Tibbs

Seko Fofana retourne en prêt à Al-Ettifaq L'ancien milieu de terrain du Racing Club de Lens Seko Fonana est prêté, comme l'an dernier, à Al-Ettifaq en Arabie saoudite. Il ne restera pas non plus cette saison dans son club d'Al-Nassr, qui l'a pourtant acheté 16 M€ il y a un an.

En même temps, Nice a 7 absents (6 blessés et 1 suspendus) dont la plupart des potentiels titulaires. Rosario est un milieu qui dépanne en DCC et Brahimi n’est pas un piston. Ce sont des choix forcés de Haise, faute de mieux. 3 pistons sont absents, il n’y a que Clauss. Moffi absent de longue durée. Également Bard (suspendu) Boga, Sanson, Louchet, Ndayishimiye et Diop.

Au bûcher !!! C’était la décennie dernière. Donc on s’en fout 😂😂 Heureusement le contexte et les planètes alignées ne sont pas les mêmes.

Foot, Médias abonné IPTV, Telegram, les fans s'organisent pour contourner l'abonnement DAZN et suivre la Ligue 1 Face aux prix de plus en plus élevés des abonnements pour regarder le foot, notamment ceux de DAZN, nouveau diffuseur du Championnat, de nombreux fans se tournent vers l'illégalité. Une menace pour tout un écosystème. Sacha Nokovitchpublié le 17 août 2024 à 08h33mis à jour le 17 août 2024 à 10h30 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager « Je reçois des demandes de partout depuis quelques jours ! Mais je ne veux pas parler, je n'ai pas envie de me faire choper ! ». Ce twittos a vu son compte X (ex-Twitter) gagner 34 000 abonnés ces derniers jours. Vendredi, son profil renvoyait vers un lien publié sur son compte de l'application Telegram, une messagerie cryptée lancée en 2014 et devenue le repaire des pirates. Comme lui, ils sont plusieurs à surfer sur le hashtag #BoycottDAZN, tendance numéro 1 sur X cette semaine et plus globalement depuis l'annonce des tarifs d'abonnement à la plateforme (29,99€ par mois avec engagement d'un an ou 39,99€ mensuels sans engagement) pour voir huit des neuf matches de Ligue 1 par journée (beIN Sports retransmet une affiche). Pour le match d'ouverture de la Ligue 1 Le Havre-PSG, premier retransmis par DAZN, plus de 200 000 personnes étaient ainsi connectées sur des flux illégaux de Telegram. Sur les applications et boîtiers IPTV, ils étaient aussi très nombreux à regarder la rencontre en toute illégalité... et à l'assumer. Comme Nicolas (son prénom a été modifié), journaliste politique et abonné de la dernière heure à ce service pirate pour la première fois de sa vie, à 55 euros l'année : « Le tarif prohibitif de DAZN qui n'est pas du tout conforme à la qualité du produit m'a d'abord fait basculer. Ensuite, la couverture éditoriale low-cost annoncée(certains matches commentés en cabine, sans consultant, pas de multiplex et pour l'instant pas d'émissions) n'incite pas non plus à franchir le pas. Et enfin, au bout d'un moment, j'ai moins de scrupules lorsque je vois l'utilisation de l'argent reversé via nos abonnements. Il sert à surpayer des joueurs moyens, à goinfrer des agents et à autoriser les dirigeants à jongler avec les millions. Le spectacle du foot français serait le même, selon moi, si tout ce petit monde touchait deux fois moins. » lire aussiQuasi-direct, extraits sur les réseaux sociaux, magazines : les moyens de voir la Ligue 1 gratuitement Peu de consommateurs de flux pirates semblent effrayés par la loi Le streameur Serious Charly, spécialiste de l'Olympique Lyonnais, a directement constaté l'ampleur du phénomène. « En tant que créateur de contenus spécialisés Ligue 1, on est dépendant du fait que les gens voient les matches pour en parler, les analyser, les débriefer. Donc, la communauté a réagi en se disant : « Je ne vais plus rien comprendre à ce qu'il raconte si je ne vois pas les matches ». Ça s'organise, ça se refile les bons plans Telegram, les IPTV. Il y a une espèce de mouvement "Tout sauf 40 balles par mois". Sur les réseaux, c'est criant. Moi, je n'en fais pas la promotion parce que c'est illégal. Mais je peux pas non plus leur dire "abonnez-vous à DAZN" parce que j'estime aussi que le prix est trop élevé pour une couverture minimale. » lire aussiLa diffusion illégale des compétitions sportives est en hausse Ce tohu-bohu numérique autour du « coût » de la Ligue 1 pour les fans n'a évidemment pas échappé à la Ligue. Contactée, elle assure que le piratage est « une préoccupation majeure » et salue la décision du Tribunal judiciaire de Paris du 2 août, ordonnant le blocage par les fournisseurs d'accès à internet français de l'accès à des sites de streaming en direct et à des services IPTV. « Telegram, c'est le plus compliqué car ce sont les moins réactifs pour couper les flux, explique Xavier Spender, secrétaire général de l'APPS (Association pour la protection des programmes sportifs). Or l'efficacité vient de la réactivité. Pour l'IPTV, 2 à 2,5 millions de Français consommeraient illégalement des contenus par ce biais. Mais pour lutter, comme dans tout trafic, il faut surtout arriver à travailler sur les têtes de réseaux. Si on arrivait à couper en amont les fournisseurs de signaux, les petits distributeurs d'IPTV et liens Télégram ne pourraient plus les proposer. » Peu de consommateurs de flux pirates semblent effrayés par la loi. À l'image de Sacha Mansouri, créateur de contenus sous le pseudo Sussucre, et abonné à un service IPTV depuis trois ans : « Je n'ai absolument pas peur. S'ils veulent s'attaquer à l'IPTV, il faut couper ceux qui fournissent le contenu, pas ceux qui le consomment... Parce que nous sommes des millions ! Financièrement, cela leur coûterait trop d'argent. » lire aussiTrio aux commentaires, tutoiement, humour et auto-promo : DAZN, soir de première en Ligue 1 « Il ne faut pas faire porter la responsabilité sur le consommateur mais sur les dirigeants qui n'évaluent pas la vraie valeur de leur Championnat. » Nicolas, nouveau consommateur d'un service pirate En attendant, la menace planerait sur les clubs de Ligue 1 si les mesures et les campagnes antipiratage s'avéraient inefficaces, comme le rappelait Shay Segev, le DG de DAZN, dans L'Équipe ce jeudi : « Le consommateur doit comprendre qu'il ne paye pas DAZN, il paye la Ligue et les clubs. Si cela ne fonctionne pas, qu'est-ce que cela signifiera pour le football français ? » Une chute de ses revenus, de sa valeur et potentiellement de sa compétitivité européenne. « C'est probable mais inévitable, estime Nicolas, le nouveau venu dans la piraterie. Il ne faut pas faire porter la responsabilité sur le consommateur mais sur les dirigeants qui n'évaluent pas la vraie valeur de leur Championnat. Si personne ne veut acheter votre produit entre 30 et 40 euros par mois, il ne faut pas le mettre à ce prix-là. Et du côté de la Ligue, il ne faut pas chercher à récupérer 500 millions par saison si aucun diffuseur ne peut être rentable à ce montant. Donc on passera peut-être malheureusement par des faillites de clubs et une dévaluation du foot français, mais c'est lié à la distorsion entre la vision des dirigeants de leur Ligue et la réalité. » Sacha Mansouri reconnaît s'être aussi interrogé sur les conséquences pour les clubs français. « Mais malheureusement, il faut quelque chose de fort pour qu'ils se remettent en question, assène-t-il. Avec la catastrophe annoncée de ce nouveau cycle, on tire la sonnette d'alarme, et c'est nécessaire ! Par moments, il faut un peu détruire pour mieux reconstruire. »

