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il y a 55 minutes, RCL14920 a dit :

Les buts de Saïd sont, aussi, souvent ce que les journalistes appellent des "buts venus d'ailleurs".

Exact !  Qui sait où on serait si Saïd et Cabot avaient pu joueur toute la saison ! :dream:

Bon, Rennes a aussi perdu gros, en particulier avec la blessure de Terrier. :(

Par contre, le PSG n'a pas perdu de gros joueurs, seulement des seconds couteaux dont on ne voudrait pas à Lens Kimpembé, Verrati, Neymar... :D3:

Modifié par Clorith
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il y a 22 minutes, Clorith a dit :

Exact !  Qui sait où on serait si Saïd et Cabot avaient pu joueur toute la saison ! :dream:

Bon, Rennes a aussi perdu gros, en particulier avec la blessure de Terrier. :(

Par contre, le PSG n'a pas perdu de gros joueurs, seulement des seconds couteaux dont on ne voudrait pas à Lens Kimpembé, Verrati, Neymar... :D3:

Pour Said et Cabot, je ne dirai pas qu'on a "perdu" gros. Pour perdre, il faut déjà au préalable avoir. Said, c'est un intermittent, et Cabot n'a pas vraiment eu le temps de se montrer

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Il y a 2 heures, MattGrinin a dit :

Pour Said et Cabot, je ne dirai pas qu'on a "perdu" gros. Pour perdre, il faut déjà au préalable avoir. Said, c'est un intermittent, et Cabot n'a pas vraiment eu le temps de se montrer

Oui et non... Saïd, à chaque fois qu'il a joué a été efficace. C'est pour cela que je dis qu'on peut se demander s'il n'avait pas tous ses problèmes de blessures, ce que ça aurait donné. Il aurait certainement pu débloquer quelques situations comme à Troyes ou à Montpellier. 

Et Cabot, je trouvais qu'il commençait vraiment à apporter des choses, avant cette blessure. 

Mais maintenant, de toutes façons, vu leur âge à tous les deux et leur blessures passées, je crains fort pour eux qu'il leur sera difficile de faire une saison pleine.

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Il y a 2 heures, Amaury a dit :

 

Cette saison marque aussi un gros changement dans les médias...

Avant, on ne parlait que de PSG, un peu de Lyon et de l'OM et presque pas des autres. En ce moment, toujours le PSG, bien sûr, mais après, c'est le Racing qui occupe pas mal de place dans les titres, débats et chroniques

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à l’instant, Clorith a dit :

Cette saison marque aussi un gros changement dans les médias...

Avant, on ne parlait que de PSG, un peu de Lyon et de l'OM et presque pas des autres. En ce moment, toujours le PSG, bien sûr, mais après, c'est le Racing qui occupe pas mal de place dans les titres, débats et chroniques

Oui, bon là, ils en ont parlés à peine 5 minutes et en plus c'était pas à la bonne heure, m'enfin. 😅

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il y a 1 minute, Amaury a dit :

Oui, bon là, ils en ont parlés à peine 5 minutes et en plus c'était pas à la bonne heure, m'enfin. 😅

Pas vu ! Mais bon, avant le RCL était totalement absent !!

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il y a 55 minutes, MisterFraiZ a dit :

M'enfin si c'est pour ne rien nous apprendre et dire de la merde, je préférai avant

Surtout le mec qui dit qu'on devrait vendre Openda pour montrer aux autres joueurs qu'ils ne seront pas bloqués chez nous s'ils signent et qu'en un an ils pourraient partir dans un plus grand club. Super. On est leurs p**** en gros. 😂

Je préférais l'autre intervenant qui disait au contraire qu'on devait rester ferme, et sauf offre irréfutable, sinon tu le gardes et tu le revends le double du montant proposé à l'heure actuelle dans un an. Lui-même qualifiant la somme de 30-35M de dérisoire au vu des prix du marché et de la rareté de ce profil.

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«Sang & Or»: la nouvelle revue semestrielle sur le RC Lens pilotée par l’Arrageois Bastien Kossek

Bastien Kossek, écrivain et passionné du RC Lens, lance une revue semestrielle sur le club lensois. Le premier numéro, qui vient de sortir, revient sur les 25 ans du titre de champion de France.

