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daykatana

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Tout ce qui a été posté par daykatana

  1. Pis surtout c est beau de voir les sardines 5e ...
  2. daykatana

    Anciens Lensois

    Je le croiserai dans la rue, j aurai du mal a le reconnaître..
  3. Il a dit qu il ne prolongeait pas a 1 an de la fin de son contrat, qu'il a attendu et rien n est venu et que du coup, il n attend plus rien de Lorient.
  4. Moi c est le filet américain qui me manque ici, du coup quand je remonte, c est un américain filet american sauce américaine
  5. Même info que l article de l Équipe sur les salaires
  6. Cette règle simplifiée ne peut fonctionner car elle induira un énorme effet pervers : les attaquants viseront les bras des défenseurs pour obtenir un penalty "automatique", comme ce qu'il s'était passé lors de la finale Liverpool Tottenham en LdC des la 1ere minute. Comme a dit un célèbre scribe philosophe, il n y a pas de bonnes ou de mauvaises situations, et dans la surface, je suis pas sûr qu il y ait de bonnes ou de mauvaises mains. Par contre, il est certain que le VAR n aide pas tellement dans ces cas là pour l instant je trouve
  7. pour toi @Amaury L’infirmerie : Baldé et Camara disponibles La défense annécienne va être amputée de Lajugie (suspendu pour deux matchs) et Mendy (genou) qui ne devrait pas pouvoir postuler à l’enchaînement Nîmes- Toulouse - Valenciennes. Le milieu Phliponeau a repris l’entraînement mais ne pourra pas postuler à une place dans le groupe en L2 avant quelques semaines. En revanche, le défenseur Camara, qui a joué tout le match en réserve dimanche dernier contre la réserve de Villefranche (victoire 3-0), est opérationnel tout comme l’attaquant Baldé, rétabli de sa blessure à la cuisse. source : dauphiné libéré
  8. heu ... avec sa blessure, c est moins la joie pour Charbonnier ... Charbonnier, une tuile à 400 000€ Après avoir refusé les Verts cet été, Gaëtan Charbonnier, en échec en Ligue 1 à l’AJ Auxerre (actuel 17e du classement), a fini par accepter de venir, le 16 décembre. Pour faire sauter la banque. À 34 ans, son salaire a bondi d’un coup de 55 000 € brut mensuels chez un promu en L1, à 100 000 €, chez le dernier de L2. Ce n’est pas tout : une prime de 400 000 € et une année supplémentaire lui étaient promises en cas de maintien, et sa participation à la moitié des matches. Soit 1 M€ la pige de six mois. Sauf qu’après avoir relancé les Verts (trois buts et une passe décisive en sept matches), il a été victime d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou droit devant Dijon (2-0, le 11 février). Saison terminée. Prime évaporée. L’ASSE va même économiser son salaire à partir de son troisième mois d’arrêt maladie. Cela s’appelle un deal gagnant (pour le club) - perdant (pour le joueur). B. Li.
  9. RC Lens : Medina et Saïd de retour Facundo Medina et Wesley Saïd ont fait une semaine d’entraînement normale avant le déplacement à Rennes, ce samedi (21 h), après quinze jours de trêve internationale. Facundo Medina a repris l’entraînement normalement. Photo Matthieu Botte - La Voix du Nord /sites/all/themes/enacarbon_vdn/images/logo-gris.png Par Sandrine Arrestier Publié:30 Mars 2023 à 13h22Temps de lecture:2 minPartage : À deux jours du déplacement à Rennes, samedi, le RC Lens récupère seulement l’ensemble de ses troupes. Les internationaux ont commencé à revenir au club à partir mardi, les deux derniers (Deiver Machado et Yannick Pandor) doivent reprendre ce jeudi après-midi après de longs périples (au Japon notamment pour le piston colombien). « On les a retrouvés plutôt en bonne forme, estime Franck Haise. Certains ont fait une grosse séance hier (mercredi), ceux qui ont repris ce matin sont en forme. Beaucoup ont pu avoir du temps de jeu, avoir un rythme. » Pendant cette trêve, le RC Lens a récupéré Facundo Medina et Wesley Saïd. Le défenseur et l’attaquant sont opérationnels : ils ont repris depuis la semaine dernière et ont « fait cette semaine normalement avec juste une séance un peu allégée ce matin », a précisé l’entraîneur lensois. Adam Buksa a quant à lui « préféré prendre quelques précautions pour passer des étapes. Il intégrera les échauffements avec le collectif la semaine prochaine et être apte, à reprendre avant Paris. » Jimmy Cabot est en revanche plutôt attendu pour la reprise fin juin « en pleine possession de ses moyens pour l’été prochain. Au vu de sa petite réaction sur la réathlétisation, c’est préférable de tabler sur ça. » source: la voix du nord
  10. Cool. Ça fait aussi plaisir de ne pas voir les sardines dans ce classement. Le QSG c était prévisible
  11. C est surtout que Samba n'a pas ou très peu d expérience internationale. Même si il est intrinsèquement meilleur qu'Areola, ce dernier a une plus grande expérience internationale, que ce soit en sélection ou en club (coupe d'Europe notamment)
  12. Ben non, pour la FIFA, il faut que des buts soient marqués. Donc pourquoi mettre des règles pour rétablir la balance envers les défenses ? Comme cela a été pointé par beaucoup sur le forum, un gardien qui bouge ou qui n'a pas un pied sur la ligne au moment du tir est sanctionné. Par contre un joueur (qu'il soit de l équipe attaquante ou défendante) qui entre dans la surface avant le tir, c est parfaitement normal. De plus, si le penalty est raté, l arbitre le donne parfois a retirer pour cette raison mais très rarement quand le penalty est réussi.
  13. Lui, c'est l'orthographe inapprise plutôt
  14. daykatana

