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Le sport en général


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Invité Denis974

Federer : 14 titres de Grand Chelem en cinq ans et onze mois (de 21 à 27 ans)

Sampras : 14 titres de Grand Chelem en douze ans (de 19 à 31 ans)

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Est-ce qu'il a gagné sur quatre surfaces différentes ? :banana:

Pfff même pas ! Qu'il est mauvais Button ! :P

 

Federer : 14 titres de Grand Chelem en cinq ans et onze mois (de 21 à 27 ans)

Sampras : 14 titres de Grand Chelem en douze ans (de 19 à 31 ans)

Ca donne une idée de la performance de Federer en effet !

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Invité Denis974
Plus de concurrence pour Sampras non?

 

Federer a pas mal de concurrence avec Nadal, Djokovic et j'en passe ^^

Modifié par Denis974
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Invité Denis974
C'était juste une question ^_^

 

Tu sais, j'adore Sampras. Les stats que j'ai citées sont de L'Equipe. Pour l'histoire, Sampras restera un grand, même s'il n'a jamais gagné RG. McEnroe non plus, alors que c'est mon préféré de tous les temps car il pratiquait un service-volée tout le temps ou presque. Federer est sans doute le plus grand de tous, le plus beau styliste, mais il ne monte pas tout le temps au filet ^^

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Tu sais, j'adore Sampras. Les stats que j'ai citées sont de L'Equipe. Pour l'histoire, Sampras restera un grand, même s'il n'a jamais gagné RG. McEnroe non plus, alors que c'est mon préféré de tous les temps car il pratiquait un service-volée tout le temps ou presque. Federer est sans doute le plus grand de tous, le plus beau styliste, mais il ne monte pas tout le temps au filet ^^

 

Perso que du Service-volée, ça me saoule au plus haut point ! J'adore voir ce genre de joueur se prendre des passings par cargaison ! :lol: :lol:

 

Je préfère quand il y a un peu d'échange tout de même, sinon en 30min le match est fini quoi ! :rolleyes:

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Federer mets fin à sa carrière.

 

Malgrès qu'il est déclaré qu'il pense au moins jouer jusqu'au J.O de Londres, Roger Federer ayant profité de sa courte nuit pour réflèchir, a décidé de mettre un terme à sa carrière pour pouvoir se consacrer pleinement à sa vie de famille et à son autre passion : l'escrime.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Modifié par tenuo
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Les 24 Heures sans Peugeot ?

 

Il était écrit que les 24Heures du Mans ne seraient pas un long fleuve tranquille. Audi et sa nouvelle R15 sont à l'épicentre de la polémique qui agite le pesage de la course mancelle. La nouvelle Audi est-elle conforme? Le feuilleton a débuté à Sebring pour sa première sortie. Acura et Peugeot avaient pris l'initiative d'aller porter réclamation avant finalement de se rétracter après avoir trouvé un terrain d'entente avec l'Automobile Club de l'Ouest, l'auteur du règlement des courses labellisées Le Mans. L'ACO, via un communiqué, annonçait « que l'ensemble des modifications demandées sur l'Audi R15 LM P1 sont conformes au règlement ACO 2009. » Fin de la discussion.

 

Réclamation ? Retrait ?

 

Enfin presque puisqu'hier, à l'occasion du passage des trois Audi R15 aux vérifications techniques précédents la course, la polémique a ressurgi. Peugeot avait délégué son staff pour jeter un oeil. Olivier Quesnel, le directeur de Peugeot Sport, Bruno Famin, le directeur technique et Serge Saulnier, le team manager, ont peu goûté les évolutions d'Audi.

 

Hier soir, chez Peugeot, l'heure était au conseil de guerre pour savoir quelle attitude adopter face à ce que l'écurie au lion estimait être une moquerie, voire un affront tant la lecture du règlement faite par Audi dépasserait les limites.

 

Il est prévu que les trois Peugeot 980 HDI Fap passent au pesage aujourd'hui à 11 h 30. Le constructeur français ira-t-il jusqu'au retrait, lui qui estime avoir dû faire beaucoup d'efforts pour répondre aux exigences du règlement, en particulier sur la question de la climatisation obligatoire dans les voitures au cockpit fermé. Peu probable à l'égard des enjeux et des investissements consentis par la firme de Sochaux. Peugeot se réservait le droit de ne pas rester les bras croisés, en prenant le risque d'écorner son image alors qu'Audi se retranche derrière l'homologation de ses voitures par l'ACO.

