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West'ier

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  1. West'ier

    Anciens Lensois

  2. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Ou-voir-le-foot-a-la-tv-et-combien-ca-coute/1584481
  3. West'ier

    Anciens Lensois

  4. Le topic de la saison dernière étant fermé, je me permets de mettre ici cet article fort intéressant (quand c'est bien il faut le dire) de la Voix du Nord : Will Still, les dessous d’une saison très éprouvante en Artois Le samedi 16 aout, à 17 heures face à Lyon, le RC Lens lancera vers sa saison de L1. Avec Pierre Sage sur le banc. L’occasion de se retourner une dernière fois sur l’exercice 2024-2025 de son prédécesseur, Will Still. Retour sur une saison pénible pour le technicien belge. Le 10 juin 2024, Will Still signe au RC Lens, un club encore sonné par le départ de Franck Haise à Nice. L’entraîneur belge a dit oui au Racing, même si son envie d’entraîner dans un autre championnat français le titille depuis toujours. Il le sait : prendre la suite de Haise ne sera pas simple. Son entourage le dira longtemps tiraillé par les récurrentes comparaisons entre la manière dont a évolué l’équipe lensoise de 2020 à 2024 et la « touche Still » qu’il essaie d’imposer. Il faudra la victoire à Reims (0-2), sur la pelouse de son ancien club, fin novembre, pour qu’il s’affranchisse enfin du poids du passé : son 4-4-2 victorieux aligné en Champagne tranche avec le système « haisien ». Les dirigeants lensois ont été mis au courant, dès le début de l’automne, de l’état de santé d’Emma Saunders, la compagne de Will Still, atteinte d’un cancer de la thyroïde. Une situation personnelle qui l’oblige à se rendre très régulièrement en Angleterre. Le board lensois est au soutien de son entraîneur et gère la situation avec beaucoup de discrétion. Le coach essaie de ne rien laisser transparaître de ce contexte émotionnellement lourd. Il séduit humainement de nombreux salariés de La Gaillette - Gervais Martel. On le dit « très agréable » et « sympa ». Ses premiers mois à Lens sont marqués par une élimination en Ligue Europa Conférence face au Panathinaïkos mais Still n’enregistre sa première défaite en championnat qu’à la 9e journée, dans le derby lâché dans le temps additionnel face au LOSC (0-2). En dépit de ce départ très correct sur le plan comptable, des divergences vont peu à peu émerger entre les néo-arrivants et des membres de l’ancien staff de Franck Haise. Will Still est notamment très à l’écoute de son grand frère Edward, laissant parfois l’impression à d’autres membres du staff de ne fonctionner qu’en cercle très fermé. Des désaccords entre Edward Still et Benoit Delaval, responsable de la performance, existent notamment et « une tension latente, sans aucun clash » s’installe au sein du staff selon un témoin. En privé, certains joueurs présents dans l’effectif depuis quelques saisons s’étonnent également du changement de méthode de préparation. Très proche de Jean-Louis Leca, alors coordinateur sportif, Will Still trouve également une écoute très attentive auprès de Pierre Dréossi, le directeur général. En revanche, les relations entre le coach et Diego Lopez, le directeur sportif, sont bien plus frisquettes. Et Nzola piqua la place de parking de Will Still… La saison va être marquée par les frasques régulières de M’bala Nzola, notamment tancé par son entraîneur après une victoire à Saint-Étienne (0-2) pour n’avoir pas choisi les crampons les plus adéquats (0-2). Un matin d’hiver, Will Still arrive à La Gaillette – Gervais Martel après un Nzola pourtant qualifié de « recordman du monde des retards » en interne. L’attaquant prêté par la Fiorentina se gare délibérément sur la place de parking de Still. Une simple blague ou une provocation ? Les avis divergent. Still ne donne pas forcément l’impression à tous les témoins d’apprécier la farce. Il le signifie à son auteur devant le reste du groupe et insiste pour que ça n’arrive plus. Nzola pointe alors… le propre retard de son entraîneur. Certains témoins se disent interloqués par cet échange, le vivant comme un manque d’autorité de la part du technicien belge. Ce dernier assure en revanche que cette passe d’armes n’en était pas vraiment une. « Cet épisode n’était qu’une tempête dans un verre d’eau, assure-t-il. “Nzo” s’est garé sur ma place, c’est vrai, mais j’en ai rigolé avec lui. Je n’avais pas de problème avec lui. Nzola n’était pas un casse-couilles. Il était juste dans son monde. Il a eu des sanctions disciplinaires et financières mais