L’article en entier : Foot, L1/L2 abonné Droits TV : ce que toucheront vraiment les clubs de L1 et L2 cette saison Dans l'attente d'une augmentation des droits internationaux et de quelques économies, les recettes TV des clubs chutent, pour le moment, de 60 % par rapport à la saison dernière. Arnaud Hermantpublié le 16 août 2024 à 00h05mis à jour le 16 août 2024 à 10h37 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager Les chiffres sont vertigineux. Et pour une fois, ils ne vont pas dans le sens de la surenchère. Le football français, avec le contrat de droits télé (*) arraché de haute lutte cet été, entre dans une phase de vaches maigres. « On n'est plus dans le top 5 européen, mais dans la division des Championnats portugais ou néerlandais, constate amer un président de L1. Ceux qui n'ont pas de fonds propres ou un actionnaire solide vont être en grande difficulté financière. » (*) Pour le cycle 2024-2029, DAZN va donner 400 M€ en moyenne par an pour 8 matches de L1, beIN 100 M€ pour le dernier match dont 20 en sponsoring (soit 738 000 € par club de L1 et 173 000 en L2). À cela il faut ajouter 40 M€ pour la L2 et à date 60 M€ pour les droits internationaux. En moyenne, les clubs vont voir leurs recettes télé dévisser de 60 % environ par rapport à la saison passée, selon le guide de répartition provisoire qui leur a été envoyé il y a quelques jours. Une version définitive devrait suivre dans les prochains jours ou semaines avec des économies réalisées et des droits télé internationaux en hausse. Ces derniers sont de 57,8 M€ pour l'instant et après un futur accord avec beIN, ils pourraient atteindre environ 130 M€ (Canal+ Afrique a prolongé son contrat de diffusion de la L1, hier, jusqu'en 2029). lire aussiLa Ligue 1 sur DAZN, comment ça marche ? À date, cette saison, DAZN va verser 325 M€ pour 8 matches de L1 et beIN 78,5 M€ pour le dernier, plus 40 M€ pour la L2 et 57,8 M€ pour les droits internationaux. Soit un montant total de 501,3 M€ (contre 734 M€ en 2023-2024) brut, c'est-à-dire avant les charges. Très loin du 1,063 milliard d'euros (863,7 M€ droits nationaux + 200 à l'international) annoncé dans le business plan de la société commerciale de la Ligue à son lancement ou des 900 M€ (700 M€ + 200) escomptés par la suite par Vincent Labrune, le président de l'instance. Le champion peut espérer 20 M€ au mieux En 2024-2025, les charges (taxe Buffet, contribution CVC, aides à la FFF et aux différents syndicats et coûts de fonctionnement de la LFP) s'élèvent à 272,5 M€ contre 156 M€ en 2023-2024, soit près de deux fois plus. Il ne reste donc que 228,7 M€ à répartir entre clubs de L1 et de L2, alors que la saison passée ce chiffre était de 578,5 M€. Cette année, l'élite va toucher 189,7 M€ et la L2 39 M€ versus 495 M€ et 83,4 M€ un an auparavant. Une baisse globale de 60 % environ. Aux 189,7 M€ de la L1, il faut encore déduire 11,5 M€ d'aides à la relégation entre la L1 et la L2 pour arriver à un montant de 178,2 M€ net à partager. Sur ce total, la somme de 23,4 M€ de droits internationaux est réservée uniquement aux 10 clubs français qui bénéficient de points au coefficient UEFA sur les trois dernières années. Les 18 pensionnaires de L1 vont donc se répartir 154,8 M€. Avec ce maigre butin, le 18e du Championnat va toucher 5,1 M€ au lieu de 14,3 M€ la saison dernière. Le leader, en tête à tous les critères de répartition (classement sportif de la saison, sur les 5 derniers exercices, notoriété) empochera... 16,1 M€ de droits nationaux, soit ce que touchait le 13e la saison dernière. lire aussiToute l'actu de la Ligue 1 À titre de comparaison, le PSG, champion en titre et premier à tous les critères, a perçu 42,9 M€ en 2023-2024. Avec les droits internationaux (17,1 M€), son total a grimpé à 60 M€. Pour cet exercice, avec les chiffres du moment, il peut espérer... 22 M€ environ. Même punition en Ligue 2 La pilule est tout aussi difficile à avaler en L2. Aux 39 M€, il faut enlever 4,7 M€ d'aides à la relégation L2-National, soit 34,2 M€ à partager. Un club qui finirait premier à tous les critères, sans compter la notoriété dont le montant sera connu en fin de saison en fonction du nombre de diffusions TV, empochera 2,3 M€ et le 18e 1,5 M€. C'est, là aussi, plus de 50 % de baisse par rapport à la saison passée. lire aussiShay Segev, patron de DAZN : « 29,99 euros par mois est un juste prix » Les clubs se verront également attribuer de l'argent au titre du « sponsoring et licences », sans compter les 20 M€ de beIN actés au titre du sponsoring dans l'accord des droits télé à hauteur de 25,4 M€ : 22,5 M€ pour la L1 et 2,8 M€ pour la L2 à répartir entre les 18 clubs de chaque division et payés en 3 fois au cours de la saison. Cela représente 1,2 M€ par club de L1 et 158 740 € par pensionnaire de L2. La saison 2024-2025 s'annonce déjà historique avec des revenus audiovisuels en baisse de 32 % et des charges en hausse de 75 %.

