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Tout est dit dans les notes de MiL : " Remplacé par FULGINI, auteur d'une entrée affligeante sur le plan technique."

M..., on ne peut plus l'envoyer à Annecy.

En parlant de Gasset, son adjoint a l'air aussi vieux que lui. Avec un staff de grabataires, c'est certain qu'ils vont descendre.

Fallait pas racheter la télé de Clorith.

Fulgini, 2 ballons touchés : un contrôle foireux, une passe merdique.

Il fait plaisir à voir, le p'tit nouveau.

Ce qui me bouffe, ce sont les occasions de contres gaspillées parce que ça remonte les ballons au petit trot. Montpellier, sur leur but refusé, il ne leur pas fallu 10 passes pour arriver devant le but.

C'est con pour Gasset, il va encore lui falloir 2 heures pour descendre dans le vestiaire.

Du moment qu'on ne cite pas Fulginic ...

Comme diraient Chevallier et Laspalès "Y'en a qui ont essayé".

C'est suite à ses otites sonotraumatiques à répétition à Bollaert. Il ne risque plus rien là-bas.

Il est psychologiquement blessé et à 30% lensois ...

Concernant les impôts, déjà, rien qu'en France, il y a la cas de Monaco qui n'a rien à faire dans notre championnat.

Ça a commencé avec la magouille de la transformation des compétitions européennes en supprimant le système à élimination directe lors des premiers tours et en autorisant des clubs qui ne sont pas champions à participer à la Champions League alors que les champions des petites nations ne peuvent pas y participer. Là-dessus, on ajoute l'ineptie de l'arrêt Bosman, les dérogations au statut extra-communautaire accordées à certains pays mais pas à d'autres, etc., ...

En allant dans un club en carton chez les losers.

Ce n'est pas notre problème. Il a un contrat.

Comment est le drapeau du Parti Communiste Corse ? Il est rouge, comme le drapeau de l'URSS mais sans les outils.

Et le cousin de Mohamed Ter, c'est Hassan Céhef !!!

Il y, aussi, une émission, Rennes Foot animée par Cyril Le Jamec avec un certain Norman Le Noizetec qui réclame le transfert de Sotoca à Rennes !!!

Deux jeunes Corses viennent de terminer leurs études, mais ils ne trouvent pas de travail. Les parents organisent un conseil de famille et leur disent : " Pour trouver du travail, il faut aller sur le continent. Ici, il n'y en a pas. A ce qu'il paraît, là-bas, il n'y a qu'à se baisser pour trouver de l'argent, alors, vous y allez !!!" Les deux jeunes Corses prennent le ferry et débarquent à Marseille. A peine arrivés le quai, il s'arrêtent en voyant un billet de 50 € par terre. Le premier se baisse pour le ramasser, mais le deuxième l'arrête : "Attends, on ne va quand-même pas commencer à travailler tout de suite !!!".

On l'a achetée aux Génois en 1768. Je ne dis pas qu'il faut la revendre aux Italiens parce que ça ne serait pas un cadeau pour eux, mais on pourrait la leur donner. Après tout, ce qu'ils parlent, c'est plus proche de l'italien que du français.

Le dernier paragraphe de l'article est en conformité avec l'attitude habituelle des Corses dès qu'il y a un problème avec l'un de leurs clubs. Là, le président du Sporting ne parle pas de racisme anti-corse, mais il ne peut pas s'empêcher de faire sa pleureuse à propos du traitement médiatique de l'affaire. Citation : Claude Ferrandi, son président, lui a apporté son soutien publiquement, parlant de « lynchage médiatique ». Et poursuivait : « Face à ce traitement médiatique, nous apportons un soutien total à notre entraîneur et nous assumerons en famille comme toujours. »

Oui, mais la relation est déséquilibrée : le club ne peut pas obliger un joueur à partir, alors qu'un joueur peut obliger un club à le laisser partir. Il suffit qu'il aille au clash en refusant de s'entraîner ou de participer à un match en invoquant, si nécessaire, une blessure diplomatique.

Dans l'article de la VDN, c'était l'aspect "quitter le cocon" qui était mis en avant comme argument de potentiel refus. Mais sinon, oui, d'accord avec toi sur le fait de ne pas envoyer des joueurs contre leur gré dans des championnats/clubs qui ne les intéressent pas. A l'inverse, on est en droit de bloquer un joueur qui veut partir au motif qu'il a un contrat. Non ?

Les rats quittent le navire.