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en tout cas, ils ont pas peur les journalistes dans les questions a Haise ... Après Laurent Bessière, serez-vous le prochain ex-Lensois à rejoindre Rennes ? Est-ce que vous pensez que je vais répondre à cette question ? Sincèrement ? Non, je ne vais pas y répondre. Je ne vais pas vous dire les clubs qui m'ont sollicité l'été dernier. Ce que je peux vous dire, c'est que je suis très bien à Nice. Je le dis, je le redis, et je le reredis.
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Le directeur de la performance de l'OGC Nice, Laurent Bessière, quittera le club à la fin de la saison bessiere (laurent) abdi (ali) (A. Réau/L'Équipe) Arrivé à Nice en janvier 2023 pour prendre la tête du département performance, Laurent Bessière quittera le club à la fin de la saison. Antoine Maumon de Longevialle à Nice publié le 6 mars 2025 à 12h04 Troisième de Ligue 1, Nice vit une période de beau temps, avec cinq victoires lors des six dernières journées, alors que le club a appris ces derniers jours le départ prochain de son directeur de la performance. Arrivé sur la Côte d'Azur en janvier 2023, en provenance de Lens, Laurent Bessière a acté avec le Gym son départ à la fin de la saison. Alors que le club avait connu à l'automne une vague de blessures à l'ampleur inédite, on s'était interrogé en interne sur ses facteurs explicatifs, et donc sur l'éventuelle responsabilité de Bessière. Ce départ permettra au Gym d'économiser un salaire qui ne correspond plus à la réalité économique actuelle du club. Le futur point de chute du directeur de la performance évoqué en interne serait le Stade Rennais. Bessière y retrouverait d'autres anciens Lensois (Arnaud Pouille, Brice Samba, Seko Fofana) alors que Franck Haise sera largement consulté dans le choix de son successeur.
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Pour Bane je suis d'accord, annihilation action de but. Pour le 2e, je trouve sévère de mettre rouge direct, il y a deja eu des jaunes pour beaucoup plus que ça (et que même avec la VAR, ils ne sont pas changés en rouge)
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[L1: Saison 2024/2025 du RC Lens] Refonte !
daykatana a répondu à un(e) sujet de MisterFraiZ dans RC Lens
Remis en page @LeTarnais 😉 et merci pour le partage « Un sacré exemple de bêtise collective » Un nouveau collège de L1 doit se tenir cet après-midi. Lors de la précédente réunion, le 14 février, les échanges ont une nouvelle fois été très tendus, à l’image des critiques de Joseph Oughourlian Dans le calendrier, la date du 14 est décidément celle des règlements de comptes au sein du football professionnel français. Après le collège de L1 du 14 juillet 2024 au cours duquel les présidents se sont écharpés autour de la meilleure solution pour les droits de diffusion de la L1 pour la période 2024-2029, il y a aussi, désormais, celui du 14 février. Ce jour-là, les échanges et les critiques ont fusé, toujours autour de la problématique du diffuseur, quelques mois après que l'accord avec DAZN et beIN Sports a été conclu. Des tensions exacerbées par le non-versement de la totalité de ce que DAZN devait payer en février (la plateforme n'a payé que 35 M€ sur 70, la LFP a utilisé son fonds de réserve quelques jours plus tard pour compléter les versements). L'Équipe a pu prendre connaissance de l'enregistrement de ce collège pendant lequel a été abordé le manque d'information, la possibilité d'un plan B et la clause empêchant la Ligue de discuter avec de futurs diffuseurs avant décembre. « Il y en a marre de cette absence de transparence, et on n'est pas plus cons que vous pour ne pas être plus au courant, a tancé Jean-Michel Roussier, le patron du Havre. Il n'y a pas deux vitesses mais trois (en L1). Les petits, vous nous prenez pour des cons parce qu'on n'est pas capables de comprendre, parce qu'on n'est pas discrets, parce qu'on parle plus que vous aux journalistes ? C'est insupportable. » Même reproche formulé par Waldemar Kita, le président-propriétaire du FC Nantes ou encore Joseph Oughourlian, son homologue du RC Lens, qui a tenu des propos très durs, n'hésitant pas