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Tibbs

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Tout ce qui a été posté par Tibbs

  1. Tibbs

    Statistiques / RC Lens

    Encore un triplé, et on aura égalé la saison du titre. Loïs Openda (3-0 Toulouse) 2022
  2. Tibbs

    Statistiques / RC Lens

    Les chiffres du début de saison canon de Lens Tombeur de Toulouse ce vendredi grâce à un triplé d'Openda (3-0), Lens réalise le meilleur début de saison de son histoire. 30 Lens compte 30 points après 13 journées, un record pour le club à ce stade de la compétition. C'est la première fois qu'un dauphin compte autant de points depuis Bordeaux en 1998-1999. 7 Les Sang et Or ont remporté leurs sept premiers matches à domicile. Dans l'histoire de la Ligue 1, seuls Lille (2001-2002) et le PSG (2017-2018, 2018-2019, 2021-2022) ont réalisé cet exploit. 2 Lens n'a encaissé que deux buts depuis le début du mois de septembre. Seul le PSG (1) fait mieux dans les cinq grands Championnats. 7 Les remplaçants lensois ont inscrit sept buts cette saison, dont les 5 derniers de l'équipe. Aucune équipe dans l'élite ne fait mieux. 13 Lens a marqué 13 fois dans le dernier quart d'heure. Cela représente plus de la moitié de ses buts (59 %).
  3. Tibbs

    [4] Kevin Danso

    Il n’y a pas si longtemps, on s’enflammait sur Dusan Cvetinovic et Aleksandar Radovanovic 🙀😹
  4. Tibbs

    Lens - Toulouse / J13 / 28-10-22

    Lol les arrêts de jeu… j’ai calculé, il y a environ 2mn30 2mn45 d’arrêt sur la blessure de rouault. Si on additionne d’autres choses, c’est au moins 3 mn d’arrêt de de jeu et pas 1mn…
  5. Tibbs

    Lens - Toulouse / J13 / 28-10-22

    En faisant quelques recherches, il y a ce jeune joueur belge de La Gantoise qui joue en 3-4-1-2, que je connais pas : https://www.transfermarkt.fr/matisse-samoise/profil/spieler/705991
  6. Tibbs

    Lens - Toulouse / J13 / 28-10-22

    Si ma mémoire est bonne Sotoca a marqué sur un corner tiré par Frankowski (Brest ou Lorient, je ne sais plus) Et en amical contre l’Inter, corner de Cabot pour Openda.
  7. Tibbs

    Lens - Toulouse / J13 / 28-10-22

    S’il a été shooté aux antidouleurs… ça a pu l’aider, d’autant plus qu’il y avait eu la mi-temps pour que ça agisse. Après contre Toulouse, ça dépendra de plusieurs facteurs, et le feu vert de l’équipe médicale. En regardant un peu sur le net, c’est en général mini 10 à 15 jours d’arrêt, et 6 semaines pour la consolidation (après les 15 jours où il faudra jouer avec le masque).
  8. Tibbs

    Lens - Toulouse / J13 / 28-10-22

    Super Sotoca jouera piston droit en ultime recours, il en a les capacités, au moins pour dépanner. Ce qui permettrait d’avoir PDC-Saïd-Openda devant. Avec ACM et Buksa en remplaçant offensif. Sinon, même si ça reste peu probable, car utilisé seulement en cours de match quand on perds (cf Reims avec des circonstances et Lille), c’est de jouer à 4 derrière à l’ancienne. Des solutions, il y en aura, faudra juste prendre la moins pire.
  9. La liste des présélectionnés portugais : La liste complète des joueurs pré-sélectionnés par Fernando Santos : Gardiens : Diogo Costa (FC Porto), Rui Patricio (AS Roma), José Sa (Wolverhampton), Anthony Lopes (OL), Rui Silva (Betis) Défenseurs : Diogo Dalot (Manchester United), Nelson Semedo (Wolverhampton), João Cancelo (Manchester City), Cedric Soares (Arsenal), Thierry Correia (Valencia CF), Antonio Silva (SL Benfica), Danilo Pereira (Paris SG), David Carmo (FC Porto), Diogo Leite (Union Berlin), Domingos Duarte (Getafe), Fabio Cardoso (FC Porto), Gonçalo Inacio (Sporting CP), José Fonte (LOSC), Pepe (FC Porto), Ruben Dias (Manchester City), Tiago Djalo (LOSC), Mario Rui (Naples), Nuno Mendes (Paris SG), Nuno Tavares (OM), Raphael Guerreiro (Dortmund). Milieux de terrain : Florentino Luis (SL Benfica), William Carvalho (Betis), Ruben Neves (Wolverhampton), João Palhinha (Fulham), João Moutinho (Wolverhampton), João Mario (SL Benfica), Renato Sanches (Paris SG), Sergio Oliveira (Galatasaray), Matheus Nunes (Wolverhampton), Otavio (FC Porto), Vitinha (Paris SG), Bruno Fernandes (Manchester United), Bernardo Silva (Manchester City), Fabio Carvalho (Liverpool FC), Fabio Vieira (Arsenal), Gonçalo Guedes (Wolverhampton), Nuno Santos (Sporting CP), Ricardo Horta (SC Braga), Trincão (Sporting CP). Attaquants : Cristiano Ronaldo (Manchester United), João Félix (Atlético de Madrid), Jota (Celtic), Pedro Gonçalves (Sporting CP), Podence (Wolverhampton), Rafael Leão (AC Milan), André Silva (RB Leipzig), Beto (Udinese), Gonçalo Ramos (SL Benfica), Paulinho (Sporting CP), Vitinha (SC Braga).
  10. J’ai oublié les sénégalais… j’ai cru que le Sénégal n’était pas qualifié…
  11. À Marseille, il y a aussi : Simon Ngapandouetnbu (pire qu’un nom malgache à prononcer 😹), gardien, 19 ans, appelé avec le Cameroun en septembre dernier (sur le banc)
  12. Tibbs

