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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
vince a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Stephan , il veut aller partout lui il est en chien 🤣 -
Le Boss en Action 😂
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Je voulais partager cet article Comment Samuel Umtiti a mis l'Italie à ses pieds Le champion du monde 2018 Samuel Umtiti a remporté son pari : celui de se relancer à Lecce, promu en Serie A, après des années difficiles au Barça. Une expérience bien au-delà du football. De notre correspondant, Valentin Pauluzzimis à jour le 5 juin 2023 à 18h00 ma liste commenter réagir partager Lu mare, lu sule, lu ientu (La mer, le soleil, le vent). Un dicton en patois local devenu la devise du Salento, cette région géographique dont les contours forment le talon de la Botte. La mer, cristalline, prisée, qu'elle soit Adriatique à l'est ou ionienne à l'ouest. Le soleil, que les « Salentini » sont les premiers en Italie à voir se lever chaque matin. Le vent, qui purifie l'air et transporte les parfums des oliviers et des figuiers de Barbarie. Ce sont peut-être ces odeurs, ces images, ces sensations qui traversaient l'esprit de Samuel Umtiti dimanche soir, quand, accroupi, près du banc de touche, il libérait ses émotions et craquait pendant quelques dizaines de secondes. lire aussiToute l'actualité du football italien Le champion du monde 2018 venait d'effectuer seul un tour du stade Via del Mare, antre de l'US Lecce, après les festivités organisées par le club, jeu de lumières et feux d'artifice afin de célébrer le maintien. Des « Um-ti-ti, Um-ti-ti, Um-ti-ti », aux syllabes bien marquées ont été scandés plusieurs fois par les 25 000 spectateurs et très fort lorsque le défenseur de 29 ans est sorti peu avant la fin du match contre Bologne (2-3). De l'émotion, des larmes comme lors du bain de foule à son arrivée le 25 août dernier à l'aéroport de Brindisi et en provenance de Barcelone où il n'avait disputé qu'une seule rencontre durant la saison 2021-2022. « Il avait justement besoin de retrouver les origines, il fait preuve d'une grande humilité et il s'est mis à disposition » Marco Baroni, entraîneur de Lecce Saverio Sticchi Damiani, le président de Lecce, retrace ce moment : « Mon directeur sportif, Pantaleo Corvino, avait caché la rumeur à tout le monde, moi y compris. Un jour, il m'a appelé : "Président, avant que vous ne l'appreniez par les journaux, on est en train de prendre Umtiti." Ce à quoi j'ai répondu : "Un homonyme du joueur du Barca et de l'équipe de France ?" » Une recrue hors norme pour la plus jeune équipe et le plus petit budget de Serie A. Installé dans le hall de l'hôtel de la mise au vert, à quelques heures du dernier match de la saison, Marco Baroni, l'entraîneur des Giallorossi, rappelle qu'il avait mis l'ex-Blaugrana en garde : « Dès le premier appel vidéo, je lui avais dit que ça allait être compliqué, qu'ici, on n'a pas de centre d'entraînement, on a des difficultés pour les déplacements. Mais il avait justement besoin de retrouver les origines, il a fait preuve d'une grande humilité et il s'est mis à disposition. » À Lecce, Umtiti retrouve trois Français, Valentin Gendrey, Rémi Oudin et Alexis Blin, l'ancien capitaine d'Amiens recruté un an avant lui : « Il est arrivé avec l'envie de montrer qu'il en avait encore dans les jambes et dans la tête, il s'est mis de suite au diapason, il a bossé fort et est revenu fort sur le terrain. Nous, les autres Français, on lui a proposé notre aide, si jamais, mais il a été de suite d'une simplicité remarquable : "Ne vous inquiétez pas, je suis là pour m'entraîner tranquillement, me relancer et aider à obtenir le maintien." Ça a matché direct avec le groupe car on voyait qu'il voulait apporter sa pierre à l'édifice. » Il s'est imprégné de l'endroit Dans l'optique de repartir sur des bases saines, Umtiti a choisi de vivre dans une masseria, du nom des anciennes habitations des paysans locaux, à Acaya, en pleine campagne avec la mer d'un côté et les cultures d'oliviers de l'autre. Il s'est imprégné de ces horizons, les postant régulièrement sur ses réseaux sociaux. Le président, Leccese pure souche, complète : « Le Salento est une terre magique, d'hospitalité. Les gens ont envie de recevoir, il n'y a pas de barrières. Souvent, les touristes sont étonnés par la chaleur de cette bande de terre, très étroite, qui nous permet d'avoir toujours une belle mer selon la direction du