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Rumeurs et transferts
daykatana a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Correct, tu as raison. J ai trouvé ça sur le site de l'Equipe Contrairement à l'Espagne, la législation française se calque sur celle de la FIFA et aucun joueur ne peut parapher un contrat d'une durée supérieure à cinq ans dans les divisions de l'Hexagone. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Transferts-combien-de-temps-peuvent-durer-les-contrats-de-footballeurs/1174363 -
Rumeurs et transferts
daykatana a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
pour le montant, je serai pas étonné, pour la durée, plus problématique mais je crois pas qu'il y ait de limite (je sais que l UEFA a mis récemment une règle pour les contrats de plus de 5 ans, mais je sais plus quoi exactement, faut que je recherche) -
Rumeurs et transferts
daykatana a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Si c'est vrai, c est encore plus n'importe quoi, ils pourront vraiment se rebaptiser KSG ... -
D après RMC Sports Le règlement de l’UEFA impose en effet aux clubs qui reçoivent de mettre à disposition des supporters adverses l’équivalent de 5% de la capacité du stade.
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Barry, buteur en amical avec Annecy https://twitter.com/FCAnnecy/status/1681703625913925638?t=JkdZj2SsLWx6EUt7g2wf8g&s=19
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Et les proprios en maillot (a minima le monsieur)
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Un de mes sketchs préférés des Guignols. Le squelette Fausto Coppi avec les chambres à air sur les épaules et le commentaire : "c est d autant plus remarquable que ce matin il était mort". c est magique ! par rapport a l etape du jour, j adore le commentaire de WVA : je suis le meilleur des gens normaux. par contre, c est clair que tout le monde va se poser des questions sur vingegarrd (bon sur pogacar aussi vu qu il met 1:30 a Van Sert)
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C est la ville de Divonne qui a fixé les prix ...
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Je reposte pour ceux qui l'avaient manqué ...
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VAR, sonorisation des arbitres... Antony Gautier, nouveau patron de l’arbitrage français, se confie Arbitre en Ligue 1 pendant seize ans, le Seclinois Antony Gautier (45 ans) a pris la tête de la direction de l’arbitrage au mois de janvier. Il présente ses projets pour l’arbitrage français, en insistant sur sa volonté de le rendre plus moderne et transparent. Antony Gautier, ancien arbitre de L1, maire de Bailleul, a pris les rênes de l’arbitrage français en janvier 2023. PHOTO PIB /sites/all/themes/enacarbon_vdn/images/logo-gris.png Par Pierre-Louis Käppeli- Photos PIB Publié:16 Juillet 2023 à 12h15: Antony Gautier, vous êtes à la fois directeur de l’arbitrage et maire de Bailleul. Est-ce facile à gérer au quotidien ? « C’est une question d’organisation. Je ne mélange évidemment pas les deux activités. Aujourd’hui, j’ai une activité professionnelle dans laquelle je m’épanouis pleinement, qui est celle de nouveau directeur de l’arbitrage français. C’est évidemment une fierté d’avoir été retenu pour occuper ces fortes responsabilités. C’est aussi un engagement complet de ma part, parce que mon projet est de moderniser l’arbitrage. Il faut une bonne organisation au quotidien pour articuler ces deux activités. J’ai aussi l’avantage d’être maire depuis maintenant trois ans(élu en juin 2020 face à Marc Deneuche, maire sortant). Ça m’a laissé le temps de structurer, d’organiser l’administration municipale. J’ai une équipe d’élus particulièrement compétente et disponible. Chaque élu a une délégation. Cette articulation existait déjà quand j’étais arbitre : j’étais encore davantage en déplacement quand j’étais arbitre qu’aujourd’hui en tant que directeur de l’arbitrage. » Comment organisez-vous vos semaines ? « Il n’y a pas de semaine type. Tout évolue en fonction des rassemblements, des stages et des réunions que je peux avoir au niveau de la Fédération. Il y a beaucoup de stages qui se déroulent à Clairefontaine. Ça varie. Je suis plusieurs jours par semaine sur Paris, mais c’est difficile à quantifier. Je vis à Bailleul. » Vous étiez également maître de conférences en mathématiques. Avez-vous été obligé de mettre cette activité de côté ? « Oui, je suis en détachement de l’enseignement supérieur, notamment par rapport à mon mandat de maire. » Le sport occupait une place importante dans votre vie. Est-ce encore jouable, aujourd’hui, d’aller faire 1 h 30 de sport le matin ? « Ça l’est encore, mais moins, à mon grand regret. En tant qu’arbitre, j’avais une à deux séances d’entraînement par jour. Aujourd’hui, j’essaie de m’astreindre à des séances hebdomadaires, mais