 

Pour Daniel Poissenot, le directeur de course, il n'y a pas raison de polémiquer. « Le règlement admet des interprétations. En endurance, avec des protos, le but du jeu des concepteurs est d'aller jusqu'à la limite. Cela se fait dans la discussion. On a connu Jean Todt, André de Cortanze, des ingénieurs ingénieux. L'essentiel est que cela reste dans l'esprit et la lettre du règlement. » La partie de poker a commencé. Qui ment ?

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Passionante interview ce matin de Bernard Kohl dans l'équipe, contrôlé positif à la CERA l'été dernier et qui balance fort sur ses pratiques (et probablement celle d'autres coureurs) durant le tour 2008.

 

BERNHARD KOHL, contrôlé positif à la CERA lors du Tour 2008, s’est retiré du peloton. Il explique comment il a bénéficié en juillet dernier d’un dopage ultra-planifié.

 

Quelques jours après avoir annoncé sa retraite sportive, Bernhard Kohl a reçu L’Équipe à Vienne. Sans jamais s’apitoyer sur son sort, l’ex-maillot à pois du Tour 2008, contrôlé positif à la CERA(voir le lexiqueci-dessous) lorsdecette épreuve, a dressé un tableau assez sinistre du cyclisme actuel et nous a livré la

logistique précise qu’il avait utilisé pour se doper l’été dernier. Un document à méditer du côté de l’UCI et desgendarmes français dans l’optique de la Grande Boucle 2009.

 

VIENNE – de notre envoyé spécial

 

«VOUS AVEZ DÉCIDÉ de vous retirer du cyclisme professionnel, sans même attendre de purger votre suspension.Pourquoi ?

 

Je sais que c’est terminé. J’ai avoué m’être dopé depuis toujours, dès l’âge de dix-neuf ans. J’ai tout dit, au-delà même de ce qui m’était reproché. Et j’ai collaboré avec la police depuis octobre2008 dans le cadre des affaires instruites dans mon pays. Que puis-je faire de plus ? Je connais les règles dans ce milieu : celui qui parle vraiment ne revient pas. Je passe donc à autre chose, sans regret. Je n’ai plus guère d’amis dans le peloton, et je suis bien placé pour savoir que l’on ne peut pas gagner de grandes épreuves sans se doper.

 

Vers quelles activités allez-vous vous orienter ?

 

J’ai vraiment envie de faire bouger les choses à mon niveau :oeuvrer dans la prévention auprès des jeunes. J’ai quelques contacts en Allemagne à ce sujet. Organiser des stages, pour les jeunes, toujours. Participer à des conférences. Et puis j’écrirai un livre, pour raconter mon expérience.

 

L’UCI n’a pas vraiment apprécié vos déclarations sur le peu d’efficacité des contrôles qu’elle organise.

 

Tout le monde fait du fric dans ce milieu, chacun à son niveau. Dommage, j’aurais pu leur expliquer

quelques trucs afin d’améliorer leur stratégie antidopage. Je suis prêt à témoigner partout, à rencontrer des

représentants de l’Agence mondiale antidopage.À eux de voir. Le but, c’est de cesser de tromper le public.

 

Tromper ceux qui, dans le peloton, ne se dopent pas, ça ne vous dérangeait pas ?

 

Je ne trompais personne dans le peloton, soyez-en sûr. Mais si ça vous rassure de penser qu’il y a des gentils et des méchants au départ des courses, ça ne me dérange pas…

 

On parle pourtant d’une nouvelle génération de coureurs différents, plus sains. Notamment les jeunes Français.

 

(Il sourit.) Je comprends que ce soit plus romantique d’entretenir ce genre de discours. Je crois, pour ma part, que les coureurs dopés trompent les spectateurs, ça c’est indiscutable. Mais pas les cyclistes. Les gars ne trichent pas sur les efforts fournis, ils souffrent. Ils apprécient et respectent les efforts des

autres, sans tenir compte du dopage.

 

Vous étiez un des deux leaders de Gerolsteiner lors du Tour2008 (avec Stefan Schumacher, lui

aussi positif à la CERA). À ce titre, vous avez bénéficié d’une préparation dopante de premier plan. Ce n’est pas le cas des obscurs. Ceux-là ne vous jalousaient pas ?

 

Je ne crois pas. J’ai été aussi un jeune coureur, je ne gagnais rien, je ne touchais pas aux produits hors de prix, faute d’argent. Je savais ce que prenaient les gros, mais c’était comme ça. Il y a comme une sorte d’organisation sociale dans le peloton qui fait que ces choses sont acceptées.

 

Pouvez-vous nous éclairer sur la logistique et les protocoles dopants utilisés sur une grande épreuve ?

 

Un nouveau Tour se prépare dès le lendemain de celui qui s’achève. C’est la règle si vous êtes pro, un vrai pro. Dès le mois d’août 2007, j’ai donc commencé à préparer le Tour 2008.

