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Ligue 1 [Saison 2023/2024]
West'ier a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
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Lens-Arsenal : 1 800 supporters anglais attendus à Bollaert, et au moins 200 autres sans billet Un match de Ligue des champions à gérer mardi, contre un club anglais - quand bien même les supporters des Gunners ne sont pas les plus féroces - suivi, dimanche, d’un derby du Nord qui n’est jamais sans risque : autorités et forces de l’ordre s’apprêtent à vivre une semaine qui en vaudra deux à Lens. Lens-Arsenal le mardi 3. Lens-Lille le dimanche 8. Et puis Lens-PSV Eindhoven le mardi 24. Au commissariat de Lens, on a forcément coché ces trois dates d’octobre. Bien sûr parce que les supporters des Sang et Or y sont nombreux, mais surtout parce qu’on sait que ces journées-là seront longues et sans doute un peu sous tension. Première étape mardi, donc, avec ce très attendu match contre Arsenal à Bollaert, qui n’a plus entendu résonner l’hymme de la Ligue des champions depuis le 29 octobre 2002. Selon la préfecture du Pas-de-Calais, qui planche forcément sur le dossier « sécurité » depuis plusieurs semaines, quelque 1 800 supporters anglais sont attendus en parcage. Mais au moins 200 autres, sans billet, devraient aussi faire le déplacement, ayant programmé de regarder le match dans un bar lensois. Les fans des Gunners ne figurent pas dans la liste des plus virulents des supporters d’outre-Manche, mais n’empêche qu’on s’inquiète toujours de la possibilité de quelques débordements. « Un dispositif similaire à un Lens-OM, Lens-PSG ou Lens-LOSC » Ainsi, « le dispositif sera relativement similaire à celui d’un Lens-OM, Lens-PSG ou Lens-LOSC », indique-t-on au commissariat. Et « un point d'attention particulier sera accordé au point de rassemblement des supporters anglais situé dans le centre-ville, ainsi qu'à leur déplacement en ville et jusqu'au stade », ajoute-t-on du côté de la préfecture. Ceux qui resteront en ville bénéficieront d’une surveillance discrète, mais tout de même dissuasive. Par ailleurs, comme pour chaque mach, un poste de sécurité sera mis en place pour gérer le dispositif à l’intérieur du stade. La nouvelle sous-préfète de l’arrondissement de Lens y prendra ses quartiers. En complément, un poste de commandement opérationnel sera déployé au sein du stade et dirigé par la directrice de cabinet du préfet du Pas-de-Calais. Il a vocation à coordonner le dispositif de sécurité mobilisé à l’extérieur du stade. Les supporters du LOSC privés de derby Le préfet du Pas-de-Calais a décidé de se simplifier la vie, ou du moins de ne pas se la compliquer davantage, en interdisant aux supporters du LOSC de faire le déplacement dans le bassin minier dimanche prochain. Pas franchement surprenant, la « politique du parapluie » condamnée par les fans étant devenue la norme pour les préfets. Même si celui du Pas-de-Calais n’a pas manqué d’arguments pour justifier l’arrêté qu’il a signé vendredi. Il évoque notamment l’intrusion de supporters lensois au domaine de Luchin (où s’entraine le LOSC) le 12 octobre 2020 pour y hisser un drapeau sang et or, et les tags de supporters lillois ayant souillé la façade du local des Red Tigers en réponse ; les incidents du 18 septembre 2021, avec des dégradations commises par les fans du LOSC en parcage, provoquant la colère des ultras lensois qui envihiront la pelouse de Bollaert ; le déploiement de banderoles « insultantes » le 4 mars 2023... S’appuyant également sur la mobilisation des forces de l’ordre au stade Pierre-Mauroy pour la Coupe du monde de rugby (Angleterre-Samoa samedi, Tonga-Roumanie dimanche), Jacques Billant a donc décidé purement et simplement « à toute personne se prévalant de la qualité de supporter du LOSC, ou se comportant comme tel, d’accéder au stade Bollaert-Delelis