    [30] Brice Samba

    C’est quoi les gardiens français pouvant postuler en EDF ? Dans l’ordre, je dirais, pour cette CDM 1 - Lloris (Tottenham) 2 - Maignan 🏥 (Milan AC) 3 - Aerola (West Ham) 4 - Lafont (Nantes) 5 - Mandanda (Rennes) 6 - Samba (Lens) 7 - Leconte (Espagnol de Barcelone) 8 - Meslier (Leeds) Après, c’est plutôt moyen pour le niveau international (Bernardoni même s’il a une cote élevé, Larsonneur, Butez, Gallon, Nardi…) Je place Samba en numéro 6. Je pense que Mandanda sera préféré pour son expérience, et le vestiaire, si Maignan n’est pas rétabli. Lafont pour l’avenir et Areola pour être régulièrement appelé, sont devant.
  13. Classement en relief : 1 - 32 points : Paris 2,3 - 27 points : Lens, Lorient 4 - 24 points : Rennes 5 - 23 points : Marseille 6 - 22 points : Lille 7 - 21 points : Monaco 8,9 - 17 points : Lyon, Clermont 10 - 16 points : Toulouse 11,12 - 13 points : Troyes, Nice 13,14 - 12 points : Montpellier, Reims 15 - 11 points : Nantes 16,17,18 - 9 points : Strasbourg, Brest, Auxerre 19,20 - 8 points : Ajaccio, Angers
  14. Potentiels internationaux de ligue 1 pour la CDM. S’il y a des manques ou des joueurs présents qui ne devraient pas, faites signe ;) 1 - PSG : 17 joueurs - Navas (Costa Rica) - Marquinhos, Neymar (Brésil) - Kimpembe (?), Mukiele (?), Mbappé (France) - Mendes, Danilo, Vitinha, Sanches (Portugal) (liste présélection) - Ramos (?), Bernat (?), Ruiz (?), Soler, Sarabia (Espagne) - Hakimi (Maroc) - Messi (Argentine) 2 - Lens : 6 joueurs - Medina (Argentine) - Abdul-Samed (Ghana) - Onana (Cameroun) - Frankowski, Buksa (?) (Pologne) - Openda (Belgique) 3 - Lorient : 2 joueurs - Mvogo (Suisse) - Yongwa (Cameroun) 4 - Rennes : 8 joueurs - Mandanda (?), Truffert (?) (France) - Theate (Belgique) - Rodon (Pays de Galles) - Wooh (Cameroun) - Majer (Croatie) - Sulemana (Ghana) - Gomis (Sénégal) 5 - Marseille : 11 joueurs - Lopez (?) (Espagne) - Balerdi (Argentine) - Tavares (Portugal) (liste présélection) - Guendouzi, Clauss, Veretout (?) (France) - Gerson (?) (Brésil) - Harit (Maroc) - Ngapandouetnbu (Cameroun) - Gueye, Dieng (Sénégal) 6 - Monaco : 7 joueurs - Badiashile, Fofana, Ben Yedder (France) - Minamino (Japon) - Volland (Allemagne) - Embolo (Suisse) - Diatta (Sénégal) 7 - Lille : 4 joueurs - Djalo, Fonte (Portugal) (liste présélection) - David (Canada) - Weah (USA) 8 - Lyon : 3 joueurs - Lopes (Portugal) (liste présélection) - Tagliafico (Argentine) - Toko-Ekambi (Cameroun) 9 - Clermont : 4 joueurs - Seidu (Ghana) - Wieteska (Pologne) - Khaoui (Tunisie) - Diaw (Sénégal) 10 - Toulouse : 3 joueurs - Genreau (Australie) - Birmancevic (Serbie) - Aboukhlal (Maroc) 11 - Troyes : 3 joueurs - Porozo (Équateur) - Palmer-Brown (USA) - Ugbo (Canada) 12 - Nice : 4 joueurs - Schmeichel, Sörensen (?) (Danemark) - Lotomba (Suisse) - Ramsey (Pays de Galles) 13 - Montpellier : 3 joueurs - Omlin (Suisse) - Tchato (Cameroun) - Khazri (Tunisie) 14 -Reims : 3 joueurs - Abdelhamid (Maroc) - Foket (?) (Belgique) - Ito (Japon) 15 - Nantes : 3 joueurs - Lafont (France) - Castelletto, Ganago (Cameroun) 16 - Strasbourg : 4 joueurs - Sels (Belgique) - Kawashima (Japon) - Djiku (Ghana) - Diallo (Sénégal) 17 - Brest : 1 joueur - Dari (Maroc) 18 - Auxerre : 1 joueur - Mensah (Ghana) 19 - Ajaccio : 2 joueurs - Gonzales (Cameroun) - Touzghar (?) (Tunisie) 20 - Angers : 5 joueurs - Valéry (Tunisie) - Ounahi, Boufal (Maroc) - Sima, Thioub (?) (Sénégal)
  15. Tibbs

