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Tout ce qui a été posté par daykatana

  1. daykatana

    Groupe Pro 2 - Saison 2024/2025

    RC Lens : Fodé Sylla, d’été en hiver, marche après marche La semaine dernière a été très particulière pour Fodé Sylla. Le (très) jeune milieu de terrain a effectué le déplacement à Lorient en Coupe de France avec les pros avant de participer à la victoire de la réserve artésienne contre Lambres (4-1). Fodé Sylla est un pur produit de La Gaillette. PHOTO LUDOVIC FLAMENT (CLP) Par Grégory Lallemand Publié:13 février 2023 à 12h44 Il ne fêtera ses 17 ans qu’en avril mais Fodé Sylla ne perd pas son temps. Le natif de Saint-Quentin (Aisne), qui a grandi à Roubaix et est arrivé à Lens à 7 ans, avait débuté la saison en U19. C’était en plein été et il n’imaginait sûrement pas lui-même à quoi ressembleraient les mois qui ont suivi. Cet automne, il a été convié à participer aux entraînements de la réserve. Et puis, l’hiver venu, le très jeune milieu de terrain a fait le grand saut. Direction l’équipe première. Il est même apparu sur le banc de touche pour la qualification sang et or à Lorient en Coupe de France (1-1, 2-4 aux tirs au but). Pierre angulaire de l’équipe de France U17 dont il est le capitaine, Fodé Sylla vit visiblement assez paisiblement ces promotions successives. Celui qui s’inspire de Paul Pogba et d’Eduardo Camavinga s’est encore montré très fiable en N3 face à Lambres (4-1). Le staff de Vincent Carlier avait été vigilant, sachant qu’une semaine comme celle qu’il venait de vivre pouvait être chargée émotionnellement. Mais il n’a pas failli. « Fodé montre de bonnes choses à l’entraînement, explique le coach lensois. C’est un garçon intelligent, très à l’écoute. » Le joueur brille dans un registre de milieu relayeur, essentiellement dans les tâches défensives. En réserve, dans un 3-4-2-1 jumeau de celui utilisé par Franck Haise en L1, il a évolué devant la défense, côté gauche, dans un poste qu’occupe Seko Fofana en équipe première. « Fodé a les qualités de ceux qui avancent vite », reprend Vincent Carlier. Sa progression passe par une meilleure gestion du jeu sous pression et une faculté à plus se projeter vers l’avant. Mais son activité à la récupération du ballon est constante, précieuse. Son printemps s’annonce très ensoleillé.
  2. daykatana

    Lyon - Lens / J23 / 11-02-23

    Il fait le mur sur le coup franc
  3. daykatana

    Lyon - Lens / J23 / 11-02-23

    Dans la place. L échauffement commence Allez les gars !!!
  4. Pas le meilleur horaire, mais en même temps, je comprends les diffuseurs qui veulent pas d'un match à huis clos en prime time. Si le match avait été inversé, on aurait été en prime.
  5. daykatana

    Lyon - Lens / J23 / 11-02-23

    Pas de prévision de compo, mais je serai au stade. Dernier match de Lens "en direct" au stade, ça doit remonter a Bourg en Bresse - Lens ... Le 0-0 bien sûr, pas la victoire 6-0 la bas.
  6. Ah pour moi, il se détache et se retourne même, ouvrant un petit espace pour le ballon
  7. Comme beaucoup, Fofana fait une entrée exécrable. Le coup franc est pour lui. Par contre le but est pour Samed. Jamais il doit s enlever du mur comme ça. Même sans sauter, le ballon passe pas s il reste collé. Après, bravo JLL pour l arrêt pas évident du tout. Et ouf pour le penalty de Thomasson et surtout, quel regard magique de Fa !!!!
  8. Y a eu Robert Malm qui avait débuté a 16 ans lors du barrage retour contre Toulouse en 91 (j y étais, j'avais 10 and, le stade était plein alors qu on avait pris 4-0 la bas a l aller) Le speaker avait annoncé qu il avait 16 ans quand il est rentré en jeu
  9. daykatana

