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Ligue 1 [Saison 2022/2023]


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il y a 3 minutes, david79 a dit :

La Coupe d'Europe c'est pour le budget de l'année prochaine et les comptes s'arrêtent au 30 juin. En se basant sur les comptes de l'année 2021-2022 publiés récemment, le déficit hors mutation de joueurs était de 24M. On peut supposer une hausse des produits cette année mais en parallèle il y aura une hausse des salaires. Donc pour moi, c'est évident. C'est là qu'on testera Thill. 

C'est loin d'être évident, 2021-2022 était encore une année très particulière avec plusieurs huis-clos (ou matchs avec jauge), des droits TV moins élevés, car vu le nombre de diffusions qu'on a en décalé notre part notoriété (calculée sur les 5 dernières années) augmente de plus en plus, sans compter le classement final qui sera plus élevé (ensemble ça compte pour 50% des droits TV). Il y a aussi eu le versement de 16,5 M€ de CVC au début de la saison 2022-2023 (il y en aura un autre en juillet de 16,5 M€). Et si je me souviens bien, Arnaud Pouille avait dit que la vente de Doucouré (ou Clauss je sais plus) comptait pour la saison 2022-2023 puisque le déficit de 2021-2022 avait été comblé. On a aussi des nouveaux contrats de sponsoring (d'ailleurs les renouvellements des contrats existants vont aussi augmenter les revenus) etc

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Il y a 2 heures, Othian a dit :

C'est loin d'être évident, 2021-2022 était encore une année très particulière avec plusieurs huis-clos (ou matchs avec jauge), des droits TV moins élevés, car vu le nombre de diffusions qu'on a en décalé notre part notoriété (calculée sur les 5 dernières années) augmente de plus en plus, sans compter le classement final qui sera plus élevé (ensemble ça compte pour 50% des droits TV). Il y a aussi eu le versement de 16,5 M€ de CVC au début de la saison 2022-2023 (il y en aura un autre en juillet de 16,5 M€). Et si je me souviens bien, Arnaud Pouille avait dit que la vente de Doucouré (ou Clauss je sais plus) comptait pour la saison 2022-2023 puisque le déficit de 2021-2022 avait été comblé. On a aussi des nouveaux contrats de sponsoring (d'ailleurs les renouvellements des contrats existants vont aussi augmenter les revenus) etc

C'est pour ça que j'écris que les produits vont augmenter. Mais il ne faut pas oublier que la masse salariale à Lens a augmenté de 30%, et c'est le 1er poste dans le budget d'une entreprise. Donc même si les produits augmentent plus vite que les charges (ce qui reste à vérifier), je ne pense pas que ça change la tendance de fond, à savoir que le club devra vendre pour équilibrer ses comptes.

NB Pour Doucouré, Pouille avait dit que c'était sur l'exercice 2021-2022 mais je parlais de résultat hors mutation de joueur.

Modifié par david79
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il y a une heure, david79 a dit :

C'est pour ça que j'écris que les produits vont augmenter. Mais il ne faut pas oublier que la masse salariale à Lens a augmenté de 30%, et c'est le 1er poste dans le budget d'une entreprise. Donc même si les produits augmentent plus vite que les charges (ce qui reste à vérifier), je ne pense pas que ça change la tendance de fond, à savoir que le club devra vendre pour équilibrer ses comptes.

NB Pour Doucouré, Pouille avait dit que c'était sur l'exercice 2021-2022 mais je parlais de résultat hors mutation de joueur.

Mais ça ne change pas le fait qu'il y a cette année l'argent de CVC (16,5 M€ c'est pas très loin du déficit de l'an dernier) et autres, ce qui rendrait quasi non nécessaire de vendre.

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Il y a 8 heures, manico a dit :

 

Ah ouais quand même. 6 sur 11 !! Bon après je trouve que Thomasson aurait largement mérité d'y être également.

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Interview croisée : Julien Lacour et Mickaël Delestrez (Toulouse FC)

Julien Lacour, directeur du centre de formation du Toulouse FC, et Mickaël Delestrez, directeur technique du centre de formation, se confient sur leur rôle respectif et le fonctionnement de la formation toulousaine.

A l’occasion de l’émission « Passe D » consacrée au TéFéCé depuis le Stadium sur la chaîne Twitch de la Ligue 1 Uber Eats il y a quelques semaines, Julien Lacour, directeur du centre de formation, et Mickaël Delestrez, directeur technique du centre de formation, ont expliqué leur rôle, détaillé leur vision de la formation et partagé certains discours qu’ils transmettent aux jeunes tout au long de leur apprentissage.

