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Il casse les couilles Aulas sérieusement 

Ça devient gênant pour tout le monde, même les supporters lyonnais trouvent ça malaisant. 

Le mec est en boucle, il répond aux tweets pour rabâcher ses arguments. 

Insupportable. 

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Il n'a en tout cas pas tort quand il met en avant le déséquilibre sportif que ça va entraîner pour les clubs européens entre ceux dont le championnat est arrêté depuis mars et ceux qui auront repris leur compétition nationale. Cela aura aussi un impact sur le coefficient UEFA des clubs mais également des pays. Et financièrement, les pays majeurs qui reprennent vont réussir à mieux limiter l'impact financier que la France, il y aura forcément des impacts que certains refusent de voir. Après le cirque médiatique et les changements de position c'est autre chose, mais il y a un vrai débat de fond parfaitement occulté aujourd'hui, tout comme celui du problème dramatique de gouvernance du foot français.

Posté(e) (modifié)

Et l'UEFA ou comment ne prendre juste des décisions pour leur tronche et rien d'autres,, l'UEFA aurait pu  prendre  la décision  de bloquer les coeff à une certaine date et donc parce que le gouvernement Français à pris la décision de fermer le championnat Français nos clubs doivent être pénaliser?.

De toute façon depuis bien longtemps le sport est devenu secondaire, quand on voit les pressions exercées par cet organisme juste pour remplir le tiroir caisse, bref je me suis éloigné du foot et ça me va très bien..........

Modifié par LeTarnais
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Mais en quoi l'arrêt d'une compétition nationale va t il jouer sur un coefficient européen? Et qui sait si les clubs qui auront repris leurs championnats nationaux ne vont pas se retrouver avec des stars blessées ou lessivées en début de saison prochaine? Hormis le pognon, quel aura alors été l'intérêt de cette reprise risquée?

Posté(e) (modifié)
il y a 32 minutes, flame62 a dit :

Mais en quoi l'arrêt d'une compétition nationale va t il jouer sur un coefficient européen? Et qui sait si les clubs qui auront repris leurs championnats nationaux ne vont pas se retrouver avec des stars blessées ou lessivées en début de saison prochaine? Hormis le pognon, quel aura alors été l'intérêt de cette reprise risquée?

S'il y a reprise des matchs européens pour des adversaires dont le championnat est en cours, ce ne sera clairement pas facile pour le PSG en quart ni pour l'OL au match retour face à la Juve. A partir de là, ces résultats impacteront le coefficient UEFA des pays pour les championnats nationaux, qui se calcule à partir des points accordés aux résultats européens (victoire 2 points, nul 1 point, défaite 0 point) avec des points bonus pour l'accès à certains niveaux de la compétition. La France est 5e depuis longtemps et souvent menacée par les pays derrière, que l'on avait fini par repousser, grâce notamment à une superbe saison 2016-2017. On avait mis la Russie à 8 points et le Portugal à 10 points, cette saison le Portugal est revenu à 7 points mais la Russie passe à 11 points avec ces deux dernières campagnes désastreuses. Le Portugal est le principal danger pour nous, surtout que leurs clubs sont réguliers et ne font plus vraiment de coups d'éclat mais n'ont plus de trous d'air non plus, hormis cette fameuse saison 2016-2017 ratée pour eux qui sera effacée en 2021-2022.

C'était l'occasion de rattraper les déboires de la saison puisque Rennes a fini dernier de son groupe de poules en Ligue Europa (1 victoire, 1 nul, 4 défaites) et Saint-Etienne avant-dernier (0 victoire, 4 nuls, 2 défaites). Pendant ce temps-là, Braga a fini 1er de sa poule (4 victoires, 2 nuls, 0 défaite) comme le FC Porto (3 victoires, 1 nul, 2 défaites) et le Sporting 2e (4 victoires, 0 nul, 2 défaites). Seul Guimaraes a flanché (dernier avec 1 victoire, 2 nuls et 3 défaites). Soit en poules 1 victoire française et 5 nuls pour 6 défaites vs 12 victoires portugaises, 5 nuls et 7 défaites. On rappellera ainsi que Strasbourg a été tapé en barrages par Francfort. Heureusement, les 3 Portugais se sont fait sortir en 16es mais avec encore une victoire au passage sur les 6 rencontres. En Ligue des Champions, Benfica a un bilan quasi identique à l'OL (2 victoires, 1 nul, 3 défaites vs 2 victoires, 2 nuls, 2 défaites) et le LOSC a été catastrophique (0 victoire, 1 nul, 5 défaites) donc c'est le PSG qui a sauvé la mise en poules (5 victoires, 1 nul, 0 défaite).

