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Je ne pense pas. Ganiou, soit il fait des matchs en N3 et quelques apparitions en pro. Soit il est prêté. Je le vois mal être un candidat régulier au groupe de 20/21 joueurs. Pour Pouilly, difficile à dire, il a une polyvalence (piston/milieu) qui peut combler des trous de temps en temps. Son contrat pro signé récemment est court. Soit il crève l’écran et Still lui donne plus souvent sa chance, mais on le saurait déjà, et je n’y crois pas, et son contrat aurait été de 3,4 ou 5 ans. Soit il fera comme Adrien Louveau il y a 2/3 saisons en étant dans le groupe mais sans vraiment jouer.
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Rumeurs et transferts
Tibbs a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
[mode lourdingue] Il n’y a que toi sur le forum qui peut avoir la réponse. Nous nous n’avons pas connu cette période 😹😹[/mode lourdingue] Dernière saison en ligue 1 d’un club francilien : PSG : depuis 1974-1975 jusqu’à aujourd’hui Matra Racing (Racing club de France) : 1989/1990 (actuellement en N2) Red Star : 1974/1975 (actuellement en L2) Paris FC : 1973/1974 (actuellement en L2) Stade Français : 1963/1964 (actuellement en district, D4) CA Paris-Charenton : 1933/1934 (actuellement en R2) -
Foot, L'analyse abonné Le président parfait : l'analyse de Vincent Duluc après l'entretien avec Vincent Labrune Quand les questions le bousculent, Vincent Labrune s'arc-boute à quelques éléments de langage, qui tournent autour d'une autre catastrophe que la sienne, lui le président qui se vend mieux qu'il ne vend la Ligue 1. Vincent Dulucpublié le 27 août 2024 à 23h28 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager Il n'y est pour rien, personne n'aurait fait mieux et il est celui qui dirigera le football professionnel français vers un avenir glorieux : dans l'interview qu'il a accordée à L'Équipe, Vincent Labrune, le président de la LFP, se vend mieux qu'il n'a vendu la Ligue 1. Le moment réciproquement choisi, avant l'élection du 10 septembre, si la date est maintenue, laisse peu de doute sur la nature de son discours de campagne électorale, qui enjolive un bilan et promet un horizon radieux, selon la loi du genre. Quand les questions le bousculent, Vincent Labrune s'arc-boute à quelques éléments de langage, qui tournent autour d'une autre catastrophe que la sienne, Mediapro, du Covid, et de la loi du marché. Mais dans la foulée de prises de parole de quelques présidents venus défendre un ami plutôt qu'un bilan, sa manière d'écarter d'un revers de la main sa responsabilité dans l'attitude de Canal+ semble un peu gonflée et, s'il a vendu la Ligue 1 au prix du marché, il ne peut pas dire qu'il l'a bien vendue et que personne n'aurait fait mieux puisque tout le monde, par définition, aurait fait la même chose. « L'absence de débat public et de voix discordante parmi l'écrasante majorité des présidents de L1 et L2, qui sont soit unanimes, soit très peu courageux » Il pousse un peu, beaucoup, sur bien d'autres sujets, quand il se glorifie d'incidents en baisse après une saison où un entraîneur a failli perdre un oeil sur le chemin du stade et alors que la saison a repris avec des tribunes fermées, quand il lie le nouveau format de la Ligue des champions à son action, ou quand il confond la critique d'une institution et de son président avec du complotisme. Il est plus facile de le suivre quand il défend sa vision sportive du football professionnel français à travers la L1 à 18 clubs (même si l'argument était aussi économique, cesser de diviser l'argent par vingt) et la priorité donnée à sa représentation européenne. Mais cette interview souligne aussi, en creux, l'absence de débat public et de voix discordante parmi l'écrasante majorité des présidents de L1 et L2, qui sont soit unanimes, soit très peu courageux, ce qui n'est pas une nouveauté dans une Ligue qui, depuis bien longtemps, porte en elle une longue histoire de trahisons et de coups de poignard, parfois dans la nuit même qui précède les élections, voire au petit matin. On comprend la tentation de Vincent Labrune de déminer le chemin. La suite de l'histoire dira s'il y est parvenu.
