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Ce n'était pas la super coupe d'ESPAGNE, mais d'EUROPE ? entre les vainqueurs de la LDC et de l'Europa League ?

 

La super coupe d'Espagne c'était samedi je crois entre Séville et Barcelone remporté 2-1 par les Blaugrana ?

 

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Il y a 10 heures, Ruka-2 a dit :

Ce n'était pas la super coupe d'ESPAGNE, mais d'EUROPE ? entre les vainqueurs de la LDC et de l'Europa League ?

 

La super coupe d'Espagne c'était samedi je crois entre Séville et Barcelone remporté 2-1 par les Blaugrana ?

 

Oups, j'ai tapé trop vite. Le pire c'est que j'ai vu les 2 matchs :69:

Posté(e) (modifié)

Bonne nouvelle pour les supporters des clubs espagnol (ou pas) chaque saison un match de LIGA se jouera aux USA ?

 

La LIGA qui chie proprement et en douceur sur les supporters et qui ne respectes pas le match domicile-extérieur ! bravo à eux pour leur initiative philanthropique pour éviter que les socios dépenses trop d'argent à aller voir un match ? 

Modifié par Ruka-2
Posté(e) (modifié)

Itw surréaliste et géniale dans un français impeccable de Poyet après le match de Bordeaux contre Mariopol. Il pète un câble après le départ de Laborde que le club a fait dans son dos. Il voulait que Laborde parte après avoir trouvé  un remplaçant. Il dézingue tout le monde et menace de démissionner demain.

En mode vener.

À l'instant sur rmc sport

Modifié par Adjo
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Ca rappelle la vente de Lemina à Marseille par Féry à Lorient effectué dans le dos de Christian Gourcuff. Ca a été le point de non retour pour Gourcuff à Lorient et le début de la fin pour ce club.

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Apparemment Poyet pas tout blanc non plus et un peu mythomane sur les bords.

Bon bah le 1er coach qui gicle c'est lui. Soit il se fait lourder soit il démissionne, mais c'est mort.

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Le fait est que s'il a demandé que Laborde ne parte pas sans être remplacé, c'est le cas. Après il n'est pas très clair dans sa gestion de Laborde qui jouait peu l'an dernier et qui cet été passait derrière Sankahré (!) en préparation parce que Poyet voulait envoyer un message... Peut-être que le président de Bordeaux l'a tenu au courant du départ, ça sera la parole de l'un contre l'autre et personne n'en ressortira grandi. Ça tourne à la guerre de pouvoir tout ça et de l'extérieur ça devient un peu pathétique le contexte bordelais.

Sur le fond Bordeaux a dégagé cet été 35M€ de bénéfice (11e club européen) et ils auraient dû mieux se renforcer.  D'ailleurs ça fait partie de leur plan selon les fuites, 80M€ sur trois ans pour retrouver la LdC (lol, à ce stade faudra 80M€ par an mais passons). Surtout avec les pertes  offensives de Malcom, Braithwaite, Laborde et Cafu pour les arrivées de Briand et Kalu (Rolan et Boupendza pas repris). Ils ont perdu 7 joueurs réguliers du groupe pro dont un attaquant au talent rare pour 4 arrivées à la mi-août : un espoir de la réserve du Barça, un prospect croate, un Nigérian à 14 buts pro (dont 10 en deux saisons de Jupiler League) et Briand comme seul renfort aguerri. Ils ont 10 joueurs de 20 ans et moins dans un groupe pro de 30 joueurs, la vente du club a retardé leur mercato mais il y a quand même pas beaucoup de certitudes dans cet effectif fourre-tout.

D'ici 2020 retrouver la LdC, augmenter le budget de plus de 50%, dégager 15 à 20M€ de bénéfice par an et faire miroiter aux futurs investisseurs un retour rapide et performant (Bordeaux n'est pas rentable aujourd'hui et a un budget de ~60M€), ça sent encore plus le délire que Lopez à Lille. GACP qui rachète un club valorisé 72M€ avec 5 à 10M€ de fonds propres et 60% du transfert de Malcolm, en annonçant en plus 80M€ d'investissements... ça sent encore la bonne blague mais ça va occuper les journalistes d'investigation qui s'ennuyaient avec le LOSC.

