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West'ier

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Tout ce qui a été posté par West'ier

  1. RC Lens : Abdukodir Khusanov, 20 ans et tranquille comme un taulier Avant le match de ce samedi soir à Bollaert contre Nice, le défenseur central Ouzbek du RC Lens s’est confié après huit mois au club. Au sein d’une grosse concurrence, Abdukodir Khusanov a réussi à se faire une petite place et à montrer des qualités physiques et footballistiques indéniables. Il a la parole aussi rare que le coup d’épaule est viril, Jonathan David et quelques autres y ont goûté. Sûrement surpris par autant d’assurance chez un jeune joueur. Kodir (1,88 m, 10 sélections), comme on l’a vite surnommé à la Gaillette, maîtrise tout juste les rudiments de français pour s’orienter sur un terrain, « à gauche, à droite, devant, derrière », qu’il les compile sur un petit carnet. « Merci, et de rien », ajoute Jonathan Gradit. Les conseils du père Taiseux, donc, mais de toute façon, Abdukodir Khusanov n’est pas un expansif. L’antithèse d’un Facundo Medina. Mais la même volonté. Ce qui l’importe, c’est où il veut aller et les moyens qu’il met en œuvre. De ce côté-là, il se montre bluffant. Son père, Khikmat, est un ancien footballeur pro et international à 12 reprises. Un défenseur aussi. Les petits jeux entre père et fils ont dû forger les fameux coups d’épaule du fiston. Ses conseils ont surtout été précieux tout au long de ses jeunes années. « Il me faisait une analyse assez précise des différents matchs en me disant : ça, c’est bien, ça c’est pas bien », confie le garçon qui, à 17 ans, a rapidement quitté le foyer familial de Tashkent pour rejoindre la Biélorussie et l’Energetik Minsk, 4 000 kilomètres plus loin. « J’ai rencontré quelqu’un en Ouzbékistan qui m’a dit qu’il fallait jouer en Biélorussie. Mais là-bas, on a considéré que j’étais trop jeune et je ne pouvais pas jouer. À 18 ans, j’ai pu jouer enfin. Le problème, c’est que j’ai le football dans la tête, je m’entraînais, je m’entraînais, mais je ne pouvais pas jouer, c’était long. » Quand finalement on l’a mis sur le terrain, il n’a plus quitté sa place de titulaire. « Quand j’ai joué en Biélorussie, une femme nous coachait et me prenait à part pour me donner des cours et me préparer à jouer pour des compétitions européennes de l’Ouest, donc je me sentais prêt. » Parce qu’il poursuit un objectif : jouer en Europe, « c’est mon projet, je l’ai en tête depuis que j’ai 16 ans. ». La Ligue des champions, elle, ce n’est même pas un rêve, mais une destination qui se (re)présentera rapidement. « J’y pensais déjà, je l’avais dans un coin de ma tête et je m’étais dit, un jour : je jouerai à ce niveau-là. Mon idée était de jouer en Europe et je savais que je finirais par y arriver. » Le cocon lensois Lens a été le seul club à se présenter l’été dernier. « J’ai trouvé que c’était bien. J’en ai parlé à tout le monde, mais c’est seulement après que les parents et les amis ont appris que j’étais parti. » À Lens, il découvre un cocon très bienveillant. Si le traducteur omniprésent au départ s’est effacé, il a trouvé avec Neil El Aynaoui, un compagnon attentionné alors que Przemyslaw Frankowski peut échanger quelques mots de russe avec lui. Malgré cette barrière immense de la langue, Khusanov ne ressent aucune solitude. « Je communique avec ma famille. Mes parents sont déjà venus, ma mère (Makhfuza) m’apporte des plats du pays. Ici, j’ai goûté aux spécialités locales. Je me suis relativement facilement habitué à la vie lensoise. » Rien ne le surprend, rien ne semble le perturber. Et il s’est fondu dans la vie comme dans l’effectif et le système de jeu avec une facilité confondante. Preuve aussi d’un QI football plutôt solide. Jonathan Gradit Dans l’effectif, il a surpris tout le monde par son adaptation express. « Il observe beaucoup notre façon de jouer, note Jonathan Gradit. Le duel est inné chez lui, il est combatif, même balle au pied. Il fait beaucoup d’efforts, il a une grosse force d’observation. C’est un joueur qui comptera dans les années à venir, il a beaucoup de qualités, et un profil rare dans l’agressivité. » Lui, avance sans se poser de question, jamais stressé, que ce soit pour ses premières minutes en Ligue 1 (titulaire lors de la 5e journée) ou en Ligue des champions. « Je n’ai pas de préparation spéciale, s’il faut jouer, il faut jouer. Je sais que tout va aller de mieux en mieux, je m’améliore en jouant ici. » Aucun état d’âme. Jouer et jouer, pour un jour rejoindre l’Espagne ou l’Angleterre. Voix des Sports
  2. Incompréhensible, encore plus quand on voit les maillots des autres nations globalement tous biens réussis : https://www.maillots-foot-actu.fr/maillots-euro-2024-designs-tendances-et-equipementiers-a-la-loupe
  3. https://www.lefigaro.fr/sports/football/coupe-de-france/psg-nice-un-mini-tifo-pro-om-dans-les-tribunes-du-parc-des-princes-20240314 Génies
  4. West'ier

