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L'évolution du logo de la Juventus
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
David Fofana (Chelsea), Sekou Mara (Southampton) et surtout Wilson Isidor (Lokomotiv Moscou) : les pistes de Lorient pour remplacer Terem Moffi. -
Rumeurs et transferts
manico a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Les plus jeunes titulaires par club de Ligue 1 Uber Eats (depuis 1947/48) : AC Ajaccio : Toussaint Martinetti, 18 ans et 163 jours (le 01/09/1971, contre Nice) Angers SCO : Mohamed-Ali Cho, 17 ans et 88 jours (le 17/04/2021, contre Rennes) AJ Auxerre : Basile Boli, 16 ans et 117 jours (le 29/04/1983, contre Monaco) Stade Brestois 29 : Erwan Manach, 18 ans et 201 jours (le 21/04/1990, contre Nice) Clermont Foot : Lucas Da Cunha, 20 ans et 228 jours (le 23/01/2022, contre Rennes) RC Lens : Richard Krawczyk, 16 ans et 100 jours (le 01/09/1963, contre Lyon) LOSC : Joël Henry, 16 ans et 121 jours (le 18/08/1978, contre Nantes) FC Lorient : Mattéo Guendouzi, 17 ans et 191 jours (le 22/10/2016, contre Dijon) Olympique Lyonnais : Joël Fréchet, 15 ans et 320 jours (le 12/09/1981, contre l’ASSE) Olympique de Marseille : Marc Pascal, 17 ans et 74 jours (le 18/05/1979, contre Reims) AS Monaco : Thierry Henry, 17 ans et 14 jours (31/08/1994, contre Nice) Montpellier Hérault SC : Joris Chotard, 17 ans et 320 jours (10/08/2019, contre Rennes) FC Nantes : Salomon Olembé, 16 ans et 243 jours (08/08/1997, contre Marseille) OGC Nice : Neal Maupay, 16 ans et 179 jours (le 09/02/2013, contre Lorient) Paris Saint-Germain : Warren Zaïre-Emery, 16 ans et 313 jours (le 15/01/2022, contre Rennes) Stade de Reims : Nathanaël Mbuku, 17 ans et 193 jours (le 25/09/2019, contre Paris) Stade Rennais F.C. : Eduardo Camavinga, 16 ans et 172 jours (le 01/05/2019, contre Monaco) RC Strasbourg Alsace : Roland Wagner, 17 ans et 65 jours (le 25/02/1973, contre Bordeaux) Toulouse FC : Michaël Debève, 16 ans et 186 jours (le 05/06/1987, contre Lens) ESTAC Troyes : Corentin Jean, 17 ans et 150 jours (le 12/12/2012, contre Evian TG) -
Loïs Openda : « J’ai senti que j’allais m’épanouir à Lens » Interrogé au cours de l’émission « Passe D » sur la chaîne Twitch de la Ligue 1 Uber Eats, l’attaquant Loïs Openda est revenu sur ses premiers mois au RC Lens. Après quelques mois de recul, que penses-tu de tes débuts à Lens ? C’est beaucoup de joie, beaucoup de plaisir d’évoluer dans ce club. Je pense que le début de saison qu’on fait pour l’instant est magnifique et on compte continuer comme ça jusqu’à la fin de saison, se donner à fond et montrer qui est le RC Lens. Cet été, quand le RC Lens est arrivé, tu as donné la priorité tout de suite au club ou tu as eu un temps de réflexion ? Qu’est-ce que tu as ressenti ? J’avais des contacts avec le RC Lens, mon agent m’en a parlé. Moi, je connaissais le club mais pas vraiment à 100%. Quand j’ai eu le directeur et le coach au téléphone, c’est devenu ma priorité. J’ai senti que j’allais m’épanouir ici et que j’allais vraiment me sentir comme chez moi, qu’ils allaient prendre soin de moi et faire en sorte que je puisse évoluer. J’en ai parlé à Thierry Henry, il m’a dit que le RC Lens était une équipe qui faisait très mal en contre-attaque et que, pour moi, un joueur qui aime bien attaquer l’espace, c’était une équipe qui pouvait parfaitement me convenir. J’en ai aussi parlé à Eden et Thorgan (Hazard). Thorgan m’a dit que c’était son club de cœur, que si j’allais là-bas, il allait être content. Même Eden m’a dit que c’était un très bon club, mais il ne voulait pas en dire plus parce que ça reste un Lillois (rires). Finalement, ça a été un choix du cœur de venir ici. Tu as connu les championnats belge et néerlandais, est-ce que tu trouves que le championnat de France est plus exigeant physiquement ? J’ai évolué dans le championnat belge où j’ai pris pas mal d’expérience même si je n’ai pas joué énormément. C’est un championnat qui n’est pas du tout facile. Les méthodes de travail au Club de Bruges étaient parfaites, on avait un bon groupe, un préparateur physique pour être en forme sur chaque match. C’est ça qui fait que le Club Bruges performe chaque année. La transition avec les Pays-Bas, cela a été très différent. Le championnat néerlandais, on le connaît pour les attaquants. On dit que les défenseurs sont moins bons qu’en Belgique, mais c’est surtout comment l’attaquant va s'adapter. Je pense