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Tibbs

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Tout ce qui a été posté par Tibbs

  1. On pourrait mettre des sujets chaque jour https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Le-valence-cf-suspend-rafa-mir-accuse-d-agression-sexuelle-pour-deux-matches/1507472 https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Le-sud-coreen-son-jun-ho-voit-son-contrat-resilie-par-son-club-apres-l-affaire-des-matches-truques-en-chine/1507486
  2. Merde, on est mal barré. La rouetourne tourne pour Ribéry https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Franck-ribery-a-obtenu-son-diplome-d-entraineur-en-italie/1507244
  3. J’ai créé un sujet Foot-Justice pour poursuivre :)
  4. Foot, LFP Litige avec Mbappé : le PSG ne paiera pas Enjoint par la commission juridique de la LFP à payer 55 M€ à Kylian Mbappé, le PSG s'estime dans son droit et ne paiera pas, prêt à régler l'affaire devant les tribunaux. J. Ba.publié le 12 septembre 2024 à 17h55mis à jour le 12 septembre 2024 à 18h30 On est à l'évidence partis pour une procédure à rallonge. Enjoint ce jeudi par la commission juridique de la LFP à régler 55 M€ d'arriérés de primes et de salaires à Kylian Mbappé, le PSG n'a pas l'intention de régler cette somme. Le club de la capitale s'estime dans son droit et attend désormais que l'attaquant de 25 ans réclame son dû devant les tribunaux habilités à juger des affaires relatives au droit du travail (a priori le conseil des prud'hommes). « Compte tenu des limites du champ juridique de la commission pour prendre une décision complète sur ce dossier, l'affaire doit désormais être contestée devant une autre juridiction, à laquelle le Paris Saint-Germain se réjouira de présenter l'ensemble des faits au cours des mois et des années à venir », écrit le club parisien dans un communiqué. Et d'ajouter : « En droit et en fait, le joueur a pris des engagements publics et privés clairs et répétés qui doivent être respectés, ayant bénéficié d'avantages sans précédent de la part du club pendant 7 ans à Paris. Le club attend avec impatience que ces engagements soient confirmés en temps voulu dans l'enceinte appropriée, si le joueur cherche à poursuivre cette affaire inévitablement préjudiciable à sa réputation. » lire
  5. Foot, LFP Le PSG condamné à payer 55 millions d'euros à Kylian Mbappé INFO L'ÉQUIPE. La commission juridique de la LFP a rendu un jugement favorable à Kylian Mbappé dans le différend qui l'oppose au PSG, son ancien club. D. D.publié le 12 septembre 2024 à 16h52mis à jour le 12 septembre 2024 à 18h00 La commission juridique de la Ligue de football professionnel a enjoint ce jeudi le Paris Saint-Germain à régler les 55 M€ réclamés par Kylian Mbappé au titre de salaires impayés sur les périodes d'avril, mai et juin 2024. Dans son jugement, la commission estime que « c'est à tort » que le PSG n'a pas versé à son ancien attaquant « les éléments de salaire prévus par l'avenant au contrat de travail conclu entre les deux parties le 21 mai 2022 », un avenant homologué par la LFP. La direction du PSG estimait avoir un accord oral conclu avec Kylian Mbappé dans l'hypothèse où il quitterait le club sans indemnité de transfert. De son côté, l'attaquant rétorquait que les termes de cet accord oral n'avaient pas été respectés par le PSG dès lors qu'il a vu son temps de jeu diminuer de façon drastique après avoir annoncé son départ en fin de saison. Le PSG a huit jours pour payer Après avoir entendu les avocats des deux parties mercredi et tenté une médiation refusée par Kylian Mbappé, la commission juridique a considéré que rien, parmi les éléments versés au dossier, n'était de nature à prouver « soit la formation d'un accord résultant de l'offre émise » par Mbappé, précisant que « celle-ci étant devenue caduque », « soit d'un droit du Paris Saint-Germain à ne pas verser les éléments de salaire prévus par contrat ». En conséquence, la commission juridique de la LFP a enjoint le PSG à régler, sous huitaine, ce qu'il doit à son ancien joueur : 55 M€, correspondant aux trois derniers mois de salaire du joueur à Paris et les primes d'éthique correspondantes.
  6. La LFP rendra sa décision vendredi à propos du litige entre le PSG et Kylian Mbappé Luis Campos et Nasser al-Khelaïfi loin devant Kylian Mbappé. (A. Réau/L'Équipe) Après avoir proposé une médiation entre Kylian Mbappé et le PSG pour régler leur différend financier, une option repoussée par le joueur, la commission juridique de la LFP rendra sa décision vendredi. J. Ba., A. H.publié le 11 septembre 2024 à 19h51mis à jour le 12 septembre 2024 à 18h08 Saisie pour régler le différend financier entre Kylian Mbappé et le PSG (le joueur réclame 55 M€ d'arriérés de primes et de salaires), la commission juridique de la LFP a entendu ce mercredi matin les deux parties et proposé une médiation. Une option repoussée dans l'après-midi par l'attaquant. En conséquence, l'instance va à présent rapidement rendre sa décision, qu'elle prévoit de notifier aux intéressés vendredi. Au regard de la teneur de ses échanges dans la matinée, la commission pourrait ne pas prendre position en faveur de Mbappé ou du PSG et les diriger vers le tribunal des prud'hommes, habilité à statuer sur les litiges de droit du travail. Mais sur le principe, rien ne peut être écarté, et elle pourrait également sommer le club de la capitale de régler les 55 M€ à son ancien joueur.
