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Pour les xG, en arrondissant 2-1 https://understat.com/match/28096
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J’aurais inversé Medina et Gradit, mais les notes semblent +/- correctes. Le 5 pour Letexier me semble sévère. Pas forcément de fautes majeures et des décisions dures prisent dans le bon sens. Les tops : Marcin Bulka (Nice) : 8/10 Le Gym peut remercier son gardien, grand artisan du point récolté à Bollaert. Un premier arrêt de grande classe devant M'Bala Nzola, même s'il a de la réussite en déviant la frappe sur son poteau (10e). Un joli réflexe devant Wesley Saïd, ensuite (12e), et une magnifique sortie dans les pieds de Rémy Labeau Lascary pour finir (70e). Son meilleur match de la saison. Dante (Nice) : 7/10 Entré à la mi-temps, le capitaine a tout de suite apporté de la sérénité à une défense ballottée jusque-là. On n'a plus beaucoup vu Nzola et ce n'est sans doute pas un hasard. Solide dans les duels, bon dans l'anticipation, récupérant des ballons hauts : il n'y a pas grand-chose à lui reprocher. lire aussiUn match très animé mais sans but entre Lens et Nice pour le retour de Haise à Bollaert. Brice Samba (Lens) : 7/10 L'international français a été une nouvelle fois au rendez-vous car il n'a pas eu beaucoup de travail à faire mais l'a bien fait à trois reprises. En détournant sur son poteau gauche une frappe de Badredine Bouanani (28e) et en captant devant sa lucarne une tête cadrée de Pablo Rosario sur un coup franc de Jonathan Clauss (66e). Ses relances ont été propres, rapides et opportunes. Il sort enfin un centre-tir de Clauss d'une main gauche ferme (88e). Abdukodir Khusanov (Lens) : 7/10 Sa première période est un modèle de placement et d'interventions. Il a coupé les trajectoires et défendu en avançant pour protéger son équipe en bonifiant l'agressivité de ses deux collègues, Jonathan GRADIT (7) et Facundo MEDINA (6), par de bonnes décisions et des contres efficaces sur l'adversaire dont il était proche. Il est resté tout aussi solide en deuxième période où son coup d'épaule sur Ali Abdi (78e) témoigne de son impact. Sa tête détournée par Clauss sur sa ligne allait dans la lucarne de Bulka (90e+ 1). Adrien Thomasson (Lens) : 6/10 Son agressivité sur le porteur est un moteur du pressing. Elle est associée à beaucoup de mouvements pour proposer des solutions de passes et des fausses pistes. Il est l'un des poumons du onze concocté par Will Still. Il s'est essayé sur quelques tirs sans pour autant inquiéter Bulka. Mais est resté intense et compétiteur jusque dans le temps additionnel. M'Bala Nzola (Lens) : 6/10 Il a amené de la profondeur et de la puissance à l'attaque lensoise. En mettant notamment à contribution Bulka qui détournait sa reprise sur son poteau gauche (10e). Sa capacité à caler les ballons dos au but a également permis aux Lensois de progresser vers l'avant, d'exploiter ses remises et d'avoir la possession. Il avait un peu moins d'essence en deuxième période mais a fait son travail défensif avant son remplacement par Satriano (78e). — Les flops : Wesley Saïd (Lens) : 4/10 Exilé parfois côté gauche dans une équipe qui a souvent insisté côté droit, il a participé aux actions de son équipe mais sans la même influence que son coéquipier Nzola. Il tergiverse et rate une belle action de contre (50e). Et est remplacé par Labeau Lascary(59e), qui ne convertit pas un ballon devant les 5,5 m face à Bulka (70e). Przemyslaw Frankowski (Lens) : 4/10 Il est très disponible et généreux. Mais la qualité de ses centres est insuffisante et ses retours défensifs témoignent de ses efforts car, en retard, il lui arrive de faire des fautes. L'une d'elles sur Boga a été sanctionnée d'un avertissement (53e). Remplacé par Aguilar (78e), qui a été combatif mais n'a pas fait de différence à l'approche des derniers trente mètres, notamment en étant repris sur un contre par Abdi (83e). Mohamed Abdelmonem (Nice) : 3/10 Il a vécu une première demi-heure extrêmement compliquée, battu en vitesse par Nzola qui a bien cru obtenir un penalty (21e) et dans la plupart des duels aériens. Il récolte en outre un jaune pour une faute grossière sur Fulgini (28e) et Franck Haise l'a remplacé dès la mi-temps par Dante. Jérémie Boga (Nice) : 4/10 De retour après sa blessure à un tibia, qui lui avait fait manquer les deux derniers matches, l'ailier a montré quelques bribes de son talent, comme cette passe pour Bouanani, dont la frappe est déviée par Samba sur le poteau (28e). Mais dans l'ensemble, ce fut quand même insuffisant, vu ce qu'il est capable de produire.
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Voir l’autre sujet (la saison de la refonte) où j’ai copié l’article.
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[L1: Saison 2024/2025 du RC Lens] Refonte !
