Tibbs

Oui franchement, le 4 a l’arbitre est assez incompréhensible. Le match n’était pas trop difficile à accepter, pas de situations litigieuses multiples, les décisions bonnes puis un calme et des échanges pédagogiques avec les joueurs qui ont permis d’avoir le contrôle sur la rencontre. À la limite, la 2e faute de Diouf 2 minutes après son premier jaune est peut être la situation la plus controversée, sans le 1er jaune, il l’aurait peut être eu sur cette faute. Ça méritait au pire un 6 et au mieux un 7.

Je ne vais faire qu’une réaction à chaud. Arbitre enc… !!!!!!!!!!!!! Nan mais sérieux, incompréhensible d’avoir siffler ce peno. Soit il y a faute de l’attaquant lillois, soit la main est naturelle de plus sur une distance courte entre les 2 contacts. Le match se passait bien avec notre solidité défensive et nos lacunes offensives habituelles malgré notre légère domination dans le jeu. On aurait perdu à la régulière, je dis pas, mais la c’est SCANDALEUX M.Bastien !!!

A priori l’arbitre a sifflé un (micro) contact du madrilène sur le lillois pour accorder le penalty, en considérant que la main offensive était naturelle. C’est la seule explication à minima plausible. 4 - Monaco 7pts 5 - Brest 7 pts 15 - Lille 6 pts 19 - PSG 4 pts

Si ! Il sont tous majeurs ! Le seul absent mineur, ça devrait être Kylian Antonio (16 ans)

Benoit Bastien au sifflet : 2023/2024 : Lens - Marseille : 1-0 (4 CJ, 2 pour, Lens Abdul Samed et Gradit) Lens - Nice : 1-3 (7 CJ, 4 pour Lens, Aguilar, Frankowski, Khusanov, Thomasson) Lens - Clermont : 1-0 (5 CJ, 1 pour Lens, Machado) 2022/2023 : Lens - Lorient : 5-2 (4 CJ, 1 pour Lens, Gradit) Lens - Lyon : 1-0 (4 CJ, 2 pour Lens, Sotoca, Saïd) Brest - Lens : 1-1 (6 CJ, 2 pour Lens, Medina, S. Fofana) 2021/2022 : Lens - Reims : 2-0(4 CJ et 1 CR, 3 pour Lens, Medina, Danso, Kakuta) Lens - Rennes : 1-0 (2 CJ, 1 pour Lens, Medina) Lens - Monaco : 2-2 (5 CJ, 2 pour Lens, Danso, Gradit) 2020/2021 : Lens - Dijon : 2-1 (3 CJ 1 CR, 3 pour Lens, Badé, Doucouré, Haïdara) ---- Cette saison : LOSC- PSG : 1-3 (5 CJ) 2023/2024 : Nice - LOSC : 1-1 (5 CJ) LOSC - Lyon : 3-4 (4 CJ) 2022/2023 : Lille - Lyon : 3-1 (4 CJ) Monaco - LOSC : 0-0 (2 CJ) 2021/2022 : LOSC - Troyes : 2-1 (7 CJ) 2020/2021 : Saint-Etienne - LOSC : 1-1 (5 CJ) PSG - LOSC : 0-1 (8 CJ + 2 2è CJ = CR) Angers- LOSC : 1-2 (2 CJ) ---- 2024/2025 : 9 matchs TCC : 40 CJ, 2 2ème CJ = CR, 1 CR, 8 pénaltys sifflés) 2023/2024 : 33 matchs TCC : 130 CJ, 2 2ème CJ = CR, 4 CR, 6 pénaltys sifflés) 2022/2023 : 36 matchs TCC : 130 CJ, 4 2ème CJ = CR, 5 CR, 15 pénaltys sifflés) 2021/2022 : 31 matchs TCC : 120 CJ, 0 2ème CJ = CR, 3 CR, 5 pénaltys sifflés) 2020/2021 : 34 matchs TCC : 141 CJ, 3 2ème CJ = CR, 10 CR, 12 pénaltys sifflés) ... Toutes saisons confondues : 460 matchs TCC : 1727 CJ, 40 2ème CJ = CR, 79 CR, 136 pénaltys sifflés)

