois membre de l'équipe-type de Ligue 1 Uber Eats sous les couleurs lensoises, le Polonais de 28 ans affiche une forme rayonnante et une régularité impressionnante.

L'ailier polonais, reconverti piston par Franck Haise (d'abord à gauche, puis à droite cette saison), récite ses partitions sans fausse note. « Depuis qu'il est là, il est bon. Peut-être qu'il a eu des coups de moins bien parfois, mais depuis qu'on l'a recruté, on peut apprécier sa régularité », saluait récemment son entraîneur.

Un coup de moins bien, le troisième joueur le plus utilisé par Franck Haise cette saison (2571 minutes) en a connu un au début de cet exercice. Peut-être a-t-il alors eu du mal à digérer sa première saison réussie en Artois, ou la concurrence amenée par Jimmy Cabot l'a-t-elle fait douter. Mais, depuis le milieu de l'automne et le déplacement à l’Orange Vélodrome (victoire 0-1 le 22 octobre), "Frankie" n'a quasiment jamais rendu de mauvaise copie et tient une place importante dans le collectif lensois. Il est ainsi le Sang et Or qui a réalisé le plus d’interceptions cette saison (40). Il est aussi présent à la création, lui qui est le Lensois qui a délivré le plus de dernières passes avant un tir (64), ainsi que celui qui a réalisé (236) et réussi (58) le plus de centres.

Mieux, il a su redevenir décisif (4 buts et 1 passe décisive depuis janvier), notamment dans les gros matchs, à l'image de ses buts lors des deux confrontations avec le PSG (victoire 3-1 à l'aller, défaite 3-1 au retour) et de son centre millimétré pour la tête de Loïs Openda la semaine dernière face à l’OM (2-1).

A ce titre, Frankowski est un véritable porte-bonheur pour le Racing. Quand il est directement impliqué sur un but, ce qui est arrivé 18 fois depuis ses débuts en Artois, le RC Lens ne s'incline quasiment jamais, la seule exception demeurant la défaite au Parc des Princes en avril.

« Maîtrise émotionnelle et technique »

Le numéro 29 artésien se fait discret, certes, mais son importance ne cesse de grandir dans le 11 sang et or. Il en est même devenu l'artilleur numéro 1 sur pénalty. « J'ai fait ce choix parce qu'il est maître de ses émotions, maître de sa technique, et les deux sont souvent liés », confie Franck Haise.

Son entraîneur ne cesse de louer ses qualités évidentes : « Il a une très bonne connaissance du jeu. Sa formation à d'autres postes lui a permis de s'ouvrir à beaucoup de choses. Il a une polyvalence et une expérience internationale qui comptent. Il a voyagé, joué en MLS (le championnat nord-américain avec Chicago Fire, NDLR), joue avec la Pologne depuis plusieurs saisons, il a fait une Coupe du Monde... »

Sur le cap franchi par Frankowski depuis son arrivée, Franck Haise a sa petite idée : « C'est un joueur qui a continué à progresser chez nous parce qu'il a aussi trouvé un endroit où il pouvait s'exprimer, où il se sent bien dans une vie de groupe agréable et fluide ».

 

Forcément de quoi mettre Frankowski en confiance, aussi bien sur les terrains qu'en-dehors. Récemment, "Frankie" assurait sur le site de la fédération polonaise que le RCL était « une équipe suffisamment bonne pour conserver la deuxième place ». Pour cela, les Sang et Or et leur piston droit devront répondre présent face au Stade de Reims.

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Il y a 1 heure, Toutankhâmon a dit :

Essayons déjà de stabiliser la 5eme place, ce qui est loin d’être fait car on a les pays bas et le Portugal collés aux basques

:clindoeil:

Tu as dû rater le  :D3:

Modifié par Clorith
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il y a 25 minutes, vince a dit :

RC Lens : « Bollaert est configuré pour accueillir plus de monde », assure Arnaud Pouille

– La fermeture des angles du stade est-elle envisageable ?

« Fermer les angles, ça touche à l’identité vraiment du stade, du club, ça ne pourrait se faire qu’en parfait accord avec les supporters et l’écosystème. Je n’ai jamais ouvert le dossier parce que je sais que je peux le refermer aussi vite. Ce sont des sujets qui touchent à ton ADN, à l’affect des gens avec le stade, à l’émotion qu’il procure. On travaille en revanche pour améliorer l’animation autour des matchs et l’accueil, notamment en travaillant mieux sur les zones derrière les tribunes. Enfin, s’il devait y avoir un jour des investissements structurels, il faudrait que ça se fasse dans un autre cadre juridique. Le bail emphytéotique est un cadre relativement fragile. On verra ce que donnent les discussions d’évaluation du stade et de possible acquisition. »

Euh, quand j'ai commencé à aller au stade, on était en pesage, c'étaient des places dans un virage, entre les actuelles Tranin etMarek (à l'époque, le virage et les secondes). C'étaient les places les moins chères du stade. La construction de la Trannin a supprimé ces virages, mais il y en avait encore en face, à la place de l'actuelle Delacourt, comme on peut le voir sur la photo ci-dessous.