Au global des deux compétitions en poule, c'est 8 victoires, 9 nuls, 13 défaites pour la France, 14 victoires, 6 nuls, 10 défaites pour le Portugal. Donc gagner des matchs pour le PSG et l'OL en phase d'élimination directe est important. Jusque là, ça fait 2 victoires et 1 défaite en 8es de LdC pour les clubs français, avec un retour encore à jouer pour l'OL et un futur quart pour le PSG. Principal risque de perdre une 5e place, perdre une place en Ligue Europa (une seule au lieu de deux) et la future 3e compétition de l'UEFA.

Mais en quoi la reprise en juin de la majorité de ces championnats est-elle si différente d'une reprise en juillet-août après une coupure de plus de quatre mois sans compétition officielle, ce qu'aucun footballeur professionnel n'a jamais connu dans sa vie physiologiquement ? La France n'est même pas cohérente jusqu'au bout puisque les finales de coupe auront lieu (Le Graet les veux en juillet, au plus tard en août !) et les clubs français vont jouer les matchs européens s'ils reprennent avec l'aval de la LFP et la FFF.

Modifié par Lmarco
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il y a 20 minutes, Lmarco a dit :

S'il y a reprise des matchs européens pour des adversaires dont le championnat est en cours, ce ne sera clairement pas facile pour le PSG en quart ni pour l'OL au match retour face à la Juve. A partir de là, ces résultats impacteront le coefficient UEFA des pays pour les championnats nationaux, qui se calcule à partir des points accordés aux résultats européens (victoire 2 points, nul 1 point, défaite 0 point) avec des points bonus pour l'accès à certains niveaux de la compétition. La France est 5e depuis longtemps et souvent menacée par les pays derrière, que l'on avait fini par repousser, grâce notamment à une superbe saison 2016-2017. On avait mis la Russie à 8 points et le Portugal à 10 points, cette saison le Portugal est revenu à 7 points mais la Russie passe à 11 points avec ces deux dernières campagnes désastreuses. Le Portugal est le principal danger pour nous, surtout que leurs clubs sont réguliers et ne font plus vraiment de coups d'éclat mais n'ont plus de trous d'air non plus, hormis cette fameuse saison 2016-2017 ratée pour eux qui sera effacée en 2021-2022.

C'était l'occasion de rattraper les déboires de la saison puisque Rennes a fini dernier de son groupe de poules en Ligue Europa (1 victoire, 1 nul, 4 défaites) et Saint-Etienne avant-dernier (0 victoire, 4 nuls, 2 défaites). Pendant ce temps-là, Braga a fini 1er de sa poule (4 victoires, 2 nuls, 0 défaite) comme le FC Porto (3 victoires, 1 nul, 2 défaites) et le Sporting 2e (4 victoires, 0 nul, 2 défaites). Seul Guimaraes a flanché (dernier avec 1 victoire, 2 nuls et 3 défaites). Soit en poules 1 victoire française et 5 nuls pour 6 défaites vs 12 victoires portugaises, 5 nuls et 7 défaites. On rappellera ainsi que Strasbourg a été tapé en barrages par Francfort. Heureusement, les 3 Portugais se sont fait sortir en 16es mais avec encore une victoire au passage sur les 6 rencontres. En Ligue des Champions, Benfica a un bilan quasi identique à l'OL (2 victoires, 1 nul, 3 défaites vs 2 victoires, 2 nuls, 2 défaites) et le LOSC a été catastrophique (0 victoire, 1 nul, 5 défaites) donc c'est le PSG qui a sauvé la mise en poules (5 victoires, 1 nul, 0 défaite).

Au global des deux compétitions en poule, c'est 8 victoires, 9 nuls, 13 défaites pour la France, 14 victoires, 6 nuls, 10 défaites pour le Portugal. Donc gagner des matchs pour le PSG et l'OL en phase d'élimination directe est important. Jusque là, ça fait 2 victoires et 1 défaite en 8es de LdC pour les clubs français, avec un retour encore à jouer pour l'OL et un futur quart pour le PSG. Principal risque de perdre une 5e place, perdre une place en Ligue Europa (une seule au lieu de deux) et la future 3e compétition de l'UEFA.

