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Actualité Footballistique


Invité lensois_02
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Nouveau plan social annoncé par le foot pro français en 2021 qui démarre fort, le grand domino est lancé :

  • Caen lance un PSE avec la suppression d'une vingtaine de postes en CDI et des modifications de postes(sur 158 salariés actuellement)
  • Bordeaux avait déjà annoncé ce mois-ci un PSE comprenant 26 licenciements, qui fait suite à un plan de départ volontaires
  • A Paris, c'est un plan massif de chômage partiel qui est en cours (400 salariés soit plus de la moitié)

Saint-Etienne le prochain ?

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il y a une heure, Lmarco a dit :

Nouveau plan social annoncé par le foot pro français en 2021 qui démarre fort, le grand domino est lancé :

  • Caen lance un PSE avec la suppression d'une vingtaine de postes en CDI et des modifications de postes(sur 158 salariés actuellement)
  • Bordeaux avait déjà annoncé ce mois-ci un PSE comprenant 26 licenciements, qui fait suite à un plan de départ volontaires
  • A Paris, c'est un plan massif de chômage partiel qui est en cours (400 salariés soit plus de la moitié)

Saint-Etienne le prochain ?

Paris, c'est vraiment du foutage de gueule, ils claquent un pognon fou pour leurs pseudo stars mais pas d'argent pour payer de petits salaires.

Neymar va faire un geste : il va donner un jour de son salaire mensuel pour permettre aux 400 personnes d'eviter le chomage partiel : #solidarite.

Modifié par RCL Warszawa
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Le 22/01/2021 à 15:15, manico a dit :

Concernant ce projet ils ont été menacé d'être exclus de Coupe du Monde et d'Euro par la FIFA et l'UEFA ainsi que tous les joueurs qui y prendraient part il me semble.

La réponse juridique n'a pas tardé, certains clubs ont déjà mandaté des cabinets d'avocat pour anticiper des actions en justice contre la FIFA et l'UEFA :

Citation

Un joueur peut-il vraiment être privé de Coupe du monde ?
La FIFA et ses six confédérations veulent exclure de leurs compétitions tout club ou joueur qui participerait à une « Superligue » européenne rivale de la Ligue des champions. Mais ce ne serait pas si simple au regard du droit européen de la concurrence.
 
C'est un front du refus inédit qui s'est dressé la semaine dernière face aux gros clubs européens tentés par la dissidence. Dans un communiqué cosigné par la FIFA et les six confédérations (AFC, CAF, Concacaf, Conmebol, OFC et UEFA), ces instances ont affirmé haut et fort qu'une éventuelle « Superligue » européenne ne serait reconnue ni par l'une ni par les autres.

« Tout club ou joueur impliqué dans une telle compétition se verrait par conséquent interdire de participer à toute compétition organisée par la FIFA ou les confédérations », écrivent les signataires dans une tentative d'éteindre toute velléité privée de concurrencer leurs épreuves - et de menacer les revenus qu'elles leur rapportent.

« Une telle déclaration commune de la FIFA et de ses six confédérations viole frontalement le droit de la concurrence » - Jean-Louis Dupont, avocat belge spécialisé en droit européen 

Difficile d'imaginer que soient privés de toute carrière en sélection des champions du monde comme Paul Pogba ou Anthony Martial, les « Frenchies » de Manchester United, l'un des clubs réputé parmi les plus engagés dans le projet de Superligue.

D'autant que la position très ferme affichée par la FIFA et consorts pourrait se révéler fragile sur le plan juridique à en croire plusieurs sources spécialistes du droit européen. L'avocat Jean-Louis Dupont, défenseur du célèbre Jean-Marc Bosman et « père » de l'arrêt du même nom qui a consacré la liberté de circulation des footballeurs dans l'Union européenne (UE) en 1995, est de ceux-là.

« Une telle déclaration commune de la FIFA et de ses six confédérations est, au regard du droit européen de la concurrence, une« décision d'associations d'entreprises » qui viole frontalement le droit de la concurrence puisque cette décision a pour objectif d'empêcher la création d'une compétition footballistique concurrente. On interdit à un certain nombre de clubs (qui sont des entreprises) de créer un produit nouveau et de le mettre sur le marché », avance l'avocat belge.

