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Posté(e) (modifié)

Vous en pensez quoi des achats groupés vous? Genre Groupon and co.

C'est le gros truc à la mode, mais ça semble avoir autant de limites pour le consommateur que pour le prestataire non? Ça va durer cette histoire là ou ça risque de se casser la gueule très vite?

 

J'ai du mal à concevoir l'intérêt pour un professionnel de casser ses prix au point de faire une marge nulle ou quasi nulle, sachant que 2 mecs sur 3 pour ne pas dire 9 sur 10 ne viennent QUE parce qu'ils ont eu une réduction imbattable, mais ne reviendraient jamais s'il fallait payer le prix fort.

Ma copine s'en sert pour ses trucs de nana, coiffeur et compagnie. Une fois c'était génial, une autre fois complètement pourri, une autre fois le prestataire faisait la gueule et en avait tellement ras le cul des clients Groupon qu'il essaie de les éviter, quitte à dire qu'il n'a plus de place afin d'éloigner au maximum les RDV qui lui saccage sa gestion de planning.

Elle a même du rendre une offre que le prestataire ne pouvait pas honorer avant des lustres, et qui n'avait pas précisé que pour les cheveux longs, c'était 15 euros plus cher. Groupon lui a fait un avoir.

 

Moi, j'ai mangé dans le pire japonais du Monde via une offre alléchante. J'ai peut-être payé 14€ au lieu de 30, mais finalement j'ai pas fait d'affaire car j'ai pas tout bouffé et que j'ai du aller me chercher un casse-dalle une fois sorti du resto.

 

Bref, votre avis à vous, pour, contre?

Aujourd'hui j'imagine qu'ils recrutent à bloc mais ça ne sent pas le licenciement dans les années à venir?

 

Article sur le sujet

Modifié par Adjo
Posté(e)

 

J'ai du mal à concevoir l'intérêt pour un professionnel de casser ses prix au point de faire une marge nulle ou quasi nulle, sachant que 2 mecs sur 3 pour ne pas dire 9 sur 10 ne viennent QUE parce qu'ils ont eu une réduction imbattable, mais ne reviendraient jamais s'il fallait payer le prix fort.

 

Peut être qu'à l'image de ce qui se fait pour des sites du type "ventes privées", se ne sont peut être parfois pas les mêmes prestations (les marques textiles fabriquent fréquemment des séries spécialement pour ce type de vente avec une finition inférieure). Mais entre nous je te l'ai déjà dis va Jomon, le reste dans la région c'est juste du chinois qui fait du japonnais !

 

Autre exemple, un fournisseur m'a offert une "smart box" qui fonctionne sur le même principe finalement. Le résultat? ben la moitié des 4 trucs qui pouvaient éventuellement m’intéresser ne travaillaient plus avec eux. Quand à l'autre moitié, elle a fait mine d'être débordée (jusqu'au terme de la date de validité du coupon). Bref le truc n'a pas été utilisé et Smart box a pris 100% des bénéfices.

 

Mais je comprend tout a fait ces commerçants, car sur le même principe, je suis presque quotidiennement sollicité par des courtiers en travaux. Leur but? bouffer ce qui reste de la marge acquise à l'artisan qui ne l'a pas été par les industriels, les assurances, les banques, les collectivités, ou les clients de mauvaise foi. Ils se déresponsabilisent de tout suivi de travaux (en fait ils proposent une option à la tarification volontairement élevée que le client ne prendra pas). Ils cherchent juste a trouver des artisans dans le besoin (c'est déjà pas bon signe qualitativement parlant, même en temps de crise :rolleyes: )... Déjà que le milieu de l'artisanat du bâtiment tourne à 3.5% de marge sur les 5 dernières années (source Fédé française du Bat.), ça laisse songeur... Accepter de traiter avec eux c'est se tirer une balle dans le pied à moyen terme.

