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daykatana

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  1. RC Lens. Brice Samba joueur régional de l’année: «J’ai dit à Seko qu’on pouvait faire un truc de ouf» Sacré joueur de la saison au niveau régional, le gardien du RC Lens Brice Samba est en train de conclure une année magistrale par sa première sélection chez les Bleus. Retour sur une saison magnifique pour le meilleur gardien de Ligue 1. Brice Samba a fêté sa première sélection en équipe de France contre Gibraltar. PHOTO MATTHIEU BOTTE /sites/all/themes/enacarbon_vdn/images/logo-gris.png Par Richard Gotte et Philippe Guilbaud Publié:19 Juin 2023 à 08h15Temps de lecture:12 minPartage : Qu’est-ce qui a changé pour vous depuis votre première convocation en équipe de France en mars dernier ? « Ça n’a pas énormément changé pour moi. J’ai eu la chance aussi de jouer à Marseille avant tout ça, quand j’avais 18 ans. Ça m’a beaucoup servi ces cinq années là-bas, même si je n’ai pas beaucoup joué. C’est vrai qu’ici, tu côtoies le gratin du football français, j’apprends au quotidien. Tu t’entraînes avec des joueurs de très très grande qualité. Je peux aussi vous assurer qu’à l’entraînement à Lens aussi, j’avais été agréablement surpris lors du premier stage à Rodez, quand j’avais intégré le groupe, par la qualité des entraînements mis en place par le coach Haise. Je suis ici avec beaucoup d’envie, une grosse envie d’apprendre, de progresser. Je n’ai que 29 ans, et dans ma tête j’en ai 19. J’ai faim. Je veux continuer à avancer et à progresser. » Please close pop-out player to resume playback. Consultez l’actualité en vidéo Vous avez une faculté d’intégration et de prise de leadership assez naturelle et très rapide, comment l’expliquez-vous ? « J’ai toujours été comme ça partout où je suis passé. Je suis un garçon assez simple qui ne se prend pas la tête et qui profite pleinement de la vie. J’ai la chance d’être en bonne santé et de faire le métier que j’ai toujours rêvé de faire. Représenter la France c’est un rêve. Quand tu connais le vivier de la France, c’est un rêve, c’est incroyable. Être dans les 23 meilleurs Français, c’est un truc incroyable. Même le mot incroyable n’est pas assez fort pour définir à quel point c’est "ouf". Par rapport à Mike (Maignan) et Alphonse (Areola), on se connaît depuis tous petits. On s’est souvent joués dans les Le Havre – PSG en jeunes, donc on se connaît depuis très longtemps. On est depuis longtemps en contact, et je pense que c’est ça qui a facilité mon intégration. Il ne faut pas forcer, c’est naturel. Depuis tout petit, j’ai toujours eu cette âme de leader. Déjà par ma grosse voix, qui est très entendue. Je suis très simple. Le groupe à Lens est tellement incroyable, fantastique, que tout joueur s’y adapterait, honnêtement. Ce n’est pas compliqué de s’y adapter. Les gens sont tellement simples, tellement gentils. Quand tu écoutes chaque interview de chaque joueur, ils disent qu’ils n’ont jamais connu ça dans leur carrière. Et je peux l’admettre, j’ai fait pas mal de vestiaires et je ne l’avais jamais vécu. Dans ce groupe-là, c’est aussi simple que ça. Je suis quelqu’un, de par mon poste, qui doit donner des commandements. J’ai appris à connaître les mecs, ils ont appris à me connaître. Ils ont vu. Et ça matché entre nous et c’est pour ça que ça a tout facilité. » « Je disais aux gars : on peut être champions, ils m’ont pris pour un fou ! » De nombreux joueurs ont expliqué que vous aviez porté très haut l’ambition de l’équipe avec Seko Fofana. Pouvez-nous expliquer pourquoi et de quelle manière vous avez tiré le groupe si haut ? « Maintenant, je peux le dire, on