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[19] Jimmy Cabot


Teddy
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Poste : Milieu
Nationalité : France
Date de naissance : 18 avril 1994
Taille : 1m 64
Poids : 64kg
Lieu de naissance : Chambéry 
Date d'arrivée : 2022
International : -

Repères Carrière :
2012-2016 - Troyes
2016-2020 - Lorient
2020-2022 - Angers
2022-2023 - RCLens

Nombre de matchs à Lens : -
Nombre de buts : -

Fin de contrat en Juin 2026

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  • 2 weeks later...

C'est juste un match mais ça donne une petite idée de son profil et style de jeu. Et comme il jouait dans le même système que le notre, c'est facile de l'imaginer tenter les mêmes choses avec nous. Je pense qu'au niveau vivacité et dépense d'énergie, on ne perdra pas trop au change si Clauss part. La clé sera son apport défensif et statistique.

 

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il y a une heure, DamieN62 a dit :

C'est juste un match mais ça donne une petite idée de son profil et style de jeu. Et comme il jouait dans le même système que le notre, c'est facile de l'imaginer tenter les mêmes choses avec nous. Je pense qu'au niveau vivacité et dépense d'énergie, on ne perdra pas trop au change si Clauss part. La clé sera son apport défensif et statistique.

 

Techniquement, il est même meilleur. Mais, la grande force de Clauss par rapport à tous les latéraux/pistons, c'est ses centres. Il centre en moyenne 2.5 fois par match. Frankowski c'est 0,4 par exemple. Cabot, c'était 0,5 cette saison...

Tu sens que Cabot c'est moins un joueur de côté exclusif qui prend son couloir et centre. Il aime bien repiquer dans l'axe. Et perso j'aime moins, car je trouve que ça colle moins avec notre jeu (frankow fait déjà la même, les provocations en moins).

Mais bon, on verra chez nous, peut être qu'il évoluera dans son style sous Haise.

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Franko a une excuse car il est droitier donc il cherche à rentrer sur son bon pied. Ce n'est pas tellement différent d'un ailier droitier qui joue à gauche ou vice versa. Pour Cabot, c'est peut-être son style de jeu ou des consignes mais c'est facile à corriger.

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à l’instant, DamieN62 a dit :

Franko a une excuse car il est droitier donc il cherche à rentrer sur son bon pied. Ce n'est pas tellement différent d'un ailier droitier qui joue à gauche ou vice versa. Pour Cabot, c'est peut-être son style de jeu ou des consignes mais c'est facile à corriger.

Frankow ne centre pas beaucoup plus lorsqu’il joue à droite … 

C’est plus son style. Il aime bien rentrer dans la surface

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il y a 28 minutes, Hypofrites a dit :

Quelqu'un aurait l'article svp ?

RC Lens : Jimmy Cabot a « besoin du sentiment d’appartenance à un club »

 

Blessé fin février et opéré de la cheville, l’ex Angevin a rejoué pour la première fois samedi contre Clermont. L’ancien ailier droit conte son repositionnement réussi au poste de piston et son intégration aisée à Lens.

 

Jimmy, comment s’est passée votre intégration ?

« Très bien, ce n’est pas compliqué, il y a une bonne ambiance, ils m’ont mis à l’aise. On est beaucoup ensemble, il y a beaucoup d’entraînements mais les efforts sont bien répartis, avec surtout beaucoup de terrain, ce qui met beaucoup de lien entre nous. Le facteur plus compliqué, c’est que j’ai été à l’arrêt pas mal de temps avant mon arrivée, j’appréhendais cette reprise d’un point de vue physique. Je suis assez content de la façon dont ma cheville se remet. Il faudra quand même être patient. J’ai bien travaillé, j’ai fait quatre semaines à Capbreton pendant les vacances, j’ai tout fait pour revenir à 100 %. Mais même si je m’y attendais, quand on te dit qu’il faut reprendre progressivement, et c’est le mieux pour moi, tu te dis " j’ai trop envie de jouer, de montrer ce que je peux donner le plus vite possible ". Mais c’est important de le faire à 100 %. »

Comment avez-vous vécu cette première longue blessure ?