    Lens - Nice / J26 / 16-03-24

    Marcin Bulka (Nice) incertain pour affronter Lens Victime d'une fracture du nez sans déplacement de la cloison nasale en quart de finale de Coupe de France à Paris, mercredi soir (1-3), le gardien niçois Marcin Bulka est incertain pour le déplacement à Lens (26e journée de L1) samedi. Le gardien niçois Marcin Bulka, blessé mercredi en quart de finale de Coupe de France à Paris (1-3), a été victime d'une fracture du nez sans déplacement de la cloison nasale et est incertain pour le déplacement à Lens (26e journée de L1) samedi. Bulka, touché dans un contact avec son coéquipier Pablo Rosario (64e), était resté sur la pelouse jusqu'à la fin du match. Il a effectué depuis des examens qui ont confirmé une « fracture du nez sans déplacement de la cloison nasale, a indiqué à l'AFP le club azuréen. Une opération n'est à ce stade pas envisagée. » Possibilité de jouer avec un masque de protection En cas de titularisation, il « portera un masque de protection », a encore précisé le club. Quand Bulka s'est blessé, l'arbitre de la rencontre M. Letexier ainsi que le médecin de l'OGC Nice ont respecté le protocole commotion qui n'a révélé aucune commotion du joueur, ce qui lui a permis de finir le match. La délégation niçoise, qui a quitté Paris jeudi en fin de matinée, s'est installé en Belgique, près de Bruxelles, où elle va préparer la rencontre à Lens. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Marcin-bulka-nice-incertain-pour-affronter-lens/1454707
  5. La liste de Thierry Henry avec les moins de 23 ans : sans Cherki ni Tel, mais avec Chevalier et Thuram Le sélectionneur de l'équipe de France des moins de 23 ans a convoqué 23 joueurs pour le rassemblement de mars, le dernier avant les Jeux Olympiques. Cette liste est marquée par l'absence de Rayan Cherki, mais aussi le retour de six joueurs nés en 2001, dont le Lillois Lucas Chevalier et le Niçois Khephren Thuram. Dans la foulée de l'annonce de la liste des A par le sélectionneur Didier Deschamps, au tour de celui des moins de 23 ans, Thierry Henry, de révéler la sienne pour le rassemblement de mars. Cette dernière séquence de travail avant les Jeux Olympiques est marquée par les convocations de six éléments de la génération 2001, dont le gardien de Lille Lucas Chevalier, et le milieu de terrain niçois Khephren Thuram. En revanche, le Lyonnais Rayan Cherki n'a pas été convoqué, ni le Munichois Mathys Tel. « Tout sauf une punition » pour ces deux joueurs en « manque de temps de jeu », a répété Henry au micro de la chaîne L'Equipe. Les moins de 23 ans français vont disputer deux matches amicaux de suite, face à la Côte d'Ivoire (le 22 mars à 18h30) et les États-Unis (le 25 mars, à 21h05). Les deux derniers tests avant d'aborder le tournoi des Jeux Olympiques, dont le tirage au sort aura lieu le 20 mars. La liste des moins de 23 ans Gardiens : Lucas Chevalier (Lille), Guillaume Restes (Toulouse), Obed Nkambadio (Paris FC/L2). Défenseurs : Killian Sildillia (Fribourg/ALL), Bafodé Diakité (Lille), Malo Gusto (Chelsea/ANG), Castello Lukeba (RB Leipzig/ALL), Maxime Estève (Burnley FC/ANG), Lenny Yoro (Lille), Adrien Truffert (Rennes), Bradley Locko (Brest). Milieux : Maghnes Akliouche (Monaco), Joris Chotard (Montpellier), Andy Diouf (Lens), Désiré Doué (Rennes), Manu Koné (Borussia Mönchengladbach), Enzo Millot (Stuttgart/ALL), Khephren Thuram (Nice). Attaquants : Bradley Barcola (Paris-SG), Arnaud Kalimuendo (Rennes), Georginio Rutter (Leeds/D2 ANG), Wilson Odobert (Burnley FC/ANG), Elye Wahi (Lens).