habite à côté, Seko et moi et on venait ensemble le matin à l’entraînement. C’est depuis le début de saison qu’on parle d’ambition, de faire de grandes choses. On savait que ça allait être difficile, bien sûr, de par les deux dernières septièmes places du RC Lens. Moi, quand je suis arrivé ici, personne ne m’a dit, " il faut être au-dessus de la septième place, non, mais moi je suis quelqu’un de très ambitieux, je sortais d’une montée fantastique avec Nottingham, donc j’étais un peu porté par tout cela. Depuis septembre-octobre, quand on a commencé à gagner les premiers matchs, quand j’ai vu la qualité du jeu et de l’équipe – je commence à avoir un peu de bouteille – j’ai dit à Seko : " franchement, on peut faire quelque chose de "ouf" cette année ", je lui ai dit ça. Il m’a dit : " comment ça de "ouf" ? ", je lui ai dit : " quelque chose de "ouf", garde-le pour toi, mais tu verras ". Après, plus ça avançait, plus l’ambition montait bien sûr. Quand tu es deuxième à mi-championnat, l’ambition monte, que t’es la première équipe à battre le PSG. Même s’ils étaient amoindris, il fallait les battre, l’ambition montait. On savait très bien que si nous, on était à 100 %, on pouvait battre tout le monde. Ça, on le savait. Du coup, notre rôle était de mettre tout le monde à 100 %. Moi je disais : " les gars, on peut être champions ", mais ils me prenaient pour un fou. Ils me disaient que c’était impossible. Non, il ne faut pas dire que c’est impossible. Dans la vie, avec la foi, tu peux renverser des montagnes. Moi, je suis quelqu’un de très croyant. Dans la vie, il n’y a rien d’impossible. On finit à un point de Paris, même si c’est vrai qu’ils ont un peu relâché sur la fin. Mais c’est simplement un point. Avec 84 points, c’est énorme tout simplement. Ça en dit long sur notre saison et ça nous conforte, Seko et moi, dans nos ambitions de pouvoir pousser tout le monde. Ça a porté ses fruits et c’est très bien. » Qu’est-ce que ce groupe lensois vous a appris ? « Cette équipe m’a appris beaucoup de choses. Je me connais beaucoup mieux. Dans le foot, ça m’a conforté dans ma vision, dans le fait qu’il faut avoir un groupe solidaire pour réaliser de grandes choses, notamment avec peu de moyens. Il n’y a pas de secret. Alors quand tu as beaucoup de moyens et un groupe solidaire, tu peux faire des choses extraordinaires. Ça conforte, ça donne envie à d’autres équipes comme Clermont qui finit 8e, avec le 19e budget de L1, ça donne envie de reproduire ce genre de choses. On a montré la voie, on a battu Paris en premier et après on a vu que toutes les équipes le craignaient un peu moins. Il faut toujours y croire dans la vie. Si tu te donnes les moyens et les possibilités, tu peux faire de grandes choses. » Vous avez donné du bonheur, ça vous frappe dans cette saison du RC Lens ? « C’est un truc que je kiffe. Je le dis souvent, j’aimerais trop être spectateur et joueur en même temps. Je pense qu’on ne réalise pas. On est tellement dans notre truc. Pendant les Corons à la 75e, quand ils mettent le flash, on ne réalise pas, j’essaie de regarder un peu, mais il y a le ballon, il ne faut pas perdre le fil. C’est vrai que procurer du bonheur à ses supporters, ils le méritent tant, j’ai appris à les connaître aussi. Quand tu sais que Lens est une ville de 40 000 habitants et ton stade fait 38 000, tu es toujours à guichets fermés, il n’y a pas beaucoup d’autres clubs comme ça. Je pense qu’on est importants pour eux, s’ils viennent à tous les matchs aussi nombreux, bien sûr qu’on l’est. Ils aiment avant tout le RC Lens, nous, c’est secondaire, on est de passage. On se rend compte petit à petit. Là j’ai plus de temps ici (à Clairefontaine), je