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[L1: Saison 2022/2023 du RC Lens] Terminer le plus haut possible


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il y a 3 minutes, tibocm1 a dit :

Avec 13 pts d'avance sur Rennes, 10 sur Lille et 8 sur Monaco. Important de souligner que Monaco va affronter Rennes et Lille. Donc, seulement 1 des 3 équipes pourra prendre les 15 pts restants (dans le meilleur des cas).

Marseille va aussi jouer Lille. 

Aussi si on compte le goal average, on rajoute +1 pour Lens sur les autres équipes. 

 

Lors de l'avant-dernière Journée, je vois bien Brest aller embêter Marseille au Vélodrome et accrocher quelque chose.

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il y a 1 minute, manico a dit :

Lors de l'avant-dernière Journée, je vois bien Brest aller embêter Marseille au Vélodrome et accrocher quelque chose.

Je pense aussi que Auxerre pourrait nous faire bien chier. Je sais pas trop pourquoi mais je le sens pas du tout ce match. Autant, je suis très confiant pour Reims et Ajaccio. 

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il y a 5 minutes, tibocm1 a dit :

Avec 13 pts d'avance sur Rennes, 10 sur Lille et 8 sur Monaco. Important de souligner que Monaco va affronter Rennes et Lille. Donc, seulement 1 des 3 équipes pourra prendre les 15 pts restants (dans le meilleur des cas).

Marseille va aussi jouer Lille. 

Aussi si on compte le goal average, on rajoute +1 pour Lens sur les autres équipes.

Selon les simulations, et en tenant compte des confrontations directes, il est désormais acquis que la 4ème place se jouera à 71pts. Il nous reste donc 2pts à prendre pour être certain de jouer l'Europe jusqu'en décembre (ou 3 si une équipe remonte la différence de but).

Étant donné qu'à l'heure actuelle la 3ème place ressemble plus à un détour vers l'EL qu'à une vraie participation en LDC (surtout que nous ne serons pas tête de série lors des deux tours), il faut clairement essayer de viser la 2ème place. Après, si on termine 3ème, on jouera évidemment le coup à fond mais il faudra un peu de chance pour passer les deux tours, surtout quand on voit les adversaires potentiels.

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il y a 11 minutes, Othian a dit :

J'y pense à Lille qui nous donne une cartouche pour passer 2ème (ou creuser l'écart si on gagne contre Marseille samedi) en essayant de se qualifier pour l'Europe. Ce serait vraiment savoureux haha. C'est pour ça qu'à mon sens même un match nul contre Marseille, à défaut d'une victoire, serait un résultat pas si mauvais pour la 2ème place.

Et ils vont être obligés de jouer le jeu parce que derrière Rennes est à 3 points et ils ont Monaco en ligne de mire. Ça va être intéressant, ce Lille-Marseille me tarde déjà en vérité.

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il y a 1 minute, Amaury a dit :

Et ils vont être obligés de jouer le jeu parce que derrière Rennes est à 3 points et ils ont Monaco en ligne de mire. Ça va être intéressant, ce Lille-Marseille me tarde déjà en vérité.

Si Lille ne merde pas à Reims ils auront vraiment des matchs très intéressants à jouer derrière. Au niveau du jeu affiché, ils méritent l'Europe pour moi.

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C'est joli toutes ces cases vertes, vivement que le tableau soit rempli :D:

A noter qu'on est plutôt bien remonté dans le classement de la phase retour, 5ème à seulement 3pts du trio Lyon/Paris/Marseille et juste derrière Montpellier qui fait une deuxième partie de saison excellente.

Aussi, on peut voir que le championnat est devenu beaucoup plus homogène sur la phase retour : 12pts séparent le 1er du 16ème (Lorient). Après 14 journées, il y avait 10pts d'écart entre Paris et le 3ème (Rennes), et l'écart avec le 16ème était de 26pts.