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Foot, Entretien abonné Entretien avec Vincent Labrune, président de la LFP et cible des critiques : « Personne n'aurait pu faire mieux » Vincent Labrune, le président de la Ligue de football professionnel (LFP), sous le feu des critiques depuis l'échec de la vente des droits de la Ligue 1, explique dans un entretien à « L'Équipe » avoir tout tenté dans un marché en déflation. Il défend son bilan et assure être le meilleur candidat à sa succession. Etienne Moattipublié le 27 août 2024 à 23h25 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager Spécialiste de la gestion de crise dans une vie antérieure, Vincent Labrune est servi. À l'issue de l'interminable feuilleton des droits télé qui n'a pas donné les résultats escomptés, le président de la Ligue de football professionnel (LFP) encaisse les critiques. Qu'il juge souvent injustes. Selon lui, la balance penche néanmoins toujours en sa faveur pour la prochaine élection à la présidence de la LFP, le 10 septembre. Il reste donc très offensif et n'a pas l'intention de passer la main. L'échec de l'appel des droits TV et la crise à la LFP : « On a affronté des vents contraires d'un autre temps avec des ennemis puissants » « Entre la fin des droits télé, la reprise de la saison et la préparation agitée de l'élection à présidence de la LFP, vous avez vécu un été sous haute tension. Ce n'est pas qu'un été que j'ai vécu sous tension. Cela fait plus d'un an que le football français, la LFP et moi-même sommes l'objet d'attaques d'une rare violence orchestrées par un groupe d'individus avec le double objectif de saboter l'appel d'offres sur les droits audiovisuels et de faire exploser la gouvernance. On a coutume de dire : « les chiens aboient et la caravane passe ». C'est tout à fait d'actualité. Il est insupportable de lire et d'entendre de telles contre-vérités, d'avoir une telle réécriture de l'histoire qui relève de la malhonnêteté, du mensonge et du complotisme pur et simple. Voilà mon état d'esprit du moment. lire aussiFragilisé, Labrune reste favori à sa propre succession Du complotisme ? Avec Arnaud Rouger (le directeur général de la LFP) et de nombreux acteurs du football, on ne partage pas l'analyse caricaturale qui est faite de notre bilan. Depuis notre arrivée, on fait face à une crise majeure sans précédent dans l'histoire du football français. Le fait générateur de cette crise a un seul nom : Mediapro, qui est la plus grande erreur stratégique dans notre histoire et dont nous payons encore aujourd'hui les conséquences. La réalité absolue est que le football français aurait pu mourir il y a trois ans. Avec la crise du Covid-19, il a été le seul grand Championnat à arrêter sa saison en mars 2020. Normalement, personne ne se remet d'une dette totale de 340 millions d'euros. Personne ne se relève non plus d'un diffuseur incapable d'honorer ses engagements et qui se place sous la protection du tribunal de commerce 15 jours après l'élection. Cela a transformé 1,3 milliard de recettes audiovisuelles budgétées par les clubs en 730 millions de revenus... Personne ne devrait se remettre, non plus, de la guerre atomique que l'épisode Mediapro a provoquée, en coulisses, avec l'acteur dominant (Canal+). lire aussi« Il est tellement sympa que je dois me rappeler qu'il me l'a fait à l'envers » : Labrune et Saada, une relation complexe Le résultat des droits télé (500 millions d'euros de droits domestiques en L1, 150 millions de droits internationaux et 40 millions en L2 (*)) est loin de l'objectif initial... Je vous confirme qu'il est décevant et éloigné de notre objectif, qui n'était pas celui de notre communication (autour du milliard d'euros). Mais il est là et bien réel. Quand le clan des acheteurs (les médias) vous explique que vos droits, ça vaut zéro, celui des vendeurs (la LFP), dans le cadre d'une stratégie de négociation, dit plutôt que cela vaut environ un milliard... Si quelqu'un veut vendre son appartement 100 000 euros, il dit plutôt qu'il vaut 120 000 que 80 000... C'était une stratégie de communication pragmatique que j'assume. On a affronté des vents contraires d'un autre temps avec des ennemis puissants. (*) Selon le guide de répartition provisoire envoyé aux clubs en début de saison, le montant des droits télé internationaux n'atteint pour le moment que 57,8M€. Et le montant total (droits domestiques + droits internationaux + droits L2) est annoncé pour cette saison à 501, 3M€. « Le groupe Canal+ n'a pas participé à l'appel d'offres et n'a rien fait non plus pour que cela se passe bien » Qui étaient ces ennemis ? L'épisode Mediapro a déclenché une rancoeur très forte de Canal+ contre la LFP et les clubs dont on paye encore aujourd'hui les conséquences. Le groupe Canal+ n'a pas participé à l'appel d'offres et n'a rien fait non plus pour que cela se passe bien... Sur les droits télé, c'est le marché qui dicte sa loi. On a été en contact avec tous les plus grands acteurs internationaux. Aucun n'a souhaité investir dans notre Ligue. Personne n'aurait pu pousser le marché jusqu'aux limites comme nous l'avons fait avec la venue de beIN Sports qui s'est faite, notamment, en raison des relations de confiance fortes entre ses dirigeants et ceux de la LFP. Ceux qui prétendent qu'ils auraient pu faire mieux sont soit des affabulateurs soit des diseurs de bonne aventure. Personne n'aurait pu faire mieux. Tous les droits sportifs baissent en Europe.
