West'ier

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/1-000-supporters-lensois-attendus-pour-le-derby-a-lille/1457115

Les hostilités semblent lancées.

Ce sera soit la Pologne soit le Pays de Galles comme quatrième sélection dans la poule de l'Equipe de France. Verdict mardi soir.

Si aucun joueur du LOSC n’a été sanctionné par la commission de discipline mercredi soir, le président du club nordiste a été épinglé par l’instance suite à son comportement lors de la défaite des Dogues à Toulouse, le mois dernier. Olivier Létang rattrapé par la patrouille ! Un match ferme et un match de suspension avec sursis de banc de touche, de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles, telle est la sanction infligée à Olivier Létang pour son comportement au coup de sifflet du match Toulouse – LOSC (défaite, 3-1), le 23 février dernier. A noter qu’un spectateur, titulaire d’une licence FFF, a écopé de la même sanction pour « une intrusion sur l’aire de jeu » lors de ce même match. Ainsi, le président du LOSC ne pourra pas assurer ses fonctions officielles lors du derby contre le RC Lens, le 29 mars prochain. Sous la menace d’une suspension, Nabil Bentaleb a – pour sa part – miraculeusement échappé au carton jaune dimanche contre Brest, qui aurait été synonyme de suspension face aux Lensois. Ces derniers seront privés d’Abdukodir Khusanov, suspendu pour accumulation de cartons jaunes. https://le11hdf.fr/losc-olivier-letang-sanctionne-par-la-commission-de-discipline/

Le classement du temps de jeu : 1. Brice Samba : 3 180 minutes (35 matches) 2. Kevin Danso : 2 880 minutes (32 matches) 3. Facundo Medina : 2 699 minutes (31 matches) 4. Florian Sotoca : 2 660 minutes (33 matches) 5. Przemysław Frankowski : 2 370 minutes (31 matches) 6. Jonathan Gradit : 2 322 minutes (28 matches) 7. Salis Abdul Samed : 2 013 minutes (31 matches) 8. Ruben Aguilar : 1 942 minutes (24 matches) 9. Elye Wahi : 1 919 minutes (29 matches) 10. Neil El Aynaoui : 1 643 minutes (26 matches) 11. Adrien Thomasson : 1 349 minutes (29 matches) 12. Angelo Fulgini : 1 331 minutes (30 matches) 13. Andy Diouf : 1 322 minutes (26 matches) 14. David Pereira Da Costa : 1 272 minutes (23 matches) 15. Deiver Machado : 1 003 minutes (17 matches) 16. Nampalys Mendy : 989 minutes (17 matches) 17. Wesley Saïd : 859 minutes (26 matches) 18. Massadio Haïdara : 809 minutes (20 matches) 19. Abdukodir Khusanov : 787 minutes (13 matches) 20. Morgan Guilavogui : 616 minutes (24 matches) 21. Jhoanner Chavez : 500 minutes (8 matches) 22. Faitout Maouassa : 134 minutes (4 matches) 23. Stijn Spierings : 116 minutes (4 matches) 24. Ayanda Sishuba : 58 minutes (6 matches) 25. Julien Le Cardinal : 56 minutes (2 matches) 26. Oscar Cortes : 40 minutes (4 matches)

Parcage autorisé contrairement à l'aller, c'est une bonne chose.

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Mcdonald-s-decroche-le-naming-de-la-l1-pour-30-m-et-8364-par-an/1455977. Le RC Lens, encore une fois précurseur

En comparaison avec les salaires de la saison dernière :

Si plusieurs joueurs susceptibles de partir en sélection vont finalement rester à la Gaillette, comme Facundo Medina, Jhoanner Chavez ou encore Deiver Machado, Franck Haise sera tout de même amputé d’une dizaine d’éléments durant cette trêve internationale. Cela concernera notamment Przemyslaw Frankowski qui jouera sa qualification pour l’Euro avec la Pologne. Parmi les autres titulaires réguliers, Kevin Danso aura le droit à un premier duel contre Yusuf Yazici lors d’un amical entre l’Autriche et la Turquie, seulement quelques jours avant le derby. A noter également les matches de l’équipe de France olympique avec Elye Wahi et Andy Diouf, à quatre mois des Jeux en France. Le calendrier des internationaux : Mercredi 20 mars : 19 heures : France U19 – Belgique U19 (Sishuba), tour élite de l’Euro U19 Jeudi 21 mars : 13 heures : Hong Kong – Ouzbékistan (Khusanov), éliminatoires du Mondial 2026 20h45 : Pologne (Frankowski) – Estonie, match de qualification pour l’Euro 2024 Vendredi 22 mars : 16 heures : Nigéria – Ghana (Abdul Samed), match amical 18h30 : France U23 (Wahi, Diouf) – Côte d’Ivoire U23, match amical 20 heures : Sénégal (Mendy) – Gabon, match amical au stade de la Licorne (Amiens) 22h30 : Comores (Pandor) – Ouganda, match amical Samedi 23 mars : 13 heures : Belgique U19 (Sishuba) – Lituanie U19, tour Elite de l’Euro U19 18 heures : Slovaquie – Autriche (Danso), match amical 21 heures : France (Samba) – Allemagne, match amical Lundi 25 mars : 21h05 : France U23 (Wahi, Diouf) – Etats-Unis U23, match amical 22h30 : Comores (Pandor) – Angola, match amical Mardi 26 mars : 15h30 : Ouzbékistan (Khusanov) – Hong Kong, éliminatoires du mondial 2026 17 heures : Ouganda – Ghana (Abdul Samed), match amical 19 heures : Belgique U19 (Sishuba) – Pays-Bas, tour Elite de l’Euro U19 20h30 : Sénégal (Mendy) – Bénin, match amical au stade de la Licorne (Amiens) 20h45 : Autriche (Danso) – Turquie, match amical 21 heures : France (Samba) – Chili, match amical https://le11hdf.fr/rc-lens-dix-joueurs-en-equipe-nationale-le-programme-complet/

