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Il y a 2 heures, DamieN62 a dit :

Concernant un éventuel retour de Bermont dont parlait tibo, je ne suis pas contre mais il joue au même poste que Zaroury à Annecy (ou du moins du même côté) et ce n'est pas le même profil que RLL, donc je ne sais pas si ce serait lui rendre service de le rappeler en cours de saison sans lui donner des garanties au niveau du temps de jeu.

Euh alors je ne connais pas les clauses qui régissent les prêts mais je suppose que c'est toujours sensé être pour un an. Même si là on est dans une situation un peu exceptionnelle (cette poisse ahurissante, c'est complètement dingue) ça le fait pas trop quand même de faire revenir un prêté "parce que vous voyez on vous l'a filé en début de saison mais finalement on en a besoin alors on vous le reprend". Vous connaissez des cas similaires?

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il y a 31 minutes, fleurdelens a dit :

Euh alors je ne connais pas les clauses qui régissent les prêts mais je suppose que c'est toujours sensé être pour un an. Même si là on est dans une situation un peu exceptionnelle (cette poisse ahurissante, c'est complètement dingue) ça le fait pas trop quand même de faire revenir un prêté "parce que vous voyez on vous l'a filé en début de saison mais finalement on en a besoin alors on vous le reprend". Vous connaissez des cas similaires?

Il y a parfois des clauses dans les contrat de prêt permettant au club de rappeler un joueur, il me semble. Mais je n'ai pas d'exemple d'un joueur rappelé de son prêt. Mais il me semble en avoir déjà vu revenir avant la fin du prêt, mais c'était surtout parce que le joueur ne satisfaisait pas le club où il avait été prêté. Un joueur qui revient parce que son club a besoin de lui, ça ne me parle pas.

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Still va-t-il retenter Chavez devant? 

Si on ne recrute aucun attaquant lors du prochain mercato c'est à n'y rien comprendre. Dans l'absolu il en faudrait même 2. Et il ne faut pas rêver, je doute que Nzola n'ait aucun pépin jusqu'à la fin de saison. Et Sotoca n'est pas un buteur. 

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il y a 33 minutes, eagle a dit :

ton souhait ou une info ? 

Ni l un ni l autre. C est plus une impression.

Et j imagine meme que Monaco qui cherche un attaquant va vouloir justement preter l un des siens.

Je ne serais pas étonné de voir un monegasque a lens

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il y a 3 minutes, hunter001 a dit :

Ni l un ni l autre. C est plus une impression.

Et j imagine meme que Monaco qui cherche un attaquant va vouloir justement preter l un des siens.

Je ne serais pas étonné de voir un monegasque a lens

Charles Leclerc futur numéro 9 du RCL ?!

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il y a 20 minutes, hunter001 a dit :

Ni l un ni l autre. C est plus une impression.

Et j imagine meme que Monaco qui cherche un attaquant va vouloir justement preter l un des siens.

Je ne serais pas étonné de voir un monegasque a lens

Ils cherchent un attaquant parce que Balogun est blessé non ? 

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il y a 25 minutes, MattGrinin a dit :

Charles Leclerc futur numéro 9 du RCL ?!

On en aura au moins un qui est rapide !

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Il y a 13 heures, manico a dit :

Still va-t-il retenter Chavez devant? 

Si on ne recrute aucun attaquant lors du prochain mercato c'est à n'y rien comprendre. Dans l'absolu il en faudrait même 2. Et il ne faut pas rêver, je doute que Nzola n'ait aucun pépin jusqu'à la fin de saison. Et Sotoca n'est pas un buteur. 

Avec le discours de Still, cela peut être une solution pour la seconde partie de saison. Est-ce que Still n'aurait pas en tête de mettre Chavez sur le côté gauche du milieu et faire glisser Zaroury à droite ?

Là ou c'est problématique, c'est concernant le profil. Zaroury est clairement un joueur de ballon qui a besoin d'être connecté aux joueurs. RLL a un profil d'avaleur d'espaces qui commençait (malheureusement) à prendre de l'épaisseur et qui rentrait bien dans le système de Still sur le côté droit. Un profil unique que l'on a perdu avec cette blessure.

Ce qui est embêtant, c'est que cette blessure pourrait aussi avoir un impact sur les ventes cet hiver. Avec cette nécessité désormais d'avoir deux joueurs offensifs (Un attaquant et un joueur de couloir), j'ai peur que cela oblige le club à, peut être, bouger dans le sens des départs pour récupérer une certaine manne financière.