Le précédent des patineurs
Un précédent apporte de l'eau au moulin des plus sceptiques quant à la légalité de la sanction envisagée par les instances internationales du football. Pas plus tard qu'en décembre dernier, la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a rendu un arrêt confirmant une décision de la Commission européenne qui avait donné raison en 2017 à deux patineurs de vitesse néerlandais qui contestaient le règlement de la Fédération internationale de patinage (ISU) leur interdisant de participer à des épreuves organisées par des tiers, sous peine de sanctions pouvant aller jusqu'à l'exclusion à vie des JO et des Mondiaux.

« On pourrait certes avancer que la situation est un peu différente pour les footballeurs, parce que les compétitions internationales sont moins essentielles pour eux que les JO ne le sont pour les patineurs, commente auprès de l'AFP Antoine Duval, spécialiste de droit du sport à l'institut Asser de La Haye. Mais sont-ils prêts à faire une croix sur la Coupe du monde pour participer à la Superligue ? La seule menace de les exclure pourrait tomber sous le coup du droit européen de la concurrence. » On revient toujours à cette priorité de l'UE.

« Cela fait des décennies que la Commission européenne avertit les acteurs du sport professionnel qu'ils doivent se comporter comme n'importe quel autre opérateur économique et qu'ils doivent se soumettre au droit - entre autres - de la concurrence », nous rappelait à l'époque de l'affaire ISU Thierry Granturco, avocat à Paris et Bruxelles, spécialiste du droit du sport. Problème, selon lui : « Les fédérations sportives ont préféré réagir en demandant une exception sportive, à savoir une dérogation de l'application de ces règles à leurs pratiques, plutôt que d'essayer de s'adapter. C'est une stratégie qui est vouée à l'échec. »

Un vieux serpent de mer
Dans la « bataille juridique » qu'elles voient poindre, la FIFA et ses confédérations auraient quand même des arguments à faire valoir, note Antoine Duval. « La décision de la Commission dans l'affaire ISU semble autoriser par exemple la protection de leur calendrier, ce qui pourrait être utilisé par l'UEFA puisque la Superligue concurrencerait directement sa Ligue des champions. Elles peuvent aussi invoquer leur modèle de solidarité, c'est-à-dire leur capacité à redistribuer l'argent des droits TV pour soutenir les clubs moins riches et le foot amateur, face à un projet privé et purement lucratif. » Et encore dans les limbes.

Régulièrement aperçu depuis des années dans les eaux européennes, le serpent de mer de la Superligue a refait une apparition spectaculaire fin octobre dernier lorsque le président (démissionnaire) du FC Barcelone, Josep Maria Bartomeu, a annoncé publiquement que le club catalan accepterait d'y participer.

Outre le Barça, le Real Madrid et Manchester United sont régulièrement cités parmi les gros clubs partisans de ce projet qui ressurgit comme par enchantement à chaque fois que des négociations s'engagent avec l'UEFA sur le format de la Ligue des champions et la répartition de ses juteux droits TV, comme c'est le cas actuellement pour le cycle 2024-2027 (une décision du Comité exécutif de l'UEFA est attendue avant le prochain congrès de l'organisation, le 20 avril).

Selon les indiscrétions distillées à plusieurs médias européens la semaine dernière, la compétition agitée comme un épouvantail par certains des cadors du « Big 5 » (le Bayern, la Juve et le PSG seraient les moins enclins à y prendre part) rassemblerait vingt équipes dont quinze seraient inamovibles. Elles se répartiraient en deux groupes de dix et s'affronteraient en milieu de semaine dans une formule Championnat, les quatre premiers de chaque groupe se qualifiant pour un « Final Eight ».

En joignant leurs forces dans leur intérêt bien compris - soutien de l'UEFA à la Coupe du monde des clubs et de la FIFA à la Ligue des champions -, les deux instances tentent de dissuader l'émergence de projets privés concurrents - ou d'en dissiper le pouvoir de pression -, mais elles restent sous la menace de la jurisprudence de la CJUE. « Certains de nos clients nous ont mandatés afin d'examiner l'opportunité d'agir en justice contre cette décision illicite de la FIFA et de ses confédérations », prévient Me Dupont.

 

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il y a 41 minutes, MattGrinin a dit :

Je compte UN masque. 

C'est tout le ridicule de la situation puisque les entraînements collectifs avec contact restent interdits par la fédération, tout comme l'accès aux vestiaires et douches par la majorité des préfectures... alors qu'il va falloir jouer des matchs de coupe de France sans distanciation. De très nombreux clubs ont donc décidé de reprendre les entraînements avec contact, ce qui signifie pas de distanciation et pas de port du masque.