de Lens et à ses abords », entre le samedi 7 à 19 h et le dimanche 8 octobre à minuit. Tout contrevenant s’expose à une peine de 6 mois d’emprisonnement, une amende de 30 000 € et une interdiction de stade. PSV Eindhoven, la plus grande crainte ? C’est sans doute le match le plus craint, même si personne ne le dit (encore) officiellement. Les supporters du club néerlandais ne sont pas réputés les plus dociles. Et certains se sont déjà illustrés à plusieurs reprises lors de compétitions européennes. En octobre 2022, à l'Emirates Stadium de Londres, qui abrite les desseins des joueurs d’Arsenal, les supporters du PSV avaient arraché des sièges du parcage visiteurs et allumé des fusées de détresse, en jetant l'une d'elles en direction des supporters des Gunners, ce qui avait forcé la police à intervenir. En février dernier, un fan du PSV avait carrément pénétré sur le terrain et frappé le gardien du FC Séville lors d’un match de barrage de Ligue Europa ; il avait été condamné à trois mois de prison... La proximité des Pays-Bas (Eindhoven n’est qu’à 3 heures de route de Lens) et cette sulfureuse réputation nécessiteront sans doute un dispositif adapté. Mais pour l’heure, « il ne nous est pas encore possible de communiquer sur ces prochaines échéances », dit-on en préfecture. https://www.lavoixdunord.fr/1379481/article/2023-09-30/lens-arsenal-1-800-supporters-anglais-attendus-bollaert-et-au-moins-200-autres
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Tu le dis toi même, il s'est rien passé. Donc pourquoi les interdire de nouveau ? Ceux qui se réjouissent de ces mesures liberticides, je comprendrai jamais.
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Chant inspiré de l'Ajax :
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Il saute quand le Pep Guardiola de Troyes ?
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Hein ? Il s'est absolument rien passé l'an dernier, ce qui rend cette interdiction encore plus incrompréhensible.
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RC Lens : Ruben Aguilar, là où il doit être Arrivé début septembre, le piston droit (30 ans) se fond déjà dans le paysage lensois. Une question de profil, sportif autant qu’humain, qui colle au RC Lens. À son aise contre Toulouse, pour la première victoire de la saison, le Grenoblois au parcours d’abord cahoteux pourrait à nouveau commencer à Strasbourg, ce vendredi. On a connu meilleur augure pour des présentations. Dans le vestiaire visiteurs à Monaco où le RC Lens venait de perdre sèchement (3-0), Ruben Aguilar a pourtant découvert des joueurs « très contents de (m’)accueillir qui ont eu un discours positif envers moi. Malgré les mauvais résultats, c’était un vestiaire hyper vivant. » L’impression ne s’est pas démentie. Le piston droit voulait donner un nouveau tour à sa carrière après quatre saisons sur le Rocher, il a dit « oui tout de suite » à Lens où il partage le poste avec Przemyslaw Frankowski. Trois grosses semaines plus tard, il semble faire partie des meubles. « Ça a matché d’emblée. Jouer avec des mecs qui courent et demandent le ballon sans arrêt, c’est facile. Je me sens super bien dans l’équipe, le club. Après une fin délicate à Monaco, où j’ai aussi vécu des choses extraordinaires, je commence à retrouver de la joie de vivre, du plaisir et un gros vestiaire avec des mecs qui me ressemblent. » Des stats athlétiques de match « énormes » Son match contre Toulouse, dimanche (2-1), sa deuxième titularisation déjà après Metz, dit beaucoup de cette intégration quasi instantanée. Sur la foi de stats athlétiques impressionnantes (13 km parcourus, nº1, et 31 sprints !), Ruben Aguilar a imprimé l’énergie requise à un poste exigeant de piston qu’il assortit d’une qualité de centre longuement travaillée. « On croirait que ça fait trois ans qu’il est là, qu’il est avec nous pratiquement depuis