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Foot vs Coronavirus


manico
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Pologne : les supporters de retour dans les stades le 19 juin mais en nombre restreint
 
Moins touchée par le Covid-19 que les pays de l'ouest de l'Europe, la Pologne, qui déconfine aussi plus vite (le port du masque ne sera plus obligatoire à partir de ce week-end à condition de maintenir une distance de deux mètres entre deux personnes), va renouer ce vendredi avec le football professionnel, comme son voisin allemand l'a fait dès le 16 mai. D'abord à huis clos pour les quatre dernières journées de la saison régulière puis, à partir du 19 juin et du début des play-offs, devant un contingent de spectateurs limité à 25 % de la capacité des stades.

Pas de supporters visiteurs
« Nous ferons en sorte que l'accès aux moyens de désinfection, l'achat des tickets, l'arrivée au stade ne mènent pas à des rassemblements et que les gens soient placés au stade de façon conforme aux normes sanitaires », a expliqué vendredi le Premier ministre, Mateusz Morawiecki. Le patron de la Fédération, l'ancienne star Zbigniew Boniek, a précisé que seuls les supporters locaux seraient autorisés.

Après 80 jours sans matches, les deux premières rencontres de la 27e des trente journées de la saison régulière débuteront à 18 heures et 20 h 30. À ce stade, le Legia Varsovie est un solide leader avec 8 points d'avance sur le Piast Gliwice, le tenant du titre.

 

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La Suisse reprendra à huis clos le 19 juin

La Super League suisse, interrompue depuis fin février, a encore treize journées à disputer pour boucler la saison.
 
Les clubs de la Super League suisse se sont accordés vendredi pour relancer le Championnat à partir du 19 juin, avec l'objectif de le terminer le 2 août. Comme il reste encore 13 des 36 journées à disputer, il y aura des semaines très denses avec matches le week-end et en milieu de semaine. Cinq remplacements au lieu de trois seront autorisés, comme l'a proposé la FIFA fin avril pour tenir compte du risque plus important de blessure chez les joueurs. Par vote, les clubs ont par ailleurs rejeté l'idée de passer de dix à douze clubs la saison prochaine.

 

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Le Championnat du Danemark a repris par un match devant des fans virtuels

Le Championnat du Danemark, interrompu par la pandémie de coronavirus, a repris ce jeudi par un match entre Aarhus et Randers, devant un public assez particulier.
 
Comme attendu, le Championnat du Danemark a repris ce jeudi, après l'interruption due à la pandémie de coronavirus. La ligue a repris par un duel entre Aarhus et Randers au Ceres Park, dans des conditions assez particulières. En effet, Aaarhus était soutenu... par ses fans en visio-conférence via la plateforme Zoom. Ils sont apparus sur différents écrans placés dans l'enceinte. Et ce soutien à permis à Patrick Mortensen d'arracher le nul à la dernière seconde (1-1).

 

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Le gouvernement anglais autorise la reprise de la Premier League

Le Championnat anglais a obtenu le feu vert pour une reprise, à huis clos, à partir du 1er juin.

Le dernier obstacle pour la reprise de la Premier League est levé. Le gouvernement britannique a autorisé samedi le retour à huis clos de toutes les compétitions sportives à partir du 1er juin, après plus de deux mois d'arrêt en raison de la pandémie de Covid-19.

« L'attente est terminée. Le sport britannique reviendra bientôt dans des conditions sûres et étroitement contrôlées », a déclaré le ministre chargé des Sports Oliver Dowden. La Premier League reprendra donc le mercredi 17 juin, avec deux matches en retard au programme : Aston Villa-Sheffield United et Manchester City-Arsenal.

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il y a 20 minutes, vince a dit :

Ce gars me dégoutte, mais grave!  

Pour le coup il a pas tort. Même si on sait tous qu’il est chauvin, tout porte à croire que la décision de la LFP de manière bien trop hâtive ! On va être en décalage complet avec tous les autres grands championnats européens, c’est terrible !