regarde les réseaux sociaux, les vidéos, on est nostalgiques par rapport à tout cela et on est très fiers de ce qu’on a réalisé. » Comment définiriez-vous le trio défensif qui était devant vous cette saison ? « Ce sont trois personnalités vraiment différentes, c’est clair. Jonathan Gradit, je le connaissais d’avant, avec Caen, c’est une personnalité très attachante. C’est le joueur le plus régulier. Il a eu une absence d’un mois, il ne fait jamais de bruit, il est toujours là à 100 %, toujours là à fond. Kevin Danso, c’est le roc, le mec avec qui je me suis pris le plus la tête, énormément, sur tout, les placements et même les petits détails, la relance quand on commence les 6 m. Lui aussi c’est un gros caractère, un gros gagnant, ça peut se voir sur ses célébrations en fin de match quand on gagne. C’est un solide, un gros bébé. Il faut ce type de joueurs pour réaliser de grandes choses. Si c’est trop plat, ce n’est pas bon non plus. À un moment, tu es obligé de te cogner un peu. Vous n’avez pas dû le voir, mais on s’est bien pris la tête sur beaucoup de matchs. On essaie de le cacher. Quand il est énervé, lui, c’est en anglais, moi en français, souvent en anglais. Le ton suffit. Kevin, c’est un très grand joueur, il fait partie des plus grands en Europe. Facundo (Medina), je le dis tout le temps, si je suis un grand club européen, avec une défense à trois, à gauche, je prends ce mec. Il a tout, le vice des Argentins, il a un pied gauche incroyable. Il a tout honnêtement. J’ai eu la chance d’avoir trois mecs devant moi, être la meilleure défense, même si ce n’est pas que ces trois-là et moi, c’est toute l’équipe et ils y ont contribué beaucoup. Ce sont des mecs de très haut niveau. Ils peuvent jouer beaucoup plus haut. On s’engueule avec Kevin, mais on arrive à "switcher" totalement. Il y a eu une séquence avant le match de Toulouse, on se prend le chou à l’entraînement, pas grand monde n’a entendu heureusement. Le coach nous renvoie au vestiaire tous les deux. Après, c’est comme ça. On est très proches en dehors. Lui aussi habite à côté de chez nous, on essaie de partager des choses au quotidien. Ce qui se passe sur le terrain, reste sur le terrain et on passe à autre chose. Tant qu’on gagne… » « Avant, la Ligue des champions, c’était avec mes potes autour des pizzas » Comment voyez-vous la Ligue des champions avec le Racing, vous projetez-vous ? « J’ai hâte de découvrir ça comme titulaire. Avec Marseille, j’étais sur le banc de touche. Le vivre comme titulaire, c’est quelque chose de grandiose, c’est être confronté au gratin européen. J’ai envie d’apprendre aussi. L’an prochain en Ligue des champions, avec Lens, on va apprendre, tout simplement. Je reste persuadé au fond de moi que si on est nous-mêmes, pourquoi pas faire quelque chose. Ça, c’est secondaire, on va apprendre. Pour ma part, je suis très excité de découvrir cette compétition que je regardais avec mes potes le mardi et le mercredi autour des pizzas. Ce sera bien de se confronter à cela. On ne peut pas dire où on va mettre la barre. On est tous compétiteurs, on ne va pas aller là-bas en étant victimes, même si on sait qu’on va être confrontés à de très très bonnes équipes. On a le PSG en Ligue 1, on se confronte deux fois par saison, on sait un petit peu à quoi s’attendre, ce sera des matchs très compliqués qui vont prendre beaucoup de jus, ça, c’est certain. Ce ne sera que gratifiant pour notre progression à chacun de vivre ces matchs-là, ces moments-là. On ne pourra qu’être fier, quand on arrêtera le foot, d’avoir vécu tout ça. » Consultez l’actualité en vidéo Comment digérez-vous un but encaissé, parce qu’il y en aura peut-être plus la saison prochaine ? « Je pars du principe qu’encaisser un but ne m’empêche pas de dormir. Je vais toujours encaisser des buts. Je ne suis pas un mur. Un gardien va toujours encaisser des buts, faire des erreurs, j’en ferai, c’est le b.a.