  6. Un mois et demi après avoir rendu son tablier de manager général du RC Lens, revenant à ses prérogatives initiales d’entraîneur, Franck Haise estime avoir fait le bon choix. Explications. Une réorganisation nécessaire C’est une information qui avait agité la sphère lensoise le 31 janvier dernier et suscité pas mal d’extrapolation. Un peu plus d’un an après avoir été nommé manager général du RC Lens, suite au départ inattendu et précipité de Florent Ghisolfi à Nice, Franck Haise décidait de se « recentrer sur le terrain » en réduisant ses fonctions au simple champ d’action de l’équipe première masculine. Jusqu’ici, le Normand avait pour mission « gérer les destinées sportives de toutes les composantes du Racing », y compris auprès de l’équipe féminine et du centre de formation. « On le voyait pris par beaucoup de choses aussi au club, il était souvent en réunion aussi, témoigne Jonathan Gradit. Forcément, cela a dû l’alléger d’un poids de pouvoir se reconcentrer sur son rôle d’entraîneur. » Un point de vue sur lequel abonde le principal intéressé, Franck Haise plus que jamais persuadé de la pertinence de ce choix fort : « Je pense que c’était une bonne chose de le faire. C’est pas que je le pense, j’en suis sûr. J’en étais déjà sûr avant de prendre la décision, a affirmé l’entraineur du RC Lens, ce jeudi en conférence de presse. Il fallait que je me ménage pour donner une énergie positive autour de moi, éviter d’être trop fatigué ou irritable par séquences.« Un choix validé avec le temps « Je ne regrette pas d’avoir fait ce choix. Je suis même très heureux d’avoir fait ce choix-là« , poursuit le coach du RC Lens qui précise aussi avoir gardé certaines des prérogatives obtenues lors de sa promotion en octobre 2022. « Avant, j’avais déjà mon mot à dire sur le recrutement, les entrées et les sorties, mais j’ai encore un peu plus d’informations qu’avant. Je suis aussi resté dans le comité de direction, je suis la seule personne du sportif dans le codir (ndlr : comité de direction), une prérogative que je n’avais pas avant d’être manager général, rappelle-t-il. Je serai aussi invité au comex (ndlr : comité exécutif). Il est possible que j’y passe. » Alors que son avenir suscitait certaines inquiétudes il y a encore quelques semaines de cela, avec la rumeur lancinante d’un possible départ à Rennes, Franck Haise semble plus que jamais concerné par le projet lensois, où il est sous contrat jusqu’en juin 2027. Toujours avec le titre de manager de l’équipe première. « Quand on est joueur, on rêve d’avoir un coach comme ça. C’est quelqu’un de très proche de ses joueurs, c’est un plaisir d’évoluer avec lui au quotidien« , conclut Jonathan Gradit, qui précise que cet intermède en tant que manager général n’avait rien changé au fonctionnement de Franck Haise. Qui a donc simplement récupérer encore un peu plus de temps pour le terrain et la quête d’une nouvelle qualification européenne. https://le11hdf.fr/rc-lens-franck-haise-est-tres-heureux-davoir-fait-ce-choix/
  7. La liste de l’équipe de France : Gardiens : Alphonse Areola (West Ham), Mike Maignan (AC Milan), Brice Samba (RC Lens) Défenseurs : Jonathan Clauss (OM), Lucas Hernandez (PSG), Theo Hernandez (AC Milan), Ibrahima Konaté (Liverpool), Jules Koundé (Barcelone), Benjamin Pavard (Inter Milan), William Saliba (Arsenal), Dayot Upamecano (Bayern Munich) Milieux : Eduardo Camavinga (Real Madrid), Youssouf Fofana (AS Monaco), Adrien Rabiot (Juventus) Aurélien Tchouameni (Real Madrid), Warren Zaïre-Emery (PSG) Attaquants : Ousmane Dembélé (PSG), Moussa Diaby (Aston Villa), Olivier Giroud (AC Milan), Antoine Griezmann (Atlético de Madrid), Randal Kolo Muani (PSG), Kylian Mbappé (PSG), Marcus Thuram (Inter Milan)