Aguilar sera disponible pour le derby : https://le11hdf.fr/rc-lens-un-suspendu-pour-le-derby-qui-sont-les-joueurs-sous-la-menace-dune-suspension-j26/

Foot (L2) : « Je me suis découvert », admet Rémy Labeau-Lascary, prêté par Lens et en feu avec Laval Prêté par Lens à Laval cette saison, l’attaquant de 21 ans vit une sacrée aventure collective avec le club mayennais, en course pour la montée en L1. Sur le plan personnel, tout va pour le mieux : il valide désormais ses belles performances par une vraie efficacité. Dunkerque, qui se déplace à Laval samedi, ferait bien de s’en méfier. Cette saison, Franck Haise n’avait vu que des séquences des matchs de Rémy Labeau-Lascary. Mais lundi, il s’est posé devant Grenoble – Laval (0-2) pour observer une rencontre où le Guadeloupéen a éparpillé la défense iséroise façon puzzle. Il y a inscrit son troisième but en L2, le troisième en un mois, et a conforté le coach lensois sur la riche idée qu’avait eue le Racing de le prêter cette saison. « J’ai regardé ses trois derniers matchs, a soufflé Franck Haise. Sa rencontre à Grenoble a été excellente. » Apparu 12 fois la saison dernière avec les pros lensois, Rémy Labeau-Lascary fait fructifier son année lavalloise : il a disputé 25 matchs dont 18 comme titulaire. « Ce prêt m’apporte de l’expérience, explique celui qui a augmenté son nombre de séances devant le but pour être plus efficace. J’ai gagné en lucidité. Avant, je me précipitais. J’ai toujours été conscient de mes capacités mais je me suis découvert. » Dans les moments où il peinait à trouver la faille en dépit de belles performances, outre le soutien de ses proches, il a aussi pu compter sur son équipier Malik Tchokounté qui lui a distillé ses conseils. Actuellement, il profite de l’absence sur blessure de l’ex-Dunkerquois pour évoluer en pointe, gonfler ses statistiques et sa confiance. Au point d’espérer revenir à Lens avec un autre statut ? « Je ne sais pas et je n’y pense pas forcément, souffle-t-il. J’ai d’abord une saison à finir avec Laval en L2 et après, on verra. » Et la saison prochaine ? Les différentes parties feront un point à l’issue d’un exercice où il peut ramener Laval dans l’élite 35 ans après l’avoir quittée. « Il lui reste des objectifs avec son club, conclut Franck Haise. Je l’encourage à aller au bout de ces objectifs. Il a bien progressé. En prêt, certains joueurs sont confrontés à certaines lacunes, certains manques. Pour d’autres, ils en profitent pour franchir des étapes. Il en restera d’autres à passer pour Rémy. Mais il en a franchi quelques-unes. » En attendant, Rémy Labeau-Lascary fera tout pour mettre fin à la belle série dunkerquoise. En marquant, il recevrait certainement un message de ses potes lensois, comme Deiver Machado ou Tom Pouilly qui suivent eux aussi sa progression avec attention. Voix des Sports