à cibler Jean-Pierre Caillot, président du collège de L1 et du Stade de Reims : « Tout le monde se plaint d'un manque d'information, tout le monde se plaint d'un manque de gouvernance. Tout le monde sait qu'il y a une petite clique - dont tu fais partie Jean-Pierre - qui, disons, contrôle l'information, contrôle la gouvernance. Les décisions qui ont été prises depuis un an sont catastrophiques. [...] Il faut demander les responsabilités. Le problème vient du collège. On parle souvent d'intelligence collective mais dans notre cas, excusez-moi messieurs, on est quand même un sacré exemple de bêtise collective. [...] On n'apprend jamais de nos erreurs. C'est ça qui est frappant, c'est sidérant même. » Le patron du fonds Amber Capital étaye ses critiques. « Toutes nos erreurs, Mediapro, Amazon, DAZN, viennent d'arbitrage du court terme contre le long terme. [...] Là, vous avez bousillé le produit. C'est dix ans qu'on a devant nous pour revenir aux chiffres d'Amazon d'il y a trois ans en nombre d'abonnés. Juste, pour que ce soit clair, 400 000 ou 500 000 abonnés, ça valorise nos droits à 150 ou 200 millions d'euros, affirme le dirigeant lensois. C'est à peu près ça, la valeur de nos droits aujourd'hui. OK ? Donc, quand les prochaines négociations commenceront, avec Canal, avec DAZN, avec je ne sais pas qui... On est à 150-200 millions d'euros. » Incisif, Oughourlian insiste et demande au président de la LFP, Vincent Labrune, et à Caillot, de prendre leurs responsabilités : «Grâce aux décisions de notre petite clique éclairée. Voilà où on en est. Donc ce que je vous demande, je vous en supplie, je me mets à genoux parce que c’est mon fric, et j’en ai assez de payer les pots cassés de décisions qui n’ont qui queue ni tête. Essayez de travailler avec des gens qui comprennent ce marché. […] C’est difficilement compréhensible, ce qui a été voté, DAZN, la clause de deux ans… Moi, je pense qu’aujourd’hui, le management de la Ligue, Vincent Labrune en particulier, le management du collège, Jean-Pierre Caillot, ont une responsabilité très importante dans ce putain de désastre qui est le nôtre. J’aimerais bien que ces gens-là prennent leurs responsabilités mais c’est beaucoup trop leur demander.» En raison de cette réunion houleuse, Caillot avait annoncé vouloir démissionner de son poste de patron du collège. Depuis, il n'a jamais confirmé son intention, soutenu par plusieurs de ses collègues (le Parisien Nasser al-Khelaïfi ou le Niçois Jean-Pierre Rivère, notamment) à rester en place. Que se passera-t-il cet après-midi alors que le collège se réunit de nouveau ? -
Dommage qu'on n'ait pas joué le Mans en coupe, Yo(u)hou contre Danso, ça l'aurait fait grave !! 🤣
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Droits TV 2020-2024
daykatana a répondu à un(e) sujet de Y_chti dans Football national et international
DAZN lance un « pass fin de saison » à 49 euros Diffuseur principal de la Ligue 1, DAZN a annoncé ce mardi le lancement d'un « pass fin de saison » à 49 euros, activable jusqu'au 3 mars, permettant de profiter de l'offre de la plateforme jusqu'au 31 juillet prochain. Nouvelle promotion pour DAZN. Le diffuseur majeur de la Ligue 1 (beIN Sports propose une affiche par journée) lance ce mardi une nouvelle offre promotionnelle avec un « pass fin de saison » à 49 euros. Activable jusqu'au 3 mars, elle permet de profiter des droits de la plateforme (Ligue 1, Betclic Elite, PFL, Jupiler Pro League...) jusqu'au 31 juillet prochain. Début janvier, La plateforme avait déjà lancé le même type d'offre avec le « pass mi-saison » à 69 euros. Cette nouvelle promotion intervient alors que DAZN s'est récemment agacée auprès de la Ligue de football professionnel (LFP) du manque de collaboration de quelques clubs et du piratage qui freinent son développement. Pour rappel, si DAZN n'atteint pas le cap des 1,5 million d'abonnés (autour de 500 000 aujourd'hui), le diffuseur ou la Ligue pourra décider, le 1er décembre prochain, de l'activation ou non de la clause de sortie du contrat de diffusion de la L1 sur la période 2024-2029 à l'issue de la saison prochaine. -
Avec un but de Sotoca et un but sur corner !!