    [20] Angelo Fulgini

    Pour Angelo Fulgini, c'était «Lens et pas autre chose» Contacté par Lens le 31 janvier en toute fin de mercato, Angelo Fulgini n'a pas hésité à rejoindre les Sang et Or qu'il suivait déjà adolescent. Le milieu offensif est prêté avec option d'achat obligatoire par Mayence. Après un passage mitigé en Bundesliga, Fulgini retrouve la L1. (A. Mounic/L'Équipe) Joël Domenighetti, à Avion (Pas-de-Calais)08 février 2023 à 18h54 Sur la route qui conduit au Moustoir ce jeudi en huitièmes de finale de la Coupe de France, Angelo Fulgini écoutera peut-être les Corons de Pierre Bachelet. Avant d'affronter Lens, avec Angers (2018-2022), dans la période où le public ne venait pas au stade en raison de la pandémie, il avait trouvé cette idée pour se glisser dans l'ambiance portée par les supporters artésiens. Il n'a donc pas hésité quand Grégory Thil, le directeur sportif, puis Franck Haise, le manager général, l'ont contacté dans les dernières heures du 31 janvier. « Je n'étais pas décidé à partir de Mayence (Allemagne), se souvient le milieu offensif de 26 ans. Je préférais montrer que je pouvais y gagner ma place. J'étais dans le groupe pour affronter le Bayern en Coupe (0-4, 1er février). J'avais dit non à Troyes et Strasbourg quatre jours avant la fin du marché. Après l'entraînement, j'apprends l'intérêt de Lens et de Lyon. La lumière est réapparue d'un coup. Comme une bouffée d'oxygène. C'était une évidence. J'ai dit à mes conseillers : "C'est Lens et pas autre chose." » « On peut le voir comme s'il avait été rattrapé par l'histoire » Et ses souvenirs de remonter à la surface. Le maillot sang et or offert au jeune Douaisien de treize ans qu'il était par l'ancien défenseur central brésilien Vitorino Hilton. L'appel de Franck Haise à le rejoindre l'été de la remontée de Lens en L1 (2020). Les bonnes ondes à observer le jeu des Sang et Or à la télé. « On peut le voir comme s'il avait été rattrapé par l'histoire, acquiesce Franck Haise. Le jour de sa signature (jusqu'en 2026), je lui ai dit : "Maintenant, le maillot, tu le portes. À toi d'écrire ta propre destinée." » Prêté avec option d'achat obligatoire (6 M€), Angelo Fulgini quitte la Bundesliga, où il jouait peu (18 matches), ainsi que le coach danois Bo Svensson et ses consignes de jeu long et direct dans plusieurs systèmes, dont le 3-4-2-1 ou le 3-5-2. « On faisait beaucoup de pressing sans ballon, des récupérations hautes pour attaquer vite, résume-t-il. On n'utilisait pas trop les milieux. J'ai démarré titulaire (cinq fois en Championnat). Mais, physiquement, je n'étais pas prêt à 100 %. Il y a une différence en termes d'intensité avec Angers. Mes performances n'étaient pas top. Je suis repassé sur le banc. J'ai fait des entrées. Cinq à vingt minutes (onze fois). Après la Coupe du monde, je me sentais mieux préparé. Lors d'un bon match amical d'avant-saison (contre Hoffenheim, 2-2, le 14 janvier), je marque. Je pensais avoir une deuxième chance. Mais difficile de s'intégrer avec des bouts de match quand ça va à mille à l'heure en mode attaque-défense. Ça s'est mal terminé. » Pas très loin de la zone qu'il occupait à Angers Au même titre qu'Adrien Thomasson, aussi passionné de foot, Angelo Fulgini vient en Artois soutenir l'avant-centre. Comme Florian Sotoca (contrat jusqu'en 2026), David Pereira Da Costa (2024) ou Alexis Claude-Maurice, prêté par Nice mais blessé de longue durée, d'où l'arrivée de Fulgini. Adrien Thomasson comme un poisson dans l'eau à Lens Sa zone sera proche de celle qu'il occupait au SCO, quand Stéphane Moulin lui confiait les clés derrière deux attaquants (24 réalisations en 160 matches à Angers, toutes compétitions confondues). « Il peut intégrer notre système et nos animations dans le demi-espace droit ou gauche ou dans les trois milieux si nous passons en 4-3-3 comme en fin de match à Brest (1-1, 5 février, entré pour 18 minutes), confirme Franck Haise. Il dispose d'une intelligence de jeu globale, du volume et d'une grande capacité technique. Tout cela comptait dans ce que je voulais mettre en place. »
  10. je t ai envoyé un truc via MP
  11. Pour un mec qui sait pas centrer (dixit le forum) Ben Yedder (Monaco), Frankowski (Lens) et Alexis Sanchez (OM) nommés pour le titre de meilleur joueur de janvier Wissam Ben Yedder a marqué un triplé contre l'AC Ajaccio (7-1), le 15 janvier. (F. Porcu/L'Équipe) Le Monégasque Wissam Ben Yedder, le Lensois Przemyslaw Frankowski et le Marseillais Alexis Sanchez sont nommés pour le titre de meilleur joueur du mois de janvier en Ligue 1. 07 février 2023 à 18h43 Auteurs de prestations remarquées respectivement avec Monaco, Lens et l'OM, Wissam Ben Yedder, Przemyslaw Frankowski et Alexis Sanchez ont été nommés pour le titre de meilleur joueur du mois de janvier, ce mardi par l'Union nationale de footballeurs professionnels (UNFP). Les deux attaquants et l'ailier sont en lice pour succéder au Parisien Kylian Mbappé, lauréat en novembre et décembre. Aucun des trois n'a encore reçu cette récompense cette saison. Source l'Equipe.Fr https://twitter.com/UNFP/status/1623003664259350529?s=20&t=vw2HuOoAJU7He5n068e7nQ
  12. Ben si, il y a aura bien pénalty je pense ... pour Lyon of course !!!
  13. ah ben je mets le match, et hop ralenti du but encaissé par les sardines. Parfait
  14. daykatana