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Peut-être qu’on se prendra 1 ou 2 but(s). Mais, sauf faits de jeu contre nous (cf carton rouge de Medina tôt dans le match), on a vu que leur défense est friable et qu’il y aura bien moyen de marquer au moins 1 but si ce n’est espérons 2. On a entendu Gradit parler du match contre Fribourg, où on devait gagner et se qualifier, et où on avait trop reculé. Il faut qu’on se serve de ce genre d’expérience pour éviter de refaire la même erreur. Ce n’est pas le Real ni Arsenal à Londres en face. C’est un adversaire à notre portée. Et pour tous les détracteurs de Fulgini (si il joue tout ou partie du match), la saison dernière, c’est dans les matchs européens où il a été décisif. (Je sais, on se rattache à ce qu’on peut 😂)
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Les joueurs de « renommés » ne viennent pas pour l’argent, mais pour pour donner un coup de main dans un club qui a compté pour eux à un moment donné.
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Je ne sais pas où parler de Bordeaux, ici ou actualités ou Transferts. En tout cas : Rio Mavuba reprend une licence aux Girondins de Bordeaux Après avoir évolué aux Girondins de Bordeaux entre 2003 et 2007, Rio Mavuba, formé au club, va reprendre une licence au club descendu en National 2. L. Crpublié le 26 août 2024 à 22h49mis à jour le 26 août 2024 à 23h36 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager Rio Mavuba, 40 ans depuis le 8 mars dernier, vient de signer une licence aux Girondins de Bordeaux, relégué administrativement en National 2. Dix-sept ans après avoir quitté le club aquitain pour Villarreal et sept saisons après son dernier match pro avec le Sparta Prague, l'international français (13 sélections) confirme s'être engagé avec son club formateur « pour être à disposition des Marine et Blanc si besoin ». Paul Baysse a lui aussi signé en qualité de joueur libre. Les Girondins doivent débuter leur Championnat le week-end prochain avec la réception de Poitiers.
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Le match est disponible dans l’application https://appli.rclens.club/s?k=ZmVlZCMxNDM0NSM0MDQ4NTM%3D
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Ligue 1 [Saison 2024/2025]
Tibbs a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
J’ai vu l’interview hier sur l’EDS. Un des chroniqueurs qui parle italien a dit que le traducteur était plus gentil et mesuré que l’entraîneur De Zerbi. En gros, Wahi devra se mettre au niveau des attentes et de la stature de l’OM. Il ne le lâchera pas tel un père et son fils comme il l’a dit, mais il ne lui fera aucun cadeau. -
Je vois que le niveau de niveau de franglish est élevé. Souvenir souvenir…
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Quelqu’un a corrigé et il a confirmé , c’était en J1 2022/2023 contre… Brest https://x.com/laurentmazure/status/1827778394416623734?s=46
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J’ai vu qu’il t’a répondu https://x.com/laurentmazure/status/1827776861331460397?s=46
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Il a marqué son seul but avec Lens en L1 en décembre 2003 à Toulouse. Il a eu le numéro 13. Mais l’avait-il durant ce match ? Je n’ai pas trouvé la réponse. Si c’est le cas, t’es plus fort que Laurent Mazure 😹😹
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Zut on a la même source 😹😹 C’était en 2001.
