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manico

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Tout ce qui a été posté par manico

  1. Rennes va arracher le nul 1-1 face à Chelsea grâce à un but de la tête de Guirassy sur corner.
  2. D'après le CIES, Lens est le 14ème club en L1 avec 32M€ dépensé en transferts pour construire l'effectif : https://football-observatory.com/IMG/si ... /wp308/en/ 1. Paris St-Germain 888M€ 2. AS Monaco 358M€ 3. Olympique Marseille 194M€ 4. Olympique Lyonnais 172M€ 5. LOSC Lille 133M€ 6. Stade Rennais 123M€ 7. OGC Nice 115M€ 8. Girondins Bordeaux 61M€ 9. Montpellier HSC 51M€ 10. Stade de Reims 44M€ 11. FC Lorient 41M€ 12. AS St-Etienne 38M€ 13. FC Nantes 37M€ 14. RC Lens 32M€ 15. RC Strasbourg 31M€ 16. FC Metz 29M€ 17. Angers SCO 25M€ 18. Stade Brestois 24 M€ 19. Dijon FCO 23M€ 20. Nîmes Olympique 20M€
  3. Ils ont peut-être anticipé nos 2 matchs en retard ?
  4. C'est clair, il était top l'ancien site au niveau stats, historiques... et même rien que la navigation. Là on ne retrouve plus rien ou quasiment rien.
  5. Merci d'avoir eu le coup d’œil en tout cas, j'ai modifié ?
  6. J'ai pris les chiffres sur le site de la LFP, ils se sont peut-être plantés.
  7. C'est fait ?
  8. Le point sur les suspensions : Gradit et Michelin restent sous la menace d'une nouvelle suspension au prochain carton jaune reçu sur les 9 prochaines Journées de championnat Doucouré est sous la menace d'une suspension s'il reçoit un carton jaune lors de l'une des 2 prochaines Journées de championnat Le point sur les temps de jeu : Jean-Louis Leca est le seul lensois à avoir disputé l'intégralité des 9 premières Journées Jean-Louis Leca est désormais le seul lensois à avoir été titulaire sur toutes les Journées disputées (il y avait Doucouré et Kakuta en plus avant le match à Dijon) Ils sont 5 lensois à avoir joué les 9 Journées disputées : Leca, Doucouré, Kakuta, Sotoca et Jean (il y avait Boura en plus avant le match à Dijon) Fofana et Kalimuendo ont obtenu leur 1ère titularisation à Dijon, match au cours duquel Kalimuendo a inscrit son 1er but pour Lens Le 11 lensois au niveau du temps de jeu: Leca; Gradit, Badé, Medina; Clauss, Cahuzac, Doucouré, Sylla; Kakuta; Sotoca, Banza
  9. Juste pour le plaisir de l'écrire, RAS au niveau des cartons pour la première fois de la saison. Encore 2 matchs à ne pas prendre de carton jaune pour Doucouré pour échapper à la suspension.
  10. manico

    Liga

    Oui mais je crois qu'il n'a plus beaucoup d'autres options en défense centrale, les autres ont blessés et Todibo est prêté. Il peut faire reculer De Jong aussi sinon.
  11. manico

    Liga

    En plus de la défaite, le Barça perd Sergi Roberto et surtout Piqué pour plusieurs mois. Si Umtiti est rétabli il aura plus de temps de jeu que prévu.
  12. manico