 

Je pense qu'on peut remercier toutes nos écoles de commerce de sortir des merdeux capables de créer des emplois totalement inutiles qui se gavent sur le travail des autres. Chaque corps de métier a son lot de boulet qui démarchent les indépendants. Personnellement quand ils m’appellent, j'ai ma réponse type, assez grossière, et que par pudeur je n'écrirai pas. -_-

Posté(e)

Un agent SNCF affirme qu'on l'a obligé à enterrer les restes d'un collègue.

Il va saisir mercredi les prud'hommes de Paris pour avoir été contraint en 1997 par son chef d'equipe d'enterrer des restes d'un collègue écrasé par un TGV.

Posté(e)

Vous en pensez quoi des achats groupés vous? Genre Groupon and co.

C'est le gros truc à la mode, mais ça semble avoir autant de limites pour le consommateur que pour le prestataire non? Ça va durer cette histoire là ou ça risque de se casser la gueule très vite?

 

J'ai du mal à concevoir l'intérêt pour un professionnel de casser ses prix au point de faire une marge nulle ou quasi nulle, sachant que 2 mecs sur 3 pour ne pas dire 9 sur 10 ne viennent QUE parce qu'ils ont eu une réduction imbattable, mais ne reviendraient jamais s'il fallait payer le prix fort.

Ma copine s'en sert pour ses trucs de nana, coiffeur et compagnie. Une fois c'était génial, une autre fois complètement pourri, une autre fois le prestataire faisait la gueule et en avait tellement ras le cul des clients Groupon qu'il essaie de les éviter, quitte à dire qu'il n'a plus de place afin d'éloigner au maximum les RDV qui lui saccage sa gestion de planning.

Elle a même du rendre une offre que le prestataire ne pouvait pas honorer avant des lustres, et qui n'avait pas précisé que pour les cheveux longs, c'était 15 euros plus cher. Groupon lui a fait un avoir.

 

Moi, j'ai mangé dans le pire japonais du Monde via une offre alléchante. J'ai peut-être payé 14€ au lieu de 30, mais finalement j'ai pas fait d'affaire car j'ai pas tout bouffé et que j'ai du aller me chercher un casse-dalle une fois sorti du resto.

 

Bref, votre avis à vous, pour, contre?

Aujourd'hui j'imagine qu'ils recrutent à bloc mais ça ne sent pas le licenciement dans les années à venir?

 

Article sur le sujet

 

Lmarco pourrait en parler...

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Un agent SNCF affirme qu'on l'a obligé à enterrer les restes d'un collègue.

Il va saisir mercredi les prud'hommes de Paris pour avoir été contraint en 1997 par son chef d'equipe d'enterrer des restes d'un collègue écrasé par un TGV.

 

L'affaire en détail :

 

ANGERS, 9 juil 2011 (AFP) - Un agent SNCF va saisir mercredi les

prud'hommes de Paris pour avoir été contraint en 1997 par son chef d'équipe

d'enterrer des restes d'un collègue écrasé par un TGV, oubliés après la

récupération officielle du corps, a confirmé l'avocat du salarié dont le récit

est paru samedi dans Le Courrier de l'Ouest et Ouest-France.

Les faits remontent à 1997, à Bouchemaine (Maine-et-Loire). Un agent de la

SNCF est percuté par un TGV, son corps déchiqueté est rendu à la famille mais

elle remarque qu'il manque des bijoux portés par la victime.

Le lendemain, des employés de la SNCF envoyés sur place vont retrouver les

effets personnels mais découvrir aussi qu'il subsiste encore sur place des

restes humains «éparpillés autour des rails», relate le Courrier de l'Ouest,

quotidien du Maine-et-Loire et des Deux-Sèvres.

«Mon chef d'équipe m'a demandé de les ramasser. J'ai refusé. Je ne pouvais

pas. On aurait dû faire revenir les pompes funèbres. D'autres l'ont fait à ma

place», raconte au quotidien Pascal, aujourd'hui âgé de 44 ans.

L'agent décédé était son collègue et supérieur hiérarchique.

Les restes humains ramassés sont réunis dans un sac poubelle et le chef

d'équipe «m'a obligé à aller les enterrer dans un terrain vague», continue-t-il.