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Il y a 10 heures, Othian a dit :

Allez, pour le kiff, le tableau qui s'est bien éclairci :

TableauJ33.png

Si on supprime les lignes avec 14 points, impossibles à obtenir (soit 5 V = 15 pts, soit 4 V et 1 N = 13 pts), cela éclaircit encore un peu plus les choses.
Par exemple, pour Monaco, si on ne gagnait que 2 matches (6 points), ils seraient obligés de tout gagner pour nous passer devant.
Idem pour Lille, si on ne marquait que 4 points (1V 1 N et 3 D ou 4 N 1 D), ils devraient gagner tous leurs matchs pour passer devant nous.

Cela commence donc vraiment à sentir bon. Et on attend vraiment le match de samedi avec beaucoup d'espoir.
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Football: les U19 du RC Lens brillent, rêvent de titre national et… de Youth League

Assurés de terminer premiers de leur poule, les joueurs de Yohan Démont disputeront les quarts de finale du championnat de France. Ils gardent aussi un œil sur le dénouement de la Ligue 1. Pas seulement en tant que supporters de leur club. Mais aussi parce qu’il pourrait leur ouvrir la porte de la plus prestigieuse compétition de leur catégorie d’âge.

Les Lensois Sean Tormin, ici lors de la victoire lensoise face à Lille en janvier (1-0), ont de jolies perspectives en cette fin de saison. PHOTO SEVERINE COURBE Les Lensois Sean Tormin, ici lors de la victoire lensoise face à Lille en janvier (1-0), ont de jolies perspectives en cette fin de saison. PHOTO SEVERINE COURBE - VDN /sites/all/themes/enacarbon_vdn/images/logo-gris.png
Par Grégory Lallemand

Publié: 4 Mai 2023 à 16h10 3 minPartage :

Depuis le 23 avril et leur victoire à Montfermeil (1-2), les jeunes Lensois sont officiellement qualifiés pour les quarts de finale du championnat de France. Premiers, ils auront même l’avantage de recevoir leur adversaire le 21 mai. « Une récompense pour leur régularité et leur progression tout au long de la saison  », déclare Yohan Démont, coach d’une formation extrêmement jeune.

Les Sang et Or affronteront donc bientôt ce qu’il se fait de mieux cette saison à l’échelle nationale. Dans les autres poules, Angers, Montpellier ou Auxerre ont aussi impressionné. Lens aura de vrais arguments à poser sur la table. « Avoir des résultats chez les jeunes, c’est une bonne chose, explique Franck Haise, le manager général du Racing. C’est toujours une bonne nouvelle d’avoir des équipes qui performent et jouent plutôt bien. Si on gagne des championnats, c’est très bien. Mais ce n’est pas l’objectif final. L’objectif final, c’est d’amener des joueurs pour le plus haut niveau. »

Supporters du RC Lens… de la Juventus et de la Roma

Les paroles de l’entraîneur de l’équipe première du RC Lens seront certainement entendues dans le vestiaire des U19. Mais les résultats de sa formation sont eux aussi scrutés avec beaucoup d’attention par les équipiers de Grégoire Herbin. En cas de qualification de leurs « grands frères » pour la phase de poule de la Ligue des champions, les U19 lensois seraient automatiquement qualifiés pour la Youth League, qui regroupe les 32 formations U19 des clubs présents en C1. Cette saison, les U19 du PSG, pourtant battus par le RC Lens deux fois en championnat (2-1 ; 2-1), ont atteint les huitièmes de finale de la Youth League et été sortis par Dortmund.

