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West'ier

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Tout ce qui a été posté par West'ier

  1. Fumigènes du parcage rennais à Brest. C'est d'autant plus con que les Rennais s'étaient très bien comportés l'an dernier à Bollaert et qu'il s'agissait d'un des plus beaux parcages de la saison.
  2. Et c'est reparti pour un tour...
  3. https://www.lequipe.fr/Football/Article/Tour-de-france-des-clubs-lens-la-tete-dans-les-etoiles/1412627 Quelqu'un abonné à l'Equipe qui peut nous partager cet article de J.D ?
  4. West'ier

    [7] Florian Sotoca

    https://www.lavoixdunord.fr/1359888/article/2023-08-07/rc-lens-les-sept-merveilles-de-florian-sotoca
  5. RC Lens : plusieurs investisseurs régionaux, dont la famille Mulliez, devraient entrer au capital Selon nos informations, l’actionnaire minoritaire qui devrait entrer au capital, probablement d’ici à la fin du mois, est un fonds d’investisseurs régionaux, parmi lesquels la famille Mulliez et la Région. Le RC Lens et son président propriétaire Joseph Oughourlian se sont mis en quête depuis plus d’un an d’un actionnaire minoritaire susceptible de faire passer un cap au club artésien. Les discussions, qui demandent évidemment du temps, en sont désormais à un stade avancé et pourraient se finaliser d’ici à la fin du mois d’août. Selon nos informations, c’est un pool d’investisseurs régionaux qui devrait entrer au capital du Racing. Parmi eux, l’AFM, Association Familiale Mulliez, Octave Klaba, le fondateur et président d’OVH à Roubaix, l’IRD (Institut régional de développement au sein du fonds de dotation Entreprises et Cités). Des investisseurs qui avaient déjà créé un fonds d’investissement, le FE2T, pour soutenir les entreprises pendant la crise sanitaire, et qui se réuniraient désormais au sein d’un « pool média » voué à investir dans des entreprises, dont le RC Lens, mais pas seulement. La Région en ferait également partie. Ce consortium colle en tout cas à l’ADN du Racing, attaché à son identité régionale. https://www.lavoixdunord.fr/1360372/article/2023-08-08/rc-lens-un-consortium-regional-devrait-entrer-au-capital
  6. West'ier