Traumatisé, l'agent «en a parlé à son supérieur direct et à un médecin de

la SNCF, on lui a dit de se taire», a affirmé à l'AFP Mickaël Boulay, son

avocat.

Rongé par cette histoire l'homme a pris 30 kg, il a sombré dans une

dépression en 2006 et a alerté à nouveau en vain ses supérieurs avant de faire

deux tentatives de suicide en 2008.

Avec Me Boulay, il déposera finalement plainte en 2008 au parquet d'Angers

pour «inhumation sauvage». «Les faits étaient prescrits mais une enquête a été

menée et ça nous a permis d'avoir la preuve de ce qui s'est passé, le chef

d'équipe a reconnu les faits» mais les restes enterrés n'ont pu être retrouvés,

explique l'avocat.

Finalement l'agent SNCF a décidé de saisir mercredi prochain le Conseil des

prud'hommes de Paris «pour manquement à l'obligation de loyauté».

«C'est une exécution fautive du contrat de travail, le préjudice c'est une

dépression avec deux tentatives de suicide», précise l'avocat, «la priorité ce

ne sont pas les indemnités, il veut demander la reconnaissance de la faute de

l'employeur».

Et «même si la famille du défunt est abasourdie» par les faits qui lui ont

été révélés en 2008, «elle soutient l'agent», assure Me Boulay qui n'écarte pas

une possible action en justice de la famille contre la SNCF.

La direction régionale des Pays de la Loire de la SNCF, contactée samedi

par l'AFP, devait se renseigner sur ces faits anciens. Des faits qui «risquent

de choquer la famille de la victime, les agents de la SNCF et le grand public»,

a-t-elle déclaré au Courrier de l'Ouest.

gvy/ed

 

AFP

Posté(e) (modifié)

Un bon petit article très concis pour les non initiés comme nous. Il devient vital de sortir de ce merdier rapidement.

 

Pourquoi la crise frappe l'Union européenne

 

L'impact sur l'Union européenne a été beaucoup plus violent que sur les institutions politiques et monétaires américaines, alors que la crise est née, en 2007, aux Etats-Unis. En fait, la crise qui secoue la zone euro n'est pas une surprise, elle est un avatar des deux principes qui régissent cette zone : marché unique des capitaux et monnaie unique.

 

Plus largement, elle est la conséquence des logiques qui dominent l'intégration européenne : la primauté donnée aux intérêts des grandes entreprises industrielles et financières privées, la large promotion des intérêts privés, la mise en compétition à l'intérieur de l'espace européen d'économies et de producteurs qui ont des forces tout à fait inégales, la volonté de retirer aux services publics un nombre croissant de domaines d'activité, la mise en concurrence des salariés entre eux, le refus d'unifier vers le haut les systèmes de sécurité sociale et les règles du marché du travail.

 

Tout cela poursuit un objectif précis, celui de favoriser l'accumulation maximale de profits privés, en mettant à disposition du capital une main-d’œuvre la plus malléable et la plus précaire possible. En Allemagne, en septembre 2010, parmi les salariés, 7,3 millions de personnes ne disposaient que d'un mini-job à temps partiel rémunéré 400 euros par mois.

 

Face à cette explication, on pourrait rétorquer que ces logiques dominent aussi l'économie des États-Unis. Il faut donc prendre en compte également d'autres facteurs : alors que les besoins de crédit des gouvernements des autres pays développés, dont celui des États-Unis, peuvent être satisfaits par leur banque centrale, notamment par l'intermédiaire de la création monétaire, les pays membres de la zone euro ont renoncé à cette possibilité.

 

De par ses statuts, la Banque centrale européenne (BCE) a l'interdiction de financer directement les Etats. De plus, en vertu du traité de Lisbonne, la solidarité financière entre les Etats membres est interdite. Selon son article 125, les Etats doivent assumer seuls leurs engagements financiers, ni l'Union ni les autres Etats ne pouvant les prendre à leur charge.