Il faut être cohérent jusqu'au bout et interdire toute pratique sportive collective en extérieur ou alors tout autoriser. Mais cet entre-deux avec des dérogations uniquement quand de l'argent est en jeu pour les professionnels n'a aucun sens sanitaire ni sportif.

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Il y a 18 heures, Ruka-2 a dit :

Pas pratique de s'entraîner/jouer au foot avec un masque ^^

Evidemment qu'ils ne vont pas porter de masque pendant les efforts physique de l'entrainement. Mais là, je suis désolé, ils ne sont pas en plein effort. Ils font les beaux, bien habillés, coiffés ... Et tout ce bazar a bien du duré 15/20 minutes ...
Et en plus, c'est très con, le message aurait été encore plus fort si ils avaient eu tout le masque.

Modifié par MattGrinin
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Il y a 3 heures, MattGrinin a dit :

Evidemment qu'ils ne vont pas porter de masque pendant les efforts physique de l'entrainement. Mais là, je suis désolé, ils ne sont pas en plein effort. Ils font les beaux, bien habillés, coiffés ... Et tout ce bazar a bien du duré 15/20 minutes ...
Et en plus, c'est très con, le message aurait été encore plus fort si ils avaient eu tout le masque.

Et plus crédible

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«Il faut des solutions qui correspondent à ce que peuvent apporter les diffuseurs. On se rend compte qu’il faut aujourd’hui réduire le nombre d’équipes de l’élite, aussi parce que l’UEFA le demande. Cela pourrait être trois groupes de 16 équipes, ou une Ligue 1 à 16 et une Ligue 2 à deux groupes de 12, ou encore une Ligue 1 à 18 et une Ligue 2 à 18 aussi. Il faut resserrer l’élite pour avoir de plus en plus de matches attractifs.»

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Protéger les clubs "historiques", c'est vraiment une idée à chier.

Quelle valeur aurait leur victoire si il y a un système de protection? Qu'on leur file un but d'avance à chaque match tant qu'on y est..

Ou qu'ils soient protégés par les arbitres....ah bah non, c'est déjà le cas ça..

Modifié par ethan
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il y a 20 minutes, ethan a dit :

Protéger les clubs "historiques", c'est vraiment une idée à chier.

Quelle valeur aurait leur victoire si il y a un système de protection? Qu'on leur file un but d'avance à chaque match tant qu'on y est..

Ou qu'ils soient protégés par les arbitres....ah bah non, c'est déjà le cas ça..

On touche le fond. 

 

Et puis historique, c'est une valeur un peu vague. Que sont les critères ? On remonte jusqu'à quand ? Au nom de quoi ? 

Reims, Sainté ou Bastia ont été historiques, comme certains clubs soviétiques, yougo, belges, néerlandais. Paris n'est qu'un club récent monté à coup de pognon, son histoire au sens noble et profond du terme n'existe pas autant qu'elle n'existe pour certains autres clubs. 

C'est, encore une fois, une histoire de pognon. On continue dans ce chemin et un jour on en reviendra. À m'en dégoûter du foot

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Cette Coupe de France avec des amateurs qui ne reprennent l'entraînement que maintenant alors qu'ils sont des gens comme vous et moi qui bossent la semaine et croisent des gens, c'est quand même un aveu de l'absurde de la situation. Quand le fric s'en mêle, la logique importe peu. 

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C'est clair qu'il n'y a aucune logique au niveau sanitaire (sans parler de l'état de forme des joueurs amateurs comme tu le précises) et que c'est purement dicté par une logique financière. Peut-être que le seul avantage pour le foot amateur se situe à ce niveau-là : l'argent généré par la tenue de la Coupe de France leur fera peut-être du bien même si pour beaucoup de clubs ce sera insuffisant.

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il y a 23 minutes, Lyonniste a dit :

Oui c'est très intelligent de traiter les gens de cons.

surtout qu'on est dehors, qu'ils ne sont pas 100 000 non plus hein.

Dans les stades aussi on est dehors ... cela n'empêche que l'on soit pro ou non, tout le monde doit respecter le protocole sanitaire. que tu sois à 10 ou 100000

Tu connais l'effet boule de neige ?

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