Avec un mercato hivernal annoncé important dans le sens des départs, cette blessure pourrait compliquer la chose...

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Le 16/12/2024 à 20:54, Clorith a dit :

Il y a parfois des clauses dans les contrat de prêt permettant au club de rappeler un joueur, il me semble. Mais je n'ai pas d'exemple d'un joueur rappelé de son prêt. Mais il me semble en avoir déjà vu revenir avant la fin du prêt, mais c'était surtout parce que le joueur ne satisfaisait pas le club où il avait été prêté. Un joueur qui revient parce que son club a besoin de lui, ça ne me parle pas.

Alors j'ai un exemple mais ça ne concerne pas Lens ni un club de Ligue 1 mais Liverpool qui avait rappelé Nathaniel Phillips alors en prêt à Stuttgart en D2 allemande durant l'hiver 2019-2020 pour faire face à une avalanche de blessures au sein de ses défenseurs centraux (Matip et Gomez de mémoire) alors que Phillips était pourtant un titulaire quasi indiscutable à Stuttgart et qu'une fois revenu à Liverpool il n'a quasiment pas joué de la saison à part en FA Cup 😅 (la coupure due au COVID à partir de mars ayant permis aux blessés de revenir pour la fin de saison) 

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Le losc de Galtier et Mothiba qui était prêté à Valenciennes, l'année où ils ont failli descendre. 

Le VAFC refusait, Lille a dû payer 1 million pour rompre le prêt.

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Il y a 3 heures, Toutankhâmon a dit :

Je viens de voir l’info pour les croisés de RLL…

 

qu’on fasse très vite jouer Diliwidi et Capuano. C’est à ça que sert une réserve. On a rien à perdre…

D'autant plus que, contre le PSG, c'est un match de coupe dans lequel ont est loin d'être favori, alors qu'est-ce qu'on risque à tenter d'aligner un jeune devant ? Si on prend une valise, ce ne sera pas la présence d'un jeune en attaque qui aura plombé notre défense.

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Comme je n'ai pas vu de topic N'Zola dans effectif, voici un article de SoFoot

 

Le roman de Nzola

Par Timothé Crépin
 

De la D4 portugaise à Lens, en passant par la Fiorentina, l’itinéraire de M’Bala Nzola est... spécial ! Pas conservé par Troyes pour des problèmes de comportement, l’Angolais s’est forgé et a fini par tout renverser au bout d’un chemin unique. Voici comment.

 

Le roman de Nzola

 

« Il fait partie des garçons qui font grandir les entraîneurs. On a toujours plein de convictions sur untel ou untel qui peut aller vers le haut niveau. Lui, je pense qu’il était parmi ceux jugés inaptes. Et il y arrive. Ce sont de beaux exemples. » Comme beaucoup, Philippe Pinson est véritablement surpris de voir où en est aujourd’hui M’Bala Nzola, à 28 ans. L’actuel attaquant de Lens a, il faut bien le dire, pris son temps pour véritablement éclore. Au cœur d’un parcours cabossé comme le football peut parfois nous en donner. Loin, très loin d’être linéaire, tranquille et sans embûche.

Pourtant, contrairement à d’autres carrières empruntées, Nzola connaît un centre de formation pro. Angolais d’origine (il a fait ses débuts internationaux en 2021), le futur attaquant massif et sa famille grandissent à Troyes et le quartier des Chartreux. M’Bala intègre rapidement l’ESTAC, non sans faire débat. « Dans ma tête, c’était un crack, promet Samuel Grandsir, aujourd’hui au Havre, ancien coéquipier dans l’Aube. Mais peut-être pas pour d’autres… » Entre promesses d’avenir et véritable questionnement sur son habileté à progresser. Philippe Pinson l’a entraîné chez les U17. « Beaucoup de qualités mais, quand même, des gros manques, remarque l’éducateur. D’un point de vue tactique, on cherche à savoir ce que souhaite être M’Bala. Un attaquant de profondeur ? Un deuxième attaquant ? Un pivot ? On a du mal, car il a parfois des difficultés à se situer dans le jeu. »

Le vol de trop

Il faut dire que le football n’est pas le point central de sa jeunesse. À 16 ans, il est déjà très responsabilisé dans sa famille. Si son père est présent, l’adolescent doit s’occuper de ses sœurs et être là dans le foyer familial. « Il a des choses à gérer que des garçons de son âge n’ont pas à s’occuper », reconnaît Philippe Pinson. Avec, au milieu de cet axe, une scolarité pas des plus sérieuses. Si bien qu’au sortir de la préformation et d’années collège délicates, le club doit lui trouver un cursus en alternance pour continuer son aventure à l’ESTAC, « en chaudronnerie, je crois, précise Pinson. Quelque chose de très manuel. Mais il s’est pris en main sur ses emplois du temps. »

S’il avait été plus tueur dans sa tête, il aurait vraiment été un crack.