    [30] Brice Samba

    Article de l’Equipe : Comment le gardien Brice Samba joue au pied pour briller avec Lens Armé notamment de son jeu au pied flamboyant, le gardien réalise un début de saison remarquable avec Lens qui se déplace à Marseille ce samedi (21 heures). Romain Lafont (avec J. D.)mis à jour le 22 octobre 2022 à 00h15 ma liste commenter partager Il a fait danser Mostafa Mohamed et remis au goût du jour un tube de l'été 1997. Après avoir dribblé l'attaquant nantais d'une sorte de coup du sombrero sacrément osé, mi-septembre, Brice Samba a posté le geste sur les réseaux sociaux en l'accompagnant de l'entêtant Samba de Janeiro de Bellini. Depuis le début de la saison, le gardien lensois (28 ans) est en mode carnaval. Par ses arrêts spectaculaires, comme cette manchette d'une fermeté incroyable devant Marshall Munetsi à Reims. Mais aussi par son jeu au pied, qui ne sert pas qu'à amuser la galerie. « La situation, on l'a décortiquée, c'est un geste adapté par rapport au pressing de l'attaquant, même s'il aurait pu faire autre chose, précise Hervé Sekli, entraîneur des gardiens lensois, qui a déjà travaillé à Caen avec Samba. L'attaquant vient lui fermer le côté où il doit dégager, et c'est l'instinct qui lui propose de faire ce geste-là. Après, on n'a pas l'habitude de le voir chez un gardien... » « Ce qui est impressionnant, c'est qu'il vient parfois entre les arrières centraux » Nicolas Dehon, entraîneur des gardiens de Nice Au-delà de ce geste, Samba a imprimé sa patte gauche sur le jeu du RCL. « Ce qui est impressionnant, c'est qu'il vient parfois entre les arrières centraux, explique l'entraîneur des gardiens de Nice Nicolas Dehon, qui l'a connu au Havre et a contribué à son arrivée à l'OM en 2012. C'est ce que faisait (André) Onana avec l'Ajax, c'est le gardien moderne, qui vient jouer avec son équipe, qui apporte une supériorité numérique. » L'impression est corroborée par les chiffres : trois fois, déjà, il a touché plus de 50 ballons dans un match. Aucun autre gardien n'a fait mieux cette saison. Et il est, en proportion, le portier qui touche le plus de ballons hors de sa surface en Ligue 1. 27 % La part des ballons touchés en dehors de sa surface par Brice Samba. Aucun autre gardien de L1 qui a disputé au moins deux matches, ne fait mieux cette saison. Opta « Brice est vraiment l'un des tout meilleurs en Europe au pied, s'enthousiasme l'ex-gardien du PSG et de l'OM Jérôme Alonzo. Souvent, ça me gave, cette dictature du jeu au pied des gardiens. Mais lui fait partie de ceux qui effectivement peuvent faire évoluer le jeu de son équipe. » « Il y a une grande, grande différence avec le Brice d'il y a quelques années » Stéphane Cassard, son ancien entraîneur à Marseille Le sien n'a pas tant évolué que cela, si l'on en croit ceux qui l'ont connu il y a quelques années. Stéphane Cassard, qui l'a eu sous ses ordres à l'OM : « C'est naturel, il a toujours été à l'aise avec son jeu au pied. Il prend plaisir à mettre des bons ballons, parce qu'en fait il est concerné par le jeu. » Frédéric Petereyns, qui l'a aussi entraîné à Caen et officie aujourd'hui à Dunkerque, corrobore : « Pied droit, pied gauche, il n'y avait pas de problèmes, il savait faire des frappes tendues, des frappes lobées... Mais on pouvait lui donner le ballon, il savait jouer à 20 mètres, à 30 mètres... Et puis il avait une confiance énorme en lui. » lire aussiBrice Samba (Lens) se confie sur son retour en L1 : « J'ai énormément confiance en moi » C'est ce qui fait sa force aujourd'hui mais qui a pu lui jouer des tours par le passé. « Le risque ? C'est l'excès de confiance qu'il pouvait avoir à certains moments, ou l'excès d'ambition, reprend Dehon. Après, il n'est pas à l'abri d'une erreur, comme tous les gardiens. » Samba s'était d'ailleurs troué de manière spectaculaire à l'été 2018, pour l'un de ses premiers matches de L1. En face, le PSG de Neymar et Cavani : une relance ratée aboutissant à l'ouverture du score, une autre carrément contrée dans le but par Tim Weah, 0-3... Sekli plaide coupable pour l'occasion : « On avait décelé chez lui un très bon jeu au pied et c'est nous qui l'avions peut-être poussé à être un peu trop ambitieux. Après Paris, c'est nous qui lui avions demandé par la suite de se mettre en sécurité. » En 2018, Brice Samba avait commis, avec Caen, deux bourdes qui avaient offert deux buts au PSG (0-3), dont ce contrôle raté face à Tim Weah. (J. Prévost/L'Équipe) lire aussiEn 2018, deux grosses bourdes face au PSG « Cette erreur lui a peut-être permis d'apprendre, veut croire Petereyns, prédécesseur de Sekli en Normandie. Il a une arme