ce n’était pas une mauvaise personne. Cette histoire avec ma place de parking est vraiment insignifiante. » Si tout n’est donc pas parfait, si des incompréhensions surgissent parfois, et alors que des cadres comme Florian Sotoca et Jonathan Gradit ont vu leur statut sportif vaciller, le groupe avance. À la mi-décembre, le bilan est positif en L1 : avec 6 victoires, 6 nuls, 3 défaites, le Lens de Still légitime sa présence dans le top 7, en route pour l’objectif envisagé, celui de se qualifier pour l’Europe. Mais la fin d’année 2024 et – surtout – le début d’année 2025 va creuser la tombe des ambitions européennes artésiennes. Le mercato hivernal est vécu comme une saignée par l’environnement sang et or : Brice Samba, Kevin Danso et Abdukodir Khusanov quittent l’Artois. Déjà confronté à des problématiques semblables à Reims, où il avait notamment perdu Azor Matusiwa en janvier 2024, Will Still revoit le film se jouer et accuse le coup. La goutte d’eau est versée début février lorsque Przemyslaw Frankowski est transféré à Galatasaray. Deux jours avant le départ du Polonais en Turquie, l’entraîneur lensois avait pourtant assuré en conférence de presse, après une défaite très inquiétante à Nice (2-0), qu’il ne partirait pas. C’est un vrai moment de bascule pour le technicien belge, qui n’est pas non plus forcément convaincu par toutes les recrues débarquant en janvier (Bah, Agbonifo, Celik, Ryan, Koyalipou). Sa confiance envers Diego Lopez – déjà mesurée – paraît encore s’étioler. D’autant que la rumeur court que l’Espagnol aurait sondé d’autres entraîneurs en vue de la saison 2025-2026. Entre début février et début mars, le Racing enchaîne quatre défaites consécutives. Après une après-midi très compliquée à Nantes (3-1), il s’épanche, ciblant les choix du mercato : « C’est compliqué, mais vous pouvez mettre (le coach) que vous voulez, ce sera compliqué. Je ne dirais pas que tout a changé, mais une grosse partie des choses ont changé. Tout le monde est assez mature et assez grand pour constater ce qu’il s’est passé. » Le Racing a notamment été plombé par l’expulsion incompréhensible de M’bala Nzola lançant le ballon en direction de l’arbitre. Après le match, dans les coursives de La Beaujoire, la tension est partout. Facundo Medina, énervé par la prestation de son équipe, refuse poliment de s’arrêter pour répondre à la presse. Sa réaction dit tout de l’exaspération gagnant peu à peu le groupe : « Si je parle, je fracasse tout le monde ». L’Argentin aurait pu partir à l’OM dès janvier mais veut aller au bout de sa saison. Comme certains de ses équipiers et leur coach, il est touché par les départs hivernaux. Souffrant d’une encéphalite, Emma Saunders est hospitalisée fin février, et placée dans le coma. La semaine de la réception du Havre (3-4), Will Still doit s’absenter en février, dans le plus grand secret. La solidarité du staff et du groupe lensois autour du coach est prégnante. Le mardi 4 mars, une réunion entre le club et les responsables des associations de supporters est organisée à La Gaillette - Gervais Martel. Elle était prévue de longue date mais la défaite face aux Normands a fait monter la tension : une partie du public lensois a réclamé les démissions de Pierre Dréossi et Diego Lopez. Au cours de la réunion, Will Still, très critique sur les rumeurs qui peuvent se répandre sur les réseaux sociaux, anticipe l’éventuelle question de son absence la semaine précédente pour les entraînements. Un trémolo dans la voix, il glisse en substance : « Si je n’étais pas là, ce n’est pas parce que je cherchais un club ailleurs ou quoi que ce soit. C’est parce que ma femme était dans le coma.» Le 8 mars, Emma Saunders publie sur les réseaux sociaux un message dévoilant ses problèmes de santé. Une publication qui permet à l’environnement du club de mieux comprendre ce que vit son entraîneur depuis de longues semaines. La victoire arrachée au Vélodrome, le soir même du message d’Emma Saunders, est chargée d’émotions (0-1). Une annonce deux jours avant le dernier match Inéluctablement, pourtant, le rêve européen s’envole. L’écart se creuse avec les sept premiers du championnat. Lens fonce vers une huitième place pas infamante mais très frustrante. Will Still se pose des questions quant à son avenir. Le matin du jeudi 15 mai, Will Still convoque une réunion dans son bureau, conviant notamment Diego Lopez, Pierre Dréossi et Jean-Louis Leca. « J’arrête car on a perdu trop de joueurs », glisse-t-il en substance. Il évoque également sa situation familiale. L’entraîneur prend le Racing