Mais en quoi la reprise en juin de la majorité de ces championnats est-elle si différente d'une reprise en juillet-août après une coupure de plus de quatre mois sans compétition officielle, ce qu'aucun footballeur professionnel n'a jamais connu dans sa vie physiologiquement ? La France n'est même pas cohérente jusqu'au bout puisque les finales de coupe auront lieu (Le Graet les veux en juillet, au plus tard en août !) et les clubs français vont jouer les matchs européens s'ils reprennent avec l'aval de la LFP et la FFF.

Avec une coupure de 15 jours seulement pour les joueurs adverses, j'attends de voir dans quel état physique seront les adversaires en août et surtout pour la saison 2020-2021 avant de me prononcer. Pas sûr que ce soit suffisant pour eux et que ce ne soit pas à l'avantage de Paris. Quand t'es dans le rythme, ok tout va bien, mais quand tu stoppe la compétition il peut y avoir un phénomène de décompression, surtout après tes congés. Et puis le coefficient UEFA, je comprends parfaitement, mais excuse-moi, mais vu les résultats de Paris ces dernières années, je me marre.

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5 ème, 6 ème UEFA, est-ce bien important ? Ça fera un club en bois en moins  mais de toute façon on sait que seul Paris peut viser un dernier carré, et éventuellement Lyon, Monaco ou Marseille, une fois par décennie, parvient à faire un beau parcours. 

On s'en branle un peu du classement UEFA. On est déjà derrière les gros championnats, et notre économie et notre culture ne nous feront jamais intégrer le top 3, avec ou sans pandémie. On rétrogradera à la 6eme, au moins au aura un challenge accessible : reprendre la 5eme place. Ce qui est possible rien qu'avec le PSG... dont toute la France hormis les Parisiens, se branle totalement. 

Donc bon, on peut nous avancer des arguments autant qu'on veut, le classement UEFA ça me paraît quand même bien léger. 

Le Great n'est pas cohérent. Évidemment je soutiens l'idée que notre footbal et notre pays sont dirigés par des quiches. 

Mais l'herbe n'est pas plus verte ailleurs. Tebas est une pourriture notoire, et elle est où la cohérence des pays qui reprennent uniquement leur championnat majeurs mais arrête les divisions inférieures et les féminines ? 

 

De toute on se trompe de débat. La question c'est "doit-on ajouter du danger au danger après même pas 3 mois de pandémie ? "

Même si en août le virus ne sera pas vaincu, au moins au aura 6 mois de recul. On ne sait même pas  comment on va vivre le récent déconfinement et ce sur quoi va déboucher tout ce relâchement que l'on a pu constater dès les premiers jours. 

À ce titre je suis d'accord avec Aulas et ceux qui disent que la France a pris sa décision trop tôt. Mais ceux qui reprennent aujourd'hui sont trop hâtifs aussi. L'Allemagne jouit d'une sécurité sanitaire supérieure et d'une sorte de surpuissance économique qui lui permet de l'entretenir. Elle aura malheureusement servi de mauvais exemple pour ceux dont la situation sanitaire n'est pourtant pas comparable. 

Aulas, qui aurait vendu ses propres gosses pour obtenir ce qu'il voulait et qui n'arrangeait que son club, s'est grillé tout seul et a perdu le peu de crédit qui lui restait. Qu'il ferme sa gueule, car il fait pire que mieux ! 

 

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Aulas était le premier a vouloir annuler la saison et vouloir le classement de la précédente. Il ne dupe personne avec son cirque, lyon serait 2e il hurlerait partout que la fédération a pris la bonne décision.

Modifié par eagle
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il y a 41 minutes, Adjo a dit :

De toute on se trompe de débat. La question c'est "doit-on ajouter du danger au danger après même pas 3 mois de pandémie ? "

Même si en août le virus ne sera pas vaincu, au moins au aura 6 mois de recul. On ne sait même pas  comment on va vivre le récent déconfinement et ce sur quoi va déboucher tout ce relâchement que l'on a pu constater dès les premiers jours. 

