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Il y a 20 heures, Amaury a dit :

Ah oui.

Il fait une sacrée saison en tout cas!

Je vois encore les commentaires de gens qui affirmaient que Michut est meilleur (sans les avoir vu jouer bien entendu), uniquement car ils ne supportaient pas que Simons soit populaire 😂 

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à l’instant, Amaury a dit :

Oui peut-être mais l'enchaînement est quand même très rapide.

C'est bien joué oui. Mais des buts comme ça on en voit tous les week-end. Après, à voir ce qu'il fera sur la durée.

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il y a 20 minutes, CoeurO a dit :

 

Alors là j'ai tellement de conneries qui me passent par la tête que cela fait embouteillage dans le cerveau et que je ne sais plus quoi dire. J'adore le comique de situation et là j'avoue que je trouve cela extrêmement croustillant. Sinon là clairement, on peut penser et dire que les Lyonnais ont les boules 😂

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Et j'imagine même pas la gueule du supporter lambda qui va aux chiottes pour aller pisser et tombe sur une scène de hard avec les caméramans et les éclairagistes 🤣

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il y a 43 minutes, CoeurO a dit :

il s'agit d'un film amateur lors du match nice-lille

Alors celle là, on l'avait jamais faite 😅. Approche toi que je te mets un but lol

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https://maligue2.fr/2023/02/16/radiation-de-larbitrage-pour-bartolomeu-varela-qui-officiait-en-ligue-2-par-le-passe/

 

Voilà, je voulais faire un clin à ce que je considère comme un des pires arbitres de l'histoire du foot pro français. Je garderai toujours en souvenir emblématique de lui un certain Lens-Sochaux absolument surréaliste il y a une dizaine d'années, pour ceux qui s'en souviennent. 😅

  • 2 weeks later...
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Pourquoi les tirs au but ne sont pas une loterie

Ordre des tireurs, zones à cibler et surtout dimension psychologique : de nombreuses études ont montré comment maîtriser le caractère soi-disant aléatoire des séances de tirs au but.

Anthony Thomas-Comminmis à jour le 7 mars 2023 à 14h31
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La Coupe du monde, l'Euro, la CAN, la Ligue Europa, la Cup anglaise, la Coupe d'Allemagne, la Coupe d'Espagne : toutes les dernières finales de ces compétitions se sont jouées aux tirs au but. On n'est pas obligé de le rappeler mais l'équipe de France a été battue ainsi lors de ses deux dernières compétitions, à l'Euro face à la Suisse (3-3, 4-5 aux t.a.b.), et plus cruellement en finale de la Coupe du monde face à l'Argentine (2-2, 2-4 aux t.a.b.). Il y a deux semaines encore, Rennes et Monaco ont aussi vu leur parcours en Coupe d'Europe s'arrêter aux tirs au but. Avec à chaque fois, une même fatalité et amertume dans les commentaires : « Sur une séance de tirs au but, ça devient la loterie » (Lloris à l'Euro), « pour moi, le match s'est arrêté à la 120e, et après, c'est pile ou face » (Genesio en C3).

 

Ce sont des remarques qui peuvent agacer une partie des supporters et surtout les nombreux professionnels qui ont travaillé sur le sujet à l'image du journaliste Ben Lyttleton (auteur du livre Onze mètres, la solitude du tireur de penalty) ou du chercheur en psychologie Geir Jordet. « Si vous participez à un tournoi majeur avec l'ambition de gagner, vous commettez une erreur grossière si vous n'êtes pas préparé pour les tirs au but », insiste ce dernier auprès de CNN. « L'entraîneur et le staff de certaines équipes paniquent presque quand le match se joue aux tirs au but. On dirait qu'ils ne savent pas quoi faire. Pour d'autres équipes, tout est géré avant le match et totalement avant les tirs au but. »

Préparer l'exercice, oui mais comment ? Le sélectionneur de l'Espagne Luis Enrique a donné sa recette lors de la dernière Coupe du monde, avant le quart de finale contre le Maroc (0-0, 0-3 aux t.a.b.) : « Cela fait plus d'un an, lors d'un rassemblement, que j'ai prévenu les joueurs qu'ils devaient arriver au Mondial en ayant tiré au moins 1000 penalties. J'imagine que la majorité auront fait leurs devoirs. Dans un moment de tension maximale, il faut montrer qu'on peut tirer le penalty de manière déterminée. » Le lendemain, son équipe était éliminée aux tirs au but avec un 0/3 dans l'exercice. Une issue qui semble renforcer l'idée de jeu de hasard. Même impuissance du côté d'Hugo Lloris après la finale contre l'Argentine : « Tu as beau avoir tout analysé chez les tireurs argentins, avoir réfléchi aux trois options à prendre, à droite, à gauche et au milieu, avoir regardé ce qu'ils ont fait lors de leurs cinquante penalties précédents, il y a d'autres données... »

