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[L1: Saison 2022/2023 du RC Lens] Terminer le plus haut possible


manico
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il y a une heure, manico a dit :

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Stade, ambiance, style de jeu… Le RC Lens, la plus anglaise des équipes de Ligue 1

Invincible à domicile cette saison avec un bilan de dix victoires en autant de rencontres, le RC Lens reçoit Nice ce mercredi (21 heures). Le dauphin du PSG cultive des spécificités qui rappellent celles de nos voisins d’Outre-Manche.

L'architecture du stade Bollaert-Delelis et la ferveur de ses supporters donnent un air de Premier League au RC Lens. Icon Sport/Christophe Saidi
L'architecture du stade Bollaert-Delelis et la ferveur de ses supporters donnent un air de Premier League au RC Lens. Icon Sport/Christophe Saidi
 
 
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Par Arnaud Detout 
Le 1 février 2023 à 12h00

Sa situation géographique en fait le club de L1 le plus proche de l’Angleterre. Depuis Lens, on parcourt en effet 6 km de moins en voiture que depuis Lille pour se rendre Outre-Manche. Mais, le RC Lens, dauphin du PSG à trois longueurs, est surtout le club le plus british de notre championnat pour de nombreuses raisons. Explications.

Un stade qui vibre comme à Leeds et Liverpool

Rénové pour l’Euro 2016 lors duquel il a accueilli 4 rencontres, le stade Bollaert-Delelis de Lens est reconnaissable par son architecture anglaise avec 4 tribunes totalement indépendantes, rectangulaires et proches de la pelouse. Cette enceinte anguleuse, qui peut contenir 38 200 spectateurs, contraste avec la forme arrondie de plusieurs stades de l’Hexagone comme le Stade de France (Saint-Denis), le stade Vélodrome (Marseille) ou encore le Stadium de Toulouse.

« Benoît Delaval, notre nouveau directeur de la performance, me racontait qu’on se rapproche beaucoup de Leeds et de son stade, Elland Road. C’est une ville ouvrière du Nord de l’Angleterre avec un stade au cœur de la ville qui fait office de centralité, un phénomène très courant en Angleterre », déclare Arnaud Pouille, le directeur général du RC Lens.

En 2018, les sièges du bas de tribune des deux virages ont été enlevés à la demande des supporters. « On a attendu d’avoir les autorisations des autorités pour faire les modifications dans le stade. Cela donne un côté festif, avoue Arnaud Pouille. On aimerait faire grandir la capacité, car on refuse du monde. Bollaert affiche complet depuis un long moment. »

Le public est très familial, comme de l’autre côté de la Manche, avec notamment une tribune, Trannin, dédiée aux parents accompagnés de leurs jeunes enfants. À l’instar du Liverpool FC et de son chant mythique « You’ll Never Walk Alone » (« Tu ne marcheras jamais seul »), le club nordiste possède lui aussi son hymne. Ou plutôt ses deux hymnes. « La Lensoise » (sous l’air de « la Marseillaise ») avant la rencontre, et « les Corons » durant la pause.

« Les supporters aiment ce moment de partage, ces chants parlent du club et de la région, indique Sylvano, le speaker du stade Bollaert depuis trois ans et ancien Ultra chez les Tigers. Comme en Angleterre, il existe une implication caritative du club dans sa région, à travers notamment le fonds de dotation Racing Cœur de Lens. Il y a aussi des ventes de maillots reversés à des associations. Les supporters ramènent également des jouets avant une distribution faite par les joueurs et les associations. »

Un style de jeu « so british »

Les observateurs reconnaissent que le RC Lens possède le jeu le plus abouti de la L1 cette saison. Physiquement au top, les Nordistes récupèrent de nombreux ballons avant d’aller de l’avant. C’est une équipe qui veut marquer et contrôler le match. Des caractéristiques qui rappellent les formations de Premier League.