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Lens en streaming sur le pc et le Crunch sur la télé !
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Ça aurait quand même dû être un jaune a minima pour moi
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Rumeurs et transferts
daykatana a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Source Equipe : Marseille tient son attaquant. L'OM et Rennes se sont mis d'accord ce vendredi pour le transfert d'Amine Gouiri. Lilian Brassier va faire le chemin inverse et rejoindre le Stade Rennais. Le défenseur central de 25 ans va faire l'objet d'un prêt avec obligation d'achat dont le montant n'a pas filtré mais qui est supérieur aux 12 millions d'euros que l'OM s'était engagé à payer à Brest l'été dernier. Le joueur formé au Stade Rennais va passer ce vendredi sa visite médicale. Donc Rennes va payer plus cher pour un joueur qui fait du brin depuis le début de saison. Et ils vont payer à qui ?? -
Victoire sur le gong des Bleus en hand ==> but vainqueur a la 59e min 59e sec et 7 dixièmes !!
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[L1: Saison 2024/2025 du RC Lens] Refonte !
daykatana a répondu à un(e) sujet de MisterFraiZ dans RC Lens
Oui, France Foot était plus sévère, les passes D n'étaient que des passes dans le jeu, les CPA ne donnaient pas de passe D au frappeur -
Droits TV 2020-2024
daykatana a répondu à un(e) sujet de Y_chti dans Football national et international
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J'ai mis la même sur l'appli
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[L1: Saison 2024/2025 du RC Lens] Refonte !
daykatana a répondu à un(e) sujet de MisterFraiZ dans RC Lens
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[L1: Saison 2024/2025 du RC Lens] Refonte !
daykatana a répondu à un(e) sujet de MisterFraiZ dans RC Lens
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[L1: Saison 2024/2025 du RC Lens] Refonte !
daykatana a répondu à un(e) sujet de MisterFraiZ dans RC Lens
Comme je n'ai pas vu de topic N'Zola dans effectif, voici un article de SoFoot Le roman de Nzola Par Timothé Crépin De la D4 portugaise à Lens, en passant par la Fiorentina, l’itinéraire de M’Bala Nzola est... spécial ! Pas conservé par Troyes pour des problèmes de comportement, l’Angolais s’est forgé et a fini par tout renverser au bout d’un chemin unique. Voici comment. « Il fait partie des garçons qui font grandir les entraîneurs. On a toujours plein de convictions sur untel ou untel qui peut aller vers le haut niveau. Lui, je pense qu’il était parmi ceux jugés inaptes. Et il y arrive. Ce sont de beaux exemples. » Comme beaucoup, Philippe Pinson est véritablement surpris de voir où en est aujourd’hui M’Bala Nzola, à 28 ans. L’actuel attaquant de Lens a, il faut bien le dire, pris son temps pour véritablement éclore. Au cœur d’un parcours cabossé comme le football peut parfois nous en donner. Loin, très loin d’être linéaire, tranquille et sans embûche. Pourtant, contrairement à d’autres carrières empruntées, Nzola connaît un centre de formation pro. Angolais d’origine (il a fait ses débuts internationaux en 2021), le futur attaquant massif et sa famille grandissent à Troyes et le quartier des Chartreux. M’Bala intègre rapidement l’ESTAC, non sans faire débat. « Dans ma tête, c’était un crack, promet Samuel Grandsir, aujourd’hui au Havre, ancien coéquipier dans l’Aube. Mais peut-être pas pour d’autres… » Entre promesses d’avenir et véritable questionnement sur son habileté à progresser. Philippe Pinson l’a entraîné chez les U17. « Beaucoup de qualités mais, quand même, des gros manques, remarque l’éducateur. D’un point de vue tactique, on cherche à savoir ce que souhaite être M’Bala. Un attaquant de profondeur ? Un deuxième attaquant ? Un pivot ? On a du mal, car il a parfois des difficultés à se situer dans le jeu. » Le vol de trop Il faut dire que