    Anciens Lensois

    De rien
  15. daykatana

    Anciens Lensois

    Football : de Manchester City à Saint-Omer, le destin mouvementé de David Faupala Grand espoir du foot français dans les années 2010, le petit prodige de Sains-en-Gohelle a définitivement tourné le dos au monde pro. À seulement 26 ans. Par Stéphane Carpentier - Photos Sébastien Jarry et AFP Lors de la dernière décennie, David Faupala était un habitué des équipes de France U16, U17 et U18. Ses partenaires en sélection avaient alors pour nom Allan Saint-Maximin (Newcastle), Fodé Ballo-Touré (Milan AC), Marcus Thuram (Mönchengladbach) ou encore Ousmane Dembélé (FC Barcelone). Le destin au plus haut niveau semblait être tout tracé pour ce gamin de Sains-en-Gohelle, en plein cœur du bassin minier. Doué sur le terrain, le tout jeune joueur originaire de Wallis et Futuna a toujours su ce qu’il voulait. « Aussi loin que je remonte, j’ai toujours cru en mon étoile. Quand j’étais à l’école primaire, j’écrivais déjà sur les feuilles de présentation, que nous demandaient les enseignants en début d’année scolaire, que je voulais devenir footballeur professionnel. On se moquait un peu de moi, mais j’y croyais très fort et je ne me voyais pas faire autre chose. » Tout n’a pourtant pas été simple et il lui a fallu rapidement naviguer au milieu des turpitudes d’un monde pas toujours tendre, même si on a du talent. « À l’âge de dix ans j’ai quitté le club de mes débuts, à Sains-en-Gohelle, pour aller jouer à Lens. Mon premier passage n’a duré que quatre mois. C’est triste à dire, mais j’étais le seul bronzé [sic] de l’équipe, il y avait du racisme et du favoritisme, j’ai tout gardé pour moi, sans rien dire à mon père car il serait devenu fou. Comme je ne m’y plaisais pas, je suis donc parti jouer à l’US Vermelles et deux ans après j’avais le choix d’aller à Valenciennes, Lille ou à nouveau Lens. Au Racing, les racistes s’étaient fait virer, la moitié de l’équipe avait changé, c’était aussi le choix le plus simple pour ma famille. » S’il gravit alors enfin les échelons avec le club phare du Pas-de-Calais, les relations vont à nouveau se tendre. Alors qu’il n’a que 16 ans et qu’il est déjà surclassé avec les U19 lensois, les Anglais de Watford proposent 2 millions d’euros pour recruter le jeune avant-centre. Les dirigeants du RC Lens refusent. La situation braque le joueur, sa famille, son agent, mais l’isole aussi face à une opinion publique du foot qui déplore alors le départ de joueurs trop jeunes et trop tendres vers la très riche Premier League. Quelques mois plus tard, un tweet met le feu à des poudres déjà incandescentes entre le jeune prodige et le club sang et or. Après un derby en Ligue 1 contre le LOSC, David Faupala publie un message sur lequel il indique qu’il avait parié sur Lille et non sur son club. Un vrai crime de lèse-majesté pour les supporters qui se demandent ce qui a pu se passer dans la tête de ce jeune joueur prometteur appelé un jour à défendre les couleurs du club, et plus encore face aux ennemis lillois. Son tweet scandalise les fans qui dénoncent une trahison et enregistre vingt mille vues en seulement quelques heures. « Pour remettre dans le contexte, il faut bien rappeler que je n’avais que 16 ans. Et j’ai choisi de tout assumer alors que c’était mon frère qui avait écrit ça sur mon compte. Jusqu’ici, je n'en avais jamais parlé, les gens ne l’ont jamais su. Aujourd’hui encore, il m’arrive de me faire insulter, les supporters de Lens m’en parlent encore. Je préfère en sourire, confie l’intéressé, qui, malgré son amour du foot et sa proximité géographique, assume aussi le fait que, contrairement à la plupart des gamins du coin, il n’a jamais été un supporter passionné du RC Lens.Mon père travaillait à Bollaert pour une agence de sécurité, j’allais voir les matchs, mais je n’ai jamais été un fan de la première heure, ce n’était pas dans mon tempérament de soutenir une équipe, moi, je voulais juste jouer et en faire mon métier. » Deux ans après l’affaire du tweet, l’avenir de David Faupala dans l’Artois est aussi sombre qu’un puits de mine. « Quand j’ai eu 18 ans, le club m’a annoncé que je ne serai ni pro, ni stagiaire pro. C’était soit