Dans les petits clubs, j’ai fait 2 fois le déplacement à Sedan qui était en L1 au début des années 2000 (ancien et nouveau stade), tous les supporters des 2 équipes étaient au bistrot du coin bière à la main dans la ferveur, les chants et l’entente cordiale. Il y avait eu aussi des échanges d’écharpe à travers les grillages du stade pendant le match et des applaudissements respectifs des 2 camps. Et derrière (le premier déplacement), j’étais allé au … Parc pour un PSG-Lens… À l’ambiance générale totalement différente, encadrée des CRS, des groupes parisiens pas très loin et des insultes qui fusaient. Le jour et la nuit… Sinon, à la même époque, j’avais fait Auxerre et Rennes, pas de sur-mesure de sécurité, et dans l’ensemble un respect mutuel. Mais les déplacements à Sedan m’avaient agréablement surpris. J’ai fait aussi 1 fois Lyon mais dans les tribunes lyonnaises (avec mon cousin lyonnais), j’avais l’écharpe de Lens autour du coup. Un stadier m’avait demandé de la cacher… J’avais trouvé ça lamentable…

Faut arrêter d’avoir peur sur n’importe quel rencontre. On connaît l’équipe de Lille, celle qui a battu le Real à VDA et celle qui a perdu dans le chaudron vert, là où nous avons gagné. On ne va pas craindre Lille, mais juste prendre en considération leurs points forts pour mettre en valeurs les nôtres. Lille aussi pourrait « craindre » Lens, meilleure défense, aucun but dans le jeu concédé, aucun but encaissé à domicile en 3 matchs. Après, ça reste une derby, où les cartes sont rebattues. Lille a ses forces mais nous aussi. Ça sera un match équilibré qui ne se jouera à pas grand chose comme souvent, mais on est chez nous ! Et il faudra se faire respecter. La défense de Lille n’est pas exceptionnelle, il y a juste Chevalier qui sauve les meubles. On aura 2 des 3/4 meilleurs gardiens de L1 face à face.

Mais on ne va pas faire partir tout le monde. Franko qu’on aime ou pas, on peut pas le faire partir. On a Aguilar, pareil, qui était là pour la concurrence. Avant de s’améliorer ou de recruter, il fait faire partir des joueurs, et on voit que c’est pas si évident. On a 3 numéros 10. Si on veut mieux, il faut que 2 partent. On en a souvent 1 qui n’est pas dans les groupe. (La seule fois hier où il étaient 3 et 1 seul à jouer). En piston, il va falloir faire confiance à Pouilly en remplaçant de Aguilar pendant quelques mois. Machado va revenir aussi. Devant on a du monde aussi même si on voudrait mieux. Satriano est out pour de longs mois. Il nous reste Nzola, Saïd, Sotoca, RLL, 4 joueurs pour 2 places. Sauf à faire partir un attaquant cet hiver, on a du monde. Et au milieu c’est bouché de chez bouché avec 5 joueurs pour 2 places avec les retour de Ojediran et NEA. C’est pas la qu’on va se renforcer. Mais plutôt dégraisser avec Mendy en départ ? En résumé le seul poste possible en renfort, c’est en piston mais ça voudrait dire qu’on ne compte pas sur Pouilly alors qu’il a un contrat pro. Moi aussi j’aimerai bien un 9 plus efficace ou un piston plus tranchant mais en l’état, ce n’est pas possible. Et sans savoir ce que l’on récupère notamment si c’est un prêt.