    Brest - Lens / J01 / 13/08/23

  7. Au cœur de la préparation du RC Lens : « Un groupe homogène pour aller à Brest » Série d’été : au cœur de l’avant-saison du Racing (5/5). Benoit Delaval, le responsable de la performance, a accepté de décrypter la préparation chaque lundi jusqu’à la reprise. 31 Le nombre de séances terrain effectuées par les Lensois. « En cinq semaines, c’est pas mal, d’autant qu’on a enlevé deux jours avec le stage de cohésion. Les internationaux (rentrés dix jours plus tard) en comptent 22, on leur en avait programmé 2 supplémentaires le lendemain du match du 14 juillet contre Amiens, et à Divonne. On avait aussi ajouté des séances de compensation après les deux premiers matchs. Il en manque encore un petit peu pour certains, mais avec la dernière semaine, à cinq séances, on aura un groupe homogène. Personne n’est en difficulté, on a un groupe bien dans l’ensemble. » Benoît Delaval tient les comptes, ces 31 séances correspondent à 33 heures sur le terrain et 147 km courus pour ceux qui les ont toutes faites, Julien Le Cardinal, Neil El-Ayanoui, et les jeunes Ayanda Sishuba et Fodé Sylla. 23 Le nombre de séances en salle, qui varient de 15 à 25 minutes, dont 16 pour les internationaux. Les Lensois ont aussi tous participé à 5 séances de prévention individuelle, de 20 à 35 minutes : « On a tout le monde en salle, ça rentre, ça sort, ça bouge du matériel, on met un maximum de monde, 4, 5 kinés, 2, 3 prépas physiques. Il peut y avoir 25 programmes différents ! Pour Deiver Machado, par exemple, un travail d’ischios, hanche et bassin lié à son profil explosif, le haut du corps et le dos pour Jean-Louis Leca, les genoux pour Brice Samba. » 6 Le nombre de matchs de préparation, Dijon et Sochaux affrontés en stage le même jour ne faisant qu’un dans l’esprit du staff. Les trois derniers (à Wolfsbourg, Torino, à Manchester) en sept jours ont permis d’harmoniser les temps de jeu. « Si on n’en avait joué que deux, un par semaine, on n’aurait jamais eu 15 joueurs à 120 minutes (1 match + 30 min) et 12 joueurs à 150. On aurait monté les temps de jeu des potentiels titulaires de Brest et les autres auraient moins joué. » Kevin Danso a le plus joué dans cette série (267’). 389 Ils sont cinq à avoir joué plus de 360 minutes sur l’ensemble des matchs amicaux. Avec 389 minutes, Jonathan Gradit a été le plus utilisé. 382 pour Kevin Danso, « c’est énorme car il n'a pas joué le premier », rappelle Benoît Delaval. 380 pour Andy Diouf et Florian Sotoca, 3 de plus pour Adrien Thomasson. Des temps de jeu répartis pour « encaisser un match par semaine sur les quatre premières semaines. Il ne va pas y avoir énormément de rotations d’un match à l’autre, ça va jouer sur les performances, les petites blessures, quelques adaptations à l’adversaire. Les 4 premières compos devraient être assumées par 15, 16 titulaires. Les autres vont être des finisseurs, jouer des demi-heures, voire une mi-temps. Ils ont assez joué pour ça et nos semaines sont intenses. » Neil El-Aynaoui a été moins utilisé sur les trois derniers matchs en raison de sa suspension pour cinq matchs (carton rouge reçu avec Nancy). Le milieu ne pourra pas apparaître en L1 avant la 6e journée (24 septembre). Il jouera demain avec la réserve. 4 et 3 « On avait établi un plan de bataille très précis sur les 4 premiers matchs et les 3 derniers, ceux qui te permettent d’arriver avec des jambes Les prévisions et la réalité sont très proches, apprécie le responsable de la performance. On avait prévu des joueurs avec 2 titularisations, certains avec l’enchaînement, par exemple, Morgan Guilavogui sur les deux premiers et moins de temps de jeu sur le 3e à Manchester. "Macha", c’était l’inverse. Pour "Jo" Gradit, Angelo Fulgini et "Frankie" (Frankowsksi), c’était un temps de jeu important aux deux extrêmes, moins face au Torino, mercredi. Seuls Brice Samba, Kevin Danso et "Fac" (Medina) ont été titulaires trois fois. Et c’était hyper intéressant d’avoir les recrues très vite. Avec les jeunes, Ayanda Sishuba et Fodé Sylla, ils se sont tous mis dans le rythme et le travail et ont tout de suite tout intégré. » Un travail collectif en collaboration étroite avec l’entraîneur, Franck Haise, calé en amont avant la préparation jusqu’au stage de Divonne. « Puis on a fait une projection sur les trois derniers matchs et tous les deux jours on ajustait, en refaisant un point après les matchs en fonction des besoins physiques mais aussi techniques et tactiques. Il faut que tout colle. » 2 Après deux jours de repos, place, demain, à la préparation du match à Brest (dimanche à 13 h). https://www.lavoixdunord.fr/1359740/article/2023-08-07/au-coeur-de-la-preparation-du-rc-lens-un-groupe-homogene-pour-aller-brest
  8. Braga n'a pas encore gagné contre le Backa Topola, si ?
  9. Lui, il vit vraiment sa best life.
  10. Les anglais en plein kiff sur nos supporters, c'est sûr que ça doit leur changer de leurs stades aseptisés. Ils sont pas prêts quand on va débarquer à 5000 en Ligue des Champions
  11. West'ier