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Johanner Chavez est le premier équatorien à marquer pour Lens (en même temps, on n’en a pas eu des masses). Mais il a marqué avec le numero 13 floqué sur son maillot. Question : quel est le dernier lensois à avoir marqué avec le numéro 13 sur son maillot en L1 ?
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4,02 / 0,70 https://understat.com/match/28061
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Foot, Ligue 1 abonné Les tops-flops de Lens-Brest : Danso s'est régalé, Ajorque s'est effacé Annoncé sur le départ, Kevin Danso a une nouvelle fois été omniprésent au coeur de la défense lensoise, empêchant les quelques intentions offensives brestoises, notamment celles de Ludovic Ajorque, transparent, d'aboutir. Franck Le Dorze et Joël Domenighettipublié le 25 août 2024 à 17h47 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager Tops Kevin Danso (Lens) : 8/10 Le défenseur central enchaîne les performances de haut niveau, saute sur tout ce qui bouge, dégage de nombreux ballons en sécurisant son camp. Et relance proprement, même sous pression. Si Lens le conserve jusqu'à jeudi à Athènes en Ligue Conférence, ce serait une bonne nouvelle pour les Artésiens. Anass Zaroury (Lens) : 7/10 À peine recruté, il était titulaire. Et il a fait forte impression. Par sa personnalité qui lui permet de venir chercher les ballons, sa rapidité gestuelle, qui lui permet de prendre de vitesse ses adversaires et de donner une passe décisive à Chavez dans un trou de souris (1-0, 19e). Il voit bien le jeu et ne se pose pas trop de questions pour appuyer ses passes et être précis. Une première épatante saluée par les applaudissements de Bollaert-Delelis. Remplacé par FULGINI(66e). lire aussiLe film de Lens-Brest Jhoanner Chavez (Lens) : 7/10 Le latéral gauche avait des jambes de feu, de la percussion et des idées de centre ou d'occasions franches. Il a éteint Lala, a marqué un but d'une superbe frappe croisée en s'incrustant dans la défense bretonne. Et globalement bougé tout son couloir gauche. Même s'il a laissé des espaces dans son dos que Medina n'a pas toujours comblé. Remplacé par Machado (75e) expulsé en fin de rencontre pour un pied levé sur Del Castillo (88e). Adrien Thomasson (Lens) : 6/10 Son influence était supérieure à celle d'Andy Diouf qui conserve un peu trop ses ballons et ne lève pas assez sa tête balle au pied. Son jeu de position et vers l'avant bonifient le liant et la rapidité des transitions vers l'avant. Ses incrustations dans un rôle de relayeur ont créé le surnombre ou des brèches dans la défense finistérienne. Beaucoup de justesse dans ses choix. Flops Ludovic Ajorque (Brest) : 2/10 Certes, il n'est pas encore à 100 % physiquement, après une préparation notamment perturbée par une douleur aux adducteurs, mais on attend beaucoup plus de lui, dans son rôle de pivot et pour tenir les ballons, surtout dans une équipe positionnée bas. Mais l'avant-centre n'a pas existé dans les duels (2 sur 8 remportés sur le plan aérien) et ses remises furent trop approximatives (65 % de passes réussies). En bonne position, il manque totalement sa frappe (39e), puis est devancé par Gradit dans la surface, où il n'a touché que 2 ballons. lire aussiLe classement de la Ligue 1 Brendan Chardonnet (Brest) : 3/10 Le capitaine finistérien a vécu une entame de match cataclysmique. Systématiquement en retard, il a multiplié les mésententes avec son gardien, et c'est à l'issue de l'une d'entre elles, qu'il est devancé sur l'ouverture du score (19e). Jamais serein, le défenseur central a constamment couru derrière ses adversaires, même si ce fut un peu moins pénible en seconde période... Hugo Magnetti (Brest) : 3/10 Suspendu pour l'ouverture du Championnat face à Marseille (1-5), le milieu devait apporter de la grinta dans un secteur de jeu, qui avait manqué d'agressivité. Mais il n'est pas parvenu à combler ce manque, trop peu influent et averti en intervenant sur Sotoca, comme un symbole (67e). Il a fini en sentinelle, après la sortie de Martin (64e), mais avec des statistiques faméliques : 28 ballons touchés, 5 récupérés, 3 duels gagnés sur 17. Jordan Amavi (Brest) : 3/10 Huit jours après son naufrage contre l'OM (1-5), le latéral gauche a pu enchaîner, en raison de la grave blessure de Bradley Locko (rupture du tendon d'Achille). Mais il a encore énormément souffert, face à Aguilar, trop facilement débordé, en général loin de ses adversaires, qui l'ont tout de même un peu moins fait souffrir, après la pause. Averti après sa deuxième grosse faute (25e) et trop de déchet (15 ballons perdus). Remplacé par ZOGBÉ (90e).