Citation

Pour financer l'achat éventuel des Girondins, GACP veut faire transiter ses propres fonds - 5 à 10 M€ - et ceux des autres investisseurs américains par le Delaware, considéré comme un paradis fiscal. Les autres sommes passeraient par les îles Caïmans ou le Luxembourg, où la fiscalité est également avantageuse. Ce conglomérat contrôlerait le club via deux sociétés, en laissant 0,01 % du capital à l'Association Girondins de Bordeaux. 

GACP explique qu'une partie de l'investissement pourrait «prendre la forme d'une dette d'un montant ne dépassant pas 50 M€». En outre, le fonds mettra en place une facilité de crédit (emprunt bancaire ?) pouvant atteindre 100 millions d'euros afin de fournir un fonds de roulement supplémentaire pour remplir ses obligations en vertu de la convention d'achat.

 

Posté(e)

Elle est excellente cette histoire, c'est quasi aussi foireux que notre plus belle époque. Encore que qd Kombouaré faisait la grève, son adjoint était là et il a jamais exposé publiquement ses griefs.

ça me laisse dire qu'il faut vraiment vite remonter, il y aurait moyen de vite se remaintenir en L1 et de monter en puissance avec ce bordel alors qu'on est plus sains administrativement désormais.

Posté(e) (modifié)
Il y a 2 heures, dede62137 a dit :

ça fait du bien de pouvoir écrire ça sur notre situation après ces dernières années... :12:

Calmos les gars, il y a 3 mois on était au bord du National. 
Mais c'est clair que le club est mieux géré et semble enfin sain. Rien à voir avec l'ère Mammadov 

Modifié par Adjo
Posté(e)

C'est surtout l'ère Mammadov à laquelle je pensais, ne pas savoir à quelle sauce la DNCG allait nous manger ni dans quelle division on évoluerait. Après la cause de notre mauvaise saison dernière n'est pas à chercher du côté de l'actionnaire mais plutôt ceux qui ont fait le recrutement. On voit aujourd'hui qu'avec le même actionnaire et un projet clair, on va dans la bonne direction.

Aussi je crois qu'en terme de marge de manoeuvre Roy et Montanier sont très chanceux. Il y a forcément des limites en terme d'indemnités et salaires mais le recrutement est finalisé à 95% et quand on compare justement avec certains clubs de l'élite, on est pas à plaindre, loin de là. La seule chose qui m'inquiète c'est qu'à moyen terme Joseph pourrait partir si on ne remonte pas, avec le risque de retomber dans une période noire, mais pour l'instant on en est pas là donc savourons tant qu'on le peut.

Posté(e)

Ouais enfin Joseph avait laissé sa chance à la team Martel/Blanchard on dirait au départ, en commençant doucement à écarter certaine spersonnes et mettant Pouille. La saison catastrophique l'a fait accéléré dans le changement.
Plus le conseil de Roy de clarifier l'actionnariat par rapport à l'athletico notamment.

Posté(e)

Je pense que le seul reproche qu'on peut lui faire jusqu'à présent c'est d'avoir conservé Casanova en début de saison dernière mais il sortait d'une saison où la montée nous a échappé de peu et le recrutement avait été plutôt réussi. Je ne pense pas qu'il pouvait prévoir le désastre ensuite mais au moins il a réagit rapidement. Aujourd'hui il semble avoir mis les bonnes personnes aux bonnes places et le club n'a plus aucun problème avec la DNCG, et ce dernier point c'est ce qui compte le plus pour moi.

  • 2 weeks later...
Posté(e)

Ganso signe à Amiens même si c’est loin d’être le crack annoncé à l’époque de Neymar, qui l’aurait cru il y a 2 ans !!!