c’est vrai que la fréquence a baissé parce que j’ai d’autres responsabilités. Je fais de l’endurance, du 10 km, avec peut-être l’objectif d’un semi-marathon quand j’aurai le temps de me préparer sérieusement. Je fais mes séances dans la campagne autour de Bailleul. Et je faisais déjà un peu de tennis, donc je continue. Mais je n’ai plus les séances de fractionné, de VMA, de vitesse et de puissance que je pouvais avoir en tant qu’arbitre. » « Le sport fait partie de ma vie, j’en ai besoin » Est-ce que ça peut passer par un foot, en bas, sur le mini-terrain du siège de la Fédération ? « Je vous avoue que je ne me suis pas encore frotté à Stéphane (responsable presse de la FFF, assis à côté de lui pendant l’interview). Je n’ai pas encore eu le temps d’expérimenter ce foot à 5 (sourire). » Mais c’est essentiel pour vous de garder un peu de temps pour le sport ? « Bien sûr. Le sport a toujours fait partie de ma vie, c’est encore le cas aujourd’hui et j’en ai besoin. » En quoi consiste le poste de directeur de l’arbitrage ? « J’ai souhaité proposer au Comité exécutif de la Fédération d’avoir le titre de directeur de l’arbitrage, et non pas de directeur technique de l’arbitrage. Ma mission comprend évidemment les aspects techniques, mais on va au-delà : il y a le recrutement, la promotion, la fidélisation… C’est pour ça que la direction de l’arbitrage est structurée avec un directeur de l’arbitrage, pour construire une stratégie de développement de l’arbitrage, et trois pôles techniques : un pôle dédié à l’arbitrage féminin, confié à Stéphanie Frappart, un pôle pour l’arbitrage amateur, avec Alain Sars, et un pôle délégué à l’arbitrage professionnel, dont la responsabilité a été confiée à Stéphane Lannoy. Le directeur de l’arbitrage organise et structure tout l’arbitrage français. » Comment vous sentez-vous dans ces nouvelles fonctions ? « Vous savez, j’ai 45 ans, je suis arbitre depuis l’âge de 11 ans, je connais l’arbitrage. Lorsque vous vous présentez pour ce poste-là, c’est que vous savez déjà quels seront les dossiers, le quotidien avec ces responsabilités-là. Je suis pleinement épanoui dans ces missions. Je crois qu’il y a de belles choses à faire pour l’arbitrage français. C’est l’orientation que j’ai souhaité proposer au Comité exécutif de la Fédération, à la Commission fédérale de l’arbitrage, qui est l’organe politique décisionnaire au niveau de l’arbitrage français. Il y a beaucoup de travail, mais c’est beaucoup de bonheur de porter ces beaux projets. » « Je sais où je veux aller, c’est ce qui m’anime » Quel est l’aspect de ce travail qui vous passionne le plus ? « C’est évidemment de pouvoir faire avancer l’arbitrage français. Mon souhait, c’est de moderniser l’arbitrage français. Il ne s’agit pas de dire que tout ce qui a été fait avant est mauvais. Ce n’est pas du tout mon discours et ce n’est pas le cas, parce que l’arbitrage français a évolué ces dix dernières années. Ma principale motivation, c’est de faire avancer l’arbitrage français dans un souci de modernisation dans tous les domaines. On parle évidemment beaucoup de l’arbitrage professionnel parce que c’est celui qui est exposé médiatiquement, qui attire la lumière. Mais mon rôle, c’est aussi d’intégrer l’arbitrage amateur et surtout l’arbitrage féminin. » À LIRE AUSSI – Stéphanie Frappart, la locomotive des femmes arbitres Au moment de votre arrivée, certaines voix s’étaient élevées pour pointer du doigt votre rigidité. Comment aviez-vous pris ces critiques ? Et les ressentez-vous encore ? « J’ai toujours accepté les critiques parce qu’elles sont inhérentes à la fonction d’arbitre. Je ne suis pas là pour donner de leçon à quiconque. Je laisse chacun libre dans ses appréciations. Moi, je sais où je veux aller, c’est ce qui m’anime, et ma motivation est très importante pour porter ces gros projets structurants pour les dix prochaines années. » Vos premiers mois ont été marqués par cette volonté d’être plus transparents, de rendre les arbitres plus humains. En 2014, votre prédécesseur, Pascal Garibian, assurait déjà que cela pouvait être un de ses projets. Pourquoi est-ce que ça met autant de temps à se mettre en place ? « J’ai un objectif à travers cette démarche, c’est d’humaniser l’arbitrage. De montrer que derrière chaque arbitre, il y a une femme ou un homme avec une sensibilité, une personnalité. Ce que je veux, c’est que les arbitres soient en mesure d’exprimer cette personnalité sur le terrain. Les lois du jeu sont gérées par l’IFAB (International Football Association Board). Ces lois du jeu comportent sur certaines situations une part d’appréciation de l’arbitre. Pour les mains dans la surface de réparation, par exemple : si on prend le texte, il précise qu’une main est sanctionnable lorsqu’il y a une augmentation artificielle de la surface corporelle. Il y a évidemment un critère d’appréciation. Ce