Alors, dans les couloirs de La Gaillette, les conversations des espoirs  sang et or tournent de plus en plus autour des possibilités de qualification des pros. Les matchs de la Juventus ou de la Roma sont également suivis avec de plus en plus d’intérêt. Si l’un de ces clubs remportait la Ligue Europa et terminait à l’une des quatre premières de Serie A, il enverrait le troisième de L1 en Ligue des champions… et ses U19 en Youth League. « D’abord, on a surtout très envie que les pros restent sur le podium de L1 car on les supporte, sourit Yohan Démont, qui a connu les compétitions européennes chez les seniors avec le RC Lens. Les pros, c’est la locomotive du club. Ensuite, la Youth League serait une aventure magnifique pour les gamins. Si les pros ont le bonheur d’aller en Ligue des champions, ça permettrait à nos jeunes de se confronter à d’autres footballs, italien, anglais, allemand… C’est toujours enrichissant. » Un billet en Youth League rendrait également encore un peu plus sexy le centre de formation lensois. Lequel a parfois vu de potentielles recrues préférer filer au LOSC car le voisin jouait alors la Youth League. Il aiderait aussi le RC Lens à convaincre des jeunes déjà sollicités de demeurer en Artois. « Certains pensent toujours que l’herbe est plus verte ailleurs », conclut coach Démont.

Posté(e) (modifié)

A noter que si les U19 sont sacrés champions de France, ils pourront jouer la Youth League, même si Lens ne dispute pas la LDC. Cette saison, c'est Nantes qui l'a joué en compagnie de Paris et Marseille. En fait, il y a deux formats : un format calqué sur celui des pros avec 8 groupes de 4 dans lequel figuraient Paris et Marseille, et un format à élimination directe pour les champions domestiques comme Nantes (qui s'est fait éliminé par les écossais d'Hibernian au second tour). D'ailleurs, les deux finalistes de cette saison, AZ et Hajduk Split, étaient dans la voie des champions domestiques.

Modifié par DamieN62
Posté(e) (modifié)
Il y a 1 heure, West'ier a dit :

Âme charitable également demandée par ici :ange1:

Si le RC Lens se distingue cette saison sur les terrains de L1, le club s'est aussi fait remarquer sur le plan de la communication, où il tente des coups et fait preuve d'une audace plutôt rare chez ses concurrents. Le club, revenu en L1 en 2020, le doit à une de ses recrues : Benjamin Parrot, débauché à Reims en avril 2021.

 

« C'est incontestablement le meilleur "dircom" de Ligue 1, glisse l'un de ses confrères en poste dans l'élite, souhaitant garder l'anonymat pour ne froisser personne. Il a une vraie vision stratégique, du talent et beaucoup de bonnes idées, qu'il parvient à mettre en oeuvre dans des environnements propices. Il réussit à Lens ce qu'il avait réussi à Reims : il impose sa patte et son succès est pleinement mérité. »

Quand le capitaine prolonge au coeur de Bollaert
Le 31 août - Il est 23 heures, le 31 août, lorsque le stade Bollaert s'éteint, à l'issue d'une victoire contre Lorient (5-2).
De faux textos s'affichent sur les écrans géants, révélant une nouvelle tant espérée par le peuple sang et or :
la prolongation du capitaine Seko Fofana jusqu'en 2025. L'Ivoirien fait une entrée de rock star dans l'enceinte et file rejoindre un bureau placé au centre du terrain, pour signer son contrat en compagnie de l'état-major artésien. « Dans le couloir du stade, j'ai ressenti son émotion profonde,témoigne Benjamin Parrot, le directeur communication, marketing et revenus du club, arrivé en avril 2021, au sujet des larmes de Fofana ce soir-là.
Les joueurs n'étaient pas au courant, mais ils l'ont attendu. Ce qui fait la réussite de ce coup, ce n'est pas l'idée, c'est que tout le monde a joué le jeu spontanément. C'était un partage total. »
 Le directeur de la communication avait eu l'idée de cette première mondiale la veille, alors que les négociations n'avaient pas encore abouti. Ce coup de com a été salué, puisque le club a reçu début mars le prix de l'« activation événementielle » de l'année lors des trophées Sporsora, association des acteurs de l'économie du sport, décerné par 500 décideurs du sport.

