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Arbitres et VAR


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Parce qu'ils sont aussi acteurs du jeu et que l'arbitrage est souvent un sujet clivant, les arbitres ont aussi droit à leur topic.

Les arbitres de Ligue 1 pour la saison 2022-2023

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Les arbitres assistants de Ligue 1 pour la saison 2022-2023

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On pourra débattre ici de tout ce qui touche de près ou de loin aux arbitres, de la VAR et autres règles liées à l'arbitrage.

On commencera avec une bonne note, la bonne prestation de Clément Turpin lors de la finale de Ligue des Champions 2022 et ses bonnes performances d'ensemble en Coupe d'Europe sur la saison écoulée (en L1 c'est un autre débat 😅).

Modifié par manico
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On a pas le même maillot mais on a la même passion. Je prends le pari que ce topic contiendra le plus de pages à la fin de la saison. 😅

Non, blague à part je suis quand même curieux de voir les prestations de Marc Bollengier et Mathieu Vernice. Ce dernier m'avait vraiment fait une bonne impression sur un match de L2 cette saison, j'en avais touché un mot, c'est dire. Donc à suivre, on leur souhaite une bonne saison.

Quelqu'un en sait plus sûr les micros, c'est toujours en discussion je suppose ?

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  • 4 weeks later...

Retrouvez le bilan de l’utilisation de la VAR en Ligue 1 Uber Eats lors de la saison 2021/2022.

Pour la 4e saison consécutive, l’assistance vidéo à l’arbitrage a été utilisée en Ligue 1 Uber Eats.

Et selon les chiffres de la Direction Technique de l’Arbitrage, il y a eu 75% des erreurs claires corrigées par la VAR sur un total de 110 décisions terrain erronées. Un pourcentage élevé et dans la continuité de celui enregistré lors de la saison passée (74%), confirmant la progression depuis la 1ère saison d’utilisation (68% en 2018/2019).

Sur l’ensemble de la saison de Ligue 1 Uber Eats, 1450 situations ont été analysées sur les 380 matchs : 7% d’entre elles ont fait l’objet de l’intervention de la VAR. Comme cela a pu être notamment le cas lors d’un des chocs de la saison, OM-PSG (0-0, J11), au cours duquel trois interventions ont eu lieu sur les buts parisien (Neymar) et marseillais (Milik), refusés pour hors-jeux, ainsi que sur le carton rouge adressé à Achraf Hakimi (PSG).

Parmi les chiffres relevés, 24 pénaltys ont été accordés à la suite de l’intervention de la VAR au cours de la saison en Ligue 1 Uber Eats, sur les 120 pénaltys accordés. Ce qui représente 20% du total. De plus, 10 pénaltys erronés ont été annulés par la VAR dans le championnat. Ensuite, 15 buts refusés à tort ont été corrigés par la VAR et donc validés.

Enfin, il a été observé une amélioration du temps moyen d’analyse VAR, puisque sur chacune des 2,6 interventions en moyenne par journée, un gain de 26 secondes a été fait par rapport à la saison dernière : 104 contre 130 secondes (avec visionnage terrain).

Rappel, les 4 situations dans lesquelles l’assistance vidéo peut intervenir :

-        Après un but marqué (validé ou non)
-        Sur une situation de pénalty sifflé ou non
-        Sur carton rouge direct
-        Sur une erreur d’identité du joueur sanctionné disciplinairement

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il y a une heure, Adjo a dit :

Il émane de qui ce rapport ?

Intéressant en tous cas

Oui et non, car on ne sait pas quels sont les critères pour valider à posteriori une intervention efficace ou non de la Var.

L'exemple qui me vient en tête est l'expulsion ridicule de Danso contre Strasbourg. Il s'est finalement pris 2 matchs de suspension si je me souviens bien, donc l'erreur de l'arbitre, la non intervention ou la validation de la Var aurait dû être sanctionné comme un erreur, mais si la Var n'est pas intervenue= pas d'erreur, alors qu'elle aurait dûe intervenir et changer la décision de l'arbitre.

Un arbitre qui a bien compris le système c'est notre "ami" Turpin qui prend parfois des décisions dégueulasses mais ne va que très rarement vérifier s'il s'est trompé ou pas.

Je suis prêt à parier que les stats de la LFP concernant la Var pour la prochaine saison vont à nouveau s'améliorer 😁.

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C'est bien pour ça que j'ai demandé de qui va émanait. La LFP donc effectivement, à prendre avec précaution. Mais on ne vas pas passer de ces chiffres là au parfait inverse. De 75 à 25

 

7/% d'intervention c'est factuel, ça ne dépend pas de quelconque interprétation et permet de relativiser ceux qui arguent que c'est utilisé à tort et à travers. 

 

Pour moi la VAR est un vrai progrès..il y a manifestement moins d'erreurs qui passent au travers et c'est ce qui importe : moins d'injustice. Après oui c'est pas parfait, c'est pas le but. 

Il faut améliorer son utilisation. Les arbitres n'ont pas changé leur mentalité donc donne un bon outil à un baudet, ça restera un baudet.  Il était écrit que ça prendrait 10 ans pour être tout a fait ajusté, compris et installé dans les mœurs. Ça ne fait que 4. 