de court. Une solution se présente rapidement : Edward Still se porte candidat et affiche son envie de reprendre l’équipe. Il expose même son projet aux dirigeants. La journée du vendredi voit notamment Pierre Dréossi tenter de faire revenir le technicien belge sur sa décision, sans réussir à l’infléchir. Joseph Oughourlian débarque à Lens pour le week-end et a évidemment été mis au fait de la situation. Le boss du Racing, fort de son expérience dans le monde des affaires mais aussi dans celui du foot, tient lui une position claire : il faut avoir auprès de soi des collaborateurs totalement investis, et ne jamais trop insister pour en garder un qui émet l’envie de quitter l’aventure. Des cadres s’opposent à la reprise de l’équipe par Edward Still Le samedi 17 mai, Lens reçoit Monaco. Le Racing offre un feu d’artifice offensif (4-0) permettant à Facundo Medina de partir de l’Artois sur une victoire. Si aucun plan de communication n’a été véritablement dessiné pour annoncer le départ de Will Still, une règle est édictée : les joueurs doivent être les premiers au courant. Dans le vestiaire, après le match, le coach leur annonce sa décision et les salue ensuite un par un. Si Edward Still imagine alors pouvoir prendre la suite de son frère cadet, sa candidature va vite tomber à l’eau. Trois joueurs, parmi les cadres de l’équipe, n’attendent pas la fin de soirée pour approcher les dirigeants et leur signifier leur ferme opposition à l’idée de voir promu celui qui a souvent mené les séances d’entraînements au cours de la saison. Peu après minuit, Will Still répond à une question de La Voix des Sports et lâche la nouvelle : « Je ne serai pas entraîneur de Lens l’an prochain. Il y a de multiples raisons, mais la raison principale c’est le fait que j’ai besoin de rentrer chez moi ; tout le monde est bien conscient de ce qui s’est passé dans ma vie à moi, c’est pour ça. » Will Still, qui vient de faire mieux en terme de points que Franck Haise sur la saison précédente (52 points contre 51), évite d’égratigner les choix sportifs du milieu de saison qui ont aussi mûri sa réflexion. Diego Lopez, qui en privé appréhendait que le coach ne l’éclabousse par ses déclarations, est épargné. Lens a tenté de rattraper Delaval par la manche Les dissensions dans le staff ont déjà provoqué des bouleversements. Le responsable de la performance est dispensé d’activité depuis la fin du mois d’avril. Il est présent à Bollaert-Delelis pour cette dernière rencontre face à Monaco. Le départ de Will Still change la donne et les dirigeants lensois sondent la possibilité de rattraper Benoit Delaval par la manche. Mais ce dernier a déjà paraphé son contrat avec l’OGC Nice. Edward et Nicolas Still, qui sont en CDD, apprennent qu’ils ne seront pas ceux qui prendront la relève. Les dirigeants lensois ont conscience qu’il sera extrêmement compliqué de faire admettre leur présence dans le staff à un coach venu de l’extérieur. L’idée du Racing est de parvenir à un accord financier parvenant à limiter la casse. Ils feront mieux : c’est Southampton, qui vient d’engager Will Still en tant que coach, qui va régler une note correspondant à la somme permettant de libérer Edward et Nicolas (1,4 million d’euros). Le 22 mai, moins d’une semaine après le départ de l’entraîneur belge, Joseph Oughourlian bouscule l’organigramme du club : Jean-Louis Leca remplace Diego Lopez au poste de directeur sportif tandis que Benjamin Parrot, qui vient de boucler le rachat du stade Bollaert-Delelis par le Racing, devient directeur général. Une nouvelle ère s’ouvre pour le club sang et or. Le 2 juin, Pierre Sage est nommé en tant qu’entraîneur principal. Le 18 juillet, pour La Voix du Nord, Will Still livre son ressenti en marge d’un Southampton – Valenciennes en match de préparation : « Il y a eu beaucoup de choses dites de la part de beaucoup de personnes et qui ne sont pas toujours très justes. J’ai quitté Lens pour des raisons personnelles et aussi professionnelles. J’ai fait le travail qu’on attendait de moi dans des conditions particulières et parfois compliquées sur un plan personnel. J’ai retrouvé un club dans la semaine qui a suivi même si on préfère croire que j’avais trouvé ce poste bien avant de partir de Lens. » Avant de conclure : « Je n’étais pas malheureux à Lens mais c’était difficile pour des raisons que j’ai déjà exprimées. Terminer huitième avec Lens après tout ce qui s’est passé pendant la saison, c’est assez admirable. Je suis très content de mon passage en France et des gens que j’ai rencontrés. »
  5. West'ier

