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RobbySlatter

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Tout ce qui a été posté par RobbySlatter

  1. RobbySlatter

    Topic des optimistes

    qui s'appellera la rocade mine d'or
  2. guilavogui is the new sotoca?
  3. Je ne sais pas si ça marche en France mais normalement le match est diffusé gratuitement sur mutv accessible via l’application du club (de mu)
  4. il prend quoi comme taille de short Medina? je ne serais pas étonné que le prix des shorts juniors soit bientôt aligné sur celui des adultes
  5. https://www.lemonde.fr/sport/article/2023/01/14/le-racing-club-de-lens-rayonne-de-nouveau-entre-reussite-sportive-ferveur-populaire-et-soutien-de-l-economie-locale_6157841_3242.html Le Racing Club de Lens rayonne de nouveau, entre réussite sportive, ferveur populaire et soutien de l’économie locale ReportageLe club champion de France en 1998, redescendu en Ligue 2 durant les années 2010, a retrouvé son lustre. Les Sang et Or, deuxièmes de Ligue 1 et seule équipe à avoir battu le Paris Saint-Germain cette saison, affrontent Auxerre, samedi 14 janvier, à 17 heures. Franck Haise observe le même rituel à chaque match. A la mi-temps, l’entraîneur du Racing Club de Lens prend soin de sortir du vestiaire suffisamment tôt pour être sur la pelouse du stade Bollaert au moment où tout le stade entonne Les Corons, de Pierre Bachelet. La chanson hommage au bassin minier est devenue l’hymne des supporteurs sang et or. « J’en ai des frissons », confie le coach originaire de Normandie. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/12/0/0/4864/3648/630/0/75/0/523fcd2_1673537378640-rcl-l-pastureau-hanslucas010.jpg" alt="Franck Haise, pendant l’entraînement, à la Gaillette, le 9 janvier 2023."> Franck Haise, pendant l’entraînement, à la Gaillette, le 9 janvier 2023. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » Puis, à la fin des rencontres à domicile, quel que soit le résultat, Franck Haise s’accorde un moment de décompression en dégustant, non pas de la bière, comme c’est la tradition dans le Nord, mais du vin, en compagnie de quatre employés du club. La dernière fois, le 1er janvier 2023, c’étaient des bouteilles du Val de Loire, plus précisément du chenin, un cépage de blanc que l’entraîneur a reconnu à l’aveugle. « Il avait un très bon goût », dit en souriant Franck Haise une semaine plus tard. Et pour cause, son équipe venait de s’imposer (3-1) face au Paris Saint-Germain. A ce jour, Lens est la seule équipe d’Europe à avoir battu le PSG cette saison. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/12/0/0/4776/3582/630/0/75/0/8d3e778_1673537224058-rcl-l-pastureau-hanslucas022.jpg" alt="Au centre d’entraînement de la Gaillette, le 9 janvier 2023."> Au centre d’entraînement de la Gaillette, le 9 janvier 2023. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » Avec son budget annuel de 62 millions d’euros, soit environ dix fois moins que le club parisien, le RC Lens n’était pas programmé pour talonner Kylian Mbappé, Lionel Messi et leurs partenaires au classement de la Ligue 1. Pourtant, après 18 matchs (sur 38), les Lensois ne comptent que 6 points de moins que les Parisiens. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Le jour où la Fédération française de football a perdu ses deux dirigeants Depuis le début du championnat, ils ont gagné tous leurs matchs à domicile (9), avant de recevoir l’AJ Auxerre, samedi 14 janvier. « C’est un parcours de champion », constate Franck Haise sans fanfaronnade, lundi 9 janvier. Qui aurait pu imaginer qu’un entraîneur inconnu du grand public il y a quelques années allait incarner une telle réussite et une fierté locale retrouvée ? « Le bon voisin » Septembre 2017. En crise, le club lensois perd sept matchs de suite et pointe logiquement à la dernière place du classement de Ligue 2. Le spectre d’une descente en National, le troisième échelon du football français, guette, ce qui mettrait en péril le futur du club champion de France en 1998. Nommé à la tête de l’équipe fanion à la place d’Alain Casanova, Eric Sikora est alors remplacé sur le banc de l’équipe réserve par Franck Haise. