DamieN62 Posté(e) le 21 mai 2020 Posté(e) le 21 mai 2020 Mais le PSG serait gravement touché aussi. Encore une fois, nous sommes vraiment chanceux d'avoir Joseph à la tête du club. Le club ne roule pas sur l'or mais il a suffisamment d'argent pour rester à flot et dans le contexte actuel c'est bien le plus important. Citer
tibocm1 Posté(e) le 21 mai 2020 Posté(e) le 21 mai 2020 Toulouse en passe d'être racheté par un fond d'investissements américain. Citer
vince Posté(e) le 25 mai 2020 Posté(e) le 25 mai 2020 Allez hop, on attaque au conseil d’etat? lol Citer
Lmarco Posté(e) le 8 juin 2020 Posté(e) le 8 juin 2020 (modifié) Après les plans sociaux annoncés chez RMC et BeIn France, L'Equipe et France Football seraient également menacés : Citation Craintes sur des mesures d’économies à « L’Equipe » L’intersyndicale du quotidien sportif dénonce la volonté de la direction d’imposer des sacrifices aux salariés en échange d’un maintien de l’emploi. La direction confirme étudier toutes les possibilités. Après ceux d’Altice le 19 mai, c’est au tour des salariés du groupe L’Equipe de voir leur avenir s’obscurcir. Dimanche 31 mai, un courriel de leur intersyndicale (SNJ, SNJ-CGT, UFICT-CGT, SGLCE-CGT) a rendu tangibles les rumeurs qui circulaient, « en interne comme à l’extérieur », sur les projets de la direction : une réduction d’effectifs d’une centaine de personnes, à moins de la signature d’un accord de performance collective, synonyme de baisse des salaires et du nombre de jours de RTT. Intitulé « La stratégie du choc », le texte dénonce ce que les élus considèrent comme un chantage. « La direction entend profiter d’une crise conjoncturelle pour imposer une attaque inédite contre ses salariés, écrivent-ils notamment (…). Faute de projet stratégique et éditorial pour un fleuron de la presse sportive, la seule solution trouvée par la direction est d’utiliser les salariés comme variable d’ajustement, dans une vision court-termiste de réduction des coûts. » « Plantureuse trésorerie » A la direction, on estime que « ce texte ne repose pas sur grand-chose », aucune discussion n’étant encore ouverte. Au cours du comité social et économique (CSE) du jeudi 28 mai, pas un mot sur d’éventuelles mesures d’économies n’avait été prononcé. Mais « toutes les alternatives sont étudiées dans la situation économique difficile que nous connaissons (…), fait-elle savoir au Monde, et en effet, sont à l’étude des réflexions pour le maintien de l’emploi du groupe L’Equipe » – L’Equipe, L’Equipe Magazine, la chaîne L’Equipe, L’Equipe.fr, Vélo Magazine, France Football, Sport & Style, propriétés du Groupe Amaury). La SAS (société par actions simplifiées) L’Equipe, forte de 352 ETP (équivalents temps plein) et concentrée sur le papier, serait en première ligne, mais L’Equipe 24 24 (125 emplois, hors pigistes et CDD), qui abrite la chaîne, pourrait être également touchée. « Réduire les congés des salariés ne permet pas de faire des économies, à moins de supprimer des emplois », relève Francis Magois, délégué syndical SNJ, qui estime donc que la promesse, en cas d’accord, de ne pas toucher aux effectifs jusqu’au 31 décembre 2024 n’engagerait que ceux qui y croiraient. « Les salariés qui refuseront de signer l’avenant qui sera ajouté à leur contrat seront licenciés », projette un autre, arguant des « lois Macron qui facilitent les licenciements ». Autre carburant à la colère qui monte : l’excellente santé financière d’ASO (Amaury Sport Organisation, organisateur du Tour de France, du Marathon de Paris, Rallye Dakar, Paris-Roubaix, etc.), autre