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« On essaie surtout de mettre de l’intensité au bon endroit et au bon moment. On est capable d’avoir un bloc haut qui presse et contre-presse et un bloc plus médian qui cherche à toujours défendre en avançant. On cherche les transitions rapides mais on a aussi travaillé sur les attaques placées, car on a la 3e possession de L1, explique Franck Haise, le technicien lensois. Nous enrichissons notre palette pour répondre à un maximum de situation qu’on rencontre. On aime le beau jeu tourné vers l’avant, mais quand on rencontre une équipe avec un bloc bas, on ne doit pas faire n’importe quoi. Il faut adopter un jeu de position et des mouvements coordonnés pour déséquilibrer l’adversaire. L’idée du spectacle que j’ai, c’est de gagner les matchs et marquer plus de buts que l’adversaire. »

Les Lensois ont idéalement commencé l'année avec une victoire méritée sur le PSG le 1er janvier à Bollaert. FEP/Icon Sport/Philippe Lecoeur
Les Lensois ont idéalement commencé l'année avec une victoire méritée sur le PSG le 1er janvier à Bollaert. FEP/Icon Sport/Philippe Lecoeur 2023 Icon Sport

Le public apprécie ses joueurs généreux dans l’effort et le côté spectaculaire de son équipe qui se procure de nombreuses occasions à chaque rencontre. « Le contexte lensois aide car le public aide les joueurs à se surpasser régulièrement. C’est notre 12e homme », appuie Franck Haise. « Les supporters aiment se reconnaître dans les joueurs et leur implication, leur envie de bien faire et leur générosité, ajoute Sylvano. Il existe une bonne harmonie en tribune et sur le terrain. »

Comme souvent en Angleterre, les équipes de jeunes adoptent le même schéma tactique que celui de l’équipe fanion. « On leur apprend tous les systèmes, mais à partir d’un certain âge, quand ils sont susceptibles d’intégrer le groupe pro pour les entraînements, on préfère qu’ils aient l’habitude donc l’équipe réserve et les U 19 jouent comme la L1 (en 3-4-3), précise Arnaud Pouille. Si on veut les intégrer, c’est bien qu’ils connaissent nos principes de jeu chez les pros. »

Un manager à l’anglaise

Dans la foulée du départ de son directeur sportif Florent Ghisolfi pour Nice en octobre dernier, le RC Lens a changé d’organisation. Franck Haise a été promu manager jusqu’en 2027, dans un rôle qui se rapproche de la fonction des techniciens en Premier League. Ses prérogatives ne s’arrêtent pas seulement à l’équipe fanion.

« On voulait lui donner plus de transversalité dans le club, car à la base, c’est un formateur, explique Arnaud Pouille. On espère que cela va porter ses fruits à terme. Sa mission première reste l’équipe première, mais il met beaucoup de cœur à accueillir des familles, expliquer le parcours d’un gamin… Parfois, il y a des scissions dans les clubs entre la formation et les pros. Ici, on travaille tous ensemble. »

Franck Haise, le manager du RC Lens, bénéficie de prérogatives élargies par rapport aux autres coachs de Ligue 1.
Franck Haise, le manager du RC Lens, bénéficie de prérogatives élargies par rapport aux autres coachs de Ligue 1. Icon Sport/Franco Arland

« Cela fait six ans que je suis arrivé à Lens. À mon poste d’entraîneur, j’appréciais déjà d’avoir une vision assez large avant cette proposition, confie Franck Haise. J’ai désormais un regard sur l’ensemble du domaine sportif, c’est-à-dire de l’école de foot à la préformation, formation, post-formation et féminine. Le recrutement de la formation et des pros également. Mais sur chaque pôle, il y a des managers, et c’est avec eux que j’ai des rendez-vous, pour les écouter et voir ce qu’on peut mettre en place pour améliorer les choses. Je suis consulté aussi sur la communication et le marketing. C’est intéressant et enrichissant. Même si je garde mes prérogatives, J’ai un staff auprès de moi très compétent. J’ai juste un peu moins de temps libre (sourire). »

 

 

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il y a 2 minutes, daykatana a dit :

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Stade, ambiance, style de jeu… Le RC Lens, la plus anglaise des équipes de Ligue 1

Invincible à domicile cette saison avec un bilan de dix victoires en autant de rencontres, le RC Lens reçoit Nice ce mercredi (21 heures). Le dauphin du PSG cultive des spécificités qui rappellent celles de nos voisins d’Outre-Manche.