Vous pensez tout connaître du titre du RC Lens en 1998. Vous savez à quelle minute précise Yoann Lachor a marqué lors du dernier match face à Auxerre (la 53e), vous savez où a eu lieu la dernière défaite en championnat (Châteauroux), vous connaissez le nom du troisième gardien (Cédric Berthelin). Mais savez-vous qui était Stéphane Bigeard, le conseiller de l’ombre du Druide ? Savez-vous pour quelle raison le lendemain du titre a été le plus grand regret de Gervais Martel ? Connaissez-vous les secrets qui étaient glissés dans le classeur de Daniel Leclercq ? Non, eh bien Sang et Or, la revue des émotions fortes qui vient de sortir aux éditions Degeorge est faite pour vous.

À la manette, on retrouve l’Arrageois Bastien Kossek. Après avoir écrit un livre sur Michel Sardou (Sardou, Regards) puis publié un premier roman où il clame son amour pour la chanson française (Chagrins populaires), l’auteur arrageois se penche sur ses souvenirs d’enfance. Il avait 6 ans quand le Racing a été titré. Ce jour de mai 1998 est né en lui un amour inconditionnel pour le Racing, au point de se passionner pour l’histoire du club. Et de se lancer dans cette folle aventure qui est d’éditer une revue consacrée à son club. Et ce premier numéro sorti il y a quelques jours est une mine d’informations pour tous les amoureux du Racing. Retour sur la saison, interviews des acteurs, anecdotes : les 128 pages se dévorent comme un américain-saucisse à Bollaert un jour de match. Richement documentée, la revue semestrielle nous rajeunit de 25 ans et nous permet d’assister à la rediffusion du match du titre en compagnie des héros de 1998.

« Sang et Or, la revue des émotions fortes » aux éditions Degeorge, disponible en librairie ainsi qu’à la boutique du RC Lens, 14,9 €.

(Source: VDN)

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RC Lens. Brice Samba joueur régional de l’année: «J’ai dit à Seko qu’on pouvait faire un truc de ouf»

Sacré joueur de la saison au niveau régional, le gardien du RC Lens Brice Samba est en train de conclure une année magistrale par sa première sélection chez les Bleus. Retour sur une saison magnifique pour le meilleur gardien de Ligue 1.

Brice Samba a fêté sa première sélection en équipe de France contre Gibraltar. PHOTO MATTHIEU BOTTE Brice Samba a fêté sa première sélection en équipe de France contre Gibraltar. PHOTO MATTHIEU BOTTE /sites/all/themes/enacarbon_vdn/images/logo-gris.png
Par Richard Gotte et Philippe Guilbaud

Publié:19 Juin 2023 à 08h15Temps de lecture:12 minPartage :

Qu’est-ce qui a changé pour vous depuis votre première convocation en équipe de France en mars dernier ?

« Ça n’a pas énormément changé pour moi. J’ai eu la chance aussi de jouer à Marseille avant tout ça, quand j’avais 18 ans. Ça m’a beaucoup servi ces cinq années là-bas, même si je n’ai pas beaucoup joué. C’est vrai qu’ici, tu côtoies le gratin du football français, j’apprends au quotidien. Tu t’entraînes avec des joueurs de très très grande qualité. Je peux aussi vous assurer qu’à l’entraînement à Lens aussi, j’avais été agréablement surpris lors du premier stage à Rodez, quand j’avais intégré le groupe, par la qualité des entraînements mis en place par le coach Haise. Je suis ici avec beaucoup d’envie, une grosse envie d’apprendre, de progresser. Je n’ai que 29 ans, et dans ma tête j’en ai 19. J’ai faim. Je veux continuer à avancer et à progresser. »

 

 

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Vous avez une faculté d’intégration et de prise de leadership assez naturelle et très rapide, comment l’expliquez-vous ?