Ce que je veux dire, c’est que ça serait dommage de n’être dépendant que d’1 joueur. Évidemment, la vérité de la préparation ne sera pas forcément celle des matchs de la saison. Mais on d’autres armes que Wahi.

Sur les 27 buts en prépa, combien ont été marqués par Nzola et Wahi ? Et combien de passes dé ?

Allez, je me lance sur un prono qu’on ressortira dans 9 mois 😂😂 1 - PSG (qui d’autres) 2 - Monaco 3 - Lille 4 - Lyon 5 - Nice 6 - Marseille 7 - Lens 8 - Rennes 9 - Reims 10 - Toulouse 11 - Montpellier 12 - Saint-Etienne 13 - Brest 14 - Strasbourg 15 - Le Havre 16 - Auxerre 17 - Nantes 18 - Angers

Non Benjamin, pas toi Foot, Transferts Mercato : Rennes et Al-Duhail proches d'un accord pour Benjamin Bourigeaud Benjamin Bourigeaud est en Bretagne depuis 2017. (J. B. Autissier/L'Équipe) Rennes et Al-Duhail sont quasiment tombés d'accord sur le transfert de Benjamin Bourigeaud. Montant de l'opération : quelque 10 M€. L.T.publié le 14 août 2024 à 19h14 ma liste commenter réagir partager C'est l'un des chouchous du public rennais qui s'apprête à quitter la Bretagne. À 30 ans, Benjamin Bourigeaud devrait s'engager rapidement avec Al-Duhail. Rennes et le club qatarien sont quasiment tombés d'accord sur un transfert moyennant quelque 10 M€. Le milieu (310 matches avec la formation bretonne) était arrivé de Lens à l'été 2017.