« Ça a été compliqué, car je voyais aussi mon équipe dans une sale période, avec un maintien qui s’est joué à la fin alors qu’on était très bien avant décembre. C’était dur d’aller au stade tous les week-ends sans pouvoir aider. Individuellement, j’étais aussi dans une très belle année, je pouvais continuer à m’étoffer à ce poste. J’avais aussi des contacts que je pouvais avoir… J’étais très content que Lens appuie quand même pour m’avoir. C’est une période où il faut être bon mentalement. La blessure vient mettre des doutes. »

 

Comment est venue l’idée de votre reconversion au poste de piston la saison dernière ? Une idée de Gérald Baticle, le coach angevin, la saison dernière après des tests athlétiques ?

« Je ne sais pas si c’est directement lié aux tests. J’avais eu une première saison à Angers compliquée avec Stéphane Moulin, pas la meilleure de mes saisons, j’étais arrivé en septembre, j’avais un peu couru après la préparation toute l’année. Sur la deuxième, j’étais revenu avec d’autres intentions, j’avais fait un gros test physique en début de saison mais c’est surtout sur l’ensemble de la préparation. Le coach avait en tête de préparer deux systèmes soit en 4-4-2 soit à cinq (3 défenseurs centraux + 2 pistons). On a commencé à travailler à cinq, j’ai joué tout de suite piston, dans un registre que je ne connaissais pas vraiment et ça a super bien matché. J’ai évolué tout le temps à ce poste et on n’a pas du tout travaillé le 4-4-2 au final. »

Avez-vous été surpris qu’on vous propose ce poste ?

« À partir du moment où le coach dit qu’on va travailler deux systèmes, vous vous demandez à quel poste vous pourriez jouer dans une défense à cinq. Je savais que c’était ce poste de piston. Avec peut-être des appréhensions, sur ce que demande le poste dans le registre défensif, l’alignement par exemple avec les défenseurs. Au début de ma carrière, j’étais beaucoup plus virevoltant, feu follet, très dribbleur. Mais j’avais pris de la maturité dans mon jeu et gagné de la régularité avec les années et la saison dernière, avant ma blessure, était peut-être ma plus régulière. »

Est-ce un poste qui était fait pour vous, finalement, et où vous vous retrouvez complètement ?

« Je ne sais pas s’il est fait pour moi, mais je prends beaucoup de plaisir, dans les tâches défensives comme offensives. Offensives, je savais que j’aimais ça mais défensivement, c’est différent. Quand on demande à un excentré de défendre, on arrive dans un second temps, on récupère moins de ballons, on est moins dans le duel concrètement. Tandis que piston, on est à l’impact, on récupère beaucoup de ballons, ça me permet d’être bien plus souvent face au jeu. Et avec ma vitesse et mon jeu en combinaisons, ce sont des choses qui me vont bien. »

Vous semblez avoir le goût du tacle aussi. C’est lié à ce poste, à votre taille aussi ?

« C’est un peu de tout. J’ai moins d’envergure que beaucoup d’autres défenseurs. Kevin (Danso, 1,90 m), n’a pas forcément besoin de tacler quand moi je le fais. Sur des ballons entre deux ou certaines accélérations, j’aime ça, mais toujours dans le but de récupérer le ballon pour aller de l’avant. Mon centre de gravité est bas, il me permet aussi de me relever assez vite. »

Votre taille est-elle devenue un atout dans votre jeu ?

« Bien sûr. Tout jeune, j’avais fait des tests avant le centre de formation. J’avais été refusé à l’OL pour des choses comme ça… D’ailleurs, quand je suis arrivé à Troyes, j’étais vraiment très frêle. Je n’ai pas bien grandi depuis mais il a fallu que mes qualités, la vitesse, cette hargne et l’intelligence de jeu, pour essayer de m’adapter à toutes les situations, soient très fortes pour en sortir. Mais ça me va. »

 

« Récupérer des ballons, c’est enthousiasmant »

Le goût de l’effort aussi ?

