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Lmarco

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Tout ce qui a été posté par Lmarco

  1. La réponse c'est Pouille qui la donne : Un budget bâti sur le cocktail explosion des droits TV + inflation de la valeur de l'effectif.
  2. Je pense effectivement que l'inflation va doucement s'éteindre malgré des sursauts mais Fofana a été acheté 10M€ et non pas 80M€ comme Havertz à Chelsea. Lens peut encore espérer le revendre dans ces eaux s'il réalise des performances comme il en faisait en Série A, où il était très compétitif dans certains secteurs (cf les stats plus haut ou l'impression générale qu'il laissait sur certains matchs tout en percussion et en domination balle au pied). L'enjeu aujourd'hui c'est pas de dire "le marché s'effondre, tant pis, il vaudra plus que 2M€ même s'il fait une saison de folie" mais d'espérer qu'il revienne à son meilleur niveau pour maintenir le plus haut possible sa valeur au regard du prix d'achat, qui représentait un investissement massif pour Lens. Qui est un club au budget limité et avec peu de possibilités de ventes élevées en dehors du trio Badé - Doucouré - Ganago. Badé si demain sa valeur supposée s'écroule, puisqu'il n'a rien coûté ça restera une superbe affaire financière, tout comme Doucouré. Mais Fofana et dans une moindre mesure Ganago d'ailleurs, c'est différent car il y aura eu un investissement initial et un engagement fort de la direction, dont on peut douter qu'elle accepte sans sourciller de voir disparaître cet investissement et d'éponger une fois de plus. Le marché étant justement en train de changer, les joueurs de 10-15M€ peuvent encore se vendre s'ils sont décisif et très en vue alors qu'un joueur que son club voudrait vendre 50M€ ou même plus de 100M€, ça va devenir plus compliqué effectivement. Pour le moment le marché se régule en commençant par le "haut du panier" et la réduction progressive des supers transferts. L'été dernier, ils ont été très limités en Europe (20 opérations supérieures à 30M€ dont "seulement" dix au-delà des 50M€) alors que les transferts de 10 à 20M€ sont restés légion. Il n'y a d'ailleurs eu quasiment que des tops clubs européens en terme de budget concernés par les transferts au-delà de 30M€ (Barça, Tottenham, Chelsea, PSG, Juve, Naples, City, Atletico, Bayern, Inter, Man Utd) à l'exception de Leicester (Weisley Fofana), Wolverhampton (Fabio Silva) et Lille (Jonathan David). Et pour les deux derniers cités, c'était dans le cadre de politiques générales de trading sous l'impulsion de Mendes pour les Anglais et de feu Campos pour les Lillois. Le vrai changement de fond il est là pour le moment, un marché resserré des gros, qui dépensent moins en montant et en nombre et irriguent moins le marché. Quand le marché va-t-il complètement se retourner et les principaux acteurs vont-ils le laisser se calmer ou être régulé ? On verra mais un retour en arrière sera difficile. Donc c'est maintenant ou jamais, il faut que Fofana se réveille lors des six prochains mois. Pour déjà réaliser une saison 2021-2022 accomplie sportivement mais aussi retrouver une partie de sa valeur car on imagine bien qu'Oughourlian à terme pourra pas déverser 40, 50, 80M€ à perte dans ce club. Il a déjà été clair là-dessus même s'il a fait l'effort l'été dernier. Mais en budgétisant des droits TV disparus depuis et en misant sur des joueurs qui par définition s'amortissent dans le temps et représentent des valeurs marchandes. Il y a des clubs qui peuvent assumer que leur effectif ne vaille plus grand chose mais ne souhaitons pas cela à Lens trop tôt, le modèle économique du club ne semble pas encore complètement prêt. Peut-être que dans un an, après le maintien et le dégraissage, avec une vente correcte (Badé ou Doucouré), l'horizon sera dégagé et Lens pourra se permettre de brader Fofana juste au-dessus de sa valeur résiduelle à amortir. Pour le moment, on n'a pas ces données en tout cas.