la remontée en Ligue 1, apprécie Franck Haise, entraîneur ravi de sa recrue des derniers jours de mercato. Je ne peux pas l’expliquer au-delà du fait qu’il y a des valeurs communes, qu’il a de l’appétit, maîtrise le poste, qu’il mette énormément d’énergie. Je pense que c’est d’abord lié à ce qu’il est. Dans les principes de jeu, il a intégré beaucoup de choses. Il amène aussi cette bonne grinta à l’entraînement. Il a trouvé une belle place. Et il est à sa place. » Consultant pour Prime Video, Ludovic Obraniak n’est pas surpris par son ancien partenaire, à Auxerre (2016-17). « Avec Mathieu Debuchy à Lille, c’est une des deux personnes avec qui j’ai pris le plus de plaisir en tant que gaucher sur le côté droit. Je l’ai poussé dans ses retranchements pour qu’il prenne beaucoup plus le couloir car il a le volume de jeu, la capacité à répéter les efforts. » Pour l’ancien ailier, « à 3 M€, c’est un des plus beaux coups du mercato. On l’a eu en plateau après match, la première réflexion, c’est "mais tu es là depuis dix ans !" Il est rentré tout de suite dans le moule. Il a une complicité notamment avec Florian Sotoca, ils se sont constamment cherchés et trouvés quasiment les yeux fermés. Ruben est à la fois très bon sur les premières relances et hyper concentré sur le plan offensif. Quand j’ai su que Lens était intéressé, je lui ai dit "c’est exactement l’entraîneur et le système qu’il te faut pour que tu sois épanoui" . » Du genre à ne jamais renoncer, les pieds sur terre, collectif, Ruben Aguilar, que Sotoca a pris sous son aile, s’est fondu dans un Racing dont les valeurs lui correspondent. « Il colle sportivement mais aussi humainement. Son éducation joue beaucoup. Il mouille le maillot et est dans l’humilité la plus profonde, pas dans l’ego, décrit Obraniak. Il est souriant, aime s’intégrer dans un groupe. Il veut toujours apprendre et apprendre des autres. » « Je suis quelqu’un de très simple, avec des valeurs qui m’ont été données, discret, et je marche à l’affection. Si vous me donnez, je vais vous rendre à 300 %. », ajoute le Grenoblois. « Un moment, on se demande ce qu’on va faire, vendeur ? » Avec le recul d’une carrière désormais rondement menée (Auxerre, Montpellier, Monaco, une sélection en équipe de France en novembre 2020), ce père de deux enfants de 1 et 4 ans mesure sa chance. Comme Florian Sotoca ou Jonathan Gradit, ses compères du flanc droit, son parcours fait d’anfractuosités le sert aujourd’hui. « J’ai l’impression de jouer avec eux deux depuis un moment. Ils ont aussi vécu des choses délicates et ont fait preuve de caractère pour rebondir, avec, comme pour moi, un entourage prépondérant qui pousse à ne pas lâcher. » Sa femme, Lou, qu’il fréquente depuis ses 17 ans, ses frères, ses parents, ses potes qui ont compris qu’il ne sorte pas le samedi soir quand il jouait le dimanche matin à 11 h, en amateurs (au poste d’attaquant !), tous ont cru en lui quand, à 20 ans, le foot pro lui a claqué la porte au nez. Pas conservé au bout de deux ans par le centre de formation de Saint-Étienne, retour à la case départ, à Grenoble, en réserve, en DRH. « C’est dur, je suis gamin. Il y a eu beaucoup de pleurs mais je ne regrette à aucun moment ces passages qui m’ont forgé. Je vais essayer d’inculquer ça à mes enfants, ne jamais lâcher, toujours y croire. J’étais au chômage. Un moment, on se demande quand même ce qu’on va faire. J’ai un BEP vente, vendeur ? Retourner dans la vie "normale" ? » Bosser comme un acharné surtout, se rendre incontournable, monter en équipe première, en CFA, provoquer la chance. Le coup de pouce prendra la forme d’un coach, Jean-Luc Vannuchi, qui lui offre son premier contrat pro à Auxerre, alors en Ligue 2, en 2014-2015. « Au début, je n’y croyais même pas… C’est beaucoup de travail, beaucoup s’accrocher. Mais quand on a connu la galère, on ne veut pas y retourner, on sait ce que ça coûte et ce qu’il faut faire aussi. » À l’image du RC Lens. (Voix du Nord)