  • 2 weeks later...
  • 1 month later...
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En quoi serait-ce différent de la Ligue des champions de toute façon ? Ils ont réussi à faire du lobbying une fois avec ça pour encore plus la fermer, ça n'est potentiellement que la suite logique des dernières évolutions. Depuis la réforme de 2007 :

Citation

Les clubs issus des quatre grands championnats (Espagne, Angleterre, Allemagne, Italie) sont toujours les plus représentés en quarts de finale (62/79 sur les 10 dernières éditions) et les seuls à triompher. La dernière réforme de la C1, qui garantit quatre places en phase de groupes pour les quatre pays sus-cités, devrait encore accentuer cette tendance dans les années à venir. 

Et avant la dernière version en 2016 :

Citation

Les documents analysés par Mediapart et ses partenaires de l'European Investigative Consortium (EIC) mettent notamment en lumière le double discours de Karl-Heinz Rummenigge, à la fois président de l'ECA et chef de file - avec Andrea Agnelli, le président de la Juventus - du fameux «cartel» des quatre. Rummenigge a porté durant plusieurs mois le projet de ligue «privée» présenté aux poids lourds du continent par l'homme d'affaires américain Charlie Stillitano à la fin de l'année 2015.

Il aurait lui-même fini par le faire capoter, tout en continuant à défendre les revendications du «cartel» et négocier avec l'UEFA, laquelle - sans président à l'époque - a fini par céder sur la répartition des revenus et la cogestion à parité de la Ligue des champions avec l'ECA. Il n'y a finalement que sur la réduction de la C1 à 24 équipes que la Confédération européenne a opposé son veto.

Quelques extraits :

Citation

Depuis l’envoi du projet au Real Madrid, un premier groupe s’est constitué, mi-janvier 2016. Il y a le Bayern Munich, la Juventus de Turin, le Real Madrid et le FC Barcelone. Leur stratégie : faire chanter l’UEFA. Lors du prochain cycle 2018-2021, les recettes de la Ligue des champions et la Ligue Europa doivent bondir à 3,2 milliards par an contre 2,2 milliards pour l’édition 2016-17. Il faut faire main basse sur l’argent.

 

Citation

La réponse des avocats fait 23 pages, et conclut que le projet est faisable. Ils expliquent que ni l’UEFA ni la FIFA ne pourraient attaquer les grands clubs pour avoir nui à leurs compétitions, parce que cela violerait en principe le « droit européen de la concurrence ». Ils ajoutent que l’accord de coopération passé entre l’UEFA et l’ECA ne pose pas de problème non plus, car il n’engage que le syndicat, pas les clubs qui en sont membres.

Détail piquant : le secrétaire général du Bayern et son homologue de la Juve ont reçu chacun 20 000 euros de bonus de l’ECA pour les récompenser d’avoir négocié ce même accord de coopération avec l’UEFA pour le compte du syndicat des clubs. Ce sont désormais les deux principales chevilles ouvrières du cartel.

 

Citation

Un principe hérisse particulièrement le poil des « sept gros » : la solidarité. La présentation du projet de Super Ligue rappelle qu’une partie des recettes de la Ligue des champions est reversée aux clubs plus pauvres qui disputent la la Ligue Europa, laquelle « distribue [aux clubs] plus d’argent qu’elle n’en rapporte ». Il est temps de corriger cette anomalie.

Deux scénarios sont envisagés : l’« évolution » ou la « révolution ». En clair, le cartel va continuer à faire pression sur l’UEFA pour que la Ligue des champions devienne de facto une Super Ligue. Si les négociations échouent, tout sera prêt pour claquer la porte de la fédération européenne.

La menace fonctionne. Les négociations ont repris entre Michael Gerlinger, le secrétaire général du Bayern, et l’administration de l’UEFA. Ils ont même trouvé un « compromis » sur la liste des clubs automatiquement qualifiés, se félicite Gerlinger dans un mail adressé le 13 avril aux patrons des « sept gros ». Dans un autre courriel, il ajoute que le secrétaire général est prêt à satisfaire une autre revendication : accorder aux grands clubs la cogestion de la Ligue des champions.