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/12/0/0/5546/4160/630/0/75/0/6f25c41_1673535605985-rcl-l-pastureau-hanslucas011.jpg" alt="Muriel Beaurepaire, 62 ans, supportrice du club, à Lens, le 9 janvier 2023. Avec son mari, ils tiennent un bar décoré aux couleurs du club, près de stade Bollaert."> Muriel Beaurepaire, 62 ans, supportrice du club, à Lens, le 9 janvier 2023. Avec son mari, ils tiennent un bar décoré aux couleurs du club, près de stade Bollaert. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » Après une carrière de défenseur, entre la deuxième et la troisième division, dans les années 1990, le Normand a multiplié les expériences : entraîneur-joueur, coach de jeunes, adjoint, intérimaire… A peine arrivé à Lens, un dimanche matin, il voit une centaine de supporteurs escalader les grilles du centre d’entraînement de la Gaillette pour hurler leur mécontentement auprès de l’équipe professionnelle. Deux ans et demi vont passer et le RC Lens va se redresser. En février 2020, Philippe Montanier, qui avait pris la succession d’Eric Sikora, est licencié par sa direction à la suite d’une série de mauvais résultats. A son tour, Franck Haise est promu à la tête de l’équipe première. A l’époque, les supporteurs expriment leur scepticisme. « Nous, on s’attendait à un nom connu », retrace Pierre Bouchend’homme, piqué au RC Lens depuis la fin des années 1980. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/12/0/0/4811/3608/630/0/75/0/bde232e_1673537257194-rcl-l-pastureau-hanslucas034.jpg" alt="Florian Sotoca, 32 ans, attaquant et vice-capitaine, à Lens, le 9 janvier 2023."> Florian Sotoca, 32 ans, attaquant et vice-capitaine, à Lens, le 9 janvier 2023. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » « Franck Haise, la première fois qu’on le voit, le mec est tout simple, sobre. On avait l’impression que c’était le bon voisin avec qui on prend plaisir à boire une bière au bistrot », poursuit le responsable des Red Tigers, le groupe ultra qui anime la tribune Marek du stade Bollaert. Aujourd’hui, Franck Haise fait l’unanimité. Face au PSG, il a fêté son 100ematch comme entraîneur du RC Lens et reçu l’ovation de tout le stade, prenant le micro à la fin du match en communion avec le public. Depuis le début de la saison, à chaque match au stade Bollaert-Delelis, les tribunes sont remplies à ras bord par 36 000 supporteurs Le club nordiste a retrouvé la Ligue 1 à la faveur de l’arrêt des championnats provoqué par la pandémie de Covid-19, en 2020, avant de se maintenir aisément dans l’élite en terminant les exercices suivants deux fois à la septième place. Après quinze années moroses, marquées par de longues saisons en Ligue 2 et les mirages de l’ancien actionnaire principal, l’Azerbaïdjanais Hafiz Mammadov, les supporteurs lensois auraient presque du mal à y croire. Le Monde Guides d’achat Gourdes réutilisables Les meilleures gourdes pour remplacer les bouteilles jetables Lire « On a eu peur de vivre une descente aux enfers. Alors aujourd’hui, on se dit : “c’est miraculeux !” », savoure Laurent Nolet, 47 ans, rencontré devant le stade, lundi 9 janvier, sous un crachin nordiste. En tenue de travail, il s’occupe du nettoyage du chantier de la future piscine olympique de Lens, juste en face. Depuis le début de la saison, à chaque match au stade Bollaert-Delelis, que tout le monde appelle « Bollaert », les tribunes sont remplies à ras bord par 36 000 supporteurs sang et or. « Tout le monde court pour avoir sa place. Faut surveiller sur le site Internet du club ! », prévient Laurent Nolet, qui profite de sa fonction d’arbitre au niveau amateur (district) pour obtenir de précieux sésames. Enceinte à l’anglaise A l’honneur entre la Bombonera de Buenos Aires et le Celtic Park de Glasgow dans Stades mythiques du foot, de Rémy Fière (Larousse, 2020), Bollaert est une enceinte dite à l’anglaise pour ses quatre tribunes proches du terrain, dont l’inclinaison donne le vertige. Surtout, la ferveur de son public fait sa réputation en Europe. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Les défis du football français en crise : comment redonner de l’émotion au public A ce titre, le stade Pierre-Mauroy du voisin et rival, le Lille Olympique Sporting Club (LOSC), ne tient pas la comparaison. Après son titre de champion de France, en 2021, le LOSC n’a pas toujours fait le plein de son – grand (50 000 places) – stade lors de ses matchs de Ligue des champions. « A Lille, ce sont des spectateurs. Nous, on est des supporteurs », tranche Muriel Beaurepaire, 62 ans (« comme le Pas-de-Calais » précise-t-elle d’emblée), élégante gérante du bar Chez Muriel. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/13/0/0/6936/4591/1920/0/75/0/f8ca101_1673620883567-sans-titre-1-red.jpg" alt="A gauche, René dit « Bob », 86 ans, ancien mineur et « gardien » officieux du centre d’entraînement, à Lens le 9 janvier 2023. A droite, dans le hall du centre d’entraînement, la gaillette, nom donné à un énorme morceau de charbon, rend hommage au passé minier de la région."> A gauche, René dit « Bob », 86 ans, ancien mineur et « gardien » officieux du centre d’entraînement, à Lens le 9 janvier 2023. A droite, dans le hall du centre d’entraînement, la gaillette, nom donné à un énorme morceau de charbon, rend hommage au passé minier de la région. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » A l’âge de 19 ans, elle a repris l’établissement à Ladislas Smid, un ancien joueur du RC Lens, finaliste de la Coupe de France en 1948. A l’intérieur, l’héritage se perpétue, les murs sont décorés aux couleurs du RC Lens. En plus d’aller à tous les matchs à Bollaert, Muriel Beaurepaire fait des déplacements pour les rencontres à l’extérieur, comme mercredi 11 janvier à Strasbourg. C’est alors son mari, plutôt rugby, comme le laissait présager son maillot des All Blacks, qui tient le comptoir à quelques corons – les maisons en brique rouge qui hébergeaient autrefois les mineurs et leur famille – du stade. La sexagénaire rêve de voir son équipe favorite gagner la Coupe de France et certifie que le RC Lens peut finir deuxième du championnat à la fin de la saison. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Quand le RC Lens prend un « ch’ti » accent du Sud Chez les joueurs, Florian Sotoca, lui, se garde bien de se projeter aussi loin. A 32 ans, il savoure déjà ce qu’il a vécu : « Il y a dix ans, je jouais au niveau amateur et je travaillais dans le magasin de chaussures de mon oncle. Si vous m’aviez dit que j’allais jouer dans une équipe deuxième de Ligue 1, je vous aurais pris pour un fou ! » L’attaquant, né à Narbonne et qui parle toujours avec un accent du sud, est considéré comme un Lensois d’adoption par les supporteurs. Un rappeur local lui a même consacré une chanson dans laquelle il vante sa « détermination » et son sens du « collectif ». « Collectif », le mot revient aussi dans la bouche de Franck Haise au moment de qualifier le style de son équipe. Un jeu fait de pressing, cette somme d’efforts supplémentaires déployés pour reprendre possession du ballon. Spectaculaire, mais à double tranchant car, si la balle n’est pas récupérée rapidement, des boulevards s’ouvrent pour les adversaires. Dans cet exercice, l’organisation lensoise est parfaitement huilée. « Le pressing, c’est la chose la plus collective qui nécessite, un, que tous les joueurs aient une bonne lecture tactique des situations pour le déclencher ; et deux, que chacun ait la capacité de se mettre au service de l’équipe par ses efforts », explique Franck Haise. L’histoire des Sang et Or est intimement liée à celle de la compagnie des mines de Lens A l’automne 2022, le coordinateur sportif du RC Lens, Florent Ghisolfi, a été débauché par l’OGC Nice et