    Liga

    Si ça fait comme en 1991/1992 (ils avaient aussi 11 points en 8 Journées), ils ont fini champion d'Espagne et vainqueur de la C1 sur un but de Koeman. https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Le-barca-realise-son-pire-debut-de-saison-en-liga-depuis-1991/1197105
  13. Quand Kanté n'est pas là, ce n'est plus la même chose et on est beaucoup plus vulnérables défensivement.
  14. Ils sont sérieux? Genre leur demande est légitime. Et ils oublient qu'il n'y a pas que Lens dans l'histoire, ils prennent vraiment Dijon pour de la merde.
  15. L'Espagne est en train de se qualifier pour le Final 4 en menant 3-0 face à L'Allemagne à la mi-temps.
  16. Surtout que pour le coup il fait plutôt une belle première mi-temps.
  17. Thuram il marque clairement des points sur ce rassemblement.
  18. Un de mes pires souvenirs également concernant l'EdF, juste derrière la finale de CdM 2006 et la finale de l'Euro 2016. On avait non seulement perdu contre la Bulgarie au Parc, mais on avait aussi perdu le match précédent (joué lui aussi à domicile) contre Israël.
  19. Giroud, Thuram et Sissoko remplacent Martial, Coman et Kanté par rapport au match au Portugal. La compo est présentée en 4-4-2 mais ça peut aussi être un 4-2-3-1
  20. Il est aussi à 0 but sur ses 23 derniers tirs tentés en EdF.
  21. Il y a 27 ans aujourd'hui:
  22. Didier Deschamps est désormais en poste depuis plus longtemps que Michel Hidalgo : 3015 jours depuis le 15 août 2012 (date de son premier match dirigé) contre 3014 pour Hidalgo (de mars 1976 à juin 1984). L’équipe de France n’a perdu qu’une fois à domicile contre la Suède : c’était en mars 1952 au Parc des Princes (0-1) pour le premier match en nocturne à domicile. L’équipe de France avait joué une fois sous les projecteurs en août 1930 contre le Brésil, mais le match n’était pas considéré comme officiel. Les Bleus restent sur deux matchs sans victoire et sans but à domicile, contre le Portugal (0-0) et la Finlande (0-2). Ce n’était plus arrivé depuis près de quatre ans avec le même enchaînement face à la Côte d’Ivoire (0-0) en novembre 2016 à Lens et contre l’Espagne (0-2) en mars 2017. Au début du mandat de Deschamps, l’équipe de France avait même enchaîné deux défaites consécutives à Saint-Denis contre le Japon en octobre 2012 (0-1) puis contre l’Allemagne en février 2013 (1-2). Mais en 2004-2005, Raymond Domenech avait fait mieux avec pas moins de six matchs nuls consécutifs à domicile à Rennes contre la Bosnie (1-1) puis à Saint-Denis contre Israël (0-0), l’Irlande (0-0), la Pologne (0-0), la Suède (1-1) et la Suisse (0-0). Soit deux buts marqués et deux encaissés en neuf heures de jeu. Qui sera le meilleur buteur de 2020 ? Pour l’instant, trois joueurs ont marqué chacun trois fois et sans surprise il s’agit d’Antoine Griezmann, d’Olivier Giroud et de Kylian Mbappé. Pour rappel, Giroud a terminé meilleur buteur à quatre reprises lors des cinq dernières années, en 2015 (4 buts), 2016 (8), 2017 (8) et 2019 (6). Mbappé a fini premier en 2018 (9), alors que Griezmann, malgré ses 33 buts, n’a jamais terminé une année en tête. En cas d’égalité au nombre de buts, c’est le temps de jeu sur les 8 matchs de 2020 qui les départagera. Avantage à Mbappé qui est celui des trois qui a le moins joué : 296 minutes en 4 matchs contre 339 minutes pour Giroud (7 matchs) et 495 minutes pour Griezmann (7 matchs également). Upamecano, Camavinga, Tolisso et Kanté, autres buteurs cette année, ne joueront pas contre la Suède. 