Le geste : une frappe précise sans puissance excessive dans la lucarne gauche

L'exercice n'est pas vraiment irrationnel, comme le montrent les statistiques qui agrègent les données sur les penalties ou les tirs, comme l'imposante synthèse d'Instat publiée en 2021 à partir de 90.000 tirs analysés. En résumé, on y apprend que les joueurs avec de l'expérience (28-30 ans) et aux postes offensifs ont la meilleure réussite et que techniquement la meilleure façon de frapper est de prendre au moins cinq pas d'élan, de regarder le gardien de but plutôt que le ballon, de privilégier la précision du tir à la puissance. Il est plus efficace de viser la lucarne gauche (83,5 % de réussite) et le coin à droite (83,3 %) que le centre (71,1 %).

 

Un certain paradoxe entoure les tirs sur penalty : 100 % des frappes envoyées dans la partie haute du but ont été converties, rappelle l'historique de la Coupe du monde. Pourtant, les joueurs privilégient les parties centrales ou basses. Une explication est que viser la lucarne implique un plus grand risque de manquer le cadre mais même en intégrant ces tirs qui finissent sur la barre ou au-dessus du but (on se souvient de Roberto Baggio avec l'Italie contre le Brésil en 1994), la réussite vaut toujours la prise de risque. Mais comme l'a montré une étude de Michael Bar-Eli et Ofer H. Azar, résumée par Sciences Humaines, une certaine forme d'irrationalité, liée au regard du public et des autres joueurs, prend le dessus : « Le buteur préfère prendre le risque d'être arrêté par le gardien plutôt que celui de mettre le ballon hors de la cage en tirant haut, parce que c'est plus déshonorant. »

 

Made with Flourish

 

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L'ordre des tireurs plus important que l'ordre des équipes

Une étude publiée en 2010 par l'Espagnol Ignacio Palacios Huerta (London School of Economics) donnait 60 % de chances de gagner à l'équipe qui tirait en premier lors de la séance. Cela avait même poussé la FIFA à imaginer un nouveau système pour les séances. Les données agrégées par Instat ont minoré cet avantage (51,48 % de victoires pour les premiers qui tirent). En Coupe du monde, le bilan est peu concluant sur ce critère avec 18 défaites sur 35 pour l'équipe qui ouvrait la séance.

C'est plutôt l'ordre des joueurs qui pèse sur l'issue du duel : dans l'histoire de la Coupe du monde, l'équipe qui rate sa première tentative perd dans 80 % des cas. D'où l'intérêt de mettre un tireur efficace dès le début de la séance. L'élimination du Brésil par la Croatie (1-1, 2-4 aux t.a.b.) sans que Neymar, placé en 5e tireur, puisse se présenter face au gardien de but adverse, a relancé ce débat. Dans l'histoire de la Coupe du monde, près de la moitié des équipes perdantes (16/35) ne sont même pas allées jusqu'à leur cinquième tentative. Le chiffre s'est ancré dans l'esprit de l'entraîneur du PSG Christophe Galtier qui glissait vendredi dernier en conférence de presse : « A mes yeux, le meilleur ne doit jamais être le cinquième car parfois il ne tire pas. Il y a un ordre à respecter et ceux qui ont le plus de qualité et de cran doivent être vraiment au coeur de la série. »

Un duel d'abord psychologique

S'il a avoué une certaine impuissance après l'élimination de Rennes en Ligue Europa face au Chakhtior Donestk (2-1, 4-5 aux t.a.b.), Bruno Genesio a néanmoins exposé en même temps ce qui a semblé lui échapper : « Lorsque vous arrivez au bout de 120 minutes de jeu avec la pression pour se qualifier, ce n'est plus seulement un exercice technique. Sinon, pourquoi Maradona, Platini ou d'autres très grands joueurs en auraient raté ? Ça devient un exercice mental. » Là encore, l'histoire de la Coupe du monde est le meilleur révélateur : 73,9 % des penalties accordés pendant les matches ont été convertis (17/23) mais le taux de réussite a plongé lors des séances de tirs au but (63,4 %).

