West'ier

Diallo à Rennes ça sort d'où ?

Original.

Ce boucan pour un match amical, dans un stade d'entraînement, à 7h30 de route... Le tirage au sort de la Champion's League a lieu dans 1 mois jour pour jour. Je frémis d'impatience à l'idée de découvrir nos déplacements à travers l"Europe

Carton jaune.

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Xavi-barcelone-apres-la-defaite-face-a-arsenal-ce-n-est-pas-normal-cette-intensite/1410416

Une saison en pro et 9 buts...

Ils n'ont pas rendu ma tenue de paintball, les enfoirés.

Ahahah United Tix of America

Des trolls lillois...

Petit fantasme personnel : Leipzig se retrouve dans notre poule de C1, on les tape à l'aller et au retour avec deux clean sheet

18M€ + 2M€ de bonus

Quatre-vingt trois jours, c’est ce que dure la période estivale dans le football professionnel français, du marché des transferts de la saison 2023-2024. Nous en sommes à la moitié et les choses se sont accélérées en Ligue 1 ; toutes les équipes ont conclue au moins une opération payante dans le sens des arrivées. Pas nécessairement sur la période en cours, mais en forme de levée d’option d’achat pour ce qui concerne l’arrivée de Terem Moffi à l’OGC Nice ; par ailleurs l’une des recrues les plus chères de l’exercice. Une moyenne de 23 M€ investi par les clubs de la Ligue 1 sur le marché Cumulées, les 18 formations de l’élite ont investi 417,85 millions d’euros hors bonus complémentaires, selon les données de la plateforme Transfermarkt. Cela vaut une moyenne par club à 23 millions d’euros ; non loin de la dépense du Stade de Reims qui signe d’ores-et-déjà son marché le plus dispendieux de son histoire, sous l’effet notamment de l’arrivée du défenseur Joseph Okumu, le joueur le plus cher au service du club champenois. Le PSG loin devant, l’OM, le RC Lens et le Stade Rennais également compétitifs Sur les quelques 417 millions d’euros investis par la Ligue 1, plus du tiers repose sur le seul Paris Saint-Germain, dominant sur ce mercato comme sur tous les précédents. L’Olympique de Marseille, le Stade Rennais et le RC Lens ne sont pas en reste, avec les moyens qui sont les leurs pour être compétitifs, à la fois en championnat de France ainsi qu’en Coupe d’Europe, entre Ligue des champions et Ligue Europa. Ce que chaque club de Ligue 1 a dépensé à mi-mercato PSG = 159,5 M€ (Ugarte, Hernandez, Ekitiké, Lee, Simons) OM = 49 M€ (Sarr, Lodi, Malinovskyi, Kondogbia, Harit) Stade Rennais = 35 M€ (Le Fée, Blas) RC Lens = 30,4 M€ (Diouf, Fulgini, Cortés, Guilavogui) Stade de Reims = 25 M€ (Okumu, Teuma, Salama, Diakité, Khadra) OGC Nice = 22,5 M€ (Moffi) Losc = 21,5 M€ (Haraldsson, Santos) RC Strasbourg = 13 M€ (A. Sylla, Emegha) FC Nantes = 10,75 M€ (M. Mohamed, Delort) AS Monaco = 10 M€ (Köhn) OL = 9 M€ (Mata, Alvero) FC Lorient = 8,5 M€ (F. Mendy, D. Sylla) Clermont = 6,5 M€ (Caufriez, Pelmard, Keïta) Toulouse FC = 6 M€ (Cissoko, Magri, Cásseres Jr) Stade Brestois = 3 M€ (Camara) Le Havre = 1,9 M€ (Ndiaye, Soumaré) MHSC = 1,3 M€ (Sacko) FC Metz = 0,4 M€ (Elisor) https://sportune.20minutes.fr/sport-business/football/om-psg-rc-lens-ol-ce-que-chaque-club-de-ligue-1-a-depense-a-mi-mercato-311197