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à l’instant, lensois34 a dit :

La on parle de personne qui essai de sauver leur emploi. 

Pas de savoir si Lyon sera en ligue des champions. 

Il n'empeche que cette façon de faire est stupide. Aulas a raison, mais y'a pas besoin d'être Aulas pour faire ce constat

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Il y a 19 heures, Adjo a dit :

Il n'empeche que cette façon de faire est stupide. Aulas a raison, mais y'a pas besoin d'être Aulas pour faire ce constat

Non, Aulas à tort de sauter sur chaque occasion pour défendre sa cause perdue. Sur la photo, on voit d'ailleurs que la plupart des manifestants sont masqués et s'ils sont là c'est pour défendre leur job à 1500€ par mois, pas pour réclamer des millions à distribuer à des joueurs de baballe qui, pour l'occasion, refusent de baisser leurs salaires mirobolants. Il n'y a aucune comparaison à faire entre ces deux évènements mais "lui" n'est pas à ça prêt.

 

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Le 31/05/2020 à 00:25, Toutankhâmon a dit :

Pour le coup il a pas tort. Même si on sait tous qu’il est chauvin, tout porte à croire que la décision de la LFP de manière bien trop hâtive ! On va être en décalage complet avec tous les autres grands championnats européens, c’est terrible !

 Vu le nombre de blessés que ca génère, on va être en avance sur la prochaine saison. Donc décalage positif.

La liga, j ai hâte que ca reprenne juste pour constater le massacre. Déjà la bundesliga, c est une blague mais là, avec 10 journées en 4 semaines sans préparation et sous la canicule, ca va être marrant (et triste)

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https://www.lavoixdunord.fr/760142/article/2020-06-01/football-veut-juste-pouvoir-retravailler-normalement-l-appel-des-clubs-de-ligue

Un mois plus tard, la saison est donc bel et bien derrière, avec beaucoup de dégâts collatéraux. Mais bel et bien arrêtée. Personne ne croit à un retour en arrière ou à une reprise, « même Jean-Michel Aulas en privé » assuré Bernard Caïazzo. « Aujourd’hui, c’est trop tard », a appuyé Waldemar Kita en mettant en avant les protocoles de remise en forme et les délais trop courts.

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En vert ça a rejoué, en jaune ça reprenait fin mai, en bleu ça reprend en juin. En rouge, les 7 pays qui arrêtent (Malte et le Pays de Galles non officialisés sur cette carte). En gris, la situation encore floue de l'Irlande et l'Irlande du Nord.

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Coupure et déficit technique : « Je n'ai jamais connu cette sensation »
 
Avec le retour à l'entraînement des équipes pros à travers l'Europe, la dimension physique et la crainte des blessures ont beaucoup été commentées. Le niveau technique beaucoup moins, mais celui-ci n'a pas été épargné par la coupure pour autant. A priori, Lionel Messi n'a pas eu besoin de réapprendre à jongler, et Riyad Mahrez sait toujours changer de direction comme un funambule. Mais des traces demeurent.

« Si tu me fais une passe maintenant, je ne pourrais pas contrôler le ballon. Cela fait deux mois que je n'en ai pas touché un », s'amusait ainsi Mario Balotelli mi-mai lors d'un direct sur Instagram avec Alessandro Matri. « Les séances d'entraînement sont plutôt bonnes en ce moment, elles nous aident à retrouver nos sensations. Mais honnêtement, lorsque vous passez autant de temps sans toucher le ballon, le contrôle de la balle est difficile au début », confiait la semaine dernière de manière plus sérieuse le défenseur du Real Madrid Marcelo, pourtant parmi les joueurs les plus fins techniquement de la planète.