  3. Sauf que l'été dernier, ces 10M€ ont représenté l'un des plus 10 gros investissements de L1, dans un marché qui s'est effondré quasiment de moitié en valeur globale en France (d'un peu plus de 700M€ d'achats à l'été 2019 à 400M€ l'été dernier) : Icardi - 50M€ Jonathan David - 27M€ Doku - 26M€ Paqueta - 20M€ Volland 15,5M€ Guirassy - 15M€ Disasi - 13M€ Terrier - 12M€ Toko Ekambi - 11,5M€ Fofana, Alfred Gomis, Habib Diallo, Adrian Grbic - 10M€ Hors clubs phares de l'élite (PSG, Lyon, Monaco, Lille, Rennes), c'est tout simplement le plus gros investissement de Ligue 1 avec Grbic à Lorient, pour deux promus aux budgets millimétrés. La problématique n'est pas tant de comparer avec des clubs aux moyens démesurés mais de constater qu'un achat sur le marché des transferts a des conséquences comptables et qu'une valeur fortement dépréciée de Fofana pénaliserait le club en le privant de revenus potentiellement élevés à la revente. Certes, il y a toujours Badé voire Doucouré et Ganago à revendre mais à eux trois ils n'ont coûté que 6M€ au club donc la bascule sera a priori très positive avec eux. Le marché des transferts au niveau mondial est d'ailleurs en plein ralentissement et comme il était en grande partie drivé par les dérives de la Premier League, c'est sans doute un coup d'arrêt définitif à son inflation illimitée. L'été dernier les transferts ont chuté au-dessus des 3 milliards à l'échelle européenne dont un tiers rien que grâce aux clubs anglais (41% de recul en Europe en un an) et ça ne risque pas de s'arranger avec la saison que l'on vit actuellement. Pour la première fois depuis 2015, aucune transaction au-delà des 100 millions d'euros n'a été enregistrée en 2020. Les deux clubs qui ont le plus dépensé restent anglais (Chelsea à 250M€ dont 80M€ sur Havertz devant City 150M€, mais les Blues sortaient de leur interdiction de transfert et continuaient à pouvoir vendre leurs prêtés à tour de bras ce qui va bientôt prendre fin avec les régulations FIFA à venir), mais leur niveau de dépenses risque de s'éteindre avec les difficultés réglementaires liées au Brexit. La principale inquiétude c'est qu'avant même le Brexit les clubs français voyaient déjà une chute considérable de leurs ventes (premier solde négatif des transferts depuis 2017, l'été dernier, avec 57M€ de pertes pour 14 clubs sur 20 en négatif sur leurs opérations de transferts dont Lens). Le système de trading intensif que l'on a connu arrive peut-être doucement à son terme. Donc il serait rassurant de voir le joueur le plus cher de l'histoire du club ne pas voir sa valeur intrinsèque déjà s'effondrer avant même d'être sur le marché.
  4. Avec le coût de son transfert, tout le foin qui a été fait autour de sa signature et le fait qu'un promu puisse aligner un bon potentiel de Série A (Fofana) avec l'un des meilleurs meneurs de L1 (Kakuta), les attentes sont forcément démesurées chez beaucoup de supporters. Le problème avec lui de toute façon on le connaît depuis le début et Dony l'a bien résumé. C'est un joueur qui se projette, qui prend des risques et qui a du déchet, il n'est pas fait pour une équipe de possession qui attendrait de lui un rôle complet et fiable. Beaucoup de supporters se trompent en pensant que c'est un joueur capable de prendre le jeu à son compte et dicter le tempo du match, en apportant en plus de la présence défensive et des duels gagnés. A ce stade, là où il doit plus apporter c'est effectivement en étant plus décisif dans les 30 derniers mètres, y compris sur les fameuses "passes clés" par exemple. Comme il l'a fait en Série A dans une équipe pourtant limitée et un championnat verrouillé tactiquement. C'est ce pourquoi il vaut autant, sa capacité comme Kakuta à être un joueur au-dessus de la norme qui va débloquer certaines situations. Dans les autres secteurs de jeu, il est moyen depuis toujours (duels défensifs, récupération, construction du jeu). Il a 6 mois pour trouver du rythme et des automatismes et maintenir sa valeur marchande (ce qui est aussi un enjeu majeur pour le club à moyen terme).