  7. Foot, L1 abonné Entre le PSG et Kylian Mbappé, l'histoire devrait se terminer devant les tribunaux Saisie pour régler le différend financier entre Kylian Mbappé et le PSG, la commission juridique de la LFP a prôné une médiation, repoussée par le joueur. La suite devrait se jouer devant les tribunaux. José Barroso et Arnaud Hermantpublié le 11 septembre 2024 à 22h40mis à jour le 12 septembre 2024 à 18h03 Cette fois, c'est sûr, la longue histoire entre Kylian Mbappé et le Paris-Saint-Germain finira dans le fiel et les prétoires. Après une septième et dernière saison débutée par une mise à l'écart du groupe pro et achevée par des adieux pas à la hauteur du meilleur buteur de l'histoire du club (256 réalisations), l'attaquant de 25 ans et son ancien employeur jouent de tristes prolongations en dehors des terrains. lire aussiLa LFP rendra sa décision vendredi à propos du litige entre le PSG et Kylian Mbappé Mbappé réclame le paiement de 55 M€ d'arriérés de primes et de salaires et a saisi la commission juridique de la Ligue de football professionnel. Celle-ci s'est réunie, mercredi matin, pour entendre les deux parties. Le joueur et les dirigeants des champions de France n'étaient pas présents. Ils étaient représentés par leurs avocats respectifs, Delphine Verheyden pour Mbappé et Patricia Moyersoen pour le PSG. À l'issue de près de deux heures et demie d'échanges, pendant lesquelles chacun a présenté ses arguments et ses documents, la commission juridique ne s'est pas positionnée. Elle a invité le néo-Madrilène et le club de la capitale à engager une médiation pour déboucher sur un accord bilatéral. Au cours de l'audience, l'avocate de Mbappé a une première fois repoussé cette option, mais les membres de la commission ont conclu les débats en demandant aux deux parties de « prendre quelques jours » pour y réfléchir. Sans succès. lire aussiKylian Mbappé refuse la proposition de médiation de la LFP dans le conflit financier qui l'oppose au PSG Dans l'après-midi, alors que le club se réjouissait de ce voeu de « médiation (...) que le PSG recherche depuis de nombreux mois », l'entourage du néo-Madrilène confirmait dans un communiqué transmis à l'Agence France-Presse son rejet d'une telle démarche. À présent, la commission juridique de la LFP va acter ce refus du clan Mbappé et rapidement rendre une décision, qu'elle prévoit de notifier dès vendredi aux intéressés. Kylian Mbappé (au second plan) derrière Luis Campos et Nasser al-Khelaïfi, respectivement directeur sportif et président du PSG, au Campus de Poissy le 6 mai. (A.Réau/L'Equipe) Le conseil de prud'hommes devrait prendre le relais Sur le papier, tout est possible de la part de cet organe indépendant, y compris une sommation du PSG à payer les 55 M€ à son ancien joueur. Mais ce n'est pas la tendance au regard de sa tonalité lors de l'audience de mercredi, où la petite vingtaine de membres de la commission a clairement laissé entendre que faute de compromis entre les deux camps, le différend devrait certainement se résoudre devant un tribunal. lire aussiKylian Mbappé a saisi l'UEFA et la LFP pour réclamer 55 millions d'euros impayés par le PSG Une manière de dire que, au regard des éléments qui lui ont été exposés mercredi, l'instance de la LFP ne semble pas en mesure de rendre un avis en faveur de l'un ou de l'autre. Après l'échec de la médiation, la commission renverrait alors tout ce petit monde vers le conseil de prud'hommes, habilité à régler les litiges de droit du travail (2). (1) Mbappé ou le PSG peuvent encore saisir la commission juridique d'appel de la FFF, mais cela ne ferait que retarder le processus, celle-ci ayant très peu de chances d'adopter une position différente. Si ce scénario se confirme, il s'agirait d'une petite victoire provisoire pour le PSG, qui encourt aussi des sanctions de la part de l'UEFA. Pour autant, cela ne présage pas de l'issue de cette affaire hors-norme, dont les improbables dédales ont interpellé les présents autour de la table mercredi. À l'image de la lettre de Mbappé expliquant qu'il n'activerait pas l'option pour une saison supplémentaire qui aurait étiré son contrat jusqu'en 2025, missive datée du 15 juillet 2022 et envoyée au club seulement un an plus tard. Ou bien l'armée de trolls numériques mise en place en interne pour nuire à l'image du joueur et le pousser à accepter la prolongation de mai 2022. Ou encore la décision de l'état-major parisien de mettre au ban son meilleur élément il y a quatorze mois, avec la menace de le priver de compétition toute la saison... Kylian Mbappé et Nasser al-Khelaïfi lors de la saison 2022-23. (A. Mounic/L'Équipe) Sur le fond du différend, un élément paraît central : l'accord oral passé en août 2023 entre le président Nasser al-Khelaïfi et l'attaquant pour que ce dernier soit réintégré au groupe pro de Luis Enrique. Des détails financiers ont alors été couchés sur le papier, avec plusieurs hypothèses (levée de l'année optionnelle et vente à l'été 2024 « pour un montant supérieur à 180 M€ » ; départ libre à la même période avec un abandon de primes et de salaires pour un montant équivalent), mais ces documents n'ont jamais été signés. Paris argue que le joueur voulait en rediscuter directement avec Al-Khelaïfi et évoque dès lors un gentlemen's agreement, quand Mbappé estime de son côté que les engagements n'ont pas été tenus, rendant ledit accord caduc. Le club chiffre l'investissement consenti pour Mbappé à près d'un milliard d'euros Cet épineux dossier devrait donc être démêlé par les juges des prud'hommes dans une procédure amenée à s'étirer sur plusieurs années. Ces derniers mois, marqués par une dégradation continue des relations entre l'état-major du PSG et le clan Mbappé depuis la communication de ce dernier de sa décision de quitter Paris l'été dernier, l'entourage de l'attaquant expliquait à certains interlocuteurs qu'il ne ferait aucun cadeau à son ancien employeur. De son côté, pour justifier son préjudice dans cette histoire, le PSG a présenté mercredi un document de juin 2024, où il chiffrait « un investissement de près d'un milliard d'euros sur les sept années contractées ». En football aussi, les histoires d'amour finissent mal, en général. L'UEFA combat les arriérés de paiement Pour l'heure, l'UEFA n'est pas saisie du dossier Mbappé-PSG. Mais s'il est avéré que le club parisien ne paye pas des rémunérations légalement dues au capitaine de l'équipe de France, il s'expose à des ennuis du côté de l'instance européenne. L'article 82 du « règlement sur l'octroi de la licence aux clubs et la viabilité financière » (un développement du fair-play financier) prévoit en effet que « au 15 juillet, au 15 octobre et au 15 janvier de la saison de licence, le bénéficiaire ne doit avoir aucun arriéré de paiement (...) envers son personnel résultant d'obligations contractuelles ou légales (...). » Il est également mentionné que « le bénéficiaire de la licence doit indiquer tous les employés pour lesquels il existe un arriéré de paiement, un montant différé ou un montant contesté » (ce qui est le cas pour Mbappé). Des clubs ont été sanctionnés pour de tels manquements. En 2022-2023, certains, comme Cluj (Roumanie), NK Osijek (Croatie) ou l'Aris Salonique (Grèce) ont subi des exclusions avec sursis des compétitions européennes, avec obligation de régulariser au plus vite leur situation et ont été sanctionnés d'amendes. La saison dernière, le FC Porto (1,5 million d'euros) ou encore le CSKA Sofia (450 000) ont été sanctionnés financièrement.
  8. Foot, PSG Kylian Mbappé refuse la proposition de médiation de la LFP dans le conflit financier qui l'oppose au PSG Kylian Mbappé réclame 55 millions d'impayés à son ancien club. (Baptiste Paquot/L'Équipe) Alors qu'une proposition de médiation avait été posée sur la table par la Ligue de football professionnel (LFP) dans la journée, Kylian Mbappé a refusé cette offre, selon un communiqué livré à l'AFP. publié le 11 septembre 2024 à 16h59 C'est un conflit qui ne semble pas près de s'arrêter. Entre Kylian Mbappé et le Paris Saint-Germain, le litige continue. La Ligue de football professionnel (LFP) avait pourtant tenté d'y mettre un terme ce mercredi, en proposant une offre de médiation, dont s'était « réjouit » le PSG. Mais le capitaine de l'équipe de France ne semble pas être du même avis et a refusé l'offre de la LFP, a-t-on appris dans un communiqué publié par l'AFP. L'international français (86 sélections, 48 buts) réclame donc toujours 55 millions d'impayés au club de la capitale.