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RC Lens : Youl Mawéné raconte son match contre Arsenal en 2000, « je n’aurais jamais dû être là ! » Formé au RC Lens, sans expérience européenne et avec six apparitions de D1 dans les jambes, Youl Mawéné avait été parachuté dans le onze lensois à Highbury, en demi-finale de Coupe UEFA 2000 face à Arsenal. Aujourd’hui encore, il évoque cet épisode avec beaucoup d’autodérision et un sourire large comme sa gentillesse. Quand on aborde avec un supporter lensois la demi-finale de la Coupe UEFA en 2000, son nom n’est pas celui qui revient naturellement. Et pour cause. « Le groupe pro me paraissait inatteignable, se marre-t-il. Les entraînements avec l’équipe première, je les jouais comme des matchs de coupes ! Je n’aurais jamais dû être là. » Selon la définition, le syndrome de l’imposteur est un « sentiment auto-entretenu d’incompétence et de doute en sa personne et ses compétences, et qui persiste malgré les succès ». Lorsque Lens bat Vigo, en quart de finale (0-0 ; 2-1), le 23 mars 2000, le défenseur central, resté sur le banc, est l’un des premiers à se jeter sur son pote Franck Queudrue, titulaire. « Je n’ai alors joué aucune minute en coupe d’Europe de la saison, rappelle celui qui n’avait effectué que six apparitions en D1. À part à l’Atletico Madrid ou à Arnhem, où je regarde les matchs depuis les tribunes, je ne fais même pas les voyages ! (rires) » Pour jouer, il fallait « une hécatombe » Alors que Bollaert fête sa qualification pour le dernier carré, Youl Mawéné, 20 ans à l’époque, n’a pas encore saisi que sa saison – et un peu sa carrière – vient de basculer. José Pierre-Fanfan et Valérien Ismaël ont écopé d’un avertissement face aux Espagnols, qui les suspendent automatiquement pour la demi-finale aller. « Je ne me pose même pas la question de savoir si c’est moi qui vais jouer à Arsenal. J’étais peut-être sixième dans la hiérarchie des défenseurs centraux. Pour gratter du temps de jeu, pour des joueurs comme moi, il faut une hécatombe. Je me dis aussi que François Brisson, le coach, va préférer faire redescendre un milieu de terrain derrière. J’ai certes déjà joué au Vélodrome un soir où on avait gagné et où on avait pris des boulons de la part du public en sortant du match (1-2, 18 décembre 1999), mais bon… » Si Thierry Henry est lui aussi suspendu du côté des Gunners, Lens a trois semaines pour trouver le duo idoine amené à défier les Bergkamp, Kanu ou Suker. Le natif de Caen n’a plus foulé de pelouse de l’élite depuis plus de deux mois. Mais, étonné, il est dans le groupe qui débarque « dans un hôtel incroyable, sur une belle place de Londres ». Dans cet établissement de luxe, Youl Mawéné ouvre grand les yeux en croisant les joueurs du Barça de Figo, Puyol, Xavi ou Rivaldo, venus défier Chelsea en Ligue des champions au même moment. La veille du match, les Lensois prennent leurs repères sur la pelouse d’Highbury. « Je découvrais alors ces stades et ces ambiances typiquement anglaises, avec ce poids de la tradition, explique celui qui ne s’imagine pas encore être dans le onze le lendemain. Et puis, arrive la fin de l’entraînement. Je comprends que je vais débuter. Olivier Dacourt vient me rassurer. Il me dit que j’ai mérité d’être là. Je ne réalise pas. Dans le sens où je me dis que c’est un simple match de foot que je dois disputer comme une rencontre en réserve ou en DH… » Youl Mawéné ne veut pas se prendre la tête. « Bon, au fil des heures, j’ai de plus en plus hâte que le match débute. Parce que plus c’était long, plus je commençais à me faire un peu trop le match dans la tête… » Bergkamp ouvre le score, la peur de la « casquette » Si l’attente est donc un peu longue, la dureté des premiers duels est immédiate. Après deux petites minutes de jeu, Bergkamp