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Foot vs Coronavirus


manico
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Turquie : pas de relégation cette année !

En raison d’une saison perturbée par l’épidémie de coronavirus, la Fédération turque a décidé d’annuler les relégations dans sa Süper Lig cette année. Ainsi, aucune formation ne tombera à l’échelon inférieur et le championnat ne se jouera plus à 18, mais à 21 équipes lors du prochain exercice, en comptant les trois promotions depuis la deuxième division.

 

Cette décision fera les affaires de Malatyaspor, Ankaragücü et Kayserispor qui occupaient les trois dernières places au classement. Le président de l’instance Nihat Ozdemir a par contre annoncé que quatre formations seront reléguées en 2021.

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5 cas positifs à Strasbourg 

 

De plus en plus j'ai l'impression que les ligues pour terminer leur championnat ont caché les résultats des tests et ont transformé les absences en blessures.
Car comme par hasard le nombre de cas des joueurs  des autres pays remontent 

Et en France il y a tjrs eu des cas positifs de joueurs  dès juin 

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La saison va probablement être très perturbée. Il risque d'y en avoir à la pelle des matchs remis pour cause de COVID. Ça + certains effectifs qui vont être plus touchés que d'autres, les conséquences sur les préparations... On l'aura peut-être en 2020/2021 la saison blanche qu'Aulas (entre autres) réclamait pour la saison écoulée. Manquerait plus que ce soit le cas et que Lyon soit 2ème au moment de la décision :14:

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Les footballeurs disent toujours qu'il faut prendre les matchs les uns après les autres mais cette saison ce sera vraiment le cas. Qui sait combien de journées seront disputées, dans quelles conditions. Même si je m'attends à ce qu'on soit relégable après la J2 (à moins de prendre un point à Nice pendant que 3 équipes perdent leurs deux premiers matchs), j'espère qu'on sera au moins en position de barragiste pendant la majeure partie de la saison, au cas où une seconde vague arriverait.

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Coronavirus : nuages sur la Ligue 1
La recrudescence de cas de Covid-19 dessine une ombre de plus en plus menaçante sur la reprise du Championnat, le 21 août.

Le Championnat de France n'a pas encore redémarré qu'il semble déjà potentiellement en sursis. Évidemment, un peu moins de trois semaines séparent du coup d'envoi de Marseille - Saint-Étienne, premier match de la première journée, et tous les cas, positifs, suspects ou contacts ont le temps d'être isolés et traités. Mais la rencontre amicale entre Strasbourg et Montpellier (2-1) du 28 juillet à Divonne-les-Bains (Ain) présente tous les atours d'un cluster national. Des joueurs se seraient contaminés et, depuis, tout s'enchaîne.

Le football français, qui fut l'un des rares à ne pas avoir repris au printemps, se retrouve désormais comme l'un des rares à afficher autant de cas positifs au coronavirus. Est-ce parce que les consignes sanitaires sont moins bien respectées ici qu'ailleurs ? C'est une possibilité. La France est peut-être également victime d'un rebond de la pandémie, ce qui n'était pas le cas dans les autres pays fin mai, courant juin.

Tout le monde ne paraît pas sur la même ligne dans le foot français
Toujours est-il que la pause accordée par le LOSC à ses joueurs mi-juillet avait été immédiatement suivie de quatre cas positifs (Renato Sanches, Jonathan Ikoné, Jonathan Bamba et Iddy Ouattara), parce que les intéressés et leurs entourages s'étaient montrés un peu trop laxistes dans le respect des gestes barrières. Le club lillois avait alors haussé le niveau d'exigence dans son protocole sanitaire afin que sa préparation se poursuive dans les meilleures conditions.

D'autres formations professionnelles ont également montré la même discipline, à l'image de Guingamp (L2), par exemple, qui a interrompu ses entraînements et placé le groupe pro en quatorzaine, fin juillet. Mais tout le monde, visiblement, dans le football français ne paraît pas sur la même ligne. La position de Waldemar Kita, qui plaide dans ces colonnes (voir L'Équipe de lundi) pour un assouplissement du protocole sanitaire, apparaît ainsi aussi irresponsable que déconnectée de la réalité.