« J’ai toujours été comme ça partout où je suis passé. Je suis un garçon assez simple qui ne se prend pas la tête et qui profite pleinement de la vie. J’ai la chance d’être en bonne santé et de faire le métier que j’ai toujours rêvé de faire. Représenter la France c’est un rêve. Quand tu connais le vivier de la France, c’est un rêve, c’est incroyable. Être dans les 23 meilleurs Français, c’est un truc incroyable. Même le mot incroyable n’est pas assez fort pour définir à quel point c’est "ouf". Par rapport à Mike (Maignan) et Alphonse (Areola), on se connaît depuis tous petits. On s’est souvent joués dans les Le Havre – PSG en jeunes, donc on se connaît depuis très longtemps. On est depuis longtemps en contact, et je pense que c’est ça qui a facilité mon intégration. Il ne faut pas forcer, c’est naturel.

Depuis tout petit, j’ai toujours eu cette âme de leader. Déjà par ma grosse voix, qui est très entendue. Je suis très simple. Le groupe à Lens est tellement incroyable, fantastique, que tout joueur s’y adapterait, honnêtement. Ce n’est pas compliqué de s’y adapter. Les gens sont tellement simples, tellement gentils. Quand tu écoutes chaque interview de chaque joueur, ils disent qu’ils n’ont jamais connu ça dans leur carrière. Et je peux l’admettre, j’ai fait pas mal de vestiaires et je ne l’avais jamais vécu. Dans ce groupe-là, c’est aussi simple que ça. Je suis quelqu’un, de par mon poste, qui doit donner des commandements. J’ai appris à connaître les mecs, ils ont appris à me connaître. Ils ont vu. Et ça matché entre nous et c’est pour ça que ça a tout facilité. »

« Je disais aux gars : on peut être champions, ils m’ont pris pour un fou ! »

De nombreux joueurs ont expliqué que vous aviez porté très haut l’ambition de l’équipe avec Seko Fofana. Pouvez-nous expliquer pourquoi et de quelle manière vous avez tiré le groupe si haut ?

« Maintenant, je peux le dire, on habite à côté, Seko et moi et on venait ensemble le matin à l’entraînement. C’est depuis le début de saison qu’on parle d’ambition, de faire de grandes choses. On savait que ça allait être difficile, bien sûr, de par les deux dernières septièmes places du RC Lens. Moi, quand je suis arrivé ici, personne ne m’a dit, " il faut être au-dessus de la septième place, non, mais moi je suis quelqu’un de très ambitieux, je sortais d’une montée fantastique avec Nottingham, donc j’étais un peu porté par tout cela.

Depuis septembre-octobre, quand on a commencé à gagner les premiers matchs, quand j’ai vu la qualité du jeu et de l’équipe – je commence à avoir un peu de bouteille – j’ai dit à Seko : " franchement, on peut faire quelque chose de "ouf" cette année ", je lui ai dit ça. Il m’a dit : " comment ça de "ouf"  ? ", je lui ai dit : " quelque chose de "ouf", garde-le pour toi, mais tu verras ". Après, plus ça avançait, plus l’ambition montait bien sûr. Quand tu es deuxième à mi-championnat, l’ambition monte, que t’es la première équipe à battre le PSG. Même s’ils étaient amoindris, il fallait les battre, l’ambition montait. On savait très bien que si nous, on était à 100 %, on pouvait battre tout le monde. Ça, on le savait. Du coup, notre rôle était de mettre tout le monde à 100 %.

 

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Moi je disais : " les gars, on peut être champions ", mais ils me prenaient pour un fou. Ils me disaient que c’était impossible. Non, il ne faut pas dire que c’est impossible. Dans la vie, avec la foi, tu peux renverser des montagnes. Moi, je suis quelqu’un de très croyant. Dans la vie, il n’y a rien d’impossible. On finit à un point de Paris, même si c’est vrai qu’ils ont un peu relâché sur la fin. Mais c’est simplement un point. Avec 84 points, c’est énorme tout simplement. Ça en dit long sur notre saison et ça nous conforte, Seko et moi, dans nos ambitions de pouvoir pousser tout le monde. Ça a porté ses fruits et c’est très bien. »

Qu’est-ce que ce groupe lensois vous a appris ?