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  • 2 weeks later...
il y a 1 minute, manico a dit :

La 1ère règle je la trouve pas mal, ça limitera les simulations. Pour la seconde règle ils font comment si le carton rouge est pris lors des matchs retours 😁

 

Je suis mitigé, que fait tu si tu as pris un réel choc ? Après si t'es blessé, ça ne change pas grand chose, les 3 minutes te permettent de récupérer. Mais dans l'esprit je suis d'accord. 

Pour le carton rouge, il sera suspendu au match aller de l'année prochaine mais si le joueur est plus là, je ne sais pas. 😅

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il y a 10 minutes, Amaury a dit :

Je suis mitigé, que fait tu si tu as pris un réel choc ? Après si t'es blessé, ça ne change pas grand chose, les 3 minutes te permettent de récupérer. Mais dans l'esprit je suis d'accord. 

Ben oui, comme tu dis, s'il est vraiment blessé ça ne change pas grand chose les 3 minutes, le temps de se faire soigner.

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Il y a 10 heures, Amaury a dit :

Je suis mitigé, que fait tu si tu as pris un réel choc ? Après si t'es blessé, ça ne change pas grand chose, les 3 minutes te permettent de récupérer. Mais dans l'esprit je suis d'accord.

Il serait intéressant de faire systématiquement entrer les brancardiers en même temps que les soigneurs pour faire soigner le joueur tout de suite hors du terrain.

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Il y a 10 heures, manico a dit :

Ben oui, comme tu dis, s'il est vraiment blessé ça ne change pas grand chose les 3 minutes, le temps de se faire soigner.

Oui mais dans ce cas , ça va avantager les équipes faucheuses finalement... car si le jeu reprend à 10 contre 11 pendant 3 min ça peut aller vite 

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  • 2 weeks later...

Règle des 5 changements : Mode d’emploi

Depuis la saison passée, les équipes de Ligue 1 Uber Eats peuvent effectuer jusqu’à 5 changements au cours d’un match.

Alors que la Ligue 1 Uber Eats reprend dans moins de deux semaines avec la saison 2022/23, rappel du fonctionnement des cinq changements par équipe permis au cours d’un même match depuis l’année passée. Selon l’article 535 du règlement des compétitions, chaque équipe est autorisée à effectuer 5 remplacements durant un match de Ligue 1 Uber Eats lors de la saison 2022/2023 :

- Chaque équipe dispose de 3 opportunités de remplacements pendant le match pour effectuer ces 5 changements (un changement à la mi-temps n’est pas comptabilisé dans ces 3 opportunités).

- Si les 2 équipes effectuent un remplacement en même temps, il sera considéré qu’elles utilisent chacune l’une de leurs 3 opportunités de remplacement.

Toujours 20 joueurs autorisés sur la feuille de match

Par ailleurs, en Ligue 1 Uber Eats, le nombre de joueurs inscrits sur la feuille de match est de 20 : 11 titulaires et 9 remplaçants. De plus, le nombre de personnes autorisées sur le banc de touche de l'équipe peut être porté à 19 : 9 remplaçants et 10 membres de l’encadrement technique et médical du club.

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Commotion cérébrale : Mode d’emploi

Un remplacement supplémentaire sera autorisé en cas de commotion cérébrale cette saison en Ligue 1 Uber Eats.

Expérimentée depuis la saison dernière sous la forme d’une expérimentation proposée par l’IFAB (International Football Association Board), la réalisation d’un changement supplémentaire pendant un match en cas de commotion cérébrale sera appliquée pour cette nouvelle saison, selon l’article 588 des compétitions.

• Chaque équipe est autorisée à recourir à un seul « remplaçant pour commotion cérébrale » au cours d’un match.

• Le recours à ce « remplacement pour commotion cérébrale » est possible indépendamment du nombre de remplaçants déjà utilisés.

• Le recours à un « remplacement pour commotion cérébrale » est indépendant du nombre d’opportunités de remplacement « normal ».

• Toute commotion cérébrale survenue dans le cadre d’un match officiel de la LFP, nécessite une prise en charge par le médecin d’équipe ou le médecin de l’équipe adverse ou à défaut par le médecin réanimateur de terrain durant les 3 minutes prévues selon l’article 588 du règlement de la LFP.

Procédure pendant le match

L’arbitre principal doit interrompre la rencontre pour permettre l’évaluation du joueur blessé par son médecin. Tout joueur souffrant d'une blessure à la tête qui nécessite une évaluation dans l'éventualité d'une commotion cérébrale ne sera autorisé à reprendre le jeu à l'issue de cette évaluation qui si le médecin d'équipe (ou le médecin compétent en réanimation en cas d'absence du médecin d'équipe) confirme expressément à l'arbitre qu'il est en état de le faire.

• Un « remplacement pour commotion cérébrale » peut être effectué :

- immédiatement après une situation de commotion cérébrale avérée ou potentielle ;
- à l’issue d’une période initiale de trois minutes d’évaluation sur le terrain et/ou à l’issue de l’évaluation effectuée hors du terrain ;

- ou à tout autre moment en cas de commotion cérébrale avérée ou potentielle (notamment si un joueur a déjà été examiné et qu’il a repris le jeu).