L'architecture du stade Bollaert-Delelis et la ferveur de ses supporters donnent un air de Premier League au RC Lens. Icon Sport/Christophe Saidi
L'architecture du stade Bollaert-Delelis et la ferveur de ses supporters donnent un air de Premier League au RC Lens. Icon Sport/Christophe Saidi
 
 
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Par Arnaud Detout 
Le 1 février 2023 à 12h00

Sa situation géographique en fait le club de L1 le plus proche de l’Angleterre. Depuis Lens, on parcourt en effet 6 km de moins en voiture que depuis Lille pour se rendre Outre-Manche. Mais, le RC Lens, dauphin du PSG à trois longueurs, est surtout le club le plus british de notre championnat pour de nombreuses raisons. Explications.

Un stade qui vibre comme à Leeds et Liverpool

Rénové pour l’Euro 2016 lors duquel il a accueilli 4 rencontres, le stade Bollaert-Delelis de Lens est reconnaissable par son architecture anglaise avec 4 tribunes totalement indépendantes, rectangulaires et proches de la pelouse. Cette enceinte anguleuse, qui peut contenir 38 200 spectateurs, contraste avec la forme arrondie de plusieurs stades de l’Hexagone comme le Stade de France (Saint-Denis), le stade Vélodrome (Marseille) ou encore le Stadium de Toulouse.

« Benoît Delaval, notre nouveau directeur de la performance, me racontait qu’on se rapproche beaucoup de Leeds et de son stade, Elland Road. C’est une ville ouvrière du Nord de l’Angleterre avec un stade au cœur de la ville qui fait office de centralité, un phénomène très courant en Angleterre », déclare Arnaud Pouille, le directeur général du RC Lens.

En 2018, les sièges du bas de tribune des deux virages ont été enlevés à la demande des supporters. « On a attendu d’avoir les autorisations des autorités pour faire les modifications dans le stade. Cela donne un côté festif, avoue Arnaud Pouille. On aimerait faire grandir la capacité, car on refuse du monde. Bollaert affiche complet depuis un long moment. »

Le public est très familial, comme de l’autre côté de la Manche, avec notamment une tribune, Trannin, dédiée aux parents accompagnés de leurs jeunes enfants. À l’instar du Liverpool FC et de son chant mythique « You’ll Never Walk Alone » (« Tu ne marcheras jamais seul »), le club nordiste possède lui aussi son hymne. Ou plutôt ses deux hymnes. « La Lensoise » (sous l’air de « la Marseillaise ») avant la rencontre, et « les Corons » durant la pause.

« Les supporters aiment ce moment de partage, ces chants parlent du club et de la région, indique Sylvano, le speaker du stade Bollaert depuis trois ans et ancien Ultra chez les Tigers. Comme en Angleterre, il existe une implication caritative du club dans sa région, à travers notamment le fonds de dotation Racing Cœur de Lens. Il y a aussi des ventes de maillots reversés à des associations. Les supporters ramènent également des jouets avant une distribution faite par les joueurs et les associations. »

Un style de jeu « so british »

Les observateurs reconnaissent que le RC Lens possède le jeu le plus abouti de la L1 cette saison. Physiquement au top, les Nordistes récupèrent de nombreux ballons avant d’aller de l’avant. C’est une équipe qui veut marquer et contrôler le match. Des caractéristiques qui rappellent les formations de Premier League.

