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West'ier

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Tout ce qui a été posté par West'ier

  1. RC Lens : « On est une équipe qui a la dalle ! », clame Gaël Kakuta Le meneur de jeu, opérationnel après avoir été ménagé pendant la trêve internationale, martèle l’envie de son équipe, avec laquelle c’est « facile de travailler ». Les Lensois ne lâcheront rien, promet-il, dimanche (15 h), à Bordeaux. – Gaël, vous n’avez pas pu partir en sélection (RD Congo), comment l’avez-vous vécu ? « J’avais quelques petits pépins aux chevilles, que la trêve m’a permis de régler. Je me sens beaucoup mieux. Ce sont des qualifs pour la Coupe du monde, des matchs qu’on veut jouer, importants pour nous, pour la nation. C est un peu chiant de ne pas avoir pu y aller. Mes partenaires ont quand même pris deux points (nuls contre la Tanzanie et le Bénin) qui devraient être bons pour la suite, j’espère être avec eux pour le prochain rassemblement. » – Vous mettez de l’intensité mais n’avez pas encore été décisif face au but, comment vous sentez-vous ? « Ça va arriver, je continue à me donner à fond et aider mes coéquipiers au maximum. L’intensité est toujours la même, on continue sur ce qu’on a fait la saison dernière. Pour l’instant, on est invaincus, c’est important aussi. Je reste concentré sur l’objectif collectif, et individuellement, ça arrivera après. Mes objectifs personnels, c’est d’être aussi performant que la saison dernière, mais les stats personnelles, ce n’est que du bonus. On veut continuer à montrer cet esprit collectif, cette faim, cette rage qu’on a à chaque match et surtout prendre du plaisir. Et je pense que ça devrait aller. » – En parlant de danger, vous l’avez été sur coups de pied arrêtés contre Lorient, avec notamment le but de Clauss. Cela peut-il être désormais une vraie arme pour vous ? « Jonathan a activé le mode David Beckham, du coup c’est devenu un de nos points forts (rires) ! Moi, je ne les travaille pas plus que ça (?) ; aujourd’hui, Jo est en charge de tout ça. » – Avez-vous déjà retrouvé des automatismes avec Arnaud Kalimuendo avec lequel vous aviez une très bonne relation sur le terrain la saison dernière ? « C’est très positif pour lui comme pour nous, plaisant et motivant. Il revient dans un club qu’il connaît déjà, et nous, ça nous fait énormément plaisir de le retrouver. Dès son premier entraînement avec le groupe, je lui ai fait une passe directement dans la profondeur, il n’a pas oublié ces petits ballons que j’aime bien mettre… » – Franck Haise aime varier les associations devant, comment vous adaptez-vous ? « C’est très facile, on s’entraîne ensemble tous les jours, on se connaît plus ou moins par cœur. Et on est une équipe qui a la dalle, tout le monde, titulaire ou remplaçant, se donne à 100 %. Quand c’est comme ça, c’est facile à suivre, facile de travailler, on prend juste du plaisir et on essaie de faire le maximum pour mettre son équipe dans de bonnes conditions. » – L’accompagnement de jeunes comme David Pereira Da Costa, qui évolue au même poste, est-il important pour vous ? « David est un joueur prometteur, un crack comme on dit. Il se montre de plus en plus, il amène son talent au sein de l’effectif. J’aime bien, ça me rappelle quand j’étais petit et que j’arrivais doucement dans l’équipe première. J’essaie de l’aider de temps en temps en lui donnant des conseils pour lui faire gagner du