Samuel Grandsir, coéquipier à l’ESTAC

Frustrant, car les qualités footballistiques sont là, avec toujours le même lot d’interrogations. « On sent qu’il y a un gros potentiel, quelque chose de supérieur dans plein de domaines, promet Claude Robin, alors directeur du centre de formation troyen. Il est fort attachant, insouciant, toujours en train de rigoler. Mais, sur le terrain, il n’est pas abouti. On voit les qualités, mais, des fois, ce n’est pas qu’il est fainéant, mais il faut toujours le contraindre à. » « On cherche comment il va s’affirmer, continue Pinson. Il ne marque pas beaucoup, mais a une grosse présence en attaque. Il a une difficulté à être structuré comme il faut. Mais on sent qu’on n’est pas loin de quelque chose. »

 

grande.jpg

En 2014, coup de massue : Troyes ne le conserve pas. D’abord à cause de carences dans la vision de ce que signifie être un footballeur professionnel. « Dans sa tête, il n’est pas encore assez prêt, argumente Samuel Grandsir. Pourtant, pour moi, il a tout : technique, physique, vitesse, finition… Mais il lui manque cette mentalité de se dépasser. Même lui sait qu’il est au-dessus. Mais peut-être qu’il se repose un peu sur ses acquis. S’il avait été plus tueur dans sa tête, il aurait vraiment été un crack. » Avec, pour ne rien arranger, des écarts de comportement qui vont sonner sa fin à Troyes. « On a été obligé de se séparer de lui. J’ai été tolérant plusieurs fois, raconte Claude Robin. Mais, là, c’est la fois de trop. On en a convenu tous les deux. » En cause, selon l’actuel entraîneur de Besançon, un vol commis envers un coéquipier du centre. « Quand on est directeur, on ne peut pas tout laisser passer. Là, c’est intolérable. Mais ce n’est pas un méchant, ni un tordu. Au contraire, c’est un crève-cœur de prendre cette décision. »

Porto, Osimhen et gros bébé

Pourtant, c’est à se demander si ce renvoi troyen n’a, au contraire, pas été la première étape sur la route de l’ascension. Comme un premier rappel qu’il faut vite redresser la barre au risque de tout perdre définitivement. « Partir de la France lui fait du bien et lui provoque une petite étincelle dans la tête. Il fallait sortir de son confort », croit Samuel Grandsir. Nzola décide de quitter son cocon et ses potes. Direction l’Académica de Coimbra, au Portugal. Il a 18 ans. Pas avec les pros, il parvient pourtant à s’y faire une place. En équipe première, il fait la connaissance de Tripy Makonda (ex-PSG, Brest…). « Je trouve un gamin très sûr de lui, très déterminé, se souvient l’ex-Titi parisien. Il s’impose lors des séances d’entraînement, mais il a des choses à travailler. Sa nonchalance peut lui être fatale, mais ça ne l’empêche pas d’être performant. » Preuve en Coupe de la Ligue portugaise, où Nzola a sa chance en janvier 2015. Il marque cinq minutes après son entrée pour son premier match pro face au FC Porto de Jackson Martínez (défaite 1-4). Le début de l’ascension ? Pas du tout. Makonda : « Le centre de formation n’a plus de moyens pour garder les jeunes. C’est limite si M’Bala joue gratuitement. Vous allez au centre, si vous avez besoin de manger, vous ne pouvez pas… Il est parti. »