1/25 : les stats sont dures pour Anthony Martial Anthony Martial ne compte qu’un but en 25 sélections, marqué en septembre 2016 contre l’Italie à Bari. Pour un attaquant, c’est une sorte de record négatif : aucun d’eux, parmi les 38 attaquants comptant au moins 25 sélections, n’a marqué aussi peu. Nabil Fekir en est à deux buts (en 25 capes), tout comme Bruno Bellone (34). Kingsley Coman (25), Raymond Dubly (31) et Georges Bereta (44) en ont inscrit 4, Alfred Aston (31) en a marqué 5, Patrice Loko (26), Marcel Langiller et Loïc Rémy (27), Georges Lech (35) et André-Pierre Gignac (36) en comptent 7. A titre de comparaison, à la 25e sélection en équipe de France, c’est Jean Nicolas qui fut le plus précoce avec 21 buts marqués (mais c’était sa dernière apparition, en décembre 1938). Viennent ensuite Jean Baratte (18), Paul Nicolas (17), Raymond Kopa et Hervé Revelli (14), Youri Djorkaeff (13), Jean Vincent et Eric Cantona (12), David Trezeguet (11) et Kylian Mbappé (10). Si ça peut rassurer Martial, à sa 25e sélection Olivier Giroud n’avait marqué que 5 buts, Karim Benzema 6, Jean-Pierre Papin 7 et Thierry Henry 8.
  23. La France termine donc 1ère de son groupe en battant la Suisse 3-1 en ayant joué 30 minutes à 10 contre 11. Gros travail de Guendouzi sur le dernier but dans les arrêts de jeu.
  24. Le « cluster » artésien a pris fin. Plus de trois semaines après la déferlante de contaminations au Covid-19 qui a frappé le RC Lens, l'équipe sang et or a retrouvé son énergie face à Reims (4-4, le 8 novembre). Elle se déplacera avec l'ensemble de ses forces vives, dont Ignatius Ganago, dimanche à Dijon, toujours en Ligue 1. Mais si la majorité des acteurs lensois (douze joueurs et huit membres de l'encadrement sur la récente période, sans oublier les administratifs) a contracté le coronavirus sous forme asymptomatique, les choses auraient pu mal tourner. « Je me suis dit : "Putain, j'ai chopé cette merde !" » Thierry Malaspina, entraîneur des gardiens de Lens Il est 20 heures ce vendredi 23 octobre quand Thierry Malaspina, entraîneur adjoint en charge des gardiens, reçoit un coup de fil du médecin du club. Le matin, il a passé son 32e test PCR de la saison. Mais, là, Éric Furmaniak l'informe de sa positivité. Il lui demande « un isolement total sept jours consécutifs ». En pleine forme, le quinquagénaire ne déplore aucun symptôme. Croit à une blague. Dans le vestiaire, avec Alou Diarra, premier adjoint de Franck Haise, ils sont surnommés « les buveurs de gel hydroalcoolique », pour leur propension à en user avec abondance au quotidien. « Ça m'a fait un choc, raconte Malaspina. Je me suis dit : "Putain, j'ai chopé cette merde". Pourquoi ? Comment ? J'ai toujours porté le masque en toutes circonstances, respecté les distances. Je n'étais pas sorti de chez moi, sauf pour venir à l'entraînement. Aujourd'hui, je n'ai toujours aucune réponse. » L'Azuréen fulmine, seul à son domicile. Aspire à revenir au centre d'entraînement de la Gaillette pour observer, de loin, la préparation des gardiens. Il ne comprend pas, même quand, au téléphone avec Franck Haise, l'entraîneur principal, il apprend que ce dernier vient de connaître quelques épisodes de fièvre, a perdu goût et odorat. lire aussi Toute l'actualité liée au Covid-19 « Je n'ai fait aucun effort, comme demandé, poursuit Malaspina. Pendant cinq jours, c'était atroce, parce que j'étais en pleine forme. Le mercredi matin, je me lève avec difficulté. Énorme coup de pompe. Comme si on m'avait roulé dessus. Suivent des premières difficultés à respirer. Le jeudi, je transpirais comme un boeuf. Changer les draps me réclamait un effort surhumain. Je ne mangeais même plus : plus la force de lever ma fourchette. J'ai eu envie d'aller aux toilettes. Je n'y suis jamais parvenu. Je me suis fait dessus. Une demi-heure pour faire deux mètres... Là, tu te dis : "Ce n'est pas moi, ça !" Le doc a pris peur. Les pompiers sont venus me chercher le samedi. J'étais à 84 de saturation (valeur qui permet de savoir si les globules rouges sont suffisamment chargés en oxygène). Il faut être entre 95 à 100. » Le préparateur des gardiens est transporté illico à l'hôpital d'Arras. En soins intensifs, le pneumologue lui apprend ses lésions aux poumons. « Elles ne sont pas irréversibles, ne vous faites pas de soucis », ajoute-t-il. Le combat a commencé, épaulé