  9. Foot, PSG abonné Premier round entre Kylian Mbappé et le PSG devant la LFP La commission juridique de la LFP, saisie par Kylian Mbappé pour son litige avec le PSG sur des arriérés de salaires et de primes, doit se réunir ce mercredi matin. Une première étape avant de se retrouver devant la justice dans les prochains mois ? Loïc Tanzipublié le 11 septembre 2024 à 06h30mis à jour le 11 septembre 2024 à 13h57 Même si Kylian Mbappé n'est plus un joueur du Paris-Saint-Germain, ses affaires avec le club de la capitale ne sont pas terminées. Ses avocats ont rendez-vous ce mercredi matin, avec ceux du PSG, devant la commission juridique de la LFP. Cette dernière avait été saisie fin août par le néo-Madrilène pour des arriérés de salaire et de primes de la saison dernière. Le capitaine de l'équipe de France et ses avocats réclament 55 millions d'euros au club de la capitale, que le joueur a quitté libre cet été pour rejoindre le Real Madrid. L'argumentaire des deux parties tourne autour de deux accords, que la partie joueur conteste, passés les 11 et 12 août 2023 entre le joueur et Nasser al-Khelaïfi, le président du club. Deux documents qui n'ont jamais été signés et qui sont le point de départ d'une année de négociations sans résultat. Le PSG n'a pas tenu tous ses engagements, selon le clan Mbappé Un premier accord a été verbalisé entre les deux hommes, puis proposé au Paris-Saint-Germain par Delphine Verheyden, l'avocate de l'attaquant français, au travers d'une lettre, dont nous avons eu connaissance, envoyée le 11 août 2023 à Victoriano Melero, le secrétaire général du club, quand le joueur était mis à l'écart. Il y est écrit : « Mon client me charge de vous indiquer que pour mettre un terme à cette menace intenable pour un joueur de son rang de ne pas jouer une saison entière, et pour que cesse cette destruction de son image auprès du grand public par la propagation, y compris virale via de faux comptes que nous avons identifiés, d'informations mensongères (*), mon client formule la proposition suivante : - Réduire de 55 millions brut les primes devant lui être versées lors de la saison 2023-2024 (correspondant aux 30 millions de prime de fidélité liée aux deux premières années de contrat et 25 millions de prime de signature), ceci représentant une économie de plus de 68 millions dans les comptes du club ; - Transposer le règlement de ce même montant à la saison 2024-2025 s'il devait être encore présent dans les effectifs à cette date. Cette proposition est conditionnée aux éléments cumulatifs suivants : - Qu'il soit réintégré dans le groupe pour le match du 12 août 2023 et n'en soit plus sorti de toute la saison sportive ; - Que cet avenant soit signé au plus tard lundi 14 août à 12 h. Passé cette date l'offre sera caduque ; - Rédaction d'un communiqué de presse commun indiquant la fin du différend, la réintégration sans condition dans le groupe et le pas fait par mon client pour résoudre ce différend. » « Avec l'accord que j'ai passé avec le président cet été, peu importe mon choix, on a réussi à protéger l'ensemble des parties et à préserver la sérénité du club pour les défis à venir, ce qui reste le plus important » Kylian Mbappé, le 4 janvier 2024 Mbappé et son entourage estiment que cet accord est devenu caduc à partir du moment où il n'a pas été signé, ni envoyé à la LFP à la date demandée. « Cette proposition, qui était valable jusqu'au 14 août 2023, a expiré sans que le club n'y apporte aucune réponse, écrit de nouveau Delphine Verheyden au PSG le 31 mai 2024, pour demander le paiement des primes et salaires. A fortiori elle n'a jamais été régularisée par voie d'avenant au contrat de travail, ni enregistrée auprès de la LFP. »L'avocate y ajoute : « De manière absolument erratique, en septembre 2023, la prime de 30 millions brut, dite de fidélité et qui était due si le joueur était dans les effectifs du club à cette date, n'a pas été versée, tandis que celle correspondant au deuxième tiers de la prime de signature l'était. Plus tard, la prime relative au dernier tiers de la prime de signature (36,6 millions brut), qui était due en février 2024, n'était pas non plus réglée. Enfin, ses salaires des mois d'avril et mai 2024 n'ont à ce jour pas encore été versés. » Le capitaine des Bleus et son équipe considèrent également que, même si l'accord avait été conclu, les engagements du club n'ont pas été tenus : « Celui de laisser Kylian Mbappé jouer a été bafoué, celui-ci ne jouant notamment que onze matches entiers sur les 21 derniers de la saison. » Paris rétorque que c'est une décision purement sportive, prise sans influence de la part de Luis Enrique. Là encore, les deux versions divergent. À Paris, on estime qu'un accord oral a été conclu avec Mbappé, et qu'il fait foi. Le club compte notamment utiliser les déclarations du joueur devant la presse, le 4 janvier 2024, comme preuve : « Je n'ai pas encore pris ma décision, mais avec l'accord que j'ai passé avec le président cet été, peu importe mon choix, on a réussi à protéger l'ensemble des parties et à préserver la sérénité du club pour les défis à venir, ce qui reste le plus important. Ma décision, c'est secondaire », a-t-il déclaré après la victoire du PSG face à Toulouse lors du Trophée des champions (2-0). lire aussiPrimes et salaires impayés : Mbappé ne lâche pas le PSG Un rôle clé pour Luis Enrique et Campos à terme Pour répondre aux conseillers de Mbappé, le club écrit alors le 1er juillet 2024, dans un nouvel échange de courriers : « Si cet avenant n'a pas été signé, c'est parce que, comme vous le savez, une réunion s'est tenue au club le 12 août 2023 (au lendemain donc de la première lettre) à laquelle étaient présents votre client, le président du club ainsi que Messieurs Luis Campos et Luis Enrique au cours de laquelle les modalités de l'accord ont été discutées et renégociées pour aboutir à un accord différent de celui proposé par vos soins le 11 août. Le président a expliqué qu'il ne pouvait pas se contenter d'une baisse de rémunération à hauteur de 55 millions d'euros bruts dans le cas où, finalement, il déciderait de quitter le club le 30 juin 2024. Il a ainsi été établi de s'accorder sur un "gentlemen's agreement"basé sur deux cas de figure : - Cas n° 1 : le joueur accepte de prolonger son contrat jusqu'au 30 juin 2025, ce qui permet au club de réaliser son transfert lors du mercato d'été 2024 sur la base d'une indemnité de transfert évaluée d'un commun accord à un minimum de 180 millions d'euros et, dans ce cas, le joueur perçoit une prime de fidélité ; - Cas n° 2 : le joueur décide de ne pas prolonger son contrat jusqu'au 30 juin 2025, ce qui empêche le club de réaliser son transfert lors du mercato d'été 2024 et dans ce cas, le joueur accepte de revoir à la baisse ses conditions de rémunération de la saison 2023-2024. C'est dans ce contexte que je vous ai adressé un avenant n° 7 consignant les modalités de l'accord telles que convenues dans le cas n° 1, à savoir la prolongation du contrat sur la saison 2024-2025, et que je vous