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Actualité Footballistique


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Posté(e)
il y a 4 minutes, DamieN62 a dit :

Concrètement, qu'est ce qu'ils risquent ?

Bah j'imagine que si King Street refuse de payer pour les besoins actuels du club, ça veut probablement dire qu'ils ne mettront plus un sous de leur poche pour rembourser les différentes dettes du club.

Posté(e) (modifié)

Sachant d'où on vient on ne peut que compatir. Le pire c'est que ça arrive au pire moment avec la crise sanitaire. Qui aurait envie d'acquérir le club et reprendre les dettes dans le contexte actuel à la fois du club et économique?

Modifié par manico
Posté(e)
il y a 2 minutes, Ruka-2 a dit :

D'ailleurs petite question : quelle est la différence entre nous (qui étions rester en l2 bien que l'on a été au Tribunal) et Bordeaux ou Bastia ?

Je pense que c'est l'ampleur de la dette et les garanties apportées.

Posté(e)

80 millions de dettes visiblement... Personne ne voudra venir là dedans. 

Posté(e)

La procédure de sauvegarde s'adresse aux entreprises qui ne sont pas encore en cessation de paiements. 

Ce n'est donc pas encore complètement cuit si les Bordelais trouvent rapidement un repreneur ou un investisseur. 

Posté(e)
à l’instant, dede62137 a dit :

80 millions de dettes visiblement... Personne ne voudra venir là dedans. 

Surtout qu'ils n'ont rien à vendre, pas de joueur ayant une grosse valeur marchande, surtout dans ce contexte... Malheureusement pour eux, ça sent le même dénouement qu'à Strasbourg il y a plusieurs années.

Posté(e)
il y a 33 minutes, DamieN62 a dit :

Concrètement, qu'est ce qu'ils risquent ?

On peut penser aussi que leur masse salariale sera encadrée l'anneé prochaine voire que le recrutement sera bloqué comme à Lens un temps. Éventuellement la dncg peut les rétrograder à titre conservatoire si des garanties ne sont pas apportées. C'est effectivement des mesures qu'on a connues à Lens il y a pas si longtemps.

Posté(e)
il y a 5 minutes, West'ier a dit :

Leur site ne fonctionne même plus, ils n'ont pas payé le prestataire ?

Grosse affluence sur le site et il a pas tenu je pense 

Posté(e)

Puis faire ça à 5 journées de la fin alors que le club n'est pas sauvé... 

Posté(e)

Hé hé... Bien bien bien... Je suis content de déménager prochainement vers Bordeaux ! Je suis pas prêt de revoir mes lensois moi... ^^

Plus sérieusement, on est passé par tant de difficultés, je ne peux pas m'empêcher de compatir avec nos amis bordelais. Ce business, ces dirigeants,... À vomir. 

Posté(e)

La situation de Bordeaux me semble bien plus inquiétante que celle de Lens à l'époque. A Lens, le Crédit Agricole a régulièrement épongé les dettes parce que c'est une banque présente sur le territoire qui voulait pas voir son image dégradée. Là c'est King Street, les mecs s'en contrefichent d'être haï en France. Ils peuvent se barrer comme des voleurs, ils en on rien à faire de leur image en France. 

Posté(e)
Il y a 15 heures, dede62137 a dit :

80 millions de dettes visiblement... Personne ne voudra venir là dedans. 

Bruno Fievet les avait déjà contacté pour un rachat en s'appuyant sur un tour de table pré-Covid à 190M € (dont deux lignes de crédit facultatives de 50 M €). Ce pourrait être une solution parce qu'il connaît bien le dossier et s'appuie aussi sur quelques investisseurs locaux. Il a compris que l'explosion incontrôlée de la masse salariale, y compris administrative, devait être revue (+20M € en trois ans !) et qu'il y aura des coupes franches à faire dans l'effectif tant au niveau sportif que financier.