  8. Affluences, audiences, réseaux sociaux… ça tourne au fiasco pour la Saudi Pro League ! Prête à tout pour révolutionner la planète football, l’Arabie saoudite n’a pas hésité à investir, au cours des derniers mois, des milliards d’euros pour attirer les plus grandes stars européennes. Pour autant, ces investissements XXL ne se concrétisent toujours pas sur le terrain médiatique… «La Ligue saoudienne n’est pas pire que la Ligue 1. La Saudi Pro League est plus compétitive que la Ligue 1, je peux le dire après un an passé là-bas. Nous sommes déjà meilleurs que le Championnat français maintenant. (…) Ils peuvent dire ce qu’ils veulent, je sais ce que je dis. C’est mon avis». Voici ce que déclarait Cristiano Ronaldo à l’occasion de la cérémonie des «Globe Soccer Awards» en janvier dernier. Pourtant, malgré le discours tranché du quintuple Ballon d’Or, aujourd’hui sous les couleurs d’Al-Nassr, force est de constater que l’opération séduction vire, pour l’heure, au fiasco. Nouvel eldorado du football mondial, le championnat saoudien avait pourtant décidé de frapper un grand coup en révolutionnant les codes du marché des transferts depuis plusieurs mois. Au total, lors du dernier mercato estival, la SPL a ainsi déboursé 957 M$, soit un peu plus de 873 M€… Des investissements colossaux permettant aux dirigeants du Golfe d’attirer de nombreux talents d’Europe. Des audiences inférieures à la National ! Après Cristiano Ronaldo, la Saudi Pro League compte désormais dans ses rangs Karim Benzema, Sadio Mané, Seko Fofana, Roberto Firmino, Edouard Mendy, Allan Saint-Maximin, Riyad Mahrez, Neymar, Kadidou Koulibaly, Yassine Bounou, Sergej Milinkovic-Savic, Fabinho ou encore N’Golo Kanté, pour ne citer qu’eux. Un parterre de stars offrant logiquement aux décideurs saoudiens de très belles perspectives pour le développement du championnat saoudien à l’échelle internationale. Un projet séduisant poussant, par ailleurs, Canal + à mettre la main sur les droits TV de la SPL pour les deux prochaines saisons, à savoir 2023-2024 et 2024-2025. Oui, mais voilà, malgré ces milliards investis, l’arrivée de joueurs de classe mondiale, pour la plupart ambassadeurs sur les réseaux sociaux, et l’entrée de nouveaux diffuseurs, la mayonnaise ne prend pas. Vendredi 1er mars, à 18 heures, l’affiche de la 22e journée de Saudi Pro League entre Al-Hilal et Al-Ittihad (3-1) n’a ainsi attiré que 5 000 téléspectateurs sur Canal+ Foot selon L’Equipe… Une audience nulle en parts de marché (non comptabilisée par Médiamétrie, ndlr) et six fois moins importante, en nombre de téléspectateurs, que le match de National opposant Rouen à Sochaux (1-0), diffusé le 4 mars dernier sur la même chaîne et au même horaire. Un flop médiatique confirmant la dynamique négative depuis le début de la saison. En effet, sur quarante rencontres de SPL retransmises, Canal + aurait, jusqu’alors, réalisé une moyenne de 15 000 téléspectateurs. Si le quotidien français précise que la chaîne cryptée «n’a pas d’enjeu d’audience pour ce bonus offert aux abonnés», la Ligue saoudienne a, quant à elle, affirmé sa difficulté à fournir des données précises sur ses scores à l’international. «L’obtention d’audiences télévisées précises et complètes, notamment à l’échelle mondiale, constitue un défi de taille, mais cela a été un sujet récurrent dans nos échanges avec nos partenaires et nous essayons d’améliorer notre capacité à recueillir ces données». Malgré des audiences télévisées très décevantes, Peter Hutton, membre du conseil d’administration de la Saudi Pro League, ne s’alarme pas, affirmant que l’audience globale «serait en hausse, particulièrement sur les réseaux sociaux». Affluences dérisoires, impact relatif sur les réseaux sociaux… Des