    Anciens Lensois

    https://www.sudouest.fr/sport/football/pau-fc/ligue-2-tom-pouilly-compte-bien-s-emanciper-au-pau-fc-25498347.php
  6. West'ier

    Lens - OL / J1 / 16-08-25

  7. Un modérateur peut-il mettre à jour le titre du topic ?
  8. West'ier

    Lens - OL / J1 / 16-08-25

    Les affectations sont déjà tombées il y a quelques jours pour les arbitres de Ligue 1. C’est Romain Lissorgue qui a été désigné pour arbitrer le match RC Lens – Lyon. Un arbitre âgé de 34 ans. Il sera assisté par Brice Parinet Le Tellier et Gwenaël Pasqualotti. Pierre Gaillouste, lui, sera le 4e arbitre de la rencontre. Jérôme Brisard et Mathieu Grosbost auront la responsabilité de l’assistance vidéo. Lors de l’exercice 2024-2025, Romain Lissorgue a arbitré 22 rencontres, dont 14 en Ligue 1. Il avait d’ailleurs croisé la route du RC Lens à trois reprises : les deux matchs contre Saint-Étienne (deux victoires) et à Nice. Lors du déplacement à l’OGCN, l’homme en noir avait exclu Facundo Medina après deux avertissements. Bien que ce soit la première journée de la saison 2025-2026, Romain Lissorgue n’en sera pas à son début de saison, puisqu’il a déjà officié lors du 1er tour des qualifications de la Ligue des Champions. C’était le 15 juillet, entre Malmö et Iberia 1999 (3-1). Il avait alors distribué six cartons jaunes et un carton rouge.
  9. https://www.lensois.com/entretien-pressing-sorties-de-balle-desequilibre-mes-trois-piliers-pierre-sage-raconte-sa-philosophie-de-jeu/
  10. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Mercato-rennes-toulouse-et-lens-parmi-les-clubs-interesses-par-willem-geubbels/1584683 Une preuve de la forme actuelle de l'ex-Monégasque, sous contrat jusqu'en juin 2027 en Suisse, et qui figure sur les tablettes de Rennes, Toulouse et Lens - une dernière piste qui s'est toutefois refroidie -, comme l'a avancé Foot Mercato ce mardi. Une information que nous sommes en mesure de confirmer.
  11. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/L-as-saint-etienne-enregistre-deja-plus-de-20-000-abonnes-un-record-pour-un-club-de-ligue-2/1583907
  12. Jean-Louis Leca, Directeur sportif du Racing : « On accueille Florian (Thauvin) avec un immense plaisir et une certaine fierté, celle de voir un champion du monde nous rejoindre. Je pense que l’accueil incroyable qui lui a été réservé par le peuple lensois confirme ce sentiment. Avec plus de 250 matchs en Ligue 1, Florian est une valeur sûre de notre championnat. Sa capacité à éliminer, à marquer dans toutes les positions et à faire briller ses coéquipiers sera importante pour l’équipe. Son expérience et son rôle de capitaine à l’Udinese font également de lui un leader. Voir un joueur de cette qualité et avec ce statut d’international français adhérer à notre projet est très positif. Florian était déterminé à venir au Racing et je veux le remercier pour sa confiance. Au cours de sa carrière, il a évolué dans des ambiances populaires et je suis persuadé qu’il va se régaler dans la chaleur de Bollaert ! » https://www.rclens.fr/fr/news/mercato-florian-thauvin-rclens-leslensois-20250808
  13. West'ier