  5. 622M€, soit le total le plus faible depuis 20 ans ! Et ce, uniquement si la LFP réussit à maintenir le lot 3 à 300M€ et à vendre 250M€ le lot de Mediapro.
  6. L'info initiale vient de... BuzzSport, qui part du principe que le PSG n'aurait pas d'intérêt à le faire revenir l'an prochain. C'est un peu léger à ce stade quand même. On verra ce qu'il en est dans les prochaines semaines, puisque la VdN confirmait la volonté de Lens d'essayer de le garder.
  7. Tout dépend de la stratégie de Liverpool sur les jeunes joueurs. Les clubs anglais sont désormais interdits de recruter des joueurs de moins de 18 ans (alignement sur les réglementations FIFA) et sur ce mercato de janvier ils sont limités à trois joueurs de -21 ans. Il faut aussi prendre en compte que Liverpool a besoin de renfort dès ce mercato avec les blessures en défense centrale de Van Dijk (opéré fin octobre donc out jusque mars / avril), Gomez (opéré du tendon du genou et forfait plusieurs mois) et Matip (actuellement blessé aux adducteurs), ce qui obligeait Klopp à aligner hier Fabinho et Henderson en défense centrale avec aucune solution de rechange aguerrie.
  8. Oui mais le nombre de matchs de L1 ne suffira pas, surtout que chaque championnat est coefficienté.
  9. Ca marche pas comme ça malheureusement pour lui.
  10. Si c'est pour une poignée d'affiches, aucun intérêt.
  11. Il y aura surtout des dépôts de bilan.
  12. "Ne resterait donc plus en cours, en février prochain, que le lot acquis par Free pour 50 M€ annuels qui permet à ses abonnés de visionner en quasi-direct les buts et les meilleurs moments des matches du Championnat de France." Bonne chance aux dirigeants de clubs.
  13. BeIn annonce vouloir renoncer à son lot aussi. RIP le foot français, bravo la LFP.
  14. Ce qui signifie qu'en acceptant un diffuseur gratuit, la LFP validerait le discours de Canal et BeIn selon lesquels la valeur de la L1 a été grandement dévalorisée. Sachant qu'un appel d'offres prendra sans doute 2 à 3 mois selon les spécialistes (a priori impossible à boucler juridiquement en un mois) et que M6 ne retransmettrait "que quelques rencontres", la L1 y perdrait encore en visibilité ce qui là aussi alimentera mécaniquement un appel d'offres à la baisse. Une bonne pub pour M6 cette proposition grotesque mais aucun intérêt pour le football français. Tout l'intérêt maintenant est de savoir si juridiquement la LFP pourra ne remettre en jeu que le lot de Mediapro ou devra finir par relancer l'ensemble de l'appel d'offres. Le gros risque, dans le premier cas, c'est que Canal n'ait pas envie d'acheter un lot comportant autant de matchs (merdiques) et ne formule aucune offre. Sachant qu'aujourd'hui, aucun diffuseur en France n'a les moyens de rentabiliser cet achat. Sauf acteur surprise qui viendrait parier à perte sur un produit d'appel de moins en moins attractif, la LFP prend le risque de lancer un appel d'offres... sans enchérisseur. Si tel étais le cas, comme dit plus haut elle court le risque de retourner 20 ans en arrière en terme de revenus télévisés avec des centaines de millions d'euros de perte à venir. Ce sera la mort actée de la compétitivité voire la pérennité de nos clubs.