« Assez loin du toucher de balle de pleine saison »
Une remarque que le leader technique de Strasbourg Adrien Thomasson - qui a retrouvé l'entraînement avec le Racing du 12 au 29 mai (seul club de L1 à avoir repris mi-mai avec Rennes) - ne peut qu'approuver. « J'ai vu sa déclaration, et je partage tout à fait son sentiment. Je l'ai ressenti durant ces trois semaines. Surtout sur les contrôles, les premières touches, j'ai senti que j'avais perdu un petit feeling. J'étais assez loin du toucher de balle de pleine saison », expose le meneur de jeu. « Je me suis bien entretenu pendant le confinement, et franchement, je pense que j'ai plus perdu techniquement que physiquement. Ce n'est pas le jour et la nuit non plus, mais j'ai vu que j'avais un peu plus de déchet », poursuit-il.

« On a tous été un peu choqués de notre reprise, c'était même un peu marrant car on était surpris de rater des choses » Mohamed Simakan, défenseur de Strasbourg 

« Tout le monde a un peu galéré, ajoute son jeune coéquipier Mohamed Simakan, révélation de la saison. C'était un peu comme un retour de blessure. On a tous été un peu choqués de notre reprise, c'était même un peu marrant car on était surpris de rater des choses. Sur mes contrôles orientés, le ballon n'allait pas forcément au bon endroit. On a fait pas mal de "tours de golf", des exercices où on doit toucher la barre, placer le ballon à un endroit ou faire des petits gestes techniques. C'est là où on a vraiment réalisé qu'on avait baissé sur le plan technique. »

Outre les contrôles, Thomasson a aussi peiné à reprendre ses repères dans la surface : « Sur les frappes en elles-mêmes, ça allait, mais en termes de réception de centres, sur les timings, j'ai eu un déficit. » Les jongles et les tennis ballons qu'il effectuait régulièrement durant le confinement ne lui ont pas évité ces bégaiements, mais la mécanique est vite revenue : « Sur les derniers jours, j'ai vu que ça revenait, mais les deux premières semaines c'était un peu étrange au niveau des sensations. Je ne me suis pas inquiété outre mesure, je savais que ça allait être un peu compliqué. C'est aussi pour ça qu'on a oeuvré avec les joueurs (du Racing) pour reprendre un petit peu au mois de mai. »

Bien différent de la reprise post-vacances
Selon divers avis, la coupure liée à la pandémie de coronavirus a été bien plus dure à gérer sur le plan technique que les vacances habituelles de fin de saison. « Avoir autant de temps sans aller sur le terrain, ça ne nous est jamais arrivé auparavant, donc c'est logique », explique Marcelo. « Ça n'avait rien à voir, je n'ai jamais connu cette sensation. Il m'a vraiment fallu plusieurs séances pour retrouver de bonnes sensations avec le ballon, alors qu'en temps normal, après les vacances, ça revient beaucoup plus vite. Tant de temps sans travailler les gammes techniques, ça se paye », tranche Thomasson depuis Bourg-Saint-Maurice (Savoie), où ses « vraies » vacances ont débuté depuis samedi.

« Pendant les vacances on sait qu'on va reprendre le foot, on est déjà conditionnés mentalement. Mais avec cette coupure, on ne savait pas vraiment. On était moins prêts mentalement, et ça a joué sur la technique », précise Simakan, rentré à Marseille pour les congés. Les deux Strasbourgeois espèrent en coeur que la technique reviendra plus vite à la reprise le 29 juin.

Des maladresse et des blessures
En Italie, les vacances ne sont pas au programme et les entraînements ont accéléré, avec le retour de la Serie A programmé le 20 juin. Mais le redémarrage a parfois été chaotique. À la Roma par exemple, le gardien Pau Lopez s'est blessé en faisant preuve d'une maladresse inhabituelle sur un plongeon, tandis que le défenseur de Naples Kostas Manolas est lui passé à l'infirmerie pour un faux mouvement sur un tennis-ballon. « Nous avons perdu certains mouvements, comme des déplacements latéraux, des changements de direction. Pour des raisons de place, beaucoup d'entre nous n'ont pas pu s'exercer là-dessus depuis deux mois (à domicile) », admettait anonymement un défenseur de Serie A dans un entretien à La Repubblica, peu après la reprise.