Ce qui n'empêche pas de renvoyer élèves et travailleurs au front en ouvrant déjà grand les vannes des transports publics de la plupart des grandes agglomérations françaises. Ce ne sont pas des matchs à huis clos qui représentent du danger là-dedans. Sur le plan sanitaire, rien n'empêcherait de jouer au football à huis clos aujourd'hui comme ce sera de toute façon le cas dans quelques semaines. Les décisions ont été symboliques et politiques, pas sanitaires, et en ce sens le travailleur lambda pourra longtemps se poser des questions sur la priorité donnée à la relance de l'économie plutôt que sa santé, quand le footballeur dort au chaud.

 

il y a 41 minutes, Adjo a dit :

À ce titre je suis d'accord avec Aulas et ceux qui disent que la France a pris sa décision trop tôt. Mais ceux qui reprennent aujourd'hui sont trop hâtifs aussi. L'Allemagne jouit d'une sécurité sanitaire supérieure et d'une sorte de surpuissance économique qui lui permet de l'entretenir. Elle aura malheureusement servi de mauvais exemple pour ceux dont la situation sanitaire n'est pourtant pas comparable. 

Pourquoi l'Allemagne serait trop hâtive alors qu'elle relance l'ensemble de son économie et rouvre tout ? Elle a même relancé le tram de Strasbourg qui passe la frontière jusque Kehl pour les voyageurs autorisés. C'est pareil au Portugal comme dans tous les pays où les championnats reprennent, tous ont su géré la situation sanitaire et reprennent le football comme le travail, dans des conditions aussi maîtrisées que possible. Ce qui pourra faire débat c'est la reprise en Espagne et en Italie, mais la vague est derrière eux et à l'inverse de la France ils ne veulent pas utiliser le sport pro comme symbole négatif d'un lancement de confinement mais symbole positif d'une sortie de confinement.

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il y a 7 minutes, Lmarco a dit :

Ce qui n'empêche pas de renvoyer élèves et travailleurs au front en ouvrant déjà grand les vannes des transports publics de la plupart des grandes agglomérations françaises. Ce ne sont pas des matchs à huis clos qui représentent du danger là-dedans. Sur le plan sanitaire, rien n'empêcherait de jouer au football à huis clos aujourd'hui comme ce sera de toute façon le cas dans quelques semaines. Les décisions ont été symboliques et politiques, pas sanitaires, et en ce sens le travailleur lambda pourra longtemps se poser des questions sur la priorité donnée à la relance de l'économie plutôt que sa santé, quand le footballeur dort au chaud.

 

Pourquoi l'Allemagne serait trop hâtive alors qu'elle relance l'ensemble de son économie et rouvre tout ? Elle a même relancé le tram de Strasbourg qui passe la frontière jusque Kehl pour les voyageurs autorisés. C'est pareil au Portugal comme dans tous les pays où les championnats reprennent, tous ont su géré la situation sanitaire et reprennent le football comme le travail, dans des conditions aussi maîtrisées que possible. Ce qui pourra faire débat c'est la reprise en Espagne et en Italie, mais la vague est derrière eux et à l'inverse de la France ils ne veulent pas utiliser le sport pro comme symbole négatif d'un lancement de confinement mais symbole positif d'une sortie de confinement.

Il fallait bien commencé par quelque chose. C'était pas tout ou rien, c'était petit à petit. Entre le travail, la scolarité et le foot professionnel (avec le message "va te faire enculer!" adressé au sport amateur en résultante), il n'y avait pas photo. Tu te contente de ne voir que le côté huis clos pour les joueurs. La reprise du foot va bien au delà et rajoutera des rassemblements de personnes qui viendront s'ajouter à toutes les aberrations que l'on peut déjà voir. L'économie n'est pas à relancer que par le foot. Et les autres sports? Et les cinémas ? Les Parcs d'attractions ? Les centres de loisirs ? Allez hop, tous à la piscine ! N'oubliez pas votre masque dans le toboggan. 

Dans ce cas là on reprend tout sous prétexte d'économie. Ou alors il ne fallait rien arrêter et ne pas confiner tant qu'on n'y était. La Suède, pourtant toujours pionnière dans les bonnes idées, a fait l'inverse de tout le monde. Avec certes un contexte différent. 