-ba du gardien de but. Souvent, un but encaissé, ce sont des détails. On en bouffe de la vidéo maintenant, on a toutes les technologies à notre disposition pour revoir sous différents angles la façon dont on a encaissé les buts, les différents placements, si tu peux gagner un mètre ici… Ce n’est que du détail. Et avec Hervé Sekli, on ne parle que de ça. On a fait beaucoup de vidéos, pas beaucoup sur les buts encaissés. Cette saison, j’ai eu la chance d’encaisser des buts qui ont été plutôt bien construits, je pense, parce qu’on était très solides. Ce ne sont pas des trucs qui m’empêchent de dormir. Les clean sheets c’est bien mais je m’en fous, tant que l’équipe gagne, honnêtement… » Quelles sont les parades qui ont le plus compté pour vous cette saison ? « J’ai effectué pas mal d’arrêts qui ont compté sur des matchs serrés. Il y a eu récemment Marseille, à la 44e minute, au ras du poteau face à (Jordan) Veretout. À ce moment-là, si Marseille égalise, ce n’est pas le même match, tu rentres à la mi-temps, tu gamberges un peu plus. Ce sont ces arrêts-là qui font que j’aime mon métier. Tu sens dans le regard des gars : " Ah merci, tu nous as enlevé une belle épine du pied ". On célèbre entre défenseurs, tant mieux pour nous. Ces arrêts-là, je les prends comme des buts, parce qu’ils sont importants. Il y a eu celui de Paris, qui a beaucoup tourné. Rennes en début de saison, à 2-0. Contre Lille (devant Edon Zhegrova), il nous empêche la défaite, mais j’aurais préféré gagner. Je parle surtout des arrêts quand on a gagné. C’est vrai que ça nous fait prendre un point. C’est bien pour moi, je suis fier d’avoir aidé l’équipe. Je me suis donné à fond, j’ai tout donné. » « On a fini lessivés » Vous avez été ambitieux toute la saison, mais il y a des matchs qui ont été un peu plus importants que d’autres… « Il y a le match à Monaco (1-4) en début de saison. Il nous fait prendre conscience qu’on peut faire de belles choses. Il y a Rennes derrière, quand on gagne à la maison (2-1). Quand tu gagnes ces matchs-là, même si toutes les équipes ne sont pas rodées, ça montre la marche à suivre pour voir ce qu’il reste à faire pour continuer à performer, sachant que nous, on n’avait pas l’Europe cette saison. En jouant une fois par semaine, on arrivait le samedi beaucoup plus frais que certaines équipes. Ça nous a montré l’exigence à avoir sur ce genre de matchs. Il faudra la reproduire la saison prochaine, en Ligue des champions et en Ligue 1. » À lire aussi ÉDITO. Un exemple, à plusieurs titres Dans quel état physique et nerveux avez-vous terminé la saison ? « On a fini lessivés. Quand tu n’as pas l’habitude de jouer le haut du tableau à ce point-là… Après ma première sélection, c’était la première saison où je n’avais pas de coupure, entre guillemets. J’ai eu un petit coup de pompe qui montre que j’ai grandi. J’en ai parlé à ma famille, avec Hervé (Sekli) pour trouver une solution, la saison n’était pas finie. C’est qu’on a fini sur les rotules, on a beaucoup donné. Quand je finissais les matchs, j’étais K.-O., c’est la tension des matchs. Et plus on approchait de la fin, plus la tension montait, ça demandait beaucoup de jus. C’est bien, ça me donne envie de revivre ces sensations la saison prochaine. J’espère y être encore, ça voudra dire qu’on réalise de belles choses encore. Et si je dois finir encore plus fatigué, eh bien je finirai plus fatigué. Ce sont des saisons comme ça qui prennent beaucoup d’énergie. »