dans ses pieds qui est quelque chose d'exceptionnel. Il ne fallait pas le freiner, juste l'utiliser à bon escient. » Pour cela, son expérience chez le double champion d'Europe 1979 et 1980 semble avoir été décisive. « Il a enchaîné trois saisons, c'est énorme, estime Cassard. Aujourd'hui, il est suffisamment mature pour savoir quand est-ce qu'il peut tenter, quand est-ce qu'il doit faire un geste ou ne pas le faire. Il y a une grande, grande différence avec le Brice d'il y a quelques années. » « Il a ma confiance pour continuer à créer et chercher le déséquilibre » Franck Haise, entraîneur de Lens Depuis le début de saison, il a rapporté de nombreux points et, malgré son omniprésence balle au pied, il n'a pas commis d'erreurs, même si le Lyonnais Alexandre Lacazette a bien failli l'attraper, début octobre (1-0). « Le revers de la médaille, c'est qu'une fois par-ci, par-là, tu vas y avoir droit, même si je ne le lui souhaite pas, présage Alonzo. Tous les très bons pieds en prennent un, même (Manuel) Neuer. » Comment gérer cet équilibre précaire ? « Je compte sur son intelligence et sa lecture pour faire le moins d'erreurs possible, raconte Franck Haise, le manager général lensois. Il a ma confiance pour continuer à créer et chercher le déséquilibre. On l'a recruté en connaissance de cause. » Haise ne savait peut-être pas, en revanche, que son gardien était capable de gestes osés avec autre chose que ses pieds. Témoin, cet arrêt à une main sur un très long ballon du Troyen Adil Rami (1-0, le 9 septembre). « Mais ce geste, il a l'habitude de le faire à l'entraînement, révèle Sekli. Ce n'est pas un geste qu'il réalise juste une fois de temps en temps. Je pense qu'il s'adapte selon la situation. Mais que rien n'est calculé. » En tout cas, ça plaît, et pas seulement aux supporters artésiens. Alonzo : « Enfin le retour du gardien spectacle. On a été élevés comme ça avec Olmeta, Huard... Un gardien sobre, c'est comme une bière sans alcool, c'est chiant. »
  16. Mais on n’a pas le droit à un joker médical !! Un joker, oui, mais pas médical. Le joker médical c’est uniquement pour les gardiens ou les joueurs blessés lors de la sélection en EDF (donc pas nous dans ce cas) Un club a le droit à 2 jokers. Le simple avec quelques conditions ET le médical.
  17. Des solutions, on en trouvera, que ce soit en interne ou en recrutement. La saison dernière, on a eu Jean en piston gauche, quand il y a eu pénurie de piston. Gradit fut un un temps latéral droit, il peut dépanner. Si on a un DC en plus. Sotoca a commencé latéral droit. Haïdara et Boura peuvent dépanner à droite, ils l’ont déjà fait. Ces solutions à envisager, c’est en sortie de banc en considérant Machado et Franko titulaires, ou à la moindre blessure ou suspension. Le problème, ça sera le manque de turnover sur ces postes energivores, et le manque de pression du remplaçant à la moindre contre performance (cf Franko vs Cabot contre Montpellier quand ce dernier s’échauffe en première mi-temps) Mais aussi que les remplaçants en pistons sont aussi les remplaçants dans l’axe (Haïdara en ce moment, peut-être Boura pour remplacer Medina lors de sa suspension) A moyen terme, ça devrait le faire avec le retour de Gradit, c’est plus sur le court terme qu’on est juste en effectif avec ces 2 grosses blessures, et la suspension de Medina. Rien ne sert de se précipiter. Il y aura probablement un renfort durant l’hiver. Peut-être qu’un joueur polyvalent axe droit / piston droit sera recruté, mais il faut le trouver… Je ne doute pas que Ghisolfi… euh… Thil et le staff réfléchissent à ce problème et qu’ils trouveront une solution.
  18. Pas moi 😹😹 Lorient, c’est plus joueur que Strasbourg de 2021-2022. Strasbourg, c’était plus solide. Lorient est sur un petit nuage où tout leur réussit. Et des joueurs comme Moffi en pleine confiance. J’ai énormément de respect pour ces 2 clubs, mais je préfère voir le Lorient de cette saison que le Strasbourg de la saison dernière, sportivement parlant.
  19. Il y a quand de sacrés groupe. Et d’autres moins excitant. Groupe A : l’Espagne part favori mais ça va être chaud entre l’Ecosse et la Norvège de Haaland pour les outsiders Groupe B : Pas si évident que ça pour nous. On est favori avec les Pays-Bas, mais les matchs en Irlande et en Grèce ne seront pas si évident. Groupe C : peut-être le plus intéressant, l’Angleterre éternel favori décevant, l’Italie champion en titre et non qualifié en CDM, et le contexte géopolitique avec l’Ukraine. Groupe F : Belgique favori avec 2 jolis outsiders Autriche et Suède Les autres groupes, je le ne trouve pas super excitant.
  20. Tibbs

