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West'ier

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Tout ce qui a été posté par West'ier

  1. West'ier

    Les internationaux lensois

  2. Sans trop de surprises, il s'agit du 3e gardien, d'un défenseur central et de deux milieux de terrain. Théo De Percin, Chrislain Matsima, Lesley Ugochukwu et Andy Diouf verront ainsi les JO depuis la tribune, même s'ils vivront et s'entraîneront avec le groupe tout au long du tournoi. En cas de blessure et de forfait d'un (ou de plusieurs) des 18 joueurs de sa liste, Henry aura en effet la possibilité d'intégrer les réservistes. Ceux qui seront restés réservistes tout le tournoi ne seront en revanche pas médaillables.
  3. Face à l'incertitude autour des droits télé, les clubs de Ligue 1 cherchent d'autres sources de financement En l'absence pour l'instant d'un montant de droits télé précis pour le cycle 2024-2029, les dirigeants des formations de l'élite cherchent d'autres solutions de financement. Interrogé le 21 juin, lors du conseil d'administration présentant les modalités de la future chaîne de la Ligue, pour savoir comment les clubs allaient gérer leur besoin de trésorerie, Vincent Labrune, le président de la LFP, avait répondu en substance qu'il ne savait pas encore. Tout en continuant officiellement à répéter « faire confiance à Vincent » et en espérant qu'au final l'atterrissage sera le moins rude possible, les dirigeants de clubs sont inquiets et cherchent des solutions pour ne pas manquer de trésorerie dans les prochaines semaines. Ils n'en auront peut-être pas besoin si un diffuseur finit par se positionner rapidement. Dans le cas de la création d'une chaîne de la Ligue, leurs démarches ne seront peut-être pas inutiles. Ceux qui peuvent compter sur un actionnaire solide, comme le PSG, Nice, Rennes, Monaco, Strasbourg et Saint-Étienne ou des fonds comme Toulouse et Lille, pourront espérer une rallonge pour alimenter leur trésorerie. Pour les autres, ceux dont le président est aussi l'actionnaire de référence comme à Nantes, Reims, Montpellier, Lens, Brest ou ceux comme Le Havre, Auxerre et Angers aux moyens limités, si le propriétaire ne veut ou ne peut pas couvrir, la situation pourrait vite être périlleuse et certains pourraient risquer le dépôt de bilan. Aucune action collective n'est encore menée, selon nos informations, mais des spécialistes financiers regardent les solutions pour plusieurs d'entre eux. Parmi elles, il y a l'emprunt bancaire classique mais, sans connaître le montant des droits, les banques, déjà échaudées, ne vont pas se bousculer. « Et leur temps d'étude et de réponse est beaucoup trop long par rapport à l'urgence », raconte un expert. Des fonds d'investissement peuvent aussi être sollicités, et l'affacturage est une autre possibilité. Cette pratique est courante lors des transferts. Par exemple, un club, qui doit toucher 10 M€ en cinq fois pour la vente de l'un de ses joueurs, se fait avancer les 10 M€ toute de suite par un organisme. D'autres regardent à contracter de la dette financière sur les marchés auprès de fonds, d'assureurs ou de tout autre organe financier. Un mode opératoire assez répandu dans le sport US. Théoriquement, le premier versement de droits télé doit intervenir le 15 août, le deuxième le 15 octobre et le troisième le 15 décembre. « Si les droits télé ne sont pas payés d'ici décembre, pour les clubs moyens il manquera entre 8 et 12 millions d'euros de trésorerie, raconte un dirigeant. Pour la plupart d'entre eux, à la baisse des droits télé s'ajoute la perte de recette CVC par rapport aux deux années précédentes (16,5 M€ à chaque fois). Le premier versement est souvent important pour la trésorerie des clubs car les sommes de contrats de sponsoring ne sont pas significatives en général à cette date, et qu'à l'inverse il faut souvent régler des échéances de transferts, même anciens. » Ces clubs « moyens » verraient d'un bon oeil que le dernier versement de CVC, quelque 400 M€, ne soit pas reversé aux top clubs comme prévu mais serve à tous en cette période de crise. Et ils risquent d'être tentés d'accepter une offre ferme mais basse d'un diffuseur alors que les gros pourraient en préférer une plus incitative, avec bonus.
  4. Droits TV ‍: DAZN ou Beinsports, la Ligue 1 sauvée dans 24h Dans 24 heures, on devrait connaître le futur diffuseur de la Ligue 1. En effet, la Ligue de Football Professionnel va se réunir vendredi et une décision sera prise, avec la possibilité d'une énorme surprise. C'est une nouvelle qui est passée inaperçue aux yeux des amateurs de football, mercredi, la Fédération Française de Basket-Ball et la Ligue Nationale de Basket ont annoncé la vente des droits audiovisuels du championnat de France à DAZN, sur une période de cinq ans, de septembre 2024 à juin 2029. Une superbe prise pour ce que l'on appelle le Netflix du sport, qui pourrait frapper encore plus en France d'ici à ce week-end. En effet, après avoir vu son offre de 500 millions d'euros par saison être refusée par la Ligue de Football Professionnel, le média est revenu à la charge pour s'offrir la Ligue 1 et ce vendredi, à l'occasion d'un conseil d'administration, un choix sera probablement officialisé. Même si Vincent Labrune espère toujours que Beinsports fera dans les prochaines heures une offre qui emportera tout, L'Equipe confirme que non seulement DAZN tient la corde, mais qu'en plus le groupe anglais à un énorme soutien. DAZN ou Beinsports, finale pour la Ligue 1 DAZN a un atout et non des moindres dans les mains, puisque si la chaîne sportive a les moyens techniques de proposer un très bon produit pour le championnat de Ligue 1, elle est surtout soutenue par CVC. « Le fonds CVC, qui a offert 1,5 milliard d'euros à la LFP contre 13 % de ses recettes commerciales à vie, entretient de bonnes relations avec DAZN et pousse dans ce sens », révèle Etienne Motti, qui rappelle que la LFP pense toujours à sa fameuse chaîne 100% Ligue mais que ce n'est clairement pas le scénario attendu par les 18 clubs de Ligue 1. Ces derniers jours, le nom de Nasser Al-Khelaifi avait été lâché avec le secret espoir que le président du PSG et de Bein Media Group fassent l'effort qu'il fallait pour sauver la Ligue 1. Le quotidien calme tout de même cette hype autour du dirigeant qatari en rappelant que du côté de Beinsports on n'avait pas toujours été très clair avec la Ligue de Football Professionnel en faisant parfois des promesses sans lendemain. Quoi qu'il en soit, le feuilleton de l'été, qui terrorise la Ligue 1 et bloque le marché des transferts, devrait se terminer vendredi. Mais personne ne connaît encore la réponse concernant ce que va rapporter la vente des droits de diffusion à la L1. En l'espace d'un an, on est passé d'un milliard d'euros par saison à 500 millions d'euros, et même à un potentiel zéro euro si la LFP doit lancer sa chaîne et partir de rien. Autrement dit, les 18 propriétaires des clubs français engagés dans le championnat 2024-2025 doivent croiser les doigts en espérant que DAZN ou Beinsports sorte l'offre qui va enfin rallumer la lumière dans un football hexagonal de plus en plus inquiet alors que la saison reprend le 16 août.
  5. 24 ans...
  6. West'ier