« Avec cette longue coupure, les joueurs ont perdu l'habitude du geste technique, du mouvement coordonné. Le ballon doit être introduit dans les séances, mais en augmentant progressivement le niveau de difficulté des exercices », détaillait un technicien italien dans le même article. « On a essayé de faire des exercices très ludiques, sur lesquels les garçons vont retrouver des gestes de footballeurs. Même quand on y va tranquillement, ils ont mal aux jambes à la fin », corroborait Thierry Laurey, l'entraîneur de Strasbourg, peu après la reprise.

Un autre ressenti
Bien sûr, la technique est avant tout une histoire de ressenti, et aucun joueur n'a vécu le retour de la même manière. « Après deux mois, j'ai réalisé que je n'avais rien perdu », a ainsi témoigné le gardien belge du Real Madrid Thibaut Courtois, sûr de son fait. Aussi, tous les clubs européens n'ont pas adopté le même schéma pendant le confinement.

Le Pr. Holger Broich, responsable de la performance au Bayern Munich, a par exemple veillé à donner des exercices spécifiques aux joueurs pour qu'ils gardent le niveau technique de chez eux, comme celui de jongler dans son salon tout en enlevant son tee-shirt. Thomas Müller a eu « peur pour (s)es vases », mais le résultat a été probant, avec une reprise de l'entraînement « à un haut niveau technique, tactique et physique » selon Broich, dans Die Welt. Les résultats lui donnent raison.

 

Modifié par Lmarco
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Coronavirus : le Portugal en deuxième position
La Liga reprend à son tour ce mercredi soir, deux semaines et demie après le Championnat allemand, dans un pays où la pandémie a toujours été sous contrôle.
 
Portimao, son soleil, ses falaises, ses plages. Et désormais son stade municipal, qui va devenir l'espace de quelques heures l'attraction de la ville. Le Championnat du Portugal, interrompu à la mi-mars, reprend ce mercredi soir par un affrontement entre Portimonense et Gil Vicente. Dans l'ancien monde, les derniers galops de Jackson Martinez (33 ans, 1 but en Liga) à la tête de l'attaque noire et blanche auraient éveillé un intérêt confidentiel, ailleurs en Europe : l'équipe recevante a gagné une seule fois à domicile cette saison et se dirige vers la relégation ; la formation visiteuse est bien calée au milieu du classement et quasi assurée de son maintien.

Mais, deux semaines et demie après l'Allemagne et quelques jours avant la meute des grands Championnats (Espagne, Angleterre, Italie), le Portugal est la deuxième ligue professionnelle d'envergure à reprendre (le Championnat d'Ukraine a repris le week-end dernier). L'événement aura lieu en Algarve désertée par ses habituels touristes venus du nord du continent.

Comme ailleurs, ce retour à la compétition est motivé, avant tout, par des arguments économiques. Lundi encore, le président de Benfica, Luis Filipe Vieira, a affirmé que la pandémie en cours avait coûté « de 20 à 25 millions d'euros » aux Aigles et entravé le transfert de « deux joueurs vendus 200 M€ ». Pinto da Costa, son homologue du FC Porto, évoque un manque à gagner « inestimable ».

Jamais plus de 20 morts du coronavirus par jour
Reprendre, c'est assurer le maintien des droits télé et exposer au monde ses meilleurs produits, donc bien vendre. C'est aussi donner le signal de la vie qui gagne dans un pays où l'impact du football est considérable. Les patrons des trois « grands » (FC Porto, Benfica, Sporting) sont allés négocier ensemble chez le Premier ministre lors d'une rencontre au sommet, le 28 avril.