    [7] Florian Sotoca

    Desolé j’ai voulu mettre des captures d’écran des images décryptées mais ça prend trop de place…
  21. Tibbs

    [7] Florian Sotoca

    Décryptage : Florian Sotoca, l'homme à tout faire de Lens Troisième meilleur buteur de Ligue 1 et fer de lance de l'attaque des Sang et Or, Florian Sotoca s'est mué ces derniers mois en un joueur complet et essentiel dans tous les compartiments du jeu lensois. Avec ou sans ballon, au coeur du jeu comme à la finition, le trentenaire s'épanouit comme jamais. ——- « Chaque saison, on fait une nouvelle recrue, c'est Sotoca, parce que chaque saison, il progresse. » Mi-septembre, au moment de dresser le bilan de son (dernier) mercato à la direction sportive du RC Lens, Florent Ghisolfi faisait part à La Voix du Nord de son admiration pour Florian Sotoca, symbole de la réussite des Sang et Or depuis son arrivée en 2019. Novice en Ligue 1 au moment de l'accession du club artésien il y a deux saisons, le polyvalent attaquant (bientôt 32 ans) a bel et bien évolué au fil des mois pour incarner aujourd'hui un parfait symbole du projet de jeu de Franck Haise, assurant discipline et agressivité en phase défensive et exploitant une grande liberté créatrice en phase offensive. Pour ne rien gâcher, le voilà qui parade sur le podium du classement des buteurs (6 réalisations, soit déjà autant que la saison dernière). Un investissement constant sans ballon Si son rôle au sein du trident offensif lensois et son efficacité ont pu varier au fil des mois - on y reviendra - Florian Sotoca assure à ses coéquipiers et à son entraîneur une base non négociable et fortement appréciable : une implication totale lorsque son équipe n'a pas le ballon. En premier rideau devant, plus bas afin de prêter main-forte à ses milieux ou sur le côté pour protéger son latéral, Sotoca ne rechigne jamais, en témoignent ses 11,3 kilomètres avalés en moyenne. Et le Narbonnais de naissance ne se contente pas de courir. Il sait se déplacer dans les zones idoines et dans le bon timing pour perturber les offensives adverses. « Flo fait partie de ces joueurs offensifs qui ont cette capacité à être au service de l'équipe et, en même temps, d'être très intelligents pour faire les compensations, les équilibres, soulignait Haise l'an dernier. Pour ça aussi, c'est un joueur rare. » À tel point que le coach nordiste n'hésite pas, ponctuellement et selon l'organisation adverse, à utiliser son couteau suisse au milieu d'un 5-3-2 en phase défensive. Une importance croissante à la création L'utilisation de Sotoca dans l'entrejeu n'est d'ailleurs pas simplement une stratégie occasionnelle et défensive de la part de Franck Haise. Si l'ex-Grenoblois s'est d'abord imposé dans un rôle de second attaquant au RCL, il est peu à peu devenu un relais essentiel dans la construction du jeu lensois, disposant d'une grande liberté dans ses déplacements et ses choix. Au-delà de son intelligence de jeu et de sa progression personnelle, cette évolution s'est accélérée la saison dernière, à mesure que David Pereira da Costa poussait Gaël Kakuta vers le banc des remplaçants. Sans leur organisateur « traditionnel », les Sang et Or ont dû adapter leur schéma, développer d'autres habitudes de jeu, et ont trouvé en Sotoca leur nouveau point de référence pour sublimer leurs sorties de balle. Aujourd'hui, en plus d'incarner une menace entre les lignes plus haut sur le terrain, il n'est pas rare de le voir décrocher pour jouer quasiment le rôle de deuxième n°8 (compensant idéalement la propension de Seko Fofana à se rapprocher du couloir gauche). Ses qualités dos au but, en appui, et sa vision du jeu pour exploiter les projections de ses latéraux ou de ses compères offensifs y font souvent merveille. Son implication plus étoffée à la construction se retranscrit d'ailleurs assez nettement dans les chiffres : de 26,5 passes par match en 2020-2021, il est passé à 32,5 la saison dernière, puis 43 cette saison. Avec une précision, elle aussi, en progression constante (73,6 %, 78,2 % puis 82,4 %). Attaquant atypique, hybride et altruiste par nature, celui qui n'a découvert le monde professionnel qu'à 24 ans a dû patienter jusqu'à la trentaine pour trouver le contexte tactique idéal pour s'épanouir. Mais alors comment définir le poste occupé par Florian Sotoca au sein de ce RC Lens ? Toutes proportions gardées et dans un style forcément différent, il ne paraît pas tout à fait incongru d'emprunter l'autodéfinition d'un certain Thomas Müller, formulée ainsi en 2011 : « Je n'aime pas trop être présenté comme un avant-centre. J'aime être actif dans les espaces dans le dos des milieux adverses. C'est dans ces zones que je peux faire le plus de mal à l'adversaire. Je suis un mélange entre un avant-centre et un milieu de terrain. Je suis un interprète de l'espace (« Raumdeuter » en VO). C'est une question d'instinct. » De nets progrès à la finition Et s'il est question d'instinct, le vice-capitaine lensois n'en manque pas ces derniers temps. Alors qu'il n'a jamais marqué plus de 11 buts sur une saison (avec Grenoble en L2 en 2018-2019) et en avait totalisé 14 sur ses deux premiers exercices en L1, le voilà déjà à 6 unités après 9 journées (plus 2 passes décisives). « C'est devenu un joueur encore plus complet, appréciait Franck Haise mi-septembre. Je suis très satisfait de son évolution cette saison car au-delà de son travail sur toutes les zones du terrain, il est aussi le troisième joueur qui tente le plus de tirs (voir graphique plus haut). Malgré le fait qu'il dézone - ce qui fait partie de notre plan de jeu - et tout son travail défensif, sa démarche collective, il est aussi capable d'attaquer le but, de marquer, de faire des passes décisives. » Sa complémentarité avec Loïs Openda et David Pereira da Costa semble naturelle. Le départ de Jonathan Clauss lui a donné (encore) plus de responsabilités offensives, et Florian Sotoca a surtout réglé la mire : alors qu'il avait besoin de 18 tirs en moyenne pour marquer l'an dernier, 6 suffisent depuis l'entame de cette saison ! Son volume de dernières passes a également grossi, portant son implication directe dans 5,6 tirs dans le jeu en moyenne (3,5 tirs et 2,1 dernières passes), contre 3,5 en 2021-2022 (2,5 tirs et 1 dernière passe). « Cette année j'ai plus de réussite, ça me met plus en valeur », s'excusait presque l'intéressé après le succès face à l'OL (1-0) au micro de Prime Video, avant de louer « le travail du coach, de la vidéo, des coéquipiers... J'arrive à me créer plus d'occasions et je me rends plus utile à l'équipe. » Sa façon à lui d'admettre qu'il est incontournable.
  22. Tibbs