« Il est clairement important, encore plus en tant que piston, avec des choses enthousiasmantes comme récupérer des ballons, se projeter vers l’avant. »

La saison dernière a laissé l’idée d’un duel statistique à distance avec Jonathan Clauss, jusqu’à votre blessure. Quelle relation entretenez-vous avec lui depuis votre arrivée ?

« Je découvrais le poste, les statistiques sont arrivées dans un second temps, mais au-delà de ça, sans savoir que je finirais ici, je regardais beaucoup Lens. C’est l’équipe qui carburait dans ce dispositif-là avec des pistons très mis en avant, Jo et même Frankie. Jo, j’avais eu l’occasion aussi de le féliciter, sans le connaître, sur les réseaux. Après, il m’a devancé énormément, le duel n’a pas duré bien longtemps… Mais j’aime bien m’inspirer de ces joueurs. On s’entend très bien, Jo est un bon gars comme beaucoup dans le groupe. Ce n’est pas compliqué de s’intégrer ici. Pour ma part, ça se fera aussi par le terrain. Après, vu les objectifs de ces dernières années, il est évident que vous n’arrivez pas à Lens sans aucune concurrence, loin de là. »

Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir Lens justement ?

« Beaucoup de choses. J’ai besoin de ce sentiment d’appartenance au club. À Lorient, je l’ai eu longtemps. Comme tout joueur, j’ai besoin de confiance mais j’aime vraiment jouer pour mon club, tout donner pour mon club. C’est lié aussi à mon caractère, cette envie de beaucoup courir, mouiller le maillot, des valeurs très mises en avant ici. Je ne vais pas parler du public ou du club, il y a juste à le voir. Comme l’ambiance dans le groupe : ça se ressent de l’extérieur. Ce sont des choses qui me font aimer ce club avant même d’y être. Il y a tout ce qu’il faut aussi pour bien travailler, c’est très pro. Je franchis un cap par rapport aux clubs que j’ai connus. J’avais aussi envie de tester autre chose, progresser avec d’autres joueurs. »

La présence de Franck Haise, adjoint à Lorient lors d’une de vos saisons, a-t-elle compté ?

« C’est vrai qu’il me connaît bien. Il y a Flo Ghisolfi (le coordinateur sportif) aussi avec qui j’ai fait deux ans plus récemment. Ce sont des facteurs qui sont entrés en compte : je connais aussi les personnes. Et dès les premiers échanges, on voit la transparence entre les dirigeants, que tout le monde est sur la même longueur d’onde et que ça travaille sainement. »

 

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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...
  • 5 months later...

Blessé au genou mi-octobre, le piston droit du RC Lens nous raconte le long et délicat parcours pour redevenir un joueur de football de haut niveau.

Jimmy, comment se passe votre rééducation ?

« Bien. Je suis à deux mois et demi, ça a vraiment été compliqué les premières semaines, j’ai douillé un peu. J’ai profité de l’opération pour me faire retirer une excroissance osseuse sur la rotule. Mais j’ai eu plus mal que ce que j’aurais dû, car il y a eu une section du quadriceps qui a été rattaché à la rotule de base. Pour regagner la flexion, ça me tirait plus sur la rotule que le croisé en soi… Il y avait aussi le ménisque, c’était quand même une bonne opération. Il fallait aussi retrouver de la force au niveau des ischios, etc. Là, j’ai vraiment franchi un cap, je peux commencer le cardio, vraiment envoyer, des squats avec poids, avec barre. Je suis dans le dur mais je travaille, et je suis content parce que je peux tout faire. Avant, je ne pouvais pas même mouliner sur un vélo car je ne passais pas la flexion en haut pour passer la jambe, c’était très frustrant… »

Comment s’est passé votre séjour de trois semaines au centre médical de Clairefontaine ?