    RC Lens Féminin

    Des places à 3€ pour les abonnés et à 5€ pour les non abonnés. C'est plus qu'honnête.
  14. Ligue 1 + se lance avec une promotion à 9,99 euros par mois pendant trois mois À trois jours du lancement de sa campagne d'abonnements à sa propre plateforme de la Ligue 1, la LFP a livré ses dernières informations concernant la distribution de la chaîne ainsi que son enjeu éditorial et commercial. La Ligue de football professionnel (LFP) n'avait pas d'autre choix. Nicolas de Tavernost, le DG de sa société commerciale, a rappelé ce vendredi lors d'un point presse que la Ligue n'avait pas d'autre option que de lancer sa propre chaîne pour retransmettre la majorité de la Ligue 1 (beIN Sports détient toujours l'affiche du samedi 17h) après la rupture de contrat prématurée avec DAZN. Mais l'ancien patron historique de M6 a aussi affiché un grand enthousiasme à trois jours du coup d'envoi des prises d'abonnement à Ligue 1+ et d'une importante campagne publicitaire. Tavernost a notamment annoncé une offre de lancement à 9,99 euros mensuels (au lieu de 14,99 euros) pendant les trois premiers mois, à condition de s'engager sur 12 mois d'ici le 31 août. Sans engagement, l'abonnement est affiché à 19,99 euros par mois. Mais pour ces deux formules, il a été précisé que les deux connexions pourront se faire depuis deux foyers différents et par deux utilisateurs en simultané. Pour les deux autres offres sans engagement, celle réservée au moins de 26 ans (9,99 euros par mois) et la « mobile » (14,99 euros), une seule connexion est possible et le signal ne pourra pas être renvoyé (casté) sur un téléviseur mais visionnable uniquement sur ordinateur, tablette et smartphone. Objectif 1 million d'abonnés d'ici la fin de saison À compter de lundi, il sera donc possible de s'abonner à Ligue 1+ en se connectant directement sur l'application et la plateforme du même nom, mais aussi via DAZN, Free et Bouygues Telecom. Suivront le lendemain Orange et SFR puis très rapidement d'autres distributeurs comme Amazon Prime Video, Molotov, Samsung TV+, etc. Mais le grand absent demeure Canal+, premier distributeur d'offre sportive en France. Depuis que son président, Maxime Saada, a décidé il y a un mois et demi de « jeter l'éponge » dans les négociations qu'il menait avec LFP Media, le dialogue est rompu. « Nous pensons que c'est l'intérêt de Canal+, voire de ses actionnaires, que de toucher une commission de distribution et de satisfaire ses abonnés, estime Tavernost qui veut toujours croire à un accord. La porte est ouverte mais la balle est dans le camp de Canal, pas dans la nôtre. » Et face au choix de la chaîne cryptée de proposer en clair le match d'ouverture de la saison de Premier League, Liverpool-Bournemouth, le soir du lancement de Ligue 1+, le patron de LFP Media y voit un signe : « Chacun fait comme bon lui semble mais on peut considérer qu'on est pris au sérieux. » Nicolas de Tavernost a enfin rappelé qu'il visait « un million d'abonnés à sa nouvelle chaîne d'ici la fin de la première saison ». Pour cela, les équipes éditoriales de la Ligue et de Mediawan, la société de production partenaire, promettent une