qui est artificiel pour vous ne le sera pas forcément pour moi ou pour quelqu’un d’autre. Ma volonté est de faire comprendre en toute transparence la façon dont les lois du jeu sont construites. Il y a plein d’éléments qui doivent être intégrés. Il faut montrer que parfois, il n’y a pas de solution blanche ou noire. Parfois, il y a des zones grises parce que le règlement a été construit de cette façon-là. Mon objectif est de montrer comment les décisions peuvent être prises, parce que l’arbitrage français n’a rien à cacher. Lorsque nous sommes sollicités régulièrement pour faire des reportages sur la façon dont fonctionnent l’arbitrage français, l’assistance vidéo, la communication durant les rencontres, nous essayons d’y répondre favorablement. Ça permet d’expliquer comment les décisions sont prises. Je suis convaincu qu’en ouvrant les portes de l’arbitrage, en faisant tomber les barrières, nous parviendrons à avoir une compréhension un peu meilleure. C’est le cas dans beaucoup de domaines de la vie de tous les jours : on accepte mieux ce qu’on comprend. C’est un peu ce qui me guide. » Ces derniers mois, il y a eu des reportages dans le centre VAR, avec des micros sur les arbitres. Y a-t-il eu des réticences, des peurs de certains arbitres, car ce n’est pas forcément le cœur de leur métier d’expliquer leurs décisions ? « Pas du tout. Il y a encore quelques mois, j’étais sur un terrain. La volonté des arbitres d’expliquer la façon dont les décisions sont prises, de vulgariser l’arbitrage, est réelle. Il faut le faire de façon maîtrisée et réfléchie parce qu’il ne s’agit pas d’ouvrir les micros de façon irresponsable. En matière de communication, je pense qu’il est plus important d’avoir des interventions maîtrisées et ciblées précisément, plutôt que d’avoir une intervention continue qui viendrait brouiller le message. L’objectif, c’est que les arbitres aient la possibilité de prendre la parole à l’issue des rencontres lorsque cela se justifie. Nous l’avons fait à une reprise, à titre expérimental, à l’issue de Troyes-Nantes (le 23 avril dernier). L’objectif est de cadrer les éventuelles prises de parole des arbitres pour la saison 2023-2024, mais de façon très claire. Ça ne se fera pas à l’issue de chaque rencontre ou de chaque journée. » Et dans quel cas un arbitre interviendra-t-il ? « Il faut déjà que les conditions de la rencontre le justifient. Faire parler un individu pour ne rien dire, je ne suis pas convaincu que ce soit ce que les médias attendent, et ce n’est pas ce que je souhaite pour l’arbitrage. Je souhaite qu’il puisse y avoir une plus-value. C’est pour ça que les prises de parole seront possibles, mais dans un cadre qui reste à définir. Je souhaite aussi qu’il puisse y avoir une prise de parole institutionnelle de la Fédération pour éclairer certaines décisions qui ont été prises et qui demandent des explications. Ce qui est actuellement à l’étude, c’est l’idée d’un porte-parolat de l’arbitrage professionnel. Je ne sais pas à quelle fréquence il interviendra, peut-être à l’issue de chaque journée ou de façon régulière, et donner des explications sur la façon dont les décisions ont été prises. Et parfois, de façon ponctuelle, expliquer si des erreurs ont été commises et pourquoi elles l’ont été. » Comment déterminer que les conditions sont remplies pour qu’un arbitre s’exprime ? « C’est la Fédération qui décidera quand cela se justifie ou non. Cela sera cadré, il y aura une procédure de prise de parole définie. Ce sera fait en lien avec la direction de l’arbitrage et le service presse de la Fédération. Ensuite, les éventuelles prises de paroles pourront s’envisager. » À quel horizon souhaitez-vous que cela soit mis en place ? « Au début de la saison 2023-2024. » Ces reportages sur l’arbitrage plaisent parce que c’est nouveau et c’est assez spectaculaire. Ne pensez-vous pas qu’au bout d’un moment, cet effet spectaculaire sera moins évident et que les critiques habituelles sur les arbitres reviendront ? « Historiquement, l’arbitrage a toujours suscité des interprétations. Je n’ai pas la prétention de dire que ces éventuelles prises de parole pourront arrêter toutes les discussions. Ce n’est d’ailleurs pas ce que je souhaite, car tout le monde est libre de s’exprimer. Les lois du jeu sont ainsi faites qu’il y aura toujours une part d’interprétation. Je pense qu’il y aura malheureusement toujours des personnes qui ne seront pas convaincues. Mais au moins, la démarche de transparence et d’explication aura été menée par la Fédération. Je ne sais pas ce que ça donnera dans un, deux ou trois ans, mais je suis convaincu que ce sera une plus-value parce que ça permettra de faire comprendre davantage la façon dont l’arbitrage fonctionne. » Vous avez également tenté d’avancer sur la question de la sonorisation des arbitres… « Oui, dès le 19 janvier, le comité