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Actualité Footballistique


Invité lensois_02
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Qu'est-ce que vous voulez que l'on fasse ??? On je joue pas dans la même cour...

Source https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Depuis-le-debut-du-mercato-d-ete-la-premier-league-a-deja-depense-plus-d-un-milliard-d-euros/1485010

Depuis le début du mercato d'été, la Premier League a déjà dépensé plus d'un milliard d'euros

La Premier League a déjà acheté pour plus d'un milliard d'euros de joueurs depuis l'ouverture du mercato d'été. C'est le double de la Serie A, deuxième championnat le plus dépensier.

Le transfert d'Amadou Onana d'Everton à Aston Villa pour 60 millions d'euros a fait dépasser une barre symbolique à la Premier League cet été : celle du milliard d'euros dépensé pour des joueurs. C'est plus que la Bundesliga (403,53 millions d'euros), la Ligue 1 (293,29 M€) et la Liga (180,44 M€) réunies. La Ligue 1 a notamment été freinée en ce début de mercato par la vague d'incertitude qui a gagné les clubs en marge de la négociation des droits télé.
 
Avant celui du milieu belge, de nombreux transferts à plus de 30 millions d'euros ont largement contribué à placer le Championnat anglais comme le plus dépensier. On peut par exemple citer les arrivées de Joshua Zirkzee et de Leny Yoro à Manchester United, pour 43 et 63 millions d'euros.

Pour parvenir à de tels montants, les cinq grands championnats européens sont parvenus à boucler 421 transferts en quelques semaines, en comptant ceux intra-championnats. Mais pour dépasser la barre du milliard d'euros, la Premier League n'a pas eu besoin d'un grand nombre de signatures. Elle n'a enregistré, depuis l'ouverture du mercato le 14 juin, « que » 72 nouvelles recrues, quand la Serie A (109) ou la Bundesliga (102) en ont signé bien plus.

Un prix par recrue bien supérieur

Moins de recrues mais une plus importante somme dépensée, cela signifie que la Premier League a payé plus cher ses nouveaux arrivants. On constate que 15 des 25 transferts les plus élevés de ce mercato estival ont été en direction de clubs anglais. À l'image d'Onana, Yoro et Zirkzee évoqués plus haut, mais aussi de Ian Maatsen qui a rejoint Aston Villa pour 44,5 millions d'euros, d'Archie Gray qui a signé à Tottenham contre plus de 40 millions d'euros, ou encore du Gambien Yankuba Minteh qui s'est engagé à Newcastle et qui a coûté 35 millions d'euros.

Ce pouvoir d'achat des clubs anglais s'explique notamment par des droits télé très importants pour la Premier League. Les derniers, d'un montant record, s'élèvent à 7,8 milliards d'euros sur quatre ans, soit 1,95 milliard par an à partir de la saison 2025-2026. Le contrat actuel, pour la période 2022-2025, s'élève déjà à 5,8 milliards d'euros sur trois ans.

En moyenne, les joueurs qui ont signé pour un club de première division anglaise cet été ont coûté 14,5 millions d'euros. Une somme bien plus élevée que les 5,05 millions par recrue en moyenne en Ligue 1, que les 4,6 millions en Serie A ou encore que les 3,9 millions en Bundesliga. Ce calcul comprend également les signatures de joueurs en fin de contrat, c'est-à-dire sans indemnités de transfert. À noter que dans ce cas-là, les clubs versent des primes à la signature au joueur les rejoignant, d'un montant plus ou moins conséquent.

La recrue au prix le plus élevé de chaque championnat du top 5 européen est également révélatrice de cet écart de moyens et de dépenses entre les pays. En Angleterre, c'est le jeune Français Leny Yoro (18 ans), arrivé à Manchester United en provenance du LOSC pour 63 millions d'euros (bonus compris), qui est la recrue la plus chère de cet été 2024, pour l'instant.

En France par exemple, aucune transaction ne dépasse celui de Moussa Niakhaté à Lyon contre 31,9 millions d'euros. En Italie, le transfert le plus cher est celui d'Alessandro Buongiorno, du Torino à Naples. L'opération a coûté 35 millions au club napolitain. En Allemagne et en Espagne, les arrivées du Français Michael Olise au Bayern Munich (60 M€) et du Brésilien Endrick au Real Madrid (48 M€, signé il y a 18 mois et officiel cet été) sont pour le moment les plus élevées de la Bundesliga et de la Liga.

La Premier League également en tête des revenus

Le Championnat anglais achète cher et vend cher, et sa deuxième division aussi. La Premier League et la Championship se classent 1er et 4e des championnats qui ont le mieux vendu depuis le début du marché des transferts cet été, avec respectivement 757,43 et 199,78 millions d'euros générés par la vente de joueurs. En deuxième position, on retrouve la Serie A, avec 376,61 millions d'euros générés. La Ligue 1 est troisième (257,12M€).