Quels ont été vos parcours avant d’arriver au Toulouse FC ?
Julien Lacour (directeur du centre de formation) : Ça fait deux ans que je suis en fonction au sein du club. Auparavant, j’ai travaillé pendant 15 ans dans le monde du rugby, à l’ASM Clermont et à Oyonnax, et je viens à l’origine du monde du judo.

Mickaël Delestrez (directeur technique du centre de formation) : Pour ma part, je suis un nouvel arrivant au TéFéCé puisque j’ai rejoint le club en juillet dernier. Avant cela, j’ai passé l’essentiel de ma carrière à la formation dans le nord de la France, au LOSC et au RC Lens, et j’ai également été entraîneur adjoint à deux reprises, à Boulogne et Tubize.

Pouvez-vous nous détailler vos rôles respectifs au sein du centre de formation ?
JL : On a un fonctionnement un peu singulier. Peu de structures sont organisées comme la nôtre (avec deux directeurs) mais c’est une volonté de notre Président Damien Comolli dans laquelle on se retrouve pleinement. D’un point de vue personnel, je m’occupe de la gestion managériale, financière et de l’organisation.

MD : De mon côté, j’ai sous ma responsabilité la partie technique. C’est-à-dire la méthodologie des entraînements et la gestion des effectifs et des éducateurs. Puis, je suis également entraîneur des U17 nationaux.

Où situez-vous le centre de formation du TéFéCé par rapport aux autres clubs français ?
JL : Sans mauvais ego, je pense qu’on se situe sur le devant de la scène. On fait partie des structures qui ont trouvé leur bon rythme de fonctionnement depuis plusieurs saisons. Le club permet à de nombreux joueurs de passer professionnels chaque saison. Le cap qui nous est donné, c’est qu’à moyen terme 50% de l’effectif pro soit issu de la formation.

« Le premier critère qui est indispensable pour jouer chez nous, c’est de comprendre le jeu »

Cet objectif est fixé dans le but d’apporter une identité plus locale au sein de l’équipe première ?
JL : C’est une volonté conforme à la stratégie et à la culture du club. Cela a été validé par l’ensemble de la direction il y a déjà quelques mois. Le centre doit être un des piliers de fonctionnement de la structure. C’est une preuve de bon sens à la fois économique et stratégique. On considère aussi que vis-à-vis de nos fans et de nos partenaires, c’est quelque chose dans lequel ils se retrouvent. Finalement, c’est une stratégie à l’image du club, qui est à nouveau jeune, qui s’offre un nouveau souffle.

A quoi correspond aujourd’hui l’identité inculquée au centre de formation du Toulouse FC ?
MD : On transmet un état d’esprit. C’est-à-dire l’idée que les gens viennent au stade pour voir une équipe qui attaque et qui est actrice de son projet. On veut enchaîner les succès. Aujourd’hui, si on veut acquérir ça avec le plus de certitudes, il faut essayer de mettre plus de buts que l’adversaire. Dans toutes les équipes de jeunes, on est proactifs, on cherche à attaquer. Si on ne peut pas le faire parce que le rapport de force nous est défavorable, alors on tente d’attaquer d’une autre manière. Mais on ne veut pas être amené à subir. Le premier critère qui est indispensable pour jouer chez nous, c’est de comprendre le jeu. C’est l’essence même de notre méthodologie de recrutement. 

Justement, comment est organisé le recrutement pour les équipes de jeunes ?
MD : Tout d’abord, le joueur doit évoluer dans des équipes qui ont un certain niveau. Pourquoi ? Car le potentiel du joueur recherché doit pouvoir s’exprimer à haut niveau de performance. On a une cellule de recrutement qui observe un certain nombre de matchs et qui, en connaissance de nos effectifs, compare les uns et les autres. Si elle estime qu’un joueur répond à l’ADN du club, à l’état d’esprit, à la mentalité et à un profil recherché au sein de nos effectifs, elle nous l’amène sur des séances d’entraînement ou lors d’un stage. Ensuite, un choix collégial est pris avec l’ensemble des éducateurs du club et la direction.

Au-delà du football, les jeunes semblent très encadrés dans tous les domaines au sein du centre de formation du Toulouse FC…
JL : C’est ce qu’on souhaite mettre en place au quotidien. Intégrer un centre de formation, c’est une aventure humaine. C’est exigeant pour l’ensemble des acteurs, des garçons aux encadrants, qui consacrent beaucoup de temps et de passion. C’est ce qu’on a convenu dans nos règles collectives : prendre soin des gens.

