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Anciens Lensois


Lmarco
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Michelin c'est le joueur yoyo typique ! Alternance de périodes plus ou moins longues avec un niveau de jeu tantôt très bon, tantôt grotesque. Parfois dans un même match.

Lui c'est le genre de joueur où dans un bon jour il va te faire 3 passes dé et contribuer au clean sheet, et dans un mauvais jour il se ferait mettre le bouillon par ma belle-sœur ! Je me souviens de ses débuts épouvantables où on aurait dit un U14 qui se faisait bousculer de ouf à chaque duel, puis une période où il paraissait transformé puis une période où il avait quasiment vrillé avec des exclusions, des cartons stupides, des bourdes grossières.

Au final un joueur yoyo donc irrégulier donc pas suffisamment stable et fiable. Il peut encore progresser mais ne s'est imposé nulle part jusqu'à présent, pas même en Grèce.

 

Modifié par Adjo
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il y a 43 minutes, Adjo a dit :

Michelin c'est le joueur yoyo typique ! Alternance de périodes plus ou moins longues avec un niveau de jeu tantôt très bon, tantôt grotesque. Parfois dans un même match.

Lui c'est le genre de joueur où dans un bon jour il va te faire 3 passes dé et contribuer au clean sheet, et dans un mauvais jour il se ferait mettre le bouillon par ma belle-sœur ! Je me souviens de ses débuts épouvantables où on aurait dit un U14 qui se faisait bousculer de ouf à chaque duel, puis une période où il paraissait transformé puis une période où il avait quasiment vrillé avec des exclusions, des cartons stupides, des bourdes grossières.

Au final un joueur yoyo donc irrégulier donc pas suffisamment stable et fiable. Il peut encore progresser mais ne s'est imposé nulle part jusqu'à présent, pas même en Grèce.

 

Oui mais ça se trouve ta belle soeur c'est Eugènie Le Sommer ! 

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Charles Itandje« On voyait son visage déformé sous l’impact du ballon ! »

VINCENT VILLA Pierre Lahalle/ L’Équipe

L’ancien gardien de Lens n’a pas oublié la saisissante photo d’Éric Carrière prise lors d’un match de Coupe de l’UEFA.

« Le joueur le plus fort avec lequel vous avez joué ?

À Lens, j’en ai connu des phénomènes ! Seydou Keita vient en numéro 1. J’adore les milieux, c’est un poste qui me fascine. Il savait tout faire : récupérer des ballons, jouer court, jouer long, anticiper, marquer des buts. En plus, il était régulier. À l’époque où il est arrivé à Lens(2002), la première année a été un peu difficile. Mais quand il a commencé à jouer, je me suis dit : “C’est pas possible !” C’était monstrueux.

Le joueur le plus fort que vous ayez affronté ?

Avec la sélection camerounaise, c’est Neymar (à la Coupe du monde 2014, 1-4). En Ligue 1, c’est Juninho. Il était capable de faire la décision à partir de n’importe quel endroit du terrain. Il était complet, pas très rapide mais intelligent, il savait se projeter, il était fort sur coups de pied arrêtés. Il n’avait pas des qualités exceptionnelles, il faisait rarement plus de quatre touches de balle… et encore je dis quatre, je suis gentil ! Mais il était trop intelligent, ce mec. Il faisait jouer les autres, se projetait, était dangereux à des moments clés.

Le joueur le plus drôle ?

Cyril Rool, de loin ! Palme d’or ! Un jour, àNice(le 7 février 2004), on est sous les douches à l’échauffement avant le match dans les vestiaires du Ray. Il y a Patrick Barul, notamment. Cyril arrive et d’un coup luidit(il imite Rool) : “Allez Pat, qu’est-ce que tu fais, c’est bon arrête !” Vingt minutes de jeu(38 en fait) : Cyril part au duel avec un Niçois, se prend le bras dans le maillot de son adversaire et se démet l’épaule. À la fin, on lui dit : “La prochaine fois, tu t’étireras.” Il nous répond : “Hé, c’est bon, j’ai pas besoin de ça, c’est juste que j’aime pas la musculation !” Il s’est quand même fait opérer, c’était une grosse blessure.

Le plus fêtard ?

El-Hadji Diouf, c’était quelque chose. Le jeudi, il n’était pas là. Il rentrait le vendredi mais, le dimanche, c’était le plus fort. Il nous a fait le coup une fois à Marseille. Il est rentré le vendredi matin, la nuit avait été un peu longue. Gervais Martel(ancien président de Lens)l’a pris à part pour lui dire : “T’as intérêt à nous faire gagner ce week-end.” Il a mis un but, on a gagné 2-1 (26 décembre 2001) ! Il était tellement talentueux. Je ne dis pas que c’est ce qu’il faut faire, mais c’est ce dont il avait besoin pour être performant.