temps. Il est à l’écoute. » – Bordeaux, qui n’a pas encore gagné un match, c’est typiquement le match piège ? « Comme d’habitude, on se concentre sur nous-mêmes, même si on travaille sur les points forts et faibles des adversaires. La saison passée, c’est le passé (défaite 3-0, 37e j), aujourd’hui, ils ont très bien recruté, ils ont de très bons joueurs. On va se donner à fond pour rentrer avec des points. » https://www.lavoixdunord.fr/1067721/article/2021-09-10/rc-lens-est-une-equipe-qui-la-dalle-clame-gael-kakuta
  2. RC Lens (National 2): Brayann Pereira, toujours plus surprenant, et encore plus vite Les Lensois, qui se déplacent à Épinal samedi, ont remporté leur première rencontre la semaine dernière face à Sannois-Saint-Gratien (1-0). Ils ont pu s’appuyer sur un Brayann Pereira qui a confirmé ses belles promesses. Brayann Pereira a l’habitude de ne pas tout à fait se trouver à l’endroit où on l’attend. Ainsi, lorsqu’il avait signé son premier contrat pro, en octobre 2019, il rappelait qu’il avait toujours été surclassé en catégorie de jeunes. Aller plus vite que les autres, c’est son credo. Précoce, à tous les niveaux, il était devenu le plus jeune joueur de l’histoire du RC Lens à devenir professionnel. À 16 ans seulement. Il a beau être désormais habitué à ce parcours atypique, le défenseur ne s’attendait probablement pas, la semaine dernière face à Sannois-Saint-Gratien (1-0), à évoluer plus d’une mi-temps à la pointe de l’attaque sang et or. Sa qualité de vitesse et son agressivité sur le porteur du ballon faisaient déjà extrêmement mal dans le couloir, à un poste de piston droit où il semblait très à l’aise. Mais quand l’attaquant Mohamed Cissé s’est blessé, Yohan Démont, en manque criant de profondeur de banc, n’a pas tergiversé. Il savait comme les jambes de feu de Brayann Pereira pouvaient piquer une défense adverse pas franchement sécurisante. « Brayann ne rechigne jamais à l’effort, expliqua ensuite l’entraîneur lensois. Il va vite et cette vitesse est un plus pour l’équipe. Même dans cette position inédite, il a joué tous les coups à fond et n’est pas passé très loin de marquer. » Il s’en est fallu en effet de très peu de le voir doubler la mise après avoir profité d’un ballon dans la profondeur pour éliminer le gardien sannoisien. Un défenseur adverse s’est replié, empêchant le tir finalement trop croisé de faire mouche. S’il avouait en 2019 devoir encore apprendre à gérer ses émotions, Brayann Pereira dégage aujourd’hui une sérénité dans le jeu qui est un sérieux atout pour la réserve lensoise. À Épinal, performant à domicile depuis l’entame de la saison (une victoire ; un nul), les réservistes lensois auront bien besoin de l’énergie du Saint-Quentinois pour contenir les assauts adverses. Les Spinaliens n’ont toujours encaissé aucun but sur leurs terres cette saison, mais on leur conseillera de rester très attentifs s’ils voient Brayann Pereira quitter son poste de piston droit pour se positionner en pointe… – SA ÉPINAL (7e ; 7 points) – RC LENS B (13e ; 3 points), le samedi 11 septembre à 18 heures. https://www.lavoixdunord.fr/1066475/article/2021-09-10/rc-lens-national-2-brayann-pereira-toujours-plus-surprenant-et-encore-plus-vite
  3. Confirmé par Franck Haise en conférence : Ganago isolé 7 jours car non vacciné et revient d'une zone covid "orange"... Pas très malin.
  4. @manicoc'est prévu que tu t'occupes du topic du match ? (simple question, ne pas taper ?)