    [14] Facundo Medina

    Facundo Medina : « J’aime qu’on m’insulte, qu’on me siffle » Joueur au caractère bien trempé, Facundo Medina n’a pas toujours fait l’unanimité auprès de ses supporters dans sa carrière. S’il fait aujourd’hui partie des chouchous de Bollaert, le défenseur du RC Lens a aussi subi les quolibets à son encontre lors de ses débuts en Argentine. Une situation vécue avec beaucoup de recul par l’intéressé, qui avoue même s’en être servi pour poursuivre sa progression. Le caractère bien trempé de Facundo Medina Si Facundo Medina profite aujourd’hui de l’ambiance incandescente d’un stade Bollaert plus que jamais derrière son équipe, l’Argentin assure n’avoir aucun mal à évoluer dans une atmosphère bien plus hostile. « J’aime sentir la pression, j’adore jouer à l’extérieur, quand tout le stade t’insulte et te siffle. J’adore sentir cette pression, c’est le folklore du football. Je le vis comme ça. J’aime qu’on m’insulte, qu’on me siffle, a-t-il lâché à l’occasion d’un entretien accordé à nos confrères de 90 football. Une anecdote me revient, quand j’avais 19-20 ans, je jouais à Talleres avant de venir ici. Les premiers matches ne se passaient pas bien du tout. Tout le stade me sifflait mais j’adorais ça. » Et pour cause, Facundo Medina a pris l’habitude de s’en nourrir plutôt que de se brusquer. « Ca me plaisait car ils te mettent la pression pour que tu t’améliores, que tu ailles de l’avant, que tu sois fort dans la tête pour être à la hauteur. Tout ça m’a beaucoup aidé. Je suis parti par la grande porte de Talleres, je suis très reconnaissant envers les supporters, leurs représentants, précise l’Argentin. Je continue de parler avec beaucoup de gars. Je les remercie de m’avoir sifflé dans ces moments. » Aujourd’hui, le gaucher récolte surtout des applaudissements et des encouragements dans un stade Bollaert qu’il juge « incroyable« . « On ressent aussi cette passion ici. Pour moi, ils font partie des meilleurs publics en France. Que l’on joue à domicile ou à l’extérieur, on les sent. Nous, les joueurs, devons être reconnaissants de ça. » https://le11hdf.fr/rc-lens-facundo-medina-jaime-quon-minsulte-quon-me-siffle/
  12. West'ier