« Cette équipe m’a appris beaucoup de choses. Je me connais beaucoup mieux. Dans le foot, ça m’a conforté dans ma vision, dans le fait qu’il faut avoir un groupe solidaire pour réaliser de grandes choses, notamment avec peu de moyens. Il n’y a pas de secret. Alors quand tu as beaucoup de moyens et un groupe solidaire, tu peux faire des choses extraordinaires. Ça conforte, ça donne envie à d’autres équipes comme Clermont qui finit 8e, avec le 19e budget de L1, ça donne envie de reproduire ce genre de choses. On a montré la voie, on a battu Paris en premier et après on a vu que toutes les équipes le craignaient un peu moins. Il faut toujours y croire dans la vie. Si tu te donnes les moyens et les possibilités, tu peux faire de grandes choses. »

Vous avez donné du bonheur, ça vous frappe dans cette saison du RC Lens  ?

« C’est un truc que je kiffe. Je le dis souvent, j’aimerais trop être spectateur et joueur en même temps. Je pense qu’on ne réalise pas. On est tellement dans notre truc. Pendant les Corons à la 75e, quand ils mettent le flash, on ne réalise pas, j’essaie de regarder un peu, mais il y a le ballon, il ne faut pas perdre le fil. C’est vrai que procurer du bonheur à ses supporters, ils le méritent tant, j’ai appris à les connaître aussi. Quand tu sais que Lens est une ville de 40 000 habitants et ton stade fait 38 000, tu es toujours à guichets fermés, il n’y a pas beaucoup d’autres clubs comme ça. Je pense qu’on est importants pour eux, s’ils viennent à tous les matchs aussi nombreux, bien sûr qu’on l’est. Ils aiment avant tout le RC Lens, nous, c’est secondaire, on est de passage. On se rend compte petit à petit. Là j’ai plus de temps ici (à Clairefontaine), je regarde les réseaux sociaux, les vidéos, on est nostalgiques par rapport à tout cela et on est très fiers de ce qu’on a réalisé. »

 

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Comment définiriez-vous le trio défensif qui était devant vous cette saison ?

« Ce sont trois personnalités vraiment différentes, c’est clair. Jonathan Gradit, je le connaissais d’avant, avec Caen, c’est une personnalité très attachante. C’est le joueur le plus régulier. Il a eu une absence d’un mois, il ne fait jamais de bruit, il est toujours là à 100 %, toujours là à fond. Kevin Danso, c’est le roc, le mec avec qui je me suis pris le plus la tête, énormément, sur tout, les placements et même les petits détails, la relance quand on commence les 6 m. Lui aussi c’est un gros caractère, un gros gagnant, ça peut se voir sur ses célébrations en fin de match quand on gagne. C’est un solide, un gros bébé. Il faut ce type de joueurs pour réaliser de grandes choses. Si c’est trop plat, ce n’est pas bon non plus. À un moment, tu es obligé de te cogner un peu. Vous n’avez pas dû le voir, mais on s’est bien pris la tête sur beaucoup de matchs. On essaie de le cacher. Quand il est énervé, lui, c’est en anglais, moi en français, souvent en anglais. Le ton suffit. Kevin, c’est un très grand joueur, il fait partie des plus grands en Europe. Facundo (Medina), je le dis tout le temps, si je suis un grand club européen, avec une défense à trois, à gauche, je prends ce mec. Il a tout, le vice des Argentins, il a un pied gauche incroyable. Il a tout honnêtement.

 

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J’ai eu la chance d’avoir trois mecs devant moi, être la meilleure défense, même si ce n’est pas que ces trois-là et moi, c’est toute l’équipe et ils y ont contribué beaucoup. Ce sont des mecs de très haut niveau. Ils peuvent jouer beaucoup plus haut.