    Lille - Lens / J10 / 09-10-22

    Mwé, je ne pense pas pour autant. Ça n’a été beaucoup souligné, mais malgré qu’on soit invaincu, on n’a gagné qu’une fois à l’extérieur (certes à Monaco) en 4 matchs, et 3 nuls contre des équipes étant mal classées aujourd’hui (Ajaccio, Reims, Nantes). On est 8ème à l’extérieur, si on gagne on ne dépassera pas la 5e place. C’est à domicile qu’on est intraitable. Lille, en 4 matchs à Mauroy, est sur 2v et 2d, les revers étant Paris et Nice. Pour moi, il n’y a pas de favori. On surfe sur notre vague d’invincibilité, et d’autres facteurs sportifs positifs (seulement 11 minutes jouées en étant menés, aucun but encaissé durant la première demi-heure, etc…), mais ça ne doit pas cacher les quelques difficultés que l’on a eues hors de Bollaert. Et on aura à faire à des lillois revanchards. Un nul semble le plus logique, même si l’une ou l’autre équipe peut gagner sur un détail. Sur une grille lotofoot, c’est le genre de match que tu mets en 1N2 si tu veux assurer.
  23. Tout dépends de combien de Mc Do il a fait cette semaine… 🤪😂
  24. Je propose comme noble successeur : Denis Cheure De Talent oups… 😹
  25. Tibbs