La Premier League n'est pas le championnat qui vend le plus, mais celui qui vend le mieux. L'Italie a vendu 128 joueurs, contre 110 pour la première division anglaise, mais a gagné moins d'argent. De même pour la Liga qui en a vendu un petit peu moins (104), mais reste loin derrière en termes de revenus.

L'étonnant classement de la Championship s'explique par les ventes de joueurs venant d'être relégués ou ayant manqué la montée de justesse, à l'image de Leeds avec les départs d'Archie Gray à Tottenham et de Luis Sinisterra à Bournemouth (23,4 M€). Les clubs d'un niveau supérieur n'hésitent pas à fouiller dans ce championnat relevé et exigeant pour trouver de nouveaux joueurs.

Les clubs de milieu de tableau de Premier League vendent aussi à de grandes écuries étrangères. Trois des cinq plus gros transferts de ce mercato ont été réalisés par des clubs anglais, comme Michael Olise par Crystal Palace au Bayern, Douglas Luiz par Aston Villa à la Juventus et Palhinha par Fulham au Bayern. Toutes ces transactions remplissent les caisses des clubs anglais, avec des fonds prêts à être réinvesties ensuite dans d'autres achats.

Le marché des transferts se clôturant le 30 août en France, Angleterre, Italie et Espagne et le 1er septembre en Allemagne, la Premier League a encore le temps d'alourdir l'addition. Lors du mercato d'été 2023, les clubs de Premier League avaient finalement dépensé un record de 2,75 milliards d'euros, contre 914 millions pour ceux de Ligue 1. Au total, 7,36 milliards d'euros avaient été échangés contre des joueurs selon la FIFA au cours de l'été 2023, un record. Sera-t-il battu cette année ?

Ipswich Town, un promu anglais qui dépense beaucoup
Promu cette année en Premier League, le club d'Ipswich Town a déjà dépensé pas moins de 72,4 millions d'euros pour s'attacher les services de cinq joueurs. Une somme exorbitante, au vu des seuls 20,80 millions d'euros dépensés par tous les clubs de Ligue 2 réunis, et qui donne la même moyenne de prix par joueur que la Premier League, championnat dans lequel le club va évoluer dans quelques semaines (14,5 M€ par recrue). Dans le même temps, le promu n'a récupéré qu'1,65 million d'euros de ses huit ventes.
Une force de frappe qui n'est pas sans rappeler celle de Nottingham Forest il y a 2 ans. Les Rouge et Blanc, promus en Premier League, avaient dépensé 161,25 millions d'euros et fait signer pas moins de 22 recrues. Des investissements qui n'avaient pas vraiment porté leurs fruits, puisque le club a terminé 16e en 2022-2023 et 17e la saison dernière, proche de la zone de relégation.
Modifié par Clorith
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il y a 20 minutes, fleurdelens a dit :

C"est quand même un très grand club du foot français qui perd le statut pro. C'est triste et ça montre encore une fois qu'on peut vite descendre très bas en sport.

Pas qu'en sport, c'est la très dure loi du marché... Qui peut offrir de très belles réussites, mais aussi d'énormes crashs.

Modifié par Clorith
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il y a 39 minutes, madjeje a dit :

Et l’ASSE qui a acheté le géorgien pour 6M€, ils doivent être deg.

Grosse pensée aux salariés et aux fans, mais ce club reviendra comme Strasbourg ou Reims, en espérant que ce soit moins long que Reims

Put** Lopez c'est en prison qu'il devrait être. J'espère vraiment que cette derniere prouesse donnera du plomb dans les têtes des clubs L1 et L2 pour ne plus lui faire confiance. Il en est à combien de clubs ce gros faisan ?

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Boavista est passé à deux doigts de la relégation cette saison et à connu des retards de paiements et la FIFA enquête sur des transferts douteux. Mais techniquement, à l'instant T, Gérard Lopez n'a pas réussi à faire couler Boavista. Comme il a échoué à faire couler le LOSC même si des ventes comme celle de Yoro servent encore à éponger les dettes que sa gestion a provoqué. 

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Il y a 21 heures, coconuts a dit :

Pour résumer Lopez sur 4 clubs :

Mouscron : touché coulé

Bordeaux : touché coulé

Losc : touché, pas coulé, revendu

Boavista : touché, en perdition 

Dommage qu'il ne soit pas resté plus longtemps au LOSC.

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Il y a 7 heures, West'ier a dit :

 

Et les clubs devraient en avoir assez qu'il dilapide leur argent en interne ! 
A un moment il est temps de se rendre compte qu'on est un mauvais gestionnaire ! 

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