Citation

« Si King Street voulait le céder au mieux-disant, il fallait le faire avant, poursuit Vincent Chaudel. Désormais, ils ne récupéreront rien sur une hypothétique vente, car celle-ci ne servirait qu'à payer des créanciers, l'État et les salaires en premier. Ils n'ont plus le choix, c'est le mandataire qui prend la main par rapport à d'éventuels repreneurs. »

 

Citation

Alors que circule le nom de Gérard Lopez, ex-propriétaire du LOSC, Bruno Fievet, qui avait abandonné son projet de rachat après dix-huit mois de discussions infructueuses, n'a pas tardé à se montrer de nouveau intéressé sur l'antenne de la radio ARL, jeudi. « Le tribunal de commerce va être saisi, un mandataire en début de semaine, on va essayer de discuter avec eux, a expliqué l'homme d'affaires. Maintenant, l'objectif unique de Frédéric Longuépée est de trouver un repreneur dans les prochains jours. Oui, nous serons candidats sous certaines conditions. Si l'aventure est belle, on va la saisir et unir tout le peuple girondin. On va essayer de voir ce qu'il est possible de faire. »

S'ils arrivent à reconstruire un projet cohérent dans la durée en rétablissant le dialogue avec les supporters et la municipalité, il y a de quoi faire s'ils relancent la qualité de leur formation. Les infrastructures ont progressé et commencent à atteindre le niveau requis. Même s'il n'est pas pleinement adapté en terme d'usage et seulement loué, le stade est moderne et possède du potentiel. Le centre d'entraînement a subi de gros travaux ces dernières années, en partie financée par la municipalité (rénovation du centre de formation avec mini-stade pour les jeunes, nouveau terrain avec pelouse hybride pour les pros, nouvelle salle de musculation avec espace balnéo, nouvel espace médical...).

Sur le plan sportif, ils vont pouvoir reconstruire avec un nouveau staff et de nombreux joueurs en fin de contrat (Ben Arfa, Poundjé, Kong, De Préville, Sabaly, Jovanovic, Diarra + Seri en fin de prêt). Avec quelques poids morts à réussir à dégager (Briand, Mexer, Otavio...) Mais il y a quelques joueurs autour desquels reconstruire (Costil, Koscielny, Baysse, Adli, Zerkane Hwang...) et ils peuvent essayer de vendre Oudin et Kalu.

Ce serait dommage de voir un tel club chuter lourdement... Le foot français a besoin de compétitivité, que ses grands clubs historiques et ses grandes métropoles apportent cette compétitivité. La Ligue 1 a retrouvé Strasbourg, qui a encore beaucoup à reconstuire, et ce serait dommage de perdre Bordeaux et Nantes qui peuvent apporter bien plus au foot français que la tristesse actuelle.

Citation

Quatre scénarios sont possibles selon l'Équipe au lendemain de l'annonce de King Street et des Girondins :

- le dépôt de bilan avant la fin de Championnat qui entraînerait une rétrogradation

- la procédure actuelle débouche sur un dépôt de bilan : rétrogradation administrative

- le club dépose le bilan mais trouve un repreneur : perte de 15 points au classement

- un repreneur est trouvé dans l'immédiat : la vie du club continue

 

Posté(e)

Le PSG est en train de retrouver tous ses blessés à l'exception de Bernat, même si certains manquent de rythme. Ca devrait leur permettre de faire tourner face à Lens.

Citation

La composition d'équipe du PSG face à Saint-Etienne : Rico - Florenzi, Kehrer, Kimpembe, Bakker - Danilo, Herrera - Sarabia, Rafinha, Mbappé - Kean

 

Citation

La composition d'équipe du PSG contre Angers : Rico - Dagba, Danilo, Kehrer, Bakker - Gueye, Paredes - Di Maria, Neymar, Draxler - Icardi

 

Citation

L'équipe probable contre Metz (samedi, 17 h) : Navas - Florenzi, Kehrer, Kimpembe, Bakker - Paredes, Herrera ou Verratti - Di Maria, Neymar, Mbappé - Kean ou Icardi.

L'équipe possible pour Manchester City (mercredi, 21 h) : Navas - Florenzi ou Dagba, Marquinhos, Kimpembe, A. Diallo - Gueye, Paredes ou Danilo - Di Maria, Verratti, Neymar - Mbappé.

Sarabia, Rafinha et Draxler ne seraient donc pas titulaires pour l'un de ces deux matchs, Draxler étant le seul des trois à avoir joué contre Angers. Sarabia et Rafinha avaient eux débuté contre l'ASSE.