 

L'UE se place donc au service des marchés financiers, puisque les gouvernements des pays de la zone euro dépendent du secteur privé pour leur financement. Les investisseurs institutionnels (banques, fonds de pension, assurances) et des hedge funds (fonds spéculatifs) se sont attaqués en 2010 à la Grèce, maillon le plus faible de la chaîne européenne d'endettement, avant de s'en prendre à l'Irlande, au Portugal et à l'Espagne.

 

En agissant de la sorte, ils ont réalisé de juteux profits, car ils ont obtenu de ces pays une rémunération importante en termes de taux d'intérêt versés par les pouvoirs publics pour pouvoir refinancer leurs dettes.

 

Parmi ces investisseurs institutionnels (les "zinzins"), ce sont les banques privées qui ont fait le plus de profits, car elles pouvaient directement se financer auprès de la BCE en lui empruntant des capitaux à 1 % de taux d'intérêt (1,25 % depuis fin avril), alors que, dans le même temps, elles prêtaient sur une durée de trois mois à la Grèce à des taux d'environ 4 % ou 5 %.

 

A dix ans, elles n'acceptent d'acheter des titres grecs, irlandais ou portugais que si l'intérêt dépasse 10 %. En lançant leurs attaques contre les maillons les plus faibles, les "zinzins" étaient également convaincus que la BCE et la Commission européenne devraient d'une manière ou d'une autre venir en aide aux Etats victimes de la spéculation en leur prêtant les capitaux qui leur permettraient de poursuivre les remboursements. Ils ne se sont pas trompés.

 

La Commission européenne a plié et a octroyé, en collaboration avec le Fonds monétaire international (FMI), des prêts aux Etats membres de l'eurozone. Elle n'a donc pas respecté à la lettre l'article 125 du traité de Lisbonne.

 

D'autres différences majeures entre UE et Etats-Unis existent. Les Etats membres des Etats-Unis ne sont pas confrontés entre eux au problème du déficit commercial comme la Grèce l'est à l'égard du reste de l'UE et en particulier de l'Allemagne. En outre, une grande partie de la dette publique aux Etats-Unis est fédérale. C'est la dette de l'Union, et la dette des Etats membres constitue une part minoritaire de la dette publique totale et elle est achetée par la Réserve fédérale américaine (Fed).

 

Washington ne rencontre pas (encore) de problème de financement de sa dette publique, car, grâce à leur prétendue sécurité, les bons du Trésor américain sont très prisés sur les marchés internationaux, alors qu'ils n'offrent qu'une rémunération très faible. Enfin, aux Etats-Unis, une série de dépenses publiques importantes sont à charge du budget fédéral ou sont garanties par celui-ci alors que le budget de l'UE n'est qu'une peau de chagrin.

 

La crise qui a démarré aux Etats-Unis s'est répandue de manière très marquée à la zone euro. Au cours des trente dernières années, les maillons faibles de l'endettement international se situaient en Amérique latine, en Asie ou dans les pays dits "en transition" de l'ex-bloc soviétique, mais la situation a changé. L'épicentre de la crise se situe aujourd'hui dans l'Union européenne.

 

Les autorités européennes et nationales réagissent en appliquant des mesures néolibérales qui ont démontré leur caractère injuste du point de vue social et leur inefficacité du point de vue de la relance économique. Le FMI accompagne cette orientation. Plus que jamais, il faut revoir radicalement les fondations de la construction européenne et les choix économiques qui y sont opérés

http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/06/29/pourquoi-la-crise-frappe-l-union-europeenne_1542435_3232.html

 

 

Edit pour rappeler que les peuples européens ne veulent pas de cette absurdité dictée par des intérêts personnels et soutenue par des idéologues incompétents. Ces peuples ont voté NON quand on leur a demandé.

Modifié par Voban
Posté(e)

L'Europe n'est pas parfaite et des choses sont à corriger, mais sortir de l'Euro rendrait les choses encore plus difficiles, ça a déjà été démontré.

Posté(e)

L'Europe n'est pas parfaite et des choses sont à corriger, mais sortir de l'Euro rendrait les choses encore plus difficiles, ça a déjà été démontré.

Ha bon? Par quelqu'un d'autre que des industriels qui en tirent profits? Je ne sais pas où tu trouve ta lecture économique, parce que je ne cesse de lire clairement l'exact contraire.