On s’engueule avec Kevin, mais on arrive à "switcher" totalement. Il y a eu une séquence avant le match de Toulouse, on se prend le chou à l’entraînement, pas grand monde n’a entendu heureusement. Le coach nous renvoie au vestiaire tous les deux. Après, c’est comme ça. On est très proches en dehors. Lui aussi habite à côté de chez nous, on essaie de partager des choses au quotidien. Ce qui se passe sur le terrain, reste sur le terrain et on passe à autre chose. Tant qu’on gagne… »

« Avant, la Ligue des champions, c’était avec mes potes autour des pizzas »

Comment voyez-vous la Ligue des champions avec le Racing, vous projetez-vous ?

« J’ai hâte de découvrir ça comme titulaire. Avec Marseille, j’étais sur le banc de touche. Le vivre comme titulaire, c’est quelque chose de grandiose, c’est être confronté au gratin européen. J’ai envie d’apprendre aussi. L’an prochain en Ligue des champions, avec Lens, on va apprendre, tout simplement. Je reste persuadé au fond de moi que si on est nous-mêmes, pourquoi pas faire quelque chose. Ça, c’est secondaire, on va apprendre. Pour ma part, je suis très excité de découvrir cette compétition que je regardais avec mes potes le mardi et le mercredi autour des pizzas.

Ce sera bien de se confronter à cela. On ne peut pas dire où on va mettre la barre. On est tous compétiteurs, on ne va pas aller là-bas en étant victimes, même si on sait qu’on va être confrontés à de très très bonnes équipes. On a le PSG en Ligue 1, on se confronte deux fois par saison, on sait un petit peu à quoi s’attendre, ce sera des matchs très compliqués qui vont prendre beaucoup de jus, ça, c’est certain. Ce ne sera que gratifiant pour notre progression à chacun de vivre ces matchs-là, ces moments-là. On ne pourra qu’être fier, quand on arrêtera le foot, d’avoir vécu tout ça. »

 

 

 

 

Comment digérez-vous un but encaissé, parce qu’il y en aura peut-être plus la saison prochaine ?

« Je pars du principe qu’encaisser un but ne m’empêche pas de dormir. Je vais toujours encaisser des buts. Je ne suis pas un mur. Un gardien va toujours encaisser des buts, faire des erreurs, j’en ferai, c’est le b.a.-ba du gardien de but. Souvent, un but encaissé, ce sont des détails. On en bouffe de la vidéo maintenant, on a toutes les technologies à notre disposition pour revoir sous différents angles la façon dont on a encaissé les buts, les différents placements, si tu peux gagner un mètre ici… Ce n’est que du détail. Et avec Hervé Sekli, on ne parle que de ça. On a fait beaucoup de vidéos, pas beaucoup sur les buts encaissés. Cette saison, j’ai eu la chance d’encaisser des buts qui ont été plutôt bien construits, je pense, parce qu’on était très solides. Ce ne sont pas des trucs qui m’empêchent de dormir. Les clean sheets c’est bien mais je m’en fous, tant que l’équipe gagne, honnêtement… »

Quelles sont les parades qui ont le plus compté pour vous cette saison ?

« J’ai effectué pas mal d’arrêts qui ont compté sur des matchs serrés. Il y a eu récemment Marseille, à la 44e minute, au ras du poteau face à (Jordan) Veretout. À ce moment-là, si Marseille égalise, ce n’est pas le même match, tu rentres à la mi-temps, tu gamberges un peu plus. Ce sont ces arrêts-là qui font que j’aime mon métier. Tu sens dans le regard des gars : " Ah merci, tu nous as enlevé une belle épine du pied ". On célèbre entre défenseurs, tant mieux pour nous. Ces arrêts-là, je les prends comme des buts, parce qu’ils sont importants. Il y a eu celui de Paris, qui a beaucoup tourné. Rennes en début de saison, à 2-0. Contre Lille (devant Edon Zhegrova), il nous empêche la défaite, mais j’aurais préféré gagner. Je parle surtout des arrêts quand on a gagné. C’est vrai que ça nous fait prendre un point. C’est bien pour moi, je suis fier d’avoir aidé l’équipe. Je me suis donné à fond, j’ai tout donné. »

« On a fini lessivés »

Vous avez été ambitieux toute la saison, mais il y a des matchs qui ont été un peu plus importants que d’autres…