Foot, Ligue 1, médias abonné Shay Segev, patron de DAZN, sur les offres d'abonnement : « 29,99 euros par mois est un juste prix » Shay Segev, PDG de DAZN, au coeur des négociations des droits de la Ligue 1, revient sur leur acquisition tardive, les tarifs d'abonnement à sa plateforme et espère séduire 1,5 million d'abonnés en six mois. Sacha Nokovitchpublié le 14 août 2024 à 18h34 ma liste commenter réagir partager Au stade Océane, ce vendredi (20 h 45), Shay Segev observera d'un oeil attentif Le Havre-PSG, match d'ouverture de la saison et première rencontre retransmise par DAZN, nouveau diffuseur majeur de la Ligue 1. Avant ce déplacement, le PDG de la plateforme britannique répond à L'Équipe et détaille sa stratégie. « Il y a un an, vous nous annonciez vouloir devenir le diffuseur majeur de la Ligue 1 et vous n'avez signé qu'il y a deux semaines. Comment avez-vous vécu ce long processus ? En octobre, la Ligue de football professionnel (LFP) a lancé son appel d'offres avec des attentes claires, 800 M€ par saison pour l'ensemble des droits. Mais pour DAZN, nouvel-entrant en France, mais avec une expérience sur les autres marchés européens (diffuseur notamment de la Liga en Espagne, de la Serie A en Italie et de la Bundesliga en Allemagne), c'était un risque trop important à prendre. Peu après, nous avons formulé une offre (500 M€ par saison) qui ne correspondait pas aux attentes de la Ligue. Elle semblait chercher d'autres options avec lesquelles elle espérait gagner plus. Celles-ci ne se sont visiblement pas concrétisées et en mai, nous avons repris les discussions. Nous avons abouti à cette offre hybride (400 M€ en moyenne par saison pour huit matches sur neuf, beIN Sports récupérant une affiche pour 100 M€), incluant ce mécanisme qui apporte des fonds complémentaires si nous parvenons à croître au-delà d'un certain seuil (50 M€ en plus par saison à partir de 1,5 million d'abonnés). « J'espère que nous aurons l'opportunité de créer un abonnement commun DAZN-beIN pour proposer la totalité de nos offres dans un même package à un prix attractif. » Shay Segev Quand on se lance, n'est-ce pas dommage de ne pas avoir 100 % des droits ? Bien sûr, nous aurions préféré avoir la totalité en direct, même s'il faut préciser que le seul match diffusé par beIN (le samedi à 17h) sera proposé en différé à minuit sur DAZN. Mais notre offre a une réelle valeur pour le consommateur, d'autant plus que nous offrons les meilleures affiches, avec le top 10, les PSG-OM, PSG-OL, OM-OL, ASSE-OL, etc. Puis j'espère que nous aurons l'opportunité de créer un abonnement commun DAZN-beIN pour proposer la totalité de nos offres dans un même package à un prix attractif. Vous en discutez ? Ce n'est pas concret aujourd'hui mais j'aimerais que cela aboutisse. Nous avons de bonnes relations avec beIN. En ce moment, tout le monde est bien occupé mais une fois la saison lancée, nous aurons le temps d'en parler. Rassembler nos deux offres autour d'une offre commerciale avantageuse serait formidable pour le consommateur. lire aussiLa Ligue 1 sur DAZN, comment ça marche? La Serie A et la Coupe d'Angleterre n'ont pas de diffuseurs en France, êtes-vous intéressé ? C'est possible puisque nous regardons tout ce qui touche le foot. Nous avons 100 % des matches de Serie A en Italie jusqu'en 2029. Tout fonctionne très bien entre la ligue italienne et nous. Mon espoir est que DAZN devienne la maison de la Serie A dans le monde entier, dont la France. « Nous sommes une entreprise très différente, une plateforme en lien direct avec les consommateurs et nous gérons une entreprise déjà prospère sur 15 autres marchés autour du football » Shay Segev sur le précédent Médiapro Vous avez signé des accords de distribution avec tous les opérateurs pour votre lancement mais sans minimums garantis... Dans un premier temps, il fallait s'assurer que DAZN soit bien lancé sur le marché français, facile d'accès et stable. Par conséquent, nous avons facilité la distribution par tout le monde (opérateurs télécoms, Canal+, Amazon Prime Video...)afin que les clients puissent nous trouver et s'abonner facilement et vous pouvez aussi télécharger notre application sur tous les appareils connectés. La Ligue 1 est aujourd'hui très facile d'accès. Et nous allons rester agiles, flexibles, pour écouter rapidement les retours du marché et être capables de changer certaines choses si besoin. Justement, 29,99 € par mois, pour la grande majorité