Sans en revenir à un stade ovale, beaucoup moins bien pour une ambiance de foot, je ne pense pas que la fermeture des angles soient un problème majeur par rapport à l'histoire du stade et l'identité du club. Maintenant, je ne sais pas combien de places ça pourrait amener en plus.

Bollaert 1974.jpg

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il y a 23 minutes, Clorith a dit :

Euh, quand j'ai commencé à aller au stade, on était en pesage, c'étaient des places dans un virage, entre les actuelles Tranin etMarek (à l'époque, le virage et les secondes). C'étaient les places les moins chères du stade. La construction de la Trannin a supprimé ces virages, mais il y en avait encore en face, à la place de l'actuelle Delacourt, comme on peut le voir sur la photo ci-dessous.

Sans en revenir à un stade ovale, beaucoup moins bien pour une ambiance de foot, je ne pense pas que la fermeture des angles soient un problème majeur par rapport à l'histoire du stade et l'identité du club. Maintenant, je ne sais pas combien de places ça pourrait amener en plus.

Bollaert 1974.jpg

La visibilité serait pas géniale et ça coûterait quand même assez cher je suppose. Je préfère qu'il soit envisagé un agrandissement de la Marek-Xercès en hauteur. Ça ferait plus joli et ça finirait le stade. 

Modifié par david79
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Kevin Danso, Florian Sotoca, Brice Samba et Jonathan Gradit se sont imposés face à l'OM (2-1, samedi dernier), et les Lensois occupent désormais la deuxième place de Ligue 1. (B.Fernandez/Icon Sport)
 
Kevin Danso, Florian Sotoca, Brice Samba et Jonathan Gradit se sont imposés face à l'OM (2-1, samedi dernier), et les Lensois occupent désormais la deuxième place de Ligue 1. (B.Fernandez/Icon Sport)
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À Lens, la force de l'équipe repose aussi sur l'esprit de famille qui règne dans le vestiaire

L'incroyable saison de Lens repose sur l'unité d'un groupe où la notion de famille revient dans chaque discours. Plongée dans le vestiaire artésien.

Nathan Gourdolmis à jour le 12 mai 2023 à 00h00
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Il faudrait avoir du temps devant soi pour compter combien de fois le champ lexical de l'unité est revenu dans les discours lensois cette saison. « On forme vraiment une famille, peu importe le statut de chacun, tout le monde se respecte. Je n'avais jamais connu un vestiaire comme ici », témoignait encore le défenseur autrichien Kevin Danso, mercredi. « Cette force, elle transpire de partout, ça pue même », poursuit le gardien Brice Samba, arrivé l'été dernier.

 

Ce ciment social, évidemment renforcé par les victoires, est le socle de la plus belle saison comptable de l'histoire du club (72 points), comme le confirme le manager général, Franck Haise : « Pouvoir s'appuyer sur un vestiaire qui s'apprécie, qui accepte de corriger les erreurs des autres et les failles de chacun, je ne sais pas quelle part ça a dans notre réussite, mais évidemment que ça compte énormément. »

« Il y a des petits groupes mais qui forment un ensemble uni »

Steven Fortes, défenseur de Lens

 
 
 

Ancien pilier du vestiaire artésien (2018-2020), Walid Mesloub, désormais entraîneur adjoint de la réserve (N3), le ressent même sans y être : « Quand je passe une tête, je ne vois que des sourires, de la bonne humeur, pas d'état d'âme. Il y a une cohésion dingue, et ça fait la force de ce groupe. » Il insiste sur l'importance de ses ex-coéquipiers, Jean-Louis Leca, Massadio Haïdara, Steven Fortes, Florian Sotoca et Jonathan Gradit « qui étaient là à la renaissance du club, ont appris les valeurs et principes avant de les transmettre ».

 

« À moins d'être ultra-renfermé, c'est impossible de ne pas t'intégrer dans ce vestiaire, assure le défenseur Fortes, 31 ans, qui joue peu (6 minutes en L1) mais constitue un totem. J'ai connu des effectifs où il y avait des clans qui ne communiquaient quasiment pas. C'est tout l'inverse ici, il y a des petits groupes mais qui forment un ensemble uni. »

bfe3d.jpg
 

Plusieurs cercles d'affinités existent, mais ils se mélangent. Des figures émergent, évidemment, comme le gardien corse Jean-Louis Leca, « le doyen du vestiaire (37 ans), qui encadre, capable d'être déconneur avec tout le monde et d'être ultra-sérieux quelques secondes après », selon Fortes.

Sotoca surnommé « Poulette », Openda, « Tchoupi »

Les inséparables, Gradit et Sotoca, arrivés à l'été 2019, fédèrent énormément, et les recrues hivernales, Adrien Thomasson et Julien Le Cardinal, ont logiquement choisi de se mettre sous leur aile.

« Ils sont cul et chemise », s'amuse Brice Samba. Si Sotoca, alias « Poulette », est un rigolard discret, Gradit fait partie du groupe des chambreurs. « C'est un spécimen, il est très moqueur, comme moi, Wesley Saïd, David Pereira Da Costa, qui fait sage mais qui n'en manque pas une, ou Ismaël Boura », avance Fortes, dit « la Forteresse », proche d'Haïdara et du buteur belge Loïs Openda, alias « Tchoupi ».