Je vais être un peu plus optimiste et voir que ce n’est pas si mal que ça : - on a joué 5 matchs à l’extérieur (Seuls Nice et Marseille après ce soir seront comme nous) : aucune défaite et 2 victoires (certes contre 2 promus, mais invaincu contre Monaco leader/second qu’on aurait pu/dû gagner, Rennes -match nul logique avec un point obtenu à la fin et Strasbourg qu’on aurait du gagner sans un arbitre mauvais) - A domicile, par déduction, on n’a joué que 3 matchs, on gagne contre Brest, et nul contre Lyon et Nice. Contre Lyon le nul est plutôt logique, contre Nice on devait gagner. - Sur les 8 matchs on a joué 4 équipes européennes (Brest, Monaco, Lyon et Nice) et 1 habitué de ces dernières saisons (Rennes), 1 dans le top 8 actuel -Strasbourg- et 2 promus. - On a la meilleure défense, aucun but encaissé dans le jeu, sur les 4 encaissés : 2 penalties dont 1 litigieux et 2 corners, tous à l’extérieur, aucun à domicile. - Plus superstitieux, on récupère Danso. Cette saison avec Danso, 3 matchs (sur 8) pour 3 victoires. On a encore 3 gros matchs sur les 4 prochains (Lille, PSG, Marseille) avec Nantes entre Paris et Marseille, mais après on a un calendrier beaucoup plus abordable pour la fin des matchs aller. Je pense qu’il va falloir faire un point après la 17e journée quand on aura joué les équipes de 2e partie de tableau (les Montpellier, Le Havre, Toulouse…) Evidemment on peut toujours faire mieux, ressasser les carences individuelles ou collectives sur certain moment de match, mais chaque saison c’est pareil. Combien de match on a gagné ces 2/3 dernières saisons alors que le contenu était plus que moyen (le match contre Auxerre il y a 2 saisons) ? On a la « chance » d’avoir un effectif pléthorique. On a vu qu’en cas d’absence mêmes nombreuses, on peut facilement remplacer les joueurs sans faire de bricolage, ce qu’on devait faire ces dernières saisons. On pourra toujours débattre sur le niveau des potentiels titulaires mais on est armé pour être performant chaque WE peu importe qui joue.

Foot, Ligue 1, Lens abonné Après le transfert avorté et la frayeur, Kevin Danso postule avec Lens... et sa meilleure défense Le défenseur autrichien Kevin Danso pourrait faire son retour dans le groupe lensois samedi à Saint-Étienne, après huit semaines d'attente et d'angoisses à la suite d'un problème cardiaque révélé lors de sa visite médicale avec l'AS Rome. Nathan Gourdolpublié le 15 octobre 2024 à 19h16 Alors que la dernière image de lui sur un terrain était celle de ses adieux émouvants au stade Bollaert le 25 août à l'issue d'une victoire contre Brest (2-0), Kevin Danso aura encore le maillot sang et or pour son retour à la compétition, qui devrait avoir lieu samedi à Saint-Étienne. Huit semaines se sont écoulées depuis le faux départ du roc autrichien (1,90 m, 85 kg), mais celles-ci ont paru des mois à ses yeux, tant les sentiments se sont mélangés depuis le 29 août. Ce jour-là, son transfert à l'AS Rome avait capoté alors que tout était bouclé pour un prêt payant d'1 M€ avec une obligation d'achat à 22 M€ (hors bonus), à la suite de la visite médicale non concluante, dans le cadre du protocole des autorités sanitaires italiennes, qui avait fait apparaître un problème cardiaque jusqu'ici non décelé, ni par Lens, ni par la Fédération autrichienne. « Nous considérons que Kevin Danso est apte à jouer au football en compétition » Les docteurs Sanjay Sharma et Magdi Saba de la Cleveland Clinic de Londres Passé le cap de la colère et de la stupéfaction, Danso avait alors enchaîné les examens auprès de cardiologues de diverses nationalités, tout en reprenant l'entraînement avec le collectif sang et or, de manière adaptée, dès le 13 septembre, afin de se tenir prêt à rejouer à tout moment. Une situation d'attente qui a duré plusieurs semaines, le temps de lever tous les doutes. Si les médias autrichiens ont affirmé fin septembre qu'il allait subir une « intervention minime », destinée à résorber « une cicatrice inoffensive au coeur », ni son entourage ni le RC Lens n'ont jamais confirmé cette opération. Le joueur a préféré briser le silence lui-même le 4 octobre, en publiant sur ses réseaux un communiqué médical émanant des docteurs Sanjay Sharma et Magdi Saba de la Cleveland Clinic de Londres : « Une étude approfondie et complète du coeur de Kevin n'a détecté aucune lésion du muscle cardiaque ni aucune anomalie nerveuse susceptible d'entraîner ou de favoriser l'apparition d'arythmies dangereuses. Sur la base des données disponibles, nous considérons qu'il est apte à jouer au football en compétition. » Sans lui, Lens est l'une des meilleures défenses de L1 D'abord très affecté par la situation, qui a forcément porté atteinte à son image tout en créant des angoisses légitimes quant à sa santé, Danso a retrouvé le sourire à mesure que les nouvelles rassurantes arrivaient. Et le feu vert venu de Londres a fini de nourrir son impatience à rejouer. « Il est très bien. Souriant, impliqué et travailleur », glisse une source lensoise. Il aurait théoriquement pu être présent à Strasbourg le 6 octobre (2-2), mais le staff a préféré lui laisser la trêve pour finir de s'affûter, même si divers témoins assurent que sa masse musculaire n'a pas varié, tandis qu'il n'a pas été convoqué avec l'Autriche. À l'aise lors des séances en groupe restreint la semaine dernière, il a ensuite profité de quatre jours de congé comme ses coéquipiers, pour réapparaître tout sourire mardi après-midi. Will Still en dira davantage jeudi en conférence de presse, mais plus rien n'entrave désormais son retour au jeu. Reste désormais à savoir comment il sera réintégré au sein d'une charnière très performante sans lui - le RC Lens possède la meilleure défense de L1 à égalité avec Monaco (4 buts encaissés et aucun dans le jeu) - notamment son remplaçant Abdukodir Khusanov (20 ans), devenu bien plus qu'un joker de luxe.