Tibbs a répondu à un(e) sujet de MisterFraiZ dans RC Lens
E. Garnier/L'Équipe) Foot, Transferts abonné Les coulisses du départ de Franck Haise de Lens pour Nice Après sept saisons passées à Lens, où il voulait rester, l'entraîneur Franck Haise a rejoint Nice cet été. Poussé par la reprise en main du propriétaire Joseph Oughourlian et ses changements au sein de la direction. Il s'en explique. Joël Domenighetti à Nice (Alpes-Maritimes)publié le 27 septembre 2024 à 21h28mis à jour le 27 septembre 2024 à 22h02 Après plus de sept ans au sein du RC Lens, Franck Haise (53 ans) a changé de trajectoire cet été en optant pour Nice. L'entraîneur voulait initialement rester dans le Pas-de-Calais s'il existait une continuité au sein de la direction sportive. La reprise en main du propriétaire Joseph Oughourlian (*) a fait voler ce souhait en éclats. Le départ contraint d'Arnaud Pouille, le directeur général, l'a définitivement convaincu de s'en aller. Comme il nous l'a longuement raconté ce 11 septembre au centre d'entraînement des Aiglons. (*) Sollicité, Joseph Oughourlian a décliné notre demande. « À partir de la fin de la saison 2022-2023, j'ai eu pas mal de sollicitations, en France(Marseille, Monaco) et à l'étranger, se souvient-il. Très vite, j'ai dit à mon président que je resterais. Notamment pour vivre la Ligue des champions avec Lens. Il y avait la notion de fin de cycle dans ma réflexion. Je voulais m'occuper du changement avant que le changement ne s'occupe de moi. L'idée d'une année sabbatique n'a pas duré très longtemps. J'aime trop être sur les pelouses, l'adrénaline de la compétition, le métier. Même si ça coûte. En janvier, j'ai demandé à rencontrer Arnaud (Pouille). Je lui dis :"J'ai pris une décision, qui est d'arrêter..."Il m'a regardé avec de gros yeux. "Le poste de manager",ai-je ajouté. Je savais que je n'aurais plus l'énergie ni la clairvoyance nécessaires. Les deux-trois mois qui ont suivi m'ont très vite fait du bien. J'ai repris de l'énergie. » Sa relation avec le président Oughourlian « Sur les quatre ans et demi auprès des pros, je n'ai heureusement pas eu beaucoup d'ingérence » Dans sa réflexion, l'entraîneur normand érige la stabilité comme priorité. À Lens, le propriétaire actionnaire majoritaire, Oughourlian, délègue le fonctionnement du club à son directeur général. Il prend régulièrement connaissance des enjeux économiques, des décisions fortes, notamment lors des conseils d'administration. Comme le recrutement d'Elye Wahi pour 30 M€ (hors bonus) en provenance de Montpellier à l'été 2023 et un salaire de 300 000 € bruts mensuels. lire aussi« Je dois faire des coupures sur les semaines à trois matches » : Franck Haise, entraîneur de Nice, avant le déplacement à Lens L'augmentation de la masse salariale, les renouvellements qui portent à au moins treize les salaires mensuels bruts à six chiffres sont connus. Comme l'arrivée du piston équatorien Jhoanner Chavez, 95 000 € mensuels bruts, toujours selon le club artésien. Il arrive que l'homme d'affaires basé à Londres suggère à ses équipes des joueurs. S'interroge sur des profils peu utilisés en équipe première. S'en ouvre à son entraîneur. « Sur les quatre ans et demi auprès des pros, je n'ai heureusement pas eu beaucoup d'ingérence, continue Haise. Sur la dernière saison, il y a eu une interrogation sur un joueur (l'attaquant colombien Oscar Cortes, prêté cet hiver aux Glasgow Rangers jusqu'au 30 juin prochain). Ceux qui me connaissent savent que je prends les décisions sur la composition d'équipe. Concernant le recrutement, je n'arrivais que sur la fin du processus. Au moment de la validation, après le travail de la cellule. Avec Fred (Hébert, ex-coordinateur sportif), on avait travaillé sur celui de 2024-2025. Les relations entre nous deux sont restées fluides. Nous avons fait des visios pour Lens avec des éléments qui ont signé depuis dans d'autres clubs français. Nous étions tous alignés. » Parti du RC Lens, Haise a côtoyé Grégory Thil, le directeur technique, Arnaud Pouille, ex-directeur général, et le président Joseph Oughourlian (de gauche à droite). (F. Faugère/L'Équipe) Dans ce contexte, Haise opte bien pour son maintien à Lens. « J'avais visité une maison sur le golf d'Arras, une autre à Anzin-Saint-Aubun, à Mont-Saint-Éloi, détaille-t-il. Mon épouse à Duisans (Pas-de-Calais). On en avait regardé une à Mérignies (Nord), au sud de l'aéroport (de Lille-Lesquin). Je n'avais pas fait tout ça avant la fin du Championnat pour le plaisir. » La fin de l'histoire « J'ai quitté Lens en raison du départ d'Arnaud Pouille » En interne, les relations entre Oughourlian et Pouille se tendent. Le patron goûte peu son opposition à plusieurs de ses suggestions. Ni aux changements successifs au sein de la direction sportive (Grégory Thil suivi par Frédéric Hébert, arrivée puis départ express de Mike Mode). Oughourlian a injecté 80 M€ dans le club. Rien depuis quatre saisons. Il aimerait récupérer un peu de cash. La non-arrivée du fonds américain Isos Capital l'en empêche. Comme il l'a reconnu en conférence de presse, Lens n'a pas assez mis d'argent de côté après les recettes engendrées par la Ligue des champions 2023-2024. Pourtant, actuellement, plus de 30 M€ figurent sur le compte courant. Oughourlian convoque son DG, son entraîneur et Benjamin Parrot, ex-directeur de la marque, le 18 avril au château de Beaulieu à Busnes (Pas-de-Calais). « Chez Delphine et Christophe, des amis à moi »,confirme Haise. Ce soir-là, le président dégaine le nom de Diego Lopez, aujourd'hui directeur sportif des Sang et Or. lire aussi« Si on a un petit peu de réflexion foot... » : Bruno Genesio irrité par la programmation « scandaleuse » du derby Lens-Lille « C'est un dîner pour voir où on va, raconte le technicien. Le président voulait de nouveau restructurer le secteur sportif. À ce moment-là, je lui dis que je suis dans une grosse forme d'interrogation. Qu'il existe une possibilité que je parte. Un mois avant, j'étais dans l'esprit de rester. Mais j'avais besoin de clarté. Ce qui a fait la force du club, c'est son unité. Chacun connaissait son rôle, sa place et faisait son travail. J'ai craint que je la perde. » Aux termes de discussions houleuses, Oughourlian a décidé d'imposer Lopez, responsable du recrutement à Bordeaux, qui l'a aidé en Espagne par le passé. « Il a peut-être estimé que c'était une fin de cycle, dit Haise. Je ne peux pas parler