  5. West'ier

    Anciens Lensois

  6. A croire que Deschamps est Clausstrophobe à ne pas vouloir le sélectionner...
  7. L'impression que Badé traîne une belle charrette sur le but non ?
  8. Un match de merde commenté par Robert Pires, j'ai connu mieux comme samedi soir.
  9. Prendre Hernandez et Mukiele pour aligner Dubois et Digne. D'accord Didier.
  10. Voix du Nord : La fin du mercato, c’est un soulagement ? Florian Ghisolfi : « Oui. Après ça dépend dans quelles conditions tu le fais et tu le termines… Il a été moins long que la saison passée et moins usant. » Êtes-vous satisfait ? « On s’est dit mardi soir qu’on était satisfait, parce qu’on a rempli la quasi-totalité des objectifs de la feuille de route mais pas qu’en termes de départs et arrivées, les objectifs financiers aussi, ventes, masse salariale, dans le respect de ce qu’on a déposé à la DNCG en juin. On sait que le club a besoin d’équilibrer ses comptes, on a atteint les objectifs rapidement et en ne perdant qu’un seul joueur majeur (Loïc Badé vendu 20 M€, bonus compris à Rennes). » Avez-vous craint jusqu’au bout le départ de cadres ? « Il y a des clubs qui travaillent en dernière minute… Mais il n’y a pas eu d’affolement sur la dernière ligne droite. On savait qu’on ne perdrait plus un joueur majeur sauf panic buy d’un très gros club qui mettrait une somme énorme. Et on sentait chacun de nos joueurs majeurs à fond dans le projet. Après, il peut toujours y avoir une prise d’infos. Mais à 16 h 30 le 31 août, c’est non. Et on n’a pas eu d’offre concrète. On me promettait l’enfer : tu n’y arriveras pas, tu vas te faire attaquer de partout "… On souhaitait ne perdre qu’un seul joueur majeur, c’est une grosse satisfaction. J’ai toujours été confiant, les garçons sont bien chez nous, ambitieux tous ensemble, ils voulaient retrouver le public. Et le meilleur recrutement, c’est de conserver les bons joueurs, qu’on sait adaptés et performants. On ne peut pas les acheter 15-20 M€, autant les garder ! » Quelles étaient les grandes lignes, la philosophie de votre mercato ? « Au-delà de la qualité du joueur, il y a des piliers. Le premier, c’est l’état d’esprit. Je ne cesserai de le répéter, chaque joueur qu’on fait rentrer dans le saladier doit avoir cet état d’esprit qui colle à l’ADN du club et à celui de l’équipe, qui est assez prononcé et correspond à celui du RC Lens. On recrute un autre type de joueur qu’en Ligue 2, en termes de statut, de salaire, mais on ne dérogera jamais à ce pilier, qui est la base du projet que j’ai présenté à Joseph Oughourlian et Arnaud Pouille. Deuxième objectif fort : la gestion de cet effectif. On veut un effectif resserré, que chaque joueur soit à sa place, le sache et ait sa chance aussi. C’est pour ça qu’on a réduit l’effectif sur la fin. Entasser les joueurs ne sert à rien ; ça dilue les responsabilités. Enfin, il y a le timing, on voulait construire l’ossature le plus tôt possible, ça a été le cas. On a eu la chance de vendre Loïc Badé très tôt. Quelques recrutements ont tardé un peu plus mais seulement celui de Danso et Kalimuendo, un deal qu’on ne pouvait pas faire avant. » La priorité, c’était le défenseur central Kevin Danso ? « Au-delà du joueur, on voulait faire les efforts sur la ligne défensive, où on a fait notre grosse vente. C’est potentiellement là où on était déséquilibrés alors qu’on n’était déjà pas en nombre énorme la saison passée et que notre jeu peut amener des déséquilibres. C’était majeur de progresser malgré la vente. Je pense qu’on a atteint l’objectif. Danso a toujours été la priorité, avec un profil qui se rapproche le plus de celui de Badé et qui restait jeune. On sait aussi que le petit Wooh (19 ans) a un potentiel énorme. Les deux peuvent jouer à droite, et gauche. Les postes de piston sont aussi très importants dans notre animation, avec une débauche d’énergie, c’est pour