Mais quand on a choisi le carnet de route de la France, L'Espagne, le RU ou l'Italie, il est assez cohérent de ne pas reprendre le foot avant même qu'on n'aie pu faire un bilan et tirer des conclusions concrètes suite à ce virus. On en est toujours aux balbutiements concernant la connaissance de celui-ci, les vaccins, les risques de reprise, la durée etc... 

 

L'Allemagne reprend son économie OK, mais concernant le Football, ils ont choisi de faire cavalier seul et auraient dû attendre, au même titre que la France. Y a t-il ameublement concertation ? Suffrage ? À quoi sert l'Europe ? Le foot n'est pas que national puisque les compétitions européennes et les droits TV font que chaque nation dépend des autres . Le championnat allemand lui seul n intéresserait personne sans l'emulation avec les autres

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Le foot et le sport en général est aussi soumis à un calendrier et à des droits tv. Là c'est deux saisons d'impactées (en france pas trop mais en italie angleterre et espagne où ça reprend tardivement, du moins censé reprendre...)et j'ai hâte de voir en mars prochain la tronche des équipes ayant des internationaux et jouant la LDC, entre finir absolument la saison en cours avec une faible prépa plus une saison prochaine condensée et un euro derrière encore. ça va être propre entre les blessures et le niveau de jeu. Finalement, en LDC Paris aura peut être sa meilleure chance l'an prochain quand les autres seront rincés ?

Il me semble que le changement de diffuseur a joué un rôle dans la décision (l'actuel ne voulant plus payer vu que son contrat s’arrêtait en juin). Et surtout comme dit plus haut, quel cohérence si les sports féminins et amateurs sont arrêtés mais pas la 1ere division masculine ? c'est bien une affaire de thunes le problème de fond. Et puis peut on reprocher à la france, pays bas, belgique, ecosse de prendre une décision et à d'autres de faire l'inverse ? ça fait 2 mois que ça discute chacun dans son coin donc il faut prendre des décisions à un moment donné. S'il fallait uniformiser le tout, L'UEFA n'avait qu'à décider, fixer de vrais timelines et prendre ses responsabilités. Au lieu de ça, chacun fait sa soupe et l'UEFA un coup menace un coup ne dit rien.

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Il y a 2 heures, Adjo a dit :

Mais quand on a choisi le carnet de route de la France, L'Espagne, le RU ou l'Italie, il est assez cohérent de ne pas reprendre le foot avant même qu'on n'aie pu faire un bilan et tirer des conclusions concrètes suite à ce virus. On en est toujours aux balbutiements concernant la connaissance de celui-ci, les vaccins, les risques de reprise, la durée etc... 

Ce qui sera toujours le cas lors de la reprise des compétitions cet été, qui devront en plus se précéder de la reprise des entraînements collectifs et de matchs amicaux, surtout après une coupure de plusieurs mois. Et là, bizarrement pas un mot des instances, dirigeants ou joueurs qui préfèrent s'entretuer sur l'ex-future reprise de la saison 2019-2020.

Modifié par Lmarco
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il y a 15 minutes, Lmarco a dit :

Ce qui sera toujours le cas lors de la reprise des compétitions cet été, qui devront en plus se précéder de la reprise des entraînements collectifs et de matchs amicaux, surtout après une coupure de plusieurs mois. Et là, bizarrement pas un mot des instances, dirigeants ou joueurs qui préfèrent s'entretuer sur l'ex-future reprise de la saison 2019-2020.

On verra. Il y aura toujours un peu plus de recul et on saura comment a été vécu le deconfinement dans les stats de mortalité, contamination etc... 

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On ne sait pas si le gouvernement a pris la bonne décision. Ne pas oublier que début juin les bars vont rouvrir et il y aurait certainement eu des regroupement s pour voir les matchs. De toute façon fin août le problème sera toujours le même. Aulas n est plus crédible. Il a voulu une saison blanche au début, puis reprendre le championnat, a la fin sa parole ne vaut plus rien. Il me fait marrer quand il dit que il agirait pareil si son club avait été 2eme. 