  2. Non, il a été titulaire sur le banc et n'est pas rentré en jeu
  3. On a retrouvé Juan Miguel Yenérienvou
  4. Et passe en retrait volontaire ...
  5. Non, il prend rouge direct le 4 sur la faute sur kolo muani. Et l arbitre met 2 jaunes pour contestation a 2 grecs
  6. Cet arbitre est une catastrophe ambulante
  7. Donc même pas 2 ans chez nous ...
  8. Comme on a parlé ici des maillots de la saison à venir, j'ai trouvé ce récapitulatif sur le net (désolé si il a déjà été posté hier, je pense pas avoir vu de topic consacré aux maillots, anciens, actuels et à venir)
  9. Ah oui merci, je vais devoir m'acheter des yeux !!
  10. En tout cas, on est champion en titre à l'extérieur
  11. Heu, ben si la ligue a révélé hier les grandes dates https://twitter.com/Ligue1UberEats/status/1590697542748377089 Retrouvez les premières dates du calendrier de la saison 2023/2024 en Ligue 1 Uber Eats. Réuni ce mercredi, le conseil d’administration de la LFP a adopté le calendrier général de Ligue 1 Uber Eats pour la saison 2023/2024. La saison 2023/2024 débutera donc le week-end des 12 et 13 août 2023. Cette saison 2023/2024 marquera le passage à 18 clubs et donc à 34 journées. Seule la 17e journée sera programmée en semaine. Elle se jouera le mercredi 20 décembre 2023 et marquera le début de la trêve hivernale. La reprise s’effectuera avec la 18ème journée programmée lors du week-end des 13 et 14 janvier 2024. La 34e et dernière journée de Ligue 1 Uber Eats pour la saison 2023/2024 a été placée au samedi 18 mai 2024. Le match aller des Barrages d’accession à la Ligue 1 Uber Eats aura lieu le jeudi 30 mai 2024, et le match retour se déroulera le dimanche 2 juin 2024. La double confrontation opposera le 16e de Ligue 1 Uber Eats au vainqueur des Play-offs de Ligue 2 BKT. L’intégralité du calendrier général des compétitions 2023/2024 sera publiée ce jeudi 10 novembre suite à son adoption définitive par le comité exécutif de la FFF. Téléchargez en intégralité le calendrier des compétitions 2023/2024
  12. Je te rappelle que ce genre de joueur est entraîneur des -19 chez nous ....
  13. Moi ce qui me fera surtout marrer, c est qu il soit vendu cet été et pas au Real, vu comment F. Perez est convaincu a 15000% qu il aura Mbappe gratos l été prochain. Ca lui fera le c*l !!!!!
  14. Accessoirement, le stade est Guiseppe Meazza quand l Inter joue a domicile et San Siro quand c est le Milan
  15. Indépendamment du résultat d Annecy, l'équité sportive non respectée se joue sur ce point : Annecy a joué 38 matchs sur le terrain, Rodez 37. Donc avec une victoire bonus, Rodez passe devant. C est la que l inéquité apparaît. Si le match avait recommencé ou avait été rejoué et que Rodez s'était imposé, alors Annecy aurait été rétrogradé sportivement et personne ne dirait rien. Oui, Annecy a perdu le match qu il ne fallait pas perdre et 2 poursuivants ont gagné alors que c.etait le scénario le plus improbable. Donc ils avaient leur destin en main au coup d envoi. Quand le match a Bordeaux s arrête et ne reprend pas, ça enlève un facteur sportif important. Imagine quand Amiens nous passe a la 96e minute, ça arrive sur le terrain, c est très dur a accepter mais c est sportif. Par contre, quelle serait ta réaction si un cas similaire a Bordeaux Rodez s était passé ce soir la. le match a Reims est arrêté alors qu Amiens est mené. Lens bat Niort et va donc jouer les barrages. Puis la victoire est donnée a Amiens sur tapis vert car un joueur a (aurait) été agressé par un supp rémois et donc condamne Lens a la Ligue 2. Comment tu réagirais ??? Tu serais d accord avec ce jugement ?