« La réussite ne passe pas uniquement par une carrière professionnelle »

Vous évaluez les joueurs chaque semaine. Le comportement et les résultats scolaires comptent-ils autant que les qualités footballistiques dans vos critères ?
JL : C’est un tout. Si un garçon est performant sur le terrain mais qu’il n’est pas structuré en dehors, ça ne peut pas fonctionner. On ne peut pas dissocier les deux. C’est une phrase facile mais c’est vraiment ce qu’on ressent au quotidien. Il faut des garçons structurés, qui comprennent ce qu’on attend d’eux, qui soient capables d’entendre l’objectivation et d’y répondre petit à petit. Après, on ne peut pas non plus leur demander que tout soit acquis dès le début du parcours mais le but, c’est de les accompagner jusqu’à leur meilleur niveau de performance. Après, c’est un système pyramidal, il y a des sélections.

Existe-t-il un accompagnement pour les joueurs qui n’ont pas la chance de signer pro ?
JL : L’accompagnement, il se fait en permanence. C’est une relation qu’on crée avec les garçons qui nous entourent. On ressasse souvent que c’est pyramidal, que tout le monde ne sera pas amené à avancer à la même vitesse et n’obtiendra pas forcément le sésame sur lequel il se projette souvent. Mais ce sont des ados, ils y croient. On n’a pas envie d’être destructeur ou clivant, donc on tâche de les amener à bien se positionner sur ce qui va se passer. Puis, au fur et à mesure de leurs parcours, on les rend conscients que ce sont aussi les citoyens de demain et qu’il faut qu’ils soient en connexion avec la vie en dehors du foot. De cette manière, même si demain ils deviennent des athlètes de très haut niveau, ça ne leur empêchera pas de comprendre comment évolue le système et comment on se socialise.

MD : L’idée est de leur faire comprendre que la réussite ne passe pas uniquement par une carrière professionnelle. On veut que les jeunes du TFC puissent suivre un cursus scolaire normal, dans lequel ils s’impliquent car ils ont conscience que les études sont importantes. Comme ça, si les portes du monde pro ne s’ouvrent pas lorsqu’ils sortent du centre de formation, ils peuvent continuer à étudier tout en jouant à un bon niveau amateur, avec une vie sociale plus classique. Devenir professionnel est une réussite mais c’est loin d’être la seule.

Cela doit être difficile à faire comprendre à un jeune…
MD : C’est compliqué mais c’est la réalité. Aujourd’hui, leur cacher la réalité, c’est aussi leur demander de s’investir dans quelque chose qui est parfois inatteignable. L’idée, c’est d’y aller étape par étape et de leur dire : « Vous vous projetez vers le monde pro, c’est très bien. Vivez avec vos rêves, ça doit vous motiver. Mais vous devez aussi avoir conscience que sur dix, il n’y en aura que trois ou quatre pros. »

Comment faites-vous pour conserver vos meilleurs éléments face aux intérêts de plus en plus précoces des clubs étrangers ?
JL : On commence à être sûr de nos forces. Il me semble que les joueurs qui sont là, ils sont heureux de porter le maillot violet, donc on se retrouve dans la très grande majorité des cas avec des discussions où tout le monde a envie qu’on avance ensemble. Après, le foot est universel et fait partie d’un grand marché mondial, on sait qu’on est dans une activité où il peut y avoir des enjeux de lucrativité...

MD : On montre qu’on compte sur eux. Je pense que c’est une obligation de la part du club. Quand on investit du temps et qu’on favorise leur épanouissement, ce n’est pas pour rien donc il faut ensuite pouvoir leur permettre de s’exprimer au plus haut niveau. Et c’est ce que le club fait. Dans la construction de l’effectif pro, le Président et le staff font attention au fait qu’il n’y ait pas trop de joueurs qui pourraient éventuellement bloquer nos jeunes sur lesquels on compte. On a un projet où les joueurs peuvent réussir en équipe première.

« Philippe Montanier est en adéquation avec notre politique »

Quelle place accordez-vous aux résultats dans les catégories de jeunes ?
MD : On a souvent tendance à opposer la formation et la compétition mais il n’y a pas lieu de le faire. Les joueurs quand ils entrent sur le terrain, quelle que soit la catégorie, ils jouent pour gagner. Ce qu’il faut, c’est qu’autour, les encadrants, les éducateurs et les bénévoles aient le recul nécessaire de se dire que ce n’est pas l’essentiel. Certes, on veut que les joueurs gagnent, mais le plus important, c’est de se poser les bonnes questions. Qu’est-ce qu’on a mis en œuvre pour pouvoir gagner ? Est-ce que notre niveau d’engagement a été suffisant ? Est-ce que notre niveau de compréhension du jeu a été bon ? C’est ça l’idée de la formation.