des Français, c'est trop cher... Le prix est le résultat de deux facteurs principaux. Le prix que nous payons à la LFP pour les droits et le volume de personnes susceptibles d'acheter ce produit. Ce prix a été établi aussi sur la base de notre expérience sur les marchés voisins et nous estimons qu'il correspond à la valeur de l'offre que nous proposons (L1, Betclic Élite de basket, boxe, MMA, ligues féminines de foot). Mais je veux croire, sans m'engager, que nous pourrions créer d'autres formules d'abonnement à un prix d'entrée plus bas à l'avenir. Mais aussi à des prix plus élevés si on intégrait d'autres droits forts à notre catalogue. lire aussiDAZN officialise son casting pour la couverture de la Ligue 1 Tous les sondages montrent qu'un tout petit pourcentage de Français est prêt à s'abonner à DAZN. Cela ne vous effraie pas ? Bien sûr que cela m'effraie et j'aimerais pouvoir proposer un prix inférieur si je le pouvais. Mais si vous le comparez à un billet de match, combien coûte-t-il aujourd'hui ? Entre 50 et 80 euros en moyenne pour les moins chers. Les prix ont beaucoup augmenté ces dix dernières années et l'inflation touche tout le monde. C'est un très gros investissement pour nous et nous voulons développer une activité durable. Nous ne voulons pas nous retrouver dans une situation où, après un ou deux ans, nous aurions les mêmes problèmes que d'autres par le passé. Vous faites référence à Mediapro qui avait une offre similaire à la vôtre à 25 € par mois et sa chaîne Téléfoot n'a duré que six mois... Nous sommes une entreprise très différente, une plateforme en lien direct avec les consommateurs et nous gérons une entreprise déjà prospère sur 15 autres marchés autour du football. 29,99 € par mois, pour notre offre en France, est un juste prix. En prenant en compte les différentes formules, nous avons besoin de 1,5 million d'abonnés ne serait-ce que couvrir nos dépenses. Le consommateur doit comprendre qu'il ne paye pas DAZN, il paye la Ligue et les clubs. Parce qu'en fin de compte, si cela ne fonctionne pas, qu'est-ce que cela signifiera pour le football français ? Nous devons assurer un minimum de valeur. « En six mois, nous espérons atteindre 1,5 million d'abonnés, au minimum un million. » Shay Segev Avez-vous pensé à lancer un abonnement destiné aux supporters, moins cher, pour suivre uniquement leur club ? Avec notre plateforme, nous sommes extrêmement flexibles. En boxe, nous proposons déjà du pay-per-view (paiement à la séance) et nous pourrions également le faire pour la Ligue 1. Certaines rencontres pourraient être même gratuites si nous trouvons de grandes marques pour les sponsoriser. Nous continuerons toujours le schéma traditionnel de l'abonnement mensuel car c'est un repère pour les gens. Mais notre idée est de trouver aussi des modèles alternatifs pour toucher plus de clients car le succès ne se résumera pas à 1,5 million d'abonnés payant à 29,99 € par mois. Nous voulons en atteindre 2 à 3 millions avec un ensemble de formules. Peut-être avec un abonnement dédié au smartphone, peut-être un autre comme vous l'avez dit pour suivre uniquement son équipe. Nous verrons. Combien d'abonnés visez-vous la première année, la seconde ? Une fois que vous avez lancé la première saison, vous êtes à peu près stabilisé et il n'y a pas de grands mouvements ensuite. En six mois, nous espérons atteindre 1,5 million d'abonnés, au minimum un million. Si vous n'atteignez pas 1,5 million d'abonnés au bout de deux saisons, une clause de sortie permettra à la LFP de rompre le contrat... Cette clause est venue de la Ligue mais nous l'avons comprise et nous discuterons avant la fin de la deuxième saison pour faire le point. Mais je crois au foot français et au fait que les consommateurs veulent le regarder donc je ne vois aucune raison que nous n'atteignons pas ce nombre d'abonnés. Mais nous comptons aussi beaucoup sur le soutien de la Ligue et des clubs pour nous aider à promouvoir notre produit auprès des supporters. Le piratage est un autre gros risque et nous allons travailler en étroite collaboration avec la LFP pour le limiter au maximum et s'assurer que la loi soit respectée*. Pour l'avenir de la Ligue 1, nous devons réussir. » *Le 2 août, le président du Tribunal judiciaire de Paris a ordonné le blocage par les fournisseurs d'accès à internet français de l'accès à des sites de streaming en direct et à des services IPTV pirates diffusant la L1 et la L2.