pour lui. » « L'unité, reprend le coach, c'est la raison pour laquelle, à la fin, je suis parti très tardivement. J'ai préféré le faire de moi-même plutôt que d'être contraint de le faire six mois ou un an plus tard. J'ai quitté Lens en raison du départ d'Arnaud (Pouille), avec qui j'entretenais une relation de confiance. Je me disais que j'allais encore recommencer de zéro. Je m'étais engagé personnellement avec trois-quatre joueurs dans des visios avant notre dernier match, contre Montpellier (2-2, le 19 mai). Ce n'était pas pour partir quelques jours plus tard. » Lors de la conférence de presse de présentation du nouveau DG, Pierre Dréossi, le 3 juin, Oughourlian ouvre un cahier. Et lit un texte qu'il présente comme un SMS envoyé par son coach, sous contrat jusqu'en juin 2027, qu'il n'a pas souhaité retenir. Il ajoute : « J'ai compris peut-être un peu tard, lors d'un dîner le 18 avril, qu'il allait partir. Sa décision était prise. Ce jour-là, je me suis dit que ce serait compliqué pour qu'il reste. (...) Je n'ai pas cherché à le garder de gré ou de force. » lire aussiLens, une ligne d'attaque réveillée par le coaching de Still face à Rennes « Le seul texto que je lui ai envoyé est daté du 26 mai à 16 h 53, affirme Haise. Il dit : "Bonjour président. Puis-je vous joindre en visio ? Merci."Il me répond à 17 h 51 :"Quand tu veux cher Franck."Je lui précise : "Je vous appelle en visio dans 2 minutes."Il m'envoie un pouce à 17 h 52. La visio, tout est là (il nous montre son téléphone mobile qui prouve le contenu in extenso des échanges). La visio démarrée à 17 h 57 dure dix-huit minutes. Je lui explique que j'ai décidé de partir. Le 31 mai, à 21 h 24, il m'envoie :"Salut coach, cher Franck, juste un mot pour te remercier pour ces quatre années merveilleuses au club et te souhaiter le meilleur pour le reste de ta carrière, tu le mérites. Je t'embrasse, Joseph."Ma dernière réponse est :"Merci président, sept saisons au total (il a entraîné la réserve de Lens de juillet 2017 à février 2020).'' » Sa signature à Nice « J'ai eu un premier contact la semaine du 26 mai » Le lundi 27 mai, l'entraîneur est déjà passé à autre chose, sans illusion. « Je savais qu'il y avait une négociation avec Nice, que je n'ai pas menée, poursuit-il. Même si j'y ai quand même travaillé un peu au final. Je sais avec qui j'ai oeuvré au quotidien pendant sept ans. Sur qui je peux compter, qui sont les gens fiables. » Franck Haise a rejoint Nice et Jean-Pierre Rivère, le patron des Aiglons. (B. Papon/L'Équipe) Le coach ne formule qu'un seul regret. « La seule chose compliquée est de ne pas avoir pu dire au revoir au public, reconnaît-il. J'étais attaché à Lens. Quand on joue Montpellier, ce n'est pas certain que je parte. J'avais tout préparé pour l'avant-saison. Nous ne sommes qualifiés que pour un tour préliminaire (de Ligue Conférence). C'était très frustrant. D'où la lettre que j'ai adressée (aux supporters). Je pensais que j'allais rester. Les tout derniers jours, je me suis dit "Prends des vacances et regarde bien ce qu'il se passe.'' » À Nice, Haise dit y avoir retrouvé d'excellents « rapports humains ». « J'ai eu un premier contact la semaine du 26 mai, révèle-t-il. Avec Fabrice Bocquet (directeur général de Nice), que je connaissais (de Lorient). Les échanges étaient directs, clairs. Super avec le président. J'ai eu deux autres contacts très intéressants avec deux autres clubs français dans la même semaine. Deux autres pour l'étranger, un anglais et un en Arabie saoudite. Je souhaitais rester en France. J'ai senti assez vite que Nice me voulait vraiment. » -
Oups Mendy m’a échappé effectivement
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Samba Gradit - Khusanov - Medina Franko/Aguilar ? - Thomasson - Diouf - Machado/Chavez ? Zaroury RLL/Nzola ? - Saïd RP : Petric - Sarr / Pouilly / Franko ou Aguilar / Chavez ou Machado ? / DPC / Fulgini / Satriano / RLL ou Nzola ? / Sotoca ? + 1 jeune gardien en Num3 dans le groupe mais pas sur la feuille de match. Avec l’absence de milieux (El Aynaoui et Ojediran), on peut penser que Pouilly (6) et DPC (8) seront les potentiels remplaçants à ces postes. A moins qu’un jeune comme Diallo soit appelé ? Absents : Koffi, Danso, Cabot, Ojediran, El Aynaoui, Sotoca ?
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Zut j’avais pas vu ton message. Du coup le mien est redondant
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Nel El Aynaoui : déchirure, absent 2 semaines Amzar Ojediran : déchirure, absent un bon mois Herve Koffi : blessure au psoas, absent 2 mois Kevin Danso : passe des tests à Londres, toujours absent Jimmy Cabot : toujours blessé et absent Florian Sotoca : incertain, suite entaille à la cheville.
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0,26€ ? Je veux bien 😹
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2023/2024 : - PSG - Lens (3-1) : 5 CJ 5 pour Lens (Medina, Sotoca, Spierings, Machado, Gradit) - Le Havre - Lens (0-0) : 5 CJ 3 pour Lens (Diouf, Danso, Frankowski) - Lens - Reims (2-0) : 1 CJ 0 pour Lens - Lens - Monaco (2-3) : 9 CJ 6 pour Lens (Medina, Thomasson, Mendy, Samba, Wahi, Aguilar) + 1 CJ pour Haise - Lens - Le Havre (1-1) : 7 CJ 2 pour Lens (Gradit, Aguilar) 2022/2023 - Lille - Lens (1-0) : 8 CJ 5 pour Lens (Cabot, Medina, Haïdara, Machado, Frankowski) - Strasbourg - Lens (2-2) : 2 CJ 1 pour Lens (Onana) - Lens - Lille (1-1) : 6 CJ 2 pour Lens (Fofana, Gradit) - Lens - Monaco (3-0) : 2 CJ 0 pour Lens 2021/2022 - Lens - PSG (1-1) : 4 CJ 2 pour Lens (Medina, Gradit) - Saint-Etienne - Lens (1-2) : 1 CJ 1 pour Lens (Gradit) - Lens - Bordeaux (3-2) : 5 CJ 3 pour Lens (Doucoure, Sotoca, Frankowski) + 1 CJ pour Haise - Strasbourg - Lens (1-0) : 4 CJ 1 pour Lens (Doucoure) - Troyes - Lens (1-3) : 3 CJ 2 pour Lens (Medina, Frankowski) 2020/2021 - Lille - Lens (4-0) : 2 CJ 1CR2eJ 1CRdir tout pour Lens (CJ Cahuzac, Gradit *2 = CR et CRdir Michelin) Pour Nice : 2023/2024 - Nice - Toulouse (1-0) : 4CJ 2022/2023 - Nice - Marseille (0-3) : 2CJ - Nice - Nantes (1-1) : 6CJ + 1CR2eJ + 1 CRdir - Reims - Nice (0-0) : 2CJ 2021/2022 - Nice - Monaco (2-2) : 5CJ - Nice - Metz (0-1) : 4CJ 2020/2021 - Bordeaux - Nice (0-0) : 2CJ - Nice - Dijon (1-3) : 6CJ - Nice - Marseille (3-0) : 2CJ
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Ils en ont même parlé sur BFM ce midi… pas forcément connu pour être les meilleurs sur les infos sportives.