vent. D'ailleurs, beaucoup de footballeurs restent y vivre après la fin de leur carrière. » Baroni est, lui, natif de Florence, mais il en est à sa quatrième saison dans le coin, deux en tant que joueur dans les années 1980 et les deux dernières en tant qu'entraîneur : « Samu' emmènera avec lui cette richesse humaine », assure-t-il. « Ce n'est pas seulement le meilleur défenseur qu'on ait vu ici, c'est le meilleur joueur de l'histoire de Lecce » Pinuccio Milli, supporter de Lecce La population de Lecce n'atteint même pas les 100 000 habitants, le tour du centre-ville historique au style baroque aussi intime que gracieux, se fait en un quart d'heure. L'ancien Lyonnais s'est nourri de cette authenticité, de cette proximité. « Les gens ne sont pas bêtes... Ils ont vu qu'il s'est très bien intégré aux valeurs du club et de la ville. Il est champion du monde mais a débarqué avec une énorme humilité, décrit Blin. Sam' fait partie des mecs qui donnent une bonne image du football. » Illustration ? Le 2 décembre, pour fêter les trois ans de l'ouverture de la boutique du club, il était de séance de dédicaces. Elle devait durer une heure, mais s'est éternisée pendant deux de plus, parce que le natif de Yaoundé a insisté pour dédier un moment à chaque supporter venu le voir. Pinuccio Milli, ancien ultra et figure locale très respectée, a lui aussi été conquis : « Il pouvait être un corps étranger dans cette équipe quelconque qui n'avait rien à voir avec lui, mais il n'a jamais eu un comportement de supériorité. Il est venu dans le Sud profond et a été comme une espèce de messie. Sans lui, on ne se sauvait pas. Ce n'est pas seulement le meilleur défenseur qu'on ait vu ici, c'est le meilleur joueur de l'histoire de Lecce. » lire aussiLecce et Samuel Umtiti confirment leur maintien à la 101e minute De fait, la dimension humaine de cette expérience ne doit pas faire passer au second plan celle purement footballistique. Milli surenchérit : « La pause liée à la Coupe du monde (entre mi-novembre et fin décembre) a été une panacée. À partir de janvier, il était devenu Franco Baresi par sa façon de commander la défense, ses sorties balle au pied, ses coast to coast. » Baroni décrypte cette renaissance : « Il a réinitialisé son football et a compris nos besoins. Il venait d'une équipe habituée à gérer le ballon, où il ne faut pas courir après les joueurs adverses ; nous, ici, on a mis en place un football plus agressif, de duels, sans jamais donner la possibilité à nos adversaires d'exprimer toutes leurs capacités. Il emmènera aussi avec lui ce bagage professionnel. » « C'est un timide, un introverti, mais les mecs comme lui sont les personnages les plus beaux » Marco Baroni, entraîneur de Lecce Umtiti a notamment enchaîné les prestations XXL face aux cadors. « Face à la Lazio, en janvier (2-1, le 4), lorsqu'il a subi les cris de singes venant du parcage visiteurs, il a ressenti toute l'affection du stade qui l'a soutenu en scandant son nom, reprend Baroni. Samu a réalisé un match incroyable aussi parce qu'il a été touché dans ses sentiments. Et il en a beaucoup, il faut juste aller les chercher parce que c'est un timide, un introverti, mais les mecs comme lui sont les personnages les plus beaux. » lire aussiUmtiti veut « retrouver le plaisir de jouer au football » avec Lecce Son patronyme a continué de retentir au fil des mois dans les travées du Via del Mare où les chants personnalisés avaient pourtant disparu depuis des années. Plus les matches passaient, plus Umtiti se sentait investi par cette mission sauvetage remplie à l'avant-dernière journée, menant de main de maître la 9e défense de Serie A, et qui, jusqu'au but vainqueur de Bologne à la 97e minute, dimanche, était la seule des cinq grands Championnats européens à ne pas avoir concédé plus de deux buts sur un match. « Je lui ai dit que dans plusieurs années, on parlera du grand Lecce d'Umtiti » Saverio Sticchi Damiani, président de Lecce Avant de quitter ses partenaires et de rentrer à Barcelone (où il est sous contrat jusqu'en 2026), pour s'envoler ensuite vers d'autres cieux, Umtiti a tenu à organiser une soirée d'adieu la semaine passé. Blin raconte : « Il a offert un petit cadeau à chaque joueur et membre du staff, il n'a oublié personne. Cela témoigne de sa valeur, il n'était pas obligé. Il y a des gars qui étaient gênés de se sentir maintenant redevables. C'était un très beau geste de sa part. Sam a retrouvé la joie de jouer au foot et surtout de partager la vie d'un groupe, il s'est aussi retrouvé en tant que personne, il conservera cela, peu importe où il va. » Le président Sticchi Damiani lui a glissé un mot : « Je lui ai dit durant que dans plusieurs années, on parlera du grand Lecce d'Umtiti. » Lu mare, lu sule, lu ientu, lu Samu. publié le 5 juin 2023 à 18h00mis à jour le 5 juin 2023 à 18h00
