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Rumeurs et transferts
manico a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
Le Rennes des anciens lyonnais Bruno Genesio et Florian Maurice utilise la méthode lyonnaise de la 1ère décennie des années 2000 en prenant les meilleurs joueurs des autres clubs de L1. -
Rumeurs et transferts
manico a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
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Ligue 1 [Saison 2023/2024]
manico a répondu à un(e) sujet de manico dans Football national et international
Voici désormais les 18 coachs qui devraient commencer en L1 cette saison (petit incertitude sur Le Bris?) : Les 6 clubs qui ont changé d’entraîneur : Olympique de Marseille : Marcelino AS Monaco : Adi Hütter OGC Nice : Francesco Farioli RC Strasbourg Alsace : Patrick Vieira Toulouse FC : Carles Martinez Novell Paris Saint-Germain : Luis Enrique Les 12 clubs qui conservent leur entraîneur : Stade Brestois 29 : Éric Roy Clermont Foot 63 : Pascal Gastien Havre AC : Luka Elsner RC Lens : Franck Haise LOSC : Paulo Fonseca FC Lorient : Régis Le Bris Olympique Lyonnais : Laurent Blanc FC Metz : László Bölöni Montpellier Hérault SC : Michel Der Zakarian FC Nantes : Pierre Aristouy Stade de Reims : Will Still Stade Rennais FC : Bruno Genesio -
Tout à fait. Et il va séquestrer Samba à la mi-temps.
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Je suis assez surpris qu'on fasse nos 3 derniers matchs sur une seule semaine : samedi, mercredi et le samedi suivant; avec un déplacement en Allemagne + un en Angleterre. Est-ce pour nous habituer à jouer tous les 3 jours, à prendre le rythme?
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Il ne faut pas oublier que notre force reste le collectif plus que les individualités. Ajoutons à ça un coach qui sait tirer le meilleur de ses joueurs. L'été dernier on perd Kali, Clauss et Doucouré. Certains étaient alarmistes en voyant ces départs et au final on a encore amélioré le groupe. Cet hiver on a aussi apporté une plus-value au groupe avec Thomasson surtout, ce qui n'est pas évident sur le mercato hivernal. Attendons de voir le groupe que l'on aura en fin de mercato et surtout de voir ce que ça donnera sur le terrain. Le club nous a plutôt incité à l'optimisme sur les dernières saisons et on est souvent cités en exemple en terme de recrutement et de composition d'un groupe.
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Football : de Carabobo à l’UNFP, Jérémy Vachoux ouvert « à tout nouveau projet » Alors que le RC Lens et l’USL Dunkerque se retrouvent en amical samedi à 11 heures à Avion, l’ancien Lensois (2014-2019) et Dunkerquois (2020-2022) est lui en stage avec l’UNFP. En recherche d’un club, Jérémy Vachoux (29 ans) revient d’une expérience enrichissante au Venezuela. Et entend bien trouver le projet qui lui conviendra. Depuis un an, Jérémy Vachoux en a vécu de belles aventures. Mais celle d’être devenu papa fut sans conteste la plus forte. C’est d’ailleurs l’éloignement avec sa compagne et le petit Nathanaël (11 mois) qui a précipité son retour du Venezuela, où il avait relevé le défi un peu fou de défendre les couleurs du FC Carabobo. « La distance, c’est vraiment ce qui m’a fait revenir, explique-t-il. Je me sentais très bien là-bas, les gens avaient été très accueillants, extrêmement chaleureux. La famille est évidemment ce qu’il y a de plus important, c’est la raison de mon retour. Nathanaël adore déjà le ballon. On sent que c’est inné chez les enfants. » Là-bas, dans ce pays coincé entre la Colombie, le Brésil, la Guyane britannique et l’Océan atlantique, il a découvert une autre vie et un autre football. Lui qui n’avait jamais mis les pieds en Amérique du sud a appris l’espagnol en quelques semaines, a participé à la Copa Libertadores, l’équivalent de la Ligue des champions… mais avec des ambiances souvent plus bouillantes. « Avec