ai invitée à venir discuter cette proposition. Après plusieurs relances, le 22 août 2023, vous m'avez répondu par mail : "Mon client m'informe qu'il souhaite évoquer ce sujet avec son Président". À cet instant, nous avons compris que vous n'étiez plus habilitée à discuter et que les accords passés resteraient oraux. » lire aussiToute l'actualité du football C'est autour de la notion d'accord, et avec les documents amenés par les deux parties, que la commission devra statuer. Il existe trois options : la commission de la LFP demande au PSG de payer à Kylian Mbappé les sommes demandées ; elle prône une médiation ; elle estime que la direction parisienne a été dans son droit. Dans tous les cas, cette affaire devrait se prolonger à l'UEFA, aux prud'hommes puis sans doute au pénal. Les deux parties s'y attendent et s'y préparent. Présents lors de certaines réunions, Luis Enrique et Luis Campos pourraient alors avoir un rôle déterminant par leurs témoignages. (*) Contacté, le PSG a tenu à démentir formellement ces accusations. Le PSG risque des sanctions La commission juridique de la LFP va ce mercredi matin vivre un moment historique. Jamais elle n'a eu à traiter un dossier aussi sensible impliquant de tels enjeux financiers, puisque Kylian Mbappé, qui l'a saisie il y a quelques semaines et qui a aussi porté l'affaire devant l'UEFA, réclame 55 millions d'euros d'arriérés de primes et de salaires à son ancien club, le Paris-Saint-Germain. Cette première réunion entre les deux parties va permettre d'étudier les différentes pièces fournies il y a quelques jours et de confronter les points de vue. À l'issue, la commission pourrait vouloir reconvoquer les deux camps. Elle peut aussi mettre le dossier en délibéré et rendre sa décision plus tard, mais elle peut également statuer dès ce mercredi. « Compte tenu de l'ambiance actuelle, la plus grande prudence s'impose pour la commission, recommande un spécialiste de ce genre de dossiers. Après, le problème est simple, si ce qui est réclamé par Mbappé relève de son contrat de travail et qu'il y a eu une transgression du droit du travail alors, à défaut d'un accord, c'est le conseil de prud'hommes qui devra trancher le différend. » Comme ce sont des sommes à caractère de salaire, les intérêts courent à compter de la saisine prud'homale. Le taux actuel pour les créances des particuliers est de plus de 8 % annuel, ce qui représente un réel risque financier pour le PSG. Si Mbappé gagnait devant les prud'hommes, le club devrait en effet lui verser les arriérés plus 8 % de ce montant si la décision est rendue un an après la saisine. Et davantage donc si la décision intervenait plus longtemps après. En attendant, si la commission juridique reconnaît les torts du club parisien et lui demande de payer Mbappé, elle peut, dans le cas où ce règlement ne serait pas effectué, « prendre toute mesure administrative qu'elle estime justifiée » et lui infliger une amende. Mais elle peut aussi, pour « tout défaut de paiement d'un club professionnel français de sommes dues de manière certaine (...) à un autre club français ou un joueur/entraîneur, prononcer à l'encontre du club concerné une interdiction de recruter tout nouveau joueur jusqu'à régularisation de la situation », est-il écrit dans l'article 409 des statuts et des règlements de la LFP. A. H.
  10. Pour éviter de faire des hors sujet dans les autres. Je vais remettre les différents articles concernant le litige PSG-Mbappé. Mais bien sûr on pourra mettre toutes les infos et débats concernant le affaires judiciaires liées au foot.
  11. On devrait créer un sujet Foot-Justice 😂😂 pour répondre à Coconuts, un article de l’Equipe d’hier qui explique en détail le différend. Foot, PSG abonné Premier round entre Kylian Mbappé et le PSG devant la LFP La commission juridique de la LFP, saisie par Kylian Mbappé pour son litige avec le PSG sur des arriérés de salaires et de primes, doit se réunir ce mercredi matin. Une première étape avant de se retrouver devant la justice dans les prochains mois ? Loïc Tanzipublié le 11 septembre 2024 à 06h30mis à jour le 11 septembre 2024 à 13h57 Même si Kylian Mbappé n'est plus un joueur du Paris-Saint-Germain, ses affaires avec le club de la capitale ne sont pas terminées. Ses avocats ont rendez-vous ce mercredi matin, avec ceux du PSG, devant la commission juridique de la LFP. Cette dernière avait été saisie fin août par le néo-Madrilène pour des arriérés de salaire et de primes de la saison dernière. Le capitaine de l'équipe de France et ses avocats réclament 55 millions d'euros au club de la capitale, que le joueur a quitté libre cet été pour rejoindre le Real Madrid. L'argumentaire des deux parties tourne autour de deux accords, que la partie joueur conteste, passés les 11 et 12 août 2023 entre le joueur et Nasser al-Khelaïfi, le président du club. Deux documents qui n'ont jamais été signés et qui sont le point de départ d'une année de négociations sans résultat. Le PSG n'a pas tenu tous ses engagements, selon le clan Mbappé Un premier accord a été verbalisé entre les deux hommes, puis proposé au Paris-Saint-Germain par Delphine Verheyden, l'avocate de l'attaquant français, au travers d'une lettre, dont nous avons eu connaissance, envoyée le 11 août 2023 à Victoriano Melero, le secrétaire général du club, quand le joueur était mis à l'écart. Il y est écrit : « Mon client me charge de vous indiquer que pour mettre un terme à cette menace intenable pour un joueur de son rang de ne pas jouer une saison entière, et pour que cesse cette destruction de son image auprès du grand public par la propagation, y compris virale via de faux comptes que nous avons identifiés, d'informations mensongères (*), mon client formule la proposition suivante : - Réduire de 55 millions brut les primes devant lui être versées lors de la saison 2023-2024 (correspondant aux 30 millions de prime de fidélité liée aux deux premières années de contrat et 25 millions de prime de signature), ceci représentant une économie de plus de 68 millions dans les comptes du club ; - Transposer le règlement de ce même montant à la saison 2024-2025 s'il devait être encore présent dans les effectifs à cette date. Cette proposition est conditionnée aux éléments cumulatifs suivants : - Qu'il soit réintégré dans le groupe pour le match du 12 août 2023 et n'en soit plus sorti de toute la saison sportive ; - Que cet avenant soit signé au plus tard lundi 14 août à 12 h. Passé cette date l'offre sera caduque ; - Rédaction d'un communiqué de presse commun indiquant la fin du différend, la réintégration sans condition dans le groupe et le pas fait par mon client pour résoudre ce différend. » « Avec l'accord que j'ai passé avec le président cet été, peu importe mon choix, on a réussi à protéger l'ensemble des parties et à préserver la sérénité du club pour les défis à venir, ce qui reste le plus important » Kylian Mbappé, le 4 janvier 2024 Mbappé et son entourage estiment que cet accord est devenu caduc à partir du moment où il n'a pas été signé, ni envoyé