    JO Paris 2024

  7. Le onze de départ contre la Belgique Maignan - Koundé, Upamecano, Saliba, T. Hernandez - Kanté, Tchouaméni, Rabiot - Griezmann - Thuram, Mbappé (cap.).
  8. West'ier

    Les jeunes

  9. West'ier

    Anciens Lensois

  10. Williams, c'est autre chose que Marcus Thuram
  11. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Will-still-au-rc-lens-c-etait-une-evidence/1478198
  12. 13h avec Still + Dréossi
  13. Sans parler du cas Mangala qui devrait coûter lui aussi 30 millions d'euros à l'OL...
  14. Courage à lui...
  15. L’OL doit vendre pour 100 M€ ! L’Olympique Lyonnais va passer devant la DNCG ce jeudi. Et le club rhodanien a encore prévu de vendre à tour de bras cet été. C’est la semaine des auditions dans le football français. Alors qu’une commission sénatoriale met actuellement son nez dans le business de la LFP, la DNCG, le gendarme financier des clubs professionnels, a entamé ces derniers jours son traditionnel tour de table auprès des dirigeants des différentes formations. Et ce jeudi, c’est l’Olympique Lyonnais qui va y passer. Le club rhodanien devait initialement s’y rendre le 12 juin dernier, mais devant la concrétisation de plusieurs ventes, la DNCG avait accepté de décaler le rendez-vous. Ces ventes ne concernaient pas des joueurs mais bien des actifs comme la LDLC Arena, cédée à Jean-Michel Aulas pour 160 M€, ou la franchise féminine de l’OL Reign, contre 53 M€. Des revenus qui font du bien aux finances lyonnaises, mais ce ne sera pas assez pour convaincre la DNCG. En effet, le quotidien L’Equipe rapporte que durant son audition prévue aujourd’hui, l’OL va présenter un plan d’action à la DNCG, où il sera inscrit la volonté de vendre pour près de 100 M€ ! Une coquette somme qu’il sera difficile à récupérer, d’autant que les derniers éléments à forte plus-value avaient été cédés l’été dernier (Barcola, Lukeba). Des joueurs comme Cherki, Caqueret et O’Brien sont ceux susceptibles de rapporter les plus grosses indemnités de transfert. Si l’OL prévoit autant de ventes, c’est autant pour compenser sa masse salariale que pour anticiper la probable décote des droits TV. La masse salariale est en effet toujours impactée par le copieux salaire d’Alexandre Lacazette, qui a décidé de poursuivre l’aventure lyonnaise. Si cela apporte quelques certitudes sur le plan sportif, cela ne facilite pas le travail de la direction. Quant aux droits TV, malgré le soutien apporté à Vincent Labrune, l’heure est au pessimisme…
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