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Sans aller dans les extrêmes, quelques applaudissements, ou au pire rester « neutre » si on ne veut pas applaudir, mais complètement contre siffler Haise. Ça reste un homme qui attire la sympathie au delà du football, il nous (Lens) a fait grandir de la ligue 2 (certes 2 matchs) à la Coupe d’Europe, élu meilleur entraîneur en 2022-2023, a minima. On lui doit le respect, point, qu’on applaudisse ou pas, mais certainement pas de sifflets… Et maintenant chacun vit sa vie, Lens avec Still et Haise avec Nice. C’est une page qui est tournée. On va vivre avec le présent et le futur et pas rester nostalgique du passé ou vindicatif de son départ.
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Le FCN et Cardiff City se sont rejetés la responsabilité des retards pris dans la procédure liée à la tragique affaire Sala. (P. Lahalle/L'Équipe) Foot, Justice, Affaire Sala abonné Un ping-pong procédural entre Nantes et Cardiff dans l'affaire Sala Lors d'une nouvelle audience, ce lundi, devant le tribunal de commerce de Nantes, le FCN et Cardiff City se sont rejetés la responsabilité des retards pris dans la procédure liée à la tragique affaire Sala. Prochain rendez-vous le 21 octobre. Alban Traquet, à Nantespublié le 23 septembre 2024 à 19h35 Treize minutes de discussions procédurales, dans la promiscuité, face au président et ses deux assesseurs, devant la salle d'audience au plafond bas du tribunal de commerce de Nantes. Quatre robes noires -deux pour le FC Nantes, deux pour Cardiff City- qui défendent, debout, leurs positions et arguments dans un triste dossier qui traîne en longueur, au fil des délais qui s'accumulent, dans l'interminable guerre juridique et financière qui oppose les clubs nantais et gallois, à la suite du décès accidentel d'Emiliano Sala, le 21 janvier 2019, dans le crash d'un petit avion privé dans la Manche. Pour rappel, Cardiff City a été contraint de verser les 17 M€ (plus intérêts) de ce funeste transfert aux Canaris, l'an dernier, après avoir été débouté de ses recours devant la justice sportive. Impitoyable, le club gallois a parallèlement assigné le FCN au civil devant le tribunal de commerce de Nantes, en mai 2023, en s'appuyant sur des statistiques virtuelles pour chiffrer un montant des « préjudices subis », selon lui, à la suite de la disparition du joueur, qui n'a jamais évolué sous le maillot des Bluebirds. Après des calculs complexes effectués par différents experts, en France et au Royaume-Uni, le club gallois (rétrogradé en Championship à l'issue de la saison 2018-2019) a estimé sa « perte de chance » et sa « perte de valeur » à 120,2 millions d'euros, comme l'avait révélé L'Équipe. Une somme astronomique qu'il réclame au FCN, qui qualifie ces demandes d'« extravagantes ». Débats autour d'un « incident » introduit par le FCN Alors, ce lundi après-midi, les deux parties avaient de nouveau rendez-vous devant la juridiction commerciale, sur les bords de Loire, pour faire le point sur un volet interne à la procédure : un « incident » introduit par Nantes, le 24 juillet, aux fins de communication forcée de certaines pièces par son homologue gallois. Après le chiffrage effectué par Cardiff, en avril, c'est autour du FCN de rédiger et rendre ses conclusions, avant le jugement sur le fond. Mais le club de Loire-Atlantique n'a pas obtenu tout ce qu'il exigeait. Et reproche en outre à Cardiff des envois bien tardifs de pièces ; les derniers en date du 19 septembre, quatre jours avant cette audience de lundi, qui faisait office d'étape pour ce « litige dans le litige ». « On ne veut pas faire d'esclandre mais on estime que Nantes est en état de plaider et on ne va plus livrer de documents, le défendeur veut juste multiplier les incidents », a estimé face aux magistrats Me Max de Castelnau, un des conseils français de Cardiff City, qui était accompagné de Celine Jones, du cabinet britannique Capital Law. « Cardiff parcelle sa communication, lui a répondu Me Jérôme Marsaudon, un des conseils du FC Nantes, du cabinet RMT. C'est scandaleux. On avait déjà reçu leurs conclusions (le chiffrage livré en avril) avec trois mois de retard. » Il fut alors repris et corrigé par le président, visiblement très au fait du dossier, sur ces arguties de calendrier et sur le temps pris par le FCN pour analyser les pièces déjà en sa possession. Me Marsaudon a demandé un délai supplémentaire « pour analyser les données qui ont été communiquées » et le tribunal a fixé les échéances, dans cette parenthèse technique, pour les audiences à venir : le 21 octobre, pour les conclusions liées à cet incident, puis le 18 novembre, pour solder ledit incident en plaidoirie. lire aussiTous nos articles sur la mort d'Emiliano Sala L'agent écossais Willie McKay en fond d'écran Pour justifier leur refus de livrer l'intégralité des pièces demandées par leurs homologues nantais, les conseils du club gallois expliquent que certains de ces documents -liés aux calculs de la « perte de chance » des Bluebirds après le décès de leur « actif » argentin- sont « protégés par la propriété intellectuelle » ou pas « pertinents ». D'autres pièces concernent leurs échanges sur une procédure annexe engagée au Royaume-Uni, devant le tribunal de commerce de Cardiff, à l'encontre du sulfureux agent écossais Willie McKay, qui avait arrangé le vol fatal au joueur. Sur ce plan, Cardiff estime que Nantes peut directement obtenir ces documents auprès de la justice galloise. Au-delà, le CCFC continue de vouloir associer l'intermédiaire Willie McKay -qui ne disposait plus de sa licence d'agent à l'époque du drame- et le FC Nantes dans les « fautes commises au cours du transfert d'Emiliano Sala ». Selon lui « le mandat de vente de l'attaquant argentin appartenait à Mark McKay, un des fils de Willie, au nom de la société Mercato Sports, qui a été liquidée depuis ». Un non-sens pour les avocats de Nantes, qui réfutent totalement cette thèse. « Même si Willie McKay avait été l'agent, ce qui n'est pas le cas, ce n'est pas pour autant que le FCN serait responsable du crash de l'avion et de la mort du joueur, insiste Me Marsaudon. La meilleure preuve, c'est qu'au terme des différentes enquêtes sur l'affaire, Willie McKay ne sort jamais comme responsable du décès d'Emiliano Sala. »
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Aucun intérêt selon moi. Si on veut favoriser le jeu offensif, il faut faire comme au Rugby avec des bonus offensifs, et défensifs également. Le foot est un jeu d’attaque mais de défense aussi. Une équipe qui perds 4-3 pourrait marquer 1 point et son adversaire 4 points, une équipe qui fait nul 3-3 aurait 2 points, une équipe qui gagne 3-0 ou 4-0 ou 4-1 aurait 5 points. Une victoire 1-0, 2-0, 2-1 aurait toujours 3 points, et le défait 0 point.