grille déjà la défense lensoise et ouvre le score. « Je me suis dit qu’on allait prendre une casquette. Mais on a tenu ce 1-0 jusqu’à la mi-temps, on a recadré quelques trucs et on a frustré l’adversaire ». Lens « tient » cette courte défaite jusqu’au bout et est même à quelques centimètres, ceux de la barre transversale, d’égaliser en seconde période. « On est sorti de là la tête haute, en se disant qu’on donnait la chance à Bollaert de vivre une demi-finale retour à suspense. Pour l’anecdote, je voulais faire le fier ce soir-là et j’avais décidé de n’échanger mon maillot avec personne (rires). Un équipier m’avait quand même récupéré celui de Marc Overmars, le Néerlandais qui courait à 2000 à l’heure. » S’il l’avait laissé traîner dans un sac en plastique chez sa maman, Youl Mawéné a récupéré cette tunique il y a quelques mois. « Je l’accrocherai peut-être un jour quand même chez moi. » Évoquant le Racing, celui qui a stoppé sa carrière professionnelle en 2013 est clair : « Ces années passées à Lens ont été fantastiques. Pour les jeunes du centre, ce n’était pas simple d’intégrer l’équipe première car on parle du grand Lens, qui venait de gagner le championnat et la Coupe de la Ligue. Quand l’un de nous y parvenait, même pour un match, il représentait tous les potes du centre de formation. Là-bas, on a appris la rigueur et la discipline avec Daniel Leclercq ou Georges Tournay. J’ai tellement de reconnaissance vis-à-vis de ces gens. Je suis étonné que vous m’ayez contacté car je ne suis qu’une goutte d’eau dans l’histoire de ce très grand club qui a vu passer des Oudjani, Warmuz ou Sikora. » Une goutte d’eau qui a plongé tête la première dans l’un des matchs les plus prestigieux de l’histoire du club et s’en était très bien sorti. Cet Arsenal - Lens demeurera jusqu’au bout son seul match européen en carrière. Au match retour, il regardera Arsenal s’imposer (1-2) depuis la tribune de Bollaert. Il ne jouera plus jamais une seule minute sous le maillot lensois. L’été suivant, il reprendra le Shuttle, pour y signer à Derby County alors en Premier League. Il y passera quatre saisons, avant de poursuivre à Preston (2004-2010), dans le club grec de Panserraïkos (2010-2011), puis en Écosse à Aberdeen. Aujourd’hui devenu coach sportif, il est père de deux enfants qui évoluent à Preston (Lancashire). Noah, son premier fils, a d’ailleurs effectué ses premiers pas en Championship (D2) cet été. Youl Mawéné, 44 ans, les laisse vivre leur passion comme ils l’entendent. « Une carrière peut se jouer sur un choix d’agent, une blessure, un changement d’entraîneur ou des suspensions… » Des aléas qui l’ont amené à être titularisé à Highbury un soir d’avril 2000, avant de jouer plus 300 matchs en Angleterre, dont 25 en Premier League et 174 en D2. Pas franchement les statistiques d’un imposteur. La Voix du Nord
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Même horaire que la finale de la Coupe du Monde de rugby.
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Le karma de balancer Wahi dans les panneaux publicitaires.
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Ligue 1 [Saison 2023/2024]
West'ier a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Gros gros coup dur pour Monaco. Un de leurs meilleurs joueurs de ce début de saison. Et derrière lui, c'est Jakobs... Ils vont finir par regretter d'avoir lâché Aguilar. -
https://www.twitch.tv/rmcsport Pour écouter et voir Joseph !
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Pour info, de nombreuses places viennent d'être mises en vente pour le grand public sur la billetterie en ligne du club.
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Quelle célébration et quel gardien !
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https://www.lequipe.fr/Football/Article/Yannick-cahuzac-je-ne-veux-pas-me-trahir/1422072 Si quelqu'un a l'article ?