« L'idée que la saison se déroulera tout à fait normalement est, à mon sens, une vue de l'esprit » - Un éminent dirigeant du foot français 

« Un joueur arrêté dix, quinze jours, ça pose quand même un gros problème, dit le président nantais. J'ai le sentiment que le virus n'a pas la même force qu'en mars, et les sportifs peuvent a priori mieux encaisser. Il n'y a d'ailleurs pas de cas alarmant. » Il faut donc attendre un cas alarmant avant de s'inquiéter et de réagir ?

Cela n'est pas la position de la Ligue de football professionnel (LFP), qui se dit « extrêmement attentive à la situation médicale et sanitaire » et annonce que « le protocole médical doit être ajusté cette semaine pour communiquer aux clubs les derniers arbitrages pour la reprise des Championnats ».

Les Championnats de Ligue 1 et de Ligue 2 (22 août) devraient donc bien reprendre aux dates prévues mais il ne faut pas exclure, pour autant, que certains matches soient reportés, selon les circonstances. « La reprise est évidemment gérable, est convaincu un éminent dirigeant du foot français. La Ligue a bien été capable de gérer des reports à cause des manifestations de gilets jaunes. Mais l'idée que la saison se déroulera tout à fait normalement est, à mon sens, une vue de l'esprit. »

Pour l'heure, il est plutôt question de regarder le verre à moitié plein, ou plutôt la jauge pas tout à fait vide : « La LFP a participé jeudi dernier à une réunion avec le préfet Denis Robin, directeur de la commission interministérielle de crise (CIC), ainsi que le ministère des Sports et le ministère de la Santé, poursuit le dirigeant. L'objet de cette réunion était de discuter de la mise en oeuvre du décret permettant l'accueil de 5 000 personnes dans les stades et les modalités possibles pour favoriser une dérogation des préfets pour aller au-delà du chiffre de 5 000. » Les pouvoirs publics doivent rendre leur décision cette semaine.

 

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il y a 20 minutes, lensois34 a dit :

On a intérêt à pas trop mal démarrer car si on arrête de nouveau le championnat, bien d'éviter la situation de Amiens. 

Il y a une diff entre faire 4-5 matchs et 3/4 du championnat ?

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  • 2 weeks later...

Si jamais ce miracle se produit, j'attends avec impatience les idées de recrutement qui fuseraient alors sur ce forum visant à étoffer l'équipe pour la ldc ! Ce serait trop drôle ?

Modifié par Hypofrites
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Il y a 16 heures, Hypofrites a dit :

Si jamais ce miracle se produit, j'attends avec impatience les idées de recrutement qui fuseraient alors sur ce forum visant à étoffer l'équipe pour la ldc ! Ce serait trop drôle ?

Alors déjà Dica et Nakata au milieu, Piquionne en attaque, et enfin Curci dans les caisses.

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Masques, tests, hôpitaux... Le ministre des Solidarités et de la Santé assure que le pays est prêt à affronter le rebond de l'épidémie de coronavirus (3.602 nouvelles contaminations samedi). Alors que le gouvernement vient de reporter la présentation du plan de relance de l'économie pour se consacrer à la rentrée, Olivier Véran dresse un diagnostic complet de la situation sanitaire et adresse plusieurs mises en garde. 

Où en est vraiment l'épidémie?
Ce n'est pas une reprise de l'épidémie parce qu'elle ne s'est jamais arrêtée. Elle a seulement été contrôlée pendant le confinement puis le déconfinement progressif. Le risque, c'est que, après avoir enlevé doucement le couvercle de la casserole, l'eau se remette à bouillir. Après trois mois de baisse de la circulation du virus, on observe une nette augmentation depuis cinq semaines, de façon globale, et activement dans certains territoires. Ce n'est pas une exception française, c'est une dynamique européenne.

 

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Epargné jusque là par le coronavirus, le FC Lorient a déploré un premier cas positif au Covid-19. Le joueur de Chelsea prêté à Lorient, Trevoh Chalobah, a été testé positif. Arrivé le 18 août en provenance des Blues, le milieu de terrain avait pourtant été testé négatif lors de son arrivée au club.