 

Par ailleurs, il me semble que l'article considère seulement l'euro comme un un moyen de mettre en place une politique de :

 

- nivellement vers le bas des systèmes de sécurité sociale et du marché du travail

- mise en concurrence à l'intérieur de l'UE d'économies et de producteurs dans des rapports de force tout à fait inégaux

- mise en concurrence des salariés entres eux

- retrait des services publics

 

Faut il vraiment attendre nous subissions encore plus les conséquences?? En arriver à une situation où l'on se fait dicter notre politique sociale par les agences de notations, ce n'est pas encore suffisant à tes yeux?

 

Bruxelles veut interdire les notations de pays bénéficiant d'un plan d'aide

 

Le commissaire européen chargé des marchés financiers, Michel Barnier, a proposé, lundi 11 juillet, de durcir nettement les règles s'appliquant aux agences de notation, en leur interdisant notamment de noter un pays faisant l'objet d'un plan d'aide international.

 

La mise sur pied d'un second plan d'aide à la Grèce et la défiance croissante des marchés à l'égard de l'ensemble de la zone euro doit dominer une série de discussions cruciales entre responsables européens lundi à Bruxelles.

 

"Je compte demander à la présidence polonaise de l'Union européenne de mettre ce sujet à l'ordre du jour dans les prochains Ecofin [réunions des ministres des finances européens]. Bien sûr, il faudrait encore étudier la faisabilité et regarder les modalités d'une telle interdiction", a-t-il déclaré dans un discours prononcé à Paris, et dont le texte a été diffusé par ses services à Bruxelles.

 

L'Europe a été ulcérée la semaine dernière par la décision de l'agence Moody's d'abaisser spectaculairement la note du Portugal, pays bénéficiant d'un plan de prêts internationaux de l'UE et du Fonds monétaire international (FMI).

 

L'"OLIGOPOLE" DES AGENCES DE NOTATION

 

Moody's a relégué, mardi 5 juillet, la note du Portugal en catégorie spéculative, contribuant à relancer les craintes d'une contagion d'une crise de la dette au sein de la zone euro. Plusieurs responsables européens étaient alors montés au créneau pour dénoncer "l'oligopole" des trois agences de notation anglo-saxonnes qui font la pluie et le beau temps sur les marchés.

 

"Il ne s'agit pas de briser le thermomètre face aux difficultés bien réelles de certains Etats. Mais quand un Etat est membre de l'Union européenne et bénéficie de la solidarité de ses membres, quand il suit un programme de soutien international, on ne peut pas ne pas en tenir compte", a jugé M. Barnier dans son discours devant l'Autorité européenne de régulation des marchés financiers.

 

"Et dans ces conditions, il faut aussi se poser la question, comme Mme Lagarde [directrice générale du FMI] l'a fait, de savoir s'il faut permettre les notations souveraines quand un Etat est sous programme international", a souligné M. Barnier.

 

Voici la seule réponse donnée par Bruxelles... ça ressemble plus à un pathétique aveux d'impuissance à résoudre un problème qui ne voit le jour que chez nous grâce aux conditions idéales mises en place par L'UE...

Posté(e)

A l'époque où on avait déjà parlé de ça sur ce topic j'avais lu et mis un lien vers un article qui montrait assez objectivement je trouve que sortir de l'euro serait une erreur.

Quant aux agences de notation, vu le pouvoir énorme qu'elles ont et qu'elles s'auto attribuent, ce serait pas plus mal de limiter leurs actions

Posté(e)

Vous en pensez quoi des achats groupés vous? Genre Groupon and co.

C'est le gros truc à la mode, mais ça semble avoir autant de limites pour le consommateur que pour le prestataire non? Ça va durer cette histoire là ou ça risque de se casser la gueule très vite?

 

J'ai du mal à concevoir l'intérêt pour un professionnel de casser ses prix au point de faire une marge nulle ou quasi nulle, sachant que 2 mecs sur 3 pour ne pas dire 9 sur 10 ne viennent QUE parce qu'ils ont eu une réduction imbattable, mais ne reviendraient jamais s'il fallait payer le prix fort.