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il y a 9 minutes, fredo a dit :

On ne sait pas si le gouvernement a pris la bonne décision. Ne pas oublier que début juin les bars vont rouvrir et il y aurait certainement eu des regroupement s pour voir les matchs

C'est vrai que sans le foot, tous les bars seront vides après deux mois et demi sans y aller ? ?Suffit de voir les grandes agglomérations où en attendant la réouverture des bars, le moindre quai, jardin public ouvert ou bout de pelouse est noir de monde et notamment de rassemblement pour picoler. Paris à ce niveau, c'est du délire avec ces températures estivales en plus. Nul besoin d'attendre le foot pour ça, la plupart des jeunes rêvant d'aller à nouveau dans les bars, restos et boîtes. D'après un sondage du Parisien post coupe du monde où l'intérêt avait pourtant bondi, c'est 60% de la population française qui déclare n'avoir aucun intérêt pour le football et même près de 70% quand on évoque la L1.

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Il y a 1 heure, Lmarco a dit :

C'est vrai que sans le foot, tous les bars seront vides après deux mois et demi sans y aller ? ?Suffit de voir les grandes agglomérations où en attendant la réouverture des bars, le moindre quai, jardin public ouvert ou bout de pelouse est noir de monde et notamment de rassemblement pour picoler. Paris à ce niveau, c'est du délire avec ces températures estivales en plus. Nul besoin d'attendre le foot pour ça, la plupart des jeunes rêvant d'aller à nouveau dans les bars, restos et boîtes. D'après un sondage du Parisien post coupe du monde où l'intérêt avait pourtant bondi, c'est 60% de la population française qui déclare n'avoir aucun intérêt pour le football et même près de 70% quand on évoque la L1.

Mais ça sera encore pire, ne joue pas les crédules, tu sais bien comment sont les bars les jours de match. Bondés ! Et ça le sera encore avec tous ces supporters supposés être dans les stades et qui n'auront que les bars pour vibrer. + les soirées organisées chez les uns et les autres. 

Ça s'appelle ajouter du risque au risque. Sauf qu ouvrir les bars est quelque chose d inéluctable pour l'emploi en France et concerne des dizaines ou centaines de milliers de personnes. Le foot vient bien après l'emploi ou la scolarité. Ne soyons pas stupides non plus. C'est pas parce que tu fais déjà de la merde qu'il faut continuer et l empirer. Sans parler du côté éthique. 

Et quel est ton avis sur l'arrêt de divisions inferieures et des féminines? Des autres sports? 

Quel est ton avis sur la réouverture des parcs d'attractions , des cinémas ? 

Il faut bien faire des choix. On commence par le l'emploi la santé, la scolarité. Ça me paraît pourtant évident. Le foot vient après, bien après. 

Je ne comprends pas pourquoi ils ont statué si tôt, je le répète. Mais encore moins ceux qui sous-estiment la portée d'une reprise alors qu'on est toujours dans l'instant abrité causée par le virus. Ce qui sera déjà moins le cas en août ou septembre. Et on aura alors ou constaté si ceux qui ont repris leur championnat avait raison ou non. Toute autre conclusion ou leçon moralisatrice faite avant ce temps des bilans, est hâtive et injustifiée. Et totalement subjective. On aura l'air de cons quand on aura les chiffres. Pas avant

 

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Il y a 2 heures, Adjo a dit :

Mais ça sera encore pire, ne joue pas les crédules, tu sais bien comment sont les bars les jours de match. Bondés ! Et ça le sera encore avec tous ces supporters supposés être dans les stades et qui n'auront que les bars pour vibrer. + les soirées organisées chez les uns et les autres. 

Ça s'appelle ajouter du risque au risque. Sauf qu ouvrir les bars est quelque chose d inéluctable pour l'emploi en France et concerne des dizaines ou centaines de milliers de personnes. Le foot vient bien après l'emploi ou la scolarité. Ne soyons pas stupides non plus. C'est pas parce que tu fais déjà de la merde qu'il faut continuer et l empirer. Sans parler du côté éthique. 

Ce discours tiendrait si la raison était sanitaire et s'appliquait à tous les travailleurs effectuant des tâches non essentielles au bon fonctionnement de la société. Les vraies raisons sont ailleurs malheureusement et elles ont été dévoilées depuis.

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Réunion décisive mercredi pour la reprise de la Serie A

Le ministre des Sports italien rencontrera le président de la Fédération mercredi. Il devrait décréter la reprise de la Serie A.

Le conseil de la Lega Serie A s'est réuni mardi afin d'ébaucher un nouveau calendrier, la priorité serait de disputer d'abord, le 13 Juin, les quatre rencontres reportées de la 25e journée (Inter-Sampdoria, Atalanta-Sassuolo, Hellas-Cagliari, Torino-Parme) dans l'optique de mettre toutes les équipes à égalité de matches et faciliter la possible composition d'une grille de play-offs, le plan B en cas de nouvelle interruption.