ça qu’on s’est aussi renforcé sur ces postes. On a quatre très bons pistons, le coach en prend toujours quatre. le cinquième pourrait être Boli, quand il reviendra de blessure. Ce qui ouvrira la porte à Boura fin septembre pour être joker sur un club de Ligue 2. On a été énormément sollicités mais avec les blessures de Boli et Haïdara, c’était impossible de l’ouvrir ces derniers jours. Enfin, avec Kalimuendo et Saïd, on a amené encore plus de talent et de qualité devant. » Une indemnité quand même pour Kalimuendo Le retour de Kalimuendo, à nouveau prêté par le PSG, en était une aussi ? « J’y ai toujours cru, même, quand un moment, plus personne n’y croyait. Il y avait un timing à respecter, il fallait aussi l’alignement des planètes et de la réussite. Il ne fallait pas aller au charbon en juillet, lui avait ce besoin de se frotter à l’effectif du PSG, avec raison. Il a montré des choses sur la prépa. L’événement déclencheur, ça a été l’arrivée de Messi. Avec Neymar et Mbappé, ce sont des joueurs qu’on fait très peu sortir. Pour les joueurs derrière, c’est la perspective de ne quasiment jamais jouer. À ce moment-là, on s’est mis à discuter vraiment. Il y avait plein d’opportunités pour lui, prêt, transfert. 80 % des clubs français le voulaient, et beaucoup de clubs en Europe, anglais, allemands, italiens. En prêt, c’est une des meilleures opportunités du marché. On a su être patients, réunir toutes les conditions, notamment avec Paris qui a été de parole, et avait dit que si le choix du joueur était d’être prêté, son choix serait Lens par rapport au travail de la saison passée. Samedi, "Kali" nous a dit " c’est Lens ", ne restait que les détails à régler. Sa volonté était de retrouver le public et une équipe qu’il adore, avec laquelle il prend du plaisir dans le jeu. » Vous n’avez pas réussi à obtenir une option d’achat ? « Dimanche, on l’avait mais c’est un dossier particulier et cette formule, me convient très bien finalement. L’an dernier, on en avait une, on l’a levée, Paris allait forcément contre-lever, ça a finalement créé du trouble et fait tout un pataquès. On a touché une indemnité, c’était logique, grâce à Lens sa valeur était multipliée. Là, ce sera beaucoup plus serein, on sait qu’il fait cette saison et rentre à Paris mais on touchera une indemnité ; on sera valorisé selon ses performances. Rien ne nous empêche ensuite de nous positionner, mais la question n’est pas du tout là aujourd’hui. » Fallait-il qu’un attaquant (Simon Banza prêté au Portugal) parte pour qu’il revienne ? « Il y avait forcément un équilibre à trouver, financier, en termes de masse salariale, et de nombre. Sept attaquants, ça ne satisfaisait personne, ni le coach, ni les joueurs et nous, en plus on ne valorise pas ceux qui jouent moins. Le temps de jeu allait être dilué. On voulait continuer à valoriser Simon et lui est ambitieux. Il faut savoir aussi faire ces choix. C’était la même chose pour Steven Fortes (prêté à Ostende) qui est aussi important pour nous. On est une entreprise, ce sont des actifs du club. Et on est très satisfait du choix des clubs où ils sont en prêt. » Vous n’avez pas recruté de milieu axial supplémentaire, vous ne craignez pas d’être juste, notamment pendant la CAN en janvier, où vous devriez perdre et Doucouré et Fofana, vos deux titulaires ? « On est à flux tendu sur les milieux, on en est conscient. C’était exactement la même situation la saison dernière et c’est passé. Mais derrière, il y a Jonathan Varane en qui on croit, Danso qui est polyvalent, c’est pour ça qu’on a insisté sur ce profil. On ne voulait pas entasser les joueurs majeurs, donc les salaires majeurs. On prend ce risque aussi pour faire avancer nos jeunes joueurs. La question de la CAN s’est forcément posée, mais on peut aussi se permettre de recruter en janvier. »
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