entité du Groupe Amaury, dont la « plantureuse trésorerie », selon les termes de l’intersyndicale, pourrait être mise à contribution. « Même un petit pourcentage de cette manne suffirait à éviter la restructuration qu’on veut nous imposer, assure l’un des auteurs du texte. Ne pas y avoir recours prouve que la direction souhaite simplement profiter de la situation liée au coronavirus pour réduire les coûts. » En huit ans, le groupe a déjà connu quatre plans de départs : « On est à l’os », assure le délégué syndical. Chute des revenus publicitaires A la direction du groupe, on ne communique pas sur la baisse du chiffre d’affaires publicitaire lié à la crise sanitaire : privé de compétitions sportives, le quotidien a vu ses ventes passer, en mars, sous la barre des 200 000 exemplaires, en baisse d’environ 15 %, malgré un prix de vente ramené à 1 euro. L’annulation du championnat d’Europe de football et des Jeux olympiques, qui devaient avoir lieu cet été, repoussent à la rentrée tout espoir de retour en grâce. Ayant cessé de paraître, pour cause de confinement, après le numéro du 4 avril, L’Equipe Magazine est toutefois revenu en kiosque le 23 mai. Devenu bimensuel le 7 avril, France Football va garder cette nouvelle périodicité, tandis que, suspendus en avril et en mai, les mensuels Vélo Magazine et Sport & Style devraient, selon une source interne, respectivement reparaître les 5 et 20 juin. Le Parisien pourrait également ne pas relancer ses neufs cahiers départementaux, ce qui impactera la couverture du sport en IdF dont les clubs pro : Citation Les salariés du Parisien inquiets pour leurs éditions départementales Avec le confinement, les neuf cahiers départementaux du journal ont été ramenés à un cahier unique. Les salariés du Parisien réclament l'arrêt du chômage partiel tandis que la direction prévoit de présenter, mi-juin, son projet pour le journal. "En septembre nous ne sommes pas sûrs de pouvoir retrouver nos neuf cahiers départementaux", analyse Aymeric Renou, délégué syndical SNJ au Parisien, invité de France Bleu Paris ce jeudi 4 juin. "Ce ne sont pas seulement les syndicats comme le SNJ que je représente qui réclame leur retour, ce sont les salariés des éditions départementales du Parisien également. Les jours qui arrivent vont devenir déterminants. La direction que l'on a rencontrée ce mercredi soir n'a pas répondu aux revendications de l'assemblée générale de ce mardi". Dans dix jours, la direction doit présenter un projet global, éditorial et de contraintes économiques autour du journal et des éditions régionales. "Les informations locales vont être traitées mais de manière différente" a explique la direction aux syndicats. "Moi je comprends ça à la baisse et il y a de fortes chances que ce cahier régional remplace définitivement les éditions locales du Parisien ce que les reporters et salariés des éditions départementales ne veulent pas". Une atteinte à l'information de proximité ? "L'info de proximité, c'est celle par laquelle tout commence. Les lecteurs la souhaitent parce qu'ils veulent savoir ce qui se passe à côté de chez eux et c'est celle qui fait l'étincelle. Parfois, des informations locales deviennent des informations nationales. Si on se prive du lien des acteurs locaux, des associations, des élus, si on minimise, on va se priver de ce relais là et à terme de belles informations", analyse Aymeric Renou. Modifié le 8 juin 2020 par Lmarco Citer