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« On essaie surtout de mettre de l’intensité au bon endroit et au bon moment. On est capable d’avoir un bloc haut qui presse et contre-presse et un bloc plus médian qui cherche à toujours défendre en avançant. On cherche les transitions rapides mais on a aussi travaillé sur les attaques placées, car on a la 3e possession de L1, explique Franck Haise, le technicien lensois. Nous enrichissons notre palette pour répondre à un maximum de situation qu’on rencontre. On aime le beau jeu tourné vers l’avant, mais quand on rencontre une équipe avec un bloc bas, on ne doit pas faire n’importe quoi. Il faut adopter un jeu de position et des mouvements coordonnés pour déséquilibrer l’adversaire. L’idée du spectacle que j’ai, c’est de gagner les matchs et marquer plus de buts que l’adversaire. »

Les Lensois ont idéalement commencé l'année avec une victoire méritée sur le PSG le 1er janvier à Bollaert. FEP/Icon Sport/Philippe Lecoeur
Les Lensois ont idéalement commencé l'année avec une victoire méritée sur le PSG le 1er janvier à Bollaert. FEP/Icon Sport/Philippe Lecoeur 2023 Icon Sport

Le public apprécie ses joueurs généreux dans l’effort et le côté spectaculaire de son équipe qui se procure de nombreuses occasions à chaque rencontre. « Le contexte lensois aide car le public aide les joueurs à se surpasser régulièrement. C’est notre 12e homme », appuie Franck Haise. « Les supporters aiment se reconnaître dans les joueurs et leur implication, leur envie de bien faire et leur générosité, ajoute Sylvano. Il existe une bonne harmonie en tribune et sur le terrain. »

Comme souvent en Angleterre, les équipes de jeunes adoptent le même schéma tactique que celui de l’équipe fanion. « On leur apprend tous les systèmes, mais à partir d’un certain âge, quand ils sont susceptibles d’intégrer le groupe pro pour les entraînements, on préfère qu’ils aient l’habitude donc l’équipe réserve et les U 19 jouent comme la L1 (en 3-4-3), précise Arnaud Pouille. Si on veut les intégrer, c’est bien qu’ils connaissent nos principes de jeu chez les pros. »

Un manager à l’anglaise

Dans la foulée du départ de son directeur sportif Florent Ghisolfi pour Nice en octobre dernier, le RC Lens a changé d’organisation. Franck Haise a été promu manager jusqu’en 2027, dans un rôle qui se rapproche de la fonction des techniciens en Premier League. Ses prérogatives ne s’arrêtent pas seulement à l’équipe fanion.

« On voulait lui donner plus de transversalité dans le club, car à la base, c’est un formateur, explique Arnaud Pouille. On espère que cela va porter ses fruits à terme. Sa mission première reste l’équipe première, mais il met beaucoup de cœur à accueillir des familles, expliquer le parcours d’un gamin… Parfois, il y a des scissions dans les clubs entre la formation et les pros. Ici, on travaille tous ensemble. »

Franck Haise, le manager du RC Lens, bénéficie de prérogatives élargies par rapport aux autres coachs de Ligue 1.
Franck Haise, le manager du RC Lens, bénéficie de prérogatives élargies par rapport aux autres coachs de Ligue 1. Icon Sport/Franco Arland

« Cela fait six ans que je suis arrivé à Lens. À mon poste d’entraîneur, j’appréciais déjà d’avoir une vision assez large avant cette proposition, confie Franck Haise. J’ai désormais un regard sur l’ensemble du domaine sportif, c’est-à-dire de l’école de foot à la préformation, formation, post-formation et féminine. Le recrutement de la formation et des pros également. Mais sur chaque pôle, il y a des managers, et c’est avec eux que j’ai des rendez-vous, pour les écouter et voir ce qu’on peut mettre en place pour améliorer les choses. Je suis consulté aussi sur la communication et le marketing. C’est intéressant et enrichissant. Même si je garde mes prérogatives, J’ai un staff auprès de moi très compétent. J’ai juste un peu moins de temps libre (sourire). »

 

 

Merci à toi :good1:

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il y a 4 minutes, Jerem Coco a dit :

Super article. Pas la première fois que je vois ce genre de louanges venues d Angleterre. Cela me fait d ailleurs un peu peur car notre coach préféré va finir pas être sollicité à n en pas douter 😕

Je serais très content pour lui mais un peu moins pour mon RCL 🥺

?