Carabobo, on a affronté le club brésilien de l’Atlético Mineiro, à Belo Horizonte, où jouait Hulk notamment, devant 50 000 spectateurs. » Malgré l’élimination (0-0, 3-1), Jérémy Vachoux venait d’entrer dans un cercle très fermé : celui des joueurs français à avoir disputé la Copa Libertadores. Selon la confédération sud-américaine de football, seuls David Trezeguet (Newell’s Old Boys, Argentine) André-Pierre Gignac (Tigre, Mexique), et Cédric Anselin (Oriente Petrolero, Bolivie), né à Lens et brièvement passé par le LOSC, avaient eu cette chance avant lui. « Hâte de montrer mes qualités » Depuis le 22 mai et son retour en France, le gardien n’a qu’une envie : retrouver un club. « Comme j’avais initialement signé un contrat de deux ans à Carabobo, avec qui j’ai résilié d’un commun accord, les clubs ne savent pas forcément que je suis de nouveau sur le marché. » Après une semaine de vacances en famille, il a pris contact avec l’UNFP (Union nationale des footballeurs professionnels), qui permet aux joueurs au chômage de s’entraîner. Ils sont actuellement vingt-quatre, dont quatre gardiens, à batailler dans l’Essonne lors d’un stage de présaison. « En arrivant, j’ai été très surpris des excellentes conditions qui sont mises à notre disposition, souffle-t-il. Ce sont celles d’un club professionnel : bains chauds, bains froids, kinés, ostéopathes, un staff complet… » Depuis un an, Jérémy Vachoux en a vécu de belles aventures. Mais celle d’être devenu papa fut sans conteste la plus forte. C’est d’ailleurs l’éloignement avec sa compagne et le petit Nathanaël (11 mois) qui a précipité son retour du Venezuela, où il avait relevé le défi un peu fou de défendre les couleurs du FC Carabobo. « La distance, c’est vraiment ce qui m’a fait revenir, explique-t-il. Je me sentais très bien là-bas, les gens avaient été très accueillants, extrêmement chaleureux. La famille est évidemment ce qu’il y a de plus important, c’est la raison de mon retour. Nathanaël adore déjà le ballon. On sent que c’est inné chez les enfants. » Là-bas, dans ce pays coincé entre la Colombie, le Brésil, la Guyane britannique et l’Océan atlantique, il a découvert une autre vie et un autre football. Lui qui n’avait jamais mis les pieds en Amérique du sud a appris l’espagnol en quelques semaines, a participé à la Copa Libertadores, l’équivalent de la Ligue des champions… mais avec des ambiances souvent plus bouillantes. « Avec Carabobo, on a affronté le club brésilien de l’Atlético Mineiro, à Belo Horizonte, où jouait Hulk notamment, devant 50 000 spectateurs. » Malgré l’élimination (0-0, 3-1), Jérémy Vachoux venait d’entrer dans un cercle très fermé : celui des joueurs français à avoir disputé la Copa Libertadores. Selon la confédération sud-américaine de football, seuls David Trezeguet (Newell’s Old Boys, Argentine) André-Pierre Gignac (Tigre, Mexique), et Cédric Anselin (Oriente Petrolero, Bolivie), né à Lens et brièvement passé par le LOSC, avaient eu cette chance avant lui. « Hâte de montrer mes qualités » Depuis le 22 mai et son retour en France, le gardien n’a qu’une envie : retrouver un club. « Comme j’avais initialement signé un contrat de deux ans à Carabobo, avec qui j’ai résilié d’un commun accord, les clubs ne savent pas forcément que je suis de nouveau sur le marché. » Après une semaine de vacances en famille, il a pris contact avec l’UNFP (Union nationale des footballeurs professionnels), qui permet aux joueurs au chômage de s’entraîner. Ils sont actuellement vingt-quatre, dont quatre gardiens, à batailler dans l’Essonne lors d’un stage de présaison. « En arrivant, j’ai été très surpris des excellentes conditions qui sont mises à notre disposition, souffle-t-il. Ce sont celles d’un club professionnel : bains chauds, bains froids, kinés, ostéopathes, un staff complet… » Celui qui a vécu des moments difficiles, après le douloureux barrage perdu avec Lens à Dijon ou la