Posté(e)
il y a 11 minutes, Ruka-2 a dit :

Gérard Lopez candidat au rachat de Bordeaux :aron:

J'espère pour Bordeaux que le 2ème investisseur,  c'est pas lui. 

Posté(e)

Une dette probablement entre 80 et 90M € (73 M € en 2019, accentuée avec la crise COVID entre autres), peu ou pas de garanties financières, aucun joueur avec une forte valeur marchande, la crise sanitaire donc également économique, les droits TV Mediapro qui ont capoté, les droits télé pour l'an prochain qui ne sont pas encore définis, ça fait beaucoup d'éléments contraires malheureusement pour Bordeaux pour motiver un éventuel repreneur.

Il faudrait vraiment avoir une grosse volonté et les reins très solides pour s'embarquer dans un tel bourbier. Je pense malheureusement que Bordeaux va finir comme Strasbourg il y a 10 ans et je le regrette fortement. Il serait temps de légiférer pour éviter que des millionnaires étrangers fassent joujou avec des clubs (en l'occurrence un club historique de L1) puis les laissent tomber quand ils en ont marre.

Posté(e)
il y a 40 minutes, manico a dit :

Une dette probablement entre 80 et 90M € (73 M € en 2019, accentuée avec la crise COVID entre autres), peu ou pas de garanties financières, aucun joueur avec une forte valeur marchande, la crise sanitaire donc également économique, les droits TV Mediapro qui ont capoté, les droits télé pour l'an prochain qui ne sont pas encore définis, ça fait beaucoup d'éléments contraires malheureusement pour Bordeaux pour motiver un éventuel repreneur.

Le déficit de la saison dernière avait été pris en charge par King Street via l'augmentation de fonds propres de 27M € l'été dernier puis 40M € cet hiver.

Pour la dette, il semblerait qu'aujourd'hui elle soit de 60M €, même si elle pourrait s'avérer plus importante une fois la saison terminée. La dégradation a été accélérée notamment par l'inflation de la masse salariale et les +20 M € en trois ans. Ce club peut être remis sur pied mais il faudra un audit complet et revoir le fonctionnement global, puisqu'ils sont en déficit chronique depuis leur dernier titre de champion. Un PSE a déjà été lancé cette année et permettra aux repreneurs d'arriver après un premier écrémage malheureusement nécessaire, car ils n'ont plus les moyens de supporter les dépenses d'un club de LdC. 300 salariés c'est du délire vu leurs revenus !

Un repreneur devra évaluer le potentiel de ce club et analyser l'ensemble des comptes. Mais n'oublions pas que Bordeaux avait été acheté 100 M€ et qu'une fois les comptes épurés ce club retrouvera une valeur économique élevée, avec l'avantage de disposer d'infrastructures modernes dans une grande métropole française (et la 2e ville la plus touristique de France derrière Paris en nuitées pré-Covid).

Bruno Fievet était déjà intéressé par le club et s'est de nouveau manifesté donc la situation ne semble pas lui faire peur, d'autres noms sont cités. Ce serait étonnant qu'un club avec de tels atouts n'attire personne. Peut-être qu'il n'intéressera plus les investisseurs à court terme qui veulent un rebond rapide, pouvoir faire du trading intensif et miser sur de futurs droits TV exceptionnels. Mais tant mieux pour eux et pour le foot français si ça dégage ces profils !

Je pense effectivement qu'ils suivront la trajectoire de Strasbourg, mais sans nécessairement redescendre. Les investisseurs locaux doivent réussir à trouver le porteur de projet idoine. Est-ce que Fievet n'aurait pas ce profil ? Ancien recruteur des Girondins, il est attaché à l'histoire du club, au fait de mettre en adéquation moyens / objectifs / stratégie, il souhaite s'appuyer sur des anciens parfois encore en place (Chalmé, Ramé, Plasil, Mavuba, Espanol...) et il ne veut pas venir sans offrir aux Girondins de l'ambition. C'est à la fois un entrepreneur, un financier qui comprend les enjeux économiques et un vrai sportif (maîtrise de STAPS, il est passé plus jeune par l'Amiens SC puis entraîneur / éducateur après une fracture de la rotule). Pour moi, si ses actes suivent son discours il fera l'unanimité en tribunes, auprès de la municipalité et en interne.

C'est exactement la même situation que la reprise de Strasbourg par Keller, sauf que lui avait repris le club déjà en N3. Là, Fievet peut encore sauver Bordeaux.