Loïs Openda, le buteur lensois. (A. Réau/L'Équipe)
 
Loïs Openda, le buteur lensois. (A. Réau/L'Équipe)

L'emblème cap-verdien désigne ensuite Salis Abdul Samed comme roi des ambianceurs : « Dès qu'il entre dans une pièce, tu sais qu'il est là, il est toujours en train de danser, de sauter, de crier. C'est capital d'avoir un mec comme ça. "Salissou" transmet sa joie de vivre. Même un jour où tu es moins bien, tu es obligé de rigoler parce qu'il fait le con. » Facundo Medina, « le plus extravagant, que tu entends hurler partout », et Junior « Papi » Onana, « sacrément touché aussi », rivalisent en termes de folie.

« Brissou » Samba, lui, est l'intouchable DJ. « Il y a de tout, musique africaine, rap, etc. On n'a pas un son qui revient. Mais c'est moi qui contrôle », tient à préciser le gardien. « Que ce soit à 6 heures du matin ou à 19 heures, il va te mettre son enceinte à fond. Il n'arrête que dix secondes avant l'entraînement », complète Fortes.

Fofana, lien entre jeunes et anciens, et entre joueurs et staff

Seko Fofana assume de son côté le rôle du « capitaine qui peut s'amuser avec tout le monde », poursuit le défenseur. Il n'y a aucune fracture entre les jeunes et les plus anciens, ou avec les étrangers, et c'est grâce à un mec comme Seko par exemple. »

Seko Fofana, le milieu et capitaine du RC Lens. (A. Réau/L'Équipe)
 
Seko Fofana, le milieu et capitaine du RC Lens. (A. Réau/L'Équipe)

Le capitaine forme, avec Samba, Gradit et Sotoca, un groupe de quatre cadres choisis par Haise pour assurer le lien groupe-staff. Ce sont d'ailleurs souvent eux qui se permettent de perturber les conférences de presse des copains à la Gaillette, quand ce n'est pas Medina qui se pointe avec une casquette à oreilles de vache pour soutenir son pote, Deiver Machado.

Malgré quelques parties de cartes pendant les trajets en car, les écrans ont pris le pas sur le plan des activités hors football. Samba, Sotoca, Machado et Medina s'écharpent en ligne au Ludo (jeu qui se rapproche des petits chevaux), où « Fac' est pas mal », concède difficilement Samba. Il y a aussi la bande des « geeks » qui s'affrontent à divers jeux vidéo, avec Angelo Fulgini, Danso, Openda et Haïdara, d'ailleurs surnommé « Maskass », en lien avec un personnage de Super Mario.

En dehors du club, certains se retrouvent parfois à des padels organisés par Leca et Sotoca durant les trêves internationales. Le groupe a aussi pris l'habitude de sortir après les matches à domicile qui se terminent bien, pour cultiver l'esprit de cohésion. Le succès face à l'OM, samedi dernier (2-1), a ainsi été dignement fêté, et tout un groupe espère se lâcher à nouveau cette nuit.

publié le 12 mai 2023 à 00h00mis à jour le 12 mai 2023 à 00h00
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Ca ma gave tous ceux qui disent que l'identité du stade c'est historiquement un stade à l'anglaise alors que pendant des décennies il y a eu des virages.

 

Sinon quelqu'un peut m'expliquer pourquoi on dit que Boli est le recodman des buts du racing sur une saison alors que, par exemple, A Oudjani a mis bien plus de buts que lui (une trentaine en une saison par exemple).

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il y a 10 minutes, fleurdelens a dit :

Ca ma gave tous ceux qui disent que l'identité du stade c'est historiquement un stade à l'anglaise alors que pendant des décennies il y a eu des virages.

 

Sinon quelqu'un peut m'expliquer pourquoi on dit que Boli est le recodman des buts du racing sur une saison alors que, par exemple, A Oudjani a mis bien plus de buts que lui (une trentaine en une saison par exemple).

On est d'accord !!!

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La semaine dernière, on a officialisé la conférence ligue et l'Europa ligue, ce week-end, on pourrait officialiser la LDC (les barrages). Si Lens gagne ce soir et que Monaco ne gagne pas, ça sera fait. 

 

Modifié par tibocm1
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il y a 30 minutes, fleurdelens a dit :

Ca ma gave tous ceux qui disent que l'identité du stade c'est historiquement un stade à l'anglaise alors que pendant des décennies il y a eu des virages.

 

Sinon quelqu'un peut m'expliquer pourquoi on dit que Boli est le recodman des buts du racing sur une saison alors que, par exemple, A Oudjani a mis bien plus de buts que lui (une trentaine en une saison par exemple).

Le record de Boli, c'est par rapport au fait que c'est le dernier lensois à avoir marqué 20 buts sur une saison et aussi le dernier lensois à avoir terminé meilleur buteur. C'est surtout par rapport à la barre symbolique des 20 buts en fait.

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