Le joueur que vous détestiez rencontrer ?

Mario Yepes. Sur coups de pied arrêtés, il avait tendance à écraser les pieds du gardien, à se montrer un peu beaucoup très vicieux ! C’était vraiment la malice sud-américaine. Parfois, c’était méchant, c’était sale. Mais quel joueur aussi !

Votre plus grand fou rire ?

Quand Éric Carrière a pris un ballon en pleine face (lors d’un premier tour retour de Coupe de l’UEFA contre le Groclin Grodzisk, le 15 septembre 2005) et que la photo est parue dans le magazine Entrevue. On voyait son visage déformé sous l’impact du ballon, c’était très, très drôle. Ça avait fait le tour du vestiaire, et d’Internet surtout. C’est la plus belle image de ces vingt dernières années (il cherche). Regardez, elle est monstrueuse cette image. Le pauvre. Qu’est-ce qu’il a pris. C’était exceptionnel, quel fou rire ! Lui qui n’aimait pas le contact ni être agressif. C’était un magicien lui aussi, il était fort.

“Mario Yepes avait tendance à écraser les pieds du gardien sur coups de pied arrêtés. Parfois, c’était méchant, c’était sale. Mais quel joueur aussi ! ’’

Votre plus grand regret ?

La manière dont je suis parti de Lens (en2007). J’aurais aimé qu’on me dise que le club souhaitait changer de cap. Je ne dis pas que Lens m’était redevable. J’aurais juste voulu qu’on me prévienne un peu avant. J’apprends qu’on signe deux gardiens le 25 juin, alors que la reprise est le 27 et que je rentre de vacances avec ma femme. Il me restait un an de contrat, les autres joueurs avaient prolongé, moi non, je l’ai très mal vécu. Ça fait quinze ans et j’ai toujours la même aigreur envers Gervais Martel et Francis Collado (ancien directeur administratif et financier).Jesuis amer envers ces deux personnes, pas envers le club. Ce que m’apporté ce club à ce moment-là je ne pourrai jamais l’oublier, car Lens a changé ma vie.

La défaite qui vous a fait le plus mal ?

Mon dernier match avec Lens, à Troyes (le 26 mai 2007). On perd 3-0. J’étais partagé entre plusieurs sentiments. À la télé, on disait que j’allais partir, ne pas partir. Personne au club n’a démenti, jamais le président n’est venu me voir pour me dire : “Ça va se passer comme ça, ça va pas se passer comme ça. On parle de ça avant ou après le match.” J’en ai fait un cas personnel car je me suis senti délaissé à ce moment-là. Au moins, ouvrons la discussion (pour prolonger). Mais ça n’a jamais été fait, si bien que ma deuxième moitié de saison a été très difficile à vivre mentalement. C’était dur de s’accrocher. Si j’avais eu une offre inférieure à celle de Liverpool mais supérieure à mes conditions lensoises, je serais resté tous les jours.» É

EN BREF

39 ans International camerounais (12 sél.)

Carrière : Red Star (2000-2001), Lens (2001-2007), Liverpool (ANG, 2007-2009), Kavala (GRE, 2009-2010), Liverpool (ANG, juil. 2010- jan. 2011), Atromitos (GRE, jan. 2011-jan. 2013), PAOK Salonique (GRE, jan.-juin 2013), Konyaspor (TUR, 2013-2014), PAOK Salonique (GRE, 2014-2015), Çaykur Rizespor (TUR, 2015-2016), Gaziantepspor (TUR, 2016-janvier 2017), Adanaspor (TUR, janvier-juin 2017).Palmarès : Coupe Intertoto (2005).

SA VIE D’EX

Entraîneur adjoint de Versailles (promu en National), Charles Itandje a vécu le parcours de géant accompli par le Petit Poucet en Coupe de France la saison dernière (demi-finales). « Je suis vraiment arrivé par hasard, dit-il. Ma famille était là, c’était à côté de chez moi. J’avais arrêté ma carrière après Adanaspor (juin 2017) mais le ballon me manquait. C’est un ami qui m’a conseillé de venir ici pour rejouer. » Mais, une fois de retour dans le but, il s’est vite rendu compte que son corps et sa tête ne le soutenaient plus. Ses diplômes passés, le voilà désormais sur le banc d’un club qu’il ne se voit pas quitter : « J’ai eu des opportunités au niveau pro, mais je ne me voyais pas trop bouger. » V. V.