à la LFP à la date demandée. « Cette proposition, qui était valable jusqu'au 14 août 2023, a expiré sans que le club n'y apporte aucune réponse, écrit de nouveau Delphine Verheyden au PSG le 31 mai 2024, pour demander le paiement des primes et salaires. A fortiori elle n'a jamais été régularisée par voie d'avenant au contrat de travail, ni enregistrée auprès de la LFP. »L'avocate y ajoute : « De manière absolument erratique, en septembre 2023, la prime de 30 millions brut, dite de fidélité et qui était due si le joueur était dans les effectifs du club à cette date, n'a pas été versée, tandis que celle correspondant au deuxième tiers de la prime de signature l'était. Plus tard, la prime relative au dernier tiers de la prime de signature (36,6 millions brut), qui était due en février 2024, n'était pas non plus réglée. Enfin, ses salaires des mois d'avril et mai 2024 n'ont à ce jour pas encore été versés. » Le capitaine des Bleus et son équipe considèrent également que, même si l'accord avait été conclu, les engagements du club n'ont pas été tenus : « Celui de laisser Kylian Mbappé jouer a été bafoué, celui-ci ne jouant notamment que onze matches entiers sur les 21 derniers de la saison. » Paris rétorque que c'est une décision purement sportive, prise sans influence de la part de Luis Enrique. Là encore, les deux versions divergent. À Paris, on estime qu'un accord oral a été conclu avec Mbappé, et qu'il fait foi. Le club compte notamment utiliser les déclarations du joueur devant la presse, le 4 janvier 2024, comme preuve : « Je n'ai pas encore pris ma décision, mais avec l'accord que j'ai passé avec le président cet été, peu importe mon choix, on a réussi à protéger l'ensemble des parties et à préserver la sérénité du club pour les défis à venir, ce qui reste le plus important. Ma décision, c'est secondaire », a-t-il déclaré après la victoire du PSG face à Toulouse lors du Trophée des champions (2-0). lire aussiPrimes et salaires impayés : Mbappé ne lâche pas le PSG Un rôle clé pour Luis Enrique et Campos à terme Pour répondre aux conseillers de Mbappé, le club écrit alors le 1er juillet 2024, dans un nouvel échange de courriers : « Si cet avenant n'a pas été signé, c'est parce que, comme vous le savez, une réunion s'est tenue au club le 12 août 2023 (au lendemain donc de la première lettre) à laquelle étaient présents votre client, le président du club ainsi que Messieurs Luis Campos et Luis Enrique au cours de laquelle les modalités de l'accord ont été discutées et renégociées pour aboutir à un accord différent de celui proposé par vos soins le 11 août. Le président a expliqué qu'il ne pouvait pas se contenter d'une baisse de rémunération à hauteur de 55 millions d'euros bruts dans le cas où, finalement, il déciderait de quitter le club le 30 juin 2024. Il a ainsi été établi de s'accorder sur un "gentlemen's agreement"basé sur deux cas de figure : - Cas n° 1 : le joueur accepte de prolonger son contrat jusqu'au 30 juin 2025, ce qui permet au club de réaliser son transfert lors du mercato d'été 2024 sur la base d'une indemnité de transfert évaluée d'un commun accord à un minimum de 180 millions d'euros et, dans ce cas, le joueur perçoit une prime de fidélité ; - Cas n° 2 : le joueur décide de ne pas prolonger son contrat jusqu'au 30 juin 2025, ce qui empêche le club de réaliser son transfert lors du mercato d'été 2024 et dans ce cas, le joueur accepte de revoir à la baisse ses conditions de rémunération de la saison 2023-2024. C'est dans ce contexte que je vous ai adressé un avenant n° 7 consignant les modalités de l'accord telles que convenues dans le cas n° 1, à savoir la prolongation du contrat sur la saison 2024-2025, et que je vous ai invitée à venir discuter cette proposition. Après plusieurs relances, le 22 août 2023, vous m'avez répondu par mail : "Mon client m'informe qu'il souhaite évoquer ce sujet avec son Président". À cet instant, nous avons compris que vous n'étiez plus habilitée à discuter et que les accords passés resteraient oraux. » lire aussiToute l'actualité du football C'est autour de la notion d'accord, et avec les documents amenés par les deux parties, que la commission devra statuer. Il existe trois options : la commission de la LFP demande au PSG de payer à Kylian Mbappé les sommes demandées ; elle prône une médiation ; elle estime que la direction parisienne a été dans son droit. Dans tous les cas, cette affaire devrait se prolonger à l'UEFA, aux prud'hommes puis sans doute au pénal. Les deux parties s'y attendent et s'y préparent. Présents lors de certaines réunions, Luis Enrique et Luis Campos pourraient alors avoir un rôle déterminant par leurs témoignages. (*) Contacté, le PSG a tenu à démentir formellement ces accusations. Le PSG risque des sanctions La commission juridique de la LFP va ce mercredi matin vivre un moment historique. Jamais elle n'a eu à traiter un dossier aussi sensible impliquant de tels enjeux financiers, puisque Kylian Mbappé, qui l'a saisie il y a quelques semaines et qui a aussi porté l'affaire devant l'UEFA, réclame 55 millions d'euros d'arriérés de primes et de salaires à son ancien club, le Paris-Saint-Germain. Cette première réunion entre les deux parties va permettre d'étudier les différentes pièces fournies il y a quelques jours et de confronter les points de vue. À l'issue, la commission pourrait vouloir reconvoquer les deux camps. Elle peut aussi mettre le dossier en délibéré et rendre sa décision plus tard, mais elle peut également statuer dès ce mercredi. « Compte tenu de l'ambiance actuelle, la plus grande prudence s'impose pour la commission, recommande un spécialiste de ce genre de dossiers. Après, le problème est simple, si ce qui est réclamé par Mbappé relève de son contrat de travail et qu'il y a eu une transgression du droit du travail alors, à défaut d'un accord, c'est le conseil de prud'hommes qui devra trancher le différend. » Comme ce sont des sommes à caractère de salaire, les intérêts courent à compter de la saisine prud'homale. Le taux actuel pour les créances des particuliers est de plus de 8 % annuel, ce qui représente un réel risque financier pour le PSG. Si Mbappé gagnait devant les prud'hommes, le club devrait en effet lui verser les arriérés plus 8 % de ce montant si la décision est rendue un an après la saisine. Et davantage donc si la décision intervenait plus longtemps après. En attendant, si la commission juridique reconnaît les torts du club parisien et lui demande de payer Mbappé, elle peut, dans le cas où ce règlement ne serait pas effectué, « prendre toute mesure administrative qu'elle estime justifiée » et lui infliger une amende. Mais elle peut aussi, pour « tout défaut de paiement d'un club professionnel français de sommes dues de manière certaine (...) à un autre club français ou un joueur/entraîneur, prononcer à l'encontre du club concerné une interdiction de recruter tout nouveau joueur jusqu'à régularisation de la situation », est-il écrit dans l'article 409 des statuts et des règlements de la LFP. A. H.