Au cœur de la préparation du RC Lens : entraînement sous la chaleur, cohésion et intégration des recrues Série d’été : au cœur de l’avant-saison du Racing (3/5). Benoit Delaval, le responsable de la performance, a accepté de décrypter la préparation chaque lundi jusqu’à la reprise. Le stage à Divonne : plus pour la cohésion que le physique La semaine dernière, les joueurs du Racing ont passé sept jours à Divonne-les-Bains avec deux matchs pour conclure le stage. « Le stage ne sert pas à proprement parler pour la préparation physique. En prépa, ce qu’on a fait à Divonne, on aurait pu le faire à la Gaillette, tout comme les deux matchs et la musculation où on aurait eu des installations meilleures. Quand l’équipe de France va à Tignes à 3 000 m, c’est pour une orientation prépa +++, là ce n’est pas le cas. L’objectif était de passer une semaine tous ensemble, de créer de l’unité, de la cohésion, d’intégrer les internationaux et les nouveaux, de vivre ensemble 7 jours sur 7 et d’intégrer les principes techniques et de jeu. Le coach a présenté son projet de jeu. La grosse différence par rapport aux premières semaines, c’est qu’on s’est vraiment rapproché des "pattern" (modèles) d’une semaine-type, avec un volume différent, très proche d’une semaine de championnat. Même si la saison dernière, des semaines types, ce qui veut dire sept jours entre deux matchs, on en a eu peu. La saison dernière, on a dû jouer 23 fois sur 38 en prime time, ça veut dire à 20 h 45 ou 21 h les vendredi, samedi ou dimanche. » La chaleur, une difficulté, mais un avantage aussi Si dans le Nord, pluie, vent et températures basses ont rythmé la semaine, à Divonne-les-Bains, le soleil a tapé fort. « La chaleur, c’est très bien. Elle a quelques effets similaires avec l’altitude. C’est intéressant de s’entraîner quand il fait chaud. Ce n’est pas facile, pas agréable et il faut bien préparer l’hydratation et la nutrition avant, pendant et après. La chaleur a pour effet d’augmenter la quantité d’hémoglobine, donc plus d’oxygène peut être délivré aux muscles. L’entraînement sous la chaleur permet aux joueurs de diminuer leur fréquence cardiaque et leur température corporelle. Et aussi d’améliorer la performance dans des conditions normales/tempérées et dans des conditions chaudes, même s’il faudrait y être exposé plus longtemps. Si contre Brest, on doit jouer sous 35º C et qu’on n’a fait que des semaines d’entraînement à 15º C, on aura du mal à gérer la chaleur. Là, l’acclimatation sera plus facile. Et à Divonne, il ne faisait pas trop chaud. Ce n’est pas comme si on s’était entraînés à Marbella ou en Grèce, c’était vivable. » L’activité extra-sportive Pour casser la routine et être dans le projet de cohésion, joueurs et staff ont participé à un laser game en extérieur mercredi. « On a proposé un laser game, mais au départ, on cherchait une activité nautique, parce qu’il faisait chaud, mais on n’a pas trouvé ce qu’on voulait à proximité. On ne voulait pas faire trop de route. Là, le laser game, c’était à cinq minutes. On a joué 2 h 30, et ça a permis de passer du bon temps, d’avoir un vrai moment de cohésion. On n’avait pas mis les GPS, avec l’idée de sortir du cadre de l’entraînement et du contrôle. Les gars ont pas mal couru et plusieurs auraient bien aimé avoir leurs données (rires). » L’intégration des nouveaux : le plus important, bien connaître leurs données La difficulté dans la préparation est d’avoir un niveau physique homogène alors que des joueurs arrivent au fur et à mesure en fonction du mercato. En ayant signé rapidement plusieurs joueurs, Lens a gagné du temps. « Aujourd’hui, on a cinq nouveaux. Andy (Diouf), Stijn (Spierings), Oscar (Cortés), Morgan (Guilavogui) et Neil (El Aynaoui). Je les ai vus et entendus pour connaître leur routine de travail, ce qu’ils faisaient. Les cinq ont des profils différents. Ceux qui sont arrivés tôt ont eu un programme pendant les vacances. Stijn, je connais le responsable performance à Toulouse et on a échangé beaucoup d’infos, Morgan m’a expliqué clairement ce qu’il faisait au Paris FC et pareil pour Neil avec Nancy et Andy, même s’il est jeune se connaît bien, il a déjà un certain vécu. Stijn, Andy et Neil ont tout de suite eu de très bonnes valeurs, ça facilite les choses. Oscar, on le suit de près. Il est jeune, il arrive d’un autre continent, il doit digérer le décalage horaire et il a fini sa saison tard en ayant eu ensuite des vacances. Il n’a pas doublé la séance de mardi, on est vigilants sur l’accumulation. Pour les prochains arrivants, tout dépendra de l’état de leur préparation, de leurs habitudes. S’ils viennent d’un club de Ligue 1 et qu’ils ont repris le 1er juillet, il n’y aura pas de problème avec trois semaines d’entraînement. Mais ce sera différent si c’est quelqu’un qui était en finale de l’Euro U21 et qu’il a pris trois semaines de vacances. Ça peut prendre plus de temps en fonction de leur niveau et de là où on en est. » https://www.lavoixdunord.fr/1355393/article/2023-07-24/au-coeur-de-la-preparation-du-rc-lens-entrainement-sous-la-chaleur-cohesion-et