RC Lens : Abdukodir Khusanov, 20 ans et tranquille comme un taulier Avant le match de ce samedi soir à Bollaert contre Nice, le défenseur central Ouzbek du RC Lens s’est confié après huit mois au club. Au sein d’une grosse concurrence, Abdukodir Khusanov a réussi à se faire une petite place et à montrer des qualités physiques et footballistiques indéniables. Il a la parole aussi rare que le coup d’épaule est viril, Jonathan David et quelques autres y ont goûté. Sûrement surpris par autant d’assurance chez un jeune joueur. Kodir (1,88 m, 10 sélections), comme on l’a vite surnommé à la Gaillette, maîtrise tout juste les rudiments de français pour s’orienter sur un terrain, « à gauche, à droite, devant, derrière », qu’il les compile sur un petit carnet. « Merci, et de rien », ajoute Jonathan Gradit. Les conseils du père Taiseux, donc, mais de toute façon, Abdukodir Khusanov n’est pas un expansif. L’antithèse d’un Facundo Medina. Mais la même volonté. Ce qui l’importe, c’est où il veut aller et les moyens qu’il met en œuvre. De ce côté-là, il se montre bluffant. Son père, Khikmat, est un ancien footballeur pro et international à 12 reprises. Un défenseur aussi. Les petits jeux entre père et fils ont dû forger les fameux coups d’épaule du fiston. Ses conseils ont surtout été précieux tout au long de ses jeunes années. « Il me faisait une analyse assez précise des différents matchs en me disant : ça, c’est bien, ça c’est pas bien », confie le garçon qui, à 17 ans, a rapidement quitté le foyer familial de Tashkent pour rejoindre la Biélorussie et l’Energetik Minsk, 4 000 kilomètres plus loin. « J’ai rencontré quelqu’un en Ouzbékistan qui m’a dit qu’il fallait jouer en Biélorussie. Mais là-bas, on a considéré que j’étais trop jeune et je ne pouvais pas jouer. À 18 ans, j’ai pu jouer enfin. Le problème, c’est que j’ai le football dans la tête, je m’entraînais, je m’entraînais, mais je ne pouvais pas jouer, c’était long. » Quand finalement on l’a mis sur le terrain, il n’a plus quitté sa place de titulaire. « Quand j’ai joué en Biélorussie, une femme nous coachait et me prenait à part pour me donner des cours et me préparer à jouer pour des compétitions européennes de l’Ouest, donc je me sentais prêt. » Parce qu’il poursuit un objectif : jouer en Europe, « c’est mon projet, je l’ai en tête depuis que j’ai 16 ans. ». La Ligue des champions, elle, ce n’est même pas un rêve, mais une destination qui se (re)présentera rapidement. « J’y pensais déjà, je l’avais dans un coin de ma tête et je m’étais dit, un jour : je jouerai à ce niveau-là. Mon idée était de jouer en Europe et je savais que je finirais par y arriver. » Le cocon lensois Lens a été le seul club à se présenter l’été dernier. « J’ai trouvé que c’était bien. J’en ai parlé à tout le monde, mais c’est seulement après que les parents et les amis ont appris que j’étais parti. » À Lens, il découvre un cocon très bienveillant. Si le traducteur omniprésent au départ s’est effacé, il a trouvé avec Neil El Aynaoui, un compagnon attentionné alors que Przemyslaw Frankowski peut échanger quelques mots de russe avec lui. Malgré cette barrière immense de la langue, Khusanov ne ressent aucune solitude. « Je communique avec ma famille. Mes parents sont déjà venus, ma mère (Makhfuza) m’apporte des plats du pays. Ici, j’ai goûté aux spécialités locales. Je me suis relativement facilement habitué à la vie lensoise. » Rien ne le surprend, rien ne semble le perturber. Et il s’est fondu dans la vie comme dans l’effectif et le système de jeu avec une facilité confondante. Preuve aussi d’un QI football plutôt solide. Jonathan Gradit Dans l’effectif, il a surpris tout le monde par son adaptation express. « Il observe beaucoup notre façon de jouer, note Jonathan Gradit. Le duel est inné chez lui, il est combatif, même balle au pied. Il fait beaucoup d’efforts, il a une grosse force d’observation. C’est un joueur qui comptera dans les années à venir, il a beaucoup de qualités, et un profil rare dans l’agressivité. » Lui, avance sans se poser de question, jamais stressé, que ce soit pour ses premières minutes en Ligue 1 (titulaire lors de la 5e journée) ou en Ligue des champions. « Je n’ai pas de préparation spéciale, s’il faut jouer, il faut jouer. Je sais que tout va aller de mieux en mieux, je m’améliore en jouant ici. » Aucun état d’âme. Jouer et jouer, pour un jour rejoindre l’Espagne ou l’Angleterre. Voix des Sports

Incompréhensible, encore plus quand on voit les maillots des autres nations globalement tous biens réussis : https://www.maillots-foot-actu.fr/maillots-euro-2024-designs-tendances-et-equipementiers-a-la-loupe

https://www.lefigaro.fr/sports/football/coupe-de-france/psg-nice-un-mini-tifo-pro-om-dans-les-tribunes-du-parc-des-princes-20240314 Génies