 

On parle de dopage, pas d’entraînement.

 

Il n’y a pas de contradiction à évoquer les deux en même temps. J’ai fait les deux de manière très sérieuse. Au mois d’août 2007, j’ai donc subi un premier prélèvement de sang destiné à être utilisé pour le Tour 2008. Puis un deuxième en novembre. Un litre à chaque fois. J’avais donc deux litres à disposition

pour juillet 2008. Mon sang a été préparé, les globules séparés du plasma, et puis codés et congelés.

 

C’était la première fois que vous utilisiez le procédé des auto transfusions ?

 

Non. J’ai commencé en 2005, avec le laboratoire autrichien Humanplasma. Mais de manière assez modérée. Je m’y suis rendu trois fois. Les médecins et infirmières du laboratoire me prenaient mon sang, et je m’en allais aussitôt.

 

Ce personnel médical avait-il conscience de l’indécence de leurs actes, destinés en théorie à des patients sévèrement atteints ?

 

Oui. Mais pour eux, en me permettant de tricher ainsi, ils avaient le sentiment de rétablir une sorte d’égalité des chances dans le peloton…

 

Pourquoi avez-vous cessé de travailler avec Humanplasma ?

 

Il y a eu le scandale des Jeux de Turin, en février 2006, dans lequel ont été impliqués des fondeurs autrichiens clients de ce laboratoire. Ça a fait trop de bruit : Stefan Matschiner, mon manager, a décidé qu’il fallait faire ça plus discrètement. Il a décidé d’acheter le matériel nécessaire, j’ai participé au

financement, 20 000 euros de ma poche. D’autres athlètes proches de mon manager l’ont fait aussi. Les

machines sont arrivées début 2007. Mais j’ai fait le Tour cette année-là sans vraiment bénéficier d’un protocole dopant haut de gamme. C’est pour 2008 qu’il a été décidé que je méritais le top du top. Avec une vraie planification.

 

Les dirigeants de Gerolsteiner étaient-ils au courant de vos pratiques ?

 

Non. Il n’y avait pas de dopage systématique dans l’équipe, c’est sûr. Je pense néanmoins qu’ils devaient avoir une certaine intuition de ce qui se pratiquait. Mais je ne peux l’affirmer. Selon moi, le boss, Hans-Michael Holczer, ne savait rien.

 

Et le médecin de l’équipe ? Pas d’intuition non plus ? Il vient d’être remercié par l’équipe Milram.

 

Pas officiellement non plus. Mais lorsque vous êtes toubib, que vous voyez les valeurs biologiques de vos coureurs et leurs performances, vous ne pouvez pas ne pas savoir.

 

Très bien, continuons. Vous laissez tomber les visites à Humanplasma. Où avez-vous effectué les prélèvements sanguins destinés au Tour ?

 

Dans un petit appartement de Haute-Autriche, loué par Matschiner. C’était notre QG. On faisait tout à cet

endroit : prélèvement, stockage, codage.

 

Qui vous posait les transfusions ?

 

Mon manager. Les gars de Humanplasma l’avait formé. Vous savez, c’est simple : les kits sont prêts. Faut pas se tromper dans les codes, c’est sûr…Une erreur, et vous êtes mal. Je croyais que nous n’étions que trois sportifs à fréquenter cet appartement ; j’ai appris par la police que nous étions en fait plus nombreux.

 

Votre manager, toujours incarcéré en Autriche, était donc un CHU à lui tout seul. Il achetait également les produits dopants ?

 

Il s’occupait de tout. Et nous avions un contrat moral entre nous ; je lui reversais 10 %de mes gains. Je ne sais pas comment les autres fonctionnaient avec lui.

 

Revenons sur les routes du Tour 2008. Vous aviez quoi comme munitions à disposition ?

 

Quatre poches de 0,5 litre de sang, c’est tout. Rien d’autre. Trop de contrôles aléatoires. Pas de patch de testostérone, rien, mis à part de la caféine, de la pseudoéphédrine, des antalgiques. L’EPO, l’hormone de croissance, l’insuline, je prenais ça avant, pas pendant.

 

Vous avez donc effectué quatre transfusions ?

 

Seulement trois. La première après la sixième étape, la deuxième avant les Pyrénées, la dernière avant les Alpes. Je n’ai jamais fait la quatrième.

 

Les gendarmes de l’OCLAESP (voir le lexique) n’ont cessé de surveiller les hôtels afin d’alpaguer

d’éventuels fournisseurs de sang. Comment avez-vous déjoué leur dispositif ?