je restais en tant qu’amateur, soit j’allais voir ailleurs. Lyon, Monaco et Manchester City me proposaient un contrat. Je suis donc parti pour zéro euro alors que le club aurait pu prendre un paquet d’argent deux ans plus tôt. » Dans la peau d’un « Citizen » À l’été 2015, à tout juste 18 ans, David Faupala débarque dans un autre monde, celui de Manchester City et de ses stars, Yaya Touré, David Silva, Samir Nasri, Sergio Agüero, Kevin De Bruyne… « Pour l’adaptation, j’ai dû faire très vite. Si tu veux réussir, tu n’as pas le choix, tu ne peux pas te perdre dans des états d’âme. J’ai dû changer mon jeu. Quand j’étais à Lens, courir vite ça suffisait. Là-bas, à City, c’était quand même autre chose. Même avec l’équipe U19 du club on se retrouvait à jouer devant dix mille spectateurs et on appréhendait forcément de rater un truc. Il fallait gérer la pression, mais ce n’était pas négatif. Et c’était une chance énorme de s’entraîner avec des joueurs hors du commun. Il y en avait un au-dessus de tous, c’était Kevin De Bruyne, le foot devient simple quand on joue avec des gars de ce talent. » Avec les Sky Blues, tout va alors très vite pour le gamin du bassin minier. Après six mois avec les juniors du club, il intègre l’effectif pro. Le 21 février 2016, alors que Manchester City doit se déplacer à Chelsea pour la Coupe d’Angleterre, quelques jours avant un huitième de finale en Ligue des Champions, le coach Manuel Pellegrini décide de faire souffler ses cadres et lance le jeune Français dans le grand bain, aligné d’entrée de jeu face aux Blues d’Eden Hazard, Thibaut Courtois, Cesc Fabregas et Cesar Azpilicueta. « Initialement je ne devais pas jouer ce match, mais l’attaquant qui était prévu avait perdu sa grand-mère la veille et le coach décide de m’aligner. Je ne m’attendais vraiment pas à jouer si vite. En foot, le facteur chance compte aussi beaucoup », reconnaît David Faupala, qui, ce jour-là, n’évite pas le bouillon pris par une équipe de City très rajeunie (5-1), mais marque un but plein de sang-froid juste avant la mi-temps. Un but d’anthologie en Ligue Europa Cette apparition restera la seule du jeune Nordiste avec les Citizens. L’arrivée de Pep Guardiola en tant que coach principal change la donne. D’abord prêté pendant six mois à Breda, aux Pays-Bas, il rejoint ensuite Chesterfield, en deuxième division anglaise. À son retour de prêt, il sait que Manchester City ne compte plus sur lui et se met d’accord avec Rennes. « On a même signé un contrat, mais il y a eu une plainte contre moi de la part de mon agent (Jennifer Mendelewitsch) car je ne l’avais pas tenue au courant des négociations et le transfert a été cassé. » Cette mésentente avec sa conseillère l’a profondément meurtri. Son entourage aussi. « Mon meilleur pote était tellement énervé pour moi que ça l’a poussé à passer une licence pour devenir agent sportif et il a obtenu son concours (Sami Helal Management). Il est à l’opposé de l’image qu’on se fait de l’agent qui se gave sur le dos des joueurs, et notamment des très jeunes. » Touché, mais pas coulé, David Faupala atterrit finalement tout à l’est de l’Ukraine, à Louhansk, ville d’un demi-million d’habitants, à moins de 20 kilomètres de la frontière russe et aujourd’hui sous la menace de l’invasion des troupes de Poutine. Après l’Ukraine, les aléas des transferts et des opportunités l’emmènent à Chypre (Apollon Limassol), où il s’illustre en marquant sur un retourné acrobatique face à la Lazio Rome, en Ligue Europa. Toujours dans la même compétition, en décembre 2018, il connaît les joies d’une belle victoire sur la pelouse du stade Vélodrome de Marseille, face à Florian Thauvin, Dimitri Payet et Adil Rami. « Chypre reste mon meilleur souvenir. Il faisait 25 degrés tout le temps. En championnat on a rarement plus d’une heure de bus pour faire les déplacements et le niveau est plus que correct. Le foot là-bas n’est pas une affaire de touristes, il y a beaucoup de très bons joueurs et ce n’est pas un hasard si avec Limassol nous avions eu de bons résultats en Ligue Europa. » Mais pour l’ancien Lensois, c’est aussi le début des pépins physiques. « Lorsque je jouais à l’Apollon, l’attaquant numéro un s’est blessé