    Brest - Lens / J22 / 05-02-23

    Les notes de l'Equipe : 3 pour l'arbitre, je trouve ça très bien noté ...
  15. daykatana

    Brest - Lens / J22 / 05-02-23

    Il nous faut donc faire mentir cette stat !!!
  16. daykatana

    Brest - Lens / J22 / 05-02-23

    ah ah ah ah, Seko qui joue à Football Manager !!!
  17. j ai pas vu chef je regardais le match de loin (il etait sur l'écran de gauche du PC) Pis sur le coup, j ai cru que bosetti avait frappé à coté :)
  18. daykatana

    [14] Facundo Medina

    Facundo Medina, défenseur argentin de Lens : « Le foot m'a sauvé » Le défenseur argentin du RC Lens raconte son enfance difficile à Villa Fiorito, le quartier de Diego Maradona, en banlieue de Buenos Aires. Où il a connu la faim et les tentations. Facundo Medina, défenseur du RC Lens, posant à Avion (Pas-de-Calais), lundi 30 janvier. (B. Papon/L'Équipe) Romain Lafont, à Avion (Pas-de-Calais)mis à jour le 4 février 2023 à 18h05 ma liste commenter réagir partager Il maîtrise plutôt bien le français mais Facundo Medina, 23 ans, est surtout un expert dans le maniement des gros mots dans la langue de Molière. Arrivé à Lens en 2020 en provenance du Talleres de Cordoba, le défenseur argentin semble s'être parfaitement adapté à sa nouvelle vie. Sur le terrain, il est un titulaire indiscutable de la défense la plus imperméable de L1 et figurait même en novembre dans une préliste de 32 joueurs de l'Albiceleste susceptibles d'aller au Qatar. Celui qui vient de prolonger dans l'Artois jusqu'en 2026 est aussi l'un des DJ du vestiaire, avec Brice Samba. C'est peu dire que le joueur formé à River Plate a l'art de prendre la vie du bon côté. Sans doute parce que la sienne a commencé du mauvais. Pendant quarante-cinq minutes, il s'est livré, cette fois en espagnol, sur cette enfance qui a forgé son caractère. « Parlez-nous de vos tatouages, qui semblent raconter une histoire... J'en ai un de Carlos Gardel (figure du tango du XXe siècle) sur le mollet. Je dois le continuer. Ici va venir Che Guevara (il montre une autre partie de mollet) et ici Maradona (sur sa cuisse). Pour Maradona, c'est par rapport à l'endroit d'où je viens (le quartier de Villa Fiorito). Gardel, mon grand-père l'adorait. Il m'emmenait au cimetière de la Chacarita, où il y a sa statue (devant son tombeau). Il aimait venir lui rendre hommage. Ça me permet aussi un peu de me rappeler de lui, des valeurs qu'il m'a transmises. Le vestiaire célèbre la prolongation de Medina jusqu'en 2026 Quelles sont ces valeurs ? Le respect, le travail, l'effort, l'éducation. C'est grâce à ces valeurs, et grâce à ma mère, qui m'a appris la vie, que je suis devenu ce que je suis aujourd'hui : quelqu'un qui respecte tout le monde, quel qu'il soit. C'est primordial. Le respect, l'humilité, le sens du sacrifice et le travail influent beaucoup dans ce sport. Et au-delà des titres, de la célébrité, ce que j'aimerais, plus que tout, c'est être une bonne personne. « Si aujourd'hui tu m'offres un alfajor, je suis l'homme le plus heureux du monde. Parce que je mesure ton effort, ton temps » Comment s'est déroulée votre enfance ? J'ai eu une enfance de fou. Ça a été un peu difficile mais j'ai toujours essayé de ressortir les choses positives et j'ai toujours senti le soutien de ma famille. Gamin, je ne comprenais pas ce qu'était le monde. Et à mesure que l'on grandit, on regarde et on commence à se poser des questions. Pourquoi dois-je passer par ce dénuement ? Pourquoi dois-je avoir faim ? Pourquoi je dois sortir travailler vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour avoir à manger, même pas pour avoir des choses dont j'ai envie ? Ma famille a su me protéger, on a lutté, on s'est bagarré. Et un jour, quand tu as enfin un peu plus, ça te permet de donner beaucoup plus de valeur à des choses simples, comme un plat de nourriture. Si aujourd'hui tu m'offres un alfajor(biscuit rond souvent fourré à la confiture de lait), je suis l'homme le plus heureux du monde. Parce que je mesure ton effort, ton temps. Les gens pourraient dire : "C'est un simple alfajor", mais ça dit quelque chose de la personne que tu es. Facundo Medina s'est fait tatouer le visage de la figure du Tango Carlos Gardel sur le mollet gauche. (S. Boué/L'Équipe) C'est un miracle, votre parcours ? Non, ce sont des décisions. La vie est faite de moments où tu dois être conscient de ce que tu veux réellement, aussi bien pour toi que pour ceux que tu aimes. Dans mon cas, ma mère, qui était une battante, une guerrière, qui a toujours tout donné, laissé de côté tout ce qu'elle aimait faire pour me donner le meilleur. C'est quelque chose qu'il faut apprécier. Je ne voulais pas tomber dans la drogue, je ne voulais pas me perdre dans la nuit, je savais très bien où il fallait que je concentre mes efforts, mon énergie, ma jeunesse : avec le ballon. Parfois, avec ma mère, nous nous asseyons à discuter de ces choses-là. Et elle se sent mal, se met à pleurer. Et moi aussi, il y a certaines nuits où je me mets à pleurer. Mais de joie, dans le sens où, grâce à Dieu, je ne passe plus par ce genre de moments. Ça me permet d'apprécier ce plat que je suis en train de manger, le fait que mes frères puissent étudier. Quand je vivais seul avec ma maman, nous sommes passés par des choses que d'autres ne vivront jamais, mais que je vais garder pour moi. Beaucoup de mes amis ont mal fini, peu s'en sont sortis. « Parfois, la rue est bonne mais en même temps dangereuse car il y a les tentations... J'ai été très intelligent dans le sens où je ne me suis jamais mis dans les mauvaises choses » Vous avez, dans votre enfance, été "cartonero", un "travail" apparu après la crise argentine de 2001. C'est, en gros, recycler les ordures, pour l'expliquer simplement. On les récupérait et on les revendait pour avoir quelque chose à manger. J'étais tout petit, entre 7 et 10 ans. On marchait dans les rues de la capitale, dans un secteur de quelques pâtés de maisons. Les gardiens d'immeuble nous connaissaient, les mecs de la sécurité aussi. On sortait de la maison à 16 h 30-17 heures et on rentrait vers minuit. Et le lendemain matin, on se levait tôt pour recycler dans le patio de la maison et aller le midi vendre et avoir de quoi manger. Et ainsi de