le football n’est pas le point central de sa jeunesse. À 16 ans, il est déjà très responsabilisé dans sa famille. Si son père est présent, l’adolescent doit s’occuper de ses sœurs et être là dans le foyer familial. « Il a des choses à gérer que des garçons de son âge n’ont pas à s’occuper », reconnaît Philippe Pinson. Avec, au milieu de cet axe, une scolarité pas des plus sérieuses. Si bien qu’au sortir de la préformation et d’années collège délicates, le club doit lui trouver un cursus en alternance pour continuer son aventure à l’ESTAC, « en chaudronnerie, je crois, précise Pinson. Quelque chose de très manuel. Mais il s’est pris en main sur ses emplois du temps. » Samuel Grandsir, coéquipier à l’ESTAC Frustrant, car les qualités footballistiques sont là, avec toujours le même lot d’interrogations. « On sent qu’il y a un gros potentiel, quelque chose de supérieur dans plein de domaines, promet Claude Robin, alors directeur du centre de formation troyen. Il est fort attachant, insouciant, toujours en train de rigoler. Mais, sur le terrain, il n’est pas abouti. On voit les qualités, mais, des fois, ce n’est pas qu’il est fainéant, mais il faut toujours le contraindre à. » « On cherche comment il va s’affirmer, continue Pinson. Il ne marque pas beaucoup, mais a une grosse présence en attaque. Il a une difficulté à être structuré comme il faut. Mais on sent qu’on n’est pas loin de quelque chose. » En 2014, coup de massue : Troyes ne le conserve pas. D’abord à cause de carences dans la vision de ce que signifie être un footballeur professionnel. « Dans sa tête, il n’est pas encore assez prêt, argumente Samuel Grandsir. Pourtant, pour moi, il a tout : technique, physique, vitesse, finition… Mais il lui manque cette mentalité de se dépasser. Même lui sait qu’il est au-dessus. Mais peut-être qu’il se repose un peu sur ses acquis. S’il avait été plus tueur dans sa tête, il aurait vraiment été un crack. » Avec, pour ne rien arranger, des écarts de comportement qui vont sonner sa fin à Troyes. « On a été obligé de se séparer de lui. J’ai été tolérant plusieurs fois, raconte Claude Robin. Mais, là, c’est la fois de trop. On en a convenu tous les deux. » En cause, selon l’actuel entraîneur de Besançon, un vol commis envers un coéquipier du centre. « Quand on est directeur, on ne peut pas tout laisser passer. Là, c’est intolérable. Mais ce n’est pas un méchant, ni un tordu. Au contraire, c’est un crève-cœur de prendre cette décision. » Porto, Osimhen et gros bébé Pourtant, c’est à se demander si ce renvoi troyen n’a, au contraire, pas été la première étape sur la route de l’ascension. Comme un premier rappel qu’il faut vite redresser la barre au risque de tout perdre définitivement. « Partir de la France lui fait du bien et lui provoque une petite étincelle dans la tête. Il fallait sortir de son confort », croit Samuel Grandsir. Nzola décide de quitter son cocon et ses potes. Direction l’Académica de Coimbra, au Portugal. Il a 18 ans. Pas avec les pros, il parvient pourtant à s’y faire une place. En équipe première, il fait la connaissance de Tripy Makonda (ex-PSG, Brest…). « Je trouve un gamin très sûr de lui, très déterminé, se souvient l’ex-Titi parisien. Il s’impose lors des séances d’entraînement, mais il a des choses à travailler. Sa nonchalance peut lui être fatale, mais ça ne l’empêche pas d’être performant. » Preuve en Coupe de la Ligue portugaise, où Nzola a sa chance en janvier 2015. Il marque cinq minutes après son entrée pour son premier match pro face au FC Porto de Jackson Martínez (défaite 1-4). Le début de l’ascension ? Pas du tout. Makonda : « Le centre de formation n’a plus de moyens pour garder les jeunes. C’est limite si M’Bala joue gratuitement. Vous allez au centre, si vous avez besoin de manger, vous ne pouvez pas… Il est parti. » Destination : Sertã, en plein centre du Portugal, et le club de Sertanense, alors… en D4. Peu