  12. Foot, L1, OL abonné Pourquoi le modèle financier de l'OL pose question Au-delà de la situation sportive, le modèle financier de l'Olympique Lyonnais interroge de nombreux acteurs du foot français. Régis Dupont, Hugo Guillemet et Syanie Dalmatpublié le 12 septembre 2024 à 00h33 La crise ne rôde jamais loin de l'Olympique Lyonnais, qui a enclenché la semaine dernière la mise à l'écart de David Friio, son directeur sportif, nouvelle victime de son mode de fonctionnement instable. Depuis la vente du club à John Textor, en décembre 2022, il est passé d'une ère à l'autre à tous les niveaux. Intégré au sein du groupe Eagle, le septuple champion de France a basculé dans une logique financière qui peut inquiéter, alors que la stratégie reste bâtie sur un élément qui manque toujours : les résultats sportifs. Quelle est la situation financière du club ? Mauvaise mais pas désespérée. Comme avant le rachat par Eagle Group, l'OL perd de l'argent chaque année (99 millions d'euros en 2022-2023). Parce que son modèle économique s'appuyait, sous l'ère Jean-Michel Aulas comme aujourd'hui, sur des qualifications européennes récurrentes, et plutôt en Ligue des champions qu'en Ligue Europa. Les mauvais résultats sportifs depuis cinq saisons (le club n'a plus fini sur le podium depuis l'exercice 2018-2019) plombent le bilan. Mais moins que la mauvaise gestion sportive au sens large. La mise à l'écart de Friio, la semaine dernière, est le symptôme de ce navire sans boussole. lire aussiDavid Friio, le directeur sportif de l'OL, mis à pied Le club traîne une masse salariale déconnectée de la valeur réelle de l'effectif, parmi les plus importantes en L1, et le recrutement comme joker de Jordan Veretout ajoute un nouveau contrat au-dessus des 300 000 euros brut mensuels accordé à un trentenaire, alors que d'autres très hauts revenus, comme Dejan Lovren ou Anthony Lopes, vivent en marge du groupe. Le dernier mercato, qui devait permettre de dégraisser après une hausse de 50 % de la masse salariale, a été un échec. Il a poussé les dirigeants à accepter le départ d'un grand espoir du club en défense centrale (Mamadou Sarr à Strasbourg) pour 10 M€. Et les pratiques au quotidien n'envoient pas un message hyper positif : de nombreux fournisseurs se plaignent d'être payés très en retard ou attendent encore de l'être. Ces retards, le club les impute en partie à des désaccords sur le « fléchage » de ces dépenses entre les différentes entités. Mais elles diffusent a minima l'image d'un club devenu mauvais payeur. La réponse de John Textor :« Je regarde tous les comptes, nous avons actuellement des dettes auprès de nos fournisseurs, très importantes, avec des délais plus long que d'habitude, c'est pour cela que je vous ai parlé de la situation complexe liée au retard de paiement d'une partie des droits télé. L'été a été compliqué et cela a un impact sur notre trésorerie. En ce qui concerne les agents, ils se plaignent même quand ils sont payés mais il est vrai que nos prestataires ont été mis sous tension, je le reconnais. Avant la fin de l'été, et nous les remercions pour leur patience, toute la situation sera réglée. » John Textor en octobre 2023. (A.Martin/L'Equipe) Quelle est la stratégie d'Eagle ? Adossé à des fonds d'investissement qui ont financé l'achat du club pour 800 M€, Eagle Group semble engagé dans une sorte de fuite en avant. Depuis son arrivée aux manettes, Eagle a procédé à une sorte de vente à la découpe, entre les cessions d'OL Reign, de l'équipe féminine et celle en cours de la LDLC Arena, la salle de sport voisine du Groupama Stadium. Pour recentrer son activité sur le foot masculin, assure-t-on. lire aussiL'OL vend la LDLC Arena à Jean-Michel Aulas pour 160M€ « Sous Aulas, le but était d'avoir un groupe OL diversifié, une marque diversifiée, comme le Real Madrid, le FC Barcelone, autour d'OL Land, résume Lionel Maltese, professeur d'économie du sport à l'université d'Aix-Marseille et à Kedge Business School. Là, Textor voit que certaines activités perdent de l'argent, que l'aire urbaine ne se développe pas aussi vite qu'espéré, et vend l'Arena avant qu'elle ait le temps de s'installer. Il a limité les pertes pour se recentrer autour du sportif. C'est son groupe qui prévaut plutôt que le groupe OL. » « On sent qu'il a vraiment envie de faire de la post-formation, acheter des joueurs, les revendre et faire du fric comme ça, comme toutes ces nouvelles structures, le fameux trading », continue Jean-François Brocard, professeur d'économie à l'université de Limoges. John Textor, le propriétaire de l'OL. (M.Jegat/Le Progrès) La réponse de Textor : « La stratégie, ce n'est pas forcément l'académie mais acheter un joueur qui pourrait contribuer au niveau européen. Je n'aime pas la dette, en règle générale. Une bonne partie de la dette, 40 %, sera soldée d'ici à la fin d'année, le reste sur du long terme. Nous demandons d'être cotés à la Bourse de New York. Nous sommes en train de faire le nécessaire auprès de l'autorité américaine. Le marché est positif, nous sommes diversifiés : sport, divertissement, technologie. D'ici à trois, quatre ans, on aura plus de revenus. Le foot est un moyen formidable de toucher un grand public mais avoir un modèle diversifié comme le nôtre, cela plaît beaucoup à nos investisseurs. » Quid des fameux 100 millions ? Durant son intervention, Textor a démenti avoir promis 100 M€ de ventes devant la DNCG. Quoi qu'il en soit, les comptes de l'OL sont dans le rouge, le club n'ayant pas cédé suffisamment de joueurs et en ayant acheté d'autres pour des montants importants. S'expose-t-il à de nouvelles sanctions de l'instance de contrôle, qui lui avait infligé en début de saison 2023-2024 un encadrement de la masse salariale et des indemnités de mutation ? A priori non, puisque l'exercice comptable s'achève le 30 juin prochain. lire aussiJohn Textor, le propriétaire de l'OL, en conférence de presse : « Je me demande si les autres équipes vont survivre » Le club dispose du mercato d'hiver et du début du mercato d'été suivant pour rectifier son bilan. « Si jamais ça ne suffit pas, il faudra absolument qu'ils travaillent sur leurs fonds propres, soit avec Textor, soit avec une autre solution qui, a priori, dans le cadre d'une multipropriété, n'existe pas,explique Jean-François Brocard. Ils ne vont pas faire entrer un nouvel actionnaire minoritaire. C'est Textor qui va devoir remettre au pot. » Et c'est visiblement ce qu'il a déjà commencé à faire, comme il l'a indiqué mercredi. La réponse de Textor :« On a prévu de vendre pour 130 millions d'euros et d'acheter pour 211 millions, ça fait - 80, là, on est à - 105, ce qui ne fait pas une grosse différence au niveau