que j’ai plutôt bien négocié la transition entre les deux championnats, j’ai pu marquer beaucoup de buts à Arnhem. Puis, quand je suis arrivé en France, tout était encore différent. Ici, c’est plus physique, on nous demande plus d’intelligence, plus de concentration parce que c’est la Ligue 1 Uber Eats, un des cinq meilleurs championnats en Europe. Ce n’était pas facile au début mais le club a bien géré la préparation pour que je sois prêt dès le premier match et je pense que ça se voit que tout a été bien géré depuis le début ici avec moi. « Commencer sur le banc, ça ne change pas grand-chose » Comment est-ce que tu as géré le rythme, sur une année un peu inédite avec la Coupe du Monde en fin d’année et une grosse coupure ? J’ai déjà eu ça. Chez les jeunes, on avait souvent ce genre de coupures avec les équipes nationales, où j’évolue depuis que j’ai 15 ans. Là, il y a eu une vraie coupure avec la Coupe du Monde cette saison mais pour revenir en club, cela n’a pas été dur pour moi. J’ai eu cette envie de revenir quand la compétition a été terminée, pour vite reprendre avec le RC Lens, me remettre directement dans le bain, être directement en forme pour commencer l’année en beauté. Justement, il y a un but qui a impressionné tout le monde récemment, c’est ce but face au PSG. Est-ce que tu peux nous raconter comment tu as vécu ce grand moment ? On part sur une belle récupération de l’équipe. On connaît Seko (Fofana), une fois qu’il a le ballon, il est très dangereux. Il connaît très bien ma qualité, il m’a mis un ballon parfait en profondeur. J’ai pu bien jouer avec mon corps pour éviter que Sergio Ramos ne passe devant moi. Après, ce que j’avais en tête quand je suis arrivé devant le but, c’était qu’il ne fallait pas que je tire du pied gauche, qu’il fallait que j’aille sur mon pied droit si je voulais marquer. Je savais que si j’allais sur mon côté droit, j’allais réussir à faire quelque chose. C’est de l’instinct, j’ai senti que Marquinhos venait et j’ai réalisé un geste technique que j’avais déjà réussi à faire contre Lorient, où j’avais marqué du gauche cette fois-ci. Là, je l’ai fait pour arriver sur mon pied droit, le geste est venu rapidement et ça finit dans le but. Tout le monde est content. Tu as parfois démarré sur le banc cette saison, qu’est-ce que tu ressens au moment où un match démarre sans toi sur le terrain ? Je reste toujours concentré, parce que je peux être appelé à rentrer à n’importe quel moment, que ce soit à la cinquième ou à la soixantième minute. Commencer sur le banc, ça ne change pas grand-chose, parce que j’ai toujours envie de jouer, que je sois sur le terrain ou sur le banc. Comme j’ai dit, la concentration est très importante parce que si je rentre sans être concentré, je ne vais pas faire une bonne prestation. Alors que si je rentre concentré, j’aurai la possibilité de changer le cours du match. J’ai mis un triplé récemment contre Toulouse, mon premier triplé. J’ai entendu que peu de joueurs avaient réussi ça en sortant du banc, ça prouve que j’étais concentré pour rentrer à n’importe quel moment pour essayer de changer le match quand on en a eu besoin.
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Kouyaté à Montpellier c'est fait. Transfert pour un montant de 6M€. -
Maintenant le tirage au sort va éviter un Marseille-Paris pour qu'ils aient une chance de s'affronter en finale.
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N'empêche, à l'image de cette barre et du du but de Përeira Da Costa, les équipes qui jouent Marseille devraient s'en inspirer des frappes lointaines qui lobent Pau Lopez car il est souvent trop avancé.
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Le cul Marseille avec cette barre.
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Rennes aurait dû prendre plus de risques en fin de matchs, peu importe de prendre un 2d but.
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Marseille n'a jamais perdu avec Frappart au sifflet, tu parles d'une coïncidence.
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Je ne serais pas contre une petite séance de tab.
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Heureusement que c'est à la télé parce que si tu devais écouter à la radio un match commenté par Djibril Cissé ça reviendrait au même que de regarder le match sur un vieux streaming turc, il finit de commenter une action qu'il y en a déjà eu 5 autres qui ont suivi.