et moi je n’étais pas à cent pour cent car je souffrais d’une pubalgie. J’ai fait un paquet de matchs sous infiltrations, il y avait la Ligue Europa, je voulais la jouer. Certaines fois, rien qu’à tirer dans la balle j’en avais les larmes aux yeux, c’était comme un coup de poignard. C’est réellement la seule blessure de ma carrière, mais elle m’a été fatale. » Après son expérience d’une année à Chypre, il met le cap au Nord, en Norvège, puis de nouveau en Méditerranée, à Malte, en ne jouant quasiment pas. « J’ai subi deux opérations nécessitant à chaque fois huit à dix mois de repos. L’an dernier, j’ai tenté une dernière expérience à Beauvais, en National 2, mais mon corps n’a pas suivi. » Alors David Faupala a décidé de faire une croix sur le foot pro. À seulement 26 ans. « Cela a été très dur de se faire une raison et de prendre une décision. On y réfléchit forcément à deux fois, et quand je repense aux matchs, à l’adrénaline, ça me plombe parfois le moral, mais jamais très longtemps, j’ai tellement joué sur la douleur. Je suis donc retourné chez moi, à Sains-en-Gohelle, et je me suis concentré sur l’après-foot. C’est un milieu que je connais et dans lequel je veux rester. Je suis des formations, je gonfle mon CV, je suis aussi devenu recruteur pour un club pro. » De sa carrière cahoteuse, le petit prodige de l’équipe de France U16 ne regrette rien. « Je suis fier de ce que j’ai accompli. Sur le plan financier, avec ce que j’ai gagné à City et en Ukraine, j’ai pu mettre un peu d’argent de côté, même si j’en ai aussi donné énormément à mon agent. J’ai découvert plein de pays, des cultures différentes et j’ai fait de très belles rencontres. Pour l’anecdote, quand je signais dans un club, la première chose que je regardais c’est s’il y avait un francophone dans l’équipe, histoire de faciliter mon intégration. S’il n’y avait pas de Français, il y avait toujours au moins un Africain qui parlait notre langue. En Ukraine, je me suis même retrouvé avec un Allemand d’origine marocaine qui parlait un peu français, il est devenu mon pote. » À Saint-Omer, juste pour le plaisir Depuis six mois, David Faupala n’avait plus touché le moindre ballon. Jusqu’à ce lundi de février où il a repris l’entraînement avec Saint-Omer, qui évolue en Régional 1, une arrivée inattendue pour lui comme pour le club. Ou presque. Car dans l’Audomarois évolue son vieux pote de l’équipe de France U16, Axel Prohouly, qui, lui aussi, a connu le haut niveau. Il a fait ses classes à l’AS Monaco aux côtés d’un certain Kylian MBappé, et, comme lui, il est parti très jeune en Angleterre, avant de voir sa carrière stagner dans les divisions inférieures ou dans des championnats peu médiatisés, comme en Slovénie, la saison dernière. « En équipe de France, je jouais milieu relayeur et David à la pointe de l’attaque, en gros je distribuais et lui, il marquait, se remémore Axel Prohouly, qui a rejoint le club audomarois cette saison pour se rapprocher de sa famille installée du côté de Dunkerque. On est amis depuis longtemps, chacun a fait sa vie mais nous sommes toujours restés en contact sur les réseaux sociaux. Quand j’ai entendu que mon club cherchait un attaquant buteur, j’ai tout de suite pensé à David et j’ai mis tout le monde en contact. On est très impatient à l’idée de rejouer ensemble, il y a de l’excitation, mais on pense à l’équipe avant tout. » « Pour la première fois depuis très longtemps, j’ai repris du plaisir sur un terrain. Je sais que je ne peux plus subir la charge d’un entraînement quotidien, mais trois par semaine, ça va passer sans problème, poursuit David Faupala, conscient qu’il va susciter autant d’attente que de curiosité. Je connais le niveau Régional 1, je sais où je mets les pieds et il ne faudra pas faire semblant, il faut être honnête avec soi-même. » Même au sixième échelon de la hiérarchie française, dans un monde où les joueurs se contentent d’indemnités kilométriques, de primes de victoires et d’un sandwich bière à la fin du match, le foot reste un sujet sérieux, et les clubs, à l’image de l’US Pays de Saint-Omer, y sont ambitieux. De quoi (re)donner le sourire à un authentique et sympathique enfant de la balle.
  16. daykatana