du budget. On a acheté pour 145 millions et vendu pour 40 millions, la différence est de 105 millions. Il y a eu quelques promesses de faites auprès de la DNCG. Si tout cela ne se réalise pas, j'ai promis moi-même de combler quelques trous et d'injecter 65 millions d'euros. J'ai déjà financé 22 millions, je vais bientôt mettre 40 millions dans les semaines à venir. La vente de nos parts dans Crystal Palace va restaurer notre fonds de roulement. » Un scénario à la bordelaise est-il possible ? Lionel Maltese rappelle : « Les fonds, leur but est de récupérer une ressource et d'être sûrs de pouvoir ponctionner cette ressource sur la seule base du rendement économique. » Contrairement aux Girondins, l'Olympique Lyonnais dispose de plusieurs actifs essentiels. D'abord, son stade, le Groupama Stadium (59 186 places), vecteur de recettes pérennes à long terme. Ensuite, son centre d'entraînement. Enfin, son centre de formation, réputé l'un des meilleurs de France. lire aussi« Les voir là, c'est beau » : Rio Mavuba et Paul Baysse, les vétérans qui dépannent Bordeaux « Bordeaux n'avait pas d'actif immobilier ou physique, ce n'est pas comparable, rappelle Lionel Maltese. Ce qui est comparable, en revanche, c'est qu'on ne comprend pas ce qu'ils font. » Depuis son arrivée, John Textor a déjà changé deux fois de directeur général. « Alors que sous Aulas, il y avait une très grande durabilité du top management, rappelle Maltese. La stratégie n'est pas claire. Or, les clubs qui ont beaucoup de turnover ont du mal à appliquer la stratégie. » Textor (à droite) avec Pierre Sage, l'entraîneur lyonnais, en mai 2024. (A.Martin/L'Equipe) Le football français observe cela avec circonspection. « C'est une sorte de quitte ou double. C'est risqué, mais j'ai vu des présidents réussir comme ça », prévient un ancien dirigeant de L1 qui, comme d'autres, rêve d'un scénario à la lilloise, où Olivier Létang et son équipe ont redressé un club laissé exsangue par le futur fossoyeur des Girondins. La réponse de Textor :« Nous avons accès à du cash par d'autres moyens, on commence l'automne avec les bonnes perspectives, côté business et pour les compétitions à venir. » Lyon
  13. C’est la prime de fidélité qui devait sauter
  14. Là où le PSG se défends, c’est vis-à-vis des déclarations publiques de Mbappé sur sa situation à Paris, la saison dernière. Non pas que je défende Paris ou Mbappé, je m’en fous royalement de l’issue de ce dossier qui concernera une bataille d’avocats à coût de centaine de milliers d’euros voir millions. D’un côté, il y a les pièces juridiques allant dans le sens de Mbappé. De l’autre des déclarations médiatiques répétées et une attitude de Mbappé allant dans le sens d’un accord préservant l’intérêt des 2 partis et de Paris, qui ne devait pas payer les primes. Par contre les salaires non versés, qui ne représentent qu’une partie minoritaire de la somme réclamée, je ne vois pas pourquoi ils sont bloqués. L’article de l’Equipe : Enjoint par la commission juridique de la LFP à payer 55 M€ à Kylian Mbappé, le PSG s'estime dans son droit et ne paiera pas, prêt à régler l'affaire devant les tribunaux. J. Ba.publié le 12 septembre 2024 à 17h55mis à jour le 12 septembre 2024 à 18h30 On est à l'évidence partis pour une procédure à rallonge. Enjoint ce jeudi par la commission juridique de la LFP à régler 55 M€ d'arriérés de primes et de salaires à Kylian Mbappé, le PSG n'a pas l'intention de régler cette somme. Le club de la capitale s'estime dans son droit et attend désormais que l'attaquant de 25 ans réclame son dû devant les tribunaux habilités à juger des affaires relatives au droit du travail (a priori le conseil des prud'hommes). « Compte tenu des limites du champ juridique de la commission pour prendre une décision complète sur ce dossier, l'affaire doit désormais être contestée devant une autre juridiction, à laquelle le Paris Saint-Germain se réjouira de présenter l'ensemble des faits au cours des mois et des années à venir », écrit le club parisien dans un communiqué. Et d'ajouter : « En droit et en fait, le joueur a pris des engagements publics et privés clairs et répétés qui doivent être respectés, ayant bénéficié d'avantages sans précédent de la part du club pendant 7 ans à Paris. Le club attend avec impatience que ces engagements soient confirmés en temps voulu dans l'enceinte appropriée, si le joueur cherche à poursuivre cette affaire inévitablement préjudiciable à sa réputation. »
  15. l’article complet sur le site l’equipe https://www.lequipe.fr/Medias/Actualites/Amoureux-et-defenseur-du-beau-football-le-journaliste-didier-roustan-est-mort/1507062 Édit : après quelques recherches, il avait un cancer foudroyant du foie de quelques semaines.
  16. Tibbs

    Lens - Lyon / J04 / 15-09-24

    La saison dernière, il n’arbitré Lens en L1 que pour Lorient-Lens (0-0 ; 3CJ Danso, Samba et Fulgini, les 2 derniers pour protestation), puis le match de coupe contre Monaco (2-2 ; 7-8 avec les TAB inclus ; 2CJ Frankowski, puis Samba pour protestation, et CR pour Haise) La saison d’avant, il a arbitré Lens-Angers (3-0 ; aucun carton) et Toulouse-Lens (0-1 ; 2CJ pour Frankowski, et Samba pour ralentissement de jeu) La saison d’encore avant, il n’arbitré Lens que pour la 1ère journée Rennes-Lens (1-1 ; 2CJ pour Seko et Machado) Et encore avant, Lens-Saint-Etienne (2-0 ; 1 CJ pour Kakuta et 2 CR pour St Etienne notamment) puis Lens-Brest (2-1 ; aucun carton pour Lens) et Angers-Lens (2-2 ; aucun carton) On reste invaincu en L1 avec lui au sifflet sur ces dernières saisons, la seule défaite est en CDF au TAB. Attention à Samba qui a pris un jaune sur les 3 derniers matchs arbitrés par Dechepy.
  17. Annuel - paiement échelonné 29,99 €19,99 € Abonnement annuel. 19,99 €/mois pour les 12 premiers mois. Votre abonnement sera renouvelé après le contrat initial de 12 mois pour 29,99 €/mois. 😇 Continuer 😈 Quitter Ce qui me fait ch*er, c’est le service client derrière. Les remontées sont en grande majorité négatives. C’est pas nouveau, mais suite à cette pub, c’est encore pire. Et surtout ce réabonnement automatique a 29,99€. Faut penser à résilier en temps et en heure, faute d’être réengagé au prix fort. J’hésite. Mais si je partage mon abonnement avec une autre personne, ça reviendrait à 10€/pers. Je précise que cette personne supporte un autre club, et qu’il sera rare d’être à 2 en même temps (les 2 matchs en confrontation direct, sous réserve et en espérant que ça soit BeIn + peut être 2 ou 3 fois dans l’année sur un match le dimanche à 17h)
  18. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/La-sa-des-chamois-niortais-placee-en-liquidation-judiciaire/1506960 Encore un club en moins.