propos, aujourd’hui, difficilement vérifiables, qui plus est en l’absence de chiffres précis. «La Liga compte plus de 200 millions de followers sur les réseaux sociaux. La Ligue saoudienne en a 5 millions (9 millions aujourd’hui). Pour atteindre 200, il faut beaucoup travailler. Au niveau des droits audiovisuels, aux États-Unis, on ne voit pas la Ligue saoudienne ; en Afrique, on ne la voit pas ; en Espagne, elle a été vendue, avec Ronaldo, Benzema et tout ça, pour une somme fantastique de 60 000 euros», ajoutait, à ce titre, Javier Tebas, le président de la Liga, lors du Thinking Football Summit de Lisbonne en septembre dernier. Alors, certes, la diffusion du championnat saoudien se veut grandissante dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) avec l’apparition de nouvelles plateformes mais l’absence de beIN Sports, réseau qatari et rival de l’Arabie saoudite malgré un réchauffement diplomatique certain au cours des derniers mois, se fait bel et bien ressentir. Seuls candidats à l’organisation de la Coupe du monde de football 2034, les Saoudiens n’ont, pour autant, pas prévu de stopper ce projet XXL. Malgré des audiences aux allures de fiasco, les hautes sphères de la SPL entendent bien attirer de nouvelles stars dans les mois à venir, alors que le quota de joueurs étrangers devrait lui passer de huit à dix par équipe la saison prochaine. Outre ces considérations liées au produit télé, ce très faible engouement autour de la Saudi Pro League se vérifie également dans les différents stades saoudiens. Dès lors, si Al-Hilal et Al-Nassr parviennent régulièrement à remplir leur enceinte, les autres formations de SPL rencontrent de grosses difficultés à l’heure de ramener les fans dans les travées. Champion en titre, Al-Ittihad voit ainsi son antre de 62 000 places sonner régulièrement creux. Un flop général poussant Cyril Linette, ancien directeur des sports de Canal +, à imaginer un nouveau scénario plus porteur. «La Ligue devrait adopter un vrai comportement de challenger, jouer à fond la carte de l’entertainment, pourquoi pas avec un aménagement des règles du jeu, des interviews de joueurs pendant les matches, des codes proches du gaming, ce genre de choses… Une compétition comme celle-ci, qui part de zéro, si elle ne crée pas des conditions de différenciation, elle n’a aucune chance de réussir», confiait ainsi l’intéressé pour le quotidien L’Equipe. Non, l’argent ne fait pas tout et la Saudi Pro League va rapidement devoir innover pour (enfin) exister sur la scène médiatique.
  9. West'ier

    Lens - Nice / J26 / 16-03-24

  10. Plus qu'en finale.
  11. West'ier

    Les internationaux lensois

  12. Turpin et Trossard qui discutent ensemble
  13. Pereira Da Costa parmi les 3 nominés n'aurait pas été scandaleux...
  14. West'ier

    Lens - Brest / J25 / 09-03-24

    Il n'y a pas plus belle célébration que de fêter avec son public. Bravo Ruben !
  15. West'ier

    Anciens Lensois

    https://onefootball.com/fr/news/stijn-spierings-apres-ma-periode-a-lens-jetais-abime-39188949
  16. https://www.ligue2.fr/Articles/Interviews/2024/03/06/interview-remy-labeau-lascary?egn-publisher=Twitter&egn-name=Twitter-Source Tu es prêté par le RC Lens. As-tu des contacts avec le club ? J’ai échangé quelques messages avec le coach Frank Haise. Il m’a dit qu’il suivait mes matchs, qu’il était content de mon prêt et que je devais continuer sur cette voie. Après, je ne sais pas du tout de quoi mon avenir sera fait. Je serai fixé lors des entretiens de fin saison !
  17. West'ier

    Anciens Lensois

  18. West'ier

    Lens - Brest / J25 / 09-03-24

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