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N'empêche il va falloir que Rennes recrute rapidement devant. Perdre coup sur coup Terrier et Kali c'est pas de chance et ça peut leur coûter pas mal de points en championnat et une qualif en coupe d'Europe. Il manque clairement quelqu'un devant et Gouiri pour moi ce n'est pas un attaquant de pointe. L'Equipe parle de Toko-Ekembi mais lui non plus n'en est pas un. Ils n'ont qu'à aller rechercher Laborde à Nice
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Ça y est, il faut un but pour que le stade commence à faire du bruit.
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Ils tiennent encore un sacré joueur Rennes avec Doué.
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Ligue 1 [Saison 2022/2023]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Sanson devrait signer à Strasbourg prochainement. -
Même pas de carton pour Gigot
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Marseille, après PDC c'est un autre joueur de la Gaillette qui va leur mettre profond
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Rennes revient bien dans le match. Les marseillais on les voit beaucoup moins offensivement.
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On connait la suite, victoire de Rennes 0-1 sur une frappe de 30 mètres
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Avant Stade Brestois 29-RC Lens Après deux rencontres de championnat où ils sont restés invaincus (2-2 à Strasbourg et victoire 1-0 contre Auxerre), les Sang et Or retrouvent la Coupe de France. Vainqueurs de Linas-Montlhéry (0-2) au tour précédent, les joueurs du Racing poursuivent leur parcours sur la pelouse de Brest, ce dimanche, à l’occasion des 16es de finale. À deux jours de leur déplacement dans le Finistère, le Manager général Franck Haise et le gardien Jean-Louis Leca se sont exprimés devant la presse. Sur la gestion du groupe Comme au début de chaque point presse, Franck Haise a dressé un bilan des forces en présence, avant le déplacement à Brest. Bonne nouvelle : le coach lensois pourra compter sur l’ensemble de son groupe en dehors des blessés de longue date (Adam Buksa - cheville, Jimmy Cabot - genou, Wuilker Farinez - genou). Pour autant, il y aura du changement dans le onze de départ sang et or. À l’instar du dernier match de Coupe de France contre Linas-Montlhéry, c’est Jean-Louis Leca qui prendra place dans la cage artésienne. Si le gardien lensois joue moins cette saison, Franck Haise a expliqué qu'il « prend néanmoins très à cœur son rôle de numéro deux ». L’entraîneur a également insisté sur le sérieux et l’implication au quotidien du Corse, qui reste l’un des leaders de l’effectif. « Il est toujours le premier arrivé pour la séance de musculation le matin, il est performant et il a le comportement d’un grand professionnel. Il continue également à beaucoup apporter au groupe en prenant la parole dans le vestiaire. » Sur le Stade Brestois 29 À l’occasion des 16es de finale, le Racing affrontera une formation qui a trouvé un autre souffle avec la Coupe de France. Dans cette épreuve, les Brestois ont remporté le seul de leurs six derniers matchs toutes compétitions confondues (0-2 à Avranches). Néanmoins, ils sortent de deux prestations encourageantes contre Lille (0-0) et Toulouse (1-1) en Ligue 1. « Au cours de ces deux matchs de championnat, Brest a constitué un bloc compact, semblable à ce qu'Auxerre a pu mettre en place sur notre pelouse samedi dernier. Le Stade Brestois est une équipe qui cherche avant tout à rester solide défensivement mais elle parvient tout de même à être dangereuse sur des projections ou des phases arrêtées », observe Franck Haise. Sur la Coupe de France Changement de compétition, même envie ! Pour Franck Haise, l’objectif est de faire du mieux possible. « Je ne fais pas de différence entre la Ligue 1 et la Coupe de France », explique le coach. « On veut vivre ces deux compétitions à fond et on attaquera ce match avec le même objectif que les autres : gagner. » Même son de cloche chez le portier lensois. « C’est une compétition à part puisque ce sont des rencontres à élimination directe. Quand on est joueur de Ligue 1, il peut parfois être difficile de se déplacer dans des stades que l’on ne connaît pas et sur des pelouses de moindre qualité. Mais, au fil des tours, on sent l’excitation et l’ambition monter. » Lundi soir, dans le prolongement du week-end de Coupe de France, le club de Pays de Cassel (R1) affrontera le Paris SG à Bollaert-Delelis. Interrogé à ce sujet, Franck Haise a livré son regard sur l'attente qui entoure la rencontre qui se jouera dans un stade plein. « L’engouement est magnifique ! Pour les membres du club de Cassel, c’est un souvenir qui restera gravé dans leurs mémoires. Il n’y a que la Coupe de France qui peut permettre à une équipe de Régional 1 d’affronter la meilleure équipe française actuelle. Notre stade va devenir le « Stade