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Va a auchan arras, tu le croiseras peut etre lol
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900
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Quel genie le gars de la com
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Le foot est cruel
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Hors jeu
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Video gag 🤣🤣
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Dantesque
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Lol kiey
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4 buts pour 12 tirs selon L.mazure
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Quel peno genereux pour les parigots 🤣🤣
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Europa League / Conference League
vince a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
C’est vrai que les espagnols ne râlent pas 😂 -
J espere que lors de leur entretien, Pouille ne sera pas allongé dans don pieux😂
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Foot L1 avant-première abonnés Avec la Ligue des champions, Lens va changer de dimension Budget presque doublé, exposition médiatique maximum, effectif en mouvement, Lens va changer de dimension en Ligue des champions. Tout en espérant conserver son identité. De notre envoyé spécial permanent, Joël Domenighetti, à Lensmis à jour le 30 mai 2023 à 00h05 ma liste commenter réagir partager Le « Druide » Daniel Leclercq a disparu le 22 novembre 2019. D'autres, depuis, sont tombés dans la marmite. C'est notamment le cas de Joseph Oughourlian, ravi de l'effet potion magique de la qualification à la prochaine Ligue des champions : « Quand j'ai repris le club (en mai 2016), nous étions à 17 M€ de revenus, racontait le président actionnaire majoritaire du club dans la nuit de samedi à dimanche. Là, on va peut-être atteindre 120 M€ avec la Ligue des champions (la saison prochaine). Depuis cinq ans, Lens change de dimension. La L1, on pensait que ça arriverait plus rapidement. L'Europe, c'était un vrai rêve. » Un rêve que le dirigeant aborde avec prudence : « L'incertitude de la 3e place ne nous aurait pas permis de planifier la prochaine saison. Je ne pense pas qu'on y fera piètre figure. On monte les marches les unes après les autres. En espérant ne pas nous prendre les pieds dans le tapis sous peine de dévaler l'escalier. On en reparlera prochainement. Parce que les choses ne se déroulent jamais comme on le pensait. » Des garanties financières Depuis samedi soir, le club artésien se berce avec l'hymne de la C1, qui a accompagné le feu d'artifice clôturant le dernier rendez-vous à domicile de la saison, une dix-septième victoire (3-0 face à Ajaccio) devant la vingt-sixième affluence de rang à guichets fermés. « On veut jouer les plus gros possibles », espérait le défenseur Jonathan Gradit. « On sera dans les petites boules (au tirage, chapeau 4), ajoutait son compère Florian Sotoca, dans une compétition que l'on regardait à la télévision. Le Barça, le Real Madrid nous font rêver. »« On mérite d'y goûter tous ensemble », anticipait Brice Samba. La qualification pour la phase de groupes va rapporter 25 M€ brut non prévus, soit a minima 20 M€ de marge nette. Ce qu'il serait peut-être allé chercher en ventes s'il n'avait pas participé à une compétition continentale. À l'origine, avant de revoir à la hausse sa copie au fil des mois, le club avait programmé une 12e place en L1. Son budget était de 62 M€ hors mutations. La 2e place lui rapportera 10 M€ de recettes en plus en droits domestiques (26 contre 16). Le vrai danger a bien été identifié en interne. Il tient aux velléités de départ au sein de son staff ou de son effectif. Donc prioritairement à une problématique de gestion sportive. Aux trophées de l'UNFP, dimanche, Franck Haise, nommé meilleur entraîneur de la saison, a quand même glissé : « Je n'ai pas dit que j'allais partir. » Il entend avoir à sa disposition une équipe compétitive pour bien figurer à la fois en C1 et en L1. Le manager artésien en est là à la veille d'un rendez-vous avec sa direction. Cette rencontre doit confirmer