Destination : Sertã, en plein centre du Portugal, et le club de Sertanense, alors… en D4. Peu importe l’endroit, Nzola doit jouer, enfin. Il claque 7 buts pour 25 matchs. Mais comme à Coimbra, c’est comme si l’Angolais peaufinait réellement sa formation. Les conditions y ressemblent, en tout cas. « On loge dans des dortoirs, dépeint Bissourou Touré, coéquipier de l’époque, qui se souvient de ce “gros bébé” d’1,85m. Je revois ce long couloir avec des chambres, et le terrain juste au-dessus. » Pourtant, là encore, Nzola doit beaucoup patienter pour avoir de réelles minutes en championnat. « Il ne joue pas trop, au début, poursuit Touré. Les Portugais n’avaient jamais vu un gabarit comme le sien ! Ils étaient un peu choqués. Mais niveau football, il n’y a rien à dire. » M’Bala est rattrapé par ses « démons », comme ce langage corporel qui peut interpeller. « Ce qui lui manque ? L’attitude, abonde Bissourou Touré. Car, à l’étranger, ils regardent beaucoup l’attitude. Surtout quand tu viens de France… Mais sur le terrain, il a un autre caractère. Un genre d’Osimhen. Hargneux. Il a la dalle. » Des buts, oui, mais un épanouissement personnel loin d’être à son maximum. M’Bala pense même à arrêter le ballon. Mais Bissourou Touré le jure : « Quand tu sors de Sertanense, mentalement, plus rien ne peut t’atteindre. »

Un mentor nommé Vincenzo Italiano

Son chemin aussi sinueux qu’improbable l’emmène alors en Italie. Au Virtus Francavilla (Serie C), où il n’a pas encore vraiment les codes du monde pro. Un premier déclic vient de la rencontre de son coach, Antonio Calabro. La relation est franche, le technicien italien prend son attaquant sous son aile. « Tu connais les coachs chauves, ils sont un peu méchants, racontait récemment Nzola à La Voix du Nord. Il était méchant avec moi, mais j’ai compris qu’il m’aimait bien. Il ne voulait pas montrer que j’étais son chouchou. » Et ça se concrétise sur le terrain. Francavilla débarque de Serie D et dispute tout de suite les play-off d’accession en Serie B. « C’était personne, confie John-Christophe Ayina, son coéquipier dans les Pouilles. Il devait se faire un nom. Et, dans sa tête, il est en mission. Il se bat contre lui-même, il veut être la meilleure version de lui-même. » Onze buts, et même des comparaisons avec George Weah et Karim Benzema. Lui rêve de Ligue des champions. La Fiorentina et Parme s’intéressent au profil. Sauf que Nzola gâche tout face à Livourne, en barrage aller d’accession. Carton rouge, huit matchs de suspension ! Il est question d’un mauvais geste envers un adversaire et l’arbitre. La Viola laisse tomber le dossier. Le haut niveau attendra, encore. Surtout que Nzola ne confirme pas du tout en Serie B, à Carpi, qui le récupère (14 matchs, 0 but).

Quand il s’entraîne vraiment très, très mal, il me lance des trucs du genre : “Je vais marquer 20 buts en Serie A, tu vas voir !” Je me dis : “Mais il est fou !”

Anthony Taugourdeau, coéquipier à Trapani

Non, le premier véritable étage de la fusée Nzola se trouve à Trapani, en Sicile. Retour en Serie C. Nouveau coach au crâne dégarni, nouveau coup de cœur. Cette fois avec Vincenzo Italiano, qui entraîne actuellement Bologne. « Le coach comprend comment il faut prendre M’Bala, appuie Anthony Taugourdeau, coéquipier sicilien. Quand il faut le faire jouer ou pas, le laisser tranquille ou pas. » Sauf que question mentalité, le compte n’y est toujours pas, au départ. « Pour l’entraînement, il faut arriver à 14h30, lui arrive à 14h29, tous les jours, rembobine Taugourdeau. Avec parfois un peu de retard. Il baisse les bras dès que quelque chose ne va pas. Un caractère un peu particulier. » Nzola marque 8 buts sur la saison (33 matchs, 16 titularisations). Mais son ancien partenaire hallucine sur le discours que lui tient l’Angolais : « Quand il s’entraîne vraiment très, très mal, il me lance des trucs du genre : “Je vais marquer 20 buts en Serie A, tu vas voir !” Je me dis : “Mais il est fou ! Qu’est-ce qu’il me raconte ?” Dans sa tête, il sait qu’il peut le faire. Mais on est en Serie C, et il ne met pas 30 buts non plus… Il a dû changer quelque chose… »

 

grande.jpg

Trapani, Italiano et Nzola montent en Serie B. Sauf que le coach italien rallie La Spezia pendant l’été. M’Bala, orphelin de son mentor, le rejoint au mercato d’hiver. Et ça matche, encore. Sept pions pour l’attaquant. Direction la grande Serie A. Il cartonne avec 9 buts inscrits lors de ses 13 premières apparitions ! 11 pions au total pour sa saison de bizutage dans la grande ligue italienne. Forcément, ça fait parler. Naples, Newcastle et West Ham, entre autres, sont sur sa piste.