Après plusieurs coups marquants en Champagne, où il avait notamment su révéler un talent d'acteur chez le président Jean-Pierre Caillot, le cadre de 38 ans a trouvé à Lens un terrain de jeu parfait avec des valeurs et des symboles à mettre en avant.

« Ici, l'ancrage est évidemment attaché à l'histoire de la mine, qui est étroitement liée à celle du club, et on voulait lui donner une tonalité moderne, tout en mettant en relief certains mots-clés : l'authenticité, le collectif, la ferveur et la fierté », détaille Parrot, qui s'est notamment appuyé avec son équipe (quatre personnes travaillent avec lui au service communication) sur une étude d'image réalisée en 2017 pour identifier ce qui plaît au public sang et or.

« Aujourd'hui, on considère que communiquer, c'est travestir la vérité. Nous, on veut simplement mettre en relief le positionnement authentique du club, assure-t-il. Il y a tellement une abondance de storytelling dans la communication moderne que tout ce qui sonne faux n'est pas audible. Nous, on veut être dans le football vrai. »

« L'idée de départ est toujours passée au tamis de plusieurs acteurs »

Benjamin Parrot, directeur communication, marketing et revenus de Lens

Pour y parvenir, il s'est assuré d'avoir l'adhésion des différentes entités du club : la présidence, la direction générale, la direction sportive, les joueurs et le public. « On ne peut avoir cette communication que dans un club collectif où l'alignement est total, insiste Parrot. Par exemple, si on fait quelque chose avec l'équipe, il faut que les joueurs en soient convaincus pour que ça marche. Si c'est pour être un simple délire de communicant, ça ne fonctionnera pas. »

Quand le club trolle le PSG en char à voile
Le 30 décembre - Deux jours avant la réception du PSG le 1er janvier, le club publie une vidéo mettant en scène une course de chars à voile entre Jonathan Gradit et Florian Sotoca, deux cadres de Franck Haise, ainsi que Franck Queudrue et Daniel Moreira, deux ex-gloires sang et or.
Réalisé en partenariat avec un site de paris sportifs, le clip est une référence directe aux propos polémiques de l'entraîneur parisien Christophe Galtier en début de saison, qui ironisait sur l'impact climatique des nombreux déplacements en avion de son équipe. Piquant vis-à-vis du PSG en dehors du terrain, le Racing l'avait aussi été sur la pelouse, en s'imposant à Bollaert (3-1).

« En trois ans on a passé des caps sur le terrain, mais aussi sur la com, c'est clair, glisse le manager général Franck Haise. Je la trouve souvent excellente, pertinente, j'aime la créativité. On échange régulièrement et c'est primordial. Dans 99 %, je valide et je trouve ça top, même s'ils n'ont heureusement pas souvent besoin de moi. »

Au-delà d'Haise, la cellule communication sollicite souvent l'avis des joueurs ou du staff, notamment durant les trajets en car, pour valider des idées ou en évacuer certaines. Cela a notamment été le cas après la défaite à Paris (1-3, le 15 avril), où une réponse au chambrage de Presnel Kimpembe (qui avait repris le chant « chicoté » au Parc des Princes) a été étudiée puis abandonnée.

« L'idée de départ est toujours passée au tamis de plusieurs acteurs. Parfois, on demande à des gens de services totalement différents ce qu'ils pensent de telle ou telle opération. Ça aide à ne pas être hors sol », explique le directeur communication, marketing et revenus du club.