exécutif et le président de la FFF ont saisi officiellement l’IFAB pour demander que la France puisse expérimenter la sonorisation en direct et en continu sur la Ligue 1. Nous avons essuyé un refus, ce qui nous empêche d’aller au-delà de ce qu’on fait aujourd’hui : avoir une sonorisation, mais dont l’exploitation ne peut se faire qu’après le match. L’Ifab nous a répondu non, nous en prenons acte. Nous essayerons de continuer à convaincre du bien-fondé de l’ouverture des micros. » Vous pensez que cette position pourrait évoluer ? « Je suis de nature optimiste, donc j’ai envie de dire : " Espérons-le ! " Après, la France a fait tout ce qu’elle pouvait pour avancer. Maintenant, c’est l’IFAB qui maîtrisera le calendrier pour avancer sur ces sujets. La FIFA souhaite mener sa propre expérimentation sur ses compétitions, de février 2023 à février 2024. » On parle beaucoup de transparence et de prise de parole. Dans le recrutement des arbitres, le fait de bien s’exprimer pourrait-il devenir un critère plus important ? « Aujourd’hui, la priorité est la performance sur le terrain. C’est ce qui nous guide sur le choix des arbitres. Ce que nous demandons, c’est d’être efficaces et performants sur le terrain. » Trouvez-vous qu’il y a encore des barrières à faire sauter, que ce soit du côté des arbitres ou des clubs, pour que cette communication soit encore plus aboutie ? « Les choses avancent progressivement. Ce n’est pas mon souhait de tout révolutionner et je n’ai pas la prétention d’avoir la solution à tout. En revanche, ce dont je suis convaincu, c’est que c’est dans la discussion, le dialogue, que nous pourrons avancer pour le bien du football et de l’arbitrage français. C’est pour cela que j’ai proposé de créer un comité de liaison entre la FFF et la LFP pour regrouper certains représentants des clubs professionnels, de la commission fédérale de l’arbitrage, de la direction de l’arbitrage et de la direction technique nationale. Ma volonté, c’est d’échanger sur différents sujets et voir les orientations que nous pouvons donner à l’arbitrage français. Il y a un exemple qui est souvent revenu : dès ma nomination, certains me demandaient comment serait géré le temps additionnel sur les rencontres en France, en prenant pour exemple ce qui a été fait lors de la Coupe du monde. Ma réponse a été simple : " J’ai un avis, mais ce n’est pas nécessairement l’avis du directeur de l’arbitrage qui sera retenu." Je suis dans la discussion, dans le dialogue. Il y a des paramètres à prendre en compte : le physique, l’aspect médical, la question des diffuseurs. Ça n’a pas qu’un impact sur le microcosme de l’arbitrage. Sur ce sujet, l’IFAB a donné une réponse : à partir de la saison 2023-2024, la récupération du temps de jeu intégrera la célébration des buts. Ce qui avait été fait de façon officielle mais non-inscrite dans les lois du jeu au Qatar, ce sera désormais inscrit dans les lois du jeu à partir de la saison prochaine. » Dans votre volonté de moderniser l’arbitrage, y aurait-il d’autres projets que vous aimeriez mettre en place ? « C’est une volonté d’humaniser l’arbitrage et l’arbitre. Je veux qu’on puisse comprendre qu’un arbitre a le droit de gérer une rencontre en fonction de sa personnalité, de sa maîtrise des événements. C’est ce que je souhaite. Je refuse la robotisation des arbitres. L’idée est de faire ressortir cette sensibilité des arbitres et de leur demander de faire ressortir une personnalité sur un terrain. » Avec la sonorisation, on entend aussi les joueurs parler aux arbitres. Pensez-vous qu’avec ce micro, ils sont un peu moins véhéments ? « Pendant mes 16 années en Ligue 1, je n’ai pas souvenir d’avoir eu des échanges tels qu’on peut les décrire dans la presse. Les joueurs ne sont pas non plus tous excessivement énervés sur un terrain. Il y a peut-être ponctuellement des échanges plus vifs que d’autres, mais ça reste très respectueux. Après, il faudrait poser la question aux joueurs ou aux entraîneurs, pour savoir si ça aurait un impact sur leur façon de se comporter. Ce que je sais, moi, c’est que l’arbitrage français n’a rien à cacher. Je sais la façon dont les arbitres s’adressent aux joueurs, c’est évidemment respectueux. » Depuis votre prise de fonction, sentez-vous que l’on parle un peu plus positivement de l’arbitrage ? Ou n’est-ce pas encore suffisant à votre goût ? « Vous trouvez ? Si c’est le cas, pourvu que ça dure. » Sa vie, son parcours Sa vie Né le 19 novembre 1977 à Seclin (Nord). Directeur de l’arbitrage. Titulaire d’un doctorat en mathématiques à l’université de Lille (2004). Son parcours footballistique 2007-2022 : arbitre de Ligue 1 (meilleur arbitre du championnat en 2009 et 2011). Depuis janvier 2023 : directeur de l’arbitrage. Son parcours politique 2014-2020 : adjoint délégué au sport de Martine Aurby, maire de Lille. Depuis 2020 : maire de Bailleul.