Ma copine s'en sert pour ses trucs de nana, coiffeur et compagnie. Une fois c'était génial, une autre fois complètement pourri, une autre fois le prestataire faisait la gueule et en avait tellement ras le cul des clients Groupon qu'il essaie de les éviter, quitte à dire qu'il n'a plus de place afin d'éloigner au maximum les RDV qui lui saccage sa gestion de planning.

Elle a même du rendre une offre que le prestataire ne pouvait pas honorer avant des lustres, et qui n'avait pas précisé que pour les cheveux longs, c'était 15 euros plus cher. Groupon lui a fait un avoir.

 

Moi, j'ai mangé dans le pire japonais du Monde via une offre alléchante. J'ai peut-être payé 14€ au lieu de 30, mais finalement j'ai pas fait d'affaire car j'ai pas tout bouffé et que j'ai du aller me chercher un casse-dalle une fois sorti du resto.

 

Bref, votre avis à vous, pour, contre?

Aujourd'hui j'imagine qu'ils recrutent à bloc mais ça ne sent pas le licenciement dans les années à venir?

 

Article sur le sujet

 

On a tenté quelques bons coups, Séance Powerplate, Cours de Maquillage, Costard sur mesure, ... On a évité les resto car il prépare des menus "spécial" groupon .... Par contre on fait vite le tour du sujet et plus le temps passe moins les offres sont intéressantes.

Posté(e)

Puisqu'on parle de l'Europe, vous avec vu que les farines animales sont en cours de réintroduction massive ? Vive l'Europe protectrice des terroirs et de la qualité alimentaire :banana:

Posté(e)

A l'époque où on avait déjà parlé de ça sur ce topic j'avais lu et mis un lien vers un article qui montrait assez objectivement je trouve que sortir de l'euro serait une erreur.

ça m'a échappé... je retourne chercher.

 

Quant aux agences de notation, vu le pouvoir énorme qu'elles ont et qu'elles s'auto attribuent, ce serait pas plus mal de limiter leurs actions
... plutôt que de faire en sorte de ne pas être à leur merci? Ce serait traiter la conséquence au lieu de la cause.
Posté(e)

Voban = arlette-laguiller.jpg

 

:mdr: :mdr:

Je suis pas certain qu'on puisse mettre une étiquette politique dans la lutte pour une certaine homogénéité des classes sociales.

 

Être de gauche ne veut pas forcément dire avoir pour priorité de défendre un système juste et égalitaire au bénéfice de tous. Et être de de droite ne veux pas dire n'avoir pour idéal un système individualiste ou c'est chacun pour sa gueule.

 

Les deux défendent juste des méthodes différentes pour parvenir à un juste équilibre.

Posté(e)

... plutôt que de faire en sorte de ne pas être à leur merci? Ce serait traiter la conséquence au lieu de la cause.

Les 2 plutôt. Parce que c'est vrai aussi que les dettes astronomiques qu'on "découvre" tous les jours sont inadmissibles, mais elles ne sont pas le fait de l'UE puisque tous les pays industrialisés sont dans ce cas.

La liste de conséquences que tu donnes au dessus, pour moi elles découlent plus d'une évolution (dégradation) de la société et de l'économie d'un point de vue mondial, qui aurait aussi eu lieu sans l'euro.

Posté(e)

 

La liste de conséquences que tu donnes au dessus, pour moi elles découlent plus d'une évolution (dégradation) de la société et de l'économie d'un point de vue mondial, qui aurait aussi eu lieu sans l'euro.

Difficile à affirmer... En tout cas cela n'aurait pas eu lieu de manière aussi brutale (moins de 10 ans). ça a quand bien accéléré le processus.

Posté(e)

Puisqu'on parle de l'Europe, vous avec vu que les farines animales sont en cours de réintroduction massive ? Vive l'Europe protectrice des terroirs et de la qualité alimentaire :banana:

toujours plus facile d'unifier en tirant vers le bas que vers le haut.

  • 2 weeks later...

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