Le nounours est décontracté

Mais comme tout ne peut pas être parfait, Nzola ne part pas et, surtout, Vincenzo Italiano, qui lui aussi est très en vogue, fait ses valises vers Florence et la Viola. À sa place débarque un certain Thiago Motta. Un doublé à l’Atalanta (2-5) et c’est tout pour Nzola sous l’ère Motta. Derrière, en 2022-2023, il retrouve son mojo (13 buts) et est transféré pour quasi 13 millions d’euros à la Fiorentina de… Vincenzo Italiano. Barré notamment par Andrea Belotti en attaque, Nzola plante trois buts en Serie A, mais participe au sacré parcours florentin en Ligue Conférence la saison passée. Avec notamment ce but inscrit à la 91e minute en demi-finales allers face au Club Bruges, importantissime pour la qualification en finale (3-2 ; 1-1). Les troupes d’Italiano échouent sur la dernière marche, en prolongation, face à l’Olympiakos (0-1 AP).

D’où il est parti, le voir là aujourd’hui, c’est un exemple. Car je pense que lui-même n’a pas conscience du potentiel qu’il a.

John Christophe Ayina, coéquipier au Virtus Francavilla

Jusqu’au RC Lens, donc, où il est prêté avec une option d’achat estimée à moins de 10 millions d’euros. Avec 4 buts inscrits lors de la phase aller en ayant joué son premier match à la toute fin du mois de septembre. Toujours ce caractère bien à lui, lui qui fuit toute exposition médiatique. Mais quelqu’un qui profite aujourd’hui d’une notoriété et d’une réussite qui ont été loin d’être évidentes. « Il est trop marrant, sourit Samuel Grandsir. C’est un mec décontracté, qui ne se met aucune pression. Il est humble, simple et a un grand cœur. » John-Christophe Ayina abonde : « Quand tu le vois, il est costaud, imposant. Mais quand tu le connais, c’est un petit nounours. Parfois, il peut être incompris. Il est vrai avec les gens et demande à ce qu’on soit vrai en retour. Il a besoin de beaucoup de confiance, qu’on la lui donne. D’où il est parti, le voir là aujourd’hui, c’est un exemple. Car je pense que lui-même n’a pas conscience du potentiel qu’il a. » Quand ses formateurs comparent le Nzola de Troyes et le Nzola de Lens, le constat est sans appel. « Il a eu une prise en main assez exceptionnelle pour arriver là et être performant », applaudit Philippe Pinson. Quand Claude Robin est également bluffé : « Toute l’énergie qu’il donne contraste vraiment avec, parfois, la nonchalance qu’il mettait à ses débuts. Je suis content, car ça veut dire qu’il a compris. »

« La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera », Emile Zola.

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Pas mal d'informations lors de la conférence de presse.

Side Invest a remis de l'argent, le club envisage l'achat de Bollaert pour la fin de saison, on semble serein financièrement finalement. Une belle manière de dire aux courtisans qu'il faut mettre du pognon pour nos joueurs ?

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il y a 20 minutes, Lucio a dit :

Pas mal d'informations lors de la conférence de presse.

Side Invest a remis de l'argent, le club envisage l'achat de Bollaert pour la fin de saison, on semble serein financièrement finalement. Une belle manière de dire aux courtisans qu'il faut mettre du pognon pour nos joueurs ?

Peut être, mais ce qu'il faut retenir c'est que si le club est encore en capacité d'acheter Bollaert, c'est que rien ne va mal

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il y a 35 minutes, MisterFraiZ a dit :

Peut être, mais ce qu'il faut retenir c'est que si le club est encore en capacité d'acheter Bollaert, c'est que rien ne va mal

Possible. Après ça passe par un emprunt. Et celui-ci servira aussi pour finir la saison. 

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il y a 13 minutes, y0ru a dit :

Je pense que JO estime qu'on a besoin de vendre car il voit plus loin, sur plusieurs saisons et plusieurs aspects. Pas comme des clubs style l'OM, Lyon etc...

Je pense surtout que pour JO il est concevable qu'une société n'ait pas un bilan équilibré sur une année donnée. Ce qui est notre cas actuellement sans les recettes de LDC !

Posté(e) (modifié)

Deux éliminations en CDF dans la même année, deux fois aux tirs au but.

Élimination en C3 après avoir concédé un but à la dernière minute.

C3 qui nous échappe à la dernière minute.

Élimination en C4 après avoir concédé un but en contre à 5 minutes de la fin.

Vivement 2025.

Modifié par DamieN62

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