Chtieric Posté(e) le 23 juin 2020 Posté(e) le 23 juin 2020 (modifié) Toujours sur un sujet économique, je vous conseille d'écouter le début de l'After de ce lundi. Ca parle de MédiaPro. C'est un secret pour personne mais il y a de plus en plus d'inquiétude sur ce média. Sur sa capacité à payer, assurer la diffusion... Je pense que l'on n'est pas au bout de nos surprises sur le foot Français. En espérant que le RCL ait les reins solides si catastrophe industrielle il y a. Et après Dayan est l'invité pour parler de la série sur Lens. Il parle super bien du club.? Modifié le 23 juin 2020 par Chtieric Citer
tibocm1 Posté(e) le 23 juin 2020 Posté(e) le 23 juin 2020 Il y a 5 heures, Chtieric a dit : Toujours sur un sujet économique, je vous conseille d'écouter le début de l'After de ce lundi. Ca parle de MédiaPro. C'est un secret pour personne mais il y a de plus en plus d'inquiétude sur ce média. Sur sa capacité à payer, assurer la diffusion... Je pense que l'on n'est pas au bout de nos surprises sur le foot Français. En espérant que le RCL ait les reins solides si catastrophe industrielle il y a. Et après Dayan est l'invité pour parler de la série sur Lens. Il parle super bien du club.? Pour moi les vraies questions sont : - Que se passe-t-il si Mediapro ne peut pas payer ? - les clubs sont-ils assurés contre ce genre d'incident ? - est-ce que la ligue ne demande pas des garanties financières solides pour accorder un marché sur plusieurs années ? - si Mediapro venait à ne pas pouvoir diffuser la ligue1, est-ce que Bein et Canal pourraient négocier une reprise des droits TV au même prix/ à la baisse ? Citer
Lmarco Posté(e) le 26 juin 2020 Posté(e) le 26 juin 2020 Et de nouvelles rumeurs de rachat à l'OM : Citation INFO FIGARO : BOUDJELLAL A CHOISI L’OM PLUTÔT QUE LE SPORTING TOULON Selon nos informations, l'ex-patron du RCT a tenté, en vain, de se désengager du colossal projet de rachat de l'OM, dont il deviendrait le président. Conséquence directe, ce vendredi après-midi, il ne devrait pas ratifier, comme initialement prévu, sa reprise du Sporting Toulon. Avec David Reyrat On n’était plus à un rebondissement près dans le feuilleton du rachat du Sporting Toulon. Mais celui-ci est de taille. Un véritable coup de tonnerre. Comme annoncé par Var Matin ce matin, Mourad Boudjellal s’était engagé, en parallèle à son projet toulonnais, à un autre dossier, de son propre aveu «pharaonique». Une offre de rachat de la part d’émissaires du Moyen-Orient pour la reprise de l’OM. Des investisseurs qui exigent que l’ex-président du RC Toulon soit à la tête du club phocéen si leur offre aboutit. Selon nos informations, Mourad Boudjellal était à Paris jeudi. Jusque tard dans la nuit, dans les salons de l’hôtel George V, il a tenté de négocier son désengagement auprès de l’homme d’affaires franco-tunisien qui représente ces fonds de sociétés privées et étatiques du Moyen-Orient. En vain. Il faut dire que les négociations secrètes durent depuis quelques semaines et que l’offre a été concrétisé. Une somme colossale Il y a deux semaines, ce fonds a versé sur un compte de la banque Rothschild la somme colossale de… 700 millions d’euros ! Avec une répartition ainsi prévue : 300 M€ pour le propriétaire actuel Frank McCourt ; 200 M€ pour éponger le passif de l’OM ; une enveloppe de 200 M€ pour le mercato. Car, contrairement à ce que s’emploie à démentir l’actuel président marseillais, Jacques-Henri Eyraud, l’homme d’affaires américain serait bien vendeur. Mais il refuse de l’officialiser pour que le prix du club ne soit pas dévalué lors des négociations. On en saura beaucoup plus ce vendredi après-midi. Car Mourad Boudjellal se rendra à 14h au stade