 

Citation

Car les « quatre gros » continuent à défendre les revendications du cartel, sans informer les administrateurs de l’ECA. Et la négociation est un succès sur presque toute la ligne, comme l’écrit, le 4 août 2016, le secrétaire général du Bayern à ses trois camarades. Les versements de « solidarité » sont réduits et plafonnés. Les petits clubs et les ligues nationales reçoivent une plus petite part du gâteau.

Les documents Football Leaks permettent de chiffrer pour la première fois à quel point cela a renforcé les inégalités (lire notre infographie ci-dessous). Pour les clubs qui disputent la Ligue Europa, le manque à gagner global est de 60 millions d’euros par an. Pour les ligues nationales, c’est moins 20 millions. Tandis que les clubs qui jouent la Ligue des champions s’approprient 150 millions supplémentaires par an, en plus des revenus liés à la hausse des droits de retransmission télé.

 

Citation

Le cartel a inventé un autre mécanisme pour servir encore mieux ses intérêts. Jusqu’à présent, 40 % des revenus touchés par les clubs de la Ligue des champions dépendaient du montant des droits de retransmission télé payés dans leur pays. Ce ratio est réduit à 15 %, tandis que 25 % des recettes dépendent désormais des performances passées du club dans les compétitions européennes. « Ce sont les clubs français et anglais qui ont le plus perdu à cause de ce système », confie, hors micro, un ponte du foot hexagonal.

 

Citation

Pour les membres du cartel, qui trustent les finales de la Ligue des champions, c’est en revanche tout bénéfice. Lors des négociations, l’UEFA a même envoyé aux « big four » des simulations très précises sur l’impact financier du nouveau système pour chaque club, ce qui leur a permis de vérifier qu’ils y gagnaient (notre document ci-dessous).

Une autre revendication clé a été satisfaite : désormais, la Ligue des champions sera cogérée par une société contrôlée à parité par l’UEFA et l’ECA. Or, parmi les quatre administrateurs qui ont été nommés, il y a les secrétaires généraux du Bayern, du Barça et de la Juventus, qui sont par ailleurs les chevilles ouvrières du cartel. Ils ont désormais accès à tous les secrets de fabrication de la compétition : appels d’offres des droits télé, coûts, organisation. Bref, les « big four » ont désormais tout le savoir-faire nécessaire pour gérer une ligue privée.

Le cartel n’a perdu que sur un seul point : la réduction de la Ligue des champions à vingt-quatre équipes. Les « big four » se sont finalement ralliés à la « proposition » alternative de l’UEFA : des places garanties pour les quatre premiers des championnats anglais, italiens, allemands et espagnols, et seulement deux, plus une en option, pour la France. « L’idée est d’avoir une meilleure qualité dans les phases de groupe », écrit Michael Gerlinger, le secrétaire général du Bayern. Les clubs français apprécieront.

 

Citation

Lars-Christer Olsson, président de l’EPFL, le syndicat qui regroupe les 28 ligues européennes de foot, dont la LFP française, est dans une colère noire. La réforme est « une grosse erreur de l’UEFA » et « un premier pas vers une Super Ligue privée », qui « va entraîner un fossé croissant entre les “riches” et les moins riches », dénonce-t-il dans un mail à ses adhérents, le 26 août. « Est-ce conforme aux règles que l’UEFA adopte de tels changements […] sans avoir de président ? Peut-on contester ? » réagit par courriel le directeur général de la Ligue de football professionnel (LFP) Didier Quillot.

 

Faut arrêter de se faire mal à la tête de toute façon, tout ça ne prend qu'une direction et taper sur un dirigeant isolé, un club, un pays est risible quand tout le système est dysfonctionnel (hormis sur le plan business pour quelques historiques qui s'engraissent et arrosent autour).

  • 4 weeks later...

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