On est là au coeur de l'analyse de Geir Jordet où l'enjeu psychologique concerne aussi bien la gestion de son équipe, que le duel gardien - tireur. En prenant l'exemple de la dernière finale de la Cup remportée par Liverpool contre Chelsea (0-0, 6-5 aux t.a.b.), le Norvégien explique : « Tuchel (entraîneur de Chelsea) a interrogé ses joueurs sur qui devait tirer, devant toute l'équipe. Cela représente une grosse pression collective quand c'est fait de cette façon et la probabilité d'avoir des réponses honnêtes des joueurs se réduit. Cela crée du stress supplémentaire. »

Après la finale de la Coupe du monde, il a détaillé comment le gardien de but argentin Emiliano Martinez avait utilisé toute sa malice (ou son vice) pour saper la concentration des tireurs français : ballon lancé loin du tireur, demandes de vérification répétées à l'arbitre, célébration extravagante dès le premier arrêt, provocation adressée au tireur. Le « Machiavel du football », résume Jordet en parlant du gardien qui était déjà entré dans le cerveau des tireurs colombiens à la Copa America ou dans celui de Bruno Fernandes en Premier League.

L'exemple peut sembler extrême et irritant (« faire l'idiot dans le but, déstabiliser ostensiblement l'adversaire en jouant avec la limite, je ne sais pas le faire. Je suis trop rationnel, trop honnête », dira Lloris) mais il illustre parfaitement ce qu'a observé Jordet en compilant les séances : après une célébration intense, la réussite du joueur suivant de l'équipe baisse de 10-15 % ; un tireur qui attend le ballon avant sa frappe verra sa chance de marquer tomber d'au moins 20 %. Selon CNN, l'IFAB, l'institution qui fixe les règles du jeu, chercherait à préciser ce que les gardiens de but peuvent vraiment faire dans ce cas.

Une préparation impossible ?

Si la dimension technique du geste cède face à l'enjeu psychologique, le rôle de l'entraînement est évidemment relatif. « J'estime que tirer des penalties à l'entraînement en toute décontraction et en match avec une énorme pression, ça n'a rien à voir », disait Didier Deschamps lors de l'Euro 2016. Mais certains entraîneurs ont exploré quelques pistes pour préparer les joueurs à un contexte rare : à l'Euro 1976, les Tchécoslovaques s'exerçaient à tirer au milieu de cris de supporters diffusés par des enceintes avant de s'offrir l'Allemagne en finale (2-2, 5-3 aux t.a.b.) ; à la veille du quart de finale de Coupe du monde 2002 remporté contre l'Espagne (0-0, 5-3 aux t.a.b.), le sélectionneur de la Corée du Sud avait demandé à ses joueurs de marcher du rond central jusqu'au point de penalty avant de tirer.

Avant le Mondial 2018, le sélectionneur Gareth Southgate avait voulu rompre la malédiction de l'Angleterre en anticipant au maximum le nom et l'ordre des tireurs : cela lui avait souri contre la Colombie. Trois ans plus tard, le plan rationnel du coach anglais se fracassait en finale de l'Euro contre l'Italie (1-1, 2-3 aux t.a.b.). « Il est impossible de dupliquer à 100 % les conditions de la compétition à l'entraînement, mais vous pouvez essayer de le faire à 80 % », résume Lyttleton. Pour le reste ? « Je pense qu'il y a un aspect chance plus important que ce que la plupart des gens voudraient admettre », reconnaît Jordet, interrogé par The Athletic. Le pure player rappelle d'ailleurs que la France avait éliminé le Brésil (1-1, 4-3 aux t.a.b.) au Mondial 1986 grâce notamment à un tir au but de Bruno Bellone qui s'était écrasé sur le poteau avant de rebondir sur le dos du gardien de but brésilien et de finir au fond des filets. Digne d'une victoire à la loterie.

publié le 7 mars 2023 à 11h36mis à jour le 7 mars 2023 à 14h31
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Article interessant. Perso je suis pour les TAB pour départager des équipes. Comme c'est dit il y a un mélange de technique et de psychologique. Ce qui me gène ceux sont les "astuces" pour déconcentrer le tireur comme le gardien faisant le pitre. 

Posté(e)

Source : Foot National

National 2 : un joueur suspendu 15 ans pour avoir joué sous une fausse identité !

Un joueur de National 2 a été suspendu quinze ans par la FFF pour avoir joué sous une fausse identité.

La sanction était attendue… elle vient de tomber ! Ce mercredi, l’Olympique d’Alès a officialisé la suspension de son joueur Souleymane Diaby pour les quinze prochaines années. L’attaquant de 18 ans, apparu à cinq reprises cette saison au sein du Groupe C de National 2 sans avoir inscrit aucun but, a joué sous une fausse identité sous les ordres d’Hakim Malek. Le jeune joueur de 18 ans ne jouera donc plus pour l’OAC, lui qui a toutefois la possibilité de faire appel de cette décision prise par la Commission Fédérale des Règlements et Contentieux de la Fédération Française de Football. 

 

Sa carrière vient de se terminer avant d'avoir commencé !!!

 

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