importe l’endroit, Nzola doit jouer, enfin. Il claque 7 buts pour 25 matchs. Mais comme à Coimbra, c’est comme si l’Angolais peaufinait réellement sa formation. Les conditions y ressemblent, en tout cas. « On loge dans des dortoirs, dépeint Bissourou Touré, coéquipier de l’époque, qui se souvient de ce “gros bébé” d’1,85m. Je revois ce long couloir avec des chambres, et le terrain juste au-dessus. » Pourtant, là encore, Nzola doit beaucoup patienter pour avoir de réelles minutes en championnat. « Il ne joue pas trop, au début, poursuit Touré. Les Portugais n’avaient jamais vu un gabarit comme le sien ! Ils étaient un peu choqués. Mais niveau football, il n’y a rien à dire. » M’Bala est rattrapé par ses « démons », comme ce langage corporel qui peut interpeller. « Ce qui lui manque ? L’attitude, abonde Bissourou Touré. Car, à l’étranger, ils regardent beaucoup l’attitude. Surtout quand tu viens de France… Mais sur le terrain, il a un autre caractère. Un genre d’Osimhen. Hargneux. Il a la dalle. » Des buts, oui, mais un épanouissement personnel loin d’être à son maximum. M’Bala pense même à arrêter le ballon. Mais Bissourou Touré le jure : « Quand tu sors de Sertanense, mentalement, plus rien ne peut t’atteindre. » Un mentor nommé Vincenzo Italiano Son chemin aussi sinueux qu’improbable l’emmène alors en Italie. Au Virtus Francavilla (Serie C), où il n’a pas encore vraiment les codes du monde pro. Un premier déclic vient de la rencontre de son coach, Antonio Calabro. La relation est franche, le technicien italien prend son attaquant sous son aile. « Tu connais les coachs chauves, ils sont un peu méchants, racontait récemment Nzola à La Voix du Nord. Il était méchant avec moi, mais j’ai compris qu’il m’aimait bien. Il ne voulait pas montrer que j’étais son chouchou. » Et ça se concrétise sur le terrain. Francavilla débarque de Serie D et dispute tout de suite les play-off d’accession en Serie B. « C’était personne, confie John-Christophe Ayina, son coéquipier dans les Pouilles. Il devait se faire un nom. Et, dans sa tête, il est en mission. Il se bat contre lui-même, il veut être la meilleure version de lui-même. » Onze buts, et même des comparaisons avec George Weah et Karim Benzema. Lui rêve de Ligue des champions. La Fiorentina et Parme s’intéressent au profil. Sauf que Nzola gâche tout face à Livourne, en barrage aller d’accession. Carton rouge, huit matchs de suspension ! Il est question d’un mauvais geste envers un adversaire et l’arbitre. La Viola laisse tomber le dossier. Le haut niveau attendra, encore. Surtout que Nzola ne confirme pas du tout en Serie B, à Carpi, qui le récupère (14 matchs, 0 but). Anthony Taugourdeau, coéquipier à Trapani Non, le premier véritable étage de la fusée Nzola se trouve à Trapani, en Sicile. Retour en Serie C. Nouveau coach au crâne dégarni, nouveau coup de cœur. Cette fois avec Vincenzo Italiano, qui entraîne actuellement Bologne. « Le coach comprend comment il faut prendre M’Bala, appuie Anthony Taugourdeau, coéquipier sicilien. Quand il faut le faire jouer ou pas, le laisser tranquille ou pas. » Sauf que question mentalité, le compte n’y est toujours pas, au départ. « Pour l’entraînement, il faut arriver à 14h30, lui arrive à 14h29, tous les jours, rembobine Taugourdeau. Avec parfois un peu de retard. Il baisse les bras dès que quelque chose ne va pas. Un caractère un peu particulier. » Nzola marque 8 buts sur la saison (33 matchs, 16 titularisations). Mais son ancien partenaire hallucine sur le discours que lui tient l’Angolais : « Quand il s’entraîne vraiment très, très mal, il me lance des trucs du genre : “Je vais marquer 20 buts en Serie A, tu vas voir !” Je me dis : “Mais il est fou ! Qu’est-ce qu’il me raconte ?” Dans sa tête, il sait qu’il peut le faire. Mais on est en Serie C, et il ne met pas 30 buts non plus… Il a dû changer quelque chose… » Trapani, Italiano et Nzola montent en Serie B. Sauf que le coach italien rallie La Spezia pendant l’été. M’Bala, orphelin de son mentor, le rejoint au mercato d’hiver. Et ça matche, encore. Sept pions pour l’attaquant. Direction la grande Serie A. Il cartonne avec 9 buts inscrits lors de ses 13 premières apparitions ! 