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J’étais au stade pour ce match. Celui de la Route de Lorient, l’ancien stade de Rennes. Je me souviens du déplacement épique… Parti de Lens du parking Bollaert vers 7/8/9h je ne sais plus exactement, là où il y avait un commerce discount, premier arrêt, sur l’A1, proche d’Arras après quelques minutes, pour vidanger la vessie de certains qui avaient déjà vidé des packs… Plusieurs arrêts sur la route, et on arrive de justesse au stade pour le début du match. J’avais rejoins quelqu’un de Rennes qui supportait Rennes et qui est rentrée avec nous dans le parcage lensois… (vive la sécurité à l’époque). Et un retour… honteux de la part d’une partie des supporters du bus à une aire d’autoroute, le bac à sandwich triangle avait diminué de moitié si ce n’est plus et seuls 2 ou 3 personnes étaient passées en caisse (dont moi pour un paquet de clopes et une barre chocolatée), en face une pauvre caissière, toute seule… qui n’a pu que subir et constater.
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Kiki président version Julien Cazarre https://www.facebook.com/share/r/W7A2tTYahvFutshp/?mibextid=UalRPS
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Pour moi il n’y a pas d’équipe type ou plusieurs équipes types. Il y a juste l’équipe du moment. Hormis derrière où ça va tourner à 4 avec le retour de Danso dans quelques semaines, et le rôle de remplaçant de Sarr, aucune place n’est assurée pour personne sur les autres postes. Machado/Chavez, ça va tourner, Aguilar/Franko aussi. On a 4 titulaires. Au milieu, Thomasson a l’air d’être un élément clé de Still, comme Diouf. On a une bonne paire derrière avec Ojediran, qu’on à uniquement vu en remplaçant, on a envi de le voir titulaire, mais on ne sait pas encore avec qui et ce qu’il donnera et donc a juger sur la durée ; et Neil qui ne revient que maintenant qui n’a pas joué depuis presque 6 mois, il va falloir qu’il revienne sportivement parlant, aujourd’hui on ne sait pas dans quel état. Ça fait 4 potentiels titulaires sur le moyen terme. Sans oublier qu’on a aussi Mendy, qui ne joue plus, qui partira peut-être cet hiver ? Devant, ça reste indécis. Il semble que Fulgini ne fasse plus parti des plans. DPC/Zaroury, faut voir sur la durée, difficile de juger Zaroury sur 1 match et demi même si c’est prometteur. En attaque, c’est là que c’est compliqué. On sait que Saïd est plus un supersub qu’un titulaire en puissance mais on n’a pas d’autre pur buteur, Sotoca n’est pas dans sa meilleure position, RLL est encore jeune et n’a rien prouvé pour être titulaire régulier, Satriano, on ne l’a pas encore vu titulaire mais associé à Sotoca, ça fait un peu doublon, et Nzola reste une énigme de recrutement, qui sera peut être un homme fort de la 2eme partie de saison. En tout cas difficile de le voir potentiel titulaire aujourd’hui, vu qu’il y a des inconnus à son sujet. En potentiel titulaire : Samba Gradit/Khusanov - Danso/Khusanov - Medina/Khusanov Franko/Aguilar - Thomasson/Ojediran - Diouf/NEA - Machado/Chavez DPC/Zaroury Sotoca/Satriano - Saïd/Satriano/(RLL) Reste : Koffi, Petric, Sarr, Pouilly, Mendy, Fulgini, (RLL), Nzola (pour le moment) + les jeunes : Sane, Ganiou, Diallo… Et le blessé de longue durée, Cabot qui aura du mal à revenir, sauf miracle médical.