Comment faites-vous pour que les jeunes qui ont l’opportunité de s’entraîner avec les pros gardent les pieds sur terre ?
MD : Qu’un joueur ne prenne pas la grosse tête, c’est notre rôle en tant qu’encadrant. Quand un jeune redescend d’une séance avec les professionnels, c’est à nous de le questionner. Comment ça s’est passé ? Quel est ton sentiment sur ta marge de progression ? Puis, à ce moment-là, on lui fait un petit rappel : « Attention, tu as fait une bonne séance avec les pros, mais demain tu seras peut-être avec la N3 ou les U19 ». Après, dans l’apprentissage, on ne peut pas non plus négliger que la confrontation avec des adversaires de haut niveau, c’est ce qui fait passer un cap. Donc, quand on décèle un potentiel, il faut l’envoyer, avec parcimonie, à des séances avec le groupe. Et Philippe Montanier est en adéquation avec notre politique.

A quel moment savez-vous qu’un joueur est prêt pour devenir professionnel ?
JL : Ce sont les joueurs qui déterminent quand ils sont prêts. Ils doivent nous amener à ce que cela devienne une évidence pour nous. Après, il y a des commissions techniques et des discussions avec le Président, qui est au fait de l’ensemble des générations, qui vont nous conduire à prendre des décisions.

MD : C’est très difficile de dire untel va devenir professionnel. Plus on se projette tôt, plus on a de chance de se tromper. A chaque niveau d’âge, le joueur doit être confronté à une difficulté supplémentaire. Mais ceux qu’on pense en capacité de passer dans le monde adulte, car ils sont très bons dans les catégories de jeunes, n’arrivent pas forcément à passer le cap. Et, à l’inverse, des joueurs peuvent être un peu en retard et, finalement, quand ils basculent dans le monde adulte, tout va très vite pour eux.

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Ça risque d'être très compliqué pour eux, même en L2, je pense. Il va falloir qu'ils s'appuient un peu sur leur centre de formation, il y a quelques belles promesses, vont-ils rester après ?

Cependant, ils ont quand même réussi à tout foutre en l'air en une saison, et bâclé le travail de Moulin pendant toutes ces années. Tu aurais voulu faire exprès, tu n'aurais pas réussi.

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J'apprécie beaucoup les vidéos en immersion avec les arbitres publiées sur YouTube, c'est toujours intéressant.

 

S'il y a un seul moment à regarder, c'est à 4:40 où l'arbitre demande à Rongier "Pourquoi [votre coéquiper] me conteste comme ça?", et Rongier qui répond: "Je sais pas, il est juste con" 😂

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il y a 6 minutes, Kwarkz a dit :

J'apprécie beaucoup les vidéos en immersion avec les arbitres publiées sur YouTube, c'est toujours intéressant.

 

S'il y a un seul moment à regarder, c'est à 4:40 où l'arbitre demande à Rongier "Pourquoi [votre coéquiper] me conteste comme ça?", et Rongier qui répond: "Je sais pas, il est juste con" 😂

J'avoue que ça m'a fait bien rire. 😂

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il y a 15 minutes, tibocm1 a dit :

Ce week-end, je vois tous les gros gagner, et vous?

 

C'est pas parce qu'ils sont collés à nous mais petit doute sur Monaco et Marseille.

À voir comment va réagir Monaco après la claque reçue et jouer Montpellier en ce moment n'est pas cadeau.

Concernant Marseille, on connaît leurs difficultés à domicile avec un Auxerre qui tourne bien, je veux bien voir ce que ça va donner.

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il y a 55 minutes, Amaury a dit :

C'est pas parce qu'ils sont collés à nous mais petit doute sur Monaco et Marseille.

À voir comment va réagir Monaco après la claque reçue et jouer Montpellier en ce moment n'est pas cadeau.

Concernant Marseille, on connaît leurs difficultés à domicile avec un Auxerre qui tourne bien, je veux bien voir ce que ça va donner.

Je suis d'accord concernant Monaco. Montpellier est bien capable d'embêter les monégasques, c'est très solide et cohérent Montpellier depuis le retour de MDZ.

Marseille devrait gagner mais sait-on jamais.

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