C'est un article du Parisien pour le coup, qui interroge en plus des français, ce ne sont pas des louanges venues d'Angleterre :hum1:

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1 hour ago, Othian said:

?

C'est un article du Parisien pour le coup, qui interroge en plus des français, ce ne sont pas des louanges venues d'Angleterre :hum1:

Mdrrrrrr.

Mais où étais je quand j' ai écrit ce message lol. 

Tellement proche des analyses que j ai pu lire dans quelques journaux anglais ...

Désolé pour l'erreur.

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Bon, chaque club connait chaque saison une mauvaise période. Notre mauvaise passe, ça semble être clairement maintenant, autant dans le jeu que dans les résultats. Alors, que faire pour inverser la tendance ?

Personnellement, une remise en question de FH et des joueurs s'imposent. Montrer plus de détermination dans des matchs à notre portée, afin de s'enlever une part de pression dans les matchs comme ce soir. Revenir à un jeu plus fluide, travailler les combinaisons, rajouter un entraînement solo de deux heures pour Franko tous les jours afin de travailler ses centres... Et aussi faire jouer la concurrence. FH n'a pas hésité avec Openda, qu'il en fasse de même avec Franko et Fofana. 

Le prochain match, ça va permettre de stopper la légère hémorragie, mais si on rate encore, là ça va piquer... Espérons une réaction de tous et surtout pas de déni. Rien n'est perdu, mais on est dans une période charnière de la saison. 

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à l’instant, Mr_Moustache a dit :

Ou une défense à 4?

Ça serait limite plus cohérent mais c'est pas forcément un schéma très travaillé .

 

On ne joue pas contre Brest d'abord ? On ne sait pas combien de temps Haidara sera indisponible  

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il y a 1 minute, Adjo a dit :

Ça serait limite plus cohérent mais c'est pas forcément un schéma très travaillé .

 

On ne joue pas contre Brest d'abord ? On ne sait pas combien de temps Haidara sera indisponible  

Si, il y a Brest avant et en championnat. On parlera de Lorient à 19h00 dimanche. 😄

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à l’instant, tibocm1 a dit :

Je sais pas ce qui est pire. Ma proposition ou la tienne. Honnêtement, ça peut le faire sur un match mais Onana apporterait un peu de physique, pour le coup. 

J’ai moins peur de mettre un mec dans l’axe que sur un côté. Et puis il pourrait prendre des ballons de la tête.

Mais bon, là CDF c’est la coupe de Le Cardinal (vu qu’apparemment il n’est pas inscrit à la LFP pour la L1… 😇)

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Pour terminer la journée sur une note plus positive, on peut tout de même rester confiant par rapport au top 5. Peut-être qu'on aura vraiment du mal à conserver une place dans le top 3 mais Lille et Lorient galèrent aussi. Lille n'a gagné qu'un seul match de championnat sur les 5 derniers matchs, des nuls contre Reims, Brest et Clermont et une défaite à Nice.

Ce que je disais sur un autre thread, c'est que même en perdant tous nos matchs, il faudrait que Lille/Lorient enchaine(nt) une série de 4 victoires consécutives. Sur les prochains matchs, Lille va jouer Rennes, Lyon, Strasbourg, Paris, Brest, Lens et Lyon. Pas vraiment le calendrier idéal.