« C’était frustrant à cause de cette flexion car je ne pouvais pas faire tous les exercices comme j’aurais aimé. On va là-bas sur du court terme, c’est très intense. Il y a plus de séances sur la journée, tu fais 9 h midi, tu y retournes à 14 h jusqu’à 18-19 h. Il y a beaucoup de renforcement alors que tu es dans le dur au début. Je me suis pété les adhérences. Tu cicatrises après l’opération en jambe pliée, et quand tu regagnes l’extension, des fibres cassent, ça fait comme des lésions. Tu as l’impression qu’il y a des semaines où tu travailles super bien, la suivante, tu repars à zéro avec des exos que tu ne peux plus faire… Je ne l’ai pas super bien vécu, en revanche, on est super bien encadré, focus sur sa rééducation. Et ça change aussi du cadre du club. »

« J’ai senti tout de suite qu’un truc avait craqué »

Où en êtes-vous en termes de délais, un moment de reprise a-t-il été fixé ?

« On en parle souvent mais c’est compliqué à deux mois de se projeter car quoi qu’il arrive, il faut attendre six mois. Ce sont des stades à passer : une fois que l’amplitude est passée, on renforce, on gagne de la mobilité, il y a plein de caps de ce style. Je serai à six mois fin avril, il restera un mois de compétition où je pense qu’il y aura de gros objectifs pour l’équipe, il faudra être à 100 % alors que ce sera une période pour moi où il faudra faire attention car souvent les rechutes sont dans ce laps de temps là. Il y a ce truc de vouloir reprendre vite, j’en ai envie, j’ai envie de jouer. On verra comment je serai à cinq mois. Si je fais tout le mois d’avril en m’entraînant, que j’ai les cannes, que je me sens super bien. Je suis un compétiteur, je voudrais jouer et je ferai en sorte de le pouvoir… Maintenant, il va falloir être aussi intelligent, il y aura une saison prochaine où j’ai aussi envie d’arriver en forme. »

D’autant qu’en début de saison, vous reveniez déjà d’une blessure (ligaments d’une cheville, saison terminée fin février)…

« Oui, cette année, j’étais un peu en demi-teinte en préparation. Il ne faut pas faire n’importe quoi, une préparation, c’est important pour la saison. Mon vrai objectif, c’est surtout d’être à 100 % pour le début de la saison prochaine. Il faut que je retrouve mon niveau, ma fluidité. Mon côté compétiteur me fera peut-être jouer avant, mais personne ici ne précipitera la chose. Tout se passe très bien, on a l’effectif pour assurer, il n’y a pas de pression à se mettre. »

Comment avez-vous vécu le moment de la blessure ?

« J’ai senti tout de suite qu’un truc avait craqué, que ça n’allait pas, l’instabilité. Je savais que la saison était finie. Tu rentres chez toi, tu es au bout de ta vie. C’était un moment vraiment compliqué… Je revenais bien, j’étais assez content. ça avait été délicat de ne pas avoir pu tout faire à fond, en préparation. Mais au fur et à mesure, ça s’est bien goupillé, j’ai pu montrer à l’équipe ce que je pouvais faire, je montais en régime. Et à la dernière minute d’un match, tout s’effondre. »

« Les jours de matchs, même si on est très content, et fier de ce qu’il se passe, c’est très frustrant »

À quel moment êtes-vous reparti de l’avant ?

« Il faut vite passer à autre chose, il y a toujours des situations pires. J’ai quand même signé un long contrat ici, je suis bien, j’ai de quoi travailler pour revenir à fond. Certains n’ont pas cette chance. Mais, je suis quand même sujet à blessures. Il y a eu beaucoup d’intensité, beaucoup de changements aussi pour moi cet été, j’ai beaucoup donné, c’était positif mais ça m’a peut-être affecté inconsciemment. Il faut positiver, chaque journée, je me dis que je travaille, je franchis des caps. Je travaille pour la suite, il y aura des bons moments. Tant que tu as les béquilles ou que tu sens que ton genou, les deux premiers mois, n’est vraiment pas bien, tu te dis que de toute façon, tu ne pourrais pas servir à grand-chose. Mais là ça va être long : je commence à avoir de bonnes sensations, et il reste encore quatre mois… »

C’est votre deuxième blessure grave cette année ; suscite-t-elle des doutes ou, au contraire, connaissez-vous le chemin ?