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la note moyenne Lens 5,4 Samba 7 L'International français a sauvé son équipe à deux reprises en première période avec deux arrêts déterminants sur un tir de Tolisso (27e) et, surtout, une énorme claquette réflexe sous sa barre pour sortir un tir puissant de Lacazette depuis la surface (32e). Présent dans le domaine aérien sur les phases arrêtées en deuxième période et concentré dans les temps forts de son équipe. Gradit 6 Il a livré un combat très dur pour s'opposer à Lacazette et s'est montré costaud dans les duels (sept sur onze remportés en première période). II a fait son boulot même quand il n'était pas aidé par Frankowski. Khusanov 6 Il a cherché à simplifier son jeu et à ne prendre aucun risque dans ses relances, ce qui était intelligent et a assuré son efficacité. Lui aussi était solide en position de dernier défenseur où il ne faut pas se manquer. Il sort par exemple un centre dangereux de Clinton Mata dans le temps additionnel (45e + 1). Toujours aussi concentré en deuxième période où il intervient sur un autre centre de Fofana sans sourciller (90e + 3). Medina 6 Il n'a pas commis d'erreur en première période mais il a eu tendance à faire le geste de trop pour ressortir le ballon proprement, ce qui lui a fait prendre des risques qu'il aurait pu éviter. Mais sa hargne incitait ses partenaires à redoubler d'intensité. Il a été intraitable défensivement en deuxième. Et a tenté sa chance d'un tir non cadré (81e). Frankowski 3 Recherché sur son aile droite où il était disponible. Son manque permanent de justesse dans les centres n'a cependant pas permis à son équipe d'en profiter là où Lens avait justement besoin d'écarter le jeu. Un peu juste dans les un-contre-un et trop souvent en difficulté en deuxième période. Thomasson 7 Son très gros volume défensif a beaucoup aidé au pressing et à la récupération. Il a touché beaucoup de ballons mais en a aussi perdu quelques-uns quand il était pressé par les joueurs de l'OL. Passé meneur de jeu axial à l'entrée d'Ojediran (58e), il offre notamment un ballon de but à Labeau Lascary (79e). Remplacé par Anass Zaroury(84e). A. Diouf 6 Ses quelques percussions au coeur du jeu lui ont permis de changer le rythme et d'initier quelques contres où il a lâché le ballon nettement plus vite. Dans le jeu court, il a aussi commis de petites erreurs et subit des interceptions. Remplacé par Neil El Aynaoui (85e). Machado 5 Sa puissance est utile et il va au bout de ses percussions. Mais il ne les finit pas à la hauteur de ses intentions. Auteur d'un bon tir cadré claqué par le gardien lyonnais (42e). Pereira Da Costa 6 Son centre de gravité bas lui permet de s'échapper du marquage appuyé de Caleta-Car et de profiter de sa vitesse. Son très bon début de match a été entrecoupé de périodes où il ne recevait plus le ballon. Il ne parvient pas à redresser le centre en retrait de Thomasson (48e). Remplacé par Hamzat Ojediran (58e) qui a densifié le coeur du jeu par son impact, apporte plus d'équilibre collectif et qui aurait pu marquer sur un tir cadré soudain (90e + 5). Sotoca 4 Il s'est surtout initié par son activité défensive et une présence aérienne dans sa propre surface. Offensivement, il a proposé des appels mais est resté assez peu dangereux. Remplacé par Martin Satriano(84e) qui ne cadre pas sa tête (86e) sur centre de Machado. W. Saïd 3 Assez juste dans ses relais dos au but ou dans le sens du jeu (48e pour Thomasson), agressif sur le pressing, rapide dans les petits espaces pour déclencher sa frappe soudaine (35e), il n'a cependant pas assez pesé offensivement et a subi la densité de la défense olympienne. En manque de carburant après l'heure de jeu. Remplacé par Rémy Labeau Lascary (70e) qui a apporté de la vitesse et de l'engagement. Et s'est offert une occasion par un tir brossé non cadré (79e). Still l'entraîneur 6 Son équipe a montré du dynamisme, a pris des risques face à un bon adversaire même si elle a manqué de poids et d'efficacité devant. Ses changements (Ojediran) ont permis de densifier un milieu en difficulté à la récupération. Il a tout tenté pour l'emporter.
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[L1: Saison 2024/2025 du RC Lens] Refonte !
Tibbs a répondu à un(e) sujet de MisterFraiZ dans RC Lens
Foot, Ligue 1, Lens abonné « À un moment, cela devient compliqué » : Wesley Saïd et les 28 autres joueurs de Lens face à la concurrence interne Les départs avortés de Neil el-Aynaoui ou de Kevin Danso n'ont pas permis, notamment, d'alléger l'effectif de Lens. Le club et son entraîneur, qui accueillent Lyon ce dimanche (20 h 45), devront gérer un effectif pléthorique. Joël Domenighetti et Nathan Gourdol, à Avion (Pas-de-Calais)publié le 15 septembre 2024 à 06h30mis à jour le 15 septembre 2024 à 09h15 Le RC Lens avait programmé 47 M€ de ventes nettes cet été. Les départs avortés du milieu relayeur Neil el-Aynaoui à Monaco(autour de 17 M€, ligament croisé antérieur d'un genou) et du défenseur central Kevin Danso à l'AS Rome (ITA), lors du dernier jour du mercato (autour de 23 M€, examen cardiaque approfondi, indisponible jusqu'à fin septembre), ont privé le club artésien de cette manne annoncée lors de son passage devant la Direction nationale du contrôle de gestion (DNCG), mi-mai. lire aussiMercato : les coulisses du transfert avorté de Kevin Danso (Lens) à l'AS Rome Lens a bien baissé sa masse salariale (*). Mais le maintien d'El-Aynaoui et de Danso au sein de l'effectif porte à 29 le nombre de professionnels là où Will Still s'attendait à diriger de 21 à 24 pros, gardiens compris. (*) Douze joueurs sont partis. Les départs de Wahi à l'OM (on parle de 300 000 € mensuels brut en interne) et Spierings à Bröndby (DAN) (130 000 € mensuels brut) ont généré une économie annuelle d'au moins 7,3 M€, cotisations sociales incluses. « L'organisation se fait très facilement, expliquait l'entraîneur ce vendredi. Nous mettons des exercices en place où nous sommes capables de faire jouer tout le monde. Par exemple en utilisant certains joueurs sur certains exercices. En les faisant tourner sur des périodes très courtes pour garder tout le monde en activité permanente. En scindant le