Quand Sotoca devient Samba
Le 18 mars - Un flou a accompagné le début de rencontre entre Lens et Angers le 18 mars (3-0), au moment de regarder les maillots lensois. Pourquoi Seko Fofana portait son numéro 8 surplombé du nom Leca ? Pourquoi Florian Sotoca avait le flocage Samba au-dessus de son numéro 7 ?
La raison a fuité lentement : le vestiaire lensois a voulu marquer le coup à trois jours de la Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale.
La campagne, baptisée « Nos noms disent non », fait mouche. « L'idée est née lors d'un déplacement à Troyes, en discutant avec Brice Samba, pour qui ce sujet a une énorme importance. Je lui soumets l'idée d'inverser les noms, ainsi qu'aux cadres, et je sens que tout le monde est réceptif, raconte Parrot. Mais lorsque j'ai dit à Brice qu'on allait dévoiler l'opération avant le coup d'envoi, il a refusé : "Non il faut garder la surprise jusqu'au bout, on va sortir avec les vestes et l'effet sera encore plus retentissant." Il avait raison. »

Le succès de certaines campagnes est évidemment amplifié par la trajectoire sportive du Racing, et le vestiaire s'est pris au jeu. Après plusieurs annonces de prolongations percutantes début 2023, celle de Facundo Medina a illustré ce phénomène, puisque le capitaine Seko Fofana l'a « spoilée » en live sur les réseaux sociaux dans un vestiaire en feu à l'insu du club. La réponse a fusé : à la manière de la fuite orchestrée par les joueurs pour la signature de l'Argentin, les salariés se sont mis en scène pour annoncer celle de Florian Sotoca, à la plus grande surprise du groupe.

La vidéo sur le VAR a agacé d'autres clubs

Ces deux séquences symbolisent bien la tonalité et la réactivité de la com lensoise, même si toutes les opérations n'ont pas eu que des échos positifs. La vidéo se moquant du VAR après le match à Brest (1-1, le 5 février), reprenant les fameux Jean-Michel du duo Kad et Olivier, a notamment reçu un accueil contrasté et agacé d'autres clubs.

 

« On l'a vu dans les réactions, ça faisait un peu FC Ouin-Ouin, note un communicant de L1. Ce n'était pas forcément utile, mais ça a fait parler du sujet, et ça ne les a pas empêchés d'avoir une bonne image et les résultats qu'ils ont. » Derrière ce buzz sur le VAR, le club avait réussi à faire passer ses messages, puisque le directeur général Arnaud Pouille a ensuite pris la parole dans différents médias pour appeler, plus sérieusement, à une réforme de l'arbitrage vidéo.

Le club n'est plus allé sur ce terrain-là depuis, et la communication semble plus modérée ces dernières semaines. « C'était plus un message à l'arbitrage, pas contre nous et il n'y avait aucune animosité, désamorce-t-on aujourd'hui du côté de la communication de Brest. Ce n'était pas forcément leur meilleur coup de la saison, mais ils peuvent se le permettre. Ils ont une super com, certainement la meilleure avec Toulouse. C'est bien d'avoir ces locomotives, c'est rafraîchissant. » Avec le parfum d'Europe qui flotte au-dessus de Bollaert, il y a fort à parier que la boîte à idées de la com lensoise déborde déjà.

Modifié par Othian
Posté(e)

Très bon article, je rajouterai même les vidéos de mise en scène lors du dernier mercato estival sous le thème d'Astérix ! 

Posté(e)

Selon l'Equipe, Lens espère l'arrivée d'un actionnaire minoritaire sur lequel le club continue d'avancer (15M d'euros espérés d'un investisseur français).

Pas mal de petites infos dans l'article, je vais essayer de le mettre ici plus tard.

Posté(e)
il y a 34 minutes, Ruka-2 a dit :

Au final Romain Molina parlait de 40% cédé pour 40M mais 15M ça doit faire 15% j'imagine 

Est-ce qu'il avait ça en live? J'ai cherché sur twitter et n'ai rien vu

Posté(e)
Il y a 5 heures, Kwarkz a dit :

Est-ce qu'il avait ça en live? J'ai cherché sur twitter et n'ai rien vu

C'était dans la vidéo où il parlait des ventes de tous les clubs fr

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