immersion inédite au sein des clubs et pendant les matches, avec notamment un véritable accès au vestiaire. Outre le dispositif éditorial, révélé dans ses grandes largeurs par L'Équipe la semaine dernière avec le recrutement notamment d'Adil Rami, Guillaume Hoarau ou Souleymane Diawara, le directeur éditorial Jérôme Cazadieu a ajouté que Rémy Vercoutre rejoignait aussi Ligue 1+ comme consultant. Mais le véritable démarrage de cette nouvelle aventure audiovisuelle est programmé le vendredi 15 août, à 19h15, avec l'ouverture du signal à une heure de demie de Rennes-OM. D'ici-là, la Ligue et les clubs espèrent déjà engranger un maximum d'abonnés... et d'indispensables premiers revenus. L'Equipe
  15. Nouveau rebondissement dans l’affaire des droits TV de la Ligue 1. Alors que la saison 2025-2026 débute bientôt, le bras de fer entre la LFP et beIN Sports s’intensifie. Selon L’Équipe, beIN Sports, qui a payé 78,5 millions d’euros par an pour diffuser le match du samedi à 17h, n’a réglé que 14 millions sur les 18 millions attendus au début du mois d’août. La raison ? La chaîne franco-qatari proteste contre les contraintes imposées sur la programmation des matchs et réclame plus de liberté pour choisir les rencontres à diffuser. En effet, beIN Sports a le droit de choisir entre deux créneaux en alternance, mais ne peut pas diffuser plus de huit fois la même équipe ni programmer deux fois de suite le même club. Pour assouplir ces règles, Nicolas de Tavernost, directeur général de LFP Media, a proposé d’autoriser la diffusion consécutive d’une même équipe à condition que Visit Qatar verse un sponsoring supplémentaire de 20 millions d’euros. Mais cette offre a été rejetée par Yousef al-Obaidly, patron de beIN Sports, qui parle d’une « proposition totalement déconnectée de la réalité ». Selon lui, « le contrat de sponsoring de 20 millions d’euros dont il est question n’a jamais été signé ni même discuté entre LFP Media et Qatar Tourism ». Il accuse aussi la LFP d’avoir manqué à ses engagements et d’exercer une pression « coercitive et abusive » pour imposer un arrangement à trois parties impossible à appliquer. Quel risque ? Dans sa réponse, Yousef al-Obaidly note toutefois que la LFP reconnaît enfin la valeur de 20 millions d’euros associée à ces restrictions sur le choix des matchs. Mais il déplore que la LFP « profite d’un manquement contractuel non pas pour trouver une solution, mais pour imposer une situation inacceptable à beIN ». La LFP, réunie en conseil d’administration ce jeudi, pourrait mettre en demeure beIN Sports de respecter son contrat. De son côté, le diffuseur continue de contester la valeur de son engagement, ce qui explique son paiement partiel. Cette guerre des droits laisse planer un doute sur la diffusion des matchs du samedi après-midi, notamment l’affiche Lens-Lyon programmée le 16 août, en marge de la première journée de Ligue 1.
  16. Un 9 est bien recherché, une fois qu'on aura dégraissé.
  17. West'ier

    Anciens Lensois

  18. Quel blaireau celui-là... On a tellement hâte de retrouver Christophe Josse et Daniel Bravo sur leur antenne !
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