groupe en deux ou trois avec des exercices spécifiques. Enfin, en faisant comprendre que tout le monde à une place à prendre. Il y a la concurrence qui est là et des places à prendre. C'est assez simple, finalement. » Ses affirmations seront jaugées à la lumière des résultats. Car l'embouteillage est un frein à l'épanouissement. « Tant que tu es honnête, droit et que tu ne tournes pas autour du pot en inventant n'importe quoi, le joueur dira OK. Il ne sera pas forcément d'accord, mais c'est la concurrence » Will Still, entraîneur de Lens « Avoir du choix, c'est incroyable, maintenait cependant Still cette semaine. Car le niveau d'intensité dans les séances depuis la fin du mercato, c'est impressionnant. On voit que les joueurs ont faim, ils veulent tous jouer, beaucoup, avec l'envie d'enchaîner. Ceux qui jouent sont sous pression positive, car ils savent qu'au moindre pied de travers, suspension un peu inutile ou blessure, quelqu'un va entrer dans l'équipe et chercher à prendre leur place. Ce n'est pas le monde idéal, mais il n'y a pas de monde idéal dans le foot. On adapte les séances, on essaie de faire en sorte que tout le monde soit impliqué le plus souvent possible, que tout le monde ait un rôle à jouer. » Le jeu réclame de l'implication et une gestion humaine minutieuse. Pas forcément compatible avec les états d'âme, les frustrations. « C'est le foot de haut niveau, c'est dur,poursuivait le coach belge. Ce n'est pas toujours facile à expliquer, parce que parfois il n'y a pas d'explication. Il faut juste dire : "Écoute il y a meilleur que toi pour l'instant." Il faut garder cette communication ouverte, constante. Tant que tu es honnête, droit et que tu ne tournes pas autour du pot en inventant n'importe quoi, le joueur dira OK. Il ne sera pas forcément d'accord, mais c'est la concurrence. Tant que tu es logique, il n'y a pas 1000 questions à se poser. Si tu es bon, tu joueras. Mais dans les très grands clubs, il y a beaucoup de joueurs de grande qualité, et c'est le cas ici. » « Les rotations à l'entraînement peuvent être frustrantes pour certains » Wesley Saïd, attaquant de Lens Du côté des joueurs, on vante l'état d'esprit du groupe et la saine concurrence. Sans se leurrer. « Forcément, il y aura des déçus,notait Wesley Saïd vendredi. L'objectif est de rester concentré et de rester soudés. On a pu voir qu'il y avait pas mal de changements depuis la préparation. Les choix ne sont pas figés. Maintenant, ce n'est pas simple. Les rotations à l'entraînement peuvent être frustrantes pour certains. À un moment, cela devient compliqué. J'en suis la preuve (la saison passée, il a eu un temps de jeu deux fois moindre que celui d'Elye Wahi dont il était la doublure). J'ai envie de dire qu'il ne faut pas lâcher. Mais les places seront chères. » -
Ligue 1 [Saison 2024/2025]
Tibbs a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
La défense de Brest contre Paris. Haïdara - Le Cardinal - Chardonnet - Lala 3 anciens lensois, dont 2 récents. -
Ligue 1 [Saison 2024/2025]
Tibbs a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Quels abrutis les ultras marseillais… ça fera plusieurs matchs de suspension pour leur tribune… -
Will Still est l'entraîneur du RC Lens depuis le 10 juin 2024. (B. Papon/L'Équipe) Foot, Ligue 1, Lens abonné « Une image de Will complètement faussée » : en passant de Reims à Lens, Still a changé sa manière de communiquer Trois mois après sa nomination à Lens, le technicien anglo-belge Will Still a pris le pouls de sa nouvelle mission, dans laquelle il assume avoir changé de communication. Nathan Gourdol, à Avion (Pas-de-Calais)publié le 14 septembre 2024 à 15h38 Tandis que notre photographe tentait de le faire rire sous le soleil de la Gaillette, Will Still, bras croisés, s'est contenu autant qu'il a pu. Nommé sur le banc de Lens le 10 juin, moins de six semaines après son départ brutal de Reims, le technicien de 31 ans a pris du recul sur son ascension éclair et ses crises de croissance, et tente de changer son image, pour la rendre moins légère. Il est convaincu d'être dans le bon environnement pour cela. « À votre départ de Reims, on vous attendait en Angleterre, pas à Lens... Tout le monde m'envoyait là-bas, mais dans ma tête, rien n'était décidé. J'ai toujours dit qu'un jour j'aimerais y aller, parce que je suis Anglais, que j'ai une maison là-bas, que ma compagne y vit, mais je n'ai jamais dit quand. Le projet sportif est plus bien plus important, et je veux penser de façon égoïste à ma carrière. Je connais la Ligue 1, ce qu'elle peut m'apporter, ce qu'un club comme Lens peut signifier pour mon évolution. Il y avait des négociations avec d'autres clubs, mais le président (Joseph Oughourlian) m'a appelé et j'avais toujours dit que s'il y avait une équipe ici que je ne refuserai jamais, c'était Lens. Trois jours plus tard, j'avais un accord avec eux. C'était le bon club, au bon moment. Il n'y avait pas l'envie de fuir la L1 après la fin d'histoire avec Reims ? Pas du tout. Je n'ai jamais eu de problèmes avec qui que ce soit. Je sais ce qui s'est passé, pourquoi je suis parti, mais ça s'arrête là. Je n'en veux pas à la France ou aux journalistes. La meilleure décision a été prise. « Bollaert, c'est incomparable (...) C'est supérieur encore à ce que j'avais imaginé » Comment vit-on le fait d'être sans contrat en tant que jeune coach ? Je suis reparti chez moi en Angleterre, je n'ai pas regardé de foot pendant une semaine, parlé à personne sauf à ma compagne. Les deux années à Reims m'ont enlevé de l'énergie, et ça a été une claque quand ça s'est fini. Tu as beau avoir le plus gros ego du monde, prétendre être quelqu'un, tu es un humain, et ça fait beaucoup de mal. Mais ces semaines m'ont permis de prendre du temps pour réfléchir. Est-ce que mes séances sont bonnes ? Est-ce que l'intensité que je veux mettre en vaut la peine ou vaut-il mieux couper parfois ? Est-ce que je responsabilise correctement les joueurs ? Je me suis posé des millions de questions. Après, j'étais à 200 % en arrivant ici. Qu'est-ce qui est le plus différent à Lens ? Bollaert. C'est incomparable. Quand j'étais à Reims, on avait mis des baffles à l'entraînement pour créer du bruit et habituer