« Je ne parle pas de doutes. La blessure, elle vient… Même si je travaille beaucoup, je sais que je ne suis pas le gabarit le plus physique au monde, dans le sens duel du terme, puissance. Sur la force d’appuis par exemple, sur le croisé, dans un rôle de défenseur, je ne suis pas le plus solide. Ce sont des choses que je dois travailler, renforcer, même s’il y a une part de malchance, c’est un mouvement, ça arrive à des gens aussi très costauds. Je réfléchis plus sur ça que sur une forme de fatalité. Et j’ai la chance d’avoir pu montrer des choses avant, la vérité dans un groupe, c’est de s’exprimer sur le terrain. Et après tu crées ta place. Si c’était arrivé en août, ça aurait été délicat. Après, tu revis le même truc, en pire. Mais j’ai 28 ans, je connais la blessure, il faut être patient, travailler, revenir… »

Comment vous sentez-vous par rapport au groupe ?

« C’est délicat, mais ça rejoint le fait que j’ai pu jouer et montrer que je pouvais apporter, c’est cool pour l’image que tu as dans le groupe. Les jours de matchs, même si on est très content, et fier de ce qu’il se passe, c’est très frustrant. Tu ne vis pas ça au premier plan mais comme les supporters le voient, en tribunes. Mais on est ensemble dans le vestiaire, en salle, on rigole pareil. On a le soutien mais c’est toujours délicat d’aller demander des nouvelles à un blessé tous les jours : on sait que la personne travaille, que ça va être long. On garde les relations et je reste dans le processus de m’adapter au groupe. Ça se passe très bien, c’est naturel, je suis juste dans un autre contexte. »

La blessure vous permet-elle de profiter davantage de votre fille, April, cinq mois ? La famille vous aide-t-elle à relativiser ?

« Quand on est blessé, on n’a pas forcément plus de temps. C’est plus pour les matchs et les week-ends mais c’est génial de pouvoir passer du temps avec elle, elle grandit, elle est de plus en plus interactive. On vit des bons moments, on peut venir au stade aussi. Elle y est venue très jeune, on s’était un peu enflammé d’ailleurs avec le bruit pour la prolongation de Seko (Fofana) mais elle a dormi tout le long, incroyable… On kiffait le moment, qui était fou, mais moi j’étais en bas, sur la pelouse, en mode " mais ma fille, il y a un bruit "… Après, on a dosé un peu plus. Quand elle est arrivée, j’ai vécu un apaisement, tu te dis qu’il n’y a plus de problèmes, il faut gérer ta fille et c’est bon. Ça fait relativiser, oui. On est aussi allés à l’hôpital pour le Noël des enfants. Des enfants qui ont des leucémies viennent te voir, ils sont fans, ils rigolent, toi, tu as les croisés, à côté c’est bon, c’est rien, tranquille tu vas revenir. Il faut garder le sourire, on apprend sans doute plus d’eux qu’eux de nous. »

https://www.lavoixdunord.fr/1279029/article/2023-01-16/rc-lens-jimmy-cabot-commence-retrouver-de-bonnes-sensations

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  • 2 weeks later...
  • 5 months later...

cabot, pour moi, à son retour, ce sera juste un joueur qui entrera pour les 20-25 dernières minutes maximum : 29 ans, 2 grosses blessures la même année dont 1 qui va prendre 1 an à cause des complications ... Il faudra gérer son temps de jeu, ce serait un 2e said. L'envisager comme titulaire ou rotation serait risqué. Plutôt l'envisager comme une solution en sortie de banc, un joueur bonus.

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  • 2 months later...

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