 

A ce moment de la saison, je ne crois pas qu'on arrivera à gommer nos défauts sur certains aspects de notre jeu. Les défauts sont identifiés mais quand on voit notre domination à Strasbourg, puis à Troyes, on peut se dire qu'avec une petite remise en question, ça devrait le faire pour gagner encore quelques matchs.

Espérons que Fulgini apporte un plus. Lors de la conf d'après match, FH a commenté sur son arrivée "Angelo Fulgini est un joueur très complet, capable de finir les actions. Ca fait des années qu'on le suit. C'est un joueur créatif, régulier dans ses performances, capable de trouver la lumière dans les petits espaces". En gros, il décrit un peu tout ce qui nous manque, non?

En attaque, le coup de moins bien semble général. Sotoca n'a pas mis un but en champ depuis Lyon (octobre). Openda en a mis deux contre Paris et Strasbourg mais galère dans le jeu, Said ne marque plus, non plus (sauf Brest en coupe).  

Vu les perfs de PDC et Thomasson sur ce match contre Nice, une petite titularisation de RLL avec Openda et Sotoca, ça me déplairait pas. 

 

 

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Il y a 10 heures, tibocm1 a dit :

Pour terminer la journée sur une note plus positive, on peut tout de même rester confiant par rapport au top 5. Peut-être qu'on aura vraiment du mal à conserver une place dans le top 3 mais Lille et Lorient galèrent aussi. Lille n'a gagné qu'un seul match de championnat sur les 5 derniers matchs, des nuls contre Reims, Brest et Clermont et une défaite à Nice.

Ce que je disais sur un autre thread, c'est que même en perdant tous nos matchs, il faudrait que Lille/Lorient enchaine(nt) une série de 4 victoires consécutives. Sur les prochains matchs, Lille va jouer Rennes, Lyon, Strasbourg, Paris, Brest, Lens et Lyon. Pas vraiment le calendrier idéal.

 

A ce moment de la saison, je ne crois pas qu'on arrivera à gommer nos défauts sur certains aspects de notre jeu. Les défauts sont identifiés mais quand on voit notre domination à Strasbourg, puis à Troyes, on peut se dire qu'avec une petite remise en question, ça devrait le faire pour gagner encore quelques matchs.

Espérons que Fulgini apporte un plus. Lors de la conf d'après match, FH a commenté sur son arrivée "Angelo Fulgini est un joueur très complet, capable de finir les actions. Ca fait des années qu'on le suit. C'est un joueur créatif, régulier dans ses performances, capable de trouver la lumière dans les petits espaces". En gros, il décrit un peu tout ce qui nous manque, non?

En attaque, le coup de moins bien semble général. Sotoca n'a pas mis un but en champ depuis Lyon (octobre). Openda en a mis deux contre Paris et Strasbourg mais galère dans le jeu, Said ne marque plus, non plus (sauf Brest en coupe).  

Vu les perfs de PDC et Thomasson sur ce match contre Nice, une petite titularisation de RLL avec Openda et Sotoca, ça me déplairait pas. 

 

 

Si les joueurs ne se sont pas fait trop de films en pensant en priorité à la LDC, alors oui le top 5 est largement jouable. Dans le sens inverse, si on commence à sortir du podium, ça pourrait poser problème dans les têtes.

Tout comme toi, au vu de la baisse de niveau de nos offensifs, je serais pour lancer RLL. Et c'est là aussi qu'on voit qu'un attaquant n'aurait pas été de trop. Encore plus quand on sait qu'un retour aménagé à l'entraînement pour Buksa est espéré en mars...

D'ailleurs, si on avait pas raté Youssouf Nmachin, c'est le seul poste qui nous aurait fait un peu défaut. Alors que là, on doit prier pour que Saïd/Openda ne se pètent pas et reviennent en forme, et idem pour une éventuelle blessure de Médina/Danso, ainsi que SAS...