les joueurs à l'ambiance de Lens. Cet été, dès les tests contre Leverkusen (2-2) et Leicester (3-0), ça m'a frappé. C'est une folie, des amicaux à guichets fermés, normalement ça n'existe pas. C'est supérieur encore à ce que j'avais imaginé, de loin. Tu as l'impression d'être avec eux, tu sens l'énergie que ça crée. Will Still est conquis par l'ambiance de Bollaert (Jean-Baptiste Autissier/L'Equipe) lire aussiLes coulisses du départ avorté de Danso à l'AS Rome Avez-vous douté devant l'ampleur de la tâche de passer après Franck Haise ? Je ne l'appréhendais pas du tout, pour être honnête. J'ai toujours eu un super bon contact avec Franck, il a fait des choses incroyables, mais comme je le répète, je ne suis pas là pour le remplacer. Bouleverser tout ce qui est ici, c'est impossible, car tu arrives dans une institution, avec des codes. Peu importe l'entraîneur, Lens restera toujours. C'est une nouvelle histoire qu'on doit écrire ensemble, avec Pierre (Dréossi, nouveau directeur général), quelqu'un de très franc, droit, juste, avec un très bon sens de l'humour, avec Jean-Louis (Leca, nommé coordinateur sportif). Serrons-nous les coudes. Jusqu'ici, les échanges ont été parfaits. Vous n'aviez jamais travaillé avec votre frère et adjoint Edward. C'est fluide aussi ? Super. On a des caractères opposés, Ed est beaucoup plus analytique, rigide sur des principes, alors que je suis ouvert à tout, avec beaucoup plus d'instinct et d'émotionnel. J'ai dit à Ed qu'après deux ans à Reims j'avais besoin de quelqu'un qui était aussi bon voire meilleur que moi, et en qui j'ai une totale confiance, capable de prendre la charge émotionnelle et physique du groupe pendant un temps si je ne sais pas le faire. On a toujours été meilleurs potes, hyper proches parce qu'on était des Anglais en Belgique, roux, on a toujours été différents. On se pousse à être les meilleurs. C'est hyper intéressant d'avoir allié nos forces. En plus avec Nico (le petit frère, déjà dans son staff à Reims), un peu le mixte de nous deux. « Je suis juste là pour être l'entraîneur. Je ne vais pas me prendre pour un autre, mais je suis hyper compétitif et le groupe est comme moi » Sur la communication, vous semblez bien plus policé ici que vous ne l'étiez à Reims... On a souvent vendu une image de Will qui était complètement faussée. Sincèrement, je suis juste un gars normal, qui parle comme sa génération. Mais j'ai compris qu'il fallait adapter mon langage, sinon c'est systématiquement sorti de son contexte, ça devient disproportionné par rapport à ce que tu as vraiment dit. Je sais qu'il y a des personnes ici qui vont me faire progresser sur ma communication, et qui l'ont déjà fait. Parce qu'il faut se protéger. J'ai envie d'entraîner le plus longtemps possible et de paraître comme je suis en vrai, de grandir, et la communication est un gros élément. Ce n'était pas le vrai Will qui était dépeint ? Le Will est toujours le même, je dis juste que je fais plus attention aux mots que j'utilise. Une expression belge ne passe pas forcément de la même façon en France, une expression anglaise traduite non plus. J'en avais un peu marre qu'on fasse une fixation sur chaque formule, chaque comportement. Ce n'est pas le club qui m'a demandé ça, Lens voulait Will et Will voulait Lens, et Will voulait progresser. Lens m'a dit ''OK, on veut que tu deviennes un entraîneur qui marque l'histoire du club, on va t'aider''. lire aussiToute l'actu du RC Lens Dans la communication interne, avez-vous changé aussi ? J'ai modifié certaines choses, mais plutôt en me basant sur l'identité du nouveau groupe que j'avais en face. Dans les causeries par exemple. À Reims, je devais mettre l'énergie juste avant le match, parce que les joueurs avaient besoin d'un impact, d'un choc émotionnel presque. Ici, je ne dis presque rien. Après ma causerie, je donne le plan de jeu, comment on l'exécute, mais ils n'ont pas besoin d'un secouement émotionnel avant de sortir sur le terrain, ce sont eux qui s'en occupent. Il y a Flo (Sotoca), Brice (Samba), Jo (Gradit), Fac (Medina) pour ça. Vous êtes donc plus en retrait... Je suis juste là pour être l'entraîneur. Je ne vais pas me prendre pour un autre, mais je suis hyper compétitif et le groupe est comme moi. Les meilleurs joueront et on va gagner en mettant énormément d'intensité. Le début de saison est positif, mais il y a encore des tonnes de travail avant d'avoir un produit poli, propre. Positif malgré l'élimination en barrages de C4 contre Panathinaïkos (2-1, 0-2), après laquelle vous ne regrettiez pas votre plan de jeu ? Si tu rejoues ce match dix fois, tu dois le gagner huit ou neuf. Mais il y a des jours où tu te dis que peu importe ce que tu fais, ça tourne contre toi. C'est toujours facile de dire après qu'il fallait jouer plus défensif. Si tu marques, tout le contexte change et on dit que Lens est magnifique. Je suis fier de ce qu'on a montré. Ça ne me dérange pas de perdre si c'est de cette façon-là. Je suis déçu, mais je préfère garder l'intime conviction qu'on est sur la bonne voie, plutôt que de changer nos principes. » —— En bref Will Still, entraîneur du RC Lens. Âge : 31 ans Carrière d'entraîneur : Lierse SK (BEL, octobre à décembre 2017), Beerschot VA (BEL, janvier à juin 2021), Stade de Reims (octobre 2022-2024), RC Lens (depuis 2024
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Autant, c’était facile de deviner les compos de Haise la saison dernière à 1 voire 2 joueurs près. Là c’est compliqué, hormis la DC, Samba voire Sotoca. Samba Gradit - Khusanov - Medina Aguilar ou Franko - Ojediran ou Thomasson ? - Diouf ou Ojediran ? - Chavez ou Machado ? DPC (ou Zaroury ?) Sotoca ou Satriano ? - Saïd ou RLL ? Koffi, Sarr, Pouilly, El Aynaoui qui revient de blessure, Fulgini, peut-être Zaroury si pas à 100% seront sur le banc. Apres, on peut s’attendre à tout, même si Sotoca-Saïd semble être l’option la plus probable en attaque. Au milieu, 3 joueurs pour 2 places (je ne compte pas NEA), en piston, ça a tourné depuis le début de saison, il n’y a pas de titulaire attitré. En absent, on note : Danso (pour les raisons qu’on connaît), Mendy (?), Nzola (choix ?), Cabot (blessé), puis les jeunes Sane, Ganiou, Diallo.