par un traitement aux corticoïdes, qui fera effet. Dans ses narines arrivent 6 litres d'oxygène pur par minute. « L'objectif ? Ne jamais monter à 8 litres d'oxygène » Thierry Malaspina, entraîneur des gardiens de Lens « À mon arrivée, un psychologue vient me voir, poursuit-il. J'ai cru que j'allais mourir. Ça va très vite. Je m'étais mis en mode compétition. L'objectif ? Ne jamais monter à 8 litres d'oxygène (le maximum, imposant un masque) mais descendre à 3, puis à 1. Le lundi, le scanner montrait mes lésions résorbées. Quand tu sors d'affaire, on te permet de te promener. Et là, tu vois tout le dévouement des soignants. Et la détresse et la fatigue des patients. Il y a des personnes de trente, quarante ans aussi. Tu prends conscience que ça touche tout le monde. Que ça peut tuer. Un moment, je cachais l'évolution de la maladie au téléphone. Mais quand tu as une dette d'oxygène, ton cerveau fonctionne au ralenti. Alors tu perds la mémoire, tu tiens des propos incohérents. Mes proches, le staff, les joueurs l'ont compris. J'ai perdu 6 kilos. Il y a deux formes de Covid-19 : la grippette et celle qui grignote tes globules blancs et ton système immunitaire. Maintenant, je vais bien. Je relativise beaucoup de choses. Je ne vais pas faire la morale à personne. Certains sont quand même inconscients. Portez un masque. Pour vous et les autres. » « J'avais l'impression d'une séance de musculation en sortant de mon canapé » Jean-Louis Leca, gardien de Lens À Avion, l'ensemble du club a fait le suivi angoissant de son état de santé. Comme Fabien Simon, en charge de la communication, infecté dès le 16 octobre et, selon ses mots, « rouillé », par la fatigue musculaire, observant « la machine inéluctablement s'enrayer ». Jean-Louis Leca, lui, était justement chez Malaspina pour faire quelques travaux la veille du test. Et négatif le 23 octobre au soir. Le lendemain, le gardien arrive à la Gaillette vers 8 h 30. Furmaniak lui a demandé de repasser un nouveau test. Par précaution. Depuis la veille, 6 joueurs sont en effet positifs. D'autres suspicieux. « Je fais ma séance collective normalement, explique l'ancien Valenciennois. Après quarante minutes, le doc arrive paniqué. Il me demande de sortir. Dans les 4 premiers résultats parvenus, j'étais le seul positif. Je n'ai pas très bien dormi la première nuit. Des courbatures musculaires sont apparues partout dans les jambes, les mollets. Je transpirais beaucoup. J'avais l'impression d'avoir fait une séance de musculation en sortant de mon canapé. J'avais aussi des maux de tête d'une heure. Au sixième jour, j'ai essayé de courir quinze minutes. C'était comme un marathon de trois jours. La peur ? Ça se passe entre toi et ton cerveau. Surtout la nuit. Tu ne peux t'empêcher de penser aux formes graves. En te disant : "Pourquoi cela ne m'arriverait pas, à moi ?" » lire aussi Franck Haise : « Les joueurs sont plutôt en bonne forme » Positif lui aussi, dès le 23 octobre, Haise a craint que le club « ne parte dans tous les sens ». Lui assistait, isolé, aux entraînements depuis une chambre du centre avec vue sur les pelouses. Il arrivait avant les joueurs. Repartait avant la fin de la séance, dirigée notamment par Lilian Nalis, un autre adjoint. Son choix du onze titulaire face à Reims a été dicté par la maladie. Au coup d'envoi, neuf joueurs n'avaient pas été infectés. « Lors des premières séances de reprise (dès le 27 octobre), j'ai senti que certains étaient fatigués, comme Jean-Louis (Leca), confirme le coach qui a vécu trois jours de symptômes classiques. On a réduit le volume et l'intensité. Pour ne pas trop puiser dans leurs ressources. On a conservé notre mental face à Reims. Il fallait aller chercher le 4-4, alors qu'on était mené de 2 buts au départ du temps additionnel. Il faut entretenir cette confiance en conservant une part de doute qui permet d'avancer. »
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