Antonio Costa a évidemment validé, parce que la reprise de la Liga est aussi la victoire des autorités. Au Portugal, la pandémie a toujours été sous contrôle. Le bilan des victimes quotidiennes a atteint son pic avec 37 décès le 3 avril. Et, depuis le 1er mai, le pays n'a jamais dénombré plus de 20 morts par jour (12 mardi). Avec moins de 1 500 décès pour 11 millions d'habitants, il affiche un bilan bien plus présentable que son voisin espagnol ou la France.

Des 18 équipes, seules Belenenses et Santa Clara ne pourront pas évoluer à domicile
Au départ, la direction générale de la Santé avait fixé un cadre strict à l'organisation des dix dernières journées de la saison de Liga (la Deuxième Division et les Championnats amateurs ne reprendront pas), similaire à celui instauré en Bundesliga : 185 personnes au maximum autorisées lors des matches, une petite dizaine de stades homologués.

Finalement 16 des 18 équipes de l'élite finiront la saison dans leurs quartiers habituels. Seuls Belenenses et Santa Clara seront hébergés à la Cité du football, le Clairefontaine portugais, pour leurs rencontres à domicile. L'équipe des Açores est arrivée en fin de semaine dernière à Oeiras, dans la banlieue de Lisbonne, pour un exil sur le continent de deux mois pleins.

Le Maritimo Funchal, lui, fera les allers-retours. En plus de demander l'ouverture de son stade au tiers de sa capacité, le club a bloqué le passage à cinq remplacements par rencontre, accepté par les 17 autres, et obtenu de rester basé sur l'île de Madère. Ses adversaires doivent s'y rendre par avion privé. En compagnie des arbitres, pour réduire au maximum le risque de contagion (l'archipel ne déplore pour l'heure aucune victime de la pandémie).

« Sans public, il manquera les condiments. Manger une salade sans huile ni vinaigre, ce n'est pas la même chose » - Sergio Conceiçao, l'entraîneur du FC Porto 

Pour toutes les équipes, le quotidien ressemble d'assez loin à celui d'avant la coupure. Les joueurs de Benfica, par exemple, sont au vert dans leur centre d'entraînement de Seixal depuis vendredi. Tous les membres de l'élite vivent dans la crainte de la contamination comme à Aves, où un joueur a été testé positif et mis à l'écart lundi. « Ce sera différent, a pronostiqué mardi Sergio Conceiçao, l'entraîneur du FCP. Sans public, il manquera les condiments. Manger une salade sans huile ni vinaigre, ce n'est pas la même chose, mais si nous avons faim, nous devons quand même la manger. »

En coulisse, le football portugais a vite retrouvé ses repères. La 25e journée de Liga sera lancée, comme toujours, sur fond de polémiques : dès lundi, Pedro Proença, le président de la Ligue, pourrait être évincé, coupable d'avoir proposé la retransmission des matches en clair pour éviter des rassemblements massifs dans les cafés. Les ultras du FC Porto ont annoncé qu'ils effectueraient ce mercredi soir le court déplacement jusqu'à Famalicao pour soutenir le leader, « en respectant la distanciation sociale », selon leur leader, Fernando Madureira. Du nord au sud, à partir d'aujourd'hui, il n'y aura plus que le foot qui compte. Comme avant quoi.

 

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il y a 58 minutes, DamieN62 a dit :

Une L1 à 22 serait une mauvaise nouvelle pour nous puisqu'il y aurait alors 3 descentes directes au lieu de 2. D'un autre côté, j'ai l'impression qu'on s'en sort vraiment avec cette montée donc on ne peut pas trop se plaindre j'imagine.

4 descentes plutôt et 1 barragiste 

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Oui, c'est pire encore. Il faudrait qu'on mette au moins 4 équipes derrière nous, en l'état actuel des choses ce serait très compliqué.

Une autre solution serait d'organiser des barrages de descentes entre clubs de L1 comme ça se fait dans certains pays. En L2, quand tu passes le premier barrage, tu gagnes une autre chance de monter. En L1, ce serait l'inverse, si tu gagnes ton premier barrage, tu te maintiens et le perdant aura une autre chance.

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