 

Il faut faire attention, toujours. Mon manager a effectué trois fois le voyage d’Autriche, en avion. Il décongelait le sang là-bas, le transportait conditionné dans la soute et l’amenait à l’hôtel.

 

À quelle heure procédait-il aux transfusions généralement ?

 

18, 19, 20 heures. Ça dépendait des rendez-vous avec les médias, de l’heure des massages. Il m’envoyait un SMS : “Tu peux passer dans ma chambre.” Je disparaissais vingt minutes, pas plus. Personne ne remarquait rien.

 

L’UCI a pour habitude d’envoyer ses préleveurs sanguins vers sept heures du matin, le jour des étapes de montagne. Comment arriviez vous à déjouer ces contrôles ?

 

Avec l’apport d’une poche d’un demi-litre, les paramètres sanguins ne sont guère soumis à des variations suspectes.Mon manager me transfusait également de l’albumine, afin de diluer mon hématocrite. Et puis, j’ai toujours pratiqué les transfusions quarante-huit heures avant les étapes capitales : vous n’êtes pas au top dès le lendemain, il faut attendre deux jours pour que les effets soient tangibles.

 

Qu’est-ce qui a cloché avec la CERA ? Pourquoi avez-vous été contrôlé positif alors que vous nous décrivez un système très professionnel ?

 

Le milieu du cyclisme était persuadé que cette EPO n’était pas détectable. J’ai obtenu ce produit par un autre cycliste, je me le suis injecté moi-même trois jours avant le Tour. Dans ma tête, j’étais tranquille.

 

Riccardo Ricco s’est fait prendre à ce même produit pendant la course, vous bien après. Comment avez-vous réagi à l’annonce de son contrôle positif ? Panique à bord ?

 

Non, pas du tout. Enfin, quand l’information est tombée, ça a été un vrai choc. Et puis, j’ai réfléchi : je me

suis dit qu’il s’était planté dans la dose, qu’il avait fait l’injection trop tard. Ça m’a calmé. En revanche, quand j’ai appris que l’Agence française de lutte contre le dopage allait procéder à de nouvelles analyses après le Tour, là, oui, j’ai accusé le coup. Et j’ai encore une fois cherché à me rassurer : O.K., j’étais mort, mais nous étions tous morts ! Bien d’autres coureurs en avaient pris. Qu’allaient faire les autorités françaises ? Supprimer le classement complet du Tour ? Je me suis dit qu’ils n’oseraient pas. Bizarrement,

nous n’avons été que trois à plonger. J’ai la conviction que les dix premiers auraient pu être positifs. C’est tombé sur moi, tant pis. Je n’ai pas demandé de contre-expertise : cette mascarade était terminée.

 

L’UCI ne cesse de se gargariser avec son passeport sanguin, qui n’a pas encore apporté de plus value.

Était-ce un outil qui vous gênait ?

 

Pas du tout. Les coureurs au top sont tellement pros dans leur dopage qu’ils savent pertinemment qu’il leur faut garder des valeurs sanguines stables pour échapper au ciblage. Or, l’UCI nous envoyait systématiquement les valeurs relevées lors des contrôles inopinés : on se référait donc à celles-là pour étalonner les suivantes. À la limite, le passeport nous aidait presque.

 

Le prochain Tour commence dans moins d’un mois. Vous allez le suivre ?

 

Non. Ça fera trop mal. C’était ma vie, mon ancienne vie. C’est fini. Tant que la consommation de produits dopants ne sera pas pénalisée judiciairement, que les gars n’iront pas en prison pour ça, les choses ne changeront pas. »

 

DAMIEN RESSIOT

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Cyclisme - Dopage : Colom positif

Il avait été l'une des surprises du début de saison, avec notamment une victoire d'étape à Paris-Nice et une deuxième place finale au Tour du Pays Basque : l'Espagnol Antonio Colom a été contrôlé positif à l'EPO, hors compétition le 2 avril.

 

Lol

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Excellente interview. Et (mode "ultra optimiste" on) j'espère bien que ça fera avancer les choses... (mode "ultra optimiste" off") :)

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Un point sur les chronos d'hier soir (qui comptent pour du beurre c'était des essais libre) :

 

1 1 Audi Sport Team Joest 3:30.708

2 2 Audi North America 3:30.762 66

3 9 Peugeot Total 3:31.102

4 17 Pescarolo Sport BOULLION 3:33.028 (Peugeot)

5 8 Peugeot Total 3:33.426 74

6 3 Audi Sport Team Joest 3:34.716

7 16 Pescarolo Sport 3:35.868

8 008 AMR Eastern Europe 3:35.996

9 007 Aston Martin Racing 3:36.732

10 7 Peugeot Total 3:37.980

11 009 LMP1 M Aston Martin Racing

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