Arnault, qui plus est, un gars de ch’nord, un roubaisien.

Les clubs de Paris et d’île-de-France, en gras, ceux ayant déjà évolué en 1ère division. Paris FC (L2), Red Star (L2), Versailles (N), Paris 13 Atletico (N), Créteil (N2), Bobigny (N2), Fleury (N2), Aubervilliers (N2), Racing club de France (N3 ex Matra Racing), Chatou (N3), Saint-Ouen l’Aumone (N3), Bretigny (N3), Torcy (N3), Sainte Geneviève des bois (N3), Saint Maur Lusitanos (N3), Ivry (N3), Neuilly sur Marne (N3)…puis parmi les autres, CA Paris Charenton (R2), Stade francais (District 4 ?) Si on enlève le PFC, le plus à même d’être le 2e club parisien, dans les clubs d’IDF, hormis le Red Star et peut-être Créteil ou Versailles pour le « prestige » du nom, je ne vois pas de club ou de nom pouvant gravir les échelons. Dans les clubs parisiens ou petite couronne, le Paris 13 Atletico et le RC de France (siège à Colombes, Stade Yves du Manoir) pourraient avec des investisseurs jouer un peu plus haut. Notamment le RCF qui a une histoire dans le foot français.

Et à la condition que l’arbitre explique son choix au public après visionnage de la VAR, comme on a déjà pu le voir dans certaines compétitions où d’autres sports.