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Rumeurs et transferts
daykatana a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Sauf erreur, ils avaient une clause de rachat de 6M€ -
Bonne nouvelle pour nous les habitants de la Yaute et alentours ! Les 2 matchs a Divonne ne seront pas a huis clos !! Voici le lien pour les places (pack 2 matchs à 20€) https://my.weezevent.com/pack-2-matchs-rc-lens (Bon je peux pas partager l image, ça me met que ça fait plus de 172ko alors que l image fait moins ...)
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Rumeurs et transferts
daykatana a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Oui, tu as raison -
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Ce qui est débile de la part de la LFP car cela fera un club exempt a chaque journée, donc pour la dernière. Et que se passe-t-il si ce club exempt est en lutte pour le titre, la montée ou la relégation ? Il peut y avoir un remake d'Allemagne Autriche avec 2 équipes qui s entendent pour un résultat positif pour les 2 qui est négatif pour le club exempt et ainsi l'éliminer de la course (donc ce club devient l Algérie)
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On devrait être content de l'égalisation de Dk, pour une fois qu'un piston droit fait une passe décisive
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C est peut être Poreba qui est déguisé 😂
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Equipe de France Espoirs
daykatana a répondu à un(e) sujet de West'ier dans Football national et international
En même temps, tant qu'il n'y aura pas de politique de jeu pour les équipes de jeunes, ça continuera à avoir la culture de l'individualité au lieu de la culture équipe. Donc quelque soit l'entraîneur, ce sera toujours le même résultat ... Il suffit de voir le fiasco des JO de Tokyo, même si on ne peut pas vraiment l'imputer à Ripoll celui-là, ou des 2 derniers Euros espoirs avec les défaites en quart. -
Cahu s en va !!!!
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Essaye ça https://tickets.manutd.com/en-GB/events/manchester united v rc lens/2023-8-5_12.30/old trafford?hallmap&int_source=muwebsite&int_medium=ad_card&int_campaign=match_tickets
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Ils abusent, les 2 matchs amicaux lors du stage a Divonne (donc pas loin de chez moi) sont à huis clos ... Grr...
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Ben non, Kais c est facile
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Equipe de France Espoirs
daykatana a répondu à un(e) sujet de West'ier dans Football national et international
Et très beau but d ailleurs -
Ligue 1 [Saison 2023/2024]
daykatana a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Ils joueront les coupes asiatiques du coup . -
RC Lens. Brice Samba joueur régional de l’année: «J’ai dit à Seko qu’on pouvait faire un truc de ouf» Sacré joueur de la saison au niveau régional, le gardien du RC Lens Brice Samba est en train de conclure une année magistrale par sa première sélection chez les Bleus. Retour sur une saison magnifique pour le meilleur gardien de Ligue 1. Brice Samba a fêté sa première sélection en équipe de France contre Gibraltar. PHOTO MATTHIEU BOTTE /sites/all/themes/enacarbon_vdn/images/logo-gris.png Par Richard Gotte et Philippe Guilbaud Publié:19 Juin 2023 à 08h15Temps de lecture:12 minPartage : Qu’est-ce qui a changé pour vous depuis votre première convocation en équipe de France en mars dernier ? « Ça n’a pas énormément changé pour moi. J’ai eu la chance aussi de jouer à Marseille avant tout ça, quand j’avais 18 ans. Ça m’a beaucoup servi ces cinq années là-bas, même si je n’ai pas beaucoup joué. C’est vrai qu’ici, tu côtoies le gratin du football français, j’apprends au quotidien. Tu t’entraînes avec des joueurs de très très grande qualité. Je peux aussi vous assurer qu’à l’entraînement à Lens aussi, j’avais été agréablement surpris lors du premier stage à Rodez, quand j’avais intégré le groupe, par la qualité des entraînements mis en place par le coach Haise. Je suis ici avec beaucoup d’envie, une grosse envie d’apprendre, de progresser. Je n’ai que 29 ans, et dans ma tête j’en ai 19. J’ai faim. Je veux continuer à avancer et à progresser. » Please close pop-out player to resume playback. Consultez l’actualité en vidéo Vous avez