11 pions au total pour sa saison de bizutage dans la grande ligue italienne. Forcément, ça fait parler. Naples, Newcastle et West Ham, entre autres, sont sur sa piste. Le nounours est décontracté Mais comme tout ne peut pas être parfait, Nzola ne part pas et, surtout, Vincenzo Italiano, qui lui aussi est très en vogue, fait ses valises vers Florence et la Viola. À sa place débarque un certain Thiago Motta. Un doublé à l’Atalanta (2-5) et c’est tout pour Nzola sous l’ère Motta. Derrière, en 2022-2023, il retrouve son mojo (13 buts) et est transféré pour quasi 13 millions d’euros à la Fiorentina de… Vincenzo Italiano. Barré notamment par Andrea Belotti en attaque, Nzola plante trois buts en Serie A, mais participe au sacré parcours florentin en Ligue Conférence la saison passée. Avec notamment ce but inscrit à la 91e minute en demi-finales allers face au Club Bruges, importantissime pour la qualification en finale (3-2 ; 1-1). Les troupes d’Italiano échouent sur la dernière marche, en prolongation, face à l’Olympiakos (0-1 AP). John Christophe Ayina, coéquipier au Virtus Francavilla Jusqu’au RC Lens, donc, où il est prêté avec une option d’achat estimée à moins de 10 millions d’euros. Avec 4 buts inscrits lors de la phase aller en ayant joué son premier match à la toute fin du mois de septembre. Toujours ce caractère bien à lui, lui qui fuit toute exposition médiatique. Mais quelqu’un qui profite aujourd’hui d’une notoriété et d’une réussite qui ont été loin d’être évidentes. « Il est trop marrant, sourit Samuel Grandsir. C’est un mec décontracté, qui ne se met aucune pression. Il est humble, simple et a un grand cœur. » John-Christophe Ayina abonde : « Quand tu le vois, il est costaud, imposant. Mais quand tu le connais, c’est un petit nounours. Parfois, il peut être incompris. Il est vrai avec les gens et demande à ce qu’on soit vrai en retour. Il a besoin de beaucoup de confiance, qu’on la lui donne. D’où il est parti, le voir là aujourd’hui, c’est un exemple. Car je pense que lui-même n’a pas conscience du potentiel qu’il a. » Quand ses formateurs comparent le Nzola de Troyes et le Nzola de Lens, le constat est sans appel. « Il a eu une prise en main assez exceptionnelle pour arriver là et être performant », applaudit Philippe Pinson. Quand Claude Robin est également bluffé : « Toute l’énergie qu’il donne contraste vraiment avec, parfois, la nonchalance qu’il mettait à ses débuts. Je suis content, car ça veut dire qu’il a compris. » « La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera », Emile Zola. -
Ligue 1 [Saison 2024/2025]
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
La note de François Letexier : 2 Sa soirée a été animée. Il a amené de la confusion et de la nervosité, pas aidé par le VAR, en ne sanctionnant pas Singo pour son choc sur Donnarumma ou en multipliant les menaces aux bancs. Le penalty contre Marquinhos parait sévère, mais il fait le bon choix sur la chute d'Embolo à la fin. -
Elle est plus que tentante, la seule différence à ce jour est que Yoro avait une saison complète de plus en L1 par rapport à Kodir quand il est parti en fin de saison derniere donc a la fin de la saison, ils devraient etre dans les memes zones (a voir le montant du contrat (pas le meme cout si salaire est 10k ou 200k par mois ...))
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Les voici ... Qui a parlé du PSG en 32e ? 23,8% de chances de tomber sur un club de L1 au début du tirage (4,7% de tirer le PSG)
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Celui là a l air de fonctionner (Bein anglais) https://weakstreams.online/Reims-vs-Lens/32588