Mercredi, le ministre des Sports rencontrera le président de la FIGC et de la Lega Serie A et décrétera fort probablement la reprise du Championnat. Les 20 présidents des clubs de l'élite se consulteront ensuite vendredi pour établir le calendrier de fin de saison. A noter qu'il a été décidé de ne pas accorder de remise aux diffuseurs de la Serie A, lesquels refusent d'effectuer le dernier versement.

 

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Ukraine : reprise du Championnat samedi à huis clos

La Fédération ukrainienne (FFU) a annoncé ce mardi la reprise de son Championnat, samedi à huis clos. Interrompue depuis la mi-mars en raison de la pandémie du coronavirus, la Premier-Liha était nettement dominée par le Chakthior Donetsk, il y a deux mois.

Selon la décision publiée sur le site de la FFU, pas plus de 200 personnes seront autorisées à venir dans les stades assister aux rencontres. Tous les joueurs et membres d'encadrement se verront aussi prendre la température. Lundi, l'Ukraine avait recensé 21 245 cas positifs au Covid-19 dont 623 mortels.

 

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Angleterre : la deuxième phase du processus de reprise validée mercredi ?
 
Les clubs de Premier League voteront mercredi sur l'opportunité de passer à la deuxième phase du projet de reprise de la saison, alors même qu'ils intensifient leurs efforts pour reprendre la compétition. Après la suspension du Championnat mi-mars, en raison de la pandémie du coronavirus, chacun a déjà retrouvé l'entraînement par petits groupes, sans contact, la semaine dernière. Si elle est approuvée, cette deuxième étape permettrait aux clubs de faire travailler ensemble jusqu'à dix joueurs et allégerait les restrictions sanitaires.

Ce mardi, la Premier League a consulté les joueurs et entraîneurs. La validation d'une nouvelle procédure interviendra dans les 24 heures, lors d'un vote par visioconférence. Enfin jeudi, les actionnaires discuteront des aspects commerciaux du projet « Restart », qui pourrait débuter à partir du 19 juin et permettre à la saison anglaise de se clore sur terrains neutres.

 

Modifié par Lmarco
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il y a une heure, Lmarco a dit :

Ce discours tiendrait si la raison était sanitaire et s'appliquait à tous les travailleurs effectuant des tâches non essentielles au bon fonctionnement de la société. Les vraies raisons sont ailleurs malheureusement et elles ont été dévoilées depuis.

De quelles vraies raisons parles tu? 

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Même s'il y a une prise en compte de l'aspect sanitaire, il y a eu une vraie volonté d'en faire surtout et avant tout un symbole national, faire comprendre au bon peuple français que les footeux montrent l'exemple en arrêtant. Mais quand le peuple français repart au casse-pipes, les footeux ne suivent plus :

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Pour la Ligue 1, le vent a tourné au tout dernier moment, la LFP recevant encore un message rassurant du sommet de l'État le dimanche soir. « Tout s'est décidé pendant le week-end, révèle un proche du président Macron. Le lundi matin, une réunion interministérielle, à Matignon, a validé les annonces prévues le lendemain, dont celles concernant le sport. Les ministères qui n'avaient pas été informés l'ont été. Ensuite, dans la journée, le président et le Premier ministre se sont vus et ont pu acter l'intégralité du plan. Avant un échange (par SMS) entre le président et Noël Le Graët dans la soirée. »

Un message confirmé par le président de la FFF, dans lequel il lui a été « indiqué très brièvement la ligne du gouvernement ». Le lendemain, le service après-vente est assuré par Roxana Maracineanu, la ministre des Sports, lors d'une très courte réunion téléphonique à 14h30 - soit à peine une demi-heure avant le discours du Premier ministre - avec Nathalie Boy de la Tour, la présidente de la LFP, et Noël Le Graët.

Elle enchaînera en fin d'après-midi avec les principaux présidents de club. Face à cette annonce choc, tous essaient de faire bonne figure et la plupart saluent même une décision politique - la première en Europe pour un grand Championnat - qui les place pourtant en grande difficulté économique.