une faculté d’intégration et de prise de leadership assez naturelle et très rapide, comment l’expliquez-vous ? « J’ai toujours été comme ça partout où je suis passé. Je suis un garçon assez simple qui ne se prend pas la tête et qui profite pleinement de la vie. J’ai la chance d’être en bonne santé et de faire le métier que j’ai toujours rêvé de faire. Représenter la France c’est un rêve. Quand tu connais le vivier de la France, c’est un rêve, c’est incroyable. Être dans les 23 meilleurs Français, c’est un truc incroyable. Même le mot incroyable n’est pas assez fort pour définir à quel point c’est "ouf". Par rapport à Mike (Maignan) et Alphonse (Areola), on se connaît depuis tous petits. On s’est souvent joués dans les Le Havre – PSG en jeunes, donc on se connaît depuis très longtemps. On est depuis longtemps en contact, et je pense que c’est ça qui a facilité mon intégration. Il ne faut pas forcer, c’est naturel. Depuis tout petit, j’ai toujours eu cette âme de leader. Déjà par ma grosse voix, qui est très entendue. Je suis très simple. Le groupe à Lens est tellement incroyable, fantastique, que tout joueur s’y adapterait, honnêtement. Ce n’est pas compliqué de s’y adapter. Les gens sont tellement simples, tellement gentils. Quand tu écoutes chaque interview de chaque joueur, ils disent qu’ils n’ont jamais connu ça dans leur carrière. Et je peux l’admettre, j’ai fait pas mal de vestiaires et je ne l’avais jamais vécu. Dans ce groupe-là, c’est aussi simple que ça. Je suis quelqu’un, de par mon poste, qui doit donner des commandements. J’ai appris à connaître les mecs, ils ont appris à me connaître. Ils ont vu. Et ça matché entre nous et c’est pour ça que ça a tout facilité. » « Je disais aux gars : on peut être champions, ils m’ont pris pour un fou ! » De nombreux joueurs ont expliqué que vous aviez porté très haut l’ambition de l’équipe avec Seko Fofana. Pouvez-nous expliquer pourquoi et de quelle manière vous avez tiré le groupe si haut ? « Maintenant, je peux le dire, on habite à côté, Seko et moi et on venait ensemble le matin à l’entraînement. C’est depuis le début de saison qu’on parle d’ambition, de faire de grandes choses. On savait que ça allait être difficile, bien sûr, de par les deux dernières septièmes places du RC Lens. Moi, quand je suis arrivé ici, personne ne m’a dit, " il faut être au-dessus de la septième place, non, mais moi je suis quelqu’un de très ambitieux, je sortais d’une montée fantastique avec Nottingham, donc j’étais un peu porté par tout cela. Depuis septembre-octobre, quand on a commencé à gagner les premiers matchs, quand j’ai vu la qualité du jeu et de l’équipe – je commence à avoir un peu de bouteille – j’ai dit à Seko : " franchement, on peut faire quelque chose de "ouf" cette année ", je lui ai dit ça. Il m’a dit : " comment ça de "ouf" ? ", je lui ai dit : " quelque chose de "ouf", garde-le pour toi, mais tu verras ". Après, plus ça avançait, plus l’ambition montait bien sûr. Quand tu es deuxième à mi-championnat, l’ambition monte, que t’es la première équipe à battre le PSG. Même s’ils étaient amoindris, il fallait les battre, l’ambition montait. On savait très bien que si nous, on était à 100 %, on pouvait battre tout le monde. Ça, on le savait. Du coup, notre rôle était de mettre tout le monde à 100 %. Moi je disais : " les gars, on peut être champions ", mais ils me prenaient pour un fou. Ils me disaient que c’était impossible. Non, il ne faut pas dire que c’est impossible. Dans la vie, avec la foi, tu peux renverser des montagnes. Moi, je suis quelqu’un de très croyant. Dans la vie, il n’y a rien d’impossible. On finit à un point de Paris, même si c’est vrai qu’ils ont un peu relâché sur la fin. Mais c’est simplement un point. Avec 84 points, c’est énorme tout simplement. Ça en dit long sur notre saison et ça nous conforte, Seko et moi, dans nos ambitions de pouvoir pousser tout le monde. Ça a porté ses fruits et c’est très bien. » Qu’est-ce que ce groupe lensois vous a appris ? « Cette équipe m’a appris beaucoup de choses. Je me connais beaucoup mieux. Dans le foot, ça m’a conforté dans ma vision, dans le fait qu’il faut avoir un groupe solidaire pour réaliser de grandes choses, notamment avec peu de moyens. Il n’y a pas de secret. Alors quand tu as beaucoup de moyens et un groupe solidaire, tu peux faire des choses extraordinaires. Ça