RC Lens : Abdul Samed défenseur, Pereira da Costa piston... les essais de Franck Haise Par nécessité, faute de joueurs aux bons postes ou par volonté de trouver de nouvelles solutions qui pourront être appliquées cette saison, l’entraîneur lensois a procédé à des essais parfois surprenants. Un peu à court de défenseurs, mais riche en attaquants-animateurs, Franck Haise a trouvé des subterfuges pour garder un équilibre général. « J’ai fait travailler des milieux derrière et des animateurs un peu plus bas et des animateurs au profil excentré en pistons. Il faut donner aux (néo) pistons de vraies notions sur le plan défensif et ça, ce n’est pas la même chose. » Des enseignements précieux et des prises de repères qui pourront être utiles cette saison. Angelo Fulgini, milieu relayeur.Spierings ménagé en deuxième période contre Dijon, Diouf est redescendu d’un cran, juste devant la défense et c’est Fulgini qui a occupé pendant 37 minutes le poste de relayeur un peu plus offensif, avec un rôle de projection qui devrait être dédié à Diouf cette saison et qu’occupait Fofana l’an passé. Ayanda Sishuba, attaquant de pointe. Pour voir Morgan Guilavogui avec l’équipe plus expérimentée, Franck Haise l’a sorti après 60 minutes contre Sochaux. Et c’est Sishuba, qui avait démarré la deuxième période sur le côté gauche de l’attaque, qui l’a remplacé, avec Pereira da Costa et Cortés sur les côtés. David Pereira da Costa, piston gauche. Comme face à Amiens, Pereira da Costa a joué un cran plus bas que d’habitude, dans un rôle de piston gauche. Pendant 45 minutes, Pereira a travaillé sur le côté, tenté de provoquer avec plus ou moins de réussite. Il a terminé le match contre Sochaux attaquant gauche, de même que celui contre Dijon. Oscar Cortés, piston droit. Comme Pereira da Costa, Cortés a démarré piston droit. S’il n’a pas encore tous les réflexes, sa vitesse, sa puissance et une bonne technique lui ont permis de créer quelques brèches. Il a terminé le match attaquant droit. Salis Abdul Samed défenseur central, Thomasson récupérateur. Spierings touché et ménagé, Abdul Samed a reculé au milieu de la défense centrale à la pause du match de Sochaux, obligeant du même coup Thomasson, positionné plus haut, à prendre le rôle d’Abdul Samed, qu’il avait déjà eu l’an passé en championnat. https://www.lavoixdunord.fr/1355380/article/2023-07-24/rc-lens-abdul-samed-defenseur-pereira-da-costa-piston-les-essais-de-franck-haise