Il y a l’Amérique latine (hispanophone) avec un média mexicain sur CalienteTV (Amérique centrale et Amérique du Sud, sauf Brésil) et le Brésil avec CazeTV Sinon, c’est le bordel… https://rmcsport.bfmtv.com/amp/football/ligue-1/droits-tv-angleterre-espagne-etats-unis-plusieurs-pays-prives-de-ligue-1-ce-week-end_AV-202408140444.html DROITS TV: ANGLETERRE, ESPAGNE, ETATS-UNIS… PLUSIEURS PAYS PRIVÉS DE LIGUE 1 CE WEEK-END Le 14/08/2024 à 17:52 Partager Twitter Alors que le championnat de France reprend ce vendredi (20h45) avec l'affiche Le Havre-PSG en ouverture de la saison 2024-2025, de très nombreux territoires seront privés de Ligue 1 ce week-end. Publicité Le championnat de France de Ligue 1 va bel et bien reprendre ses droits ce week-end en grande partie sur les canaux du nouveau diffuseur principal qu’est DAZN (qui détient 8 affiches, la 9e étant la propriété de beIN Sports). Couramment surnommé le "Netflix du sport", DAZN a scellé plusieurs accords de distribution pour s’assurer que les matchs soient accessibles et le plus largement diffusés à la télévision française, même si les prix jugés exorbitants par les consommateurs en ont refroidi plus d’un. Et que, par conséquent, le nombre de téléspectateurs qui se rassembleront devant leurs écrans de télévision, ce week-end, demeure très incertain. Pas de couverture de la Ligue 1 en Afrique Au moins les matchs du championnat de France seront-ils diffusés en France, ce qui ne sera pas le cas en Angleterre ce week-end. A deux jours du match d’ouverture entre Le Havre et le Paris Saint-Germain (vendredi à 20h45), aucun diffuseur anglais ne s’est manifesté pour prendre le relais de TNT Sports, qui détenait les droits exclusifs de la Ligue 1 jusqu’ à la mi-mai 2024. TNT Sports a fait savoir qu’elle ne s’engagerait pas pour un nouveau cycle de diffusion. La situation est identique en Espagne et aux Etats-Unis, où beIN Sports n’a pas non plus renouvelé ses droits après leur expiration, mais également au Canada, et de nombreux autres pays seront probablement privés de Ligue 1 ce week-end. Le quotidien L’Equipe mentionne la région Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (MENA), pour lesquels beIN Sports n’a toujours pas transmis de proposition chiffrée à la Ligue. L’Afrique subsaharienne sera elle aussi privée de Ligue 1, Canal+ s’étant mis en retrait sur ce dossier des droits TV de la Ligue 1.