« On ne nie pas le fait qu'il y a une dimension symbolique forte dans cette décision » - Un membre de l'entourage du président de la République 

Les raisons sanitaires ont évidemment prévalu. Mais on ne cache pas, à l'Élysée, que l'arrêt définitif de la saison de L1 a servi la communication des pouvoirs publics. « On ne nie pas le fait qu'il y a une dimension symbolique forte dans cette décision, explique avec franchise l'entourage du président de la République. Nous avions à expliquer à tous les Français qu'ils allaient être contraints de faire un certain nombre d'efforts, nous voulions les sensibiliser sur la gravité de la situation. Dans ce cadre-là, nous voulions éviter que les gens puissent avoir l'impression, au travers de la tenue de matches de football, qu'il n'y aurait pas trop de risques. » Comme souvent avec le monde politique, le football sert surtout à faire passer des messages.

La deuxième raison dont on parle beaucoup est celle du lobbying de certains présidents de clubs qui auraient avancé des chiffres erronés pour faire stopper la saison à leur avantage :

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Dans le football comme ailleurs, on se nourrit de complots, de manigances et de retournements de veste. La décision du gouvernement, le 28 avril, de ne pas autoriser la reprise des saisons de L1 et de L2 a pris de court, on l'a vu, la Ligue, la FFF et les dirigeants de club.

Dans les heures qui ont suivi ce coup dur, tous ont tenté de comprendre pourquoi la donne s'était inversée alors que les tout derniers retours en provenance du monde politique étaient positifs, moins de deux jours avant l'annonce du Premier ministre.

Si certains présidents de club ont régulièrement appelé le ministère des Sports et les cabinets d'Édouard Philippe ou d'Emmanuel Macron pour faire passer des messages avant la décision gouvernementale, plusieurs d'entre eux sont aujourd'hui persuadés avoir été victimes d'un lobbying contraire de la part de l'un d'entre eux.

« Quand je parle avec Emmanuel Macron, même s'il a un avis sur le football, c'est de sujets économiques et sociaux » - Pierre Ferracci, patron du Paris FC 

Un président de club aurait oeuvré dans l'ombre à l'arrêt des Championnats en jouant de ses relations : Pierre Ferracci, le patron du Paris FC. Marc Ferracci, son fils, est le témoin de mariage d'Emmanuel Macron, tandis que le président a tenu le même rôle pour le sien. Économiste de renom, Marc Ferracci a contribué au programme économique du futur chef d'État. Enfin, Sophie Ferracci, sa femme, a été cheffe de cabinet de Macron lors de sa campagne présidentielle. « Pierre Ferracci ne s'est jamais caché de ses relations avec Emmanuel Macron », confie l'un de ses homologues de Ligue 2.

Ferracci renvoie d'ailleurs la balle à d'autres lobbyistes dans Le Parisien

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En coulisses, les échanges et les tractations se multiplient. Au vu de sa proximité avec Emmanuel Macron, Pierre Ferracci, plutôt partisan d'un arrêt, est accusé de lobbying. Le président du Paris FC parle « de fantasmes » et pointe ses confrères qui « ont fait pression sur le ministère et le gouvernement avec des arguments financiers et sanitaires erronés et farfelus ». La division des présidents et la faiblesse de la Ligue n'aident pas à adopter une position unanime et forte face à l'Elysée.

Enfin, il y a débat sur la compréhension ou non par la LFP de la date du 3 août donnée par l'UEFA non comme une date butoir mais une recommandation.

Modifié par Lmarco
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Il y a 3 heures, Lmarco a dit :

Même s'il y a une prise en compte de l'aspect sanitaire, il y a eu une vraie volonté d'en faire surtout et avant tout un symbole national, faire comprendre au bon peuple français que les footeux montrent l'exemple en arrêtant. Mais quand le peuple français repart au casse-pipes, les footeux ne suivent plus :

La deuxième raison dont on parle beaucoup est celle du lobbying de certains présidents de clubs qui auraient avancé des chiffres erronés pour faire stopper la saison à leur avantage :

Ferracci renvoie d'ailleurs la balle à d'autres lobbyistes dans Le Parisien

Enfin, il y a débat sur la compréhension ou non par la LFP de la date du 3 août donnée par l'UEFA non comme une date butoir mais une recommandation.

Mouais, des hypothèses quoi. Des "on dit" qui émanent de personnes de la même trempe. 

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