 

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Modifié par Tibbs
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https://www.lavoixdunord.fr/1216590/article/2022-08-15/le-nordiste-du-week-end-simon-banza-machine-marquer

Le Nordiste du week-end : Simon Banza, machine à marquer

 

Toujours au Portugal, mais désormais à Braga, club de haut de tableau, l’ancien attaquant des Sang et Or a déjà brillé, avec un doublé ce week-end.

La saison dernière, son prêt à Famalicao lui avait permis de se faire connaître du reste du Portugal. Auteur de 14 buts au sein d’une formation plus connue pour être l’une des bases arrières de Jorge Mendes que pour ses performances sportives, Simon Banza devait passer un cap pour confirmer. Son transfert à Braga, formation qui n’a raté qu’une fois la coupe d’Europe depuis 2005 et disputait encore les quarts de finale de la Ligue Europa au printemps dernier, lui donne un cadre à la mesure de ses ambitions.

Pour l’instant, l’ancien Lensois se montre à la hauteur. Buteur lors de la première journée face au Sporting (3-3), il a une nouvelle fois frappé ce week-end. En se rappelant au bon souvenir de son ancienne équipe, à qui il a inscrit un doublé dans une facile victoire (3-0). D’une tête dans les six mètres après une frappe mal repoussée par le gardien adverse d’abord. Du tibia sur un centre seulement dévié par le portier ensuite. Deux réalisations où, plus que le dernier geste, c’est le placement qui fait la différence. Et qu’il n’a pas fêté, chose désormais classique dans le monde du football.

 

Attendu en Europe

Aligné dans le duo d’attaque d’une formation qui est passée dans un système en 4-4-2 avec le changement de coach cet été, le numéro 23 est souvent trouvé en bout de chaîne (il a tenté cinq tirs contre Famalicao) et devrait régulièrement être en position de marquer. D’autant que l’écart de niveau entre les quatre meilleures formations et le reste du championnat devrait garantir quelques rencontres déséquilibrées.

Au-delà du championnat, dont il est co-meilleur buteur, c’est peut-être sur la scène continentale que Banza sera le plus attendu. Lui qui n’a jamais connu l’ivresse des matchs de coupe d’Europe pourra y démontrer les progrès effectués. Et se rappeler qu’il y a à peine quatre ans, il revenait d’un prêt au Luxembourg en espérant entrer dans la rotation d’un Racing alors en Ligue 2...

(Source : La Voix des Sports)

 

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OM : Jonathan Clauss en référence européenne

Passé de Lens à l’OM cet été, l’offensif piston droit Jonathan Clauss reste tout aussi décisif. Personne ne fait mieux que lui en Europe.

Jonathan Clauss n’a pas perdu ses bonnes habitudes. Transféré à l’OM cet été après deux saisons de haut vol au RC Lens, où il découvrait la Ligue 1 Uber Eats, le piston droit a délivré sa 18e passe décisive en championnat en carrière dimanche, lors du match nul de Marseille à Brest (1-1). Lors de la rencontre qui clôturait la 2e journée de Ligue 1 Uber Eats, Jonathan Clauss a déposé le ballon au deuxième poteau sur Nuno Tavares, auteur de l’ouverture du score à Francis-Le Blé. Lors de ses débuts sous les couleurs phocéennes, c’est sur un de ses centres que l’OM avait également ouvert le score.

Match avec Achraf Hakimi

L’international français de bientôt 30 ans (4 sélections) confirme qu’il est l’un des latéraux les plus dangereux des cinq grands championnats européens. C’est simple : personne ne fait mieux que lui depuis août 2020 et ses débuts dans l’élite. Jonathan Clauss est impliqué directement sur 26 buts (8 buts et 18 passes décisives) en 72 matchs exactement. Un seul joueur fait aussi bien : le latéral parisien et ex de l’Inter Achraf Hakimi. Certaines pointures comme Theo Hernández ou Trent Alexander-Arnold sont en revanche derrière.          