  16. Bon, la bataille judiciaire commence https://twitter.com/MPGLaurent/status/1668264494445764616?s=20
  17. C est une erreur, y en a au moins 1 .. J ai vérifié il était bien titulaire
  18. Nous avons la culture club (sic) en europe ou en Am Sud, beaucoup moins dans d'autres parties du monde où le culte est plus fondé sur le joueur que sur le club (en particulier en Asie) sauf Big 4 de Premier league. Après, il suffit de voir comment Cristiano Ronaldo se fait apprécier en Arabie où les supporters adverses chantent à la gloire de Messi ... Et avec les comptes personnels sur les réseaux sociaux, les gens sont suivre en priorité le compte du joueur puis le compte du club dans lequel il est. Quand il change de club, le "fan" va arrêter de suivre l'ancienne équipe pour suivre la nouvelle. Cette saison, hormis les matchs de Lens, j'ai suivi ceux d'Annecy (pas que à cause de Baldé mais vu ma localisation sur le forum ...) et encore pas tous. Par contre, ce que je fais plus souvent, c est mettre du sport en fond sonore et visuel si je fais des trucs à côté (en particulier quand je fais le ménage par exemple, le multiplex du dimanche après midi ca passe bien ou le biathlon en hiver). La société actuelle tend vers l'individualité (ce que fait l'autre, c est pas bien je le dénonce mais je fais pareil) donc passer d'un club à l'autre ne me surprend pas tant que ça (suffit de voir le nombre de joueurs qui tapent l'écusson après un but et qui feront pareil dans leur prochain club ou ceux qui veulent démontrer qu'ils étaient fans du club étant jeune et se font démonter ensuite quand la vérité éclate (coucou Guendouzi))
  19. Non, simplement réseaux sociaux. Les mecs suivent Messi, pas un club en particulier. Que ce soit Paris, Bayern, la Juve ou Lens, si Messi se barre du club, de nombreux fans de Messi vont arrêter de suivre le club pour aller au prochain. Je serai curieux de voir l'évolution du compte du Barca au moment du départ de Léo
  20. Quand on voit ce classement, on voit qu'on a fait une saison exceptionnelle
  21. Je suis d'accord avec toi, je ne vois pas encore de stars en pleine force de l'âge partir là-bas (type Mbappé, Vicinius, Kane, Kimmich ...). Moi, ca me fait penser au New York Cosmos quand ils ont recruté Pelé et que les "vieilles" gloires sont parties aux States, Franz Beckenbauer, George Best, Johan Cruyff, Eusébio, Carlos Alberto, Bobby Moore ou encore Gerd Müller ... Ca a duré très peu de temps avant que ça ne s'écroule. PAr contre, s'ils commencent à avoir ces joueurs stars en plein forme, ben la Superligue ne sera pas en europe mais en Arabie Saoudite ...
  22. Et la, c est le gros bordel car ca ne respecte pas l'égalité sportive pour Annecy. Que le match soit rejoué à partir de la 22è min et à 0-1 est le plus égal pour moi. Comme dit par d'autres, Annecy savait qu'il ne fallait pas perdre. Par contre, ça ne veut pas dire que Rodez aurait remporté le match si celui-ci était allé au bout. Dans le même sens, si le match est rejoué et que Bordeaux s'impose 5 ou 6 à 1, il n'y a pas d'égalité sportive pour Metz car Bordeaux sait combien de buts il doit marquer et ils ne les auraient peut etre pas marqués ce jour là. Enfin bref, dans l'histoire, celui qui doit s'en vouloir côté annécien, c'est Bosetti avec son pénalty de la gagne à Niort qu'il a tiré comme une chèvre.
  23. Bon et pour en rajouter dans cette histoire, le boubourse qui est rentré sur le terrain pour pousser le joueur ruthenois est un "supporter" bordelais qui vient ... d'Annecy .... Donc il aura, par son geste, pénalisé les 2 équipes ... https://www.ledauphine.com/sport/2023/06/03/incidents-a-bordeaux-le-joueur-de-rodez-a-ete-bouscule-par-un-haut-savoyard Je mettrai l article complet quand je serai sur PC vu que c est un article abonné
  24. Pour @Amaury, Baldé dans le groupe ce soir. Si comme face a Bordeaux, il devrait rentrer en 2eme mi temps
  25. daykatana

    Lens - Ajaccio / J37 / 27-05-23

    Quand tu vois ça, tu te dis que Samba a vraiment dû se sentir tout seul dans ce match. Heureusement qu il a eu qq passes en retrait pour toucher le ballon !! 🤣
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