• Si une équipe décide d’effectuer un « remplacement pour commotion cérébrale », elle doit en informer l’arbitre ou le 4e arbitre, à l’oral et en le notifiant sur le carton de changement par la mention « commotion »

• Le joueur remplacé n’est pas autorisé à participer au reste du match (ni même à une éventuelle séance de tirs au but)

• Si une équipe effectue un remplacement « normal » en même temps qu’un « remplacement pour commotion cérébrale », tous deux sont comptabilisés comme une seule et même opportunité de remplacement « normal ».

• Le joueur remplacé doit être pris en charge par le médecin du club dont il fait partie ou le médecin de l’équipe adverse en cas d’absence de son médecin ou par le médecin compétent en réanimation.

Procédure après le match

• La déclaration de la commotion cérébrale auprès de la direction médicale de la FFF doit être réalisée par le médecin du club et est obligatoire.

• Le délégué du match doit inscrire les informations du remplacement « commotion » sur le rapport de match, pour transmission à la direction médicale de la FFF.

• Après la sortie définitive du joueur, le médecin doit l'examiner plus minutieusement pour confirmer ou non le diagnostic de commotion cérébrale selon les recommandations du protocole commotion de la FFF. La prise en charge médicale de la commotion est organisée par le médecin de club suivant la bonne pratique dans les jours qui suivent la sortie pour commotion cérébrale.

• Il est obligatoire qu’un examen d’expertise soit réalisé dans les 72 heures suivant la commotion cérébrale par un médecin qui fait partie de la liste officielle des médecins experts commotion de la FFF.

• Le médecin de club transmettra la date de l’expertise, le nom du médecin expert et la conclusion de l’expertise à la direction médicale de la FFF.

• Si le médecin expert commotion cérébrale confirme la commotion, le joueur rentre dans le cadre de la prise en charge selon l’article 588 du règlement de la LFP.

• Si le médecin expert commotion cérébrale ne confirme pas la commotion, le joueur peut être réintégré dans l’effectif.

• Un rapport sera réalisé par le directeur médical de la FFF auprès de la direction des compétitions de la LFP validant la prise en charge du joueur sorti dans le cadre du remplacement supplémentaire pour commotion.

Tout remplacement effectué dans le cadre de cette expérimentation sera analysé a posteriori en vidéo par la Direction Médicale de la FFF pour vérification du protocole commotion.

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D'ailleurs ) moyen / long terme, persuadé que les têtes finiront par être interdites (ce qui est déjà acté chez les jeunes aux US ou encore en Angleterre). Chocs crâniens répétés pendant une à deux décennies voire contacts tête contre tête ou coude/tête, probablement une autoroute vers un déclin cognitif prématuré à terme. Une étude norvégienne a déjà mis en lumière la modification de la structure sanguine du cerveau sur les joueurs effectuant des têtes à répétition.

Citation

Jean-François Chermann, neurologue et spécialiste des commotions dans le rugby et dans le football, expliquait pour RMC Sport: "Des chercheurs écossais se sont rendus compte que les anciens joueurs de football professionnel avaient plus de risques de développer une maladie neurodégénérative et notamment la maladie d’Alzheimer que les sujets qui n’avaient pas pratiqué le football. […] Il est clair qu’il y a plus de maladies neurodégénératives chez les joueurs de football professionnel. Maintenant, il faut savoir pourquoi. Est-ce vraiment dû au jeu de tête ou était-ce dû à un plus grand nombre de commotions?"

Ryan Jones, l'ancien capitaine du Pays-de-Galles, vient d'être diagnostiqué à 41 ans d'une démence prématurée pour ces raisons et ils sont des tas dans ce cas en rugby - foot US - boxe.

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Il y a 2 heures, Lmarco a dit :

D'ailleurs ) moyen / long terme, persuadé que les têtes finiront par être interdites (ce qui est déjà acté chez les jeunes aux US ou encore en Angleterre). Chocs crâniens répétés pendant une à deux décennies voire contacts tête contre tête ou coude/tête, probablement une autoroute vers un déclin cognitif prématuré à terme. Une étude norvégienne a déjà mis en lumière la modification de la structure sanguine du cerveau sur les joueurs effectuant des têtes à répétition.

Ryan Jones, l'ancien capitaine du Pays-de-Galles, vient d'être diagnostiqué à 41 ans d'une démence prématurée pour ces raisons et ils sont des tas dans ce cas en rugby - foot US - boxe.

Raison pour laquelle j'ai dû arrêter le foot il y a maintenant presque 15 ans. Et à l'époque, les médecins, même spécialisés, étaient totalement largués par rapport à ça. Et c'est toujours le cas. Ils ne savent pas. C'est un sujet qui n'existe pas, on ne leur a pas appris. 

Je pense qu'on va progresser dans les examens, la prévention, jouer avec casque, peut-être même la matière des ballons ou que sais-je, mais interdire les têtes, j'y crois pas . C'est pas non plus une patate de forain en pleine gueule 

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