  19. Nan chez moi, pas de bière. Et je regarde le match seul. Ou sinon, c’est sur mon tel quand je suis ailleurs ou sur mes accès à distance, comme Prime chez mes parents avec mes accès ces 2 dernières années. Oui, au Kracken, à Liévin, la pinte d’Anosteke est à 7,50. Au Mac à Lens, la 33cl d’Anosteke est à 5,90.
  20. Je vais y réfléchir. 7,50€ la pinte * 4 matchs / mois dans un bar, ça revient cher 😹😹 Dommage que ça ne soit qu’une offre et pas un prix définitif. 20€, c’était le prix plafond que je m’étais fixé.
  21. Moi je dis qu’il faut une équipe de français qui joue en ligue 1. Ça évitera les fuites à l’étranger !! Samba (Lens) Clauss (Nice) - Mawissa (Monaco) - Diakité (Lille) - L.Hernandez (PSG) Zaïre-Emery (PSG) - André (Lille) - Santamaria (Rennes) Dembelé (Rennes) - Lacazette (Lyon) - Barcola (PSG) RP : Chevalier (Lille) / Lafont (Nantes) - Brassier (OM) / Doukouré (Strasbourg) / Truffert (Rennes) / Merlin (OM) - Veretout (Lyon) / Lees-Melou (Brest) / Akliouche (Monaco) - Kolo-Muani (PSG) / Doué (PSG) / Kalimuendo (Rennes) En gardiens, on a des bons gardiens français en France, donc pas trop compliqué. En défense, c’est compliqué. A droite, à part Clauss, il n’a personne, sinon on en vient à Assignon (Rennes) ou Aguilar (Lens) voir Kumbedi (Lyon) et Centonze (Nantes), c’est pour ça que je n’en ai pas mis mais 2 ArG en RP. Au centre, c’est très jeune avec Mawissa et Diakité, c’est pour ça que j’ai mis Brassière en RP pour l’expérience, on aurait pu mettre Kimpembe (PSG) ou Umtiti (Lille) mais blessés de longue date et niveau actuel incertain, le jeune Magassa (Monaco) voire Gradit (Lens) pour l’expérience. À gauche, les 3 meilleurs sont mis avec un cadre actuel en titulaire. Sinon Locko (Brest) et Bard (Nice) Au milieu, on a un peu de monde, quelques bons soldats comme André et Santamaria à côté du jeune actuel en EDF Zaire-Emery. Un ex bleu avec Veretout, Caqueret en RP et le jeune des espoirs Akliouche. Je n’ai pas mis Cherki, difficile à cerné, Ndombélé, ex bleu dont on ne connaît pas réellement son niveau actuel et l’ex bleu Tolisso, ou encore Rongier ou Lees-Melou. En attaque, faut chercher à Paris avec 3 actuels bleus. J’ai mis Lacazette, comme aux JO, au détriment de Kolo-Muani en titulaire pour avoir un vrai 9 devant. En RP, j’aurais pu prendre Wahi, Maupay, Blas, Laborde… Mais j’ai préféré le talent de Doué à gauche et Kalimuendo. Certes, l’équipe sera moins bonne, mais hormis en défense, où c’est très jeune, on a de bons joueurs quand même. Bien sûr, c’est un peu d’utopie, mais quand on regarde les équipes d’Espagne, Allemagne, Angleterre, Italien, la majeure partie de leur joueurs jouent dans le championnat domestique. Et limiter le choix sur un groupe de 23 à 15 joueurs évoluant dans le championnat national et 8 à l’étranger en UEFA, ça ne doit pas être si difficile que ça. Aujourd’hui on en a 7 dans le groupe dont 5 parisiens (Samba, Clauss, Hernandez, Zaire-Emery, Dembélé, Barcola, Kolo-Muani)
  22. Perso, je regarde (regardais) les matchs de Lens bien sûr. En ligue 1, je regardais (ou jetais un œil) sur quelques matchs quand les horaires n’étaient pas bidons, que l’affiche était pas trop mal. Genre le dimanche après-midi, je n’ai quasiment jamais regardé de match hors Lens, peut-être 1 fois ou 2 le multiplex. Plutôt le match du vendredi soir ou samedi soir si dispo et rien d’autre à la TV de temps en temps. Et avant sur canal, le dimanche soir. La majeure partie du temps, je suivais l’évolution des scores. En Europe, je regarde quelques matchs de Premier League, notamment Tottenham si Lens ne joue pas en même temps et si je suis dispo. Après regarder est un grand mot, plutôt suivre de loin et des morceaux du match. Jamais ou de façon non significative et épisodique de match espagnol ( dernièrement, un bout du match du Real pour la 1ere de Mbappé, mais c’est tout), italien, allemand. Et je regarde les matchs de l’EDF 80% du temps. Et pas mal de matchs de la CDM et l’Euro. De temps en temps les féminines bleues (Euro, CDM, JO). Ça m’est arrivé aussi de regarder quelques matchs de la CAN, notamment la CIV dernièrement, ou des matchs diffusés en direct sur l’Equipe 21 quand il y a un international lensois et que la France ne joue pas en même temps. Ensuite, je ne regarde jamais de match en différé. Je préfère le suspens du direct que de regarder un match dont on connaît déjà le score. Les autres sports : de temps en temps Rolland-Garros, mais c’est pas évident quand on travaille, au pire je suis les résultats et le tableau. Le Tour de France (ou une partie des étapes), si je peux, notamment les étapes de montagne. Ça m’est arrivé quand je pouvais de suivre le Giro, mais je n’ai plus le temps. Et 1 seule fois la Vuelta (cette année je ne rage de pas). Et occasionnellement quand il y’a des matchs à enjeu de l’EDF (demi et finale de hand, rugby). Ensuite, ce sont les JO, où j’ai pas mal regardé cet été. Les autres équipes EDF hors JO, c’est extrêmement rare. Et les matchs de club des autres sports, jamais. En hiver, j’aime bien regarder le Biathlon quand je peux, le WE.
  23. C’est moi qui est des origines normandes. Le « oui et non », c’est moi.
  24. C’est pour l’international : « Pernod Ricard insiste : c'est un accord "à l'international" où la marque PSG est fortement implantée dans certains pays (USA, Brésil, Corée...), c'est uniquement là-bas que des actions seront menées. Et c'est aussi à l'international que le groupe réalise l'essentiel de son chiffre d'affaires. Pas question par exemple de voir des logos Pernod Ricard sur des maillots ou dans un stade en France (ce qui est de toutes façons interdit par la loi française). » https://www.francebleu.fr/infos/insolite/pernod-ricard-signe-avec-le-psg-le-groupe-marseillais-s-explique-et-regrette-une-incomprehension-4028469
  25. Tain…. 😭 Je pensais que c’était le match de 19h BeIn… Vivement qu’ils revoient leur tarif Dazn… « Ne pas craquer » « ne pas craquer » « ne pas craquer » C’est bien de temps en temps un bar, mais pas tout le temps…
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