que l'alignement général des planètes est toujours d'actualité. lire aussiÀ Lens, Franck Haise attend des garanties pour la Ligue des champions Un renouvellement assumé Cette saison, les départs du trio Florent Ghisolfi-Laurent Bessière-Ghislain Dubois à Nice (octobre à janvier) ont bien été absorbés. Le transfert du défenseur Christopher Wooh pour Rennes (10 M€ payables sur deux ans), le dernier jour du mercato, assimilé. Les arrivées hivernales de Julien Le Cardinal, Adrien Thomasson et Angelo Fulgini, validées en compétition. L'été 2023 pourrait toutefois être brûlant. Sont concernés, a priori, Brice Samba, Kevin Danso, Facundo Medina, Seko Fofana ou Loïs Openda. Cinq des cas les plus supervisés, même si le Belge n'a pas prévu de partir. Mais les Sang et Or se sentent prêts à appréhender leur nouvelle dimension forts de leurs récentes expériences. Le renouvellement d'un tiers de l'effectif est intégré dans le développement global de la structure. Adam Buksa, Jean Onana, peut-être Le Cardinal devraient changer d'air. Alexis Claude-Maurice, prêté par Nice, finalement rester. Les Sang et Or veulent demeurer réactifs en termes de trésorerie, cohérents sur l'ossature de l'effectif. Pas question pour eux de s'appauvrir. Mais si un joueur dispose d'une proposition non refusable et que le club s'y retrouve (Fofana ?), tout le monde en discutera. Le travail d'anticipation du remplaçant de Ghisolfi, Grégory Thil, le directeur technique, prendra alors tout son sens. Pour le moment, les signaux sont au vert. L'exode n'est pas certain. À l'été 2022, le départ de Cheick Doucouré (Crystal Palace) avait été anticipé. Les discussions avec les agents sportifs commencent le 3 juin. « Si des gros clubs viennent pour des joueurs et des membres du staff comme la saison passée, il n'y a pas grand-chose qu'on puisse faire, admettait Oughourlian. On prépare cette éventualité sachant qui on est. » Pour la première fois depuis quatre ans, selon ses dirigeants, Lens aura une masse salariale de première partie de tableau. Personne ne sait si son actionnaire remettra au pot. Il ne le fait plus depuis 2021. En attendant, le club s'adapte. Et répète qu'il ne veut pas faire n'importe quoi. lire aussiLens, la nuit d'ivresse et la Ligue des champions publié le 30 mai 2023 à 00h05mis à jour le 30 mai 2023 à 00h05
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C’est une sacree bande d’abrutis😂😂
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Le président de Lens Joseph Oughourlian « ne pense pas faire piètre figure en Coupe d'Europe » Joseph Oughourlian a hâte de débuter la campagne européenne avec Lens. (E. Garnier/L'Équipe) Dans « La Voix du Nord », le président de Lens, Joseph Oughourlian, assuré de disputer la Ligue des champions la saison prochaine, estime que le club « change de dimension depuis trois ans ». 29 mai 2023 à 10h40 ma liste commenter réagir partager Président et propriétaire du RC Lens assuré de terminer 2e de Ligue 1, Joseph Oughourlian, se dit « ravi » de disputer la Ligue des champions la saison prochaine. « On est un club qui peut et qui doit jouer en Europe, assure le dirigeant dans les colonnes de La Voix du nord, ce lundi. On est ravis que ce soit la Ligue des champions. Je ne l'imaginais pas après cinq ans. [...] Je ne pense pas qu'on va faire piètre figure en coupe d'Europe. » lire aussiComment Joseph Oughourlian (Lens) a gagné la confiance du football français Alors que le coach des Sang et Or, Franck Haise a été élu meilleur entraîneur de L1 par ses pairs aux trophées UNFP dimanche soir, Oughourlian estime que « depuis trois ans, Lens change de dimension. Quand j'ai repris le club, on avait 17 millions d'euros de revenus. Avec la Ligue des champions, on va peut-être toucher les 120 millions l'an prochain », précise-t-il, tout en mettant en garde de ne pas s'enflammer : « Il faut faire attention, il ne faut pas se voir plus beau ou plus grand qu'on est. » publié le 29 mai 2023 à 10h40
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Si la charge de travail est trop importante, on peut mettre un directeur sportif. haise se reconcentre sur l’entrainement!
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
vince a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Said contre lorient aurait largement merité d’y etre -
La colonne vertébrale lensoise 💛❤️ dans l’équipe type de L1
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Ldc: 15 M min droits tv cette saison: 27M grace a la seconde place