  15. Manchester cherche à renforcer 4 postes dont celui de défenseur central mais effectivement les pistes qui fuitent sont extrêmement nombreuses. Et si le club semble prospecter de jeunes potentiels pour le mercato d'hiver en plan B, a priori ils visent plutôt un défenseur de niveau international l'été prochain (où des joueurs comme Ramos et Alaba seront libres), lorsque Rojo sera en fin de contrat et que le ménage sera fait parmi les doublures (dernière année de contrat de Bailly, deux dernières années de contrat de Jones qui ne joue plus depuis bientôt deux ans, Fosu Mensah qui vient de signer à Leverkusen et Smalling prêté l'an dernier qui a été transféré définitivement). Je vois pas trop ce que Medina apporterait, sachant que parmi les joueurs supervisés on trouve Upamecano, Koulibaly, Koundé, et Milenkovic qui a déjà passé les 100 matchs avec la Fiorentina et près de 30 sélections avec la Serbie à 23 ans. Et le problème c'est encore une fois le Brexit. Les joueurs évoluant encore en Amérique du Sud pourraient, pour certains, obtenir un permis de travail plus facilement que ceux évoluant dans des championnats européens hors top 4 (notamment les non internationaux basés en EU), parce que la Copa Libertadores et la Copa Sudamericana apportent beaucoup de points dans le nouveau mode de calcul, y compris en U20, tout comme les championnats brésiliens, argentins et colombiens. Mais Medina évolue aujourd'hui à Lens, en France, et même s'il a gagné le Conmebol 2020 il ne compte qu'une sélection en A.
  16. En 2018-2019, seuls 8 clubs ont réalisé plus de 2M€ de bénéfices dont deux ne sont plus en L1 (Amiens et Toulouse) et l'on mettra de côté le cas du PSG. La perte nette du foot français était alors de 160M€. En 2019-2020, la perte se projetait autour de 116M€ mais avec la crise elle a atteint 289M€ après les auditions DNCG de juillet, principalement grâce aux aides du gouvernement qui sont un couperet qu'il faudra rembourser. Certains clubs comme l'OL présentent d'ailleurs une vision plus précise de leurs pertes qui laisse imaginer le désastre à venir (Aulas chiffre les pertes à 100M€ l'an passé rien que pour son club, qui a fini en déficit net de 36M€ avec un recul de 40% de l'excédent brut d'exploitation et des produits d'activité à -12%, l'obligeant à porter temporairement la réserve de sa ligne RCF à 115M€ jusqu'au 31 janvier 2021). Cette saison, si l'on ajoute la crise + les droits TV, la situation va encore se dégrader nettement. La DNCG évoquait ces derniers jours des pertes proches de 800M€ en fin de saison (et ce avec une hypothèse à 730M€ de droits TV !), notamment avec les politiques de trading qui ne pourront pas elles non plus apporter les revenus habituels : Les clubs français ont très peu vendu l'été dernier (environ 470M€), sachant que plus de 20% du total était grâce au LOSC et qu'en sens inverse ils ont quand même investi 449M€. Feront-ils mieux l'été prochain avec le Brexit et l'explosion financière de certains gros clubs ? Il va falloir redescendre sur terre effectivement.
  17. Je suis 100% d'accord mais on en prend guère le chemin, il faut espérer un électro-choc. Les clubs préfèrent passer leur temps à pleurnicher sur le niveau de cotisations en France ou l'absence d'aides de l'état (qui vient pourtant de réintroduire le successeur du DIC pour encore et encore exonérer le foot...).
  18. Pierre Maes, consultant en droits TV : Si vraiment il y a nouvel appel d'offre et qu'on passe sous la barre du demi-milliard par saison, on va pouvoir commencer à compter les clubs qui vont disparaître du monde professionnel s'ils ne prennent pas des mesures draconiennes ? Pour rappel, sur la période 2004-2008 c'était 650M€ / an, en 2008-2012 c'était 668M€, en 2012-2016 607M€, en 2016-2020 726M€ et cela aurait dû être plus d'un milliard sur la période 2020-2024. Il faut remonter près de 20 ans en arrière pour trouver des droits TV aussi faibles (les 1,2 milliards de la période totale 1999-2004 qui marquaient la première explosion de l'histoire avec l'arrivée de TPS).