conforte, ça donne envie à d’autres équipes comme Clermont qui finit 8e, avec le 19e budget de L1, ça donne envie de reproduire ce genre de choses. On a montré la voie, on a battu Paris en premier et après on a vu que toutes les équipes le craignaient un peu moins. Il faut toujours y croire dans la vie. Si tu te donnes les moyens et les possibilités, tu peux faire de grandes choses. » Vous avez donné du bonheur, ça vous frappe dans cette saison du RC Lens ? « C’est un truc que je kiffe. Je le dis souvent, j’aimerais trop être spectateur et joueur en même temps. Je pense qu’on ne réalise pas. On est tellement dans notre truc. Pendant les Corons à la 75e, quand ils mettent le flash, on ne réalise pas, j’essaie de regarder un peu, mais il y a le ballon, il ne faut pas perdre le fil. C’est vrai que procurer du bonheur à ses supporters, ils le méritent tant, j’ai appris à les connaître aussi. Quand tu sais que Lens est une ville de 40 000 habitants et ton stade fait 38 000, tu es toujours à guichets fermés, il n’y a pas beaucoup d’autres clubs comme ça. Je pense qu’on est importants pour eux, s’ils viennent à tous les matchs aussi nombreux, bien sûr qu’on l’est. Ils aiment avant tout le RC Lens, nous, c’est secondaire, on est de passage. On se rend compte petit à petit. Là j’ai plus de temps ici (à Clairefontaine), je regarde les réseaux sociaux, les vidéos, on est nostalgiques par rapport à tout cela et on est très fiers de ce qu’on a réalisé. » Comment définiriez-vous le trio défensif qui était devant vous cette saison ? « Ce sont trois personnalités vraiment différentes, c’est clair. Jonathan Gradit, je le connaissais d’avant, avec Caen, c’est une personnalité très attachante. C’est le joueur le plus régulier. Il a eu une absence d’un mois, il ne fait jamais de bruit, il est toujours là à 100 %, toujours là à fond. Kevin Danso, c’est le roc, le mec avec qui je me suis pris le plus la tête, énormément, sur tout, les placements et même les petits détails, la relance quand on commence les 6 m. Lui aussi c’est un gros caractère, un gros gagnant, ça peut se voir sur ses célébrations en fin de match quand on gagne. C’est un solide, un gros bébé. Il faut ce type de joueurs pour réaliser de grandes choses. Si c’est trop plat, ce n’est pas bon non plus. À un moment, tu es obligé de te cogner un peu. Vous n’avez pas dû le voir, mais on s’est bien pris la tête sur beaucoup de matchs. On essaie de le cacher. Quand il est énervé, lui, c’est en anglais, moi en français, souvent en anglais. Le ton suffit. Kevin, c’est un très grand joueur, il fait partie des plus grands en Europe. Facundo (Medina), je le dis tout le temps, si je suis un grand club européen, avec une défense à trois, à gauche, je prends ce mec. Il a tout, le vice des Argentins, il a un pied gauche incroyable. Il a tout honnêtement. J’ai eu la chance d’avoir trois mecs devant moi, être la meilleure défense, même si ce n’est pas que ces trois-là et moi, c’est toute l’équipe et ils y ont contribué beaucoup. Ce sont des mecs de très haut niveau. Ils peuvent jouer beaucoup plus haut. On s’engueule avec Kevin, mais on arrive à "switcher" totalement. Il y a eu une séquence avant le match de Toulouse, on se prend le chou à l’entraînement, pas grand monde n’a entendu heureusement. Le coach nous renvoie au vestiaire tous les deux. Après, c’est comme ça. On est très proches en dehors. Lui aussi habite à côté de chez nous, on essaie de partager des choses au quotidien. Ce qui se passe sur le terrain, reste sur le terrain et on passe à autre chose. Tant qu’on gagne… » « Avant, la Ligue des champions, c’était avec mes potes autour des pizzas » Comment voyez-vous la Ligue des champions avec le Racing, vous projetez-vous ? « J’ai hâte de découvrir ça comme titulaire. Avec Marseille, j’étais sur le banc de touche. Le vivre comme titulaire, c’est quelque chose de grandiose, c’est être confronté au gratin européen. J’ai envie d’apprendre aussi. L’an prochain en Ligue des champions, avec Lens, on va apprendre, tout simplement. Je reste persuadé au fond de moi que si on est nous-mêmes, pourquoi pas faire quelque chose. Ça, c’est secondaire, on va apprendre. Pour ma part, je suis très excité de découvrir cette compétition que je regardais avec mes potes le mardi et le mercredi autour des pizzas. Ce sera bien de se confronter à cela. On