Bon-Rencontre, l’antre du Sporting Toulon, pour rencontrer le président et actionnaire majoritaire du club de Nationale 2, Claude Joye. Un rendez-vous programmé depuis une semaine qui avait pour but de finaliser la reprise du SCT par Boudjellal. Boudjellal ne signera pas la reprise du Sporting cet après-midi Une signature qui, selon nos informations, ne se fera pas. Parce que l’ancien président du RCT n’est pas parvenu à se désengager du projet OM. Mais aussi parce que Claude Joye, comme à chaque étape des négociations est revenu en arrière. Il souhaite de nouveau imposer la présence de son fils dans l’organigramme du Sporting. Avec le pouvoir de double signature pour engager toutes dépenses excédant 3.000 euros. Une condition que Mourad Boudjellal a toujours affirmé inacceptable. Dans l’après-midi, la confirmation tombera donc que ce dernier a choisi l’OM plutôt que le Sporting. Citer
Lmarco Posté(e) le 1 juillet 2020 Posté(e) le 1 juillet 2020 Après Jérémy Morel et Stéphane Diarra, Lorient sur le point d'officialiser Quentin Boisgard de Toulouse. Il y aurait également des discussions avec l'ASSE pour Hamouma. Par ailleurs, Le Fée et Marveaux ont prolongé. Citer
manico Posté(e) le 1 juillet 2020 Posté(e) le 1 juillet 2020 https://www.sofoot.com/le-stade-de-reims-balance-son-nouveau-logo-et-devoile-son-maillot-484835.html Je le trouve dégueulasse le nouveau logo du Stade de Reims. J'allais dire qu'il a le même style que celui de Nantes mais en lisant l'article j'ai vu que c'était justement la même agence qui l'avait réalisé. J'espère qu'on ne va pas arriver à ça à Lens. Citer
Adjo Posté(e) le 1 juillet 2020 Posté(e) le 1 juillet 2020 (modifié) Combien demande une agence pour ça ? N'importe qui dans le design peut le faire Modifié le 1 juillet 2020 par Adjo Citer
lens76 Posté(e) le 1 juillet 2020 Posté(e) le 1 juillet 2020 Et encore vous avez vu celui de Bordeaux ? Dégueulasse ! Citer
manico Posté(e) le 1 juillet 2020 Posté(e) le 1 juillet 2020 Il y a 3 heures, Adjo a dit : Combien demande une agence pour ça ? N'importe qui dans le design peut le faire Aucune idée de ce que peut demander une agence pour pondre une merde pareille. Ou alors le dossier a été confié à un stagiaire ? C'est vrai que celui de Bordeaux n'est pas top non plus lens76. C'est à celui qui fera le pire. Quand je vois tout ça, je me dis qu'on est bien avec le notre. Moderniser n'est pas forcément synonyme de bon goût. Citer
DamieN62 Posté(e) le 2 juillet 2020 Posté(e) le 2 juillet 2020 C'est la crise à Bordeaux, l'entraineur se barre. Citer
manico Posté(e) le 3 juillet 2020 Posté(e) le 3 juillet 2020 Le 01/07/2020 à 19:36, lens76 a dit : Et encore vous avez vu celui de Bordeaux ? Dégueulasse ! Je ne sais pas combien l'agence qui a fait le logo de Reims a demandé mais celle qui a fait celui de Bordeaux a demandé 2 millions, soit l'équivalent de 2 Corentin Jean ? lens76 a réagi à ceci 1 Citer
Adjo Posté(e) le 4 juillet 2020 Posté(e) le 4 juillet 2020 Il y a 3 heures, manico a dit : Je ne sais pas combien l'agence qui a fait le logo de Reims a demandé mais celle qui a fait celui de Bordeaux a demandé 2 millions, soit l'équivalent de 2 Corentin Jean ? Citer
MattGrinin Posté(e) le 4 juillet 2020 Posté(e) le 4 juillet 2020 Vous êtes durs, je les trouve pas si moches Citer
West'ier Posté(e) le 6 juillet 2020 Posté(e) le 6 juillet 2020 https://www.lemonde.fr/sport/article/2020/07/06/on-dirait-l-etiquette-d-un-fromage-de-chevre-les-nouveaux-logos-n-ont-plus-rien-de-propre-a-des-clubs-de-football_6045351_3242.html Citer