des Hauts-de-France ». » Le coach a aussi annoncé qu’il serait « présent à Bollaert pour encourager l’équipe régionale. » sur l'exercice des tirs au but En cas d'égalité à l'issue des 90 minutes, les deux équipes seront départagées par une séance de tirs au but. S'il s'entraîne régulièrement pour être performant dans cet exercice, Jean-Louis Leca se prépare à cette éventualité en « regardant les vidéos pour connaître les habitudes des tireurs adverses. » Durant sa carrière, le gardien de 37 ans a évolué dans sa manière d'aborder cette épreuve. « Avec l’expérience, je suis moins friand de jouer sur l’aspect psychologique pour perturber l’adversaire. Je le faisais en début de carrière mais je préfère désormais me concentrer sur moi-même et être attentif au regard et à l'attitude du tireur. » Le numéro 16 est également revenu sur le penalty transformé par Przemyslaw Frankowski face à l'AJA. Celui-ci a mis fin à une série de deux échecs consécutifs pour le Racing dans cet exercice. « Je ne ressens jamais de fébrilité chez nos joueurs au moment de tirer un penalty. Parfois, il faut aussi prendre en compte le contexte ou les conditions météorologiques pour expliquer un raté. Contre Auxerre, « Frankie » a stoppé la mauvaise passe de l’équipe dans cette épreuve. On espère maintenant connaître une période de réussites. » rclens.fr
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Rumeurs et transferts
manico a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Chelsea, le club le moins actif sur le marché des transferts -
Si Eric Roy dit vrai c'est grâce à lui que Franck Haise est resté à Lens à l'époque où il était sollicité pour devenir entraîneur adjoint en Belgique. https://www.ouest-france.fr/sport/football/stade-brestois/stade-brestois-rc-lens-eric-roy-j-ai-vecu-une-belle-aventure-la-bas-012a1dd6-98ea-11ed-838e-db5cb73079c3
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Stade Brestois – RC Lens. Éric Roy : « Je veux concerner tout le monde » Le Stade Brestois reçoit le RC Lens ce dimanche (21 h) en 16e de finale de la Coupe de France. Éric Roy, l’entraîneur brestois s’attend à un match difficile face à l’une des meilleures équipes françaises actuelles. Un gros test pour le nouveau Stade Brestois version Éric Roy. Invaincus depuis trois matches et l’arrivée du technicien en Finistère (Avranches, Lille et Toulouse), le nouvel entraîneur et son équipe auront fort à faire ce dimanche soir (21h) face au RC Lens en 16e de finale de la Coupe de France. Une équipe qui tourne à 2,3 points par matches sur cette première partie de championnat et qui développe le plus beau jeu de Ligue 1. « On s’attend à un match très difficile, confirme Éric Roy. Mais quelle que soit la composition que je mets en place, il est évident que l’on jouera malgré tout pour se qualifier. » Avec les absences de Romain Del Castillo (mollet), Mathias Pereira-Lage (cheville) et désormais Brendan Chardonnet, touché à la cuisse, Éric Roy va devoir composer. Avec l’envie de privilégier le match face à Angers, primordial pour le maintien en Ligue 1, dans moins de 10 jours (29 janvier) ? « Je suis très satisfait de ce que je vois à l’entraînement en termes d’intensité, de travail et d’état d’esprit. Tout le monde est opérationnel en tous les cas ceux qui sont à l’entraînement. Je veux concerner tout le monde aussi donc c’est important de confirmer les actes aux paroles. Effectivement, il y aura des joueurs qui n’ont pas joué le dernier match mais qui joueront là, ce n’est pas complètement arrêté dans ma tête non plus, affirme-t-il. J’attends de voir les deux derniers entraînements. Parce qu’on va encore s’entraîner demain mais on fera aussi une petite mise en jambes dimanche matin parce qu’on va jouer très tard. Mais c’est évident que tout le monde postule. Moi j’ai tendance à dire que je construis mes équipes par rapport à ce que je vois à l’entraînement donc c’est aussi important d’attendre au moins la séance de demain pour avoir une équipe plus précise de ce que je veux faire même si à 90 % je sais ce que je vais aligner. » « Je pense que Lens va modifier son onze » En face, Franck Haise pourrait également être tenté de faire tourner son effectif. Dauphin du Paris Saint-Germain en Ligue 1 avec 44 points, le RC Lens a l’occasion de faire souffler quelques cadres. C’est en tout cas l’avis du coach brestois qui a très bien connu le technicien lensois lors son passage dans le Nord comme directeur sportif de 2017 à 2019. « Je pense que Lens va certainement modifier son onze type parce que quand on est coach on a besoin de concerner tout le monde et pour ça il faut donner du temps de jeu à ceux qui jouent moins, argumente Éric Roy en conférence de presse ce vendredi. Je pense que du côté de Lens certains vont avoir du temps de jeu même si l’on ne rejoue qu’une semaine après. Mais ça s’enchaîne beaucoup derrière donc c’est une planification et un ressenti à avoir. » (Ouest-France)