ne peut pas dire où on va mettre la barre. On est tous compétiteurs, on ne va pas aller là-bas en étant victimes, même si on sait qu’on va être confrontés à de très très bonnes équipes. On a le PSG en Ligue 1, on se confronte deux fois par saison, on sait un petit peu à quoi s’attendre, ce sera des matchs très compliqués qui vont prendre beaucoup de jus, ça, c’est certain. Ce ne sera que gratifiant pour notre progression à chacun de vivre ces matchs-là, ces moments-là. On ne pourra qu’être fier, quand on arrêtera le foot, d’avoir vécu tout ça. » Consultez l’actualité en vidéo Comment digérez-vous un but encaissé, parce qu’il y en aura peut-être plus la saison prochaine ? « Je pars du principe qu’encaisser un but ne m’empêche pas de dormir. Je vais toujours encaisser des buts. Je ne suis pas un mur. Un gardien va toujours encaisser des buts, faire des erreurs, j’en ferai, c’est le b.a.-ba du gardien de but. Souvent, un but encaissé, ce sont des détails. On en bouffe de la vidéo maintenant, on a toutes les technologies à notre disposition pour revoir sous différents angles la façon dont on a encaissé les buts, les différents placements, si tu peux gagner un mètre ici… Ce n’est que du détail. Et avec Hervé Sekli, on ne parle que de ça. On a fait beaucoup de vidéos, pas beaucoup sur les buts encaissés. Cette saison, j’ai eu la chance d’encaisser des buts qui ont été plutôt bien construits, je pense, parce qu’on était très solides. Ce ne sont pas des trucs qui m’empêchent de dormir. Les clean sheets c’est bien mais je m’en fous, tant que l’équipe gagne, honnêtement… » Quelles sont les parades qui ont le plus compté pour vous cette saison ? « J’ai effectué pas mal d’arrêts qui ont compté sur des matchs serrés. Il y a eu récemment Marseille, à la 44e minute, au ras du poteau face à (Jordan) Veretout. À ce moment-là, si Marseille égalise, ce n’est pas le même match, tu rentres à la mi-temps, tu gamberges un peu plus. Ce sont ces arrêts-là qui font que j’aime mon métier. Tu sens dans le regard des gars : " Ah merci, tu nous as enlevé une belle épine du pied ". On célèbre entre défenseurs, tant mieux pour nous. Ces arrêts-là, je les prends comme des buts, parce qu’ils sont importants. Il y a eu celui de Paris, qui a beaucoup tourné. Rennes en début de saison, à 2-0. Contre Lille (devant Edon Zhegrova), il nous empêche la défaite, mais j’aurais préféré gagner. Je parle surtout des arrêts quand on a gagné. C’est vrai que ça nous fait prendre un point. C’est bien pour moi, je suis fier d’avoir aidé l’équipe. Je me suis donné à fond, j’ai tout donné. » « On a fini lessivés » Vous avez été ambitieux toute la saison, mais il y a des matchs qui ont été un peu plus importants que d’autres… « Il y a le match à Monaco (1-4) en début de saison. Il nous fait prendre conscience qu’on peut faire de belles choses. Il y a Rennes derrière, quand on gagne à la maison (2-1). Quand tu gagnes ces matchs-là, même si toutes les équipes ne sont pas rodées, ça montre la marche à suivre pour voir ce qu’il reste à faire pour continuer à performer, sachant que nous, on n’avait pas l’Europe cette saison. En jouant une fois par semaine, on arrivait le samedi beaucoup plus frais que certaines équipes. Ça nous a montré l’exigence à avoir sur ce genre de matchs. Il faudra la reproduire la saison prochaine, en Ligue des champions et en Ligue 1. » À lire aussi ÉDITO. Un exemple, à plusieurs titres Dans quel état physique et nerveux avez-vous terminé la saison ? « On a fini lessivés. Quand tu n’as pas l’habitude de jouer le haut du tableau à ce point-là… Après ma première sélection, c’était la première saison où je n’avais pas de coupure, entre guillemets. J’ai eu un petit coup de pompe qui montre que j’ai grandi. J’en ai parlé à ma famille, avec Hervé (Sekli) pour trouver une solution, la saison n’était pas finie. C’est qu’on a fini sur les rotules, on a beaucoup donné. Quand je finissais les matchs, j’étais K.-O., c’est la tension des matchs. Et plus on approchait de la fin, plus la tension montait, ça demandait beaucoup de jus. C’est bien, ça me donne envie de revivre ces sensations la saison prochaine. J’espère y être encore, ça voudra dire qu’on réalise de belles choses encore. Et si je dois finir encore plus fatigué, eh bien je finirai plus fatigué. Ce sont des saisons comme ça qui prennent beaucoup d’énergie. »