Ruka-2 Posté(e) le 10 juillet 2020 Posté(e) le 10 juillet 2020 https://rmcsport.bfmtv.com/football/autriche-ismael-sur-le-point-d-etre-mis-a-la-porte-par-le-lask-1946127.html#content/contribution/edit La perte des 6 points de pénalité lui a fait mal. Citer
Lmarco Posté(e) le 16 juillet 2020 Posté(e) le 16 juillet 2020 Tout ça pour ça, et dire que certains s'amusaient à évoquer un dépôt de bilan : Citation Le club girondin a reçu le feu vert de la DNCG, ce jeudi. Initialement programmé le 7 juillet dernier, le passage des Girondins de Bordeaux devant la DNCG s'est déroulé ce jeudi en début d'après midi. Selon nos informations, aucune mesure n'a été prise à l'encontre du club bordelais. Citer
Lmarco Posté(e) le 20 juillet 2020 Posté(e) le 20 juillet 2020 Finalement, après Bordeaux au tour de Lille de passer sans problème la DNCG : Citation La DNCG valide les comptes et le budget de Lille Le gendarme financier a validé les comptes et la gestion du club nordiste avant l'officialisation du départ de Victor Osimhen. Ce qui atteste son projet dans sa globalité. Initialement dans l'attente de documents complémentaires liés aux ventes programmées (Osimhen, Gabriel notamment) pour le 16 juillet, décision qui avait été prolongée la semaine dernière par « un sursis à statuer », la DNCG vient de décider de valider les comptes 2019-2020 et le budget du LOSC 2020-2021. Tel est le sens de sa communication où il est indiqué une « absence de mesure ». Pour comprendre cette décision rendue publique ce lundi en tout début d'après-midi, il faut revenir à l'origine des intentions nordistes. Lille avait programmé des ventes de joueurs en juin. Ces dernières ont été retardées en raison du contexte sanitaire, mais aussi par de très longues semaines de discussions concernant le dossier Victor Osimhen, dont l'officialisation par Naples est toujours attendue d'ici ce mardi soir. Les ventes en question vont donc se faire dans le courant de ce mois. Et être comptabilisées sur l'exercice 2020-2021. Selon des sources proches de la DNCG, suivant la même démarche que Frank McCourt avec l'Olympique de Marseille, le LOSC a donc décidé de rédiger une lettre de garantie adossée à la holding qui détient le club en France, L-Holding. Cette missive stipule que Gérard Lopez, son propriétaire, couvrira le passif du club si ce dernier venait à exister. 19 M€ de bénéfices pour la saison 2019-2020 Au 31 juillet 2019, selon les documents récemment rendus publics par la DNCG, et sur douze mois (*), Lille a dégagé un excédent de 127 000 €. Pour la saison 2019-2020, en intégrant le mois de juillet 2019, comme c'est le cas pour tous les clubs de L1, nous sommes en mesure de révéler que les Dogues ont réussi un exercice bénéficiaire de plus de 19 M€. La garantie apportée par l'homme d'affaires hispano-luxembourgeois a donc convaincu la DNCG d'autoriser Lille à continuer la saison 2020-2021 sans aucune restriction. Comme déjà annoncé, les départs d'Osimhen et de Gabriel doivent lui rapporter autour de 105 M€, bonus compris. De quoi couper court aux rumeurs sur sa fragilité financière, ou lever les doutes sur son modèle de trading censé le désendetter définitivement à l'été 2021 inclus. Une date après laquelle le club nordiste entend devenir l'équivalent de Lyon en L1, être en mesure de conserver ses meilleurs joueurs plus longtemps, et lutter chaque saison pour le podium. Surnommé ironiquement l'« acrobate de la finance » par Noël Le Graet, président de la FFF, Gérard Lopez est donc loin d'avoir perdu son équilibre. Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.