  19. 380 matchs par saison pour aller chercher au moins 700M€ (soit un recul par rapport à 2016-2020), ça ne peut pas être un modèle économique pour notre foot français aux audiences limitées. En se basant sur une moyenne à 50 000 achats par match individuel, le match couterait 36 € hors frais techniques de la chaîne. 50 000 par match, à la journée ça fait 500 000 téléspectateurs, soit l'équivalent des audiences actuelles pour des matchs bien plus attractifs sur le papier même si pas forcément très sexy (environ 635k le match du samedi soir de Canal et 460k le dimanche en fin d'après-midi ; moins de 500k abonnés pour Mediapro selon les indiscrétions externes à la chaîne). Sans oublier que si c'est géré par la LFP, ce sera en basse qualité donc tous les adeptes du streaming ou des solutions "alternatives" n'auront plus aucun intérêt à s'abonner, surtout avec le risque des problèmes techniques au lancement. A moins de vendre plusieurs dizaines d'euros le match pour financer la chaîne et de faire du pay-per-view digne des combats de Holyfield ou Mayweather, les clubs seront forcément perdants. C'est sans doute pour ça que la LFP voit ça comme une solution pansement à court terme, sur 2 à 3 mois. Cela signifie que cette saison est quasiment morte financièrement, puisqu'un appel d'offres ne porterait au mieux que sur la fin de saison et moins de 8 journées. Pour le moment, on se dirige vers 615,4M€ de revenus sur la saison (sous réserve que BeIn reprenne le versement de la licence à 330M€) au lieu de 1,23 milliard d'euros. La solution de PPV de la LFP ne dégagera sans doute quasiment aucun recette en raison des coûts et du faible nombre d'abonnés à prévoir, donc les clubs n'ont plus qu'à espérer un lot de consolation complémentaire avec les 8 ou 5 dernières journées de la saison vendues dans un nouvel appel d'offres... Ca ne pèsera pas lourd si on en reste au huis clos.
  20. La fin du mirage financier :
  21. C'est de la chute libre ou de l'apnée no limit, au choix.
  22. La LFP a multiplié les fautes quand même et s'est vue trop forte, trop belle. Tous les présidents de clubs à genoux pour supplier l'arrêt du championnat n'ont également pas fini de le payer... Tout ceci est fort regrettable, on pouvait voir le verre à moitié plein ou vide pour le football français mais il avait quelques atouts et tenté de lancer une dynamique, là il ne va rester qu'un champ de ruines et ne parlons même pas du cataclysme qui se prépare chez les clubs amateurs. Vaste cirque, vaste clownerie qui ne fait plus rire personne. Que va-t-il rester du football français d'ici la fin de l'année hormis une EdF sous perfusion de ses stars quasiment intégralement basées à l'étranger ? Quel gâchis. Des leçons en seront-elles tirées au moins ? Il va falloir rapidement oser porter ses cou*** et réduire la voilure du nombre de clubs pros, accompagner réellement le foot amateur financièrement et structurellement et imposer un niveau de vie plus en rapport avec les revenus hors transferts. Le foot étranger va pouvoir venir piller joyeusement nos clubs bientôt à genoux.
  23. Sachant que son contrat avec Lens se termine en juin 2023, que Valenciennes fait l'objet d'une masse salariale encadrée par la DNCG (qui avait même encadré les transferts l'an dernier) et que le changement d'actionnaire est toujours suspendu au VAFC, ce doit être assez symbolique l'option d'achat. En tout cas une bonne décision pour le joueur.
  24. Tout à fait d'accord sur cette gestion des gardiens, déjà évoquée depuis plusieurs mercatos. Avec Vincensini et Belon prêtés mais en fin de contrat, Desprez libéré et un Farinez qui ne joue jamais, la rumeur de la prolongation de Leca ne facilite pas la compréhension d'une éventuelle stratégie à ce poste. Certains parlent déjà de Pandor en numéro deux, qui avait signé en mai 2018 en provenance des U17 d'un club amateur marseillais, mais il aura 20 ans en fin de saison et il compte seulement une poignée de matchs de N2 (10 ?) depuis son arrivée avec le contexte sanitaire.
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