    Groupe Pro 2 - Saison 2024/2025

    Sur le site de la fédé suisse, il semblerait que Sishuba soit titulaire
  17. Ça serait pas un mauvais résultat. On confirme la bonne passe défensive et on laisse Rennes a 7 points. Je prends tous les jours ce résultat (bon 1-0 pour nous a la 94e sur un CSC je prends aussi 😂)
  18. daykatana

    Lens - Angers / J28 / 18-03-23

    Si il la reprend pied gauche, il aurait marqué Openda
  19. daykatana

    Groupe Pro 2 - Saison 2024/2025

    Ils savent peut être tirer les CPA ...
  20. Samedi 15 avril 2023 à 21h00 sur Canal+ Sport 360 et sur Canal+ Foot Paris Saint-Germain – RC Lens
  21. daykatana

    RC Lens Féminin

    Depuis la saison 2016-2017, la D2F n'est plus composée que de 2 groupes de 12 équipes pour seulement deux accessions en Division 1 à l'issue de la saison. Le 12 mars 2020, l'édition 2019-2020 est suspendue par la Fédération française de football en raison de la pandémie relative au COVID-191. La compétition est définitivement arrêtée le 16 avril 2020 ; la fixation des classements est faite selon le quotient nombre de points obtenus / nombre de matchs joués2. 2023- : Le retour de la Division 3[modifier | modifier le code] En 2022, la FFF vote pour un retour du troisième niveau pour 2023. La division 2 passe aussi de 24 à 12 équipes sur le modèle de la D1.
  22. daykatana

    RC Lens Féminin

    Correct La saison prochaine il y aura plus qu une seule poule Division 2. Donc 6 descentes par groupe et 1 seule montée (il me semble)
  23. Je suis 100% d accord avec toi. Pour Frankowski, nous sommes d accord que c est pas un latéral. Je me demande ce qu il donnerait a la place de Sotoca en MOD dans ce 4-2-3-1 Il est assez fin techniquement dans les petits espaces (pas en dribble mais capable de décaler subtilement). Et ça le rapprocherait de son poste de milieu latéral qu il occupe en équipe nationale (même si il était a gauche a la CDM il me semble)
  24. En cas de victoire contre Angers, on sera mathématiquement maintenu (Brest et Strasbourg ont 23 points, donc avec 11 victoires, ça fait 56 points et on en aurait 57 en battant (écrasant, pulveriserant, eparpillant façon puzzle) Angers
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