Foot, Ligue 2 abonné Révolution pour le Paris FC : le club va être vendu à la famille Arnault et Red Bull INFO L'ÉQUIPE. Leader de L2, le Paris FC est sur le point de changer d'actionnaire majoritaire et de basculer dans une autre dimension avec l'arrivée des propriétaires de LVMH et de Red Bull, la célèbre marque de boisson énergisante. Arnaud Hermant et Laurent Grandcolaspublié le 9 octobre 2024 à 17h37mis à jour le 9 octobre 2024 à 20h18 Le football parisien va vivre une révolution. Et plus généralement le football français dans son ensemble. Selon nos informations, le Paris FC est en passe d'être vendu à la famille Arnault associée à Red Bull, groupe avec lequel elle a noué des liens en Formule 1, notamment sous l'impulsion de Frédéric Arnault. L'annonce officielle viendra conclure un processus en cours depuis plusieurs mois. Pierre Ferracci, le président et actionnaire majoritaire du club parisien, prépare ainsi sa succession avec le souci de laisser son « bébé » entre de bonnes mains. Dans le schéma capitalistique prévu mais qui peut être amené à évoluer, l'entrepreneur gardera 30 % du capital environ jusqu'en 2027, date à laquelle il compte sortir. Red Bull prendra près de 15 % et la famille Arnault, dont la fortune était estimée à 190 milliards d'euros en juillet par le magazine Challenges, deviendra actionnaire majoritaire du club, à hauteur de 55-56 % en attendant de racheter les parts de Ferracci dans trois ans. Qui dit famille Arnault, dit inévitablement LVMH, le groupe de luxe et de spiritueux mondial qu'elle possède et dirige, mais pour le Paris FC c'est bien à titre personnel, via l'une de leurs holdings, que les Arnault (le capitaine d'entreprise Bernard Arnault et ses cinq enfants Delphine, Antoine, Alexandre, Frédéric et Jean) investissent. Le groupe LVMH pourrait, tout de même, sponsoriser, d'une manière ou d'une autre, le club à l'avenir. lire aussiJürgen Klopp va devenir le nouveau patron du football du groupe Red Bull Ferracci cherchait un entrepreneur français ou européen Les négociations ont été menées principalement par Antoine Arnault, directeur général de Christian Dior SE et administrateur du groupe LVMH en charge de l'image de marque et de l'environnement, et Frédéric, directeur général délégué de la financière Agache, la holding familiale, et PDG de la division horlogère de LVMH, en accord avec les autres enfants de la famille. La première rencontre date du 22 avril dernier et les négociations se sont accélérées en juillet. Elles ont été menées conjointement avec les Arnault et Red Bull dès le début du processus. Dans sa quête d'un investisseur, Pierre Ferracci s'est fait aider de la banque Rothschild. Il ne souhaitait pas d'un fonds d'investissement mais cherchait un entrepreneur français ou européen qui respecterait l'ADN du Paris FC (RSE, formation, foot féminin...). Des discussions ont eu lieu aussi avec d'autres acheteurs intéressés. La finalisation a été quelque peu retardée par la nécessité de trouver un accord de sortie avec les anciens actionnaires minoritaires du club : Bahreïn (qui restera sponsor maillot dans un premier temps), les Anglo-Srilankais de BRI Sports Holdings et les Américains de Sport Bridges Venture qui étaient venus avec Rai, l'ancien capitaine du PSG. lire aussiAugmentation du capital, recrutement ambitieux, possible déménagement... le Paris FC vise clairement la Ligue 1 Le projet d'un deuxième grand club à Paris enfin concret Les recrutements de Jean-Philippe Krasso et de Maxime Lopez cet été ont constitué le signal d'un changement d'ère au Paris FC avec pour objectif de monter en L1 à l'issue de cet exercice 2024-2025. Leur signature s'est également accompagnée d'une hausse du budget du club, au-dessus des 30 millions d'euros. Elle va engendrer un déficit plus conséquent. Il a été anticipé et les nouveaux propriétaires sont prêts à l'assumer afin de rejoindre l'élite et de mettre en place leur projet au plus vite. À leur image, il sera ambitieux et discret. L'idée n'est pas de faire tout de suite le match avec le PSG, mais de s'installer durablement en L1 et de se qualifier pour la Ligue des champions à terme. Le Paris FC se verra doté de moyens, au moins entre 100 et 200 millions d'euros sur plusieurs années, pour y parvenir. Avec eux, plus Red Bull dont le savoir-faire en matière de formation est reconnu et qui vient de nommer Jürgen Klopp comme son nouveau monsieur football, le Paris FC change de monde et conforte son statut de deuxième club à Paris. Pour de vrai, cette fois, et avec l'envie, lui aussi désormais, de « rêver plus grand ». Contactés ni le Paris FC, ni la famille Arnault n'ont répondu à nos sollicitations.