Je sens que la saison va être longue… Voir associer ligue 1 et McGerbal… Ne pas voir les matchs … ou peut être pas Paris qui va encore gagner le championnat en novembre Marseille qui va décevoir et qui perdra son coach dans 2 mois Lyon qui aura du mal à démarrer. Rennes qu’on croit toujours dans le coup mais qui n’y arrivera toujours pas Strasbourg qui n’a pas de projet sportif va déchanter avec une équipe de U23 Montpellier qui n’a pas de sous Nantes toujours victime de son président et qui pourrait être relégué Lens qui finira 7ème à son habitude Brest qui ne tiendra pas le championnat et la C1 et qui va s'écrouler Saint-Etienne qui va se maintenir, mais difficilement Angers et Le Havre sans moyens Reims et Toulouse en mode inconnu Reste Monaco et les roubles-dollars, Lille et Genesio, Nice avec Haise.

Que des enflures… Je paye 10€/mois canal pour 3 connections supplémentaires que je partage (famille, ami), si (je dis bien si, car j’en suis loin) je m’abonne à Dazn via canal, ils ne pourront pas regarder si je regarde… Y a de moments on cogite, ça m’emmerde de pas voir les matchs de Lens alors que ça fait 15 ans que j’ai la possibilité de les voir. Alors je me dis pourquoi pas… Mais plus il y a de nouvelles concernant DAZN, moins j’ai envie de m’abonner : en plus du prix déjà débattu, partage, pas de commentateurs comme avant, plus de magazine du dimanche, pas de multiplex, les déclarations à l’ouest des dirigeants de DAZN, les mauvaises notes de leur application (1,5/5 faut le faire). Bref, Laburne avec DAZN nous l’a mise bien profonde. J’espère que la prochaine fois on écoutera Ougourlian et Textor, et non pas Nasser.

Bon on remets à jour Samba/Koffi/Petric Gradit/Khusanov/Ganiou- Danso/Bane/(Sagnan) - Medina/Sarr/Haidara Franko/Aguilar/Cabot/Pouilly - Mendy/SAS/Spierings/Diallo - Diouf/El Aynaoui/Thomasson/Ojediran - Machado/Chavez Sotoca/Nzola/Sishuba - DPC/Fulgini Saïd/RLL Soit : Gardiens : 3 joueurs (1 place) DC : 7 joueurs + 2 jeunes dont 1 contrat pro soit 9 joueurs (3 places) Pistons : 6 joueurs dont 1 blessé qui ne se remet pas (Cabot) et 1 jeune (2 places) Milieux centraux : 8 joueurs dont 1 jeune (2 places) Milieux offensifs et attaquants : 7 joueurs (3 places)

Heureusement que t’as pas regarder le surf aux JO. Sur 30 mn, il y a 2 mn de surf si tu ne t’es pas endormi avant. Le reste c’est l’attente des vagues.

Le classement de fin de saison selon OPTA Finir devant Marseille et Nice, ça me va 😂 Classement Club Pourcentage de chances 1 Paris Saint-Germain 79% 2 AS Monaco 26,8% 3 Lille OSC 17,9% 4 RC Lens 12,6% 5 Olympique de Marseille 11,6% 6 OGC Nice 11,5% 7 Olympique Lyonnais 11,4% 8 Stade Rennais 11% 9 Stade Brestois 9,5% 10 Toulouse FC 12,4% 11 Montpellier HSC 13,3% 12 RC Strasbourg 13,7% 13 Stade de Reims 12,4% 14 AJ Auxerre 14,1% 15 AS Saint-Etienne 15,1% 16 FC Nantes 16,9% 17 Le Havre AC 19,3% 18 SCO Angers 24,4%

J’ai vu ça aussi, plus de multiplex… Moi, j’aimais bien le multiplex de temps en temps. Enfin bon le multi le dimanche (Amazon ou dazn qui ne le fera plus) c’est pas top non plus niveau horaire. Le multi du samedi 20h, ça c’était top, avec la petite musique. 2/3 matchs décalés et 7/8 matchs (20 clubs), c’etait cool. La on se retrouve avec 7 créneaux horaires (1 vendredi, 3 samedi -17/19/21h, 4 dimanche 15/17*3m/19/21h), de pire en pire.

T’auras le droit de savoir à la mi-temps si les galettes-saucisses du stade rennais sont bonnes ou pas 😂 #fbn

En même temps l’IPTV illégale… Faut pas mélanger les prix exorbitants de DAZN et la réglementation de l’IPTV où la diffusion des matchs est illégale. Je trouve que c’est plutôt une bonne chose d’une façon générale et pour le long terme, comme la musique fut un temps avant HADOPI. Mais ils auraient dû négocier avant avec DAZN : on renforce le contrôle et l’interdiction de l’IPTV en contrepartie d’une offre de service compatible au marché français. Ça c’est dommage, car c’est la double sanction pour tous ceux veulent suivre leur club de cœur, et ça va forcer encore plus au désintéressement du football en France.