suite, tous les jours. C'était dur, il y a des gens qui continuent de le faire... La vie, c'est une lutte permanente. Parfois d'ailleurs, les gens ne racontent pas ce genre de choses car ils ont un peu honte. Moi, je le dis avec une totale simplicité, avec fierté même parce que ces choses que j'ai vécues me permettent d'apprécier beaucoup plus les petites choses de la vie. 5,79 La note moyenne de Facundo Medina, cette saison, dans les colonnes de L'Équipe : la 19e meilleure pour un joueur de champ, avant le début de la 22e journée. À 11 ans, vous vous retrouvez à River Plate. Le changement de vie est brutal. River a su m'offrir un refuge. Ils ont vu des choses en moi que je n'avais jamais imaginées. J'étais alors quelqu'un d'un peu fou, j'avais beaucoup traîné dans la rue. Parfois, la rue est bonne mais en même temps dangereuse car il y a les tentations... J'ai été très intelligent dans le sens où je ne me suis jamais mis dans les mauvaises choses. À River, j'ai commencé à connaître ce qu'était tout simplement le fait de vivre au centre. On faisait quatre repas par jour, petit-déjeuner, déjeuner, collation, dîner... Chez moi, je faisais juste le dîner... Rien de plus, peut-être un thé le matin... On vit et on s'adapte. C'est à River que j'ai commencé à être un peu plus ordonné, à faire attention à mes affaires, à l'hygiène, à essayer de communiquer avec des gens que je ne connaissais pas... J'ai appris à me libérer, à ne pas être une personne timide qui ne sache pas tenir une conversation. Et j'ai pu me consacrer à 100 % au foot. Ça vous a donné de la tranquillité ? De la tranquillité, non. Car quand je rentrais le week-end à la maison pour passer du temps avec ma famille, je voyais la réalité. Quelle différence ! On commence à se dire, mais pourquoi je dois en passer par là ? Pourquoi je ne peux pas avoir ça, pourquoi je n'ai pas pu manger quelque chose ? Pourquoi je ne peux pas faire un cadeau... Je me suis battu, battu, battu. J'ai travaillé, travaillé. Mes proches m'ont accompagné. J'ai fait des erreurs, comme tout le monde. Et je me suis consacré au foot et grâce à Dieu, le football m'a beaucoup donné, le football m'a sauvé. » Source : l'Equipe.fr
  19. Pas top, top. Pas beaucoup de ballons. De ce que j'ai vu, il avait l'air d'être en pointe. Par contre, super but de Cafaro pour Saint E
  20. Je viens de voir ton post. moi je suis là-dessus https://mamahd.best/ match St E - annecy : STE-FCA
  21. Faut pas oublier qu'on mène 3-0 très tranquillement et qu'on se relâche après le 3è but et on se fait punir de suite. Avant ça, Brest touche pas un ballon si je me souviens bien. Donc quand on prend le score brut, 3-2, c est pas une rouste je suis d'accord. Sur le contenu du match, c'est tout de suite moins évident.
  22. daykatana

    Brest - Lens / J22 / 05-02-23

    Il me semble que c est ni l un ni l autre sauf exception ci dessous
  23. daykatana

    Lens - Nice / J21 / 01-02-23

    Gros turnover pour une fois !
  24. La FFL en PLS avec Angers qui mène ...
  25. Au moins, Annecy est pas dépaysé non plus
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