« Il y a le match à Monaco (1-4) en début de saison. Il nous fait prendre conscience qu’on peut faire de belles choses. Il y a Rennes derrière, quand on gagne à la maison (2-1). Quand tu gagnes ces matchs-là, même si toutes les équipes ne sont pas rodées, ça montre la marche à suivre pour voir ce qu’il reste à faire pour continuer à performer, sachant que nous, on n’avait pas l’Europe cette saison. En jouant une fois par semaine, on arrivait le samedi beaucoup plus frais que certaines équipes. Ça nous a montré l’exigence à avoir sur ce genre de matchs. Il faudra la reproduire la saison prochaine, en Ligue des champions et en Ligue 1. »

 

 À lire aussi ÉDITO. Un exemple, à plusieurs titres

 

Dans quel état physique et nerveux avez-vous terminé la saison ?

« On a fini lessivés. Quand tu n’as pas l’habitude de jouer le haut du tableau à ce point-là… Après ma première sélection, c’était la première saison où je n’avais pas de coupure, entre guillemets. J’ai eu un petit coup de pompe qui montre que j’ai grandi. J’en ai parlé à ma famille, avec Hervé (Sekli) pour trouver une solution, la saison n’était pas finie. C’est qu’on a fini sur les rotules, on a beaucoup donné. Quand je finissais les matchs, j’étais K.-O., c’est la tension des matchs. Et plus on approchait de la fin, plus la tension montait, ça demandait beaucoup de jus. C’est bien, ça me donne envie de revivre ces sensations la saison prochaine. J’espère y être encore, ça voudra dire qu’on réalise de belles choses encore. Et si je dois finir encore plus fatigué, eh bien je finirai plus fatigué. Ce sont des saisons comme ça qui prennent beaucoup d’énergie. »

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Bon, après une telle interview, il ne peut pas partir, c'est clair :D2:

En tout cas, intéressante cette anecdote avant le match de Toulouse. Comme quoi, même quand la saison semble parfaite vue de l'extérieur, il y a toujours des embrouilles malgré tout. Mais quand tu vois le groupe qu'on avait au niveau caractères, ce n'est pas étonnant. A part 2 ou 3 joueurs, tous ceux qui étaient régulièrement dans le 11 pouvaient facilement porter le brassard. J'ai rarement vu un groupe aussi charismatique sur le terrain.

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  • 2 weeks later...

Saison galère? A cette heure on n'a perdu ni Fofana (même s'il partira) ni Openda. On a notre coach qui est le même, on gardera une grande partie de notre ossature, notre recrutement est avancé...

Envisager une saison galère de Lens à ce jour? Que faudrait-il dire de Marseille dans ce cas? Entraîneur arrivé début juillet, perte de Kolasinac, Sanchez qui est libre à ce jour, un effectif qui doit être en grande partie reconstruit à un mois du tour préliminaire de C1...

Que faudrait-il dire de Monaco également qui vient seuelment de recruter son coach?

Que faudrait-il dire de Lyon avec un recrutement encadré?

Des clowns à l'Equipe.

Modifié par manico
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à l’instant, manico a dit :

Saison galère? On a notre coach qui est le même, on gardera une grande partie de notre ossature, notre recrutement est avancé...

Envisager une saison galère de Lens à ce jour? Que faudrait-il dire de Marseille dans ce cas? Entraîneur arrivé début juillet, perte de Kolasinac, Sanchez qui est libre à ce jour, un effectif qui doit être en grande partie reconstruit à un mois du tour préliminaire de C1...

Que faudrait-il dire de Monaco également qui vient seuelment de recruter son coach?

Que faudrait-il dire de Lyon avec un recrutement encadré?

Des clowns à l'Equipe.

Totalement d'accord. Tu as résumé le fond de la pensée. A voir le contenu maintenant.

Ils vont dire on perd Fofana et Openda. Peut-être ils vont évoquer Cahu aussi...

Sans parler des recrues qu'on a fait avant même la reprise de l'entraînement. Pendant que les autres n'ont pas de coach. Mais bref même si on termine sept ou huit ce sera pas galère. Galère c'est si tu joues le maintien quoi...

 

 

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