Modifié par Hiker
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il y a 9 minutes, Hiker a dit :

Si les joueurs ne se sont pas fait trop de films en pensant en priorité à la LDC, alors oui le top 5 est largement jouable. Dans le sens inverse, si on commence à sortir du podium, ça pourrait poser problème dans les têtes.

Tout comme toi, au vu de la baisse de niveau de nos offensifs, je serais pour lancer RLL. Et c'est là aussi qu'on voit qu'un attaquant n'aurait pas été de trop. Encore plus quand on sait qu'un retour aménagé à l'entraînement pour Buksa est espéré en mars...

D'ailleurs, si on avait pas raté Youssouf Nmachin, c'est le seul poste qui nous aurait fait un peu défaut. Alors que là, on doit prier pour que Saïd/Openda ne se pètent pas et reviennent en forme, et idem pour une éventuelle blessure de Médina/Danso, ainsi que SAS...

Et je rajouterai Machado ou sinon on se retrouve avec Boura en attendant les examens de Massadio.. C'est vrai qu'on peut mettre Frankowski à gauche. Vous me direz, c'est peut-être la seule solution pour voir Le Cardinal. 😅

Et c'est là qu'on se dit que nos recrutements ou en tout cas celui d'hiver n'est pas parfait, clairement. Mais on verra, peut-être que ça tiendra jusqu'à la fin de la saison et je le souhaite vivement.

C'est surtout Danso moi qui m'inquiète. Incroyable qu'il est joué la totalité des matchs pour l'instant sans aucun petit souci physique. Je ne sais pas si c'est son corps de Golgoth ou quoi mais si on le perds ça craint car il est trop important, trop fort, trop monstrueux. On va voir ce que ça donne face à Lorient mais ne pas l'avoir pourrait faire défaut (Et dans un sens ça le fera souffler).

Modifié par Amaury
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Il y a 19 heures, Hiker a dit :

Bon, chaque club connait chaque saison une mauvaise période. Notre mauvaise passe, ça semble être clairement maintenant, autant dans le jeu que dans les résultats. Alors, que faire pour inverser la tendance ?

Personnellement, une remise en question de FH et des joueurs s'imposent. Montrer plus de détermination dans des matchs à notre portée, afin de s'enlever une part de pression dans les matchs comme ce soir. Revenir à un jeu plus fluide, travailler les combinaisons, rajouter un entraînement solo de deux heures pour Franko tous les jours afin de travailler ses centres... Et aussi faire jouer la concurrence. FH n'a pas hésité avec Openda, qu'il en fasse de même avec Franko et Fofana. 

Le prochain match, ça va permettre de stopper la légère hémorragie, mais si on rate encore, là ça va piquer... Espérons une réaction de tous et surtout pas de déni. Rien n'est perdu, mais on est dans une période charnière de la saison. 

ou changer de système offensif avec deux pointes et un 10 axial derrière.

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Seko :

"On a essayé de pousser, de trouver les solutions. À titre personnel, il y a eu beaucoup d’erreurs. On n’est pas satisfait. Ce match va nous permettre de nous mettre la tête à l’endroit, corriger ce qui n’a pas été et avancer."

Enfin. On avance. Espérons que la discussion entre les joueurs et avec le staff permette de repartir du bon pied dès ce week-end.

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Il y a 3 heures, Hiker a dit :

Seko :

"On a essayé de pousser, de trouver les solutions. À titre personnel, il y a eu beaucoup d’erreurs. On n’est pas satisfait. Ce match va nous permettre de nous mettre la tête à l’endroit, corriger ce qui n’a pas été et avancer."

Enfin. On avance. Espérons que la discussion entre les joueurs et avec le staff permette de repartir du bon pied dès ce week-end.

Petit ajustement tactique de Haise, un discours « on se sort les doigts » des cadres dans le vestiaire, on se fait un petit 3-0 contre Brest et on relance la machine.

Enfin ça c’est le scénario idéal :D:

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