De son côté, Christophe Pélissier, l’entraîneur des Merlus, a indiqué que Trevoh Chalobah était asymptomatique et qu’il est placé à l’isolement pour les deux semaines à venir. Par ailleurs, l’ensemble des joueurs et du staff du FC Lorient vont être testés ce jeudi pour tenter d’éviter la propagation du virus.

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Ligue 1: La LFP veut assouplir le protocole Covid-19
La LFP souhaite des règles moins drastiques afin d'éviter un trop grand nombre de reports de matches.
 
Après deux journées de Ligue 1, un match (OM - Saint-Étienne) a déjà été reporté en raison de la pandémie de Covid-19, mais la menace plane sur d'autres rencontres au vu de l'évolution de la situation sanitaire. Lens-PSG, prévu le 10 septembre, n'offre par exemple pas toutes les garanties. Comme l'a révélé L'Équipe, deux joueurs parisiens, Angel Di Maria et Leandro Paredes, sont en effet sérieusement suspectés d'infection.

Même si le PSG n'a pas encore alerté la Ligue sur des cas positifs dans son effectif et que Didier Quillot, le directeur général exécutif de la LFP, se veut rassurant. « On attend d'être notifiés par le club, annonce-t-il. Ensuite, on transmettra au besoin à la commission nationale Covid, qui se mettra en contact avec le médecin du PSG. En fonction du nombre de cas réellement positifs, elle fera une recommandation. Le match Lens-PSG est dans dix jours et notre protocole indique bien que c'est à partir de quatre cas positifs sur une semaine que le virus est considéré comme circulant et que le match peut être reporté. Donc, même si les cas étaient déclarés positifs, ils sortiraient de leur positivité au bout d'une semaine. À l'heure où nous parlons, Lens-PSG n'est donc pas remis en cause. » Pour autant, la Ligue sent pointer le risque de reports en cascade si le virus poursuit son développement.

« Il faut considérer que tant qu'un pourcentage de l'effectif de l'équipe 1 est négatif, on joue » Didier Quillot, directeur général exécutif de la LFP 

« Nous sommes en train de préparer, avec les médecins de la FFF, les aménagements du protocole, révèle Quillot. Nous sommes en relation avec les pouvoirs publics (ministères des Sports et de la Santé, cellule interministérielle de crise) pour se rapprocher de l'esprit de celui de l'UEFA (pour le « Final 8 » de la C1, un match n'était pas reporté tant que 13 joueurs sur les 25 inscrits étaient disponibles). Il faut considérer que tant qu'un pourcentage de l'effectif de l'équipe 1 est négatif, on joue. Aujourd'hui, à partir de quatre cas, le match peut être remis. Nous souhaitons qu'il y ait une doctrine nationale pour avoir une homogénéité dans les traitements que font les ARS (agences régionales de santé) et que tout ce qui concerne le report ou non des matches soit laissé à l'appréciation de chaque discipline. Le sport professionnel, et en particulier le football, est un secteur hautement médicalisé, qui pratique des tests en permanence et qui doit donc bénéficier de cette spécificité. »

Dans un premier temps, le Dr Jean-François Chapellier, le président de la commission Covid, s'était montré réservé sur la question d'un assouplissement. « Notre fonction est de respecter les consignes de l'État (...), de protéger la santé des joueurs et de donner des éléments pour que le Championnat se déroule. On est entre le marteau et l'enclume, disait-il dans ces colonnes le 19 août. (...) Au-delà de trois ou quatre cas, on est un cluster. » De nouveau interrogé par L'Équipe cinq jours plus tard, après une première prise de parole de Didier Quillot en faveur d'un aménagement du protocole, le médecin s'était montré plus ouvert. « Si on peut améliorer le protocole, on le fera, avait-il indiqué. Mais il y a un virus et ce n'est pas facile. »

 

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2 joueurs dijonnais ont été testés positifs et ne pourront donc jouer face à Brest en championnat. Dijon qui avait programmé un match amical contre Auxerre durant la trêve internationale ne pourra donc le jouer. Face à Brest, en plus des 2 joueurs positifs au COVID, Jobard devra composer sans plusieurs joueurs blessés (Benzia, Muzinga, Coulibaly) et sans Tavares qui est en instance de départ.

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