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Ligue 1 [Saison 2024/2025]
Tibbs a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Faut mettre le multiplex. …. Ah zut il n’y en a plus 😹😹 -
Foot, Ligue 1, Droits TV Le Brésil arrête temporairement de diffuser la Ligue 1 car des Français ont contourné le géoblocage La Ligue 1 n'est pas diffusée au Brésil ce week-end. (A. Martin/L'Équipe) Détentrice des droits TV de la Ligue 1 au Brésil, la chaîne Youtube CazéTV a annoncé qu'elle ne diffuserait pas la L1 ce week-end pour empêcher les Français de contourner le géoblocage. publié le 25 août 2024 à 16h01 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager Nouvel épisode dans le feuilleton des droits TV de la Ligue 1. La chaîne Youtube CazéTV, qui diffuse le Championnat de France au Brésil a annoncé, samedi qu'elle ne retransmettrait pas les matches de la 2e journée. La raison ? Elle a été informée que des Français utilisaient des méthodes pour contourner le géoblocage et ainsi regarder la L1 sans passer par le nouveau diffuseur controversé DAZN. En attendant de trouver une parade à cette pratique, elle suspend donc la diffusion des rencontres. « Dans le cas de CazéTV, qui dispose des droits de diffusion de la Ligue 1 uniquement pour le Brésil, les retransmissions ne peuvent pas être visionnées dans d'autres pays, comme la France. Par mesure de précaution, CazéTV a décidé de ne pas retransmettre les matches de ce week-end, jusqu'à ce que toutes les plateformes de distribution garantissent que le contenu sera correctement bloqué pour les utilisateurs en dehors du Brésil. Les diffusions reprendront au prochain tour, avec l'assurance que le géoblocage fonctionne efficacement pour tous les utilisateurs en dehors du Brésil », peut-on lire sur le compte X (ex-Twitter) de la chaîne.
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Je m’autoquote. J’irais au Krake’n co à Lievin. Je ne connais pas. C’est pas loin du cinéma Pathé/Action/Norauto https://www.facebook.com/100050318004155/posts/1056200449400545/?mibextid=rS40aB7S9Ucbxw6v
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Vous savez quel bar/café retransmets le match autour de Liévin ? (Hors centre de Lens, il y aura trop de monde) Edit, voir même Arras.
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Foot, Ligue 2 abonné Les supporters des clubs de Ligue 2 et beIN Sports de plus en plus irréconciliables après les incidents de Lorient La dégradation de deux cars-régie et les incidents pendant le match entre Lorient et Grenoble, interrompu pendant vingt-cinq minutes ce samedi, ont encore tendu la situation entre beIN Sports, diffuseur de la L2, et les supporters. Laurent Grandcolaspublié le 24 août 2024 à 20h45 Pas le temps de lire cet article ?Découvrez la lecture audio. ma liste commenter réagir partager On aurait pu vous parler de la deuxième victoire de Lorient cette saison (2-0). Des opportunités gâchées par Grenoble en première période. Du réveil des Bretons après la pause, du coaching gagnant d'Olivier Pantaloni avec les entrées d'Arthur Avom Ebong, passeur, et d'Eli Kroupi Junior, buteur sur l'ouverture du score des Lorientais (46e). Ou décrire la hargne de Laurent Abergel, passeur sur le second but du FCL, signé Julien Ponceau (68e). Mais la journée de samedi a surtout été marquée par de nouvelles actions des supporters, qui ont franchi un palier dans leur protestation contre la programmation en majorité de la Ligue 2 le vendredi, contre le samedi avant cette saison. Aux alentours de 8 heures, entre 50 et 70 individus, en majorité des supporters grenoblois mais aussi des Lorientais, cagoulés et vêtus de noir, s'en sont pris à deux cars-régie postés aux abords du stade du Moustoir, après avoir brisé les barrières de protection qui entouraient les véhicules. lire aussiLorient enchaîne contre Grenoble L'un des engins a été copieusement arrosé de peinture, tandis que l'autre était