l’ambitieux projet du groupe pétrochimique Ineos. Architecte de l’équipe, il est parti sur la Côte d’Azur avec deux préparateurs physiques. Un coup dur pour le club. Il a été remplacé par l’ex-directeur de la cellule de recrutement, Grégory Thil. Quelques semaines plus tôt, en revanche, le RC Lens se réjouissait d’officialiser lors du dernier jour de la période des transferts estivale la prolongation de son joueur phare et capitaine, Seko Fofana, mettant en scène la signature de son nouveau contrat sur la pelouse de Bollaert après un match face à Lorient. Un signe fort envoyé aux joueurs qui pourraient être convoités par d’autres clubs cet hiver. « Aujourd’hui, pourquoi quitter le RC Lens ? L’histoire n’est pas finie », affirme Florian Sotoca. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/12/0/0/3648/4864/630/0/75/0/fe553b1_1673535601363-rcl-l-pastureau-hanslucas050.jpg" alt="Arnaud Pouille, directeur général du RC Lens, le 9 janvier 2023."> Arnaud Pouille, directeur général du RC Lens, le 9 janvier 2023. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » Parmi les titulaires habituels de l’équipe artésienne, un seul joueur a été formé au club : David Pereira da Costa. Mais tous ont appris à connaître leur environnement. A l’initiative de l’entraîneur, les joueurs du RC Lens sont allés visiter d’anciennes mines ou le Mémorial national du Canada, à Vimy, qui honore la mémoire des soldats morts pendant la première guerre mondiale. « Quand on connaît, on comprend un peu mieux et on peut aussi s’identifier à cette région », estime Franck Haise, au centre d’entraînement de la Gaillette, dont le nom fait référence à un énorme morceau de charbon – dans le hall, une « gaillette » sous verre en témoigne. L’histoire des Sang et Or est intimement liée à celle de la compagnie des mines de Lens. Les premières couleurs du club, le vert et le noir, faisaient référence à la place Verte de la ville et au charbon. Dans les années 1930, ce sont des mineurs de la région qui ont bâti le stade Bollaert. « Moi, je suis d’ici, assure Arnaud Pouille, directeur général du club depuis 2017. Cette histoire, on me l’a racontée quand j’étais jeune. J’ai beau être parti à Paris pendant vingt ans, quand Lens vous appelle, c’est Lens ! » Phare économique Aujourd’hui, le club appartient majoritairement à Joseph Oughourlian, formé à HEC, qui a fait fortune avec le fonds d’investissement Amber Capital, vit à Londres et n’avait aucune attache ni dans le Nord ni dans le club, avant d’en prendre les commandes en 2016. Sur le papier, le mariage n’était pas évident. « Mais Joseph Oughourlian s’est pris au jeu. Il s’est impliqué, il a même pris la présidence exécutive du club à un moment », note le maire de Lens, Sylvain Robert (PS), qui souligne les tarifs abordables de la billetterie maintenus par le club en Ligue 1. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/12/0/0/6700/4438/1920/0/75/0/20032d5_1673535744819-sans-titre-1.jpg" alt="A gauche, le stade Bollaert, à Lens, le 9 janvier 2023. A droite, Sylvain Robert, maire de Lens, dans son bureau, devant un maillot signé et encadré du club, le 9 janvier 2023."> A gauche, le stade Bollaert, à Lens, le 9 janvier 2023. A droite, Sylvain Robert, maire de Lens, dans son bureau, devant un maillot signé et encadré du club, le 9 janvier 2023. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » Lire aussi Article réservé à nos abonnés Joseph Oughourlian, l’homme qui veut renverser Lagardère De 200 à 280 euros, le nouvel abonnement plein tarif pour assister à 19 matchs de championnat dans les deux tribunes derrière les buts, c’est sans commune mesure avec les prix au Parc des Princes (à partir de 78 euros pour une seule place pour PSG-Reims, le 29 janvier). « Paris, c’est encore du foot ? », raille l’édile de Lens. Même avec l’antenne du Louvre à Lens, qui a célébré son dixième anniversaire en décembre 2022, le football reste le phare le plus puissant de la ville. « Ce soir, il n’y a pas un chat dans la rue », lance Muriel Beaurepaire, qui tire « 70 % de [son] chiffre d’affaires » lors des matchs à Bollaert. « Ici, je vois les commerces fermer à tour de bras. Si la ville de Lens tient, c’est en grande partie grâce au foot », estime pour sa part Christian Ok, derrière le comptoir du bar Reinitas. <img src="https://img.lemde.fr/2023/01/12/0/0/3566/4755/630/0/75/0/b121894_1673535601204-rcl-l-pastureau-hanslucas002.jpg" alt="Laurent Nolet, 47 ans, supporteur, à Lens, le 9 janvier 2023."