Les défenseurs impliqués sur le plus de buts : (depuis août 2020)
1. Jonathan Clauss (Lens, OM) : 8 buts + 18 assists (26 buts)
--. Achraf Hakimi (Inter, PSG) : 12+14 (26)
3. Theo Hernández (Milan) : 13+11 (24)
4. Trent Alexander-Arnold (Liverpool) : 4+19 (23)
5. Andrew Robertson (Liverpool) : 4+17 (21)
--. Marco Faraoni (Hellas Vérone) : 8+13 (21)
--. Raphaël Guerreiro (Borussia Dortmund) : 9+12 (21)
8. Jordi Alba (Barcelone) : 5+15 (20)
9. Robin Gosens (Atalanta, Inter) : 12+7 (19)
10. Borna Sosa (Stuttgart) : 1+17 (18)
--. Reece James (Chelsea) : 7+11 (18)
(Défenseurs jouant dans les 5 grands championnats européens)

Caio Henrique suit Jonathan Clauss

En Ligue 1 Uber Eats, Jonathan Clauss est donc le meilleur passeur parmi les défenseurs depuis août 2020 (18 offrandes). Son premier poursuivant est le Monégasque Caio Henrique avec 12 passes. Ensuite, on trouve le Rennais Hamari Traoré (11) pour compléter le podium. Le 4e de ce classement s’appelle Achraf Hakimi, arrivé lors de l’été 2021 à Paris, et qui totalise 6 passes décisives en Ligue 1 Uber Eats.

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il y a 6 minutes, manico a dit :

OM : Jonathan Clauss en référence européenne

Passé de Lens à l’OM cet été, l’offensif piston droit Jonathan Clauss reste tout aussi décisif. Personne ne fait mieux que lui en Europe.

Jonathan Clauss n’a pas perdu ses bonnes habitudes. Transféré à l’OM cet été après deux saisons de haut vol au RC Lens, où il découvrait la Ligue 1 Uber Eats, le piston droit a délivré sa 18e passe décisive en championnat en carrière dimanche, lors du match nul de Marseille à Brest (1-1). Lors de la rencontre qui clôturait la 2e journée de Ligue 1 Uber Eats, Jonathan Clauss a déposé le ballon au deuxième poteau sur Nuno Tavares, auteur de l’ouverture du score à Francis-Le Blé. Lors de ses débuts sous les couleurs phocéennes, c’est sur un de ses centres que l’OM avait également ouvert le score.

Match avec Achraf Hakimi

L’international français de bientôt 30 ans (4 sélections) confirme qu’il est l’un des latéraux les plus dangereux des cinq grands championnats européens. C’est simple : personne ne fait mieux que lui depuis août 2020 et ses débuts dans l’élite. Jonathan Clauss est impliqué directement sur 26 buts (8 buts et 18 passes décisives) en 72 matchs exactement. Un seul joueur fait aussi bien : le latéral parisien et ex de l’Inter Achraf Hakimi. Certaines pointures comme Theo Hernández ou Trent Alexander-Arnold sont en revanche derrière.          

Les défenseurs impliqués sur le plus de buts : (depuis août 2020)
1. Jonathan Clauss (Lens, OM) : 8 buts + 18 assists (26 buts)
--. Achraf Hakimi (Inter, PSG) : 12+14 (26)
3. Theo Hernández (Milan) : 13+11 (24)
4. Trent Alexander-Arnold (Liverpool) : 4+19 (23)
5. Andrew Robertson (Liverpool) : 4+17 (21)
--. Marco Faraoni (Hellas Vérone) : 8+13 (21)
--. Raphaël Guerreiro (Borussia Dortmund) : 9+12 (21)
8. Jordi Alba (Barcelone) : 5+15 (20)
9. Robin Gosens (Atalanta, Inter) : 12+7 (19)
10. Borna Sosa (Stuttgart) : 1+17 (18)
--. Reece James (Chelsea) : 7+11 (18)
(Défenseurs jouant dans les 5 grands championnats européens)

Caio Henrique suit Jonathan Clauss

En Ligue 1 Uber Eats, Jonathan Clauss est donc le meilleur passeur parmi les défenseurs depuis août 2020 (18 offrandes). Son premier poursuivant est le Monégasque Caio Henrique avec 12 passes. Ensuite, on trouve le Rennais Hamari Traoré (11) pour compléter le podium. Le 4e de ce classement s’appelle Achraf Hakimi, arrivé lors de l’été 2021 à Paris, et qui totalise 6 passes décisives en Ligue 1 Uber Eats.

Dans le titre il est indiqué "offensif piston droit"...et dans les stats il est comparé à des défenseurs, j'ai un peu de mal à comprendre.

Comparer les pistons entre eux ok, mais comparer à des défenseurs dans une défense à 4, cela n'a aucun sens.

D'ailleurs on n'a jamais joué en 5-3-2 mais en 3-5-2, 3-4-2-1....

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