descente de Dunkerque en National, s’est forgé un état d’esprit de combattant. Et n’en veut absolument pas à ceux qui ont parfois eu la dent dure à son égard. « Vous savez, les critiques, cela fait partie du foot, théorise-t-il, en souriant. Même Messi s’est fait siffler dans un stade… Alors, imaginez un peu…» Désormais sans agent, Jérémy Vachoux entamera samedi, face à Annecy, la tournée de matchs amicaux de l’UNFP. « Depuis dix jours et le début de notre stage, on travaille beaucoup. On est en avance dans notre préparation par rapport aux clubs pros car l’objectif est clair : on doit se montrer durant les rencontres pour que des projets nous soient proposés. » Il a déjà eu quelques contacts ces derniers jours, qui lui ont été relayés par Pascal Bollini, directeur du stage UNFP. D’autres clubs l’ont appelé directement. « Je suis ouvert à tout nouveau projet. J’ai hâte de montrer mes qualités sur un terrain. J’étudierai toutes les possibilités et ferai un point ensuite. Si je trouve un club en France, ce sera très bien. Mais je suis aussi ouvert à une autre expérience à l’étranger. Le football se joue partout dans le monde. » Il est bien placé pour le savoir.
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Rumeurs et transferts
manico a répondu à un(e) sujet de Lmarco dans Football national et international
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Alors qu'il devait avoir lieu au Stade de France, le match France - Gibraltar du 18 novembre se jouera à l'Allianz Riviera de Nice !
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Pas convaincu par son niveau. D'accord il a fait des choses acceptables en Bundesliga et en Premier League, mais la L1 c'est un tout autre niveau. Qu'il demande à Patrick Berg.
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Il y a Fulgini, Thomasson c'est pas trop mal non plus et souvent c'est aussi Frankowski. Mais oui, Clauss faisait du bien à ce niveau.
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Tous les joueurs africains n'ont pas leur grand-mère qui meurt 3 fois
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On peut dire ce qu'on veut sur eux mais quelqu'un l'a dit récemment et c'est bien vrai, Lille reste un exemple en termes de ventes.
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Supputation sans fondement.
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C'est pour ça que Strasbourg cherche a prolonger Djiku? Et Ajorque a été blessé.
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A une époque Ribéry qui était à Marseille voulait absolument aller à Lyon et avait mis la pression comme tu dis. Marseille a dit non, il est resté et a fait une excellente saison. Il faut arrêter de donner à un joueur sous contrat plus de pouvoir qu'il n'en a réellement.
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Sauf qu'il est sous contrat tout comme Diarra à Strasbourg. Un transfert est tripartite. Et rien ne permet d’affirmer qu'il aurait mis la pression (Tavolieri dit que non), tout comme Diarra à Strasbourg. Dans une interview tu trouves tout et son contraire. Il dit aussi qu'il aime Lens dans l'interview.
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https://culturesangetor.com/sacha-tavolieri-lois-nira-pas-au-clash/ En coulisses on ne sait pas ce qu'il se passe c'est certain mais à Strasbourg non plus.
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J'espère au moins qu'on mettra au moins un pourcentage à la revente, si possible le même qu'il avait.
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Openda non plus.
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Oui je comprends bien mais comme pour Diarra à Strasbourg, Openda n'est pas à vendre de base, on compte sur lui. Du coup c'est différent d'u Seko par exemple à qui on a donné un bon de sortie. Strasbourg est inflexible quant au montant pour DIarra et je le comprends parfaitement.