    [Coach] Franck Haise

  13. West'ier

    [4] Kevin Danso

    KEVIN DANSO, LE ROC RESTE EN PLACE La charnière lensoise conserve son pilier ! Progressivement monté en puissance en deux saisons en Artois, Kevin Danso prolonge le contrat qui le lie au Racing jusqu’en 2027. Véritable taulier de la défense, promu cadre de l’effectif par Franck Haise, le joueur aux 13 sélections avec l’Autriche va continuer de transmettre sa bonne humeur sous la tunique artésienne. Le sourire de ce grand gaillard frappe tout de suite. Si les mensurations sont impressionnantes (1 mètre 90 pour 85 kg), Kevin Danso affiche une jovialité qui caractérise parfaitement l’homme : une personne calme, sereine, agissant toujours dans le respect de l’autre. Mais sur le terrain – et ses adversaires peuvent en témoigner – l’Autrichien né de parents ghanéens ne fait pas de cadeau. Intense, dur sur l’homme et inlassable récupérateur, l’international est un profil extrêmement recherché sur le marché des transferts à l’été 2021. Lorsque ce colosse de 22 ans débarque finalement dans le bassin minier, le board lensois loue son impact physique et sa polyvalence. Un potentiel qui va se dessiner au fur et à mesure. UNE ADAPTATION PROGRESSIVE La France, un troisième pays à découvrir dans la carrière du jeune Kevin après des passages remarqués outre-Manche et en Allemagne. Polyglotte par ses expériences passées, il doit tout de même se fondre dans une culture et un langage différents. La communication est primordiale sur un terrain, d’autant plus aux postes défensifs qui nécessitent une attention toute particulière. Kevin Danso débute alors son apprentissage dans un nouveau championnat. Après une courte entrée en jeu lors de la première journée de Ligue 1 Uber Eats face à Rennes, le numéro 4 est titularisé au sein de la charnière centrale dès sa deuxième apparition sur la pelouse de Monaco, déjà aux côtés de Facundo Medina et Jonathan Gradit. En pleine adaptation dans ce dispositif à trois défenseurs centraux, il livre des premières rencontres intéressantes, non sans quelques erreurs qui proviennent aussi de la relation naissante avec ses comparses du même poste. Conscient du bouleversement qu’engendre une telle acclimatation, Franck Haise lui donne toute sa confiance et en fait un homme de base de son onze de départ. Il continue alors de démontrer toutes ses qualités, tout en s’imprégnant du style de jeu à la lensoise, basé sur des relances rapides et l’envie permanente d’aller vers l’avant. À mesure que la saison avance, il est de plus en plus propre dans ses transmissions et signe des performances de grande qualité avec 94% de passes réussies (58/62) face à Angers et 92% (73/79) contre Marseille. Toujours aussi impactant lors des un contre un (19 duels remportés sur 21 dans un succès face au SCO), il développe ce profil de défenseur central très polyvalent et progresse à vue d’œil. Son premier but en Sang et Or contre Clermont témoigne également d’une belle habileté balle au pied qu’il montrera d’autant plus lors de la campagne suivante. 76 MATCHS PLUS TARD, UN TAULIER DU RACING Après ce premier exercice encourageant dans l’élite (31 matchs, 1 réalisation et 2 passes décisives), Kevin Danso veut gagner en régularité. À l’image de toute la défense centrale artésienne, l’international autrichien va franchir un palier. Dans le sillage d’un Racing toujours aussi séduisant offensivement et surtout beaucoup plus solide, il prend en épaisseur dans le collectif et offre une présence de tous les instants, et pas seulement sur le plan défensif. Il se calque peu à peu sur les principes de jeu de Franck Haise et affiche une plus grande sérénité dans ses prises de décisions avec le ballon (5,2 km parcourus avec le cuir, 3e total du championnat). Avec près de 7,8 passes dans le dernier tiers adverse en moyenne (sur 90 minutes), il devient une réelle arme offensive capable de porter la balle haut sur le terrain. Il n’en n’oublie pas pour autant les tâches plus âpres : il figure ainsi en tête de son équipe au niveau des tirs adverses bloqués (34 au total) et affiche le 2e meilleur ratio du championnat en termes de duels aériens remportés (71,7%). Physiquement au top, il participe à l’intégralité des 34 premiers matchs de Ligue 1 en tant que titulaire avant d’être expulsé lors de la 35e journée. Il ne manquera qu’une seule rencontre en 2022-2023. Valeur sûre au sein de la meilleure défense du pays (29 buts encaissés), Kevin Danso voit sa progression récompensée par une place au sein de l’équipe type de la saison de Ligue 1 lors de la cérémonie des Trophées UNFP. Une juste distinction pour un joueur en pleine ascension. ARTÉSIEN JUSQU'EN 2027 Face à des sollicitations de gros noms européens, le défenseur autrichien poursuit l’aventure avec ce collectif qui lui va si bien. Lui, homme solaire et défenseur de devoir, symbole de la combativité lensoise, a trouvé son chez soi. Pour le plus grand bonheur de toute la communauté sang et or. Arnaud Pouille - directeur général : « Voir Kevin prolonger, alors qu’il était courtisé par de grandes écuries européennes, témoigne de sa fidélité au Racing et sa volonté de s’impliquer pleinement dans le projet qu’il a rejoint il y a deux ans. Son attachement aux valeurs familiales correspond pleinement à notre ADN. Ce modèle de professionnalisme, rigoureux et qui en veut toujours plus, s’est forgé un état d’esprit combattif qui force le respect dans le vestiaire mais aussi auprès des observateurs. International autrichien, il s’est affirmé comme étant un défenseur central de référence, un statut qui se traduit par sa nomination dans l’équipe type de la Ligue 1 aux Trophées UNFP. Conjointement à sa brillante progression, il a su devenir un homme fort du vestiaire dont il est un cadre désormais. Sa bonne humeur et son exemplarité seront encore des vecteurs indéniables pour performer la saison à venir. Nous sommes donc forcément ravis de le voir parapher jusqu’en 2027 avec le club. » https://www.rclens.fr/fr/news/contrat-prolongation-kevin-danso-2027-rclens-20230803
  14. La J2 contre Rennes toujours pas programmée...
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