forcé pour sortir du matériel. Conséquence, AMP, le prestataire de captation des images de beIN Sports, estimant que la sécurité de ses équipes n'était pas assurée, a alors décidé de réduire les moyens mis à disposition pour la retransmission. La prise d'antenne, prévue à 14 heures, a été décalée de vingt minutes, sans véritable avant-match. Il n'y a eu aucune caméra dans les vestiaires et pas plus d'interviews des entraîneurs après le coup de sifflet final. Puis, comme c'était arrivé lors de Metz-Bastia lundi, l'arbitre, Faouzi Benchabane, a interrompu une première fois le match en première période pour des fumigènes lancés par les ultras lorientais sur la pelouse. Et il l'a arrêté dès la 27e minute, à la suite de jets de balles de tennis de la part des supporters des deux équipes. La rencontre a repris après vingt-cinq minutes d'interruption. beIN Sports peut-il arrêter de diffuser la L2 ? Selon nos informations, l'agacement est de plus en plus palpable chez beIN Sports, qui verse 40 M€ par an pour les droits de la L2 jusqu'en 2029. Le diffuseur s'interroge sur l'attitude des clubs. Comment des banderoles avaient pu être installées, vendredi à Troyes, alors que le match se jouait à huis clos ? Samedi, la direction du FC Lorient a refusé de demander à ses supporters de retirer deux grandes banderoles « beIN tue la Ligue 2 » déployées derrière les buts pour, nous a-t-on dit, ne pas envenimer la situation. Pendant tout le match, la colère contre la chaîne s'est également exprimée en tribunes par des sifflets ou des lasers verts pointés sur les caméras. Dans un communiqué publié avant le match, la LFP a condamné « fermement les actes de malveillance qui vont perturber la qualité de production de Lorient-Grenoble ». Au même moment, le diffuseur s'est ému, dans un autre communiqué, de ces « actes de violence (...) qui n'ont aucune place dans le football et dans une société civilisée ». beIN a aussi annoncé qu'il travaillait « avec les autorités compétentes pour s'assurer que des mesures appropriées seront prises à la suite de ces attaques, tout en étudiant pleinement sa position en ce qui concerne son partenariat de diffusion en cours ». beIN menace-t-il de se désengager ? En tout cas, l'ambiance s'annonce très tendue lors de la réunion annoncée par le ministère des Sports qui doit se tenir mercredi entre beIN, la LFP et l'Association nationale des supporters, si elle est bien maintenue.
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Le dernier match arbitré pour Lens c’était Lens-Lorient (2-0), avec 1 seul jaune pour Wahi du côté lensois pour avoir enlevé son maillot après avoir marqué… Avant le fameux match de Brest à Brest la saison dernière (défaite 3-2, rouge pour Thomasson annulé ensuite en commission et 3 jaunes pour Sotoca, Medina et Samba) il nous avait arbitré le Lens-Reims (2-1) avec le rouge pour Danso à la 19e minute (+1 jaune pour Franko). Et on avait renversé Reims après leur penalty marqué, avec le sublime but de Fofana du 2-1. Il nous avait arbitré aussi Lorient-Lens en coupe il y a 2 saisons, et la victoire aux t.a.b. Il y avait eu 3 jaunes (Onana, Poreba et Boura) La saison d’avant, il nous avait arbitré 2 fois, le match à Monaco (victoire 0-2). On avait eu 1 rouge (Doucouré) et 1 jaune (Leca) ; Monaco avait eu aussi 1 rouge en fin de match. Et le match contre Metz (victoire 4-1 avec notamment un doublé de Saïd et 1 but de Franko) ; Ganago et Leca avaient reçu 1 jaune. Et la saison de la remontée, il nous avait arbitré 2 fois. A Marseille (victoire 1-0, 3 jaunes Medina, Haïdara, Banza et 5 jaunes pour Marseille) et le Lens-Monaco (0-0) avec 3 jaunes pour Lens (Medina, Clauss et Cahuzac) En résumé, depuis la remonté, il nous a arbitré 8 fois pour 5 victoires, 1 nul + victoire au t.ab. en coupe, 1 nul, 1 défaite.
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Si on gagne 3-0 en prenant moins de 3 cartons jaunes, on passe devant Lille.