    Lens - Lyon / J09 / 02-10-22

    Article de l’Equipe : https://www.lequipe.fr/Football/Article/Tactique-l-animation-inoffensive-de-l-ol-a-lens/1357302 (avec des schémas de jeu et commentaires, pour les abonnés) Tactique : L'animation inoffensive de l'OL à Lens Battu sur le plus petit des scores (0-1) mais surclassé dans le jeu par le RC Lens, l'OL a livré une performance insipide à Bollaert dimanche soir, en particulier avec le ballon. ——- Perdre contre Lens n'a rien d'infamant cette saison. Rennes (1-2) et Monaco (1-4), candidats au podium, ont tous deux été battus. Lorient, auteur d'un début d'exercice canon, a explosé à Bollaert (2-5) il y a un peu plus d'un mois. Que Lyon, dans une mauvaise dynamique, reparte du Nord battu n'a donc rien d'étonnant. 0,08 Expected Goals pour l'OL Le manque absolu d'idées dans le jeu rhodanien est plus perturbant. Souffrir sans le ballon face aux Sang et Or est devenu une habitude en Ligue 1, d'autant plus que la formation de Franck Haise a progressé, récupère le ballon plus vite, plus haut et le tient mieux que par le passé (58,4 % de possession cette saison contre 50,9 la saison dernière). Mais aucune autre équipe n'avait aussi peu menacé les Lensois. Avec un total rachitique de 0,08 Expected Goals, l'OL a signé la pire performance de la saison sur le plan offensif en France. Dans les cinq grands Championnats, seul Elche a fait pire avec un chiffre insensé de 0,01 xG au Camp Nou le 17 septembre dernier, selon Understat.com. Les hommes de Francisco Rodriguez ont marqué deux buts en six matches de Liga. Que ce soit en contre-attaque ou sur attaque placée (les Gones ont terminé avec 47,6 % de possession, Lens ne leur a pas confisqué le cuir), Lyon n'a jamais rien créé, la faute à des choix de passes trop neutres, une absence de profondeur ou une occupation du terrain anarchique. Des attaques rapides inexistantes L'OL a subi plusieurs temps forts lensois au cours de la rencontre, des moments au cours desquels les locaux ont étouffé leurs adversaires, enchaîné les occasions et les récupérations hautes. Dans un tel contexte, quand voyager ensemble avec le ballon, préparer et s'installer dans la moitié adverse devient impossible, répliquer par des contre-attaques devient essentiel. Malgré le contre-pressing nordiste, Lyon a eu plusieurs ballons exploitables, notamment au cours de la première période, grâce à l'abattage du duo Caqueret-Lepenant, précieux sur le plan défensif même dans les mauvais soirs. Leurs limites apparaissent une fois qu'ils ont le ballon dans les pieds : une vraie difficulté à voir loin, qui les empêche de trouver la profondeur, et des premières passes timides à la récupération, qui ont donné du temps à Lens pour réagir ou se replier. Même s'ils avaient su regarder loin (Johan Cruyff conseillait toujours à Pep Guardiola de regarder directement vers l'avant-centre), les deux jeunes milieux français n'auraient pas vu grand-chose. Alexandre Lacazette n'est pas un joueur de profondeur. Quant à Tetê et Karl Toko Ekambi, ils ont rarement proposé des courses dans le bon timing dans les secondes suivant une récupération. Une belle possibilité est néanmoins survenue à la 52e minute. Après avoir gratté un ballon autour de la médiane, les Gones ont mal démarré : Toko Ekambi n'a pas déclenché franchement sa course, Rayan Cherki et Tetê - très intérieur, on va y revenir - sont venus demander le ballon dans les pieds... mais cette fois, Lacazette est parti dans le dos de la défense. La réaction de Lacazette résume les incompréhensions lyonnaises. Alors que Lens engage énormément de joueurs offensivement, au risque de se déséquilibrer (et l'a parfois payé la saison dernière), la formation de Peter Bosz n'est quasiment pas parvenue une seule fois à devancer le contre-pressing ou le repli des Sang et Or. Une occupation du terrain curieuse Facette du jeu bien plus problématique chez les visiteurs dimanche soir : les attaques placées. Quand les Lensois étaient organisés en bloc médian ou un peu plus bas, les Lyonnais n'ont pas semblé avoir la moindre piste pour les déstabiliser. Ils ont même peiné à faire circuler le ballon d'un côté à l'autre, la faute à une occupation du terrain extrêmement étroite. S'il s'agissait d'un parti pris, il a éteint les offensives rhodaniennes. Lyon a balbutié dès la phase de relance, pas aidé, il est vrai, par l'absence de Malo Gusto. Remplacé par Henrique, gaucher, dans le couloir droit, l'international Espoirs français aurait résolu quelques problèmes pour son équipe. Avec son volume de courses et sa vitesse, il se serait plus engagé sur son flanc que Nicolas Tagliafico et Henrique, positionnés très bas et loin de la ligne de touche. Là aussi, ce recentrage des deux latéraux découle peut-être d'un choix du staff technique. Mais il n'a pas été compensé par les déplacements des deux ailiers, Toko Ekambi et Tetê. Au contraire, le Camerounais et le Brésilien se sont souvent rapprochés de Lacazette et Cherki à l'intérieur. En empilant les joueurs dans l'axe, l'OL n'a pu s'exprimer ni sur les ailes ni au coeur du jeu. Le bloc lensois, menacé ni dans la profondeur, ni sur les côtés, a pu garder toute sa densité à l'intérieur. Le positionnement de Tetê, habituellement doué dans le un contre un en repiquant sur son pied gauche, a compliqué la tâche de son compatriote latéral droit de fortune, forcément limité offensivement en étant sur son mauvais pied. Plutôt que d'étirer le bloc adverse, pour forcer Deiver Machado à choisir entre le suivre (donc ouvrir l'espace pour Cherki ou Lacazette) et rester proche de Facundo Medina (donc lui donner du temps pour recevoir le ballon), l'ancien du Championnat ukrainien a passé son temps collé à son marquage, en restant dos au jeu. Mal positionné et mal orienté, il n'a pas pu prendre de vitesse et a raté les trois dribbles qu'il a tentés. En plaçant autant de joueurs à l'intérieur du terrain, Lyon a naturellement attiré son adversaire dans l'axe et forcé son bloc à se resserrer. Avec des combinaisons en une ou deux touches entre les lignes, l'espace pour arriver lancé sur les ailes pouvait s'ouvrir. Sur les rares séquences où l'OL a réussi à enchaîner quelques passes dans l'axe, la logique aurait voulu qu'un latéral en profite en partant de loin. Et pourtant, jusqu'au bout, rien n'a remis l'OL à l'endroit, ni le but sur penalty de Florian Sotoca, ni l'entrée de Saël Kumbedi sur le flanc droit. Avec ce quatrième revers consécutif, la Ligue des champions s'éloigne sérieusement pour les protégés de Jean-Michel Aulas. Plus inquiétant, à chaque mois qui passe, on sait un peu moins où l'OL veut aller dans le jeu. Un flou général qui interroge sans doute les décideurs du club.
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