> Laurent Nolet, 47 ans, supporteur, à Lens, le 9 janvier 2023. LUCIE PASTUREAU/HANSLUCAS POUR « LE MONDE » Né à Lens, le jeune homme de 28 ans préfère parler de foot que de politique. Sur le ton de l’humour, il lance : « Quand j’ai repris le bar, j’avais l’idée de l’appeler le “pôle sans emploi” ». Dans cette région durement touchée par le chômage (près de 20 % de la population active est sans emploi), « tout le monde se réunit autour du RC Lens, souligne Muriel Beaurepaire. C’est une religion, comme à Liverpool ». Franck Haise est, lui, devenu une idole locale : « Evidemment, on retient les trophées, mais il y a aussi les émotions que l’on donne. Et si j’ai une fierté, c’est celle-là : rendre les gens heureux… »
  6. après avoir gagner LE premier match (de la coupe du monde)
  7. c'est tordu cette polémique, si Ronaldo n'est pas là, il n 'y a pas but s'il fait une feinte de tête, c'est du génie mais ça ne compte pas comme un but pour lui bon là, il rate la balle, mais c'est bien le fait que Ronaldo soit en bonne position et qu'il veuille la toucher qui fait que le gardien ne se jette pas pour l'attraper et finalement laisse passer la balle
  8. RobbySlatter

    Lille - Lens / J10 / 09-10-22

    on peut mettre un carton à l'arbitre?
  9. RobbySlatter

    Lille - Lens / J10 / 09-10-22

    parce que c'est l'équipe qui en provoque le plus
  10. oui alors il s'appelle Florent Ghisolfi, il va construire une organisation de fou, avec un entraîneur qui vient de nulle part, des joueurs que vous ne connaissez pas, on va remonter en ligue 1 , être 2 fois 7 eme en 2 ans, produire du super jeu, remplir Bollaert à chaque match, battre le LOSC X fois, recruter Sotoca tous les ans et il va nous quitter pour Nice après 17 matchs consécutifs sans défaites en octobre 2022 quand on sera 4 ème de L1 et il va se faire traiter de tous les noms.
  11. après, l'équipe est bien construite, le staff est au petits oignons, la cellule recrutement est opérationnelle, la gaillette et l'équipe réserve sont désormais alignées sur l'organisation de l'équipe première. Ghisolfi est parti de pas grand chose, là il a une machine qui tourne nickel, il commençait à s'ennuyer et il se lance dans un nouveau défi. dans une entreprise, il faut des dirigeants innovateurs pour créer, puis quand la boîte évolue, il faut des gestionnaires, bâtisseurs pour stabiliser et encrer l'entreprise dans son éco système et ensuite d'autres profils pour changer d'échelle, partir à l'internationale. Ghisolfi est sans doute plus un start-upeur qu'un gérant de multinationale. alors pas sûr qu'on ai besoin d'un Ghisolfi bis. Est ce que ce n'est pas le moment de faire passer Franck Haise en big manager à la Wenger?
  12. je ne parle jamais mais je vous lis souvent vous être vraiment agréable à lire, enfin presque tous ^^ pour moi, c'est une victoire extrêmement précieuse d'abord parce qu'elle apporte 3 points mais aussi et surtout parce qu'elle force à travailler et puis Sotoca, c'est une magnifique récompense l'ancien qui montre l'exemple, c'est juste parfait il va pouvoir être légitime pour aider tous les nouveaux et tous les autres vont travailler pour suivre son exemple de combativité et sinon https://www.theifab.com/fr/laws/latest/the-penalty-kick/#offences-and-sanctions en résumé But Pas but Empiètement d’un joueur en attaque À retirer Coup franc indirect Empiètement d’un joueur en défense But À retirer
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