Mwai. Je pensais pareil. Mais franchement, trouver un bar un dimanche à 15h hors grande ville !! Le 3/4 si ce n’est pas 90% est fermé le dimanche après-midi. Et les anciens cafés qui retransmettaient les matchs il y a 15/20 ans ne le font plus. A domicile, je suppose que le Mac Evans sera blindé, tout comme 2/3 autres bar/café historique. Et la circulation pour repartir… Bref, bien le bordel. Il est loin le temps où on allait voir le match le samedi soir à 20h. Je me souviens quand j’étais étudiant sur Lille, j’aillais a la plupart des matchs au Solférino, un écran pour Lille et un écran pour Lens. On retrouvait des « potes » qu’on ne connaissait pas en dehors de ces soirs là. Et on payait la pinte 2,5€. Sinon, il y avait le café du village, mais c’est fini.

- oui - non, pas pour l’instant et à ce prix. À réfléchir plus tard (inclue dans un pack canal, j’ai déjà la pack sport, baisse de prix et de condition…)

Oui, bien entendu les joueurs sont interchangeables. La vérité de Leicester, ne sera pas la même à Angers et en C4 et dans quelques mois. Sur la bonne trentaine de joueurs, on a un noyau de 20 joueurs potentiels titulaires, au moins. Franko/Aguilar ; Machado/Chavez ; Fulgini/DPC ; Mendy/El Aynaoui/ Sas ; Thomasson/Diouf/Ojediran ; Wahi/Saïd/Nzola etc… Les seules vérités du moment, sauf départ non remplacé, ou départ de ces joueurs, voire blessure de longue durée après la fin de mercato, ce sont que certains joueurs ne seront pas ou peu souvent titulaires (Haïdara, Sarr, Khusanov, Spierings, RLL, Sishuba) ; qu’on a des blessés à surveiller (DPC, El Aynaoui, Cabot, potentiellement Saïd) ; que Diouf rentre des JO. Aujourd’hui, bien malin qui peut faire l’équipe type de Lens pour cette nouvelle saison. Hormis le noyau dur hors départ (Samba, Gradit, Danso, Medina) personne n’est titulaire indiscutable.

Pour l’instant on a 3 équipes : Samba Gradit - Danso - Medina Franko - Mendy - Thomasson - Machado Sotoca - Fulgini Saïd —— Koffi Aguilar - Khusanov - Sarr - Chavez - El Aynaoui - Spierings - Diouf DPC Wahi - Nzola —— Petric Ganiou - S.Sagnan - Haïdara Cabot - SAS - Ojediran - Pouilly RLL - Sishuba « Jeune* » * ça peut être un attaquant (Diliwidi, Dié, R.Fofana) ou un latéral gauche (Lenne, Escouflaire) et Pouilly en milieu.

Nolan Roux en amateur A 36 ans, Nolan Roux n'en a pas fini avec le foot. L'ancien buteur de Lille, Saint-Etienne ou encore Brest a signé à Fourques dans le Gard. Il évoluera en D2, la dixième division, après une carrière de 464 matches professionnels.

Il y aura des départs, c’est certain ! Les seuls départs qu’on a eus dans l’effectif de la saison dernière (hors t.d. suite à prêts), ce sont Leca (2e gardien, retraité), Guilavogui (prêt), Pandor (3e gardien, prêt) Sinon, Sylla (prêt, apparu 2 ou 3 ? fois dans le groupe), Baldé et Camara (jamais apparus dans le groupe) Numériquement, les arrivées : Koffi <- Leca Sarr <- (personne) Petric <- Pandor Nzola <- Guilavogui ? Ojediran <- (personne) Auxquels on ajoute les retours de : - Spierings <- personne - Labeau-Lascary <- personne (ou Baldé, mais les attentes ne sont pas les mêmes) Et les contrats pro de : - Ganiou <- personne - Pouilly <- personne On pourrait aussi ajouter le retour de Cabot (blessé 1,5 an) Si on enlève les GK (2 départs compensés par 2 arrivées) Soit 7 joueurs de champs en plus , 3 transferts qui seront des joueurs de rotation, 2 retours de prêts avec des attentes différentes, 2 nouveaux contrats pro, qui alterneront entre N3 et équipe première. Pour 1+3 départs (hors gk) 1 régulier (Guilavogui) + 3 qui ne sont jamais ou peu apparu en équipe 1. En gros, hors gardien, 5 arrivées ou retours pour 1 seul départ de joueur prétendant à une place dans le groupe, par rapport à la saison dernière.