Citation

« On avait eu une réponse négative après une offre qu'on avait faite en septembre. Je ne voyais pas la lumière au bout du tunnel dans ce projet de reprise, elle est arrivée aujourd'hui. Concrètement, on va discuter avec le tribunal pour savoir sous quelles conditions le club est à vendre. La dernière tâche de Frédéric Longuépée est de trouver un repreneur fiable. En fonction de ce qu'on va nous annoncer, on sera à même de proposer une offre de reprise. Si je suis intéressé pour reprendre Bordeaux? Bien sûr, c'est très officiel. Je n'abandonnais pas l'idée, c'est juste que les conditions ne le permettaient pas »

 

Citation

Je parlais avec Nicolas Le Gardien depuis plusieurs mois, mais aussi avec des agents, des entraîneurs, des personnalités... et j'avais dit que le jour où King Street annonceraient qu'ils seraient vendeurs je me positionnerai comme un potentiel acheteur selon l'environnement économique. L'envie d'y aller elle est là et à 200% et je dis 'On' car je ne veux pas que les noms des personnes qui me suivent sortent. Mais ce qui nous différencie d'aujourd'hui c'est qu'on est amoureux des Girondins. Il n’y a pas un autre club en France que j’aimerais acheter. Si on me dit demain que Lens ou l'AS Saint-Étienne sont à vendre, j'aurai zéro intérêt, car c'est un projet Girondins. Moi, ce qui m’anime, c’est la passion et l’amour des Girondins, mais les gens qui me suivent dans le projet ne veulent pas forcément perdre de l’argent - du moins le moins possible - et s’ils peuvent en gagner un peu ce sera d’autant mieux.

On va tout faire pour être prêts quand l'occasion se présentera : que ce soit dans 6 mois ou dans 4 ans. Ce qu'on veut, surtout, c'est que le club réussisse. Si King Street en est capable, félicitations à eux, après je ne serai pas le seul intéressé c'est sûr. (...) Aujourd'hui, on ne peut pas parler de prix de vente du club car on ne connaît pas ce prix, ni la dette laissée, les actifs restants. Il y a un autre sujet, aussi, avec le stade qui n'appartient pas au club. (...) Sur le type d'investissement, il y a plusieurs types d'investisseurs. Je ne suis malheureusement pas dans la catégorie des mécènes. Puis il y a ensuite les fonds d'investissements comme aujourd'hui et c'est un peu compliqué car c'est l'argent du contribuable qui est investi avec une volonté d'avoir un retour sur investissement rapide. Après, il y a l'investissement comme moi je le conçois c'est à dire l'investissement avec des gérants de fortunes, des Family Office qui sont des grandes familles très riches qui ne sont pas en attente d'un retour d'investissement sur du court terme. Ces grandes familles, ce qu'elles veulent, c'est de la diversification à savoir varier les natures de leurs investissements (arts, immobilier, voitures de luxe, mais aussi le football). Certaines de ces familles possèdent plusieurs milliards et si personne ne va mettre plusieurs milliards, l'idée c'est que chacun apporte son investissement, c'est sur ça qu'on travaille et c'est sur ce modèle qu'on a des certitudes. Le gros avantage, c'est que nous ne sommes pas, comme GACP, sur des emprunts avec des taux énormes qui rendent les sommes difficiles à rembourser. Cela, je ne le veux pas. L'idée, c'est donc de trouver ces "mécènes miniatures" qui ont envie de profiter d'un projet à forte visibilité et qui ont envie d'investir dans quelque chose qui les passionne et qui les excite.

Tout supporter des Girondins de Bordeaux, quel qu’il soit, doit faire partie de la famille des Girondins de Bordeaux et ça veut dire qu’on doit traiter les supporters de la meilleure façon qu’il soit. (...) Les supporters doivent forcément faire partie du projet des Girondins et les Girondins doivent quelque part aider les supporters. (...) Je n’aime pas parler de marque, j’aime bien parler d’Institution. Je pense que les Girondins, c’est avant tout une Institution. La marque, c’est plus ‘Bordeaux’. J’ai envie de développer plein de choses autour des Girondins, mais j’ai surtout envie de rendre le lien social entre le club et les supporters."

 

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